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.flashforward timianna • they didn't grow up

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MessageSujet: .flashforward timianna • they didn't grow up .flashforward timianna • they didn't grow up EmptyDim 13 Mai - 17:40


    and they lived happily ever after
    ⚡ Time is running out ghost keeping me alive i get what it means you have to survive. Eight o' clock in the morning to hard to give, to hard to live i can't stop dreaming do you know what i'm in. You make up your angry eyes you stay hidden but i see you smile i wanna stay inside your arms i want to feel fine. Twenty minutes and i'm ready, it's not raining today i'm late and i must hurry welcome to my way. I don't wanna wet us i'm sorry it's not raining today kill the light. I can see. flashforward timianna;;

FLASHFORWARD TIMIANNA • VINGT-SEPT JUIN DEUX MILLE DIX-NEUF
26 JUIN, PARIS. « Sérieusement Tim ? Tu n'as plus vingts ans, ton corps a besoin de repos ! » J'entendais la voix de Jodie depuis l'autre bout du terrain. Quelle idée j'avais eu de lui demander de m'accompagner à Paris. Pendant le tournois, elle avait été encore plus sous pression que moi. Je devais jouer et combattre la journée les meilleurs joueurs de tennis du monde entier, mais ça n'était rien comparé aux combats que j'avais le soir avec Jodie. Reposer mes chevilles, reposer mes poignets, elle trouvait toujours quelque chose qui n'allait pas. « Tu marches sur le terrain Philippe-Chartier, souris au moins ! » C'est sûr qu'elle n'avait pas autant de plaisir que moi à marcher sur la terre battue des célèbres terrains du tournois de Rolland Garros, et pourtant la jolie blonde esquissa un sourire avant de ne reprendre la parole. « Pourquoi tu m'as demandé d'être ton médecin si tu n'écoute pas le moindre conseil que je te donne ? » Me dit-elle presque vexée alors que j'attrapai mon sac pour venir la rejoindre. Nous avions un avion à prendre en fin de journée, alors il valait mieux pour nous de rassembler nos affaires pour être prêts à temps pour ne pas rater notre avion. « Bien sûr que je t'écoutes, regarde j'ai arrêté de jouer là. » Lui dis-je en souriant malicieusement avant de passer mon bras autour de son coup pour quitter le court. « Allez viens, on rentre chez nous. » Lui dis-je en pensant alors à Indianna que j'allais retrouver dans quelques heures dans notre appartement de San Francisco, ainsi que Sacha son fils, que je considérais comme le mien. Le temps avait bien changé depuis que nous étions des petits Iotas à l'université de Berkeley. Bien que je criais sur tous les toits que je voulais rester un enfant comme Peter Pan l'avait fait, j'avais été obligé de grandir. Mais finalement ça n'était pas déplaisant. Grâce à mon coach de Berkeley, j'avais été repéré par mon agent actuel, Eliott Langrée, un célèbre agent français, qui m'avait fait graver les échelons jusqu'à participer aux plus grands chelem. J'avais gagné l'année dernière l'open d'Australie, j'étais arrivé en final de Wimbledon la même année, et cette année je perdais en final de Rolland Garros, l'un des tournois que j'aimais le plus. Alors que je n'étais pas encore remis de ma défaite, j'avais Jodie qui essayait tant bien que mal de me remonter le moral, et Eliott qui me disait que la final, c'était déjà quelque chose de génial, et que de toute manière, j'avais encore le temps de gagner des tournois. Après tout je n'avais que 28 ans, et j'étais si proche du but que je m'étais fixé lorsque j'étais gamin, que je n'avais aucune intention de baisser les bras. Si j'avais réussis à en arriver là, il n'y avait aucune raison que je n'arrive pas à continuer dans cette lancée. Le tournois s'était terminé depuis maintenant deux jours, et après avoir été interviewé par quelques magazines et chaînes françaises et européennes, j'avais quand même pris le temps de visiter la ville de Paris avec ma meilleure amie Jodie, et nous repartions aujourd'hui avec Eliott et elle en Californie. Après être passé à l’hôtel où mes assistants avaient déjà rangé toutes mes affaires, nous nous rendions à l'aéroport pour rentrer chez nous. Un vague sourire éblouissait mon visage malgré ma défaite. J'avais en tête quelque chose de bien plus important que tous les tournois que je pouvais gagner dans ma vie. Passant la main dans ma poche, je vérifiai que la petite boite en velours était toujours là, et senti alors mes joues rougir d'impatience et de stresse. C'était encore pire que d'attendre un match de tennis. J'avais pris ma décision une fois arrivé à Paris, quand je m'étais rendu compte à quel point elle pouvait me manquer lorsqu'elle n'était pas à mes côtés. Quand je m'étais rendu compte que je la voulais près de moi pour toujours.

27 JUIN, SF. Arrivé à San Francisco, un petit groupe de journalistes m'attendait à l'aéroport. Rien avoir avec la foule que je pouvais avoir lorsque j'étais à Paris. Et j'avoue que ça faisait du bien de me dire que ici au moins, j'aurais la paix, et je pourrais enfin me sentir chez moi. Aux États-Unis, le tennis n'avait pas une place aussi importante qu'en Europe. Il n'y avait pas un seul jour à Paris où je n'avais pas été poursuivit par des fans de mon jeu, de mon élégance devant les caméras, de ma timidité pendant les directs, de mon rire, de mon sourire, bref les Parisiennes surtout étaient assez douées pour me trouver des qualités. Après avoir retrouvé nos valises, nous prirent un taxis pour nous rendre en ville. Ce soir, je ne dinais pas avec eux. Chacun rentrait chez lui retrouver ses proches. Après plus d'un mois en France, nous n'avions qu'une envie, c'était de retrouver nos familles et nos amis. Et ma famille aujourd'hui, c'était Indianna et Sacha. Alors que Eliott et Jodie sortaient du taxis chacun leur tour, je fis une bise à Jodie et donnai rendez-vous à Eliott dans quelques jours avant que mon portable ne sonne. Il affichait Leila. Un moment qu'elle ne m'avais pas appelé celle-là. « Qu'est-ce que tu veux ? » Dis-je dans un soupir en guise de bonjour à ma chère et tendre cousine. « C'était bien la France ? J'ai vu que tu avais perdu, ça ne m'étonne pas, j'avais parié contre toi. » me dit-elle. Je souris alors en détectant dans sa voix un soupçon de fierté pour cette superbe blague. C'était devenu un jeu entre nous. Nous ne pouvions pas nous entendre, alors on avait décidé de prendre ça presque à la rigolade, mais ça ne nous empêchait pas de nous détester autant qu'avant. « C'est ça, bonne nuit Leila. » Je raccrochais sans lui laisser le temps de me répondre. Pas le temps de jouer ce soir. Alors que le taxis s'arrêtait devant chez moi, je le payais avant de descendre de la voiture avec mes valises. Je rentrai dans notre duplexe et posai mes affaires sur un banc dans l'entrée. Sasha ne devait pas être là ce soir, sinon il y aurait bien plus de bruit. Au lieu de ça, les Beatles chantaient à la radio les douces paroles de Michelle, accompagnés des bruits de la rue que l'on entendait à peine vu la auteur à laquelle était notre appartement. Il faisait chaud ce soir, et les fenêtre ouvertes laissaient passer un filet d'air chaud dans la pièce. Je montai alors au premier étage du duplexe pour rejoindre notre chambre, dans laquelle Indianna devait être. Ça faisait maintenant plus d'un an que nous étions ensembles. J'avais toujours cru que je finirais ma vie avec Elmas. Depuis que je l'avais rencontré, j'avais toujours été fou amoureux d'elle. Mais Indianna était arrivée dans ma vie, et Elmas m'avait laissé tombé sans me donner la moindre excuse. Indianna avait elle aussi surmonté beaucoup d'épreuve. Elle avait eu un enfant avec un étudiant de Berkeley, et celui-ci l'avait ensuite trompée. Nous avions surmonté beaucoup d'épreuves ensembles, et nous étions maintenant heureux tous les deux. Indianna était rafraichissante, toujours de bonne humeur, elle aimait rire et danser, je comprenais maintenant qu'elle était la femme parfaite pour moi. J'étais sur le palier de la chambre lorsque Indianna sortit vêtue d'une serviette de la salle de bain sans me voir. « Tu aurais pu m'attendre pour prendre ta douche. » Lançai-je doucement pour marquer ma présence. Indianna se retourna rapidement, je l'avais fait sursauté. Je m'approchais alors d'elle, et déposais mes lèvres contre les siennes. Je la prenais alors dans mes bras et la serrais le plus fort possible contre mois. Plus d'un mois sans la voir, ça m'avait paru une éternité. « Tu m'as beaucoup trop manqué, tu sais. » Lui soufflai-je à l'oreille avant de la relâcher. Je passai ma main sur sa joue. « Tu-es-bel-le. » Trois mots en français que m'avait appris Eliott pendant notre voyage à Paris. Mais avec mon accent américain, je doutais qu'un français arriverait à comprendre ce que j'essayais de dire. « Il parait que parler en français, ça fait craquer les filles. » Lui dis-je en souriant. Je regardai l'heure à ma montre. Il était 22 heures passé et je mourrais de fin vu la nourriture immonde qu'il donnaient dans l'avion. Je retirais mon haut pour me retrouver torse nu devant Indianna. Après avoir passé une nuit dans l'avion, j'avais besoin d'une bonne douche. « Prépare toi, je t'emmène dîner dès que je sors de la douche. » Lançai-je en prenant soin de ne pas faire tomber la précieuse boite dans l'une des poches de mon jean. Fermant la porte de la salle de bain derrière moi, je sortis la boite de mon jean pour l'ouvrir. A l'intérieur se trouvait une bague en argent que j'avais acheté dans une grande bijouterie de Paris. J'avais passé une bonne partie de l'après midi à trouver celle que je voulais. Et j'avais finalement trouvé celle qui se rapprochais le plus de mes espérances. Une bague hors du commun pour une personne hors du commun. La lumière de la salle de bain faisait briller la petite pierre qui se trouvait sur l'anneau, et je souris avant de la ranger précieusement dans sa boite, que je rangeai dans la poche de mon jean.
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MessageSujet: Re: .flashforward timianna • they didn't grow up .flashforward timianna • they didn't grow up EmptyLun 6 Aoû - 22:49

corbeille.
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