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SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P.

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MessageSujet: SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. EmptyJeu 20 Sep - 12:03

TOPIC COMMUN

haters don't like we got the spotlight, sorry for party rockin' singing

Vingt-trois heures, le premier octobre deux mille douze. La musique résonne dans tous le campus tellement le volume est élevé, les murs de Berkeley tremble au rythme du son et rapidement, les notes sont surmontées par un tas de cris enjoués et festifs. Bienvenue à la première réunion interconfrérie de l'année ! Organisée par les confréries, pour les confréries, sous l'égide du doyen des doyens, elle vise à intégrer les nouveaux arrivants et à ce que les confrères habitués ne tissent des liens encore plus fort. Ça, c'est la version officielle, proposée par le Fredericksen de notre campus, et validée en apparence par les trinités de notre université. Version officieuse, c'est soir de bizutage et de débauche ! Bouteilles d'alcools en mains, drogues dans les poches, c'est la soirée de tous les défis ! Certains s'y rendent de bonne grâce, d'autre avec entrain. Certains y vont de leur plein gré, d'autres y sont traîné de force ! Mais l'important au fond, c'est que vous y alliez. Certains se feront spectateur des déboires d'autrui, là où d'autre fourniront à eux seuls un spectacle inoubliable ! Merci monamivodka, messieurs & mesdames les shooters de tequila et toutes la cavalerie, ce soir le bar est votre plus grand ami ! La maison Oméga, home of the roisterers vous accueil pour une nuit blanche made in yellow ! Veillez au grain, car ce soir tout peut arriver, le bon comme le mauvais...

Et on s'en tape de ton discours de grand mère avec tes mots savants, connasse de voix off ! La consigne, c'est de terminer torché à poil au fond d'un lac ! Sinon restez chez vos grands mères les puceaux, on aime pas les fillettes chez les oméga ! A part lorsqu'elles sont bonnes et pas farouches ! On laisse son sens de la honte, ses petites mièvreries, sa religion, sa meuf moche et son p'tit copain chiant sur le paillasson, on prend un verre et on pénètre dans l'antre du Sherman qui vous accueil les bras ouverts & le pantalon aux genoux ! Mot d'ordre : LA PICOLE !!!!!!!

PS : Le premier qui pisse dans mon placard, il est mort.


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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. EmptyMar 2 Oct - 12:49

❝ I'm back ... for the better ❞
J’étais parti depuis quelques mois. J’avais quitté Berkeley avant la fin de l’année scolaire pour retrouver ma Reagan. Harvard. Une nouvelle porte qui s’ouvrait à moi, un véritable choix. Je quittais Berkeley, pour être à ses côtés. Tout simplement parce qu’elle me manquait, parce que j’avais envie d’être là dans les bons comme dans les mauvais moments. Nous formions une famille. Nous n’avons pas le même sang qui coule dans nos veines mais, nous serions toujours, elle et moi la moitié d’un tout. C’est à deux qu’on forme la même famille, la même équipe. Alors du jour au lendemain, j’ai tout lâché. J’ai pris mes valises et j’ai retrouvé les miens. Sauf que rien n’est écrit, on ne peut jamais savoir ce que nous réserve l’avenir et je n’avais pas imaginé cette possibilité. Ma petite sœur voulait revenir sur ses pas. Elle est donc rentrée. Elle s’est réinscrite à Berkeley pour cette nouvelle rentrée. Est-ce que je comptais rester à Harvard ? Au début, je le pensais. Je ne voulais pas qu’elle me prenne pour son ombre. Elle pouvait se débrouiller toute seule. Elle pouvait faire ses choix. Je n’avais pas besoin d’être derrière chacun de ses pas. Mais, il y a un mais ! Je ne peux pas concevoir de vivre trop loin d’elle. J’ai besoin d’elle. Mes parents m’ont donné la chance de l’avoir dans ma vie. Ce n’est pas aujourd’hui que je compte m’en éloigner. Alors, sur un coup de tête, dans la soirée, j’ai fait à nouveau mes valises. J’ai salué mon père et lui ai promis de garder un œil sur notre petite Reagan. J’ai souris et j’ai pris le premier avion, direction San Francisco. Je rentrais chez moi. J’allais retrouver mes habitudes et ces lieux que je connaissais par cœur. J’étais enthousiaste et très vite, j’allais constater que rien n’avait changé ou presque. Les omégas avaient signé leur grand retour dans l’université et sur le campus. La soirée s’annonçait enrichissante et je n’allais pas manquer l’évènement. C’était l’occasion de signer mon grand retour, voir si les habitués étaient toujours dans la place. J’avais quelques détails à régler. Peut-être que la soirée ne suffirait pas. Je n’en avais pas la moindre idée. Cependant, je devais parler directement avec Adriel. Un certain froid demeurait entre nous depuis que je m’étais retrouvé avec Cadence à mon bras. Je pouvais concevoir sa réaction. Néanmoins, il devait savoir qu’il n’y avait rien d’ambigüe entre elle et moi. C’était un pari, un défi qu’on s’était donné. Enfin, j’espère qu’il comprendra.. Et surtout qu’il m’écoute avant de vouloir me mettre son poing en pleine face. Entre nous, c’est souvent comme ça ou presque. On reste des hommes avant tout, on n’aime pas qu’un autre marche sur notre chemin. Alors, quand il le faut, on sort les poings. J’enfilais donc une tenue décontractée, rien de grandiose. Les omégas organisaient l’évènement, il n’y allait pas avoir de petits fours, de petits gâteaux ou des flutes de champagne. Je voyais plus des bouteilles de whisky, de vodka aligner les unes à côté des autres dans toutes les pièces. C’était le moment et donc l’instant. La soirée avait sûrement commencé, l’ambiance devait déjà y être et il ne me fallut pas longtemps pour le constater. Je marchais et à plus de trois cents mètres, on pouvait déjà entendre le brouhaha. Rien n’avait changé, finalement. L’ambiance était toujours présente sur le campus. Certes, les omégas avaient une ambiance bien à eux. Je pense malgré tout, que ça pourrait décoincer certains alphas, certains gammas, trop renfermés dans leurs mondes. J’arrivais. Pas à pas, je me rapprochais de mon passé, des souvenirs et des personnes que j’avais laissé en partant pour Harvard. En arrivant, je remarquais Adriel, occupé avec une demoiselle. Peut-être que cette soirée n’était pas le moment. En tout cas, maintenant, je sais où on peut le trouver. Il y avait cette photo sur les murs de la confrérie, les deux doyens. Zachariah et Adriel. Je vois qu’ils ont trouvé de quoi s’occuper cette année. Je continuais de balayer du regard, les gens qui se trouvaient dans la demeure. Il y avait vraiment du beau monde. On pouvait remarquer qu’ils s’étaient déplacés. Les iotas. Les Epsilons. Les Sigmas. Il y avait du beau monde. Quand mon attention s’arrêta sur une personne en particulier. Camélia. Dangereuse Camélia. Je souriais et lui tournais le dos, réfléchissant à ce que j’avais envie de faire. Tout était clair. Il ne me fallut pas deux secondes de plus pour m’avancer dans la foule, aller près d’elle pendant qu’elle conversait avec cette autre fille. Je lui tournais le dos. J’attrapais de quoi m’hydrater, quelque chose de bien corsée parce que rien n’était facile avec elle. « Camélia Da Volpedo, chez les omégas. Et moi qui croyais avoir tout vu. » J’approchais le gobelet de ma bouche en me retenant vers elle. Je tombais directement dans son regard. Je lui souriais naturellement, avec cette pincée d’ironie. Sérieusement, ça me faisait plaisir de la revoir. Pour avoir connu toutes sortes de femmes, je dois avouer que la belle italienne est unique en son genre. Une vraie rebelle, dangereuse et charmeuse. Souris Beauté, ton prince charmant est de retour et il ne compte pas te laisser une minute de répit. L’ennuyer, la voir s’énerver, j’avoue que ça me plait et ça fait longtemps que je ne me suis pas laissé prendre au jeu. Personne ne peut être comme elle. Voilà pourquoi je me préserve. Elle est la seule que je veux rendre dingue. Désolé mais, je viens de retrouver ma cible numéro un.
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Constance La Tour Dubois
there's no place like berkeley
Constance La Tour Dubois
prénom, pseudo : julia.
date d'inscription : 15/04/2010
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. EmptyMar 2 Oct - 13:00

❝.Ugly secrets & dirty shame.❞
FT. CONSTANCE ; CAMERON ; REAGAN ; AUGUSTO
-----------------
Téléphone en main, clef de voiture dans l'autre. Voilà que je menais, une fois de plus, une conversation palpitante en compagnie de ma vénérable meilleure amie, alors que le temps me pressait. J'étais en retard, même si d'ordinaire j'aimais me faire désirer en arrivant jamais à l'heure convenue, plutôt à l'heure que je me choisissais, aujourd'hui mon retard frisait l'insolence. En même temps, mes obligations actuelles m'enchantaient à un point où je préférais laisser traîner mes louboutin vernies sur le sol, plutôt que de presser le pas vers une soirée qui d'avance me dégoûtait. « .Tu es sûre hein ? Sûre ?. » insistait-elle encore, cette Petrov-Versier. Évidemment que j'étais sûre, il n'y avait aucun moment entre ma naissance et aujourd'hui où je n'avais pas été sûre de ce que j'avançais. J'avais la subtilité innée demandée pour maîtriser l'art d'avoir toujours raison. Alors être certaine de la présence d'un certain monsieur, doyen d'une certaine confrérie, en un certain lieu, jeu d'enfant. Il ne suffisait plus qu'à la jolie princesse de faire son entrée. Entrée que je tardais moi-même à faire, alors que mes talons me guidaient vers ma voiture. Toutefois pas pressée le moins du monde de marquer la foire aux gueux de Berkeley de ma présence, je me laissais terminer ma conversation. « .Oui. » dis-je nettement. Sans sarcasme aucun, mais sans gentillesse non plus. Qu'elle vienne, au pire si prince n'y était pas, elle aurait toujours l'extrême bonheur de se confronter à moi et nous finirions toutes deux la soirée à nous moquer allègrement de la plèbe alentour. « .Et Gusto ?. » Oh lui ? il fait la gueule, il n'a pas été là de la journée et c'est une bénédiction. Ou il ne fait pas la gueule, mais cela ne change pas qu'il n'a pas été là de la journée et que c'est toujours une bénédiction. Car au moins je pouvais fomenter ma petite supercherie en compagnie de Cameron. Toutefois lorsque je lui avais posé la question quant à sa présence, la veille au soir, il s'était contenté d'un grognement, quelques paroles arrachées signifiant qu'il n'avait que faire du festival de la gueuserie à laquelle nous étions sollicités en qualité de doyens et qu'il ne s'y rendrait pas, même un couteau sous la gorge. Parfait, je roucoulerais avec Cameron, tu ne seras pas là et lorsque je rentre, cabriole devant la cheminée. Tiens, j'allais sortir vainqueur de cette situation, finalement. « .Il fait le Gusto. » dis-je simplement en haussant les épaules. Elle comprendrait, elle avait l'habitude elle aussi, si ce n'est plus. Conversation terminée, je déposais mon téléphone sur le siège passager avant de me rendre de bien mauvaise grâce à la sois disant fête du siècle. Une fête. Horreur, infamie. Une fête étudiante mêlant toutes les confréries. L'infamie n'en était que plus profonde. A peine mes talons foulaient le gravier direction la maison Oméga, que j'en avais déjà des hauts le cœur. La plèbe se dessinait sous mes yeux intransigeants, tandis qu'enfin je gratifiais le parquet oméga du dessous de ma chaussure. Le bas peuple me donna envie de prier pour une fin du monde proche. Emportez-les tous ces paysans, remplissez le paradis, je veux bien aller en enfer si c'est là le prix pour ne pas être mêlée au commun des mortels. A peine les portes passées, je gratifiais la grande assemblée d'un regard assuré, pas noir, mais condescendant à souhait. Certains se tassèrent dans un mur de silence, d'autres plus avisés détournaient carrément le regard, par simple appréhension de croiser le mien. L'instant magnifique de pouvoir, là où j'entrais dans un lieu quelconque et où tous savaient qu'il valait mieux s'armer de silence plutôt que d'attiser mon courroux. L'ont me tendis un verre que je refusais d'une vague de la main. Mon but restait Cameron, pas besoin de distraction. Lorsqu'enfin je pu apercevoir mon faux adoré se faire servir un verre non loin de là, je constatais qu'il appréciait la compagnie de Scott. Je vais faire un arrêt cardiaque. Le plus infâme, le plus repoussant d'entre tous. Qui par-dessus le marché, attendit que notre connaissance commune ne soit distrait par mon arrivée pour glisser un petit quelque chose en plus dans son verre. « .Ne bois pas ça. » ordonnais-je intransigeante, alors qu'il avait le gobelet au bord des lèvres. Belle entrée en matière, j'attrapais son verre et le balançais au visage de la mascotte oméga. Ciao bello, va voir ailleurs si j'y suis. Je l'expédiais du regard, l'invitait personnellement à aller se faire voir loin. « .Il a glissé quelque chose dedans. Donc à moins que tu ne souhaites terminer comme ton frère il y a quelque jours, je te déconseille d'y goûter. » expliquais-je à Cameron, toujours aussi maîtresse de la situation. Éludant le climat autour, mais surtout le fait que je n'étais définitivement pas au milieu de mes semblables, je concentrais mes paroles sur lui et l'objectif de la soirée. Autant que tout soit fait proprement et rapidement. « .Champ libre ce soir. Mon adorable colocataire est à la maison. Mademoiselle Barckley passe à la télévision. Une invité spéciale s'occupera de ton frère. Ce qui nous reste un public naïf à épater. » dis-je clairement. Oui, organisée à l'extrême, je m'étais chargée de veiller à ce que rien n'y personne ne puisse contrecarrer mes plans. Constance se charge de tout et ce soir elle va pouvoir manœuvrer assez subtilement pour faire démonstration de son effroyable secret avec Cameron et aussi terminer la soirée en beauté si l'italien était resté bien sagement à la maison, comme convenu. « .Bouclons cela rapidement, le bas peuple en présence me donne la nausée. » concluais-je, adressant un regard révulsé autour de nous. Et puis, optant pour mes traits d'actrice les plus convaincant, j'adressais un rictus en coin au Cameron. Tout dans le geste, rien dans la parole. Ils n'allaient pas venir nous coller jusqu'à nous écouter parler, alors je pourrais râler tout ce que je pouvais dans les oreilles de Cameron, tout en paraissant la plus entreprenante possible. Un bras autour de ses épaules, ma main libre glissant dans une caresse de sa mâchoire jusqu'à se perdre dans sa chevelure brune, les traits ténébreux, les yeux dans les yeux et déjà, les murmures jaloux alentours nous offrent la plus belle des récompenses. Ils y croient tous et moi je mérite un oscar.
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. EmptyMar 2 Oct - 19:30

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"Non, franchement, il n'y a pas d'autre mot. Je suis bonne." Sydney était en train de regarder son reflet dans le miroir de la chambre de la maison. Jusque là, rien d'anormal, la meilleure amie de la miss Khelos est son propre reflet. Toujours d'accord avec elle, un goût de l'esthétique impeccable et une auto-compréhension inégalée. Le miroir est ton meilleur allié. Jusqu'à quarante ans. Après, c'est le chirurgien. Pourquoi cette auto-critique particulière ? Parce qu'après des mois qui lui parurent des années de grossesse, voilà que la pétillante présidente des Bêtas a enfin retrouvé son corps de sirène. Pas un gramme de cellulite, pas un seul milligramme superflu. De la perfection à faire frémir les canons des territoires connus et inconnus. Du haut de ses talons aiguilles, la blondinette tournoyait face à la glace, féline et rayonnante. Une robe de soirée haute couture achetée le matin-même mettait ses formes en valeur, de son décolleté indécent à ses jambes fuselées, il y avait de quoi faire baver du mâle en pagaille, ce soir. Max pointa le bout de son nez dans la pièce, son neveu restant un peu bouche bée devant celle qui avait sa garde. "Alors ? T'en trouveras pas tous les jours, des tantes pareilles, hein Max ?" L'enfant afficha une mine plus que réjouie. Son jeu préféré était de faire venir Sydney à la sortie de l'école, juste pour se faire raccompagner par la seule femme capable de rendre le troupeau de mères de famille vertes de jalousie. L'Egyptienne attrapa sa pochette, vérifia une énième fois sa coiffure et le maquillage léger qu'elle portait pour rehausser son teint. Ce soir, ma belle, tu vends du rêve jusqu'à épuisement du stock. En descendant les escaliers, elle s'arrêta devant sa fille, la toute petite Eléonora qui gazouillait gentiment dans les bras de Noah, son père. Adoptif, mais son père quand même. Un baiser sur le sommet de sa petite tête et un autre sur les lèvres de l'écrivain. "Tu penseras à... - Non !" Sydney se retourna, se fixa et jeta le regard le plus antipathique qu'elle ait en stock. "Non, ça fait maintenant huit mois que je n'ai plus eu aucune fête, ça fait huit mois que je rêve d'avoir la gueule de bois et d'aller faire crever de jalousie toutes les misérables qui se pensent potables... Ce soir, je ne pense à rien ! Ce soir, je picole sans compter, je sors avec qui je veux, je ne rentrerai pas avant... - ... à prendre la clef de la voiture sur la table dans l'entrée." acheva Noah sur un ton très particulier. Bizarrement, Sydney eut un léger bug, s'arrêta en plein milieu de sa phrase et regarda la fameuse clef. Oups. C'était juste ça, alors ? La présidente des Bêtas afficha un grand sourire aussi amusé que gêné à son homme avant de filer à toute allure en prenant la fameuse clef. Let's go. Retour à la vie réelle.

Après vingt minutes de trajet et cinq accidents manqués de justesse, Sydney se gara sur le parking de Berkeley. Ou, pour être exact, elle laissa son véhicule là où il avait calé. Rappelons que pour avoir son permis de conduire, elle avait dû sortir l'artillerie lourde avec l'inspecteur... passons les détails par souci de respect de la vie privée. Sur le chemin, elle croisa déjà quelques têtes qu'elle connaissait. D'autres qu'elle ne prenait pas la peine de connaitre. Le bruit de fond de la musique résonnait à ses oreilles comme un doux carillon. celui de la liberté. Première soirée en tant que présidente de confrérie, elle avait décidé de marquer les esprits. Sachant que tout le monde y était convié, elle verrait sans doute Adriel, son chouchou, Valentina sa comparse chez les plus belles, Aleyna, et d'autres... sans parler de ceux qu'elle croiserait par obligation. Qu'à cela ne tienne, deux options s'offriraient à elle : tu n'existes pas, et je t'ignores, ou tu existes, et tu aurais mieux fait de m'ignorer. A peine rentrée à l'intérieur, les regards glissaient déjà dans ma direction. Des airs jaloux et des sourires de prédateurs. "Aaah... c'est bon, d'être à la maison." La diva déposa une main sur sa hanche, snobant soigneusement le reste des invités le temps de repérer quelques têtes qu'elle connaissait déjà. Constance, par exemple. En charmante compagnie. Même très charmante, et ce n'était pas Augusto. Qu'est-ce qu'on fait, on débouche le champagne maintenant ou on attend de voir quel est ce plan diabolique qui se cache sans doute derrière tout ceci ? Option deux. On débouchera le champagne quand Monseigneur Médiocrité aura décidé de faire son apparition. Elle regarda soigneusement le verre qu'on venait de lui offrir. Ah non, le deuxième aussi. Et de trois. Trois cocktails offerts et elle venait juste d'entrer. En guise de bonne action du jour, elle refila les deux plus moches à deux pauvres filles assises dans un coin avant de commencer à siroter le restant.
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. EmptyMar 2 Oct - 21:53


❝Just because I have my standards, they think I'm a bitch❞ Que le temps semblait bien long depuis le départ de certaines qui étaient importantes pour moi. En ce moment je faisais pas mal de nouvelle rencontre, beaucoup d’efforts j’avais faits ces derniers temps. M’ouvrir aux autres n’était pas une chose facile et le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils l’avaient tous bien remarquée. D’une nature de rejet envers toutes les personnes n’égalant pas mon niveau, cette fois si je m’étais faits quelques connaissances dans des confréries où en général je ne jetais pas même un regard. Robe en main dans mon dressing, je m'attèle à chercher la tenue qui, n’était à la fois pas trop habillée pour l’occasion sans pour autant être habillée telle une pouilleuse façon gamma. Une combinaison shirt signé guess mon choix était ferme est définitif. Ni trop classe, ni trop habillé. Voiture avancée devant ma résidence je descendais mes escaliers de mon allées telle une princesse descendant harmonieusement les escaliers entourant sa demeure. Au volant, mon téléphone ne cessait de sonner, jetant un coup d’œil aux messages je put constater que mon arrivée était attendu par une certaine personne dont je tairai le nom. Prenant le temps d’écrire tout en conduisant je fis bien attention de ne pas commettre une scène digne d’un film ou d’une série, le cliché de base. Un accident causé par mon attention posée sur mon iphone. Je composai malgré tous un message rapide « on my way » pour annoncer mon arrivée très rapidement. Moins de sept minutes plus tard, je sortis de ma voiture d’un pas nonchalant mais non moins avec une classe certaine, prête à me rendre à une soirée qui ne m’excitez pas plus que ça. À mon arrivée je repérais très vite les personnes intéressantes et mon regard se posa directement vers celui de mon meilleur ami, j’allais donc à sa rencontre, lui donnant un baiser sur la joue comme à mon habitude je put remarquer sa charmante tenue « J’envisage sérieusement de devenir aimable » Il est clair que je n’ai que très peu d’amies de ma nature très mauvaise et n’accordais que très peu ma confiance à la gente humaine. Adriel et Aislynn étant ses plus belles exceptions, elle pouvait tous leurs dires. Voilà pourquoi j’avouais mon désarroi à mon meilleur ami. « Je ne te cache pas qu’avec tous ses départs, je me suis remise en question, et je me suis rendu compte que j’étais beaucoup trop exigeante avec mes amies. Je devrais prendre exemple sur toi, venir chez les oméga pour leur venir en aide est du moins inattendu, mais vraiment très … charmant de ta part, charming. » Prenant un verre sur le côté, le jeune homme m’adressa quelques mots. Me rappelant aussi d’une chose, je m’empressai de le dire à Adriel « N’oublie pas que ce soir tu à un challenge a accomplir. Scott n’a cas bien ce tenir », et il partit un peu plus loin et je fis de même, j’avais encore pas mal de monde à saluer, beaucoup de connaissances sans importance, mais la politesse avant tout, je m’avançai vers quelques groupies sans intérêt dans le but de m’amuser un peu et affichai fièrement mon sourire narquois à l’encontre d’une blonde que je n’appréciais guère. « Kelly allons je sais bien que tu viens de te faire liposucer, mais quand bien même évite de manger trop de sucreries, tu ne pourras pas en faire une tous les mois. Tu n’as pas les moyens. » bitch please, d’une humeur massacrante depuis quelques jours je ne pouvais m’empêcher quelques petites remarques, après tous j’essayai d’être plus agréable, mais comme on dit chasser le naturel et il revient au galop. Gardant en main mon verre presque vide à présent, je sors mon téléphone, pour balancer quelques tweets pour me faire passer le temps. Quand une certaine voix m’interpella, une voix que je connaissais terriblement bien, son grain si spécial la rendait et de loin très reconnaissable entre mille. Je relevais très vite ma tête mon regard fixant le vide prêt à bondir sur ma proie telle une tigresse. Il était là oui, était-il revenu pour quelques jours, ou bien avait-il posé ses bagages à Berkeley comme l’avait fait sa sœur quelques semaines avant. Me tournant pour lui faire face, il n’avait pas changé, il avait cette grâce et se sourire qui en faisait craquer plus d’une. Oui s’était bien lui en face de moi, et ma joie intérieure fut très prononcé, mais je ne fis rien paraître comme à mon habitude. J’étais partagé entre la rage de m’avoir abandonnée quelques mois plus tôt et la joie de le retrouver ce soir face à moi. D’un coup cette fête prenait beaucoup plus d’importance à mes yeux. « Toi de retour à Berkeley décidément je croyais avoir tout vue aussi, tu vois toi comme moi nous nous fourvoyons ce soir. » dis-je à l’intention de mon interlocuteur. Alors dis-moi Camélia, que vas-tu faire maintenant ? Lui déclarer ta joie de le voir de retour, ou bien lui balancer des vacheries en guise de vengeance pour son départ précipité . Pas vraiment besoin de réfléchir ma réaction était déjà prêt. « Est-ce qu’Ebony te manquait tant que ça pour que tu prennes la peine de venir ? » Moi et ma jalousie maladive. Je n’avais pas supporté qu’il sorte avec cette gamma, alors qu’il pouvait avoir une femme comme moi.

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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. EmptyMar 2 Oct - 22:51

« Je n’ai pas besoin de me donner bonne conscience, j’en ai pas. »

    Vingt et une heure trente. Génial, la soirée des moches commençait dans une demi heure. La pire soirée de sa vie, certainement. Et dire que les Omegas se croyaient les plus forts en organisant ce rassemblement. "Venez, on étale notre bonne humeur et notre savoir faire de la fête réussie, venez, on est beaux gosses". Non mais.. Non. Ils devaient vivre dans une autre dimension, sûrement. Celle de l'autisme, sûrement, du moins, la réalité ne devait pas en être loin. Manquait plus que ça, que cette confrérie d'attardés mentale organise une soirée où tout le monde était gentiment convié. Ils pouvaient pas faire une orgie entre eux, boire entre eux et crever entre eux, plutôt que d'obliger tout le monde à se ramener? Et quand on parle obligation, attention, ça fait mal aux fesses. Personnes dans les confréries à partir de vingt et une heure tapante, et toutes les trinités étaient dans l'obligation de participer à la partie. De la grosse blague. En plus de ça, Danahiel avait été obligé de faire de la discipline ce soir. L.O.L. Le fou rire de la soirée, la surprise. Il n'était pas le seul à ne pas vouloir participer à cette fête débile, mais il était dans l'obligation d'y aller, et d'obliger les autres à ramener leurs délicats popotins là bas aussi. Le Doyen des Gammas qui suivaient les ordres et qui en donnait. Mais seigneur, où va le monde. Vous vous levez, vous emporter avec vous votre mauvaise humeur et vous leur pourrissez leur fête, as you want, mais vous allez là bas. Le seul point positif était qu'il pouvait passer sa mauvaise humeur sur ses sujets pour le moment. Mais il donnait le mauvais exemple, lui même était toujours sur le canapé du salon, à fumer. Il avait bien eu envie d'aller se tirer en boîte, mais pour se faire tirer dessus comme un lapin par le Doyen pendant une année, non merci, on repasse plus tard. Des moches, réunis ensemble. Voilà ce qu'était cette soirée. Pour Danahiel, c'était simple; les Omegas ne savaient pas faire la fête. Il rigolait comme des débiles en se pavanant autour d'une piscine pour finir noyé et enterré deux jours plus tard. Au moins, ça réduisait considérablement leur population, mais rien ne changeait au fait que ce soir, il n'allait pas s'amuser. Il n'était pas d'humeur d'ailleurs, loin de là. Ce soir, tous les étudiants allaient se retrouver dans un seul et même endroit. Hors, Danahiel était en mauvais terme avec quatre vingt dix neuf pour cent d'entre eux. Classe hein, pour passer une bonne soirée? Ils n'avaient vraiment pas envie de voir certaines têtes, et il ne ferait aucun effort ce soir, c'était certain. Après avoir fait le tour des dortoirs, en bonne maman poule qu'il était - bonne maman poule qui ramassa un ou deux paquets de shit qui traînait par là car ils ne connaissait que trop bien les cachettes qui étaient utilisables - et s'être allumé une énième clope, Danahiel partit vers le lieu de torture de la soirée. Mon Dieu qu'il allait s'embêter. Il traîna tant des pieds qu'il faillit en marquer le sol. Qu'un éclair foudroie le bâtiment et qu'il puisse se barrer ailleurs, pitié. Une pierre deux coups; pas de soirée et moins de babouins invertébré sur terre. Un pas. Deux pas. Trois pas. L'antre du supplice. Courage, un Gamma n'a jamais peur. Porte poussée, le spectacle était... désolant. Une fête de moches, organisés par des moches, rassemblant des moches. Il ne daigna même pas poser un regard sur le peuple et se dirigea directement vers le bar. Au moins les Omegas savaient boire, bien. Il eu la désagréable surprise d'apercevoir Sydney et ses kilos de maquillages. Superficiels et tout point la fille, horrible, et fière de l'être. Un ver de vodka cul sec, et il se retourna pour admirer la situation. Une fête minable, en outre. Il y avait encore peu de monde, mais Danahiel se faisait très bien le dessein de la soirée. Aaaaah! On retire ce qu'on a dit. Le monde est pas si moche que ça en fin de compte, il y avait Constance. Pauvre chou, elle aussi n'avait pas pu désobéir à la règle du Doyen. Sa fierté avait du en prendre un coup. Tant mieux, ça lui fera les pieds. Augusto n'était pas là par contre. Il n'avait pas eu le courage de se mêler à la foule? Tant mieux, ça ferait un singe en moins à ce défilé de macaque.
    Ce soir, c'était simple. Certains allaient se tourner les pousses, d'autres boiraient à en faire un coma itilique, et d'autres en profiterait pour draguer et ramasser des numéros. Ce soir, il allait jouer au loto avec ces sujets. Qui finirait le premier sous la table à lécher le parquet? Finalement, pourvu qu'il y ait du monde. Les paris était lancé, et il comptait bien observer les déboires de la population sous un oeil critique. Quoi? Il fallait bien s'amuser de la bêtise des autres, non?
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. EmptyMer 3 Oct - 0:08

- At least I have relationships. You can’t even hang out with a woman for 24 hours without sleeping with her. - That was true until I met you. « Sincèrement je ne sais même pas pourquoi je lui ai dit de venir avec moi. Oh tu sais, on fait toujours semblant d‘être en couple mais je commence à me lasser de la situation.. Au début c’était drôle, on en jouait pas mal et ça dépanne toujours m ais sincèrement, depuis quelques temps c’est plus un fardeau qu’autre chose cette histoire. Lennon est vraiment gentil, je l’adore, mais je crois que je vais lui proposer qu’on arrête notre manège ce soir. Bon allez Jordane, je te laisse, on se retrouve plus tard. » Ce soir, c’était LA soirée, celle à ne pas manquer, celle organiser par Omegas dans la maison des Omegas ça ne pouvait qu’être génial. Je ne comptais pas me prendre la tête ce soir. J’allais profiter et me laisser aller. Je pense que je ne vais pas abuser de l’alcool pour une fois, faire un effort et ne pas me mettre la tête à l’envers. J’allais profiter du spectacle et voir toutes les confréries ce mélanger. Le doyen trouvait que c’était une magnifique idée mais à mon amis, tout ça n’est qu’un nid à problème, c’était une étincelle qui allait allumer un grand feu et pas un feu de joie. Je sentais l’incendie, le gros, arriver. Notre bon vieux Freddo pense que c’est en organisant ce genre de fête que les confréries vont d’avantage s’entendre mais c’est faux, bien au contraire. Heureusement pour moi aucun réel fantôme de mon passé ne pouvait me gâcher cette soirée. Avec Danahiel, les choses étaient clairs, je ne lui faisais plus confiance, Adriel, je comptais l’éviter toute la soirée, à part ça je n’avais qu’une chose à faire : profiter. J’avais enfilé une robe noire légèrement serré avec des talons, et j’avais enfilé une veste que j’avais chez moi. « Noah, j’y vais, tu viens avec nous ou t’y vas de ton côté ? » Aucune réponse. Il était déjà surement partit ou il était peut être sous la douche, je ne l’avais pas vraiment entendu depuis que j’étais rentrée et peu importe, ce soir j’avais décidé de ne pas me prendre la tête et donc je n’allais pas le saouler non plus, lui laissant un peu d’espace, ce que j’avais peur l’habitude de faire. J’avais décidé d’être gentille et permissive, il avait intérêt à en profiter, je n’allais pas l’être tous les jours. Arrivé en bas, Lennon m’attendait dans sa voiture et c’est sans perdre un instant que je suis montée dedans et que je lui ai fait la bise. J’ai tout de suite allumée la radio, commençant à me trémousser sur mon siège et en criant. « Leeeeet’s go ! Ce soir mon gars, on s’amuse. J’ai même de quoi bien commencer la soirée. » J’ai sorti de mon sac un flash de gin que j’avais piqué à Noah. Je l’ai vu le cacher un soir dans un de ses tiroirs et histoire que je ne le surprenne pas en train de boire à la maison et surtout de le faire chier au plus haut point, je lui ai volé alors qu’il n’était pas là et je l‘ai garé précieusement pour ce soir. J’ai donc ouvert le bouchon et j’en ai bu quelque gorgés et j’en ai proposé à Lennon. « T’en veux ? Hum.. D’ailleurs, il faut que je te parle. » J’ai légèrement baissé la musique pour qu’il puisse m’entendre assez clairement. « Bon, je voulais te dire que j’en avais marre de jouer au faux couple. Franchement ça me fait vraiment rire de faire ça avec toi et je ne te remercierai jamais assez de m’avoir rendu ce service mais je pense qu’il est temps que j’essaye de me débrouiller sans que tu viennes m’aider avec nos histoires. On va peut-être continuer ce soir, parce qu’avec Valentina et toutes sa clic ça va être un peu compliqué et je pense que ça te sera utile mais après ça je pense qu’il est préférable qu’on arrête. » Je l’ai regardé un moment puis j’ai finalement décidé de lui déposer un baiser sur la joue et j’ai remis la musique aussi forte qu’elle l’était avant. Il ne nous fallut pas longtemps pour arriver au pavillon des omegas et c’est sans surprise que e découvrit qu’il n’y avait pas encore beaucoup de monde. Tant mieux, ça nous permettait de voir qui était arrivé et qui n’était pas encore là. Une chose est sûre c’est que Danahiel et Ariel étaient présents, je les ai vu à la seconde où je suis rentrée. Ca s’annonçait vraiment épic ce soir et je n’avais pas intérêt à trop abuser, je ne voulais manquer pour rien au monde ce qui allait se passer ce soir. C’est d’ailleurs en allant déposer ma veste dans une pièce à part que j’ai croisé Jayan et Camélia, déjà en train de discuter. C’est alors de manière très distante que je fis un signe à Jayan, accompagné d’un sourire et je ne pus m’empêcher d’hausser les sourcils me moquant ouvertement de lui. Il allait devoir faire face à ses problèmes et Camélia en était un gros. Je me suis finalement retourné vers Lennon. « T’es prêts ? » Et doucement je suis venue prendre sa main. J’étais prête à jouer au petit couple amoureux et totalement heureux.
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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. EmptyMer 3 Oct - 15:06

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La fête du siècle, voilà ce qui circulait sur cette fameuse fête qui serait là pour la rentrée. Me préparant chez moi devant ma glace, je voulais mettre une tenue qui irait que cela soit avec le piano ou le saxo ou le violon. Une robe classique et longue fera l’affaire, je ne tenais pas non plus à avoir des ennuis. Déjà que mes parents étaient contre ; j’avais demandé à y aller pour me changer les idées. Puis je venais d’être élu bras droit de la confrérie, il me fallait donc y aller. Etant prête, je prenais donc ma voiture pour aller à la faculté. Il fallait que je trouve une place de parking et je comptais bien en prendre une le plus proche possible du bâtiment des Omega.

Il fallait donc que je prenne le temps de venir avec mon saxo, je ne savais pas si je jouerai du piano ou pas. Je savais juste que je serais là avec les Sigma pour faire la musique. Traversant le parking, je passais donc la porte du bâtiment dans le but de croiser Aleyna ou Remy. Je me doutais que je ne pourrais sans doute pas les voir de suite. Il fallait seulement que je me rende sur le coin de la musique pour savoir ce qu’il fallait faire. Finalement, après avoir marché parmi la foule, je trouvais le lieu.

Il y avait tout un matériel pour la sono, un clavier synthétique, des enceintes, des pupitres, on aurait dit que tout le bâtiment de musique avait déménagé pour aller à la fête. Arrivant sur place, je cherchais donc des personnes qui puissent me renseigner sur ce qu’il fallait faire. Tout en pensant que j’aurais le temps de tout préparer, je posais mon manteau sur la boîte de mon instrument.

Cherchant les micros, je me demandais bien qui avait monté tout ça. Il y avait des soucis dans les fils. Essayant de les remettre, je faisais quand même attention à ne pas faire de bêtises. Trouvant donc un tabouret, je m’asseyais dessus en attendant qu’une personne des Sigma me rejoingne pour savoir ce qu’il se passerait par la suite. De toute façon, j’avais tout mon temps et je comptais bien en en profiter pour en apprendre sur les gens.

En tous les cas l’ambiance était bonne enfant et cela présageait d’être une bonne soirée. Donc pour une fois, je voulais donc alors avoir une petite chance de jouer de la musique mais un seul instrument fait un peu vide. Je me demandais bien quand est-ce que les autres allaient venir ici. Trouvant qu’il y avait pas mal de monde, je commençais à les observer pour voir si je reconnaissais une personne ou pas dans tout ce lot.


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MessageSujet: Re: SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. SUJET COMMUN - Poppin' bottles in the house with the models in the V.I.P. EmptyMer 3 Oct - 17:27

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Je poussai un profond soupir en refermant la porte de mon appartement et traînai presque les pieds jusqu'à ma voiture. Faire la fête était la dernière chose dont j'avais envie en ce moment. J'étais malade, crevée et à peine dehors, je regrettai déjà mon énorme plaid en laine. J'allumai la radio dans l'espoir de tomber sur une chanson motivante ; je savais que j'avais des responsabilités à assumer et que j'avais tout intérêt à le faire avec le sourire. Mais rien n'était très convaincant et je soupirai une seconde fois. Quelle idée débile aussi, de nous obliger à aller à cette soirée. Comme si elle allait réellement pouvoir nous rapprocher...la bonne blague. Inattentive, je brûlai un feu rouge et déclenchai un concert de klaxons. « c'est booooon, c'est juste un feu. » Même si je savais bien que les autres automobilistes ne pourraient pas me voir, je levai les yeux au ciel. Les gens m'énervaient déjà alors que je n'étais même pas encore arrivée. Ça promettait. Je savais qu'il fallait absolument que je prenne sur moi et que j'arrive à la fête dans un meilleur état d'esprit. Après tout, j'étais maintenant présidente de confrérie et je tenais à faire bonne impression. Je décidai alors de me ranger sur le côté quelques secondes, le temps de m'allumer une cigarette et de retrouver un semblant de bonne humeur. Ce n'était qu'une soirée et il fallait juste que j'arrive à faire illusion. Je me forçai à sourire et utilisai mon retro en guise de miroir pour me repasser un coup de mascara. Puis je redémarrai la voiture. Malgré mon sérieux, je ne suis d'ordinaire jamais contraire à faire la fête, boire et plus si affinités. Peut-être qu'une fois sur place, j'oublierai la contrainte immense que ça représente pour moi et passerai un bon moment. C'est du moins tout ce que je pouvais espérer – et me souhaiter. Ouais, j'allais sûrement tomber sur des gens que j'apprécie, sur des amis ou au moins sur des connaissances. Rien d'horrible ou d'insurmontable jusque là. Et si jamais la soirée se révélait aussi pénible que ce que je pensais, il me resterait toujours l'alcool pour tenir le coup.

Le trajet de mon appartement à l'université n'était – malheureusement – pas très long et quinze minutes à peine après avoir démarré ma petite voiture, je me garai déjà sur le parking. Je jetai un rapide coup d'oeil à ma montre : il était un peu plus de vint-et-une heure trente. Il n'y aurait encore rien de très intéressant à cette heure-ci mais pas mal de monde devait sûrement être déjà arrivé. J'ouvris les grandes portes de la salle en m'accordant un dernier soupir et me retrouvai au milieu des étudiants. Voilà, j'y étais, prête à afficher un sourire hypocrite des heures entières, sans plus la moindre chance de me défiler pour m'enfermer chez moi. Alors j'avançai en souriant du mieux que je pouvais, invisible dans cette foule mais cherchant avec insistance un visage connu. Je vis assez rapidement du coin de l'oeil Constance et sa clique, pas exactement ce que j'attendais en ce moment. Je tournai la tête de l'autre côté mais aucun visage n'attira mon attention. A croire que la soirée n'aurait réellement aucun intérêt pour moi. Tout en gardant mon air ravi, je rageai intérieurement. Je me fichais tellement des omégas et de leur fête, il ne me restait plus qu'à passer la soirée au bar à attendre que le te temps passe. Mais alors que je me dirigeai justement vers celui-ci, je remarquai Sydney qui ne manquait visiblement pas d'attention. Je lui fis un signe de la main et pour la première fois ce soir, mon sourire était sincère. Contre toute attente, j'aimais beaucoup passer du temps avec elle. Mais je ne la rejoignis pas parce que mon regard tomba sur la chose la plus désolante que la terre ait porté, à savoir danahiel. Lui aussi était là évidemment...Je levai les yeux au ciel pour moi-même et renonçai à toute recherche, à moitié désespérée. Pour le moment, rien n'était plus important que d'atteindre le bar. Tellement important que je me noyai presque dans mon verre une fois en mains. « Courage lizzie, au point où ça en est, ça ne peut que s'améliorer. » tentai-je de me rassurer.
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