AH !!!!! Tu viens maintenant ! [Pv Maëlle S. Silverwood]

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En fin d'après-midi à la maison, Maëlle emménage.

J’étais comment dire assez surpris que ma meilleure amie vienne à la maison pour vivre. Dans mon appartement, j’avais déjà préparé la chambre d’amis, trouvé de quoi je pourrais la meubler. Ensuite ayant oublié qu’elle viendrait si rapidement. Je voulais juste avoir un peu de calme. Mais alors que j’espérais bien avoir encore une petite journée avant de voir Maëlle débarquer à l’appartement. Ayant fumé, fait la fête, je me rendais compte que mon lendemain matin serait donc un peu plus violent. Je me tenais donc dans mon salon, la fenêtre ouverte pour aérer la pièce. Alors que je somnolais le plus souvent possible, je voyais que mes carnets à dessins, mes échantillons de tissus, tout se trouvait en bazar. Comme si le souk avait fait son entrée dans ma salle à manger.

La musique allumée, j’entendais donc des petits rythmes qui me faisaient danser dans toute la pièce. Souriant, je pensais bien que je pouvais être aussi clown que possible sans que les gens ne me voient. Alors que je m’asseyais sur le sol, je voyais donc les morceaux de tissus et de dessins. Fumant ma clope, je commençais donc à travailler tout en étant assez content de moi. Les images que j’avais trouvées au cinéma en pleine air me permettaient de pouvoir avancer dans mon projet. Fenêtre ouverte, j’entendais donc les passants dans la rue. Baissant le son, je me disais qu’il ne fallait pas non plus que je gène les voisins. Flemmard comme je suis, je ne tenais pas non plus à avoir encore plus de soucis. Trouvant mon calendrier, je devais venir à la rentrée prochaine avec mes sujets presque fini. Comme ça il y avait de quoi présenter devant les profs. Je ne m’attendais pas non plus à devoir encore me bouger. Bon d’accord, j’étais un peu en retard, mais j’appréciais le plus le faire à la dernière minute. Comme ça le stress m’activait et j’avais la possibilité de pouvoir avancer vite. Bon d’accord là vous me direz qu’il s’agit des vacances et qu’on a le temps. Sauf que pour ma part, je préférais donc aller un peu plus vite pour soi-disant ne pas être en retard. Alors lorsque l’on m’avait dit que mon dernier défilé avait été un succès, je réalisais que cela était vraiment motivant.

Assis sur le sol je déposais un coussin sous mes fesses, de plus haut, je remarquais qu’il y avait le petit truc en plus que je cherchais depuis le début. Il y avait bien une robe que je désirais faire, elle devait être pas comme les autres que j’avais déjà faite. Regardant les infos dans le journal que j’avais acheté au matin, je cherchais donc des sujets qui seraient à la une toute l’année. Souriant, je déposais ma clope dans le cendrier. Ayant pas mal de fumée dans l’air, je passais ma tête par la fenêtre pour voir un peu les gens passer. Ensuite pour ma part, je me disais bien qu’en les dessinant de haut avec mes carnets j’aurais des croquis en plus. Les crayons de couleurs me permettaient de déposer des formes et des nuances pour ainsi donner une première idée. Me trouvant assis sur la fenêtre face à la rue, je regardais les gens passer.

Une femme, une jolie femme attira mon attention. Elle me disait quelque chose et pour ma part, je ne réalisais pas de suite que Maëlle se trouvait en bas de ma porte. La jeune femme débarquait avec ses cartons et sa voiture. Se garant à côté de la mienne, je souriais, je me disais bien qu’elle viendrait sauf que vu l’état de mon salon. Je n’allais pas me précipiter de tout ranger de suite. Lorsque je bossais mes dessins, j’avais en général la mauvaise habitude de tout m’étaler partout sur le sol. J’avais donc une meilleure vue sur mes travaux. Néanmoins, je savais que j’aurais donc une chance pour alors avancer dans mes travaux. Restant à ma place, je voyais donc Maëlle se débrouillait comme toujours pour trouver des jolis hommes. Elle avait trouvé des déménageurs et tout en observant leurs agréables petits culs, je me disais que j’en aurais bien prit un ou deux pour mon quatre heures…Sauf que je devais aussi me comporter comme un homme, mais lorsque vous aimez les hommes vous avez tendance à voir votre diné un peu plus souvent que les femmes.

L’instant présent me donna donc encore une petite chose à faire, me levant, j’entendais donc Maëlle sonnait à ma porte. Je lui répondais donc par l’interphone.- « Salut mon chou, tu es déjà là en charmante compagnie en plus. Tu veux bien m’en prêter un ou deux après avoir déménagé ? Attend je t’ouvre la porte, ne bouge pas. » Alors que j’appuyais sur le bouton, je reculais donc pour laisser la porte ouverte, retournant dans le salon face à la porte, je nettoyais donc un peu tout mon bazar. Je n’appréciais pas trop que les gens voient mon travail avant de le rendre publique. L’empilant et déposant un tissu dessus, je m’asseyais sur le bord de ma fenêtre à nouveau pour dessiner les gens en bas. Entendant des pas venir dans la pièce, je tournais la tête. Voyant ma meilleure amie devant moi, je lui disais en riant.

- « Tu sais où se trouve la chambre d’amis, il y a de place pour la salle de bain, et j’ai préparé le bureau pour que tu puisses y mettre tes cours. »

Restant à ma place, je patientais le temps qu’elle déménage et qu’elle me raconte un peu tout ce qu’elle avait en tête. Assis sur la fenêtre, je dessinais les charmants spécimens masculins que je voyais devant moi.

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En fin d'après-midi à la maison, me voici donc à emménager chez mon ami fidèle Zuko.

Tout cela s’était fait naturellement, une Maison des confréries close alors me retrouvant dehors j’ai dû trouver une solution et vite mais Zuko me proposa gentiment de venir m’installer avec lui, d’ailleurs je connaissais fortement bien ce lieu de vie ou y être venue m’y réfugier maintes et maintes fois pour trouver refuge aux creux de ses bras ! Un ami par excellence ! Et doué son dernier défilé de mode ayant été un franc succès en tout point mais le connaissant et perfectionniste jusqu’aux bouts des ongles, il ne lâchait jamais jusqu’à pouvoir atteindre le summum ! Arrivant au pied de l’immeuble, je sonnais carton en main ayant emprunté une voiture à l’un de mes camarades ne pouvant encore m’en acheter une, devant encore trouver un emploi. Mais étonnement de jeunes hommes passant par là au campus, s’étaient proposés à me venir en aide et oui une jeune et jolie femme en détresse et voilà une montagne de chevaliers servant et tout ceci sous l’œil averti de Zuko, ce qui m’étira un sourire en coin.

.- « Salut mon chou, tu es déjà là en charmante compagnie en plus. Tu veux bien m’en prêter un ou deux après avoir déménagé ? Attend je t’ouvre la porte, ne bouge pas. »

-Oui, à plusieurs on va beaucoup plus vite ! Pour ça je te laisse gérer et oui ouvre-moi donc ce carton est lourd à force.

La porte enfin ouverte je pus me débarrasser de ce poids ou les jeunes garçons de BCU en firent autant, certes je n’avais pas beaucoup d’effet s personnels excepté quelques souvenirs de mes parents pour les sentir proches de moi, sinon la plupart était mes cours, et tout ce qui m’aidait à poursuivre mon cursus universitaire.

. - « Tu sais où se trouve la chambre d’amis, il y a de place pour la salle de bain, et j’ai préparé le bureau pour que tu puisses y mettre tes cours. »

L’embrassant sur la joue avec une immense joie de ne pas me retrouver à la rue, je pris donc la direction de la chambre d’amis.

-T'es un amour, tu le sais ! Qu’est ce que je ferais sans toi !

Puis me tournant dans la direction inverse pour Me rendre dans la pièce à coucher j’interpellais mes braves gaillards venus m’aider.

-C’est par ici et faites attention où vous mettez les pieds et ne cassez rien, pas pitié sinon je vais me faire tuer ! Dis-je en faisant les gros yeux riant à tout bout de champs ; l’emménagement se passait dans la bonne humeur !

Entreposant ici et là je rejoignis Zuko ou je jetais un œil à son croquis tout en posant ensuite mon regard sur toute cette gente masculine de par la fenêtre.

-Très représentatif ! J’avoue tu es plus que doué !! Ça nous fera toujours un petit souvenir de toute cette testostérone en force !!! Magnifique spectacle non ? Bon allez arrêtes de fantasmer et puis ils sont tous pris d’ailleurs. Autant ne pas s’attirer les foudres de ces furies. Allez viens je vais nous préparer un petit quelque chose à manger, qu’en dis-tu ?

J’attendais une réponse de sa part toujours le regard porté sur ces jeunes hommes.

-Mon appétit ne cesse de grandir c’est certain….murmurais-je…à voir ce brin de mâle viril !

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Un p’tit bisou sur la joue et je sentais bien que pour ma part, je pouvais aussi trouver des occasions pour lui parler. Maëlle avait le don de me rendre aussi amical que possible. Bien que pour ma part, elle était ma meilleure amie, ma confidente et surtout qu’elle était une sœur pour moi. Ensuite, la suivant dans notre cuisine, je me disais qu’il était préférable que je la suive tout simplement. Voyant les types passer dans mon salon, je leurs disais avec attention.

- « Alors les gars, celui qui me casse un seul truc ici me le repaie. C’est compris mes choux ? »

Une attitude assez explicite, je me levais de ma fenêtre, tout en me dirigeant vers la cuisine, je ne manquais pas de jeter un œil sur ce qui passait dans mon salon. Alors que je me précipitais dans ma cuisine, je me rendais compte que mon amie avait formulé des petites choses.

- « Allez avoues que tout ça t’a donné faim ? »

Montrant du doigt la pièce qui se trouvait être le salon, je la regardais avec attention tout en souriant. Je me doutais qu’en voyant ce petit sourire sur le visage qu’il était bien amusant de voir sa réaction. Alors qu’elle ne disait rien, je revenais avec les dessins que j’avais laissé dans le salon, les déposants sur la table devant elle. Je tenais donc à lui donner les réponses qu’elle voulait entendre. Tout comme je me disais qu’il fallait que je lui explique le truc, je lui parlais donc amusé.

- « Ah ah ! J’ai vu tu voudrais manger mes dessins en vrai ! Ah ah ! Mais c’est pas possible….. »

Riant, je me doutais bien que de les avoir dans son regard qu’elle appréciait bien la belle vue devant nous. Sauf que prenant mes dessins et les cachant, je la regardais donc surprise de voir qu’elle ne disait rien. Amusé, je trouvais la situation cocasse. Elle désirait que je me restreigne à ne pas succomber et elle me donnait encore lus faim. Ouvrant la porte de mon frigo, je prenais donc le beurre de cacahouète et les tranches de pain. Avec un couteau, je tenais aussi à bien l’étaler dans le but d’en avoir partout. Sauf que pour la simple et bonne raison que le silence prenait le dessus. Je fredonnais donc la petite chanson que je lui faisais lorsque je savais qu’elle ne voulait pas répondre. Il était vrai que j’avais aussi joué des vilains tours, en prenant le mec d’une copine ou tout simplement en le rendant assez dingue pour venir me voir. Oui j’avoue que lorsqu’on me fait une crasse, j’aimais bien remettre tout à sa place en rendant les choses bien plus amusantes. Quand je trouvais une solution des plus adéquates, je prenais toujours le mauvais truc pour alors me venger. J’avoue que cela n’est pas bon du tout mais bon, pour le moment, je tenais à en rire. Tout en préparant mon petit encas, je savais que j’aurais donc des questions. Fermant le pot du beurre de cacahouète, je voyais donc Maëlle devant moi. Elle voulait que je passe à autre chose, j’étais passé au beurre de cacahouète. Pendant que je l’observais, je lui demandais bien en lui faisant un clin d’œil.

- « Allez je mange, au lieu d’avoir un autre diner en tête bien que voir les furies s’existaient comme des mouches me plait bien. Rien que de les voir paniquer, je sais bien qu’il faut ne pas le faire, mais tu me connais, j’aime bien jouer. »

Sachant qu’il m’était possible pour moi de ne pas aborder encore ce sujet, je lui posais donc une simple question. - « Bon tu vas faire quoi après avoir tout ouvert dans tes cartons ? Une sortie cinéma cela te dit ? » Je lui demandais ça histoire de savoir si elle voudrais donc passer un petit moment en ma compagnie. De toute façon, j’avais les clopes, le reste, et je tenais aussi à ne pas oublier qu’elle vivait dans mon appartement maintenant. Puis je me doutais qu’il fallait que je lui change les idées parce que pour ma part, il faisait beau et je ne comptais pas rester à la maison toute la soirée.

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Des marques d’affections entre nous c’était monnaie courante, ma meilleure amie en garçon, un gay et alors ? C’était le meilleur qui soit toujours présent pour moi et m’ouvrant ses bras et son lit afin d’y trouver refuge, ce qui me permettait de me sentir mieux !

Les jeunes recrues trouvées sur le campus m’avaient aidé à emménager au plus grand plaisir des yeux de mon Best friend ce qui me fit sourire disons qu’il prenne cela comme un petit cadeau de bienvenue ! Il nous suivit dans chacune des pièces avec des petites remarques bien à lui, amusant quelques peu la galerie au passage avec ses mots tendres. Zuko était une personne aimante de tous en général et appréciée !
- « Allez avoues que tout ça t’a donné faim ? » me dit-il alors que ces hommes aux formes attrayantes et musclées passaient devant nous faisant grimpée la chaleur de nos corps ba quoi, il faisait beau et chaud, leur plastique ressortait de leur vêtements moulants et ensuite les voir en parfait homme en action était très attirant non ?

- « Ah ah ! J’ai vu tu voudrais manger mes dessins en vrai ! Ah ah ! Mais c’est pas possible….. »

-Tes dessins peut-être pas mais eux…si je pouvais…j’en ferais bien mon quatre heures, crois-moi ; peu importe du choix, je ne suis pas délicate concernant d’aussi beaux jeunes hommes…Riant doucement et tentant de se remettre de ses émotions quoi qu’un bon massage sous des mains viriles auraient été le bienvenu je cessais d’avoir de telles pensées avant de me ressaisir ! Puis Zuko s’attela à la tâche de faire de bonne Tartine au beurre de cacahuète ! Pour ma part je n’en raffolais pas et puis mon appétit était ailleurs…

- « Allez je mange, au lieu d’avoir un autre diner en tête bien que voir les furies s’existaient comme des mouches me plait bien. Rien que de les voir paniquer, je sais bien qu’il faut ne pas le faire, mais tu me connais, j’aime bien jouer. »-Je t’accompagnerais bien dans ce genre de jeu tu sais, mais arrêtons là j’ai une soif tellement ...intense ces derniers temps, que je donnerais n’importe quoi pour une bonne partie de ja...un peu de détente, me repris-je faillant dire « une bonne partie de jambes en l’air », utilisant ce genre de mots quand j’étais en plein manque ; je n’étais pas accro au sexe mais parfois des situations, ou des pensées faisant que j’avais un besoin immense d’assouvir mon appétit sexuel !

- « Bon tu vas faire quoi après avoir tout ouvert dans tes cartons ? Une sortie cinéma cela te dit ? »

-On se trouve de beaux mecs et on s’éclate. Mais voyant son air sérieux je repris plus posément avec un sourire presque gêné, ne voulant pas paraitre trop « chienne » ?!
-Oui il y a longtemps que je n’y suis pas allée, pourquoi pas ? Mais par pitié pas de film d’épouvante, sinon je ne trouverais jamais le sommeil ensuite et regarderais sous mon lit afin de vérifier s’il n’y a personne sous mon lit ! Dis-je en éclatant de rire !

Les jeunes finissants, je les remerciais d’une accolade et d’un signe de main avant d’entendre la porte de l’appartement se refermer !

Je me dépêche à défaire mes cartons et ensuite on file se faire une soirée rien que toi et moi mon beau ! Allant dans ce qui serait désormais ma chambre, je commençais à déballer certains cartons je n’en avais pas non plus des tonnes, ayant que très peu de choses matérielles excepté concernant les affaires de cours. Quand je tombais sur l’un de mes cartons que je n’ouvrais pas préférant le ranger convenablement dans le bas de l’armoire perdue dans mes pensées n’entendant rien…avant de revenir au moment présent…

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» « Viens je t’emmène, sur l’océan. Viens je t’emmène, sur mon bateau blanc… » || Maëlle
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