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Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle

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MessageSujet: Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle EmptyMer 6 Mar - 23:22

    Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Tumblr_lm3uloYrQG1qaxq9po1_500Il me rend folle. Il me rend dingue. J'observe son visage et c'est comme si toute la rage qui se cachait au fond de moi doit s'abattre sur lui. Il me donne envie de hurler et de le frapper parce qu'il est comme moi. Il est impulsif et caractérielle. Et cette colère qu'il a je l'ai depuis longtemps aussi mais moi je la contiens. Je l'ai toujours contenu sauf que je l'ai rencontré. Il y a plusieurs années. Cela ne m'aurait pas dérangé, toute cette colère que nous avions ensemble si seulement nous ne nous étions pas retrouvés à Berkeley. Et cette attirance était revenue. Je le voulais. Je le voulais pour moi toute seule. J'avais l'impression qu'il m'obsédait de plus en plus. Pourtant, c'était moi qui obsedait les gens d'habitude. C'était moi la star, moi la fille devant laquelle tout le monde se retournait dans les couloirs. C'était moi qui sortait avec toutes les têtes et tous les populaires mais qui les jetaient comme des mouchoirs car après tout ce n'était que de l'attirance rien d'autre. Je ne connaissais pas les sentiments amoureux mais je connaissais maintenant l'obsession. L'envie de quelqu'un. D'une personne qu'on aimait et détestait en même temps car il semblait en proie à des colères qui me transformais en enfant appeurée. Mais il faisait aussi ressortir en moi une ancienne colère. Une colère qui était cachée car après tout, j'étais la femme parfaite. J'étais parfaite et je devais agir ainsi. Une cuillère en or dans la bouche et hop, on devenait miss monde dans une magnifique bulle sans problème apparent. Sauf qu'il y avait Jai et que sa colère me faisait peur mais il m'attirait. J'avais besoin de lui tout autant que j'avais envie de m'enfuir dès que son regard se posait sur moi et parcourait mon corps. J'avais envie de le repousser lorsque ses lèvres se posaient sur les miennes tout autant que j'avais envie de lui arracher ses vêtements à chaque fois que je le voyais. Pourtant i n'était pas bon pour moi d'être avec lui. Si les gens savaient autour de nous notre relation, ils me prieraient de courir, de le laisser tomber. C'était de l'auto-destruction. On se détruisait l'un avec l'autre mais c'était si bon. Alors je restais et j'assumais ses crises de colère car il me permettait d'en faire de même. Sauf qu'il devenait alors violent. Mais je me fichais bien des coups ou du reste. Tout était trop bon pour qu'on s'arrête. Toute cette passion me rendait vivante. Et j'imaginais que la chose était réciproque puisqu'il ne m'avait pas jeté dès qu'il m'avait revu. Une relation inexplicable et que j'allais cachée. Que je cachais déjà mais qui semblait incompréhensible. Ha parce que maintenant je n'ai rien le droit de dire ? Tu te fous de moi, c'est mon amie ! Les deux en même temps ? Bravo ! Je t'interdis de recommencer, pas elle c'est tout ce que je te demande car je te jure que tu vois ce corps ? Tu le reverras pas de sitôt ! Et pour accentuer mes paroles je lui balança la première chose que je trouva posé dans sa chambre. En l'occurrence ce fut une lampe. Elle ne le toucha pas et heureusement car même si j'avais envie de lui faire du mal, il y avait cette passion dévorante qui m'empêchais d'aller à chaque fois jusqu'au bout. Je m'en voulais de lui hurler dessus mais je ne pouvais m'en empêcher. J'avais appris récemment par Marni qu'il avait couché avec elle et la chose m'insupportais. Pourtant je savais que chacun de notre côté nous pouvions nous amuser mais là, cette passion faisait que je ne supportais pas que ce soit avec quelqu'un que j'aimais profondément et cette personne était Marni. Et vu comment il se comportait avec moi je devais dire que je ne voulais en aucun cas qu'elle vive ça. Pourtant, je le vivais, aimais cette relation et plus encore. En outre, je ne voulais pas pour mon amie ce que j'aimais et redoutais pour moi. Je le voyais s'emporter face à mes reproches, face à ma colère mais qu'importe, nous avions l'habitude mais chaque fois ça en devenait encore mieux. T'es un bel enfoiré quand même. j'ouvrais alors précipitamment les placards pour reprendre certaines affaires que j'avais laissé là depuis que nous avions repris nos ébats pour le moins charnels. Je voulais reprendre tout et le lâcher une bonne fois pour toute mais j'espérais qu'il m'arrête. Pourtant j'étais têtue c'était une évidence et l'engueuler ainsi était notre habitude.
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MessageSujet: Re: Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle EmptyJeu 7 Mar - 1:01

She drives me crazy, but I surely can't change the way I feel about her
Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Tumblr_levmjbgFbo1qd6w3xo1_500 Cette fille avait tout pour elle. Un corps de déesse, un visage auquel on ne saurait résister, une prestance et un charisme qui ne laissent personne indifférent, et toute la popularité qui en découlait. Quiconque vous dira qu’elle est parfaite. Pourtant, s’il y a bien une chose dont j’étais sûr, c’est qu’elle avait le don tout particulier de me rendre fou. Dès qu’on passait ne serait-ce que quelques secondes dans la même pièce, on finissait par s’engueuler, par jeter les premiers objets qui nous venaient en main à la figure de l’autre, se foutant pas mal des dégâts, quitte à se blesser respectivement. On terminait parfois par ne plus savoir pourquoi la dispute avait commencé en premier lieu. C’était stupide, totalement puéril mais on ne saurait l’expliquer. C’était purement physique. Dès que je voyais son visage, c’est comme si je devais spontanément sortir de mes gongs. Dès que j’entendais le son de sa voix, j’avais l’impression de percevoir des représailles à mon égard. Léo était une de ces filles qui se plaisaient à jouer avec mes nerfs. Elle savait pourtant pertinemment qu’elle jouait avec le feu. Elle connaissait mes excès de colère, mon incapacité à me retenir lorsque je suis poussé à bout. Elle en avait même payé les frais une fois, en totale impuissance. Mais rien ne l’arrêtait. A vrai dire, elle était comme moi. Une forte tête, qui déteste qu’on lui marche sur les pieds. Lorsqu’elle a quelque chose à dire, elle se fait entendre par tous les moyens, quitte à donner quelques coups de coude dans la foulée. Elle accumulait au fond d’elle une rage qui ne demandait qu’à sortir mais elle n’avait pas d’autre choix que de l’étouffer, sans quoi cela aurait des conséquences désastreuses. Comme cette lampe qui venait d’éclater en mille morceaux contre le mur à quelques pas derrière moi, alors que Léo venait de finir sa phrase. Elle avait emmené aujourd’hui Marni sur le tapis, cette fille dont j’aurais oublié l’existence si je n’avais pas à déguster son nom à chaque fois que Léo me rétorquait quelque chose. Une histoire d’un soir sans aucune importance, mais dont la Beta semblait mal digérer la nouvelle. Ce n’était pas dans mes habitudes de coucher avec une inconnue, et le mauvais sort a fait qu’il s’agissait de surcroît d’une amie proche de Léo. J’avais ce don pour m’enfoncer dans les galères. « Non, tu n’as pas ton mot à dire là-dessus. Il me semble que j’ai encore le droit de coucher avec qui je veux. Parce que si on devait parler de toi, la liste serait longue. » La tension dans la chambre était palpable. Je tentais tant bien que mal de garder mon sang-froid, mais c’était chose difficile face aux regards noirs que me jetaient Léo. Les poings serrés, la mâchoire crispée, je m’approchai pas à pas de la blonde, qui me tournait le dos, face au placard, entrain de rassembler toutes ses affaires, laissant échapper volontairement par la même occasion un enfoiré qui me fit tiquer. Je sentais mes doigts me démanger, mais je me contenais, du mieux que je pouvais. Je lui attrapai fermement le poignet pour qu’elle se tourne face à moi. Je ne pouvais pas céder à la violence une nouvelle fois, me permettre de la blesser alors qu’elle n’avait rien fait pour mériter de tel. Si j’avais cédé une fois par le passé, je m’étais promis de ne plus recommencer. J’avais lu ce jour-là la frayeur dans ses yeux, comme si elle était face à la mort, mais elle ne savait pas que j’étais aussi terrorisé qu’elle. Je m’étais détesté du plus profond de mon être, car seul un monstre pouvait oser lever la main sur une femme. J’ignore encore aujourd’hui pourquoi elle m’adressait toujours la parole. Pourquoi jouait-elle avec le diable. Pourquoi s’acharnait-elle tant à me faire imploser. Et là, je la regardais. Ses courbes flamboyantes. Ses traits embrasant. Et soudainement une passion brûlante s’animait en moi. Je basculai vers une toute nouvelle sensation. Celle du désir, qui me faisait encore plus perdre pied. Mes yeux parcouraient ses lèvres tandis que ma main se resserrait de plus en plus sur son poignet. Je devais reprendre mes esprits. Je lâchai prise et reculai de quelques pas, comme pour m’excuser. J’ignorais ce qu’elle attendait de moi, qu'est-ce qu'elle pouvait bien espérer de notre relation. Car moi, je ne voyais rien d'autre qu'un tunnel sans fin et destructeur.
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MessageSujet: Re: Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle EmptyVen 8 Mar - 19:17

    Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Tumblr_mhe8c8X9kl1s40pvdo1_500« Non, tu n’as pas ton mot à dire là-dessus. Il me semble que j’ai encore le droit de coucher avec qui je veux. Parce que si on devait parler de toi, la liste serait longue. » Voila le genre de phrase qu'il sortait à présent et qui bien sûr fit grandir ma colère. Pour qui se prenait-il ? J'avais presque l'impression d'être une pute à présent alors qu'il fallait le dire, je ne couchais qu'avec lui et peut-être de temps en temps s'il m'arrivais de remercier quelqu'un pour une belle soirée mais sinon je n'étais pas le genre à offrir mon corps aussi facilement bien qu'il était vrai que vu le nombre de copains et autres que j'avais eu il était difficile d'imaginer autrement. Pourtant à ce moment-là, j'aurais pu lui vomir tout mon venin au visage. Ces paroles étaient du poison et un poison qui me rendait folle de rage. Mince à première vue je ne pouvais rien jeter autour de moi. Dommage parce que là j'étais sûre de ne pas le louper comme j'étais sûre qu'il aurait répliqué peut-être plus violemment. Il fallait donc que je me calme que j'essaie d'arranger les choses, je ne savais pas mais il fallait que la tension descende que tout redevienne comme avant notre dispute sinon je savais que ça allait aller assez loin mais pendant que je pliais bagage et essayais d'embarquer les rares fringues que j'avais laissé chez lui dont un soutient-gorge, mon regard dévorant n'avait qu'une envie, se tourner vers lui pour le regarder et lui montrer que j'avais besoin de lui, que j'avais envie de lui, qu'il me retienne, me dire qu'il était fou de moi et qu'il m'aimait autant qu'il me détestait de toutes ses forces car c'est ce qu'il y avait entre nous. Mais je n'en faisais rien et continuais à faire mine d'essayer quelques fringues oublier au milieu du chantier que nos disputes créaient à chaque fois mais je fis volte face devant sa phrase qu'il avait lancé comme un javelot pour m'atteindre en pleine poitrine et détruire ce qu'il me restait de souffle de vie. Mais tu te prends pour qui à me parler comme ça ? La liste est longue ?! De toute façon je vois même pas ce que je fous là, t'es le pire idiot que l'université est connu ! Mais il se prend pour qui celui-là ! Continuais-je pour moi même outrée par sa remarque très peu subtile. Nous avions une classe indéniable pour nous disputer. Et souvent j'essayais de me contrôler tant bien que mal pour lui lancer un nombre de jurons incalculables à la figure et lui sauter dessus pour le frapper. Mais alors que je retournais de nouveau vers lui j'eus cette sensation au bas ventre qui me démangeait alors de venir enfoncer mon poing contre son épaule mais de le pousser sur le lit pour m'emparer de ses lèvres qui me blessaient bien souvent mais qui me procuraient un bien fou. C'est dingue comme une seule chose pouvait vous provoquer plusieurs sensations diverses d'un coup ! Je me mordais l'intérieur de la joue pour ne pas craquer et lui montrer qu'encore une fois je ne pouvais me retenir face à son corps devant moi, face à son regard ténébreux et ses beaux traits. Sa main serrant toujours mon poignet avec un air menaçant je n'avais qu'une envie pourtant, c'était me jeter corps et âme contre une personne qui pourtant me faisait peur et son geste m'avait fait tourner le sang d'un coup. J'avais légèrement blémi mais je n'avais pas reculé car je ne reculais pas devant lui malgré toutes les frayeurs qu'il m'inspirait. Je m'étais déjà abaissée plusieurs fois aux décisions des autres. Des décisions qui à présent me hantait et c'était ce genre de secrets que je gardais pour moi, la colère qui en ressortait qui me donnait envie de tout déballer en face de lui. Une blessure profonde qui ne s'arrêterait pas de s'agrandir. Il m'apaisais à me laisser aller à lui hurler dessus mais pourtant il me faisait peur. Mais qu'importe, je m'étais aplatit plusieurs fois, les choses ne se passeraient plus comme ça et elles ne s'étaient plus jamais passées comme ça. Lâche moi ! Mais je n'avais pas besoin de dire cela qu'il avait déjà lâché mon bras pour s'écarter de moi. C'est alors qu'une pulsion soudaine vint une pulsion à cause de la frayeur qu'il venait de me faire et je le poussais contre le mur de rage mais aussi de désir. Mon corps proche du sien à présent alors qu'il était adossé au mur j'avais envie de lui montrer la colère qu'il me procurait mais ses lèvres m'indiquaient bien autre chose c'est pourquoi je m'en empara sans prier garde, sans lui demander la permission. Maintenant je peux partir. J'eus un sourire comme victorieux et m'écarta de lui et de toute la tension que j'avais créé en ramassant trois vêtements par terre et me dirigeant vers la porte. Et ne compte pas sur moi pour payer ta foutue lampe de toute façon elle ressemblait à rien ! Bim une pique qui allait bien sûr relever mais dos à lui bien sûr, je ne savais pas ce qu'il préparait mais le connaissant il n'allait pas en rester là non-plus.
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MessageSujet: Re: Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle EmptyMar 12 Mar - 20:44

She drives me crazy, but I surely can't change the way I feel about her
Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Tumblr_m0os5ktLsY1qkgdvio1_500 J'avais le don de tout exagérer. Il fallait le dire, dès qu'on m'énervait ne serait-ce qu'un peu, je pouvais dire tout et n'importe quoi pour me justifier. Comme c'était le cas en ce moment-même, où je lui avais balancé à la figure comme quoi elle se tapait une ribambelle de mecs, inconnus ou pas. Je connaissais Léo, on avait appris à se connaître malgré cette relation pour le moins particulière, et je savais très bien qu'elle n'était pas comme certaines autres BETA. Je n'avais pas à la juger pour sa confrérie, pour l'étiquette qu'on leur colle sans cesse sur le dos. Mais sous l'emprise de la colère, plus rien ne m'importait. Le but était de l'atteindre avant qu'elle ne touche la corde sensible. Quelques répliques cinglantes, des mots bien placés, et le tour était joué. Je m'improvisais maître dans l'art de lui faire péter les plombs. Mais dans ce jeu-là, je devais l'avouer, Léo se débrouillait plutôt pas mal. C'était devenu une routine : on envoyait sans cesse la balle dans le camp de l'adversaire, du mieux qu'on le pouvait, le but était de ne pas lâcher prise. Mais c'était chose difficile, face à la belle blonde. Plus elle s'énervait, plus elle devenait désirable à mes yeux. Elle me désespérait tout autant qu'elle m'attirait. Et en l'espace d'un instant, mes reproches pouvaient se transformer en baisers, mes coups en caresses. Toute ma colère se canalisait, toute ma violence s'exprimait mais à travers la passion. La passion d'une relation charnelle. Car oui, c'était seulement le désir de la chair. Lorsqu'elle me dit être le pire idiot que l'université ait connu, je la fusillai du regard autant que je ne la dévorai des yeux. J'étais confus, partagé entre deux sentiments complètement opposés qui me faisaient complètement perdre la tête. Mais que ce soit l'un ou l'autre, je ne voulais pas m'admettre vaincu. Je ne pouvais pas me laisser aller dans un amas d'émotions submergeantes. Alors je crispai les poings, je serrai la mâchoire pour évacuer toute cette frustration par n'importe quelle manière. Tant bien que mal. C'était toujours dur pour moi de me retenir. Lorsque je lui avais serré le poignet, j'avais vu son visage se pâlir. Non pas de douleur, mais de frayeur. Oui, je l'effrayai. Pendant l'espace d'une seconde, ses yeux en témoignaient. Et c'est la raison pour laquelle j'avais reculé. Je me détestais d'être aussi manipulé par mon propre tempérament. Incapable d'agir autrement que par la brusquerie de mes moindres faits et gestes, par la violence d'un acte que je savais que je regretterai aussitôt mais que je ne pouvais contrôler. Je savais que Léo avait peur de moi. A vrai dire, ce n'était pas la seule. Mais elle, elle était différente. Elle agissait autrement. Elle était tellement fière qu'elle n'en disait rien. Cette même fierté l'obligeait à ne pas se braquer mais, au contraire, à s'opposer à moi. J'aurais pu l'admirer pour une telle force de caractère, pourtant c'était une folie que de se jeter par sa propre volonté dans la gueule du loup, de prendre le risque d'en sortir avec des bleus sur le corps. Mais rien ne l'abattait. Dans un élan de rage, elle me plaqua contre le mur. Je m'attendais à encaisser des coups, des insultes, mais la proximité de nos deux visages, le faible espace séparant nos deux corps eurent raison d'elle. Elle m'embrassa, brièvement, avant de me tourner le dos et de se contenter d'un "Maintenant, je peux partir". Mais j'en décidai autrement. « Tu ne vas pas t'en sortir comme ça, crois-moi. » Alors qu'elle s'éloignait, je lui saisissais le bras brusquement et la tournais face à moi, son corps contre le mien. Et sans hésitation, je m'emparai à mon tour de ses lèvres, prolongeai son baiser qui était beaucoup trop court à mon goût. La chaleur de ce contact me fit frémir. Elle avait tout manigancé, je le savais pertinemment, je pouvais le voir à son sourire victorieux, mais la passion m'emportait dans son élan et je ne voyais pas d'autre issue. Plus rien ne me préoccupait, à l'exception du goût de ses lèvres. Si roses et sucrées. Mes mains remontèrent le long de son dos, finissant par caresser l'échancrure de son débardeur. Ça se finissait toujours ainsi. Toute cette scène de dispute en premier acte n'était qu'un jeu de séduction, certes quelque peu particulier, mais faisait grimper la tension palpitante avant d'éclater lors du dénouement final. On n'y échappait pas et pourtant, ça me surprenait toujours. Je glissai mes mains sous ses cuisses et la soulevai légèrement, enroulant ainsi ses jambes autour de ma taille. Je ne pouvais plus reculer, le désir imminent était trop palpable. « Pourquoi Dieu a-t-il fait les femmes si attirantes ? », dis-je dans un souffle.
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MessageSujet: Re: Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle EmptyJeu 14 Mar - 18:31

    Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Tumblr_lx5yzeaw8O1qfm8bso1_500Il ne voulait pas que je m'en tire ainsi et c'était ça que j'aimais chez lui. Sa combativité. Je n'en avais eu aucune à une période de ma vie et qu'il m'affronte ainsi, sans avoir peur de quoi que ce soit, sans avoir peur de mon insouciance et de mes envies et qu'il continue encore et encore à me combattre cela montrait soit un impressionnant courage, soit qu'il était complètement fou. J'eus un sourire victorieux lorsqu'il me tira par le bras. Je me retrouva alors de nouveau nez à nez avec lui face à cette bouche que j'avais tant embrassé, face à ce regard que j'avais si longtemps apprécié lorsqu'il ne savait pas que j'étais consciente qu'il me regardait dormir plus d'une fois. Et jusque là j'étais restée malgré que cette même bouche avait pu me faire du mal comme jamais et que ce même regard m'avait souvent regarder avec dédin mais jamais avec dégoût. Même après chaque dispute, chaque problème que nous avions dû surmonter, que nous avions dû traversés, son regard ne perdait pas de son mordant. Il me dévorait toujours comme si j'étais la seule à pouvoir l'aider dans ses exès de violence, comme si dans les moments où il se sentait le plus faible j'étais la seule à le comprendre, comme si j'étais la seule et l'unique et que dans ses bras je pouvais faire disparaître ses défauts en un claquement de doigt. Nous étions nous même, nous étions tous nos défauts et toutes nos qualités réunies en un seul lieu à chaque fois que nous étions ensemble et bien sûr, nous ne nous cachions pas du tout. Je ne m'attends à rien. Oh oui qu'il le savait, je ne m'attendais pas du tout à m'en sortir, je ne m'attendais pas à ce qu'il se fasse pardonner par les cris, à ce qu'il me parle du pourquoi il était violent ou du pourquoi il me voulait tant alors que la chose était si réciproque. Et puis un sourire s'alluma sur mes lèvres. Je m'attendais à ce qu'il ne me laisse pas partir car je m'attendais à ses sentiments qui le brûlaient au fond car c'était identique de mon côté. Rien que d'y penser je ressentais de nouveau ces picotements qui fourmillaient en moi et venaient me traverser comme si je ne pouvais me passer de lui à la minute. Colère, passion, désir qu'importe avec lui tout était mélangé et s'en était que meilleur. Alors il s'empara de ma bouche et je ne l'a lâcha pas cette fois-ci. Une deuxième fois aurait été bien trop dur. Je me laissa alors surprendre par tant de désir et passa mes mains dans son dos pendant que les siennes commençaient à caresser mon corps pour venir alors me soulever délicatement contre lui. Ca y est je n'allais plus tenir. Je ne tenais plus. Je le voulais, rien que pour moi, tout pour moi, je voulais 'mabandonner à lui car il était le seul pour lequel j'arrivais à ne jamais le lasser. C'était comme si avec lui, c'était la première fois à chaque fois que nous recommencions. Hum quel plaisir alors. Et alors qu'il me parlait je le regarda longuement, à quelques centimêtres de lui tout en caressant son visage que j'aurais voulu détruire quelques secondes plus tôt. Pour vous rendre la vie plus belle... Ou plus dur avec vous, au choix. Combien d'hommes auraient tués pour avoir mes formes et pourtant, je ne les donnais qu'avec difficulté car je n'étais pas le genre à coucher à droite et à gauche mais là alors, Jai était mon plus grand péché c'est pourquoi, je lui enleva son tee-shirt en quelques secondes et m'empara de ses lèvres comme jamais pour ensuite m'attaquer à son cou et au lobe de ses oreilles...
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MessageSujet: Re: Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle EmptySam 16 Mar - 16:17

She drives me crazy, but I surely can't change the way I feel about her
Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Mtsga0 Je ne suis pas vraiment le genre de mec à coucher avec n'importe qui, pas avec une parfaite inconnue du moins. Parce que je sais très bien que si ça m'arrive, je me faufilerais le lendemain matin, avant même qu'elle ne se réveille. Marchant sur la pointe des pieds pour éviter toute confrontation. N'oubliant rien afin que plus jamais elle ne revienne à moi. Je ne voulais pas m'expliquer avec elle et encore moins me risquer à aller plus loin dans une potentielle histoire. Mais seuls les salauds agissent de la sorte. Je n'en suis pas un. Du moins, j'essaye de ne pas l'être. C'est une chose parmi tant d'autres que mon frère m'avait enseigné, lui qui était lui-même volage, un vrai coureur de jupons, il ne voulait pas que j'ai la même image. Mais avec Léo, je ne pouvais pas faire autrement. C'est comme si elle entrait dans ma tête, tel un virus, et déclenchait en moi tous les mauvais aspects de ma personne. Elle faisait ressortir ma haine, ma colère, pour ça, il n'y a pas de doute et ça ne m'étonnait pas le moins du monde qu'elle me traite d'enfoiré nuit et jour. Mais elle faisait aussi ressortir ma passion. Une passion déchaînée, incontrôlable. Et lorsque je sentais son corps contre le mien, ses lèvres parcourir mon visage, ses mains soulevant mon t-shirt, je comprenais alors que je ne pouvais plus m'arrêter. Je ne pensais à rien d'autre qu'à cet instant, que je ne saurais qualifier tant il était inattendu et pourtant irrévocable. Pas même la pensée de nos disputes incessantes ne me stoppaient dans l'élan de l'action. Si nous n'avions pas cette connexion, je ne me serais jamais entêtée à la revoir. J'aurais perdu le contact depuis bien longtemps et elle m'aurait oublié aussitôt. C'est d'ailleurs ce que pouvaient penser nos amis respectifs. Pourquoi s'entêter à fréquenter quelqu'un qui nous énerve à un tel point que ça en devient maladif ? Mais ils ne savent pas le réel lien derrière tout ça. Un lien encore plus destructeur. Au fond, je ne sais même pas si nous sommes amis. Entre la haine et le désir, il n'y pas la place pour une véritable amitié. D'un côté, c'est peut-être ce qui nous rendait plus forts. C'est vrai, je n'ai jamais été, disons, doué avec les filles. Aussitôt que j'entretenais un semblant de lien amical, je finissais par tout faire foirer. Soit on me disait pas assez attentionné soit trop brusque . Léo et moi, c'était donc parfait. Pas de réelles attaches, pas d'obligations l'un envers l'autre. On se voyait quand bon nous chantait, sans avoir à se priver d'autre chose en parallèle. Et ça me convenait très bien ainsi.

Rapidement, Léo faisait valser mon t-shirt sur le sol. « Pour vous rendre la vie plus belle … Ou plus dur avec vous, au choix. » Pour sûr, elle, elle faisait de ma vie un vrai calcaire. Mais je gardais cette remarque pour moi-même, de peur qu’elle ne trouve une nouvelle raison pour m’envoyer une lampe en pleine figure. Et ma chambre allait bientôt manquer de meubles. Je la faisais taire en redoublant de baisers puis, alors que je la portais, je m'approchai du lit. Sauvagement, je la jetai sur le matelas. Je n'arrivais pas à m'y prendre de manière plus douce. Je devais canaliser la colère qu'elle avait enclenché, la faire sortir, alors si je ne pouvais pas taper du poing contre le mur, ce serait dans le sexe. Brutal, intense, c'était un bon défouloir. On pouvait en dire autant d'elle, au vu des nombreuses marques couvrant mon dos. Je lui retirai son débardeur que je jetais près du mien, ce bout de tissu que j'aurais pu aussi bien déchirer tellement l'envie m'empressait. Mais alors que je rajoutai mon pantalon à la pile de vêtements ornant le parterre, un morceau de papier en tomba de la poche arrière. Un papier dont j'ignorais l'existence jusque là, et la provenance m'en était tout aussi inconnue. Sur le moment, je n'y prêtais pas attention, tellement accaparé par Léo. Là était mon erreur. Si j'avais un tant soi peu regarder l'inscription, j'y aurais vu une série de chiffres suivi d'un nom que je connaissais désormais bien pour l'avoir entendu une dizaine de fois il n'y a même pas quelques minutes : celui de Marni. Coïncidence, quand tu nous tiens.
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MessageSujet: Re: Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle EmptyMar 19 Mar - 13:00

    Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Tumblr_m0gh7jHIMv1r9gwxjo1_500Donne moi sans attendre, offre moi tout ce que tu peux m'offrir car je ne suis même pas sûre de le mériter. Pourtant était-il si insuportable d'aimer quelqu'un ? Pour moi c'était comme a que les choses se passaient. Je laissais les conseils de ma mère m'envahir et alors, j'imaginais de nouveau cette petite blonde que j'étais au centre d'une grande chambre. Encore une fois ma mère me sermonnait mais chacune de ses paroles coulait sur moi comme si elle ne faisait que me complimenter. Chacune de ses paroles ressemblaient à un cadeau pour moi à l'époque car pour moi, elle représentait parfaitement la femme que je voulais devenir, que j'enviais en secret et à qui j'essayais de ressembler coûte que coûte. Cette fameuse course à la ressemblance avait commencé lorsque j'avais essayé d'enfiler ses grands talons aiguilles pour essayer de voir à quel point ma silhouette pouvait en être affinée. Les choses avaient changé lorsque j'avais commencé à piquer son maquillage, essayer ses tenues de soirée et piocher dans ses rouges à lèvre. Combien de fois elle m'avait crié dessus pour lui avoir pris ses affaires et avoir fait de ma bouille d'enfant un vrai raz de marée. Pourtant, elle se calmait très vite en général car après tout, qui n'était pas appréciateur qu'un enfant veuille vous ressembler et être comme vous plus tard ? C'était après tout un signe d'admiration et d'adoration et venant de la part de sa propre fille, ma mère ne pouvait qu'apprécier. Un sourire aux lèvres et alors elle venait s'accroupir en face de moi, essuyait les traces de maquillage de mon visage et se mettait à me parler. Bon à l'heure actuelle, le souvenir dont je me souvenais étais lorsqu'elle s'époumonait devant moi. Effectivement, elle ne pouvait s'empêcher de s'angoisser à propos de mes relations avec les hommes. Du moins garçons à l'époque. Elle m'enseignait tout. Ne pas trop leur en donner. Ne pas faire confiance, ne pas croire en leurs promesses, ne pas tomber amoureuse et leur faire croire qu'on leur donnait tout alors que finalement, ils n'avaient absolument rien. Voila les conseils que je retenais de sa part. Et c'était exactement ce que je faisais avec Jai sauf qu'il était bien différent des autres hommes. Après tout, il était le seul qui ne me demandais rien en échange. Il n'était pas là à vouloir entreprendre une quelconque relation ou a essayé de découvrir ce que je pouvais ressentir pour lui ou réciproquement a évoqué les sentiments qu'il pouvait avoir envers moi. Non, Jai était bien différent du genre de type dont ma mère m'avait toujours dit de me méfier. Il était tout ce qu'il me fallait. Un défouloir et en plus de ça, qui ne me demandais rien en échange. Il était l'homme parfait en quelque sorte. Avec lui au moins, je ne faisais pas semblant et ne souriais pas au je t'aime qu'on pouvait me lancer en espoir d'un retour. Il n'y avait pas d'espoir. Il n'y avait que de l'amusement. Lui, il avait tout compris et toute cette frustration, cette retenue et autre, c'était avec lui que tout se relâchait.

    Et puis il comprit face à mon regard que je ne plaisantais plus, que je n'avais plus envie de l'engueuler, que je n'avais plus envie de prendre des excuses à tout va pour me défouler sur lui. Non, je voulais juste profiter de l'homme qui me permettais d'être l'horrible garce blonde qui avait autant de choses sur le coeur. Alors je m'étais emparée de ses lèvres avait arraché ses vêtements à défaut de pouvoir réfléchir correctement pour lui enlever élégamment. Il m'avait jeté sur le lit, avait ôté ses vêtements et je n'avais pas vu encore le papier qui était bien tombé en évidence sur le sol les yeux fermés appréciant les baisers qu'il me donnait en abondance sur mon corps qui brûlait d'envie. J'eus un sourire et attrapa de nouveau ses lèvres nous faisant basculer pour que j'arrive au-dessus de lui. Je couvris de baiser sensuel son cou tout en remontant vers l'oreille avec ma langue et déjà je sentais que je m'abandonnais dans ses bras comme si c'était bien la première fois. Mais alors que ses baisers se renouvelaient et que je me redressais sous le plaisir, mon oeil fut attiré par le fameux papier tombé au sol et je me figea l'espace d'un instant. Le prénom de Marni y était. Il était hors de question qui lui aussi elle l'est. Qu'est-ce que c'est ? Oui comme tue l'amour il n'y avait pas mieux mais après tout, nous étions habitués aux faits originaux !
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MessageSujet: Re: Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle Léo&Jai :. La passion est une chose cruelle EmptyVen 10 Mai - 20:06

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