Caroline; Sloan (+) Te supplier de me revenir et tout faire pour te voir partir, pursuit of happiness

Invité

Every step towards you is a step in your world
Caroline & Sloan
Honnêtement, Caroline n'avait aucune idée de la définition même de sa relation avec Sloan. Ami ? Oui certainement. Petit-ami ? Certainement pas. Coucherie d'un soir ? Non plus, c'était régulier. Sex friend ? Sans doute un peu, mais il n'y avait pas que ça. Confident ? Oui, assurément. Pourtant, malgré tout ça, il y avait encore quelque chose entre eux qu'elle n'arrivait pas à définir. Une complicité et une légèreté au contact de l'autre qui leur était inconnu. Elle avait ce sentiment inexplicable qu'il y avait plus entre eux, un lien difficile à comprendre et à définir. Les autres voyaient leur relation comme une coucherie, un simple moment de faiblesse entre deux personnes. Mais Caroline n'était pas de cet avis. Sloan était sa soupape de sécurité, là où elle se réfugiait quand elle se sentait si seule et lasse de ce monde où tout le monde la voyait comme la pauvre fille qui s'est faîte éjecté des iotas. Cela lui rappelait l'histoire d'un jeune étudiant de l'année dernière. Il était comme elle, membres de iota et apprécié de la plupart des gens avant qu'on ne découvre qu'il se droguait en cachette et ne soit accepté chez les gamma en désespoir de cause. Elle se sentait un peu comme ce jeune homme et les racontars sur sa venue chez les bêtas, bien que peu nombreux par rapport à cette histoire, était tout de même là. Et elle le supportait mal. Avec Sloan, elle les oubliait. Tout comme elle oubliait qu'elle était malade, qu'elle était sans doute condamné à avoir une vie beaucoup plus courte que les autres. Que la mort faisait partie intégrante de sa vie. Que d'un instant à l'autre, au sorti d'une analyse de contrôle, on puisse lui dire que sa leucémie avait atteint le dernier stade et que sans une greffe de moelle osseuse, elle pourrait y passer dans des les mois, au mieux l'année qui suivait. Elle vivait perpétuellement avec une épée de Damoclès au dessus de sa tête. Elle avait la crainte de cette mort. Elle n'avait jamais demandé à ses médecins si elle souffrirait quand elle mourrait de sa maladie. Car il était sur et certain qu'elle allait mourir de sa leucémie. Il n'était possible pour elle de mourir de vieillesse du à une vie longue et heureuse. C'était surement ce qui la rapprochait de Sloan. Lui non plus n'avait pas cet espoir de vivre une longue vie heureuse où il serait complètement sobre et aurait pu se ranger. Non. Les deux jeunes gens pensaient qu'ils allaient finir par mourir assez jeune avec une mort complètement attendu. C'était macabre de penser à cela alors qu'elle était dans les bras de Sloan, mais c'était ainsi. De plus, elle n'avais toujours pas son café du matin et bien qu'elle ait presque fini son paquet de bonbons, ce concentré de sucre et de conservateur qu'elle aimait tant n'était rien qu'un pis allé. Il se leva du lit et s'étira bruyamment. Caroline rit car si il y avait quelque chose que Sloan serait à jamais dépourvu, c'était bien la délicatesse. Mais son rire fut rapidement coupé par la vue de son corps en extension. Dire que Sloan n'était pas magnifique serait un mensonge aussi gros que l'université. Il avait ce corps musclé mais pas trop qui charmait toute sorte de femme peu importe son foutu caractère. Malheureusement il s'habilla bien vite. Décidément, il était pressé d'aller petit déjeuner avec toute la confrérie. Résigné au fait qu'elle n'aurait pas une suite à ce petit moment de tendresse, Caroline se leva à son tours vêtue uniquement de son short et son caraco. Il y avait une robe bleu pastel qui traînait au pied de son armoire en face du lit. Elle enleva son short et défila à demi nu dans la chambre afin de prendre la robe. Elle n'était pas pudique pour un sous. La preuve, le jour de son bizutage, elle avait du faire le petit déjeuner dans une tenue similaire pour son président de confrérie. Quand elle fut enfin habillé et avait pris son portable au cas où, elle se dirigea vers la porte où Sloan l'attendait. Mais avant même d'avoir pu mettre la main sur la poignée, elle se retrouva plaqué contre le mur adjacent. Délicatement pour Sloan, un peu plus durement pour Caroline. Elle étouffa un cri de surprise. . Ma réputation m'importe peu Sloan, je te l'ai déjà dit. . Il l'embrassa ardemment, comme si il cherchait son souffle en elle. Bien que plaqué de manière complètement prisonnière par Sloan, elle répondit de la même façon. Aussi passionnément et fougueusement qu'elle le pouvait au vu de sa situation actuelle. Les mains de la jeune fille étant libre, elle les fit passer derrière le cou du jeune homme pour agripper ses cheveux. Elle avait beau être prisonnière, elle n'allait pas rester là répondre comme un pantin. Le baiser finit, Sloan posa son front sur celui de la blonde, laissant leur souffle se mêler. Les yeux fermés pour tout les deux. Sloan ouvrit les siens et Caroline ouvrit les siens à son tours. Elle plongea dans son regard brun. Refuser ? Jamais. . Tu as intérêt à être prêt, on descend. . Elle se dégagea de ses bras, le prit par la main et le traîna littéralement vers la cuisine de la confrérie. Normalement, les membres se réunissaient le samedi matin pour manger ensemble. Quand elle était arrivée ici en avril, Caroline avait trouvé cette tradition amusante et n'hésitait pas à y aller. En plus, il y avait Casey et Quinn qu'elle pouvait considérer comme ses cousins. Tous les regards se tournaient vers les deux jeunes gens. Quand elle vit qu'ils regardaient entre eux deux, elle vit qu'elle tenait toujours la man de son ami dans la sienne. Elle était partagée entre la garder et la lâcher. Cherchant de l'aide, elle captura les yeux de Sloan en attente d'une réponse.

Spoiler:

Invité

OH GIRL JUST WANNA HAVE FUN
caroline H. Da Collina & sloan-wade blackburn

Caroline; Sloan (+) Te supplier de me revenir et tout faire pour te voir partir, pursuit of happiness - Page 2 Ojntk0

Caroline; Sloan (+) Te supplier de me revenir et tout faire pour te voir partir, pursuit of happiness - Page 2 Ojntk0

Aller à la cafétéria des Bêtas en compagnie de Caroline ne le dérangeait absolument pas. Bah tu m'étonnes, la blondinette était fréquentable, belle, fraîche et surtout, normale. Faute de se répéter, il avait l'impression d'être l'horrible monstre à côté de la blanche colombe. Ils descendirent les escaliers jusqu'à arriver à la cuisine. Elle semblait stressé de faire ça mais dans un sens, elle l'avait cherché. Elle a voulu jouer et bien c'est ce qu'ils allaient faire, jouer et encore jouer. Sloan aimait ça et en quelque sorte, plus c'était difficile et plus c'était excitant pour lui. D'aussi loin qu'il s'en souvienne, le jeune a toujours aimé jouer, les défis, prouver qu'il valait mieux que les apparences qu'il donnait. Elle avait plongé sa main dans sa sienne, peut-être appréhendait-elle les réactions des autres. En même temps, elle semblait accorder beaucoup d'importances aux apparences. Cela peut se comprendre, dans un monde aussi superficiel que le nôtre, il fallait être parfait pour pouvoir s'y faire une place. C'est surement pour cela que le jeune homme n'a jamais trouvé sa place dans ce monde. Il est si différents, a des codes identiques à aucuns autres, il est unique et en général, la différence est proscris. C'est triste à dire mais quand on est différent, on dérange. En aucun cas il n'est pris pour cible, disons simplement que les gens ne prennent pas la peine de s’intéresser à lui, d'essayer d'apprendre à le connaître. Le Gamma es asocial et ne fait aucun effort envers les autres. Souvent ce sont eux qui viennent à lui, inutile de dire que ce phénomène est assez rare. Pourtant, en quatre ans, il a s'est forgé un véritable entourage auquel il tient et sans lequel, il ne serait certainement plus là. Bref, Sloan se délecta de ce contact avec la douce Caroline. Même une fois entré dans la cafétéria, il ne détacha pas sa main de la sienne, bien au contraire. Il était curieux de voir combien de temps la Caroline allait rester avant de l'enlever. Une minute, dix minutes ? Bonne question. Lui, se contentait d'afficher un sourire niais sur son visage. Tout ceci l'amusait au plus haut point. Tous les regards braqués sur eux, c'était pas mal. Caroline lui lança un regard remplis de panique, sans doute cherchait-elle une quelconque aide de la part du beau brun. C'était une tentative ratée d'avance. Sloan lâcha sa main et passa son bras autour du coup de la blondinette. « Allez, fais pas la gueule, tu vas l'avoir ton café. » lança-t-il ironiquement. Il afficha un large sourire en voyant la tête décomposée de Caroline. En voyant tous ces regards braqués sur eux, le beau brun n'avait qu'une seule envie, expliquer à tout le monde ce qu'ils faisaient ensemble. C'était énorme pour lui, un peu moins pour elle d'ailleurs. Ils prirent place à une table. Il fixa quelques personnes non loin de là, en haussant un sourcil, l'air provocateur. Sloan jubilait, il s'amusait comme un petit fou, l'ambiance était tendue et déjà on entendait des chuchotements au loin. Lui, il s'en foutait de ce qu'on pouvait penser de lui, cela faisait bien longtemps qu'il n'y faisait plus attention. Après tout, il passait pour le bipolaire enragé, il y avait dedans une part de vérité assez grande. Sloan avança son bras vers Caroline et lui pinça délicatement la joue. Enfin délicatement, tout était question de vue. Il afficha un petit sourire. « Tu es belle quand tu es gênée. » Il leva la tête pour admirer l'ensemble de la pièce, c'était déjà plus convivial que chez les gammas. De toute façon, pour rien au monde il ne changerait de confrérie, il se sentait tellement bien chez les marrons, c'était sa place. Surtout que chez les Bêtas, personne n'était francs, tous avaient des choses à cacher et ne voyaient que par les apparences. Ridicule. Pour finir, Sloan se tourna vers Caroline. « Bon ! Il arrive à cheval ce café ? » dit-il sur un ton arrogant, du Sloan tout craché. Il voulait bien se montrer adorable mais il y avait quand même des limites hein.

Invité

Every step towards you is a step in your world
Caroline & Sloan
La relation entre Sloan et Caroline était difficile à comprendre. Ils étaient tant de choses l'un pour l'autre et si peu en même temps que leur lien était aussi fragile qu'un fil de soie. Ils étaient ces amis, amants, confidents, et dans un sens amour. Chacun savaient qu'ils ne pouvaient pas être ensemble réellement car ayant trop de problèmes à gérer de leur côté. Caroline était dans sa phase de doute, où chacun de ses choix étaient difficile à rendre et complètement imprévisible par exemple. Elle ne savait pas si elle devait arrêter sa relation avec le Gamma ou au contraire, la continuer et vivre ce qu'il lui restait de temps à vivre. Elle n'avait aucune idée de si sa maladie allait la tuer ou alors, lui laisser un sursis qui lui permettrait de vivre un peu plus longtemps, mais dans quelles conditions. Ces incertitudes concernant sa vie lui faisait peur et angoisser pour tout et rien. Ne pas pouvoir contrôler ce qui se passait dans sa vie la stressait à un point inimaginable. Par exemple, là, à cet instant précis où elle était en plein dans la salle commune des bêtas deltas avec Sloan à son bras dans une tenue légère et une tête du style "je sors d'une folle nuit torride avec monsieur à côté de moi" lui faisait perdre le contrôle sur ce qu'elle ressentait et voulait faire. La main de Sloan dans la sienne était chaude et réconfortante. Elle lui donnait du courage mais en même temps l'entraînait dans un nuage de plaisir et d'incertitude. Comment agir avec un homme qui était tout et rien à la fois ? Comment savoir si il fallait faire certaines choses et ne pas faire d'autres ? Sloan était imprévisible et incontrôlable. Il pouvait la traiter comme une princesse, lui prodiguer tous les soins possibles et inimaginable et pour autant ne pas vouloir s'engager dans une quelconque relation avec elle. Caroline comprenait ce dernier point. Elle avait ce besoin d'indépendance constant, de liberté et de contrôle de sa vie qui devenait très vite problématique quand elle était en couple. Avec Sloan, au contraire, vu que les deux parties avaient ces mêmes besoins, ils ne se sentaient pas de se mettre dans une relation cadré, dans un couple qui les piétineraient tous les deux. Ils étaient bien ensemble, complètement à l'aise dans leur relation si peu conventionnelle, mais Caroline étant une femme assez imprévisible niveau sentiments, risquait fort un jour de changer d'avis sur cette relation et vouloir une stabilité qui ne lui conviendrait pas. Elle aurait tout fait foiré si elle avait été en couple avec Sloan et au fond d'elle, elle savait que lui aussi. Alors cette main dans la sienne dans la salle commune des roses et bleues la stressaient un peu. Elle le regarda d'un air perdu, l'air de dire "qu'est-ce qu'on fait maintenant qu'on est là". C'était elle qui l'avait poussé à sortir de la chambre. Elle n'allait certainement pas regretté vu le formidable baiser qu'elle avait reçu plus tôt. Mais comment agir à présent que toute la confrérie vous voyait sortir de votre chambre avec un homme qui n'est pas votre petit-ami attitré. Le regard paniqué de Caroline eut l'attention escompté et Sloan retira sa main de celle de la blonde pour la passer sur ses épaules. Un sourire débile sur les lèvres, Sloan lui redonnait l'envie d'avoir son café. Et oui, toujours le mot pour rire ce gamma. Même avec son allure taciturne et bizarre, il arrivait toujours à faire rire la blondinette. De manière honnête, il n'y avait que lui qui pouvait la faire rire autant avec des mots simples et vraiment pas forcément drôle. Caroline prit une tête effaré aux paroles de Sloan. . Je ne fais pas la gueule. Et puis, ce n'est pas distingué de dire ça devant une jeune princesse. . Puis elle rit de sa phrase. Sloan-Wade Blackburn n'avait rien de distingué. Il était rude, brutal, violent et assez impoli et vulgaire. Il était le contre exemple même de la distinction. . J'avais presque oublié que tu n'avais rien de distingué. . Elle fit une mine un peu génée et s'installa à une table vide avec son ami. Les roses et bleus n'étaient pas partisans des longues tables communes pour les repas. Ils faisaient plus dans les tables de trois maximum qui permettaient de faciliter les rencontres et qu'il n'y ait pas un brouhaha incompréhensible. Caroline et Sloan se mirent à une table vide. Le silence dans la salle était pesante mais Sloan était aussi heureux qu'un gosse devant une petite voiture. Caroline, elle, était gênée par la situation même si c'était elle qui l'avait provoquée. Lui pinçant la joue de manière délicate pour lui, assez dure pour elle, Sloan la complimenta sur sa gêne. Belle alors qu'elle voulait se cacher dans un trou de souris ?! On ne lui avait jamais dit quelque chose comme cela. . Merci. Je suis sceptique mais j'accepte le compliment. . Elle lui fit un petit sourire. Elle ne savait vraiment quoi penser de la situation. Déjà qu'elle n'était guère apprécié dans sa confrérie alors y être avec un homme comme Sloan n'allait pas arranger son cas. En même temps, comme elle l'avait dit au gamma plus tôt, elle ne se souciait plus de sa réputation. Elle vivait pour elle, avait l'attitude qu'elle voulait avoir et rien à faire des rumeurs à son sujet. Qu'on dise qu'elle était une fille facile, elle n'en avait plus rien à faire. Elle savait qui elle était et c'était tous ce qui importait. Elle connaissait l'avis que ses amis avaient d'elle et il savait qui elle était. Voilà l'important dans une vie heureuse. Être qui l'on était et ne pas jouer un rôle par rapport aux autres. Cela pouvait paraître arrogant mais heureusement, la vie avait bien fait les choses car autant Sloan que la blonde, tous deux étaient des arrogants nés. . Tu sais quoi ? Remonte dans la chambre, attend moi en boxer et j'apporte nos cafés mon chou. . Rien à faire des colporteurs de rumeurs à deux balles qui résidaient dans la confrérie. Elle allait s'amuser, déconner, faire des bêtises avec son beau gamma dans sa chambre pendant que Marni était chez son mari et allait bien profiter. Elle prit Sloan par le bras, le conduisit vers l'escalier et commença à l'embrasser. Oui, devant tout le monde. Elle allait rompre avec Joshua cette semaine, alors à quoi bon cacher qu'elle avait des sentiments pour un autre avant. Personne ne connaissait Joshua dans la salle présentement, alors elle allait faire ce qu'elle voulait. Et pas grave si elle se faisait incendier après. Les lèvres de Sloan avaient quelque chose d'addictif, comme si elles étaient enduites d'une substance hallucinogènes ou addictives. Elle essaya de se détacher de lui mais visiblement, lui non plus ne voulait pas la lâcher. Il leur fallait leur café mais à quoi bon résister quand on était dans une situation si confortable.

» « tout ce qui brille, tout ce qui est précieux terni si vite, pour ne plus jamais revenir. » ;; w/charlotte
» « Tout plaquer et partir faire le tour du monde en caddie » • Esmé
» C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut. !
» Il suffit d'un seul mot pour voir sa vie changer à jamais ► ft. Sloan.
» SANDRO&BELA Δ the pursuit of happiness.

Caroline; Sloan (+) Te supplier de me revenir et tout faire pour te voir partir, pursuit of happiness

Caroline; Sloan (+) Te supplier de me revenir et tout faire pour te voir partir, pursuit of happiness

Sujets similaires

Sujets similaires