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Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ;

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MessageSujet: Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Joshua. Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; EmptyDim 14 Mar - 18:28


. « L'absence de l'être aimé laisse derrière soi un lent poison qui s'appelle l'oubli. » ; Joshua&Belammée



    Non, je ne m'attendais pas à le retrouver. Enfin, je savais qu'il était là, à Berkeley. Je l'avais brièvement croisé, une fois, dans les couloirs. Bon, je ne lui avais pas parlé cette fois là, mais il m'avait marqué. Joshua. Cela faisait vraiment longtemps que je ne l'avais pas vu, depuis Miami en fait. Tout comme moi, il venait de la ville de tout les vices, et on en profitait tout les deux. J'avais 15 ans et lui 17, pour la première fois nous étions habillés pour une occasion bien spéciale. Une amie de mon père se mariait et les Canterburry était invités, elle allait épouser un McLowndes. Je n'avais jamais aimé les mariages, les gens aussi heureux ne m'inspiraient rien et je n'avais qu'une envie : rentrer et retrouver les amis de mon frère. A cette époque, je ne sortais pas encore avec Adam, les garçons ne m'intéressait pas vraiment, pas encore. Je me trouvais presque jolie dans cette robe bleue claire, mes cheveux bruns ondulaient joliment et je ne m'étais pas trop maquillée. Même mon frère parut surpris en me voyant descendre les escaliers, pendant que j'enfilais des escarpins, j'avais l'air plus vieille. J'avais décidé de m'exiler sur le balcon, respirer l'air frais qui entourait les environs. Le problème avec les mariages, c'est qu'ils ne les font jamais en ville. On se retrouve tous pendant un weekend dans une campagne à l'air pur plein de parfums de fleurs. L'endroit était plutôt pas mal mais ces réceptions... Pas mon truc. Et elles n'étaient pas du goût de Joshua non plus, apparemment. Il était venu là, sur ce balcon, la musique en fond sonore et ses pas constituaient le rythme. Dès ce moment là, je savais qu'on allait bien s'entendre, surtout parce que je l'avais entendu soupirer. Il dégageait cette aura mystérieuse mais en même temps terriblement attirante, vous voulez savoir ce qui se cache derrière.

    On n'oublie jamais le premier garçon qui nous plait vraiment. Vous savez, vous souriez dès qu'il parle, vous vous sentez bien avec, vous rougissez en repensant aux choses ambiguës que vous avez dit... C'était Joshua, le premier d'une série. Si je me souviens bien, j'étais restée 48heures avec lui, non-stop. Je n'avais pas peur de tout lui dire, j'étais moi-même. A la fin du dit weekend, j'avais appris qu'il habitait bien en Floride, et mieux encore, à Miami. Je le voyais assez souvent, jusqu'à ce qu'il rencontre une fille. Elle voyait du mauvais œil la relation que j'entretenais avec lui. Comme avec tout le monde, j'étais assez proche de lui, physiquement : Câlins lorsque je venais et je partais, je le trainais par la main dans les soirées... Cela ne correspondait pas trop à Joshua, c'était ça qui leur semblait étrange. Et cette fille ne voyait pas ça de ma manière, alors que je sortais avec Adam.. Enfin bref, je n'avais plus entendu parler de lui, même si l'on trainait encore au même endroit. Et Adam m'avait trompé, j'étais partie à Berkeley. A l'autre bout des USA, je l'avais revu, dans une situation pire que banale, je le voyais juste devant moi, parce que je venais de lui foncer dedans. J'allais commencer à m'excuser mais rien ne vint si ce n'est son prénom.

    « J.. Joshua ? »

    Et la seule chose à laquelle je pensais, c'était à cette promesse quand on s'était faite, il y a de ça 4 ans. Je venais de le retrouver dehors, encore à ce mariage..

    Belammée – JOSHUA ! Je te cherchais, je viens d'avoir une idée géniale ! On se marie dans dix ans ? Promets-le !
    Joshua – (en riant) si tu veux Bela, si tu veux. Je te le promet. Ça te va ?
    Belammée – (grand sourire) parfait !


PS : je ne suis pas très douée pour les débuts mais bon... ^^' Réponds quand tu veux :plop:
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MessageSujet: Re: Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; EmptyDim 21 Mar - 22:31


. « L'absence de l'être aimé laisse derrière soi un lent poison qui s'appelle l'oubli. » ; Joshua&Belammée



Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Milo-Ventomiglia-milo-ventimiglia-6970235-100-100 & Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Icon-ashlee-simpson-6843577-107-100
Je me souviens du premier jour ou je t'ai vu. La pluie tomber sur ton visage tu m'a tellement plu. C'est fou comme aujourd'hui les temps ont changé ♪

    Je finissais une longue journée de cours, et me dirigeais vers ma voiture lorsqu'une jeune fille dont le visage m'était familier vint me parler. J'avais l'impression de la connaitre, mais quelque chose m'échappais. Elle me rappelait Belamée, que j'avais rencontré cinq ans plus tôt. Et mes souvenirs resurgirent.

    La première impression que j'avais eue d'elle était qu'elle était une jolie fille, au fin visage orné de boucles rousse. Elle n'était pas tellement maquillée, mais tellement magnifique dans sa petite robe bleue. Voilà l'image qu'il me venait à l'esprit à chaque fois que je croisais cette fille du regard. Cette image qui est gravée pour l'éternité dans ma mémoire, le fameux jour du mariage qui unit pour la première fois un Canterburry & un McLowndes. Est-ce le dernier ? Probablement pas. Bela et moi étions à première vue totalement différents, elle était tout d'abord plus jeune que moi, elle était très jolie, et avait l'air quelque peu insouciante aux premiers abords. Mais en la connaissant mieux, elle me ressemblait énormément. Je me souviens parfaitement de la première fois où je l'ai vu, je m'en rappel, comme si c'était hier. Chaque chose, les moindres détails, même les plus futiles. C'était un samedi après midi; le ciel était dégagé à Miami, il faisait même particulièrement chaud pour une journée de mai. J'avais presque l'envie de me rendre à la plage. Mais ce jour-là, j'avais des obligations : une personne de ma famille se mariait. C'était un jour tellement important pour elle et la famille c'est bien connu, ça passe avant tout. De toute façon, n'étant pas encore majeur, je n'avais pas vraiment eu le choix. Je m'étais donc rendu à l'église, habillé en tenue du dimanche, en parfait jeune garçon d'honneur ; je trouvais ça pathétique. Les mariages, ce n'est pas que je n'aimais pas, on y rencontrait des nouvelles personnes, on se rapprochait de la famille et tout ça ... mais le problème était que je n'avais jamais été proche de ma famille, moins je la voyais, mieux je me portais. Et ce rassemblement de McLowndes ne me disait rien qui vaille. Après un passage à l'église et un début de soirée sans rebondissement, je décidais de sortir prendre l'air. La salle où se déroulait la soirée du mariage possédait une grande terrasse d'où il y avait une magnifique vue. J'étais sortie, la tête baissée, sortant une cigarette de ma poche. Là se trouvait une jolie jeune fille, elle devait être légérement plus petite que moi, mais son maquillage et son style vestimentaire la vieilissait un petit peu. Elle n'aimait apparemment pas plus les mariages que moi. Nous avions discutés toute la soirée et dès ce soir-là j'avais trouvé beaucoup de points communs avec elle, nous avions même compris que nous habitions tous les deux à Miami. Ce qui était bien avec elle, c'est que je pouvais tout lui dire, sans qu'elle ne me juge. Tout était beaucoup plus simple. Réel. Nous avions même fait la promesse de se marier dans dix ans. Sur un coup de tête comme ça.
    Les soirées en sa compagnie se sont multipliés et du mieux que je me souvienne, c'est cette petite rousse, avec qui j'ai du passer les meilleurs moments de mon adolescence. Mais les choses n'ont pas était simple entre nous, nos histoires de coeurs respectives nous ont séparés et nous nous sommes perdus de vue. Puis il y a eu mon séjour en prison. Et puis maintenant Berkeley, il faut avouer que j'avais souvent croisé cette fille & qu'à chaque fois elle me faisait pensée à Belamée, mais je n'avais jamais eu le courage d'aller lui parler. De peur que ce ne soit pas elle, et d'être dessue, ou bien que ce soit elle, et qu'elle m'en veuille encore ; ça faisait plus de 3 ans que je ne l'avais pas vue. Et en y repensant, sa présence me manquait terriblement.

    Elle se trouvait en face de moi, m'appelant pas mon prénom, tout en hésitant. Je la dévisageais. Est-ce elle ? Les traits de son visage, ses cheveux roux, avait des reflets inimitables, j'aurais pu reconnaitre ses yeux parmi milles, tellement je les avais contemplés. Pourtant, un doute persisté ... je ne savais pas tellement comment réagir. Je lui souris, puis me contentait de lui répondes d'un ton interrogatif tout à la fois charmeur.
    « Oui ... c'est moi. » Je pris une grande respiration. « A qui ai-je l'honneur ? »



Ne t'inquiète pas pour sa. Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; 828200 Il est très bien. désolé pour l'attente
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MessageSujet: Re: Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; EmptySam 27 Mar - 1:38


. « L'absence de l'être aimé laisse derrière soi un lent poison qui s'appelle l'oubli. » ; Joshua&Belammée



Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Milo-Ventomiglia-milo-ventimiglia-6970235-100-100 & Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Icon-ashlee-simpson-6843577-107-100

    Mon Dieu. Depuis que je l'avais croisé dans un couloir, j'avais pu imaginer des tonnes et des tonnes de scénarios. Le premier était que ce ne soit pas lui, j'aurais eu l'air bête mais tant pis. Deuxième, je le croisais avec sa copine, connaissant Joshua, cela ne m'étonnerait pas mais je n'en savais rien. J'aurais surement fait semblant de ne pas le reconnaître mais je n'y serais jamais arrivé. Troisième hypothèse, il n'aurait pas voulu me voir. Allez savoir pourquoi mais je suis une fille, une fille prévoit toujours trois scénarios pour se préparer au pire. Mais là, c'était le pire du pire. Quatrième scénario, l'imprévu, l'improbable, le plus douloureux et pour le moins évident. Joshua m'avait oubliée. Oubliée comme le nom de votre première maitresse, oubliée comme les maisons de vacances de votre enfance, oubliée par un coup de vent dans la mémoire. Aïe. De tout ceux imaginés, c'était celui auquel j'aurais du le plus m'attendre. Je n'avais rien de spécial, je n'ai toujours rien de spécial, je stagne. Je ne suis pas d'une beauté alarmante, pas d'une personnalité remarquable.. J'aurais du le voir venir. Ce n'était même pas lui qui était venu me voir il y a de ça trois ans, avant qu'Adam me trompe, avant de ne plus le revoir, avant de partir. J'aurais vraiment eu besoin de lui, ce n'était pas vraiment mon meilleur ami. C'était un peu plus compliqué, même si j'ai la fâcheuse tendance à m'éprendre de mes meilleurs amis. Je me souvenais que je le fui faisais confiance sur tout les plans, parce qu'il était plus âgé, avec plus expérience, et je voulais rattraper ça. Imaginez la petite Belammée qui ne savait pas encore comment agir avec Adam, imaginez cette petite rousse demandez timidement à son ami de lui montrer... Mon Dieu ce que j'avais honte, j'avais honte d'en profiter. Enfin, autant lier l'utile à l'agréable.

    Mais pour en revenir au début, il n'est pas venu il y a de ça trois ans. Sa petite copine du moment, dont je me suis forcée à oublier le nom avait toquée chez moi. Je sentais que son regard n'avait rien de bon, elle ne m'avait jamais aimé et je ne l'aimais pas non plus. C'était une entente cordiale, enfin, quand je dis entente, je suis gentille. Bref, sans m'avoir saluée ni rien, elle avait lancé une phrase froide. « Joshua ne veut plus te voir, te parler. Alors sors de notre vie une fois pour toute, tu seras mignonne. » Mignonne. Je détestais ce mot, je ne l'aime toujours pas. Ce qui est petit est mignon et je détestais qu'on me fasse remarquer que j'étais plus jeune qu'eux. Je ne veux pas être mignonne. Je voulais être belle, je veux être belle. Autant que Joshua. Joshua qui est encore devant moi. Au moins, j'ai la certitude que c'est lui. Il me l'a confirmer et c'est surement ça qui fait encore plus mal. Et si c'était vrai ? Si jamais ce n'était pas, comme je le pensais , lui qui avait chargé sa petite amie de dire qu'il ne me voulait plus rien. Il n'était peut-être pas fautif. Mais je restais septique. Je n'arrive pas à en revenir. Trois ans...Je ma lançais, la voix hésitante et gênée, elle tremblait un peu au départ, je recommençais après avoir pris une bonne inspiration. Je soufflais les paroles, dans l'espoir qu'il se rappelle de moi. C'était tout de même l'un de mes plus proches amis de Miami..

    « Belammée. Belammée Olympe Canterburry si on veut être précis. On s'est rencontrés il y a cinq ans lors du mariage de nos cousins. Ou un truc du genre, la famille c'est pas trop mon truc les mariages, je ne sais pas si tu te souviens vraiment. On... On étaient assez proches pendant deux ans, et ton ex -ou peut-être que c'est encore ta copine, hein, mais je l'aimais pas donc j'espère pas- m'a clairement fait comprendre que tu voulais plus me parler. Enfin, j'ai pas trop su ce que je t'avais fait donc ça ma paraissait un peu bizarre. Mais en fait, peut-être que tu t'es lassé mais j'en sais rien. Si ça se trouve, ça te revient même pas à la tête, parce que c'est vrai que trois ans c'est long... Enfin bref, tu te souviens ? Ne serait-ce qu'un petit peu ? »

    Oh oui, trois ans c'est long sans lui. Je ne sais pas comment réagir, je dois rosir un peu. J'espère que ça peut encore passer pour du blush. Si il ne me reconnaît pas, je vais avoir l'air d'une folle mais je suis sure que c'est lui et j'ai envie de le serrer dans mes bras, de savoir ce qu'il est devenu, de sourire à ces blagues... C'est en l'ayant devant moi que je me rends compte à quel point il m'avait manqué...Je n'ose pas lui demander ce qui s'est passé depuis, je ne sais toujours pas si mon visage va revenir à sa mémoire. Certes, trois ans c'est long, mais j'espérais l'avoir marqué assez pour qu'il se souvienne de moi...
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MessageSujet: Re: Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; EmptyVen 16 Avr - 0:54


. « L'absence de l'être aimé laisse derrière soi un lent poison qui s'appelle l'oubli. » ; Joshua&Belammée



Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Milo-Ventomiglia-milo-ventimiglia-6970235-100-100 & Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Icon-ashlee-simpson-6843577-107-100
La première fois je t'ai vu, je savais que cela ne durerait jamais. Je ne suis pas la moitié de ce que je souhaitais être. && je suis si furieux, je ne pense pas que cela passera jamais. Et j'étais une mauvaise chose pour toi, juste parce que je n'ai jamais eu l'intention de te blesser ♪


    C'est fou la vie, quand on y pense. Lorsqu'on on oublie les gens, ou du moins que l'on fait le maximum pour éviter de trop y penser ... afin de se protéger. De ne pas souffrir par le manque causé pas le vide ce cette personne dans notre vie. Au moment où l'on arrive enfin à y accorder moins d'importance, quelque chose arrive. Belammée n'était jamais sortie de mes pensées, il m'arrivait souvent de repenser aux moment où l'on pouvait encore parler de Bela & Joshua, aux temps que l'on passait ensemble, aux délires & aux fous rires que l'on avait partagés. Aux commentaires des gens jaloux de notre relations qui nous disaient inséparables ... Mais comme on dit " La nostalgie fait surface quand le présent n'est pas à la hauteur du passé". M'enfin, alors que je commençais à me faire à son absence, il fallait que je croise une personne qui lui ressemblait comme deux goutes d'eau. Qu'avais-je fais pour que le destin s’acharne sur moi ? J’étais peut être un peu trop excessif, mais le manque du personne qui nous ai cher, peut rendre fou. Mon histoire avec Bela de datait pas d’hier, elle était gravée en moi & rien ni personne ne pouvait y changer le moins du monde. C’était comme sa.

    Et cette fille qui lui ressemblait, ce ne pouvait pas être elle, c’était impossible. Que ferait-elle en Californie ? Et pourquoi Berkeley ? Non, ce n’était pas possible, c’était mon esprit qui me jouait des tours, elle lui ressemblait certes, mais ça ne pouvait pas être elle. Pourtant en la regardant bien, elle avait beaucoup de points commun avec la Bela de ma jeunesse … Ses traits du visage, sa fine taille, ses yeux et son magnifique sourire. J’étais en pleins doute, je ne voulais pas croire que ça pouvait être elle et pourtant tout me laissait penser que j’avais à faire à la demoiselle avec laquelle j’avais passé un long bout de ma vie. Elle voyait que je la dévisageais. Et puis elle prit la parole. « Belammée. Belammée Olympe Canterburry » Ses paroles résonnaient dans ma tête, c’était elle, comment avais-je pu ne pas la reconnaitre. J’en avais quasiment les larmes aux yeux, de la revoir après tout ce temps. Je ne l’avais pas croisée, depuis que j’étais partie en prison, voir même avant. Lorsque ma copine actuelle m’avait fait comprendre que je devais choisir entre ma meilleure amie, et même plus … Et elle. Et c’est à ce moment là, que j’avais fait une des erreurs monumentales de ma vie. Tout avait basculé à partir de ce moment là. Je ne supportais plus de ne plus revoir Bela, je devenais agressif envers ma petite amie, car je lui en voulais de m’avoir fait du chantage … Et quelques semaines après elle m’avait quitté. Venait ensuite la nuit où la fin a débuté.
    Tout cela ne serait probablement pas arrivé si j’avais choisis Bela, et je le regrette aujourd’hui. Mais ce n’était pas une raison, pour me laisser aller à des larmes. Et puis elle déballa toute notre histoire du début à la fin, résumée en quelque phrase. C’était tellement d’émotions, la retrouver, qu’elle se souvienne de moi, et tout ce que s’en suivait que la seule réaction que je pus avoir c’était de la prendre dans mes bras.

    « Oh Belammée, ma Bela, tu m’as terriblement manqué. Si tu savais. Je pensais que tu m’en voudrais et que tu ne pardonnerais jamais ce qu’elle t’avait fait. Ça fait si longtemps. »

    Et pourtant, malgré les années qui avaient passé, je n’avais jamais arrêté de pensé à elle, et je pensais tellement qu’elle m’avait oubliée …

    « Evidement que je me souviens de toi, et bien plus que tu ne peux l’imaginer. Comment aurais-je pu t’oublier ? Et ces deux années passées avec toi. C’est si bon de te revoir. »
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MessageSujet: Re: Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; EmptyJeu 22 Avr - 16:15


. « L'absence de l'être aimé laisse derrière soi un lent poison qui s'appelle l'oubli. » ; Joshua&Belammée



Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Milo-Ventomiglia-milo-ventimiglia-6970235-100-100 & Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Icon-ashlee-simpson-6843577-107-100
I watch the night turn light blue
But it's not the same without you.
Oh Darling, I whish you were here.

    Je dois dire qu'en un rien de temps, quelques secondes à peine, tout avait changé. Tout le stress s'évaporait peu à peu de moi, remplacé par un soulagement infini et peut-être de calme incroyable. Il faut le dire, Joshua était le seul à pouvoir me faire tenir en place. C'était surement pour ça qu'on s'entendait bien, il était assez paisible pour me retenir au même endroit une journée entière, même assise. Il m'apaisais à un point inimaginable pour une hyperactive. Avec Joshua, j'avais presque l'air normale. Enfin presque, parce que je continuais à délirer sous acide. Ça avait l'air de le faire rire et j'aimais ça. Vous savez, vous vous sentez un peu utile, important pour quelqu'un. Lorsque je l'ai croisé ce soir là, à ce mariage, je ne me doutais de rien. Passer trois ans avec lui semblait presque irréel, la seule amitié qui avait duré dans le groupe de la jeunesse de Miami. Même avec Adam, cela avait duré moins longtemps.

    Pourtant, tout avait fini si vite. Une fille, que je qualifierais volontiers de pétasse, lui avait demander de choisir. Je ne savais pas vraiment à qui en vouloir, à lui ou à elle. Je crois que c'est surtout que j'en avais pris un coup personnel, au niveau e l'égo. Celui que je considérai comme un des mes meilleurs amis, le seul à out savoir en temps et en heure, le seul mec qui aurait pu passer avant mon petit ami mais il faut croire que tout ce que j'aurais pu lui donner, il ne me l'aurait sans doute jamais rendu. Après tout, c'était peut-être l'amour de sa vie, je sais maintenant que ce pour moi, ce n'était pas le cas. J'étais partie peu de temps après,je n'avais aucune nouvelle de Joshua, ne l'avait jamais revu, jamais entendu me parler... Jusqu'à aujourd'hui.

    Sa manière de m'appeler «ma Bela » m'aurait vraiment dérangé de la part d'une autre personne, mais j'aurais pu tout lui pardonner, il m'avait tellement manqué. Je sentais ses bras m'entourer, comme avant, et cette impression que rien ne pouvait m'arriver à cet endroit. Avec Joshua, et sans acide, tout me paraissait encore possible. Mon Dieu, que c'était bon de le trouver, son odeur me paraissait encore familière alors que je l'avais oubliée. C'était relativement troublant. Ses cheveux, sa façon de m'enlacer, ce regard qu'il faisait pour que je lui pardonne et sa voix, bordel, sa voix qui me chuchotait de faire la mur au téléphone parce qu'il m'attendait en bas et qu'il ne bougerai pas avant qu'on appelle les flics. Et la haine de ma famille envers les policiers américains aurait fait qu'il serait encore là-bas si jamais je ne sortais pas dans ces fraiches soirées. Il me prêtait son manteau, riait de mon pyjama et m'emmenait me baigner vers 5heures du matin.

    Tout était cumulé, ces retrouvailles me faisaient le même effet que la chanson Trouble de Coldplay, je pleurais silencieusement contre lui. Mes bras se passaient autour de sa nuque, je m'accrochais à lui de peur qu'il ne parte à nouveau.

    « Jamais, jamais. Je peux pas t'en vouloir alors que je viens de te retrouver. Oh Josh', tu m'as tellement manqué ! C'est bon de te revoir ! C'est trop dur de rester fâchée contre toi, c'est cruel, tu le sais ça ? »

    Je restais contre lui, mon rire résonnant entre mes larmes. Non vraiment, il ne pourrait pas dire que j'avais beaucoup changé, toujours la même manie de passer d'un extrême à l'autre.. Bordel, Joshua se souvient de moi. Rien que ça, ça me fait tellement plaisir, si tu savais..
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MessageSujet: Re: Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; EmptyDim 20 Juin - 2:48


. « L'absence de l'être aimé laisse derrière soi un lent poison qui s'appelle l'oubli. » ; Joshua&Belammée



Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Photo_31609334_3 & Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; 29459i8
I have destroyed our life, it's gone, payback is sick it's all my fault. I'm fading.I'm broken inside I've wasted the love of my life
I'm losing it (8)



    Mon amitié avec Belammée était bien plus que l'on pouvait l'imaginer. Elle était la seule qui me connaissait vraiment, la seule avec qui je pouvais être vraiment moi-même, qui m'aimait probablement pour ce que j'étais. J'aurais pu passer une semaine avec elle sans dormir et sans m'ennuyer, quand nous étions réunis, rien ne pouvait nous arrêter. Nous étions deux êtrescomplémentaire et malgré des caractère bien différents, notre relation avait toujours bien fonctionné avec elle. Comment j'aurais pu l'oublier ? Ce n'était pas possible, ce serait comme me demander d'oublier l'alphabet ou le prénom de ma mère. Bela faisait partie de ma vie, je n'aurais pas pu effacer 3 des plus belles années de mon existence. A ses cotés, j'avais passé les plus merveilleux moment de ma jeunesse et pas des moindres, j'en garde des souvenirs qui sont marqués en moi pour toujours. Mais le jour que je n'oublierai probablement jamais, est celui où je l'ai rencontré, l'une des plus marquante rencontres que j'ai faite jusqu'à lors.

    Elle devait avoir quinze ans, et pourtant on aurait dit une petite femme. Ses jolies bouclettes et ses grands yeux verts-gris m'avaient tout de suite charmés. Elle portait une petite robe bleue qui la mettait en valeur, elle était splendide. Mon regard c'était tout de suite posé sur elle, lorsqu'elle était sortie sur le balcon. Qu'est ce qu'une fille aussi jolie faisait toute seule dehors lors d'une cérémonie, qui est censé être quelque chose d'amusant pour tous ? Quoi qu'il en soit, on aurait pu me pauser la même question; a l'époque, j'avais un peu plus de dix-sept ans & j'avais bien d'autres choses en tête que les mariages et autres festivités. C'est ainsi qu'était né notre premier point commun, toute la soirée, nous avions partagé de bons fous-rires. Et c'est après ce jour que nous sommes devenus inséparables. Quoi qu'il en soit nous n'étions jamais l'un sans l'autre.A Miami, il était impossible de voir Belammée sans Joshua et vice versa. Bien que notre différence d'âge faisait l'objet de bien des remarques, notre amitié était bien plus forte que tout ce que les gens pouvaient penser. Jusqu'au jour où l'on s'était promis l'un à l'autre que dans dix ans ... on remplacerait les mariés de ce soir-là & que pour la deuxième fois les Canterburry & les Mclowndes s'uniraient.

      Joshua : «Tu m'as tellement manqué toi aussi. J'aurais tant cru que tu ne me reparlerais jamais, après ce que je t'ai fais. Je pensais que tu m'en voudrais toute ta vie. Je crois que je n'ai jamais eu l'occasion de m'excuser vraiment. Alors sincèrement, je tiens à te dire une chose Bela, je suis désolé, d'avoir fais le mauvais choix et de t'avoir fais passé après ma petite amie. Tu es la seule et unique, la seule qui comptait vraiment pour moi et j'ai tout gâché pour rien. J'en suis terriblement désolé »


    Non, il aurait été impossible pour moi de ne pas se souvenir de ses magnifiques boucles. Elle avait certes changé, grandit & mûrie, elle était toujours la même. Ma petite Belammée ... pour qui j'aurais été prêt à tout. Tout ... ou quasiment, car, on fait tous des erreurs, et lorsque ma copine du moment, la seule que je n'ai jamais vraiment aimer, m'as demandé de choisir entre ma meilleure amie, et femme la plus importe de ma vie et elle, j'ai fais l'énorme bêtise de la choisir elle, pour qu'elle me trompe quelques semaines plus tard. Oui tout le monde fait des erreurs, certaines sont plus regrettables que d'autres. Mais ... j'espérais au fond de moi, qu'elle me pardonnerait et qu'un jour tout pourrait redevenir comme avant.
    La voir, debout en face de moi, pour la première fois depuis deux ans, c'était un pur bonheur. Je ne pouvais m'empêcher de la prendre dans mes bras.

      Joshua : « Tu sais, je ne t'ai jamais oublié, je crois qu'il n'y pas une fois où je n'ai pas pensé à toi. Tu me manquais tant et il y avait tellement de choses qui me rappelaient notre histoire. Je n'aurais jamais pu oublier ton sourire » Je la serrais encore un peu plus fort contre moi, en faisant attention à ne pas trop forcer pour ne pas l'étouffer « Je viens à peine de te retrouver, et j'aimerais ne plus jamais te quitter, si tu savais comment j'ai regretté d'avoir tout foutu en l'air. Promet moi qu'on fera tout pour qu'une pareille chose ne se reproduise plus. Non il y a pas moyen, je ne peux pas rester loin de ta vie plus longtemps. Du moins si tu veux bien que je revienne dans ta vie à part entière.»
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MessageSujet: Re: Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; Même au bout des Etats-Unis, je sais encore te reconnaître ; EmptyMar 5 Juil - 23:45

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» Juliet - Que mettre en titre ? Je ne sais pas ! Toi tu sais peut-être ?
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