❞ Tu es qu'un con, je ne sais même pas comment j'ai fais pour t'apprécier mais aide moi please :sifle: ❞ PV Sweeney (a)

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❞ Tu es qu'un con, je ne sais même pas comment j'ai fais pour t'apprécier mais aide moi please

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MARNI-LAY. STEVENSEN & SWEENEY HAUGEN-DAHL

Voilà plusieurs semaines que je n'étais pas allez en boite de nuit. L'envie de m'amuser et de me divertir semblait être de vigueur. Il fallait que je me change les idées et que j'arrête de me comporter comme une femme au foyer. Certes, j'étais mariée mais devais-je vraiment me plonger dans une solitude maladive. Je ne savais pas comment réagir et savoir que ma vie pouvait être relier à celle d'une autre personne ne m'aidait absolument pas. Jorden était parfait. J'adorais sa présence, ses caresses mais étais-je vraiment prête à être sa femme. Le mariage n'était pas vraiment quelques choses que j'aimais. J'avais peur. Peter ne me laissait pas indifférente à vrai dire, j'étais dans une merde énorme. Il fallait donc que j'évacue un peu toute cette pression que je me mettais.

La boite de nuit était donc le meilleure moyen pour moi de m'amuser. J'étais partie m'habiller, une jolie robe noir qui m'était en valeur mes courbes et une jolie coiffure qui valorisait ma jolie chevelure. Une fois prête, je pris l’initiative de laisser mon téléphone. Je ne souhaitais pas être embêté. Je partie en le laissant soigneusement sur la table et pris les clés de ma voiture.

Une route qui me semblait familière. Je n'étais plus du tout surprise par ce trajet assez court. Après dix bonne minutes, je me surpris en train de ralentir. Sur le coup, je lâchais : " Bordel qu'es qui se passe ? ". Je regardais un peu partout et vu rapidement le voyant d'essence clignoter. J'avais oublié de mettre de l'essence. " OOOOOOOOH NOOOOOOON ". Voilà que j'étais en train de tout foiré. J'étais prête à danser et voilà qu'il fallait que je rejoigne une station service pour pouvoir espérer allez en boite. Malheureusement pour moi, ma voiture me lâcha à mis parcours me laissant loin de chez moi et de cette futur station. J'étais dans une merde pas possible. Démoralisée, je sortie de ma voiture ne sachant pas vraiment quoi faire. Disons que j’espérais que quelqu'un vienne à mon secours. Après une bonne vingtaine de minute, j'avais enlever mes chaussures et marchait de droite à gauche. Un bruit de voiture m'interpella. Je relevais doucement la tête et pu apercevoir des phares. " OOH BORDEL ARRÊTE TOI !!! ARRÊTE TOI !! ". Je savais pertinemment que mon comportement n'allait pas laisser indifférent un passant après tout j'étais bien habillée et plutôt jolie il ne fallait pas ce le cacher. J'étais néanmoins loin de me douter que cet inconnu se trouvait être Sweeney. Le Sweeney, CE SWEENEY que je ne pouvais plus encadrer depuis plusieurs mois. Je pris mon courage à deux mains et me mit au milieu de la route afin d'être sur qu'il s'arrête pour pouvoir aider une pauvre blondinette en détresse. J'étais assez apeurée et savoir que je n'étais à l'abris de rien. J'étais très peu fière de mon comportement irrationnel.

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“ Je t'ai rencontré du côté de Narbonne, je t'ai trouvé vachement bonne. Tu mangeais une pizza comme une conne et, je crois bien que c'était une calzone. ” laugh

Sweeney était friand de soirée en tout genre. Il ne se passait pas une seule nuit sans que le brunet ne daigne à aller bouger son corps sur le dancefloor. Ce qui lui plaisait le plus dans les boîtes de nuit ou encore les diverses soirées organisées sur le campus ? Le fait de pouvoir remuer ses jolies petites fesses sur la piste tout en buvant des litres d'alcool fort et en fumant clopes sur clopes, s'autorisant même un petit joint lorsque l'endroit le permettait. Le damoiseau était un grand fêtard et, souvent depuis la perte tragique de son frère. A croire que cette tragique perte avait aidé le jeune homme à relever une partie de sa personnalité qu'il cachait depuis des années. Sortant presque tous les soirs, Sweeney décide de sortir ce soir également, pourquoi restait dans sa petite chambre comme un déprimait alors, qu'il pourrait s'éclater toute la nuit sans aucune retenue. Il se faufila rapidement à la douche pour qu'il soit fréquentable et, parfait pour cette nuit. Il opta pour une tenue bien habillé tout en restant décontractée cela va de soi. Ne voulant absolument pas être dérangé de la soirée, le jeune damoiseau décide de laisser son téléphone dans sa chambre et, pris les clés de sa voiture qui traînaient sur la table de chevet non plus de son lit. Sweeney avait pris une route qu'il lui semblait familière, un peu trop d'ailleurs puisqu'il l'empruntait assez fréquemment ses derniers temps. Il était dans ses pensées mais, regardait la route malgré tout. Sweeney n'avait pas réellement envie de renverser quelqu'un et, surtout pas ce soir. Étant toujours dans ces pensées les plus profondes, il entendit une voix qui le sort de ses rêveries. OOH BORDEL ARRÊTE TOI !!! ARRÊTE TOI !! Marmonna-t-elle ! Sweeney n'était pas un méchant jeune homme alors, il s'arrêta sur le bas côté de la route qui l'amènerait en boîte de nuit. Finalement, il aurait pu s'abstenir de s'arrêter puisque c'était Marni, la Marni, cette MARNI. Une jeune femme que Sweenie ne pouvait plus encadré depuis quelques temps, une personne qui était devenue méconnaissable aux yeux du brunet. Pourtant, ils étaient assez proches par le passé, ils étaient les meilleures amies et, surtout inséparables. Mais, le destin a décidé autrement, la preuve ils ne s'adressent plus la parole, au du moins seulement pour s'envoyer boulet mutuellement. « Alors, comme ça, Stevenson est de sortie. » Dit-il en ayant son petit sourire en coin que la jeune femme n'appréciait guère. Sweeney s'amusait à la dévisageait comme il aimait si bien faire pour la faire râler comme à son habitude. Mr Haugen-Dahl laisse s'installait un silence de mort comme pour immortalisait le moment précis. « Et, en galère par la même occasion. C'est réellement dommage pour toi, beauté. » Meugla-t-il en lui faisant un clic d'oeil qui voulait en dire long sur les attentions de celui-ci.

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J'étais loin d'imaginée que j'allais arrêter Sweeney sur la route. Combien de chance avais-je de voir sa tête ici ? La situation était plus qu'embarrassante. J'avais besoin d'aide et pour une fois il fallait que je remballe ma fierté. Le faire devant un inconnu ne me gênait pas du tout, il ne me connaissait pas. Mais devant Sweeney ! J'en avais des nausées. En voyant son visage, je me surpris - ou pas - à soupirer. Voilà, qu'il avait l’occasion de se montrer des plus cruelles avec moi. Une chance que je n'avais pas encore eux avec lui. Mon visage semblait avoir changer. J'étais devenue cette cruelle, chiante et superficielle. Et ça même si j'étais en situation des plus précaires. Je ne voulais pas de son aide du moins j'essayais de me convaincre que je n'avais pas besoin de ses services.

Notre relation avait pourtant été si exceptionnel dans le passé. A croire que les belles choses ne durent jamais. Une phrase qui me semblait juste. Sweeney avait pourtant été l'une des personnes les plus importantes de ma vie et il était devenue rapidement un fardeaux. A vrai dire, je me protégeais et je fuyais toute les personnes avec qui j'avais bien pu nouer une relation avant la mort de mes parents. A croire que cet évènement avait eu un impact important sur ma personne. Et bien plus que je ne le pensais. Il me sortie rapidement de mes pensées. " Alors, comme ça, Stevensen est de sortie. ". Je ne supportais plus ce sourire au coin qu'il avait. Un sourire qui pourtant m'avait charmer. Je ne l'appréciais plus. Je lui répondis assez sèchement et comme d'habitude. " Et oui ! mais en quoi ça te regarde ? ". J'étais mauvaise et n'hésitait pas l'attaquer immédiatement. Pourquoi était-il sorti de cette voiture ? pourquoi était-il ici ?. Je n'en avais aucune idée. Cependant, il fallait peut-être que je me montre moins féroce. Un long silence s’installa, je ne souhaitais pas briser ce silence. Il s'en chargea plutôt bien : " Et, en galère par la même occasion. C'est réellement dommage pour toi, beauté. ". Beauté était en réalité mon ancien surnom et il me m'était toujours mal à laisse. Je ronchonnais : " je suis pas ta beauté ! ". dis-je dans ma barbe. Je m'appuyais sur ma voiture et finit par lui dire avec simplicité : " alors tu vas m'aider ? "

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” Sweeney ne s'attendait guère de tomber nez à nez avec Marni, son ancienne meilleure amie qui tenait une place considérable dans sa vie quotidienne. Avec du recul, le jeune damoiseau se demandait presque ce que Marni avait de particulier à l'époque pour qu'ils soient tellement proches vu le fauché qui se creuse et, qui s'est creusé après la mort tragique des parents de celle-ci. Pourtant, à l'époque ils avaient une relation si exceptionnel, à croire que toutes bonnes choses à des fins, comme dirait le dicton. On peut dire que Marni était devenue un fardeau, un boulet, un bracelet électrique autour de la jambe de Sweeney. La comparaison n'était guère appréciable mais, purement véridique aux yeux du beau brun. Il avait dû se garer sur le bas côté de la route qui lui amenait directement au Lexington Club, une boîte de nuit très chic de Berkeley. Sweeney était assez ravi de la situation où la jeune demoiselle était actuellement, une situation plus qu’embarrassante pour elle mais, assez hilarante pour lui. En voyant Sweeney, Marni avait dû certainement une grosse envie de vomir où encore quelques nausées nauséabondes mais, il s'en fichait royalement pour tout vous avouez. Le jeune homme avait pris son petit sourire en coin qui énervait au plus haut point Marni et, répliquait une phrase que la blondinette n'avait pas l'air d'apprécier. C'était rien de méchant bizarrement mais, bon connaissant Stevenson, elle en faisait toujours un cinéma. « Justement, ça ne m'aurait absolument pas regardé ... si seulement, tu ne m'avais pas arrêté sur le bas côté comme une furie. » Marmonnait-il d'un ton serein. Pourquoi était-il ici ? Pourquoi était-il sorti de sa voiture ? Elle devait se poser un milliard de question et, aucune réponse lui venait en tête. Et, c'était ça qui faisait rigoler Sweeney parce qu'elle avait quand même besoin de lui malgré tout ce qu'elle avait pu lui dire auparavant. Un silence de mort s'était installé depuis quelques minutes déjà et, cela avait l'air de ne pas gêner la demoiselle. Voyant qu'elle n'était pas presque à le briser, Sweeney s'en chargea aussitôt. Il avait osé balancer un vieux surnom qu'elle n'aimait plus à présent et, l'énerva aussitôt où il l'avait prononcé pour la faire réagir une nouvelle fois. « Tu l'as toujours été, darling. » Meugla-t-il dans sa petite barbe de deux jours. Elle finit par lui poser enfin une question après, qu'elle se soit appuyé sur sa voiture. « Je ne sais pas trop à vrai dire ... Tu mérites de pourrir dans cette rue mal fréquenté la nuit, tu sais ma chérie. » Dit-il en accentuant son regard dans le regard azur de la demoiselle qui semblait essayer de contrôler sa colère.

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" Justement, ça ne m'aurait absolument pas regardé... si seulement, tu ne m'avais pas arrêté sur le bas côté comme une furie ". Une furie ? je ne voyais pas du tout de quoi il parlait. J'étais juste appeurée et cette voiture était mon seul espoir de la soirée. Je fis mes petits yeux, des yeux qui montraient que j'étais véxée. " Rooooooh on ta jamais dit que tu parlais trop ". C'était navrant de voir comment notre relation avait tourné. Nous qui étions avant si proche. Aujourd'hui, il m'était presque impossible de m'approcher d'avantage de lui sans qu'il ne m'énerve. J'étais devenue cette garce. Un statue que j’alimentais depuis le décès de mes parents. Un silence de mort s'en suivit. Je ne voulais pas parler mais je ne voulais pas qu'il me laisse ici toute seul. Je n'aimais pas mon passé, tout ce qui me rapprochait de prêt ou de loin au bonheur passé me m'était toujours très mal à laisse. L'énervement était donc un sentiment à fait normal pour moi. Sweeney en faisait parti sans doute pour cela qu'aujourd'hui je lui vouais une haine inexplicable. " Tu l'as toujours été, darling. " Je ne le regardais pas, préférant ne rien dire même si en soit cette phrase était loin d'être méchante. Par la suite, je lui demandais avec sincérité si il allait m'aider. " Je ne sais pas trop à vrai dire... tu mérites de pourrir dans cette rue mal fréquenté la nuit, tu sais ma chérie". Je l'avais regarder. Mon dieu qu'il pouvait être irritant. Je fis machinalement : " N'importe quoi... quoi que je n'ai pas besoin de ton aide laisse tomber et retourne t'amuser tient. " finis-je pas dire dégoutter par cette réponse. J'avais changer d'avis, je préférais rester dans cette ruelle mal fréquenté plutôt qu'accepter l'aide de ce cher monsieur. " Et puis si sa aurait été la situation inverse, je ne t'aurais pas aider alors tu peux partir, je me débrouillerais toute seul ". J'étais méchante à nouveau. Mes propos n'étaient à vrai dire pas si vrai que ça. Je ne l'aurais pas laissé seul ici mais ça il n'avait nullement besoin de le savoir. J'enlevais mes talons que je mis dans ma voiture et finit par marcher tout en lançant un regard fusillant à mon cher ami Sweeney, j’espérais que la station d'essence ne soit pas bien loin.

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”
Marni-Lay est excessive, exubérante. Elle se vante, elle aime ce la péter sévère et, ce même lorsqu'elle est dans une situation embarrassante comme en ce moment précis devant le jeune homme qu'elle détestait au plus haut point. Par ailleurs, celle-ci avait mis du temps avant de répondre au jeune homme du moins, c'était totalement compréhensible vu que Sweeney était un peu lourd sur la situation. Il venait de l'insulté sans faire le vouloir pour être honnête mais, la jeune demoiselle l'avait provoqué dans toute sa splendeur et, le beau brunet n'avait pu contenir ses mots dans sa bouche. « On ta jamais dis que tu étais que tu ressemblais à une péripatéticienne dans cette tenue et, surtout au bord d'une route ! » Meugla-t-il sans aucune crainte ni honte. Pourquoi avoir honte d'avouer une telle chose à une femme qu'on n'appréciait plus ? Marni avait changé de caractère, de façon de se comporter mais, aussi sa façon de s'adresser aux gens. C'est pour cela, que Sweeney se gêna pas pour dire le fond de sa pensée quitte à la blessait atrocement ce n'était plus son problème à présent. C'est assez impressionnant de voir qu'à l'heure actuel mlle Stevenson et mr Haugen-Dahl se voue une haine inexplicable mutuel. Etant donné qu'à l'époque ils étaient comme cul et chemise, toujours fourrer ensemble faisant les pires conneries, ils étaient tout simplement inséparables. Alors, qu'aujourd'hui moins ils se voient et, mieux ils se portent mutuellement et, aucun manque chez l'un et l'autre ce fait ressentir. « Tu aurais pu le dire plus tôt Stevenson, tu me fais perdre mon temps. » héla-t-il, en prenant soin de rejoindre sa voiture en évitant de se faire écraser par la même occasion bien évidemment. Il ne voyait pas pourquoi il resterait ici à attendre que la demoiselle calme ses nerfs ce qui pourrait ne jamais se faire alors, qu'il pourrait aller s'éclatait en boîte de nuit en très bonne compagnie par exemple. Mettant le contact de sa voiture en route, le jeune damoiseau boucla sa ceinture avant de démarrer sa sublime porsche noire en voyant Marni marcher sur le bas côté de la route. Malgré qu'il puisse la détester et ne plus la supporter, il décide tout de même de s'arrêter pour l'accompagner à la station essence qui se trouvait à dix bonnes d'ici. « Monte, je t'accompagne jusqu'à la station essence après, basta ! » Marmonna-t-il en attendant que celle-ci digne quand même de posté à ses côtés. Espérant que le chemin jusqu'à la station essence reste calme parce que sinon, ça risquerait de ne pas le faire.

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Je me fichais de lui, de ses états-d'âmes. Je n'étais plus son amie et s'était peut-être mieux comme cela. A vrai dire, il n'y était pas pour grand chose. J'étais consciente de mon changement. Je savais pertinemment que nous n'étions plus comparable. J'étais devenue la fille chieuse et superficielle que je détestais tant. Quant à lui, il n'avais pas vraiment changer. J'avais donc pris l'initiative de mettre un terme à cette relation si fusionnelle.

Je n'ai jamais vraiment cherché à lui parler réellement. Les discutions sérieuses avaient le dons de me faire fuir surtout depuis quelques mois. Je ne me prenais pas au sérieux alors je ne voyais pas l'utilité d'entamer ce genre de discutions. " On ta jamais dis que tu ressemblais à une péripatéticienne dans cette tenue, et surtout au bord d'une route ! ". Péripatéticienne, en traduction, il voulait dire " pute ou putin ". A vrai dire, ses mots m'affectèrent beaucoup. Je le regardais et finit par baisser le regard. Il était temps pour moi de partir de cet endroit à la recherche d'une station service. Je ne lui avais pas répondu, chose plutôt rare en faite. Il n'oublia pas d'ajouter quelques mots lorsque je me mis à marcher après lui avoir balancer à la figure que je ne voulais plus de son aide. J'étais bien déterminée à trouver moi même de l'aide. Je n'avais pas besoin de lui, du moins j'essayais de m'en convaincre. Je ne me retournais pas, j'étais dans mon élan.

Plusieurs mètres plus loin, une voiture s'arrêta à mon niveau. Je regardais furtivement à l'intérieur et revu le visage de Sweeney. Je lâchais un soupire. Après ce qu'il m'avait dit, je n'avais aucune envie de monter dans sa voiture... Malgré tout, j'étais dans la merde. La station service devait être à plus de 10 bornes et je n'avais pas vraiment envie de marcher dans ce genre de rue, obscur et sinistre. Je pris une grande inspiration et décida d'ouvrir la portière assez pésimiste. J'entrais à l'intérieur et refermais la portière. La voiture ne tarda pas à rouler une fois à l'intérieur. Je ne fis absolument rien, du moins jusqu'à maintenant. Je me retournais pour lui faire à moitie face et lui fit : " Et toi tu es un véritable connard tu le sais ça ? hein ? ".

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Je t'ai rencontré du côté de Narbonne, je t'ai trouvé vachement bonne. Tu mangeais une pizza comme une conne et, je crois bien que c'était une calzone.

Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses. ► Il fut un temps où tout semblait être simple entre nous. On marchait confiant, ne redoutant pas l'avenir. Nous étions persuadés que notre amitié pure allait vivre longtemps et, on ne voyait pas ce sentiment mourir, car notre amitié était immortelle. On se pensait invincible et, nous l'étions quand on était ensemble. Rien ni personne ne pouvait nous séparer et, nous arrêter. Que nous est-il arrivé ? Comment sommes-nous arrivées à un point où nous ne sommes plus que des étrangers ? Illusion bercé par des contes de fée qui n'existe guère. Ils étaient très vite arrivé les mois qui marquaient le début de notre éloignement. Petit à petit, il était devenu un vulgaire fantôme qui airait dans sa vie médiocre. Un courant d'air qui allait et, venait, allant et, repartant à tout bout de champs. Il a fini par être épuisé de cette situation. Il avait abandonné et, elle n'avait rien fait pour me récupérer. Cette relation qui unissait Marni et Sweeney s'était dégradé suite à la mort d'un membre de la famille de la jeune demoiselle, elle avait renié toutes personne de son passé et, le jeune homme n'avait pas réellement compris pour quelles raisons avait-elle fait ce geste. De toute manière, le jeune homme savait pertinemment que Marni fuyait toute sorte de discussion sérieuse. Enfin passons, il venait de lui balancer qu'elle ressemblait à une péripatéticienne, en traduction qu'elle était une putin. Sweeney savait qu'il allait l'affecter avec ce style de parole mais, il fallait qu'il y aille de main forte ... puisque Marni sait aussi l'affecté avec ses paroles et, c'était à chaque fois qu'ils se croisaient justement alors, que pour le damoiseau c'était la première fois qu'il était aussi vulgaire envers elle. Il l'avait tellement affecté avec ses paroles, que la jeune femme venait à marcher à la recherche d'une station service qui était à dix bornes d'ici et, elle lui avait fait comprendre qu'elle ne voulait absolument plus de son aide et, qu'elle allait se débrouillait toute seule. Ayant des regrets sur les paroles qui avaient lâché y a une dizaine de minutes, il prend sa voiture et, roula jusqu'en direction de Marni et, s'arrêta pour lui dire de monter pour l'aider mais, qu'après c'était basta elle se démerdait ouvertement. Surtout que les routes d'ici étaient obscur et, sinistre. Certes, il ne porte plus Rosenbach dans son cœur mais, il restait notamment humain et, même si c'est sa pire ennemie il ne la laisserait pas dans une merde ainsi. Une fois que la blonde fut dans la voiture du jeune homme, il se mit à rouler jusqu'à la station essence, ils étaient à cinq bornes de celle-ci quand il entendit les paroles de sa passagère. « Tu n'es pas la première à me le dire. Donc, effectivement, je suis au courant ! » Marmonnait-il sincèrement et, sans aucune crainte. Il s'était durci une carapace et, elle le savait parfaitement. Elle savait aussi que plus aucune parole ne pouvait le blesser dorénavant puis, elle devait s'en foutre royalement de le blesser ou quoique ce soit, donc il s'en fichait également et, il s'en cachait pas.

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Sweeney était vraiment insupportable, j'avais du mal à l'écouter parler, à le regarder. Son attitude ne me plaisait plus, elle ne me plaisait plus depuis 8 mois maintenant. Et pourtant j'étais consciente d'être la plus fautive dans cette histoire après tout c'était moi qui avait mis un terme à cette superbe idylle. Notre relation avait pourtant été très particulière. Nous étions comme les 5 doigts de la main inséparable et toujours ensemble. C'était une évidence et cet évidence avait laisser place peut à peut à la confusion. C'était moi qui avait changer du tout au tout et pourtant je n'arrivais pas à ne pas lui en vouloir. Mon esprit était littéralement remontée contre Sweeney. A sa place, je ne me serais sans doute jamais arrêter. Je lui aurais peut être fait un signe de la main par pur provocation pour ensuite continuer ma route. J'étais mauvaise mais ses mots ne m'aidaient pas. Malgré cette mauvaise entente, je semblais toujours aussi blessée par ses mots. Ce soir, le brunet avait viser juste. Il m'avait fait mal.

J'étais tranquillement assise dans sa voiture. Cette idée m'était presque insupportable, j'aurais bien fait tout ce chemin à pied mais après une petite minute de réflexion cette voiture était sans doute un des endroits les plus sur de cette ville à cette heure ci. " Tu n'es pas la première à me le dire. Donc, effectivement, je suis au courant ! " il était terriblement chiant mais bizarrement je portais toujours je lui apportais toujours une importance folle que je dissimulais sous chacune de mes critiques. Je soupirais et finis par dire d'un ton un peu plus doux histoire de faire rebaisser cet pression qui avait été bien trop forte pour un début de conversation. " Tu allais faire quoi ce soir ? " Surprenant et pourtant j'étais sincère, j'essayais d'entretenir un semblant de discutions. Il ne me répondit pas tout de suite, je retournais ma tête et il semblait surpris. Je lui fis : " quoiiiii ? tu préfères que je t'insulte ? " c'est vrai quoi ? quand j'essayais d'être gentille il faisait le muet et quand j'étais une vrai garce il semblait presque déçu et blesser.

» Pacey-Danyaël & Chilali ஃ « ♡ Comment fais-tu pour être heureux ? » [Terminé]
» La famille, une notion d'aide, mais pas pour tous.
» « Je t’aime à un tel point que je te déteste pour ça. » Mais tu m'aimes quand même, pas vrai ?
» Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ;
» Aleyna&Tazio — « Mais qu'est-ce que tu fais là, toi? »

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