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Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence ஐ Konomi

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MessageSujet: Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence ஐ Konomi Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence ஐ Konomi EmptyDim 17 Mar - 11:58

Je trouvais que le prénom que m’avaient attribué mes parents sonnait doucereusement à mes oreilles. Il résonnait telle une mélodie qui ne s’éteindrait jamais. On peut l’assimiler à toutes sortes de situations. J’étais Grace car j’étais gracieuse et d’autant plus maniérée. J’étais Grace car j’étais bonne avec mon prochain –si seulement cela pouvait être véridique dans chaque situation- et j’étais Grace lorsque je m’adonnais à mes passions cachées. Depuis longtemps, j’affectionne les arts martiaux. Mes parents ont toujours trouvé le monde des ninjas austère et ô combien indélicat pour notre société. De ce fait, j’ai dû apprendre toute seule et me trouver des cours par moi-même. Quelques-uns de nos domestiques restaient dans ma confidence afin que je puisse, le soir venu, m’éclipser et rejoindre mon club de Karaté. Je me souviens encore du regard que m’a jeté mon maître lorsque j’ai débarqué, pour la première fois. Il en disait long sur sa façon de penser. Mes vêtements trahissaient alors ma condition et mes mouvements très maladroits. J’étais vêtu d’une robe qui couvrait mes gambettes, de petites talonnettes et mes cheveux étaient relevés en un chignon impeccable. Aurais-je devenir une folle furieuse une fois sur le tatami ? Il s’est vite rendu compte, en me faisant faire un essai. Même s’il m’avait annoncé d’emblée que la progression serait difficile, il n’a guère hésité à me mettre en condition. Cet homme est un peu une icône et un modèle dans ma vie bien que je ne peux en parler avec personne puisque je suis sensée être la Grace bonne sous tout rapport. A cet instant, je ne l’étais point. J’avais allumé mon ordinateur portable, car même les dames préhistoriques en ont un pour visionner l’un de mes films préférés, Kill Bill. Cette Uma Thurman me faisait littéralement tourner la tête. Elle voltigeait telle une déesse d’un autre temps et ne laissait personne dicter sa conduite. J’en avais fait de même mais au lieu de me battre, j’avais fuis, j’avais donc été lâche. Sur ses pensées, je rangeais soigneusement mon ordinateur et me mettais en quête d’un stylo. De mon écrire cursive la plus élégante qu’il soit, je couchais les mots suivants sur le papier, sans trop en dévoiler : « Etudiante récemment arrivée à Berkeley recherche quelqu’un pratiquant les arts martiaux afin qu’il lui prodigue des cours pour se remettre à niveau, surtout en Karaté et Aïkido mais d’autres disciplines sont les bienvenues. Je vous donne rendez-vous devant le tableau d’affichage, ici-même. Cordialement. » Je déposais donc ce billet, sans qu’on me voit au niveau du tableau d’affichage. Je restais cependant plantée là un bon moment, imperceptible et cachée, afin d’observer qui s’intéresse à ma demande. Au bout d’un certain temps, une ravissante demoiselle s’approcha de mon mot, le fixant, impénétrable. Etait-elle là pour moi ? Elle semblait en tout cas bel et bien attendre, mais moi ? Je n’en étais guère sûre. Que m’avait-il pris de faire une chose pareille ? J’étais une personne saine d’esprit et si un psychopathe ou pervers sexuel m’attendait, se terrant dans un coin ? Nous y passerions toute. D’abord la jeune innocente que j’avais attiré de par mon mot et ensuite moi-même car je ne pouvais la laisser se faire dévorer par ma faute. Mes parents m’auraient traité de sotte pour avoir usé d’un tel comportement et ils n’auraient peu eu tort. De ce fait, je sortis de ma cachette, me raclai la gorge et m’approchai de ma peut-être, future professeure. Son raffinement me plut d’entrée. Elle semblait différente de toutes ces jupes raz du postérieur et débardeurs taille souris que je voyais se dandiner dans les couloirs, à celle qui toucherait le plus de fois ses cheveux et rirait le plus fort. J’affichai un petit sourire spontanée en ajoutant : « Je me présente, je suis Grace. Vous êtes là pour l’annonce que j’ai passé je présume ? ». Marquant une petite pause, je remis une mèche de mes cheveux pour continuer : « je suis contente de vous avoir vous en face de moi, j’ai imaginé un instant que mon mot pourrait être mal interprété. » Je devrais peut-être lui expliquer ce que je cherche vraiment. « Je recherche une personne qui pourrait me remettre à niveau. J’ai pratiqué les arts martiaux pendant une dizaine d’années mais depuis mon arrivée ici, je ne connais pas vraiment les dojos et autres alors je voulais savoir si vous pourriez être en quelque sorte mon professeur. Je vous rémunérerai, bien évidemment. »
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MessageSujet: Re: Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence ஐ Konomi Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence ஐ Konomi EmptyDim 17 Mar - 18:17

Dans le couloir et les escaliers
Grace & Konomi




Grace & Konomi



Comme à mon habitude, j’allais toujours voir les annonces sur la colonne dans le campus. J’y allais souvent parce que je mettais des demandes pour les photos pour mon prochain album. Il me fallait trouver une personne, mais ayant attendu trois semaines, j’avais donc enlevé mon affiche. Je ne voulais pas vraiment attendre, et pour une fois, j’avais donc pris les photos et je comptais bien m’en servir. Récupérant donc mon annonce je tombais sur une demande assez particulière. Il s’agissait de celle-ci : « Etudiante récemment arrivée à Berkeley recherche quelqu’un pratiquant les arts martiaux afin qu’il lui prodigue des cours pour se remettre à niveau, surtout en Karaté et Aïkido mais d’autres disciplines sont les bienvenues. Je vous donne rendez-vous devant le tableau d’affichage, ici-même. Cordialement. » Surprise de voir qu’il pouvait encore y avoir une telle demande, je me souvenais que le club de karaté enfin le dojo dans le quartier japonais cherchait des membres féminins. Sortant mon téléphone, je lançais donc un sms à mon ami qui tenait le dojo. En fait, il était un ami de ma famille depuis ma naissance et il me protégeait si j’avais un souci ici. Le fait que mon père soit ambassadeur devait être impeccable vis-à-vis de moi. Je ne devais pas faire de mauvaises choses pour le mettre en porte à faux. Donc, il m’avait appris à me défendre vu notre famille de samurai. Je pratiquais donc depuis mon âge tendre. Vingt ans d’apprentissage qui continuait encore aujourd’hui. Enfin bon, tout en lisant l’annonce, je me disais que la personne devait donc observer. Elle avait sans doute l’intention de voir de qui il s’agissait. Prenant donc la feuille, je la décrochais du tableau. L’université n’avait pas de club d’arts martiaux mais une sale bande de causeurs de troubles. L’annonce était écrite avec respect et humilité, je l’avais sentie en lisant le mot. Alors que je relisais donc l’annonce, j’entendais une personne se racler la gorge. Me tournant vers elle, je voyais une européenne enfin, ce type de personne me parler et se présenter comme Grace. Sans nom de famille, rien, juste un prénom. Elle semblait sure d’elle et elle avait un petit quelque chose qui m’intriguait. Je l’écoutais donc me parler, et je lui répondais.

M’inclinant, je me présentais. - « Konomi Kobayashi, enchantée. » Je lui donnais donc les informations nécessaires. - « Oui l’annonce, vous n’auriez pas dû mettre cela ici. Il y a un groupe d’étudiants malveillants qui prennent des gens comme vous pour leur groupe. » L’entendant me dire qu’elle me rémunérait me fit sourire, elle ne devais sans doute pas connaître mon histoire. Je me permettais de lui répondre. - « Je vais dans un dojo dans le quartier japonais. Je peux vous y emmener si vous le souhaiter. C’est un ami de ma famille qui le tient. Il manque des membres féminins pour participer aux concours entre dojo. Votre annonce m’a interpelée et donc, c’est la raison pour laquelle je suis restée afin de vous parler à ce sujet. » Tenant la feuille dans mes mains, je me demandais bien si elle accepterai de me répondre. Puis, je rajoutais donc à mes mots : - « Bien entendu, vous pourrez donc reprendre à votre rythme. Le dojo est ouvert aux femmes comme aux hommes. » Ce que je ne lui disais pas de suite, c’était que je donnais les cours aux femmes. J’en avais quatre, mais il m’en fallait une de plus pour faire les compétitions. Mesdames voulaient mettre en application ce que je leurs apprenais et donc, après mures réflexions j’avais fini par céder…Mon élection au titre de professeur passa par un diplôme que j’avais obtenu au Japon. Je l’avais passé à la demande de mes parents lorsque j’avais eu mes dix ans. Ayant eu ce papier haut la main, je n’avais pas enseigné parce qu’à mon humble avis, il me restait encore des choses à apprendre. Puis cinq ans après, j’avais eu le courage de le faire. Au dojo, femmes et hommes étaient séparés. Il y avait donc deux salles ; deux vestiaires, deux entraînements, deux choses qui pourtant cohabitaient parfaitement. Seule la fin des deux entraînements allait vers celui des maîtres. Lui contre moi, femme contre homme, deux façons de faire, une danse qui certes était parfois inégale se montrait très instructive. Je demandais donc à mon interlocutrice. - « Vous êtes intéressée ? »



© Kimiko

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MessageSujet: Re: Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence ஐ Konomi Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence ஐ Konomi EmptyMer 20 Mar - 12:49

Mes yeux étincelèrent lorsque je découvrais le visage de la personne qui, je l’espérais de tout cœur, venait pour mon annonce. Quel ne fut pas mon soulagement lorsqu’elle m’avoua être en effet ici pour cela. Ses propos m’inquiétèrent quelque peu. Si je paraissais frêle et douce, comme doit l’être une lady anglaise, qu’aurait-on fait de moi ? Je peux me défendre, je l’ai d’ailleurs déjà fait. Néanmoins, en plein Berkeley, dévoiler mon secret ? J’aurai peut-être préféré feindre l’innocence et, toute candide me faire dévorer toute crue. Sotte, moi ? Probablement et j’en retirai souvent la plus grande des satisfactions. Cette audacieuse donzelle qui me faisait face n’avait pas froid aux yeux, j’écoutai son discours des plus alléchants, comportant néanmoins quelques bémols. Je n’étais pas coutumière des cours collectifs et encore moins des compétitions. J’avais, et ce, depuis toujours, essayé de me fondre dans la masse de ma propre société, à savoir ne point se faire remarquer autrement que par sa distinction, son rang et sa prestance. Je savais converser élégamment, attirer de jeunes mâles dans mes filets avec la seule force de ma persuasion mais je piquais aussi. Il ne fallait point m’énerver ou mes innombrables défauts ressortaient. Ils s’apparentent plus à des qualités selon moi mais beaucoup les verraient comme des défauts. Cependant, je n’étais plus en Angleterre, j’étais en Amérique. L’un de ses seuls atouts est qu’on ne me connaissait pas, je pouvais être n’importe qui sans qu’on vienne me chercher querelle. Ainsi, j’esquissais le plus irrésistible et sincère de mes sourires à l’encontre de la belle venue. « Enchantée Miss Kobayashi. Veuillez m’excuser, je manque à toutes les convenances, mon nom est Bridgeston. » Je conversais enfin avec quelqu’un qui était digne de moi. Cela réchauffait mon cœur de voir des êtres civilisés, courtois et même distingués dans pareil lieu. Je n’aurai pas cru cela possible en mettant pied sur ce continent lorsque l’avion avait atterri. Heureusement pour moi, il est dans la nature de l’être humain de se tromper. Je poursuivais donc sur ses paroles. « Un groupe malveillant dites-vous ? Et qu’attends l’université pour les arrêter ? Il y a des moyens lorsqu’on veut chasser le brigand. A Oxford, vous pouvez vous promener sans craindre le moindre incident. » Voilà que je remettais ça sur le tapis. L’Angleterre est meilleure en tout point et blablabla. Je continuais avec mes incessantes ritournelles mais je n’y pouvais rien, j’avais été éduquée dans cette optique. Pourtant, à cet instant précis, je me prenais à aimer l’Amérique car un vent de liberté semblait encenser les voiles de mon jardin secret. Je m’approchai du tableau pour arracher délicatement le papier que j’y avais, quelques heures auparavant, déposé. Il n’avait plus lieu d’être puisque j’avais en face de moi ma sauveuse et l’aube de mon épanouissement, par la même occasion. « Je vous serai gré de me faire cet honneur. Il me tarde de découvrir cet endroit. Par contre, si je choisis de l’intégrer, pourrions-nous faire les trajets ensemble car j’avoue avoir un peu de mal à utiliser les transports en commun ici et encore moins à conduire. » J’avais mon permis mais….le permis anglais où le côté de la route est différent de celui-ci. L’excentricité dont nous, british, faisions preuve était tout à fait à mon goût puisque j’étais un pur produit londonien. Personne ne dictait ma conduite et ne pouvait se permettre des jugements. J’étais différente mais fière de mon rang aristocratique simplement pour l’éducation dont j’avais bénéficié. Les gens sont tellement mal élevés de nos jours que ça en devient insultant. J’en voulais à mes parents pour mes fiançailles mais je les aimais tout de même profondément. Je leur étais redevable et, dans le fond, je n’étais pas une mauvaise fille. Je sais reconnaître la valeur des gens même si parfois, je me plais à la piétiner. Les arts martiaux m’avaient permis de canaliser cette partie de moi-même et j’avais grand besoin d’un exutoire ici, sur ce continent où tout m’est inconnu. « Je suis bien évidemment intéressée, comme vous avez pu le comprendre. J’aurai cependant quelques questions. Combien de cours y a-t-il par semaine ? Depuis combien de temps le professeur enseigne-t-il et enfin, pour cette histoire de concours, vous m’en direz plus, il se pourrait que je sois intéressée finalement. » Je lui adressai un regard amical, je n’avais guère de mauvaises intentions envers cette mignonne créature qui s’était dévouée à ma cause, sans sourciller. Enfin quelqu’un d’authentique sur mon chemin !

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MessageSujet: Re: Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence ஐ Konomi Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence ஐ Konomi EmptyLun 25 Mar - 20:16

Dans le couloir et les escaliers
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Grace & Konomi



La voyant donc venir me voir et me dire qu’elle manquait aux convenances, je réalisais qu’il fallait que je la rassure sur ce propos. - « Pas de soucis, on ne peut pas toujours penser à tout. » Sachant que je devais sans doute continué sur la suite, mais bon, il fallait donc que je continue notre conversation. - « Oui, enfin, parfois ce n’est pas forcément facile. Il suffit de les ignorer et tout va bien. » Je n’allais pas non plus lui dire qu’il y avait eu une bombe à la faculté. Souriant, je reprenais donc la suite de notre discussion afin de savoir où est-ce que je mettais les pieds. Je lui répondais alors étant contente qu’elle puisse ou pas accepter ce que je lui proposais.

- « Oui bien entendu, je pourrais vous montrer le chemin. J’y vais le vendredi soir donc, je pourrais toujours vous y amener, j’ai une voiture ici. » Pas besoin de lui dire pour la suite, le Japon etc…Je ne tenais pas non plus à m’étaler sur le sujet, de toute façon, vu ces bonnes manières, il était fort possible que je demande à mon père s’il connaissait la famille. Le monde des riches était assez petit, et donc, il y avait toujours moyen d’en apprendre plus sur les gens. De toute façon tout se savait et donc, il n’était pas bien difficile d’en savoir plus. Alors qu’il fallait donc que je trouve une solution pour la suite. Je reprenais alors pour dire ce que j’avais à lui annoncer.

- « Je donne cours qu’une fois par semaine durant les cours, et deux fois durant les vacances. Je ne peux pas donner plus qu’une fois par semaine avec les études que j’ai. Les hommes et les femmes sont séparés afin que les niveaux soient réguliers. Mon ami ne donne cours qu’aux hommes. Comme ça il n’y a pas de tensions, cela permet aussi aux femmes de se sentir plus à l’aise. Après pour les concours, il s’agit de compétitions entre club, celui de la faculté contre les autres facultés etc. Le nôtre n’est pas rattaché à la faculté c’est celui qui la représente mais elle ne lui appartient pas. Il est indépendant. Ces compétitions sont nationales, on a donc une meilleure représentation du dojo. Puis comme ça on peut continuer d’apprendre sur soi et son mode de combat. »

Voilà j’avais donc dis alors tout ce que j’avais à formuler. Il ne me restait plus qu’à savoir si mon interlocutrice allait accepter ou pas le tout. Ainsi, tenant toujours la feuille, je demandais alors patiemment. - « Vous désirez voir le dojo aujourd’hui ? Je peux vous y emmener si vous le voulez. » Ayant alors la sensation que cela changerai rapidement, je regardais autour de moi. Me décalant pour laisser passer les gens qui voulaient atteindre le tableau. Il ne fallait pas non plus que je me trompe, puis je disais à Grace. - « Ah j’oubliais, je ne donne pas cours pendant un mois, celui du mois d’Aout, je retourne chez moi et donc, je ne suis pas aux Etats-Unis. » Attendant qu’elle me réponde, je ne désirais pas non plus m’étaler sur ma vie, mais je faisais ma retraite chez moi pour mon art martial. Un temple religieux taoïste, et il fallait donc que je prenne soin de moi. Ensuite, je patientais donc le temps que mon amie, enfin une élève que je vais avoir va me répondre.







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MessageSujet: Re: Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence ஐ Konomi Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence ஐ Konomi EmptyVen 10 Mai - 20:13

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MessageSujet: Re: Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence ஐ Konomi Je suis sans pitié, sans scrupule, sans compassion, sans indulgence, pas sans intelligence ஐ Konomi Empty

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