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les amis c'est comme des pierres certains sont plus précieux que d'autres ✖ jonah&leïla (flashforward)

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MessageSujet: les amis c'est comme des pierres certains sont plus précieux que d'autres ✖ jonah&leïla (flashforward) les amis c'est comme des pierres certains sont plus précieux que d'autres ✖ jonah&leïla (flashforward) EmptyJeu 12 Juil - 0:14

les amis c'est comme des pierres certains sont plus précieux que d'autres ✖ jonah&leïla (flashforward) Tumblr_m3of6rXvxm1qd8m4do4_250 « Lindsay, Elizabeth, papa voudrait vous parlez alors descendez s'il vous plait » J'avançais doucement vers l'escalier qui séparait les deux étages de la maison que j'occupais à Paris alors que j'entendais mes deux petites têtes blondes courir et s'affoler en haut. Cela faisait presque deux ans que Zéphyr et moi avions rompu. Quelques mois après cette satané rencontre étudiant en 2022, le jeune homme avait compris qu'il ne m'aimerait jamais comme il avait aimé cette Thaïs et avait mis fin à notre relation. Bonne ou mauvaise chose, je n'en savais trop rien puisque depuis plus de deux ans, je le voyais au minimum, ayant encore quelques sentiments pour lui. J'avais été conciliante, j'avais été prête à attendre qu'il tourne définitivement la page de l'ancienne sampi mais non, il s'était entêté à s'accrocher à elle comme un enfant s'accroche à son doudou quand il faut le laver. Par conséquence, une fois séparée, j'avais fait mes valises et avais emménagé à Paris rapidement. En deux jours, tout était fait, les filles étaient inscrites dans une nouvelle école, j'avais un bureau dans les locaux d'Hermès au QG à Paris et tout allait bien. Je m'étais lancée dans le travail à corps perdu tout en m'occupant, seule, de mes deux filles. Bien entendu, l'ancien alpha avait une place importante dans leur vie, il venait les voir quand il pouvait le faire, avec ou sans Luca, mais il fallait avouer que même deux ans après, j'évitais le contact avec le jeune brun au maximum. Pourquoi ? Tout simplement parce que ça faisait toujours mal, d'autant plus que j'étais enceinte de six mois et que cela avait le don de me faire repenser à tout ce que j'avais vécu avec le jeune homme. Dans trois petits moi, la famille allait s'agrandir avec un petit garçon. Un petit Noah allait faire son entrée dans notre famille et les filles semblaient bien accepter la nouvelle, du haut de leur quatre ans, bien qu'elle ne comprenait pas vraiment pourquoi un petit garçon allait venir alors qu'après tout, on était bien toutes les trois. Reprenant Zéphyr au téléphone, je dis « Elles arrivent dans une minute » Ou dans deux. J'avais presque envie de le faire poiroter au téléphone mais ces deux crapules étaient capables de lui dire. M'essayant sur les escaliers, je me mis à monter d'un ton « Lili, Lisa, si vous êtes pas là à trois et dans le calme, je raccroche le téléphone ! Et personne ne court dans les escaliers » Autant parler à un sourd. Deux piles électriques qui allaient s'arracher le téléphone pour pouvoir parler à leur père chéri. L'été approchait et elles allaient passer quelque temps là bas, avec leur grand frère Luca puis leur père. L'Italie leur manquait depuis quelques jours, elles me demandaient sans cesse pourquoi il ne faisait pas beau ici, pourquoi tout le monde était blanc. Elles n'avaient que deux ans lorsque nous avions quitté la botte mais leurs séjours réguliers leur faisait revenir des tas de souvenirs. Les voyant descendre l'escalier je souris et les dirigea vers le canapé et le salon. Lindsay était la plus caractérielle des deux et elle décida donc de parler en premier à son père. Bien entendu, rien de bien philosophique à part des 'je t'aime' ou alors 'mais c'est fini l'école pôpa, c'est mes vacaaanches'. Je regardais du coin de l'oeil mes deux crapules et avais toujours un œil sur l'horloge. Jonah, mon meilleur ami depuis toujours, arrivait sur le sol français dans deux heures, nous vivions à une heure de l'aéroport et il fallait donc partir incessamment sous peu. J'écoutais d'une oreille ce qui se disait entre les jumelles et leur père tout en préparant quelques boissons fraîches, un gouter pour seize heures mais aussi le nécessaire de survie : doudou et biberons de sirop de grenadine pour Lindsay et de sirop de menthe pour Elizabeth.

Cela faisait vingt minutes que les deux crapules échangeaient avec leur père, chantaient avec lui et je capta leur attention en tapant dans les mains puis en montrant ma montre. Dans un souffle, Elizabeth baragouina à son père « On va à l'avion pour tonton Jonah. Il vient dodo à la maison plein de jours parce que maman elle a un gros bidon et que la cigogne elle vient bientôt. Je t'aime papa » Personne n'eut le temps de répondre quoi que ce soit qu'elle avait déjà raccroché. Elizabeth la rapide comme j'aimais la surnommer seulement sa sœur ne semblait pas apprécier – encore une fois – cette rapidité et c'était parti pour une petite guéguerre. Soufflant, je siffla et les têtes blondes se tournèrent vers moi. D'un ton plus que calme, je dis « Si vous ne voulez pas que j'appelle al cigogne plus tôt, vous allez arrêter de vous chamailler vous deux. Allez me chercher vos chaussures les filles s'il vous plait » Moi qui avait été une maman poule pendant quatre longues années, la dose d'hormones que je recevais en ce moment mettait mes nerfs sous pression. Je me dirigea avec mon gros ventre vers le canapé et posa mes fesses dessus. Assises sur la table basse, j'enfilais les petites chaussures ouvertes aux filles, enfila les miennes et tout le monde était en direction de la voiture et de l'aéroport. Pendant que j'écoutais la musique, les filles discutaillaient de qui ferait un bisou en premier à super tonton Jonah, qui allait le plus bronzer à Milan. Chacune son tour, elles choisissaient en quoi elles seraient la première et laissaient une autre possibilité à sa sœur. Soudées, voilà ce qu'étaient mes deux petits bébés. Arrivées à l'aéroport, Lindsay – qui avait laissé sa sœur dire bonjour à Jonah en premier – me demanda la poussette puisque madame n'allait pas courir alors autant se faire pousser. Une vraie petite feignante celle là ! Elizabeth coincée sur mon ventre rond, Lindsay dans la poussette, j'avançais vers la porte d'où était censé sortir mon meilleur ami. J'attendais, impatiente comme la crapule que j'avais dans mes bras, et lorsque je le vis un large sourire se dessina sur les lèvres. Posant Elizabeth à terre, cette dernière ne mit pas longtemps à courir et sauter dans les bras de l'ancien sigma qui ne savait rien de ma grossesse. Je n'avais pas su comment lui expliquer que la jeune femme qui s'était fait avorter il y a dix sept ans attendait son troisième enfant, fécondé par in vitro. Jonah avançait vers nous, accompagné d'Elizabeth et de sa valise et s'arrêta à quelques mètres de moi, bouche bée devant la rondeur de mon ventre. « Surpriiise ! » J'ouvris les bras pour l'accueillir et après une légère étreinte et un baiser sur la joue, je commença à faire ma curieuse « Comment vas-tu Jo ? » Je tentais de l'occuper au maximum pour qu'il n'ait pas le temps de poser trop de questions mais on parlait de jonah après tout. Je ne mis pas longtemps à sortir Lindsay de sa poussette, impatiente de dire bonjour à son super tonton.
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MessageSujet: Re: les amis c'est comme des pierres certains sont plus précieux que d'autres ✖ jonah&leïla (flashforward) les amis c'est comme des pierres certains sont plus précieux que d'autres ✖ jonah&leïla (flashforward) EmptyDim 15 Juil - 14:29


Passeport, carte d'identité ok. Sac – avec quelques cadeaux à l’intérieur- ok. Diverses choses pour passer le voyage c'était bon aussi. Téléphone portable -rechargé- c'était bon aussi. Bref, à première vue, il avait tout. Tout sauf.... Merde. Les billets d'avion. S'il se pointait à l'aéroport sans les billets, il ne risquait pas d'aller très loin. Ou est-ce qu'il avait pu les mettre ?! Pas dans le sac où ils devaient logiquement se trouver en tout cas. Soupirant histoire de se calmer, il tenta de refaire mentalement les deux ou trois dernières journées, pour savoir où est-ce qu'il aurait pu mettre ces billets... Pas dans les vêtements qu'il avait porté ça c'était certain. Jasmine était passée à son appartement peut-être qu'elle s'en rappellerait, composant rapidement le numéro de la jeune femme, il fut heureux de ne pas tomber sur son répondeur Hey, salut ma belle. Désolé de te déranger, mais je n'arrive plus à mettre la main sur mes billets et comme je pars dans... moins de trois heures, est-ce que tu n'aurais pas le souvenir que j'aurais pu les poser à un endroit ou un autre, vu que t'étais là pendant que je rangeais mes affaires dans les sacs. Il y eut un un blanc de quelques secondes, puis la belle brune lui sortit dans la table de nuit, enjambant rapidement le bordel (= les sacs et autres) qui traînaient dans le couloir, il alla dans sa chambre et BINGO. Tu sais à quel point tu es formidable, et à quel point je t'aime... en toute amitié bien sûre Jas'. Bref, merci beaucoup, tu es géniale... On se revoit dans plus d'une semaine... voilà. Il raccrocha histoire de pas se mettre en retard. Jonah prit ensuite tous ses sacs, et descendit rapidement les marches qui menaient jusqu'au rez-de-chaussée. Une fois dans la rue, il hella un taxi et demanda l'aéroport. Il avait du mal à croire qu'il se rendait en France chez sa Leïla, sa meilleure amie... Qu'après tout ce temps, ils se côtoyaient encore alors qu'ils avaient des vies totalement différentes, dans deux contrées éloignées l'une de l'autre. Elle avait sa famille, ses enfants et tout ça et lui... Lui, à part professionnellement parlant, on ne pouvait pas dire qu'il avait grand chose, il était toujours brouillés avec ses parents, frères et sœurs qui n'appréciaient pas vraiment ce qu'il faisait -à savoir travailler à Broadway, sur une comédie musicale reprenant Grease-... Et il n'avait pas envie de se caser, de toute façon, il fallait vraiment être taré pour arriver à le supporter au quotidien et ça il le savait bien. Il était assez invivable, parce qu'il parlait trop et que, clairement la seule chose qui comptait c'était son cher et tendre boulot; tout le reste -mis à part peut-être quelques rares amis- passaient après, et même à vrai dire très très derrière.
A l'aéroport, il fut agréablement surpris de voir que son avion était à l'heure -si, si c'est possible !-. Envoyant un sms à Leïla pour lui annoncer que si tout continuait de la sorte il arriverait à bon port à l'heure prévue ! Un peu moins d'une heure après l'avion décollait enfin. Bye bye Broadway, Byebye les Etats-Unis et bonjour la France et le décalage horaire ! D'ailleurs s'il voulait être un minimum en forme lors de son arrivée, il allait falloir qu'il arrive à fermer l’œil. Mais c'était sans compter la mamie qui se trouvait à côté de lui, qui à peine au moment où il commença à somnoler, eut le don de le reconnaître, et commença à taper la discussion. Oh pitié, vivement qu'ils arrivent... Jonah avait beau aimer parler, là, il n'y avait pas d'issue de secours et il savait qu'il serait obligée de supporter sa voisine de siège jusqu'à la fin du voyage... Enfin après lui avoir tenu la jambe pendant près de trois heures, la vieille dame commença à s'endormir et peu de temps à près Whyzer rejoignit à son tour les bras de Morphée. Ce fut l’amorçage de l'atterrissage qui le réveilla. Hummmm ! Ça c'était un bon gros somme ! Une fois au sol, le garçon se dépêcha de sortir de l'avion, pour récupérer son sac et se dirigea vers l'endroit où devait l'attendre Leïla et ses petites merveilles de filles. A peine avait-il franchi qu'un des petits bouts de chou lui sauta dessus, la prenant doucement dans ses bras en faisant bien gaffe à ne pas lui faire mal -ce qui soit dit en passant avec le sac en plus à tirer n'était pas du tout pratique-, et l'ex Sigma s'arrêta à quelques mètres de sa meilleure amie ronde comme une bille. Whoaw. Elle était enceinte et ça ne devait pas être d'un mois ou deux. Il la regarda quelques secondes bouche bée, essayant de se rappeler si elle lui en voyait parler, mais visiblement non, Leïla avait fait impasse sur cette grossesse. Et effectivement, le surprise confirmait bien qu'il n'était au courant de rien ! Déposant Eli sur le sol il alla prendre la mère de famille dans ses bras et lui déposa à son tour un léger baiser sur la joue. Et bien écoute, plutôt bien, mis à part que j'aurais bien dormi une ou deux heures supplémentaires... mais sinon parfaitement. Le voyage c'est super passé. Il se coupa plus ou dans sa phrase pour dire bonjour à Lindsay, et lorsqu'il reprit la parole, le jeune homme avait décidé de changer complètement de sujet Et toi alors, comment ça va ?! Et surtout qu'est-ce que tu racontes de neuf... et ne me dis pas rien, parce que tu as un argument de taille qui prouve le contraire. dit-il parlant bien sûr de sa grossesse en sous entendu. Il avait plein plein plein de choses à lui raconter, en fait pas tellement, à vrai dire, la jeune femme savait déjà peu près tout de la vie de son meilleur amie, qui en même temps ne changeait pas énormément... Par contre elle devait avoir pas mal de chose à lui dire et ça c'était plus intéressant. Si certains auraient mal pris le fait de n'apprendre que maintenant la grossesse de leur meilleure amie, lui non, pas du tout, après tout, elle avait certainement une bonne explication à lui fournir? N'est-ce pas Leïla ?!
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MessageSujet: Re: les amis c'est comme des pierres certains sont plus précieux que d'autres ✖ jonah&leïla (flashforward) les amis c'est comme des pierres certains sont plus précieux que d'autres ✖ jonah&leïla (flashforward) EmptyMer 25 Juil - 21:18

les amis c'est comme des pierres certains sont plus précieux que d'autres ✖ jonah&leïla (flashforward) Tumblr_m7gxyxP7yO1rtzlzf « Et bien écoute, plutôt bien, mis à part que j'aurais bien dormi une ou deux heures supplémentaires... mais sinon parfaitement. Le voyage c'est super passé » Je souriais en entendant mon meilleur ami me dire que tout avait été pour son voyage. Je détestais être loin de lui, devoir vivre à plusieurs milliers de kilomètres du seul homme en qui j'avais réellement confiance. C'était difficile, sans parler des heures de décalage et je savais très bien qu'il était fatigué. C'était d'ailleurs pour cela que notre après midi et soirée serait plutôt calme. Surtout qu'il fallait avouer qu'avec le ventre que j'avais, on ne pouvait pas aller danser jusqu'au bout de la nuit ! Cela me faisait tellement de bien et de plaisir d'être là, de pouvoir enfin voir sa petite tête, de pouvoir le serrer dans mes bras, même si c'était quelque peu difficile. « Et toi alors, comment ça va ?! Et surtout qu'est-ce que tu racontes de neuf... et ne me dis pas rien, parce que tu as un argument de taille qui prouve le contraire. » Je souris avant de faire mine de bouder. Comment ça j'avais grossi ? Franchement, je ne voyais pas vraiment où. J'avais toujours ma poitrine de rêve, mon postérieur juste comme il fallait... Je faisais mine de rien avant de froncer les sourcils et de dire « Ça va bien écoute ! Les deux blondinettes vont bien, je suis heureuse donc tout roule ! Je ne vois pas de quoi tu parles, mais alors pas du tout en parlant d'argument de taille » Je lui fis un clin d'oeil et grimaça quelques secondes plus tard. Bon, eh bien, il semblerait que Monsieur à l'intérieur de mon ventre ne soit pas franchement d'accord avec ma petite phrase. J'attendais l'accouchement avec impatience, bien entendu par les heures de cris, les heures de douleur mais tout ce qui allait arriver après. Pouponner était devenue ma nouvelle folie, ma nouvelle lubie et il n'y avait qu'à voir les jumelles pour constater que j'étais une mère plus ou moins parfaite, ce que personne n'aurait pu imaginer il y a quelques années. J'avais tellement changé lors de mon tour du monde il y a quelques années déjà. Attrapant la main de mon meilleur ami, je la posa sur mon ventre rond et dis « Si monsieur veut bien se manifester pour Tonton Jojo, ça m'arrangerait. » Je me pencha quelque peu vers Jonah et lui dis, à l'oreille « C'est tout une histoire, il n'a pas vraiment de père » L'ancien Sigma savait très bien que je n'étais plus avec le père des jumelles mais il ne se doutait surement pas à voir la famille s'agrandir en venant ici. Je n'avais rien dit à mon ami pour lui faire la surprise et j'espérais que cette dernière lui plairait, surtout que j'allais avoir quelque chose à lui proposer. Me dirigeant vers un café non loin de là, je dis « On va aller boire un coup parce que je n'aime pas vraiment la chaleur suffocante. Moi qui était une vraie fana du soleil et des heures à faire la crêpe, j'ai pas mal de difficultés ces derniers temps ! » Et puis, me balader en bikini voire trikini avec ce ventre n'était pas la chose la plus sexy qui puisse exister ! J'avais beau avoir eu deux enfants, quelques petits kilo en trop et de légères marques de grossesse, je n'avais pas changé en ce qui concerne le physique. Ce n'était pas la chose la plus importante à mes yeux mais je n'avais que trente et un ans et je ne comptais pas finir au placard si tôt ! J'attendais le prince charmant, ayant plus ou moins réussis à oublier Zéphyr, heureux avec Thaïs. Je n'acceptais toujours pas cette relation – il ne fallait pas trop m'en demander – mais je n'étais plus si jalouse que cela. S'il avait besoin d'elle pour être heureux, c'était son choix et je n'allais pas l'attendre, une nouvelle fois. J'avais assez attendu il y a plus de douze ans, j'en avais fini pour l'attente. Posant mes fesses sur une chaise en terrasse, les jumelles étaient assises dans leur poussette double, à raconter ce qu'elles faisaient ici, à Paris, comment la vie ici c'était trop cool et tout ce qui allait avec ; voyant le serveur arriver je passa commande et attendis que Jonah fasse de même. Me tournant vers mon meilleur ami de toujours, je dis « Ça me fait plaisir de te voir mon chou. Comment va l'Amérique et ton boulot ? Toujours pas de petite amie ou tu l'as laissé à Broadway ? Tu aurais pu la prendre avec, pour me la présenter hein... » Je n'espérais qu'une seule et unique chose ; que le jeune brun soit heureux que ce soit célibataire ou en couple. Peut être avait-il trouvé la femme de sa vie, peut être pas, je voulais tout savoir et il savait bien que j'étais une belle commère ! Ça non plus ça n'avait pas changé depuis ma plus tendre enfance. Buvant une gorgée de ma boisson, je regarda les jumelles et leur donna – chacune leur tour – un peu de leur boisson : un diabolo menthe pour l'une, grenadine pour l'autre. Je fermais les yeux quelques secondes, profitant du soleil de la ville. Je m'étais vite habituée à Paris, y ayant vécu mes meilleures années pour tout dire. J'avais vécu tellement de chose ici étant jeune et maintenant... Bien entendu, l'apprentissage de la langue n'avait pas été chose facile, surtout pour les jumelles qui mélangeaient encore italien et français mais c'était ainsi. « Si tu ne parles pas de toi, tu n'auras aucune information sur moi et la conception du petit, fais gaffe. » Je lui fis un clin d'oeil avant d'ajouter « Si ça peut te rassurer, il n'est pas de Zéphyr. Je n'ai pas fait interruption dans sa vie, fais tu-sais-quoi avec lui et ne suis pas rentrée style de rien, le laissant avec sa sampi. » Ex-sampi devenue alpha pour tout dire. J'avais longtemps eu envie de l'étriper mais maintenant, c'était tout autre chose. Je l'acceptais presque, tant qu'elle ne jouait pas à la mère parfaite avec les jumelles. Elizabeth et Lindsay savaient que la seule mère qu'elles auraient serait moi et que Thaïs pourrait très bien déserter du jour au lendemain, laissant leur père seul. Je regardais Jonah, toujours un sourire sur les lèvres. Qu'est-ce qu'il m'avait manqué ce petit loup !
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MessageSujet: Re: les amis c'est comme des pierres certains sont plus précieux que d'autres ✖ jonah&leïla (flashforward) les amis c'est comme des pierres certains sont plus précieux que d'autres ✖ jonah&leïla (flashforward) EmptySam 4 Aoû - 17:01


Oui, tout c'était parfaitement bien passé même. Tout allait bien mis à part qu'il était un brin claqué, enfin, rien de bien exceptionnel en somme. Ce qui était plus intéressant c'était de savoir ce qui lui était arrivé à elle.... et vu le ventre qu'elle avait à présent ce n'était pas trop difficile à deviner... Et d'ailleurs, il ne se gêna pas pour lui dire sans aucune once de diplomatie. Comme d'habitude en somme, le garçon n'avait guère changé ! L'ex Sigma haussa un sourcil avant de se mettre à rire un peu en entendant la réponse Si tu ne vois pas de quoi je parle, je crois qu'il est sérieusement temps que tu ailles t'acheter des lunettes ma belle. Il allait lui répondre à son clin d’œil en lui tirant la langue mais la grimace de douleur qu'elle fit l'en empêcha et l'inquiéta même quelque peu. ça va aller Leïla ? Oui, il y a des moments ou il pouvait être plus que sérieux, comme maintenant par exemple. Avant qu'il ait pu reprendre la parole la jeune femme lui avait posé la main sur son ventre et il la laissa faire sans rien rajouter, enfin du moins jusqu'à ce qu'elle l'appelle "Jojo". Oh pitié. Pas ce surnom immonde. Tu sais bien que je déteste quand tu m'appelles comme ça Joe, s'tu veux. Jon me va aussi parfaitement mais Jojo ou Jonjon je préférerais éviter que ça ressorte de ta bouche... C'est vraiment immonde comme surnom ! Malheureusement pour lui le futur bébé ne semblait plus décider à se manifester ! Tant pis pour lui... Une autre fois peut-être ! Fronçant doucement les sourcils à ses nouvelles il acquiesça doucement avant de lui souffler d'un ton aussi bas que le sien Tu m'expliqueras quand on sera seul ? Oui parce que si même l'ex Bêta lui disait qu'il n'avait pas vraiment de peur, le jeune homme se doutait quand même qu'il y avait bien dû avoir quelqu'un pour concevoir le bébé, qu'il ne s'était pas fait juste par la simple pensée du saint esprit. La petite "famille" se dirigea donc vers un petit café qui se trouvait juste à côté. Le garçon n'était même pas étonné de ce qu'elle disait, tu m'étonnes qu'avec un marmot dans le bide elle ne voulait pas faire la crêpe au soleil. Et bien écoute, jusque-là je n'ai pas vraiment eu le temps de faire bronzette non plus... En fait, je crois que le terme le plus approprié est même que ma vie sociale est assez réduite, enfin mis à part avec les personnes que je côtoie tous les jours... et quand j'ai aussi le courage de sortir le soir. Il se tut quelques secondes avant d'en conclure En fait j'ai plutôt une bonne vie sociale ! Disons plutôt que je n'ai pas trop de temps! Mais cela lui plaisir comme ça. Au moins il n'avait pas le temps de s'ennuyer ce qui était parfait. Même si tu n'as pas le temps de trop bronzé tu n'es quand même pas si blanche que ça. T'inquiètes pas, t'es resplendissante, comme toujours. S'asseyant, il écouta ce que racontait les jumelles, jusqu'à ce que le serveur arrive. Alors qu'il n'avait même rien écouté il commanda Comme elle, s'il vous plaît. De toute façon, il n'était pas très difficile et se doutait bien qu'elle n'avait pas pris d'alcool. Lui souriant à ses nouvelles paroles Moi aussi, ça me fait plaisir de te... de vous voir. Oui il fallait pas qu'il oublie les jumelles, les pauvres. Visiblement, je dois être trop pénible au quotidien, car personne veut de moi... mais au final ça ne me gêne pas plus que cela. Au moins je peux faire ce que je veux, quand je veux, sans avoir à rendre des comptes. Il se tut quelques secondes avant de reprendre Et sinon tout va bien, parfaitement bien. Mais de petites vacances ne me feront pas de mal c'est vrai, et je suis content de pouvoir les passer avec toi... vous. Très chère Leïla. Lui qui d'habitude était si bavard n'en disait pas trop aujourd'hui et d'ailleurs la jeune avait du le remarquer vu qu'elle le "menaça" de ne rien lui révéler s'il n'en disait pas plus sur lui. Okay... Okay... Je m'avoue vaincu. Alors, il y a quelques mois j'ai fréquenté une jeune femme qui me plaisait beaucoup et qui s'est barrée du jour au lendemain et n'a jamais daigné répondre à mes messages, alors j'ai pris ça comme un message et je me suis dit que finalement vu ma situation ma vie de célibataire m'allait parfaitement. Et... vu que je suis toujours aussi adorable et awesome, ne t'inquiètes pas pour moi, je ne me sens jamais seul. Il lui sourit, c'était une manière plus délicate que de dire qu'il changeait de fille chaque nuit. Sinon quoi dire... Quand je reviendrais à Broadway, j'ai déjà un autre projet de prévu, mais là je suis désolé mais je ne peux pas en dire plus... secret professionnel.Se passant une main dans les cheveux, il lui dédia son plus beau sourire avant de continuer Et s'il n'est pas de Zéphyr, est-ce que tu pourrais me dire qui est le père ?! A moins que se soit un secret... mais tu sais que je suis muet comme une tombe pour garder tes secrets. il était curieux de savoir qui pouvait bien être l'heureux élu d'avoir un enfant avec la ravissante blondinette. Personnellement, si elle avait voulu un autre enfant et qu'elle cherchait un père, cela ne l'aurait pas du tout déranger de l'aider un peu à accomplir ce rêve. Enfin ce genre de chose il ne pouvait pas le dire tout fort... tout comme il n'était pas sûr certain qu'elle sache qu'il avait craqué sur elle il y a de ça très très longtemps. La naissance est prévue pour quand ?! J'essayerai de me libérer pour pouvoir venir te voir... et te soutenir. De toute façon, tu sais que si tu as besoin de moi, je serai toujours-là pour toi. Il lui avait toujours tout pardonné et ce n'était pas aujourd'hui que cela changerait.
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Augusto P. Da Volpedo
there's no place like berkeley
Augusto P. Da Volpedo
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MessageSujet: Re: les amis c'est comme des pierres certains sont plus précieux que d'autres ✖ jonah&leïla (flashforward) les amis c'est comme des pierres certains sont plus précieux que d'autres ✖ jonah&leïla (flashforward) EmptyJeu 9 Aoû - 15:56

:out:
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