| | | Le blues du businessman [pv Konomi] |  |
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Invité Invité
![Le blues du businessman [pv Konomi] - Page 2 Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) | | Sujet: Re: Le blues du businessman [pv Konomi] Dim 6 Jan - 21:11 | |
| Voyant la tête de John-Thomas, je me disais bien qu’il me prenait pour une idiote. Il me répondait donc alors sur un ton qui m’indiquait qu’en fait, il se fichait totalement ce que je venais de lui dire. Et comme à chaque fois qu’on se voyait j’avais l’impression qu’il me mentait. Il détournait même le regard pour ne pas me voir. Il ne tenait pas à l’affrontement, et il voulait donc ne pas accepter ce que j’avais à lui dire. Même si je ne m’étais trouvée pas loin de lui, je n’avais pas eu un regard un peu plus « honnête ». L’entendant me dire qu’il s’excusait pour sa mauvaise humeur et le fait que le m’inquiète chez lui, tout en l’observant, je lui répondais assez sérieuse.
- « Certes, mais ce n’est pas une raison pour me parler sur ce ton… »
M’étant occupée du livreur, je n’avais pas vraiment vu que mon interlocuteur avait changé de tête. Il était passé de la mauvaise humeur à la joie, comme s’il était passé du coq à l’âne, je me demandais bien ce qu’il me planquait encore. Le voyant dire à sa secrétaire qu’il demandait à ne pas être dérangé. Je croisais le regard de la dame. Elle était à la fois interloquée et surtout surprise de voir que je me trouverai encore ici pendant un petit moment. Elle avait sans doute vu à ma tête qu’il y avait eu un problème. Je ne doutais pas une seconde que cela jaserait le lendemain dans le bureau. Qu’il se passera des « histoires de couloirs » ; et si je revenais, il se passera donc encore une histoire. Sauf que pour moi, je ne tenais pas non plus à laisser tomber JT. Tandis que je l’observais se bouger pour alors ouvrir le déjeuner. Allant m’asseoir à côté de lui sur le canapé. Je dépassais mes affaires pour qu’elles ne soient pas écrasées. Puis je ne tenais pas à tasser mon manteau. Regardant donc les petites boîtes, j’observais John-Thomas du coup de l’œil.
Il était là plus ou moins calme, il ne disait rien à part qu’il voulait commencer le déjeuner. Il prenait donc sa petite boîte, et il essayait de reprendre le sourire. Quant à moi, je ne voyais pas cela vraiment du bon œil. Prenant mon petit paquet, je l’ouvrais doucement. Puis reliant mes mains devant moi, je disais. - « 食欲良い。 » (Bon appétit.) J’avais beau me trouver dans un pays anglophone, je ne tenais pas à perdre ma culture. Je préférais donc une fois de plus essayer de trouver un équilibre. Prenant ma fourchette, j’allais manger à l’européenne pour une fois. Alors que je la déballais du sachet en plastique, je lui disais donc en essayant de garder le sourire.
- « C’est vrai que c’est très bon. Bon appétit au fait. »
Tandis que je l’observais toujours dans la discrétion, je me demandais bien pourquoi est-ce que ce visage d’ange pouvait donc avoir craqué pour aller vers une noirceur aussi intense. Est-ce qu’il avait vraiment craqué ? Est-ce qu’il ne désirait pas de ma présence ? Est-ce qu’il ne voulait pas de moi comme ami ? Il n’était pas dans l’optique de la confiance et cela se voyait. Il était là assis, et il montrait bien qu’il voulait changer de sujets. Sauf qu’à force de me poser des questions, j’avais comme l’impression que ma tête allait exploser. Pourquoi est-ce qu’il fallait que je m’inquiète autant ? Finalement, je devrais sans doute aussi faire un effort. Puis je lui répondais à propos de l’argent.
- « Comme tu veux. »
Le regardant un peu plus, je tournais la tête vers lui pour lui parler correctement. Je n’avais nulle intention de m’asseoir de travers. Je tenais à cette proximité qui me donnait l’impression de faire un effort supplémentaire. Comme si le fait d’essayer de mettre mon éducation de côté pouvait me permettre d’atteindre une petite part de plus chez JT. Je lui disais en souriant.
- « C’est sympa comme repas, tu fais cela souvent ? »
Revenant à ma petite boîte j’essayais de ne pas mettre mes pattes sur la table basse. Puis la sauce ne serait pas forcément bien sur mes vêtements. Le formage dans la sauce avec les pattes, j’appréciais fortement ce plat que je ne mangeais pas souvent. Il était certain que je n’aurais pas souvent la chance de pouvoir en manger. Mais bon, pour moi, le repas avait plus un goût amer qu’autre chose. Essayant de ne pas trop lui en vouloir, je regardais dans ma petite boîte pour trouver les morceaux de poulets qui se trouvaient dedans. Regardant en face de moi, je disais à John-Thomas.
- « Il manque juste une belle photo avec une plante et ton bureau sera très beau. »
Je savais qu’une plante et une photo d’un paysage ou autre avait tendance à adoucir la personne qui travaillait dans la pièce. Alors ne rien voir de tel me donnait la sensation que JT ne désirais pas vraiment travailler sans trop de stress. Tandis que je regardais un peu plus son bureau, je me demandais bien ce que je pourrais lui dire sans qu’il le prenne mal. Alors que j’avais bien un sujet de musique en tête, je lui disais.
- « Dans les prochains jours, je vais travailler sur un prochain album, alors ne t’étonne pas si je ne réponds pas de suite au téléphone. »
En général j’étais pas mal occupée, et il m’arrivait aussi lors de ces moments-là d’être aussi exécrable. Voulant à tout prix réussir, je n’hésitais pas à envoyer tout le monde balader sauf les privilégiés qui à mes yeux étaient importants dans ma vie. Mon interlocuteur en faisait parti, et je ne voulais pas le faire partir. Confuse, je ne savais pas trop où est-ce que j’en étais. |
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| | Sujet: Re: Le blues du businessman [pv Konomi] Jeu 10 Jan - 22:15 | |
| A aucun moment JT ne voulait s’énerver après elle, mais la drogue ne l’aidait pas à se contrôler et cela en plus d’être comme prit la main dans le sac, mais alors qu’il s’expliquait, son regard avait comme changé, comme un moment de faiblesse en croisant son regard, une envie d’autre chose qu’une engueulade, autre chose que d’être mis face à ses problèmes, mais la secrétaire, suivit du livreur, avait interrompu ce moment, était ce une si mauvaise chose au final ? Etait ce le moment de se laisser aller à ce genre de chose, que lui avait il prit de l’inviter ? En réalité, tout était confus dans l’esprit de l’inventeur, il aimait la présence de Konomi, mais ne voulait pas qu’elle le voit ainsi, cela ajouté à la peur de basculer dans quelque chose de sérieux qu’il n’était pas certain de savoir gérer, s’il se montrait terriblement précoce pour la manière de gérer ses affaires, il n’en était pas de même pour ses relations humaines et surtout amoureuses, loin de là…
Konomi avait alors réglé la note et lui donné ses consignes à sa secrétaire qui avait ensuite quitté les lieux. Ils s’étaient maintenant installé sur ce canapé afin de commencer à manger, JT leva un instant les yeux vers son interlocutrice lorsqu’elle lui dit ces termes en japonnais, il ne connaissait pas cette langue, bien qu’il avait commencé à mémoriser quelques mots depuis qu’il la connaissait, sachant qu’il avait une très bonne mémoire
-bon appétit c’est ça ?
Demanda t’il pensant deviner ce qu’elle venait de dire, c’était ce qui était le plus logique non ?
-Et bien bon appétit alors
La conversation devint alors banale en quelque sorte, évitant les sujets sensibles ce qui arrangeait bien le jeune chef d’entreprise qui n’avait absolument pas envi de répondre de cela, préférant largement la conversation actuelle
-non ! mais je le devrais, surtout que ce traiteur fait toujours de très bonne chose
Précisa t’il en lui faisant un clin d’œil tout en mordant dans sa calzone, avant de répondre à propo de la déco, domaine qui n’était pas vraiment son fort d’ailleurs, ce bureau avait finalement un style assez banale
-je n’ai jamais eut la main verte, mais on pourrait essayer, quand au tableau, oui j’y avait pensé, mais je suis difficile
Continua son repas, JT se demandait si Konomi allait remettre le couvert sur le sujet de la drogue ou non, avait elle vraiment cru à son manège, qu’il allait s’arrêter après avoir jeté ce sachet dans les toilettes… Konomi n’était pas idiote… Il sorti tout à coup de ses pensées lorsqu’elle évoqua son prochain album et le fait qu’elle ne sera que peu joignable…
-oh… je comprend… tu as sans doute besoin d’être dans ta bulle quand tu créé… comme beaucoup d’artiste de je suppose…
Dit il alors d’un léger sourire, reprenant son repas, il avait un air pensif sur le visage, il aimait sa compagnie, mais… il ne savait pas ou il en était, ayant peur de ne pas gérer… Il se demandait aussi ce qu’elle pensait de lui, surtout après avoir parlé à Emy… que savait elle à propos d’eux d’ailleurs ?.... Soudain, il leva les yeux vers la belle asiatique
-vous vous êtes dit quoi avec Emy à l’aeroport ?
La question était assez direct, en vérité, JT voulait surtout savoir ce qu’elle lui avait dit, cela était aussi un sujet sensible, mais moins que ce sachet de poudre, et il était temps qu’elle ait ses explications non ? |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Le blues du businessman [pv Konomi] Ven 11 Jan - 12:07 | |
| L’ambiance était tendue, je me demandais bien comment est-ce je m’en sortirai. Est-ce que je me tiendrai droite ? Est-ce que je serais aussi calme qu’avant ? Comment faire dans une telle circonstance ? Est-ce qu’il fallait que je prenne le temps pour moi par la suite ? JT avait cette attitude qui me rappelait ce qu’Emy m’avait dit. Qu’il ne faisait pas attention à ses actes et que pour lui tout était donc normal de faire comme il fait. Il fallait que je trouve de quoi lui répondre. Mais pourquoi est-ce que je devais ne pas m’énerver ? Pour l’instant, je devais donc lui répondre pour savoir ce qu’il avait en tête. Puis pour une fois, je me disais que cela ne soit pas trop pour moi une bonne idée, mais ayant comme la sensation que je devrais alors lui répondre sur un ton peu agréable sans doute à ses oreilles. Je lui disais donc pour répondre à sa première question.
- « Oui, c’est bien pour dire : bon appétit. »
Il fallait que je sache quoi dire ou faire. Mais vu comment était JT, je me disais qu’il était donc préférable que je prenne le temps aussi de me calmer. Sauf que l’instant présent ne m’aidait pas vraiment. A vrai dire, j’allais sans doute écrire mes chansons avec ce nouveau souvenir. Et bien entendu, cela aura une incidence sur ma musique. Pour une fois, je me trouvais plus préoccupé pour la suite que de savoir JT là devant moi avec une telle distance que j’avais comme le sentiment que la situation n’irait pas forcément dans le bon sens. Pour l’instant cela se calmait, mais bon, je me rendais compte que je ne pourrais pas forcément faire en sorte de me trouver calme. Mangeant un peu de mes pâtes qui avaient vraiment un goût amer, je lui répondais sur le traiteur.
- « Oui, tu devrais le faire, tu mangerais mieux et tu pourrais faire une bonne pause pour le déjeuner. »
Puis comme il me disait « on » pour la plante, je le regardais donc attentivement. Me demandant bien ce qu’il pouvait dire par là. Est-ce qu’il faisait enfin attention à ce que j’avais dis dans les chansons ? Est-ce qu’il avait simplement dit une erreur ? Est-ce qu’il prenait en compte ce que j’avais pour lui ? Est-ce les pâtes lui montaient à la tête ? Je disais qu’il était donc évident que je lui réponde. L’observant un peu doucement, je lui disais en souriant.
- « Tu veux vraiment que je t’aide pour la plante ? Tu voudras la mettre où dans la pièce ? »
Je ne voyais pas quoi dire d’autre, est-ce qu’il fallait que je continue sur la plante ? Est-ce qu’il fallait que je lui parle d’autres choses ? Il fallait bien que je continue la discussion. JT m’avait demandé pour mon album et il me disait que je ne serais pas trop joignable durant un petit moment. Mais bon, je pouvais aussi faire une exception. Je lui disais essayant de sourire bien que mon humeur allait sans doute s’évaporer par la suite. - « Par contre je fais des exceptions parfois. Je réponds aux personnes que j’apprécie plus que les autres. C’est juste que j’aime bien aller à Tokyo pour le faire et comme ça, je peux avoir un peu de calme. » Pourquoi est-ce qu’il fallait que je me justifie ? Cela était vraiment nécessaire de le faire ? Sans doute que je tenais à lui dire où est-ce que je me trouvais. Puis comme il était important pour moi de lui dire ce que je pensais. Je ne réalisais pas de suite, que j’en aurai donc pour un petit moment. Ma bonne humeur s’en alla lorsqu’il me demandait en croisant mon regard ce qu’Emy m’avait dit à l’aéroport. Lâchant la fourchette en plastique, elle tombait de mes mains. Regardant toujours JT qui se trouvait devant moi, je le regardais sérieusement. Il voulait vraiment mettre ce sujet-là sur le tapis ? Pourquoi est-ce qu’il m’en parlait pour éviter le sujet précédent qui était atterrit dans les toilettes ? Je lui disais alors tout en restant sur le même ton.
- « Que tu étais partie alors qu’elle avait plus besoin de toi. Que tu n’acceptes pas les choses telles qu’elles sont. Et que surtout je ne peux pas te faire confiance vu tes actes passés. Qu’elle ne voulait pas que je souffre à cause de toi….En gros que tu n’es pas une bonne personne pour moi. Elle t’en voulait beaucoup, d’ailleurs notre amitié est remise en question à cause du restaurant. En gros…..C’est compliqué….Elle t’en veut, elle m’en veut. »
Je comprenais donc qu’il fallait que je fasse plus attention à la suite. Est-ce qu’il fallait que je continue de lui dire tout cela ? Est-ce qu’il était nécessaire que je m’accroche encore ? Puis pour l’instant, je me rendais compte que je devais encore une explication à Jt. Je lui annonçais. - « Elle est au courant pour le site internet et ma musique mais pas les chansons. Je lui ai dit parce que je ne veux pas lui mentir. C’est mon amie d’enfance, tu comprends ? Je ne veux pas vous perdre tous les deux… » Le beurre, l’argent du beurre et la crémière…. Un état d’esprit assez japonais d’ailleurs, vouloir gagner sur tous les plans, avoir le tout et surtout sans casse, enfin essayer sans casse. Pour la simple raison que je tenais aussi à en apprendre plus sur JT, je lui retournais la question.
- « Tu ne trouves pas que la situation a assez duré ? Qu’il faut en finir avec tout ça ? »
Je ne savais pas vraiment pourquoi est-ce que j’avais posé la question mais bon, maintenant qu’elle était posée, il fallait bien que j’ai une réponse. Est-ce que John Thomas serait franc et honnête ? Est-ce qu’il me dirait la vérité ? De toute façon, si je le voulais, je pourrais toujours redemander à Emy. Ainsi, il existait pour moi une solution adéquate si l’envie arrivait. Pour ainsi dire, je me rendais compte qu’il ne fallait pas non plus que je m’énerve mais vu ma frustration, il fallait avant toute chose que je me reprenne. Tournant la tête, ne voulant plus croiser le regard de JT, je reprenais mes pâtes. Sans saveur, il n’y avait aucun goût, juste des pâtes au beurre et encore. Regardant ma boite, elle était presque vide, et presque froide d’ailleurs. Enfin tiède, je n’aimais pas trop lorsque cela était comme ça, mais bon, pour une fois, il me faudrait sans doute faire encore un peu plus d’effort. Posant ma fourchette dans la boîte en carton, je regardais donc le contenant sans réellement avoir une petite pointe d’espérance. Il fallait bien que je réfléchisse à tout cela. Cependant, pour une fois, je me disais qu’il faudrait sans doute que je jette l’éponge… Seulement, mon cœur lui me disait de ne pas le faire…Encore un dilemme à réfléchir. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Le blues du businessman [pv Konomi] Lun 14 Jan - 21:36 | |
| L’atmosphère était en effet devenue pesante alors qu’ils avaient l’un et l’autre débuté leur repas, la découverte de Konomi sur le bureau de JT avait plombé l’ambiance, oui JT était accros et il le niait, se le niant à lui-même, mais la belle asiatique n’était pas dupe… La discussion s’était ensuite écarté de ce sujet, venant sur des sujets plus banals, comme le fait de déjeuner ainsi, ou la déco du bureau, certes, c’était un bureau de président directeur général, mais on y voyait que JT n’était pas forcément un as de la déco…
Puis vint le sujet de ce nouvel album, que JT aurait d’ailleurs hate de découvrir, le talent qu’avait Konomi pour la musique était la première chose qu’il avait remarqué chez elle et qui lui avait d’ailleurs envie de lui créer un site qu’il continuait de mettre à jour d’ailleurs, il avait un réel respect pour son talent, cela avait commencé par cela avant qu’ils ne se rapprochent un peu plus... Elle disait alors ne pas toujours répondre au téléphone dans ces moments de créations, mais qu’elle faisait des exceptions, puis elle annonça qu’elle ira sans doute quelques temps à Tokyo…. Ha… JT baissa la tête sur le moment, Tokyo était… loin… bien que lui-même s’éloignait d’elle tout en vivant dans la même ville…
JT, de lui-même, lança alors un sujet un peu plus épineux, celui d’Emy, cette soirée que Kono avait organisé alors qu’ils avaient commencé à sortir ensemble aurait du être une bonne soirée, puis cela avait tourné au fiasco une fois que la brunette et JT s’étaient retrouvés à la même table… Kono avait eut des explications de la part d’Emy, mais aucune de la part du scientifique à ce jour, il était alors peut être temps… le jeune inventeur se mit alors à baisser la tête en entendant le récit de Konomi sur les dires d’Emy, puis il posa le reste de sa calzone, il n’avait désormais plus faim…
-elle a raison….
Commença t’il à dire
-Emy et moi on était… proche, très proche… peut être même un peu plus que ce que l’on voulait bien dire… on a même failli s’embrasser une fois… puis…. J’ai flippé… j’ai eut l’occasion d’aller au MIT à boston pour poursuivre mes études et je l’ai saisit, fuyant par la même occasion… mais on a continuer à correspondre Emy et moi, à s’envoyer des mails, des sms… mais à durant cette années à Boston, j’ai revue mon premier amour, une certaine Mélinda, et je me suis mit avec, elle me connait depuis que j’ai douze ans… je ne sais pas, j’était rassuré avec elle… On s’est mit ensemble… un jour elle est tombé sur un mail d’Emy, elle a vu rouge, lorsqu’on s’écrivait, on se montrait proche, y’avait des cœurs et tout le toutim…, Mélinda a vu rouge, on s’est disputer, mais j’aurais pu lui expliquer qu’elle n’avait rien à craindre, mais le problème était qu’à lépoque, je me rendais compte que sa jalousie n’était pas totalement injustifier… j’ai donc voulu couper les ponts avec Emy, qui aux dernières nouvelles refaisait aussi sa vie de son coté… j’ai voulu me l’enlever de ma tête…
JT se redressa, puis il prit la canette de soda qu’il avait commandé avec sa calzonne, il l’ouvrit et il en prit une gorgée, il se mit à sourire lorsque Konomi lui posa cette question sur cette situation qui aurait assez duré, un sourire jaune bien sur…
-tu crois ? Emy ne me pardonnera pas et je la comprend… je l’ai mis de coté pour avoir un semblant de vie de couple avec un amour passé… un fiasco total… mais il y a une chose qui doit cesser, ta brouille avec elle… je n’en vaut pas la peine, réconcilier vous… Ne perd pas ton ami d’enfance à cause de moi…
JT se leva alors du sofa refermant le carton de sa calzone qu’il ne finirait pas… Puis il se dirigea vers son bureau tout en concluant
-Emy a raison… je ne suis pas bon pour toi… on a à peine commencer à se fréquenter que je te créais déjà des ennuis… J’veux pas me lancer dans quelque chose si ce n’est pour t’apporter que des problèmes…
Une fois de plus JT prenait le chemin de la fuite, cette fois c’était Konomi qu’il fuyait, il n’avait qu’une envie, l’avoir dans ses bras, mais cela l’effrayait au plus haut point également… |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Le blues du businessman [pv Konomi] Mer 23 Jan - 19:46 | |
| « Elle a raison… » C’est mots raisonné dans ma tête. On pouvait bien dire que je ne pensais pas qu’il puisse avouer qu’il avait tort. Une abeille l’avait bel et bien piqué ou quoi ?! Je me devais de lui répondre même si le temps me disait bien qu’il m’en faudrait pour guérir. Comme si je devais donc une fois de plus accepté qu’Emy ait pu ressentir cela m’en parler. Est-ce qu’elle avait eu honte ? Est-ce qu’elle craignait que je lui en veuille encore ? Je disais donc à JT.
- « Allez…..Je ne vous perdrai pas tous les deux….Avec Emy cela va mieux pour moi….On a encore du mal, mais on va bien y arriver….Puis, toi….Je n’ai pas envie qu’on ne se voit plus… »
Tournant la tête, je tenais à regarder ma boîte de pâtes. Les cheveux tombant un peu pour me cacher, j’en profitais pour me reprendre. Les remettants derrière mon oreille. Je me disais bien que je ne pourrais sans doute pas le faire changer d’avis comme ça. Alors qu’il disait qu’il voulait prendre la fuite, j’avais une fois envie de le secouer. Puis me levant, je lui disais.
- « Et moi…Je n’ai pas le droit d’avoir un avis ? Si je ne veux pas que tu t’en ailles, tu le feras encore ? En gros tu préfères la fuite…..» Laissant mon sac avec mes affaires, je lui disais plus ou moins frustrée qu’il me dise un truc pareil. - « Je reviens. » Me disant que j’avais besoin d’aller aux toilettes. Je me dirigeais donc vers cet espace réservé aux femmes. Ne voyant pas sa secrétaire dans son box, j’espérais bien ne pas las croiser aux toilettes. Sauf que cela ne fut pas le cas, elle y était. L’observant doucement, je faisais ce que j’avais à faire. Puis me disant qu’elle ne serait pas encore là, j’allais donc me laver les mains. Mais non, la curiosité était encore présente. Elle ne savait pas si elle pouvait me poser des questions. Je croisais son regard dans la glace. Puis je lui demandais pour faire craquer la glace.
- « Vous voulez savoir quoi ? »
Me bougeant pour m’essuyer les mains, je n’attendais pas une réponse venant de sa part. Lui souriant, je partais donc tout en jetant le papier dans la poubelle. Retrouvant le chemin pour retourner à son bureau, je retrouvais donc JT assis sur la banquette. Sachant qu’il aurait sans doute vu ma tête qui n’était pas vraiment dans la joie. Je réalisais que de toute façon, il faudrait bien que je m’y fasse. Me rasseyant à côté de lui, je finissais donc ma boîte pour prendre le dessert. Une bonne part de brownie au chocolat, et tout irait bien par la suite. Regardant la tête de mon interlocuteur, je me demandais bien si cela allait encore monté. J’avais fermé la porte mais bon, vu sa secrétaire, je me doutais un peu qu’elle irait lui poser des questions. Puis comme il fallait bien que je sache pour la suite. Je demandais à mon ami.
- « Tout comme j’ai demandé à Emy, tu préfères qu’on se haïsse…. ? »
Je devais savoir mais me connaissant, je ne lâcherais pas le morceau avant d’avoir eu une réponse. Même si les bars avaient été durant mon adolescence des amis, je pouvais aussi y retourner si l’envie était toujours là. A ce moment-là, je n'étais pas très bien, il faudrait sans doute que je parte vite fait bien fait. Sachant que j'irai sans doute jouer au bar musical de la ville ou alors jouer chez mes parents. Je me posais des questions : est-ce qu'il fallait que je lui fasse confiance ? Est-ce qu'il fallait que j'attende ? Est-ce qu'il fallait que je le secoue encore ? Malheureusement pour moi, je devais aussi prendre mon temps, sauf que je tenais à JT et la suite de nos liens s'était en fait révélé dans mon album. Je le demandais d'ailleurs pourquoi est-ce que je ne l'avais pas vu plutôt. |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Le blues du businessman [pv Konomi] Sam 26 Jan - 0:01 | |
| Une tension se maintenait dans l’atmosphère et restait néanmoins palpable, tout ça à cause de ce sachet de drogue découvert, ou plutôt, à cause du fait que l’inventeur se droguait, il était encore dans le déni, dans le « je peux arrêter quand je veux », mais la belle asiatique n’était pas dupe, JT y avait gouté, et il ne pouvait plus s’en passer, c’était plus fort que lui.
Le sujet drogue était sorti de la conversation et ils dégustaient maintenant leur repas Italien de chez Tino, un traiteur ayant pignon sur rue non loin d’ici, parlant déco entre autre, puis JT aborda un sujet plus sensible, sa relation avec Emy et la dispute que tout cela avait occasionné entre Emy et Konomi, à ce propos, elle semblait aux dire de la jeune femme que leur relation s’était un peu détendu, bien qu’elle ne semblait toujours pas au beau fixe, puis il la vit se lever et lui parler encore alors qu’il était désormais à coté de son bureau, JT la regarda alors longuement dans les yeux et intensément, touché par ses paroles, signe qu’elle tenait à lui, mais il ne répondit rien, puis elle quitta finalement la pièce…
Alors qu’elle était sorti, il s’assit finalement à son bureau, puis il sorti son portable, fouillant dans son répertoire jusqu’au numéro de Lux, celle qui le fournissait, il hésita un instant, puis le reposa finalement sur son bureau, sans la contacter, bien qu’il avait besoin de sa dose, il devait faire un effort, bien qu’il allait craquer quelques heures plus tard et se shooter à nouveau…
Quelques minutes plus tard Konomi revenait, refermant la porte derrière avant de poser cette question, plutôt claire et directe, à laquelle JT ne s’attendait pas… Il la regarda alors longuement avant de répondre
-bien sur que non… Mais j’voulais être honnête avec toi, je ne suis pas le prince charmant, loin de là…
Dit il finalement, non, il ne voulait en réalité pas la perdre, disons qu’il flippait, comme à chaque fois qu’il s’attachait… Il était désormais bientôt treize heure et l’après midi de travail allait bientôt débuter, mais avant de s’y remettre JT ajouta
-c’est bien que tu ais vu ce sachet je pense… Tu as raison, j’ai un problème que je dois régler et je vais essayer de le faire… Il va bientôt falloir que je me remette au travail… alors… à bientôt j’espère….
hj: tu peux faire une dernière réponse si tu veux et je pense qu'ensuite on peu le cloturer pour passer à la suite des évènements^^
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Le blues du businessman [pv Konomi] Dim 27 Jan - 14:23 | |
| Prenant donc ma boîte pour les pâtes, je la déposais dans la poubelle en la laissant tomber dedans. Un bruit sourd se fit entendre lorsque le contenant croisa le fond. L’entendant donc me dire qu’il allait donc faire un effort. Je le regardais donc patiemment, essayant de voir s’il disait vrai ou pas. La phrase me disant qu’il n’était pas le prince charmant pour autant, je lui répondais donc en souriant.
- « On n’est pas parfait. »
Lui souriant, je prenais donc mes affaires, puis, prenant mon sac avec moi, je me demandais bien ce qu’il pourrait donc me dire de plus. Allant lui déposer un bisou sur la joue, je me disais qu’il était donc normal de le laisser comme ça. Sauf que j’avais comme un mauvais pressentiment. Est-ce qu’il fallait que je le laisse donc comme ça et que j’attende qu’il bouge ? Est-ce qu’il fallait que je le bouscule un peu ? Puis partant donc pour mes autres occupations, je voyais donc sa secrétaire qui me voyait partir. Lui souriant, je me disais qu’il était donc nécessaire pour moi que j’aille écrire mes textes. Bien que je ne voie pas quand est-ce que j’irai mieux, je sentais que mon cœur ira dans un sens qui ne me plairait guère. Courant donc pour descendre un peu plus vite les escaliers, j’arrivais dans la rue. Ne jetant aucun regard derrière moi, je marchais donc dans la direction pour rentrer chez moi. La musique, oui la musique, elle sera là ELLE au moins, elle ne me jugera pas. Elle sera là pour que je puisse écrire ce qui n’allait pas. De toute évidence, j’aurais nécessairement besoin de temps pour me calmer. Traversant le parc pour aller chez moi, je comprenais que la faculté ne sera pas vraiment ma tasse de thé en cette après-midi chaude et douce. En tous les cas, je ne me doutais pas que la suite serait donc plus ou moins tendue.FIN |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Le blues du businessman [pv Konomi] Dim 27 Jan - 14:45 | |
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| | | | | | Le blues du businessman [pv Konomi] | |
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