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C’est une bonne chose d’avoir peur, ça prouve au moins qu’on a encore quelque chose à perdre. Wreleen

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MessageSujet: Re: C’est une bonne chose d’avoir peur, ça prouve au moins qu’on a encore quelque chose à perdre. Wreleen C’est une bonne chose d’avoir peur, ça prouve au moins qu’on a encore quelque chose à perdre. Wreleen - Page 2 EmptyMer 21 Aoû - 14:43


C’est une bonne chose d’avoir peur, ça prouve au moins qu’on a encore quelque chose à perdre. Wreleen - Page 2 Tumblr_inline_mjtdewB8Hb1qz4rgp C’est une bonne chose d’avoir peur, ça prouve au moins qu’on a encore quelque chose à perdre. Wreleen - Page 2 Tumblr_mlzi75sQbm1rqvoi6o1_500 C’est une bonne chose d’avoir peur, ça prouve au moins qu’on a encore quelque chose à perdre. Wreleen - Page 2 Tumblr_inline_mjvylvilO11rbmfg7

« Un cousin, c'est à mi-chemin entre un ami et un frère. »

La chose que j’appréciais beaucoup chez Wren ( en dehors de sa gueule d’ange, et de l’amour infini qu’il me portait) c’était sa sincérité. Wren ne me mentait pas, ne me cachait pas des choses importantes. Nous étions jusqu’à aujourd’hui sur la même longueur d’onde. J’étais honnête avec lui tant qu’il l’était avec moi, c’était la base même de notre relation si fusionnelle. Je ne m’amusais pas à manipuler Wren, je l’informais de chacun de mes plans foireux, de chacun de mes écarts de conduite, de son coté il n’avait aucun secret pour moi. C’était une question de confiance, une confiance que l’on entretenait depuis des années et qui devait rester intacte. Mais pour la première fois de sa vie, Wren venait de choisir de ne rien me dire. Il refusait de me révéler la suite de l’histoire qu’il venait de commencer au sujet des Barckley. Pire encore, je sentais que plus j’insistais plus il se refermait. A cette vitesse là mon Wren finirait, où par s’énerver ou par esquiver le sujet, car j’ignorais comment le faire craquer. J’étais prise au piège, je ne parvenais pas à visualiser la moindre issue. J’avais tout tenté, de la mine de chien battu, en passant par le caprice royal de l’enfant gâtée que j’étais. Je devais me rendre à l’évidence, là où mon père craquait en quelques secondes, Wren demeurait impassible. Conclusion : Wren ferait un très bon père dans le futur. N’empêche que là n’était pas le problème. J’étais de nature curieuse et impatiente, et je ne supportais pas être la dernière personne au courant. J’aurais pu, dans l’hypothèse où l’histoire de Wren aurait concerné quelqu’un d’autre que les Barckley et donc Jayan, prendre mon mal en patience, prendre sur moi et attendre. Sauf que, Jayan était au centre de mes pensées, et de mon monde, et à chaque fois que je me mettrais à penser à mon Président ( soit 86 400 fois par jour, selon mes calculs ), je serai contrainte de penser à Wren et à sa foutue histoire inachevée. C’était de la torture mentale, de l’injustice. Aujourd’hui je découvrais une autre facette du prince ruiné de Seattle, celle d’un tortionnaire. « Il faut que quelqu’un m’explique à quel moment mon extraordinaire cousin est devenu un tortionnaire de bas étage. Je crois que j’ai manqué un épisode. » murmurais-je entre mes dents, tandis que mon cousin reconverti en bourreau démarrait le bolide avec un silence pesant. Je croise les bras et affiche une mine boudeuse qu’il ne connait que trop bien, je me planque derrière mes épaisses lunettes de soleil noires et tourne la tête vers la vitre et la ville qui défile. Wren m’agace, il a décidé d’être têtu, de ne rien dire du tout, pas de chance pour lui, je suis également très forte à ce petit jeu. Soudain, il brise le silence tout en prenant soin de changer radicalement de sujet de conversation, il me parle du chat. La boule de poil que nous avons trouvé à Los Angeles avec Lily-Rose et June. « D’abord c’est pas un monstre, parce que actuellement le monstre c’est toi. Et il s’appelle Cosmopolitain. » J’esquisse un mince sourire en imaginant le chaton blanc comme la neige faire ses griffes sur les transats qui bordent ma piscine à débordement. Le petit monstre est incroyablement attachant, Wren va forcément fondre en le voyant. Après cette énième pique envoyée à son attention, Wren pousse la pédale d’accélération, et emploi une voix bien moins sympathique à mon égard. Adieu les « princesses », les mots doux et les petites attentions agréables. Wren est sec, autoritaire, intransigeant, alors qu’il ne l’est jamais avec moi. La Porsche fend littéralement l’air, Wren ne se préoccupe même pas des limites de vitesse, il prend son pied et laisse l’adrénaline le parcourir entièrement. Il n’a pas franchement l’habitude de rouler ce genre de bolide c’est donc tout naturellement qu’il en profite, pourtant il pourrait être au volant de ce genre de véhicule 365 jours par an, il suffirait qu’il me le demande. Wren n’aime pas les signes extérieurs de richesse, ni son nom de famille, ni Jayan, ce que je ne parviens pas à comprendre malgré tout mes efforts. « Un nom de famille ce n’est pas invincible, d’autant plus lorsqu’il s’agit de sentiments. La vérité c’est que tu n’avais pas le droit de commencer cette histoire et de ne pas la finir parce que dorénavant je ne te crois plus quand tu me dis que ça n’a rien à voir avec Jayan. » Je marque une brève pause tout en me penchant vers lui, nous sommes entrain de nous disputer comme des marchands de poissons et je déteste ça. « Et quand bien même tu dirais la vérité, ce qui te concerne me concerne aussi parce que 1- je suis ta cousine, 2- je peux t’aider, et 3- je t’aime plus que tout. » finis-je par dire à demi-mot, perdre Wren pour une dispute aussi stupide me serait insupportable. Le moment pour lui dire à quel point il m’est important et sans doute mal choisi mais il a besoin de le savoir car je ne le laisserais jamais tomber. Wren peut soupirer autant qu’il veut et employer ce ton autoritaire avec moi, je ne cesserais jamais de l’aimer et d’un certain coté je suis convaincue que j’aurais le fin mot de cette histoire. Etrangemment il ne fait aucun commentaire au sujet de notre destination pavée d’or et de diamants. Princesse Rosenbach ordonne Rolex, le prince déchu s’exécute, les choses redeviennent presque normales. Wrenou a mis de coté son aversion pour les diamants et autres bijoux à six chiffres pour combler mes exigences et espérer avoir un peu de répit. Le prix de ma patience est exorbitant et il ne le sait que trop bien. « En même temps regarde la pièce de musée que tu portes au poignet, même un antiquaire n’en voudrait pas. Une montre sans diamants n’est pas une montre, médite là dessus. » sifflais-je tout en balançant mon poignet devant ses yeux. Nous étions au feu rouge et les petits diamants qui ornaient ma montre brillaient de mille feux. Ce n’était pas qu’une question de luxe ou d’argent, mais d’élégance. Wren caressait alors le volant du bolide et je ne pouvais réprimer un sourire satisfait, mon cousin s’habituait au luxe pour mon plus grand plaisir. Il appréciait cette vie loin de ses grands principes, ou du moins il en appréciait la partie visible de l’iceberg. Il savait mieux que personne que derrière ce luxe abondant, derrière les belles voitures et les belles montres se cachait une vérité bien moins glorieuse. Il y avait son enfoiré de père et l’argent qui pourri tout, qui rend les gens plus mauvais qu’ils ne le sont déjà, qui crée des histoires de famille et d’héritage auxquelles Wren ne souhaitait pas prendre part. « Je t’offrirais le modèle réduit à Noel si tu veux, tu pourras la mettre sur ton étagère entre tes bouquins poussiéreux. » murmurais-je avec un clin d’oeil non dissimulé. Evidemment j’aurais pu lui offrir toutes les plus belles de la planète mais il n’aurait jamais accepté un tel cadeau, j’avais déjà essayé par le passé évidemment mais je m’étais heurtée au mur des - grands principes- de Wren. Les cadeaux à six chiffres que je lui offrais me revenait toujours, résultat je lui offrais des choses moins couteuses mais plus sentimentales. La version originale d’un de ses livres favori, un album photo de nous deux, des compilations de musiques qu’il affectionnait tout particulièrement. Des choses qui lui allaient forcément droit au coeur, car si les montres avaient besoin de diamants pour exister, l’amour que je lui portais n’en avait lui pas besoin. On s’approchait des beaux quartiers et tout ici suintait le luxe. Les devantures des boutiques annonçaient la couleur, de Rolex à Armani en passant par Chanel ou Cartier. Quittant l’habitacle sécurisant de ma voiture, je me rendais compte que Wren n’était pas vraiment à l’aise. Je nageais comme un poisson dans l’eau mais lui n’était pas dans son élément, nous étions loin de l’ambiance cheap du Starbucks. Ni une, ni deux, j’attrape le bras de Wren et le force à marcher dans mon sillage. Ses yeux guettent les montres avec très peu d’intérêt, c’est son monde depuis sa naissance mais il refuse de l’admettre, de participer à cette grande mascarade où le luxe ostentatoire est roi. Wren me confie la lourde tâche de choisir moi même pour lui. Ses gouts ne me plairont pas, nous sommes d’accord la dessus, j’aime ce qui brille, ce qui est un poil bling bling, Wren lui se satisfait pleinement de la discrétion, nous allons devoir faire un compromis. Wren m’a appelé Princesse ce qui lui vaut un sourire radieux de ma part, la tempête semble s’être essoufflée pour le moment du moins. Nous sommes des Rosenbach, nous savons nous tenir, nous n’allons pas faire une scène dans la boutique. Je regarde les montres de mon regard d’experte tandis que plusieurs vendeuses accourent à mes cotés afin de m’aider dans mon choix final. « C’est pour mon cousin ». Je désigne Wren d’un signe de tête, ce dernier semble plus intéressé par l’agencement et la décoration des lieux que par les montres. « Il lui faudrait quelque chose d’élégant, de discret mais pas trop, de diamanté mais pas trop. Et surtout que ça lui plaise sinon il ne la mettra qu’une fois pour me faire plaisir et ensuite il la laissera moisir dans sa boite. » sifflais-je à son attention alors que les vendeuses me regardaient perplexes. Un peu plus loin, je repérais une montre somptueuse qui irait comme un gant à Jayan, pavée d’or et de diamant le comble du luxe mais je savais que Wrenou détesterait, nos gouts étaient quasiment opposés. Je croisais les bras en poussant un long soupire avant de m’assoir sur l’un des larges fauteuils mis à la disposition des clients. « Vous savez ce qu’on va faire ? on va s’assoir ici et vous allez nous apporter du champagne. Vous allez nous apporter vos plus belles montres jusqu’à ce que monsieur décide d’en choisir une. Moi je suis fatiguée. » odieuse Eileen, capricieuse et surtout lassée. Lassée de ne pas savoir les petits secrets de Wren, lassée d’afficher sa mine de chien battu pour parvenir à ses fins, lassée qu’il n’y mette pas un peu du sien. Lassée et désormais assoiffée. « T’as pas envie de mettre tes grands principes à la poubelle l’espace de quelques heures ? Parce que déjà que maintenant tu as tes petits secrets, si en plus je dois me coltiner un Wren en mode chiant -je-n’aime-pas-les-diamants-ni-l’argent-des-Rosenbach, on va pas s’en sortir. » lui indiquais-je tout en attendant ma coupe de champagne. Ce que princesse Rosenbach veut, princesse Rosenbach l’à, qu’importe le prix.
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Edison L. Allen
there's no place like berkeley
Edison L. Allen
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MessageSujet: Re: C’est une bonne chose d’avoir peur, ça prouve au moins qu’on a encore quelque chose à perdre. Wreleen C’est une bonne chose d’avoir peur, ça prouve au moins qu’on a encore quelque chose à perdre. Wreleen - Page 2 EmptyJeu 19 Sep - 23:25


    J’ai parfaitement conscience qu’Eileen est plus qu’agacée par ma décision de me taire, mais pour une fois, j’entends bien rester ferme et définitive sur mon choix. Pas de retour en arrière possible, pas de marche arrière, simplement une fermeté à toute épreuve. C’est d’ailleurs vraisemblablement l’une des choses qui m’ait le plus difficile à faire puisque je n’ai pas pour habitude de tenir tête à ma cousine, et surtout de lui cacher des choses. C’est bien simple, depuis que nous sommes hauts comme trois pommes, notre relation est basée sur une confiance à toute épreuve, un profond respect et une ouverture d’esprit hors compétition. Avec Eileen, ça a toujours marché comme ça, et ça a toujours été une relation parfaite, sans la moindre accroche, le moindre souci. Mais aujourd’hui, j’ai fait la bêtise de mentionner une part de mon passé à Eileen, un bout de ma vie que je désirais pourtant enterrer au fin fond de mon être, le plus profond possible. Erreur fatale, avec la curiosité légendaire de la Rosenbitch. Me voilà contraint de lui mentir, de lui cacher une dure vérité, et Eileen ne semble pas apprécier cette nouvelle. De surcroit, j’ai fait la grave erreur de mentionner le nom de Jayan dans toute cette histoire, de quoi lui donner encore plus envie d’en savoir plus. C'est le problème avec ma cousine, dès que l'on mentionne le nom de son parfait Jayan, elle s'emporte, elle s'enflamme et cherche à connaître le fin fond des choses. C'est d'ailleurs ce que je lui reproche le plus souvent mais enfin, je n'ai guère le choix que de la supporter ainsi. « Depuis que sa divine cousine est devenue si curieuse et ne comprends pas le sens du mot patience. » Patience que jusqu'à présent je gardais avec force mais qui petit à petit commence à s'amenuiser. Elle le sait pourtant la Rosenbitch que je ne supporte pas qu'on me pousse à bout et qu'on me force à dévoiler mes intérêts et ce que je pense. Jusqu'au bout elle semble vouloir m'agacer, puisqu'elle me fait quitter le Starbucks que j'affectionne pourtant tout particulièrement, pour me trainer dans son quartier de riche, que je déteste plus que tout. Doucement mais surement, la tension me gagne, mais je me force à taire mes pensées pour ne pas m'en prendre à ma cousine, qui se pose déjà bien trop de questions sur Jayan. Si je pouvais la forcer à oublier ce que je sais sur la famille Barckley, ma vie serait bien plus tranquille, c'est une certitude. Talia est peut-être l'âme sœur de Wren, tout comme Jayan peut être celle d'Eileen, la douce cousine du iota. Peut-être que les familles Barckley et Rosenbach sont destinées à être liées, à voir leur vie mêlée, entremêlée au point de ne faire plus qu'une… Tout est question de point de vue, d'impression, mais aussi de certitudes et de volontés. Dans leur cas, tout les pousse à s'éloigner, à voir leur vie séparée et pourtant, tout les ramène l'un vers l'autre, que ce soit Talia et Wren ou Jayan et Eileen. Je ne prends même pas la peine de relever ce que ma délicieuse cousine peut dire au sujet de la famille Barckley, je ne relève pas et je grimpe dans sa voiture, prenant place au volant. Mais sa dernière petite réplique se terminant par un je t'aime plus que tout m'accroche un sourire et je dépose brièvement un baiser sur les cheveux en guise de remerciement. Il ne me fallut que quelques minutes pour rejoindre le quartier riche de San Francisco, où se trouve le fameux magasin dans lequel elle souhaite m'acheter cette fameuse montre pour ce fameux diner. Tout cela m'intrigue mais après tout, rien n'est trop beau pour ma cousine. Alors je rentre dans le magasin, ronchon, et je pose la base d'entrée. Qu'elle se débrouille seule dans le choix de la montre, hors de question que je n'ais à émettre un quelconque choix. Déjà que je me retrouve ici pour lui faire plaisir, alors hors de question de devoir en plus parler, acquiescer à telles ou telles propositions. « Mais de toute façon Princesse, je ne sais même pas quel est le contenu de cette soirée, ce pourquoi elle se prépare, donc vois tu, il va m'être difficile de répondre à ces attentes. » Au moins, nous sommes d'accord à ce niveau là et Eileen va comprendre que je ne fais ça que pour son beau sourire et ses beaux yeux. C'est alors que j'enchaine les montres. Une montre en diamant, une montre en argent, une montre en or, une montre mélangeant tous ces métaux … Autant de montres qui me font hérisser les poils tant elles sont plus hideuses les unes que les autres. Mais c'est alors qu'apparait la douce montre en argent, agrémentée de deux petits diamants pour le coup de minuit et de six heures … « Je veux celle là. Et tant pis si elle ne convient pas aux standings chics de ta soirée Princesse. » Je ne cherche même pas à l'empêcher de parler, je lui impose immédiatement mon choix, peut importe si cela lui convient ou non et je vois donc le petit paquet s'emballer et venir se déposer dans mes mains, pendant que j'adresse un sourire heureux à ma cousine. Satisfaite, elle dégaine sa carte gold et paye immédiatement, vraisemblablement pour éviter que je ne change d'avis. Elle me connait tellement bien cette femme, que s'en est effrayant. Je ressors mon téléphone et vois un message étrange d'Harper. Apparemment, une nouvelle Rosenbach a fait son apparition sur le campus, et étrangement, elle m'est totalement inconnue. « Princesse, tu connais une certaine Shelley Rosenbach? Apparemment elle vient d'arriver à Berkeley, je me demandais si elle avait un lien avec nos pères, sait-on jamais. » Quelques instants plus tard, je reçois un second message et provenant cette fois de Babi, un message de SOS. Vraisemblablement une affaire urgente quémande ma présence, et quand Babi la folle a besoin, je rapplique aussitôt. Aucunement l'envie de recevoir un message avec mes exploits nocturnes d'une nuit trop avinée. « Princesse, faut que je te laisse, je dois retrouver Babi, elle a encore un problème, elle pète un plomb contre son colocataire. Les joies des lambdas… Heureusement que l'on a pas ce problème nous deux, notre vie ensemble se passe à merveille.» Et je lui souris avant de déposer un baiser sur ses cheveux, et de repartir un peu plus loin, en direction du bus qui m'amènerait vers le campus, et vers la folie de Babi …


SI QUELQUE CHOSE QU'ON
AVAIT SANS LE SAVOIR DISPARAIT  EST-CE
QUE CE QUELQUE CHOSE NOUS MANQUE?
 
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» ❝ c’est une bonne chose d’avoir peur, ça prouve au moins qu’on a encore quelque chose à perdre ❞;; ismaeïla
» il suffit pas de se contenter de vouloir quelque chose pour l'avoir. Il faut se battre pour ça ~ pv; alban ♥
» Je te parlerai de quelque chose à propos de quelque chose dont je te parlerai.
» Je n’ai pas peur de mourir, j’ai peur de ne pas avoir assez vécu. ;; DANALY.
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