the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -28%
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 ...
Voir le deal
279.99 €

Partagez

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Empty
MessageSujet: Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais. Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  EmptyVen 6 Avr - 23:50

musicmp3.ru
You And I by Lady Gaga
il nous suffit parfois d'une personne sur 7 milliards d'humains
Je ne t'aime pas. Je ne t'ai jamais aimée. Et je ne t'aimerais jamais. Jodie et Danahiel ♥ © CJ.Pomme'

    - Kennedy, si vous ne savez pas vous tenir de façon correcte, c'est très simple: sortez. C'est vrai? Il avait le droit? Oh, yeah. Enfin, ça faisait une heure et demie qu'il attendait que le professeur le fiche à la porte. Il était long à la détente celui-là. Danahiel n'avait pas envie de travailler ce matin. Et quand Danahiel ne veut pas travailler, il chercher à se faire virer en embêtant les autres étudiants. Ceux-ci râlent, gémissent, couinent et donc finissent par déranger le prof dans son cours. Chose qu'il n'aime pas du tout. Alors le responsable de ce vacarme et de ce dérangement se fait virer. Et c'est toujours comme ça, et ça marche toujours. Pratique, non? Mais après, le problème, c'est de rattraper les cours. C'est même un groooos problème. Parce que pour rattraper les cours, il faut pouvoir les recopier grâce aux notes d'un étudiant. Or, tous les étudiants de médecine de l'année de Danahiel le déteste. Ou presque. Pour tout dire, il ne compte pas ceux qui ne peuvent pas le voir, ceux qui ont peur de lui et ceux qui le snobent. C'est chiant de compter. Alors Danahiel se leva, arbora son plus beau sourire envers tous ses camarades étudiants, attrapa son sac et sortit du gigantesque amphithéâtre spécialement réservé à l'étude de la médecin. Ah, la médecine. Pourquoi il avait choisit d'étudier là-dedans déjà? Ah, oui, sa mère. Heureusement qu'il avait des facilités, parce qu'avec tous les cours qu'il loupait, il aurait louper ses années un paquet de fois. Et son abruti de vieux qui le forçait à bosser. Il avait une couche lui aussi celui là. Toujours derrière lui à lui dicter sa conduite sous peine de clôture de compte en banque. Sale radin.
    L'université paraissait morte ce matin. Aucuns étudiants dans les couloirs ni dans le parc: ils étaient tous en train d'étudier pour leur avenir. Cool. Il avait l'université à lui tout seul, et personne pour venir l'embêter. Ah, la vraie vie. - Monsieur Kennedy! Hein? Quoi encore? L'interpellé se retourna et se retrouva face à son professeur de biologie. Ouh. Ça sentait mauvais ça. - Ouais? Vu le sourire, ça sentait même très très mauvais. - A ce que j'ai pu remarquer, ça vous plait importunez tous les étudiants qui vous passent sur la main? Soit. Alors vous me ferez un compte rendu sur le cerveau humain. Ça vous permettra peut être de déceler en vous la partie de votre cerveau qui disjoncte et vous pourrez peut être enfin aller vous faire opérer. En attendant, ce devoir est à me rendre pour demain. Bonne journée, monsieur Kennedy. Et que je ne vous reprenne pas à embêter vos camarades. Gna gna gna. Ouais ouais. Mais ça, en attendant, c'était méchant, très méchant. Manquait plus que ça! Un compte rendu sur le cerveau humain! Il déconnait le vieux? Il devenait fou? Ouais, c'était ça, il devenait fou. C'était bon à enfermer dans des asiles ces spécimens là. Non mais oh, il poussait mémé dans les orties là. Mais Danone n'eut même pas le temps de lui répondre que le vieux fou était reparti dans son saleté d'amphithéâtre de bouse de prairie. - Y a pas écrit "machine à bosser" sur mon front, abruti! J'ai une vie, MOI! Ouais, bravo Danone. Mais là, tu vois, c'est comme si tu criais dans de la choucroute moisie.

    Le cerveau humain... Le cerveau humain.. Oh la merde. C'était juste limite l'organe le plus complexe du corps humain. Juste. Il voulait pas l'admettre, mais le vieux avait bien réussi son coup cette fois. Note à lui même: Danahiel, arrête d'embêter les petits boutonneux à lunettes pleurnichards. L'étudiant se retourna alors de nouveau, mais en râlant cette fois. C'est ce qu'on pouvait appeler une journée de gâchée. Complètement gâchée, parce qu'il allait devoir passer son temps à la bibliothèque pour rendre un fichu devoir donné sans justification. Ouh, une envie de meurtre était en train de monter en lui là. Et si il retournait dans l'amphithéâtre pour aller casser la figure à ce con? Ouais. Mais non. Parce que sinon après il va se faire virer et papa paiera plus les factures. Merde alors. Il avait gagné ce bougre. Danone commença à marcher sans vraiment faire attention où il allait. Pour le moment, il fallait surtout qu'il se calme. De toute façon, il n'avait pas la tête à travailler, et même si il avait tenté de faire quelque chose, il aurait fini par déchirer sa feuille de compte rendu. Alors Danone, il se retrouva finalement dans le parc. Désert, lui aussi. Rien d'étonnant. Mais au moins, c'était calme, et presque relaxant. Presque. Parce qu'il n'y a rien qui relaxe Danahiel. A part peut être la drogue, et encore. L'étudiant se mit alors à ralentir le pas tout en s'aventurant dans l'espace vert. C'était beau, un parc au printemps. Tout était fleuri, et les rayons de soleil illuminait le terrain. Un écrivain aurait été aux anges, et sûrement inspiré par une scène romantique. Mais Danahiel n'était pas romantique. Il trouvait juste l'endroit beau. C'est tout. Il s'avança alors vers un banc, posa son sac par terre et s'allongea dessus avant de fermer les yeux. Du silence. C'était tout ce qu'il "entendait". C'était plus sympa que la voix de l'autre macaque. Danone ouvrit les yeux et attrapa son sac. Mieux valait commencer à travailler maintenant, parce qu'il avait le pressentiment que son compte rendu allait être long à faire. Mais c'est quand il attrapa sa sacoche noir qu'il se rendit compte que, finalement, il n'était pas si seul que ça. Une autre personne qui ne supporte pas la bio? Oh. Une petite blonde. Mignonne. Il releva un peu plus la tête et croisa ses yeux. Bleux. Magnifiques. Elle avait tout pour elle celle-ci. Sauf son culot. Dévisager les personnes, c'est mal poli mademoiselle.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Empty
MessageSujet: Re: Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais. Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  EmptyLun 9 Avr - 0:44

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Tumblr_ls1ueiAsJ31r3tkpeo1_500
Dans deux choses qu'on estime semblable, il y a toujours un sosie. La pire chose au monde, c’est de laisser l’être aimé sans nouvelles. Pourtant, c’était ce que Sky avait fait. Il était parmi les personnes à qui j’avais dit pour Avery, à qui je m’étais confié. Il savait dans quoi je m’engageai, il savait ce que je faisais comme sacrifice en me laissant aller à l’amour que j’éprouvais pour lui, mais non, il s’en est foutu et il s’est barré comme un voleur. J’étais encore sous le choc de la fusillade, j’avais absolument besoin de lui et lui, il s’est cassé comme ça sans un mot et sans un au revoir. Les yeux rivés au plafond, je pensais encore et toujours à Sky. Cependant, il fallait que je me lève et que j’aille en cours. C’est donc avec cette flemme que je trainais depuis le départ du jeune homme que je me levai. Si je me souvenais, je commençais les cours à 13h00 donc j’avais tout le temps devant moi. Petit-déjeuner passé, je pris une douche. La prochaine étape : choisir des vêtements. Je soufflai tout en m’assaillant sur mon lit, face à ma penderie. Soudain, mon portable vibra. C’était ma mère. Je décrochai. Après une dizaine de « oui, maman » et de « non, maman », je lui promis de passer dans la matinée. Je m’habillai donc en quatrième vitesse d’un jean, d’un chemisier rayé bleu et d’une petite veste cintrée noire. A ça, j’ajoutai un maquillage discret tout en teinte chaude et une paire de ballerines noires. J’attrapai mon sac et sortis de l'appartement en fermant la porte. Un voyage en voiture plus tard, j’arrivai à la maison de mon enfance. Je garai la voiture dans la grande allée, près de celle de ma mère. Je frappai une fois à la porte et entrai. « Maman, c’est moi. » La maison paraissait vide et j’allais partir quand Mrs Buckley débarqua avec son long tablier maculé de tâches de nourriture. Apparemment, elle était en pleins cours avec Julio, notre cuisinier espagnol. « Henrietta, ma chérie ! Tu es bien tôt. Je t’ai dit de venir rapidement, mais pas si vite non plus. » J’allai embrasser maman. « Tu ne m’avais pas donné d’heure donc je suis venu quand j’ai su. Tu es en pleins cours de cuisine ? » « Oui, j’étais en train d’apprendre à faire cuire du poisson « en papillote ». » Son accent français était à couper au couteau et je ne compris un traitre mot de ce qu’elle voulait me dire, mais tempi. « Mais ce n’est pas pour te faire sentir la bonne odeur du poisson en train de cuire que je t’ai appelai, mais pour te montrer la nouvelle couleur du salon. » J’acquiesçai et suivis ma mère dans la pièce de séjours. Elle me montra ce qu’elle voulut me montrer, ce qui en soit ne devait pas prendre super longtemps, sauf qu’avec ma mère, ça prit une heure et demie. Quand je sortis de chez elle, je me rendis compte qu’il me restait seulement une heure. Je devais absolument manger. Tempi, je n’avais pas le temps de m’arrêter en ville avec la file au temps de midi, je ne pouvais pas me permettre d’attendre dans l’une d’elle. J’irais à l’université, l’Albatross devait être ouvert et peu rempli. C’est donc le plus rapidement possible que je gagnai l’université. Coup d’œil sur le siège passager, mes cours étaient bien là. Heureusement que j’avais prévu le coup !

Je me garai près du restaurant universitaire, achetai un sandwich et me rendit dans le parc. Il faisait beau, je me devais de profiter de ce soleil printanier. Je m’installai sur un banc. Pas très loin, un jeune homme prenait lui aussi le soleil. Un élève de ma classe sûrement, il n’y avait personne d’autre dans le parc. Soudain, nos regards se croisèrent. Ce n’était pas possible ! Cela ne pouvait pas être lui, c’était improbable ! Je l’observais longuement, lui aussi apparemment puisque il ne dévia pas le regard. Je me levai et me mis à courir vers lui. Je plongeai mon regard dans le sien, mais je ne pouvais pas m’y perdre. J’attrapai alors son visage et l’embrassai. Ses lèvres m’avaient tellement manqué. Cependant, je revins très vite à la réalité et ma main partie toute seule. Comment avait-il osé me faire une peur pareil ? Ne pouvait-il pas me prévenir qu’il prenait simplement quelques jours de vacances ? Était-ce trop demandé ? « Sky ! Mais qu’est-ce qui t’as pris ? Je me suis fait un sang d’encre pour toi ? Pourquoi es-tu parti ? Et surtout, pourquoi ne m’as-tu pas prévenu ? Je ne comptais pas assez pour toi pour que tu te casses sans me dire où tu allais ? » Oui, j’étais énervé, mais d’un autre côté, il m’avait tellement manqué.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Empty
MessageSujet: Re: Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais. Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  EmptyLun 9 Avr - 1:57

musicmp3.ru
Ai Se Eu Te Pego by Michel Telo
il nous suffit parfois d'une personne sur 7 milliards d'humains
Je ne t'aime pas. Je ne t'ai jamais aimée. Et je ne t'aimerais jamais. Jodie et Danahiel ♥ © CJ.Pomme'

    Si jamais on avait dis à Danahiel qu'aujourd'hui, il allait se lever, aller tranquillement en cours par obligation parental, embêter un paquet d'étudiants - tout ceux qui allaient lui passer sous la main en fait -, se faire virer - but réussi, you're the winner ! - et ensuite, se ramasser au parc pour finalement se faire rouler une pelle par une magnifique blonde, il ne l'aurait pas cru. D'accord, Danahiel est beau, mais le genre de femme qui venait de l'embrasser était des femmes avec qui on devait ruser rien que pour obtenir le numéro de téléphone, le genre de femme à qui un sourire charmeur ne suffisait pas, le genre de femme qu'il fallait limite trouver bourrée pour l'avoir dans son lit. Alors c'était quoi? C'était le fait qu'il se soit fait virer de cours au bon moment? Ou le fait que, finalement, emmerder les autres étudiants ça avait du bon? C'était ça? La demoiselle craquait sur les bad boy? Oh. Bah en voilà une bonne nouvelle. Une excellente même. Bon, finalement, peut être que la journée n'allait pas être si pourrie que ça. Si jamais il arrivait à emmener cette beauté chez lui.. Ouh. Même le compte rendu sur le cerveau n'arrivait plus à assombrir cette journée. Parce qu'aujourd'hui, c'était LA journée de Danone. C'était quoi la suite? Il allait pleuvoir des culottes? Oh god, que tu peux être bon et juste quand tu le veux! Mais quand tu le veux hein. Parce que la plupart du temps t'es chiant, borné, et égoïste. Alors, d'abord surpris, Danone se laissa ensuite faire. C'est vrai quoi, il n'allait pas gâché un si beau moment – inespéré. Surtout qu'elle avait les lèvres douces. En fait, la seule chose qui avait vraiment troublé l'étudiant, c'était la façon dont la blondinette l'avait regardé avant de fondre sur lui. Quoi? Il avait quelque chose sur le visage? Oh non, c'était pas le moment. Quoique c'était illogique, si il avait eu quelque chose dessus, elle ne l'aurait pas embrassé. Alors quoi? Elle avait eu le regard de quelqu'un bouleversé entre la joie, l'inquiétude et la colère. Le regard d'une fille amoureuse aussi. Mais Danahiel n'eut pas à s'en faire plus longtemps que ça; après avoir décollé pour s'envoler parmi les étoiles, il fallait atterrir. Et atterrissage fut plus que douloureux: une baffe. QUOI?! Non mais ça allait pas dans sa tête?! Oh mais ça y est, la voilà l'explication: la blondasse était folle, timbrée, dégénérée, à la masse, à côté de la plaque. Y a pas idée d'embrasser le mec le plus beau de la terre puis de le baffer. Fallait pas aller bien dans sa tête, c'est tout. Danahiel releva alors la tête, des éclairs dans ses yeux, la mine froide, fermée. Elle n'aurait pas prit la parole qu'il levait sa main pour la gifler à son tour. Soit. Il attendit alors qu'elle finisse sa première phrase. Mais rien. Pas d'excuse. Aucun «pardon» ne sortit de sa bouche. Pour qui se prenait-elle? Et les «désolé», c'est pour les chiens? Petite garce va. Mais il n'eut de nouveau pas l'occasion de lui faire regretter ses actes et ses paroles vu qu'elle continua de parler. Mais qu'est-ce qu'elle racontait à la fin? Qui était Sky? Quoi? Mais il n'était jamais parti, ça faisait plusieurs années qu'il était à l'université. Quelle vacance? Il n'en avait pas prit. Mais elle était complètement à la masse cette nana. Danahiel ouvrit alors la bouche, mais ne parla pas. Son air furieux avait laissé place à une mine décomposé et ahurie. Que faire? Gueuler? Se barrer en courant? La solution était tentante. Même plus que tentante. Mais, tout à coup, ça fit ''tilt'' dans sa tête. Récapitulons: Sky aurait laissé cette bombe toute seule en partant lâchement? C'était ça? Et la bombe en question le prenait pour ledit Sky, c'est à dire son petit-ami? Mais il était malade ce gars de laisser une nana pareil? Une autre personne à la masse? Mais bref. Le coup de la sirène qui lui roulait une pelle ne valait plus rien face à ça. Plus. Rien. Du tout. Parce que là, c'était une sirène qui le prenait pour son petit-copain. Petit-copain, qui, apparemment, et, avec de la chance – bon d'accord, avec un coup de chance pas croyable du tout, un miracle même -, avait prit les voiles. Dieu, que tu peux être bon et juuuuste! D'accord, pas de problème, la messe tous les samedis, c'était plus un problème du tout. Le visage de Danahiel changea alors de nouveau et il prit l'air d'un chien battu complètement désolé. Il se mordit la lèvre et baissa les yeux pour finir pas regarder le gazon tout vert du parc de l'université. Très beau. Maintenant, il n'y avait plus qu'à espérer qu'il savait jouer la comédie. Un comble pour quelqu'un qui détestait plus que tout le théâtre. - Amour... Excuse moi... Je sais que j'ai pas gérer sur ce coup-là... Réfléchis Danone, réfléchis, trouve une excuse plausible, allez, bouge toi les fesses! - Mais mon père est tombé malade... Il a attrapé un cancer.. Et.. J'ai pas eu le temps de te prévenir ni de t'appeler, je suis désolé. Vraiment. L'étudiant releva alors les yeux et les plongea dans ceux de la petite blonde. Pourvu que ça marche. - Excuse moi. Pourvu que le père de ce fichu Sky soit encore en vie. Danahiel se releva alors, doucement, et fit un câlin à la blondinette en l'attrapant dans ses bras, telle une étreinte réconfortante pour elle. Au moins, ça, ça marchait toujours avec les filles, c'était une carté gagnante-. Tu m'en veux? Il plongea alors de nouveau son regard dans celui de la demoiselle, la regardant plus qu'intensément, et en profita pour rapprocher ses lèvres de la petite blonde. - Je t'aime... Me plaque pas pour ça, je t'en prie. Bien sûr que si que oui que tu compte pour moi. Par contre, ça, c'est que l'on pouvait appeler le coup fatal. Oh, oui, il allait vraiment commencer à t'aimer, ma chère. Le seul problème était qu'il ne connaissait pas son prénom en fait. Et il avait intérêt à l'apprendre, sinon il serait dans un pétrin pas possible; les surnoms ça ne marchent pas toujours.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Empty
MessageSujet: Re: Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais. Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  EmptyMar 10 Avr - 2:57

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Tumblr_m24ptfwBWD1rtrbk9o1_500
C'est fou comme on prend vite le pli de l'absurde. Je suis toujours certain d'être moi, mais je suis de moins en moins sûr des autres. Qu’est-ce que le destin faisait bien les choses ! Ou Dieu peut-être ! Oui, sûrement Dieu. Edith Piaf l’avait dit dans l’hymne à l’amour, « Dieu réunit ceux qui s’aiment ». J’étais aux anges. Même si je lui avais foutu une baffe, même si je lui en voulais à mort, j’étais tellement heureuse qu’il soit revenu, j’avais besoin de lui. Malgré tout, il parut étonné de la baffe. Attends, mon coco, tu t’es cassé sans rien me dire et tu croyais que j’allais t’accueillir les bras ouverts et que le baiser était ton cadeau de retour ? Déjà que je n’aurais pas dû ! Tu t’es bien fourré le doigt dans l’œil ! Il mit quelques secondes avant de se remettre à parler. Il s’excusait, c’était déjà la moindre des choses. « Amour, amour, mais va te les mettre où je pense tes amour, chérie, bébé et autre surnoms débiles ! Et c’est très bien que tu t’excuses, enfin c’est la moindre des choses quoi ! » Je ne décolérai pas. Croisant mes bas sur ma poitrine, j’écoutais ses balbutiements. Soudain, mon visage changea d’expressions. Son père, malade, cancer, urgence ! Ces mots résonnaient dans ma tête. J’ouvris la bouche et la refermai aussitôt, tel un poisson rouge ; je ne savais pas quoi dire. « My god ! » Voilà la seule chose qui sortit de ma bouche. Je n’en croyais pas mes oreilles, mes yeux étaient ronds comme des soucoupes. Il s’excusa à nouveau, je ne savais toujours pas quoi répliquer. Il me prit alors dans ses bras, serrant mon corps encore abasourdi par la nouvelle entre ses bras musclés. Une étreinte de quelques secondes, mais elle faisait tellement de bien. Il se décolla alors, et me regarda dans les yeux, je ne voyais plus que ces magnifiques yeux bruns qui m’avaient fait fondre dès le début. « Tu m'en veux ? », insista-t-il encore en même temps. « Je…Je…Oui ! », finis-je par éclater tout en secouant la tête. « Tu aurais dû me prévenir ! J’étais là pour t’aider, dans les bons et les mauvais moments, t’avais oublié ? Je suis vraiment plus que choquée que tu n’aies pas eu la déssence de – même si tu ne voulais pas me dire la raison exacte –, d’au moins me prévenir de ton absence prolongée. Tu sais dans quel état la fusillade, l’état de Kendall, de Ryder et de leur fils m’ont plongé. Tu savais que j’allais pas super super bien et toi, tu préfères te barrer sans un mot, sans un au revoir. Je te savais pas comme ça ! » Je ne pouvais cependant pas lui en vouloir de ce qui arrivait à son père. C'était dégueulasse d’ailleurs ce que ce pauvre homme endurait, je suis sûr qu’il n’avait pas mérité ça. « Par contre, je suis pas une sans cœur et je suis vraiment désolée de ce qui arrive à ton père. Je sais ce que c’est et tu le sais bien. » Je lui fis un léger sourire compatissant. Il approcha alors ses lèvres des miennes. Il m’aimait, il ne voulait pas que ça se finisse comme ça et je comptais pour lui. Ah ben celle-là, elle était bonne. Je me détournai au dernier moment, laissant ses lèvres se coller à ma joue. « Plus de bisous ! Je ne suis pas une girouette ! Je t’aime certes, mais qu’est-ce qui peut me prouver que tu ne recommenceras pas dans deux semaines ? Les amours où l’un des deux abandonne l’autre, j’ai assez donné et je n’ai pas envie de recommencer, surtout pas avec toi ! » Je le repoussai quelque peu. « Et puis, jusqu’à ce que je t’ais dis que je te pardonnais – de mon avis, ce qui n’est pas près d’arriver de sitôt –, tu m’appelleras Jodie, tu sais bien que je déteste ce qui niais ! » La niaiserie, c’était pour les couple mielleux style feu de l’amour et pour les vieilles qui lisent que des romans à l’eau de rose parce qu’elles en ont marre de pourrir dans un home pour vieux.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Empty
MessageSujet: Re: Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais. Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  EmptyVen 13 Avr - 0:13

musicmp3.ru
Ai Se Eu Te Pego by Michel Telo
il nous suffit parfois d'une personne sur 7 milliards d'humains
Je ne t'aime pas. Je ne t'ai jamais aimée. Et je ne t'aimerais jamais. Jodie et Danahiel ♥ © CJ.Pomme'


    La journée avait mal commencée, il fallait l'avouer. Mais il fallait aussi avouer qu'en quelques minutes, elle venait de se colorer de façon plus que spectaculaire. Danahiel était aux anges: il venait de se trouver une petite amie. Bon, d'accord, sa petite amie à lui n'était pas commode car elle n'était pas vraiment sa petite amie.. Mais on allait faire comme ci. Et puis, pourquoi rejeter une si belle créature qui vous prenait pour son copain? Danahiel était sûr qu'ils allaient passer du bon temps ensemble. Oh ça, oui. En fait, tout aurait été parfait si il avait pu éviter la baffe. Pourquoi ce Sky s'était-il barré en faisait le con comme ça? Danone n'était pas un défouloir. Un jouet pour femme et un gros dragueur, d'accord, mais pas un défouloir. Alors il avait sorti le grand jeu: surnom débile super niais, câlin réconfortant, ses yeux dans les siens, regards intenses... Heureusement que son excuse avait marché et que le père qu'il n'avait pas était encore en vie. Ouf, ouf, ouf. Mais tout, ça n'avait pas marché. Non, même pas un sous. Enfin, la blondinette avait crue son bobard. Mais c'était tout, elle n'avait pas cédée sous ses câlins et ses surnoms. Elle était tenace celle la! Mais c'était toujours les femmes les plus compliquées, les plus extraordinaires comme on dit. M'enfin, pourvu que celle ci en soit pas trop trop compliquée non plus, sinon il n'allait pas tenir et il allait lui remettre les pendules à leur place. - Je n'avais pas envie de t'inquiéter pour rien! Je sais bien que tu t'inquiétais, mais j'osais pas t'en parler. Et puis, même, ça me fait beaucoup trop mal pour déballer le sujet quoi. Essaies de te mettre à ma place. Je suis sûre que si ton père était malade, tu aurais voulue être seule avec lui un moment pour avoir un peu d'intimité. Et je l'aurais compris et je ne t'en aurais pas tenue rigueur. Soupire. Zut, il s'était emporté. - Je suis désolée, je te l'ai dis. Je suis aussi désolée de ne pas avoir été là lors de la fusillade. Tu ne sais pas à quel point je m'en voulu. J'ai eu peur pour toi et.. Quel con, ce Sky. Laisser sa copine lors d'une tuerie. - Bref, de toute façon, tu m'en veux, c'est ça? Oui, Danahiel étai bien en train d'essayer de faire culpabiliser la petite blonde. Oui, c'était dégoûtant, mais Danahiel avait son caractère. Pourtant, la blondinette finit par décrocher un sourire, et Danone crut que tout était gagné. Il se pencha alors dans le but d'embrasser ses lèvres, mais ces dernières touchèrent finalement sa joue, et non ses lèvres. La garce! Qu'est-ce qu'elle était compliquée! Mais au moins, cette petite crise de colère qu'elle fit subir au jeune homme lui permit d'apprendre son prénom, à la damoiselle. Jodie, alors? Jolie prénom. Simple, au contraire du caractère de sa maîtresse. Ce devait être une fille à papa. Buckley.. Tiens, ça lui disait quelque chose, mais il ne savait pas quoi. Oh, il ferait des recherches ce soir, après avoir calmé le jeu dans son nouveau "couple".- De quoi? Je n'ai jamais dis que tu étais une girouette! Je comprends que tu sois énervée, mais je t'aime, Jodie. Je t'aimeuh. J. E. T. '. A. I. M. E. Oui, il était bien en train de lui épeler les lettres. Compris? Je recommencerais pas, parce que j'ai compris mon erreur. Quand j'ai quittée la ville pour aller voir mon père, j'étais mal durant tout mon séjour parce que je t'aime, que je pensais à toi et que le goût de tes lèvres me hantait. Je ne recommencerais pas, d'accord? J'ai compris mon état et je ne tiens pas à redevenir comme ça. Quand est-ce que tu comprendras que je suis fou de toi, merde? Oh, mais si il fallait que Danone lui sorte le grand jeu pour se faire "pardonner", il allait le lui sortir. L'étudiant se retourna alors et commença à marche pour aller se rassoir sur le banc. Il baissa la tête et se la tint entre les mains. Elle voulait jouer? D'accord, alors ils allaient jouer. Dix secondes plus tard, Danahiel se mit à pleurer. Oh, qu'est ce qu'il pouvait s'aimer parfois. Parfait ce mec. Vraiment. - Jodie, Jodie.. Merde! Si c'est ça l'amour alors, merde! Danahiel n'avait pas peur d'en faire trop. Avec le genre de femme qu'il avait devant lui, aucun homme pour elle pouvait trop en faire. C'était comme ça. Elles aimaient être choyées, qu'on s'occupe d'elles, qu'on ne les oublie jamais, qu'on pense toujours à elle, même quand ce n'est pas le cas. - Je vais devoir m'excuser encore combien de fois et te répeter encore combien de fois que je t'aime et que je ne te referais plus jamais un "coup pareil?" Et en plus, avec les larmes qui coulaient sur ses joues, ça le faisait trop.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Empty
MessageSujet: Re: Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais. Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  EmptyJeu 19 Avr - 22:57

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Tumblr_m2i0aiOaPs1qawrd4o1_500
On ne peut pas en vouloir aux gens de mentir. Le mensonge est inutile et la vérité les rattrape toujours, mais la vérité, c'est qu'ils mentent parce qu'ils ont peur. Ils ont peur de blesser les gens en leur disant ce qu'ils pensent, parce qu'ils ne pensent pas que des compliments et des choses qui font sourire. Ils mentent parce que le monde est moche et qu'ils veulent protéger ceux qu'ils aiment de cette vilaine réalité qui pourrait les briser. Ils mentent parce qu'ils sont effrayés par le changement, par les maladies, la société, les catastrophes, parce qu'ils sont effrayés de ne jamais être aimés comme ils aiment. Les gens ne sont pas satisfaits par la vie, alors ils mentent, aux autres et à eux même, pour continuer à faire croire qu'ils sont contents avec ce qu'ils ont. Les hommes sont à peu près tous les mêmes. Ils vous promettent des choses et du jour au lendemain, ils se cassent comme des voleurs en vous laissant seule avec vos souvenirs et vos larmes. Enfin, j’avais réussi à m’en remettre malgré tout. Aujourd’hui, je n’étais plus triste, simplement très énervée et le fait que Sky réapparaisse n’arrangeait pas les choses. Il avait disparu pour son père malade qu’il me dit. Mon dieu ! Quelle horreur, ça ne pouvait pas être possible ! J’étais assez choquée. J’avais un mauvais souvenir du mot « cancer », car oui, peu de personne le savent, mais la leucémie est un des nombreux cancers qu’on peut avoir. J’étais donc plus que sensible au sort de Mr Leroy, cet homme qui avait eu ce magnifique fils qui faisait vibrer mon cœur, mais aussi la corde de la colère. Il avait voulu me protéger, éviter de m’inquiéter. Bien-sûr et en me privant d’informations, tu croyais que j’allais moins m’inquiéter ? Une fille qui t’aime est toujours inquiète pour toi surtout quand tu disparais et que tu ne donnes signe de vie. Il ajouta qu’il n’avait pas été prêt à m’en parler, me dit que si j’avais été à sa place, avec un père malade, j’aurais sûrement, moi-aussi, voulu restée un peu seul avec lui. Certes, mais je l’aurais prévenu que j’avais besoin d’un moment seul et que malgré l’amour que j’avais pour lui, je préférais qu’on ne se voit pas quelques temps à cause de certaines choses. Était-ce si difficile ou étais-je trop idéaliste pour penser que j’aurais agi de cette façon-là ? Il soupira après avoir ajouté qu’il ne m’en aurait pas tenu rigueur si j’avais eu le même comportement que lui. On sentait l’énervement dans sa voix. Je ne répondis pas de suite. Il s’excusa alors de ne pas avoir été là et ajouta qu’il s’en était d’ailleurs voulu, qu’il avait eu peur pour moi. Et…Et quoi ? Il ne finit pas sa phrase et résuma en une supposition qui s’avérait exact. « Oui, je t’en veux. Tu sais bien que j’ai côtoyé le monde du cancer de près, tu savais bien que je pouvais le comprendre. Je sais que c’est dur d’en parler, mais quand un proche est malade et que l’un de ses proches a besoin de soutient – car oui, les proches d’un malade ont aussi besoin de la présence d’une tierce personne, une personne qui ne connait pas le malade –, il doit absolument se tourner vers les personnes qu’il aime. D’un autre côté, je me dis que c’est assez égoïste de ma part de t’en vouloir, tu n’es en aucun cas responsable de ce qui arrive à ton père, c’est d’ailleurs malheureux. » Oui, je me répétais, je m’étais déjà excusé pour ce qui arrivait à son pauvre paternel. Soudain, je me souviens alors de cette nuit de la saint-valentin où j’avais ignoré ces appels, sous le choc de la naissance de Noah et de la crise de Kendall de laquelle on m’avait écartée pendant une bonne heure et demie. Durant ce temps, je m’étais longuement remise de mes émotions et j’avais appelé Ryder qui avait fini dans le coma parce qu’il était pressée de venir voir sa femme et son fils et qu’il a eu un accident de voiture, je n’avais donc pas prévenu le jeune homme. Son départ est survenu quelques jours plus tard, était-il parti fâché en plus d’être complètement affolé et triste au vu de l’état de son père ? Il tenta ensuite de m’embrasser, mais je le repoussai. Non, mais ce n’est pas avec deux bisous et un câlin que je vais te pardonner, mon vieux ! Il me dit qu’il ne me m’avait jamais pris pour une girouette, qu’il m’aimait. Il m’épela même les trois petits mots comme si je n’avais pas compris. « Compris? Je recommencerais pas, parce que j'ai compris mon erreur. Quand j'ai quitté la ville pour aller voir mon père, j'étais mal durant tout mon séjour parce que je t'aime, que je pensais à toi et que le goût de tes lèvres me hantait. Je ne recommencerais pas, d'accord? J'ai compris mon état et je ne tiens pas à redevenir comme ça. Quand est-ce que tu comprendras que je suis fou de toi, merde? », ajouta-t-il avant que je ne puisse émettre un mot. Bien-sûr que j’ai compris. Ce n’est pas parce que je suis blonde que je suis ignare ! Sky n’avait jamais été comme ça avant. Pas que je trouvais ça louche, mais ça faisait bizarre, la maladie de son père l’avait…comment dire…changer. Je n’eus pas encore l’occasion de répliquer, le jeune homme partit s’asseoir sur le banc et se mit à pleurer. Waw ! J’étais abasourdie, il n’avait jamais pleuré devant moi comme ça. A mon avis, il était encore sous le choc de ce qui lui était tombé dessus. Il répéta mon nom plusieurs fois avant de demande si ce n’était pas de l’amour ce genre de chose, se mettre à pleurer et tout. Il me faisait de la peine. Mon cœur se serra, mais je ne devais pas céder. « Je vais devoir m'excuser encore combien de fois et te répéter encore combien de fois que je t'aime et que je ne te referais plus jamais un "coup pareil?" » furent les derniers mots qu’il prononça. Il me regarda dans les yeux, des larmes perlant sur ses joues. Nous restâmes comme ça quelques instants, le temps que je trouve les mots pour une réponse. « C’est bon, tu as fini la belle déclaration d’amour ? Elle me fait très plaisir d’ailleurs, tu es toujours un ange, mais en un peu plus fragile. » Je souris et m’avançai vers lui. « Malgré tous, ces beaux mots ne suffiront pas. Sky, tu sais bien que je ne saurais jamais te faire d’aussi beau texte, tu connais les raisons. Je ne sais pas quoi répondre et ça me fait mal. » Je m’assis à ses côtés et le forçai à me regarder. « Et je ne sais pas combien de fois tu vas devoir me le dire, mais, dès le moment où tu es partis, je n’ai pas cessé de m’en faire. Que tu reviennes, c’est encore pire, j’aurais toujours cette boule au ventre qui me rappelle qu’à tout moment, tu peux repartir, me laisser de nouveau seule et ça, je ne le supporterai pas. » Je m’étais calmée, ma voix était douce, même trop laissant entrevoir une mini faille.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Empty
MessageSujet: Re: Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais. Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  EmptyLun 23 Avr - 3:20



il nous suffit parfois d'une personne sur 7 milliards d'humains
Je ne t'aime pas. Je ne t'ai jamais aimée. Et je ne t'aimerais jamais. Jodie et Danahiel ♥ © CJ.Pomme'



    O.K. Cool. Danone s'était rattrapé une copine gratuitement et sans même à avoir à bouger le petit doigt. Cool. Cool. Mais mon Dieu ce qu'elle pouvait être soulante! Les femmes, toujours les mêmes. Elles sont toujours là à pleurer, à minauder, à bouder, à ... A... A faire chier en fait. Ouais, voilà, c'est ça. La nouvelle petite copine de Danone était clairement en train de le faire chier. Mais oui, ton Sky est parti. Ton Sky s'est barré, et -, Danone l'espérait, ou pas - qu'il ne reviendrait jamais. Mais ça, t'es bien trop bête pour t'apercevoir que tu venais de rouler une pelle à un mec qui ressemblait trait pour trait à ton copain mais qui n'est pas ton copain. Une blonde, quoi. Ah, ce qu'elle pouvait être lourde et ce que Danahiel était en train de prendre sur lui pour ne pas lui gueuler dessus pour la faire taire. Mais non. Car Danahiel est trop gentil. Alors Danahiel prend un air complètement désolé, la mine rabougri. Il se pince les lèvres, baisse les yeux, faisant semblant de ne pas pouvoir supporter l'affrontement yeux dans les yeux de sa copine chérie et... Continue de se faire passer pour Sky. Bah oui, il est gentil, il ne veut pas briser le coeur d'une belle petite blonde en lui faisant comprendre que son copain l'a lâchement abandonné pour une Angelina Jolie aux formes plus avantageuses. La gentillesse du yaourt le perdra. C'est certain. Mais il devait avouer que ce n'était pas simple de jouer le gentil romantique. Pas simple du tout, même. Danahiel n'avait fréquenté que très peu de femme dans sa vie. Il n'avait jamais connu sa mère. On peut dire que ça avait crée une barrière entre la gente féminine et lui, faute d'avoir une maman lui faisant découvrir... Bah la vie d'une femme et tout ce qui va avec, en fait. Les seules fois où il est avec une fille, c'est dans son lit à lui, ou dans le lit de la demoiselle. Danahiel ne fréquente pas les femmes. Il n'a jamais eu de "vraie" petite amie. En fait, la première fille avec laquelle il est sorti, c'est quand il avait quinze ans. Son couple à duré... Trois heures. Le temps de se la faire, en fait. Ensuite, il s'est fait une réputation de tombeur et n'a plus cherché à être en couple pour avoir une fille sous la main. De toute façon, l'amour, ça ne l'a jamais intéressé. Ce n'est pas pour lui. Parce que pour pouvoir donner, apporter de l'amour, il faut au préalable que l'on en ait reçu, que l'on sache ce qu'est l'amour. Et Danahiel ne sait pas ce qu'est l'amour. Il n'a jamais pu apprendre des couples de ses amis; Danahiel n'a pas d'amis. Il ne connait même pas l'amour paternel; Danahiel n'a pas de père. Du moins, il considère qu'il n'en a pas. Alors, la seule image que Danone a de l'amour, la seule ''base" qu'il possède, c'est la télé. Ouais. Il y a toujours une dose d'amour à l'eau de rose dans presque n'importe quelle série télé. Suffit juste de tomber un samedi soir devant son écran et d'allumer sa télé. Des films et des séries d'amour, il y en a à la ramasse. Néanmoins, l'étudiant osait penser qu'il ne s'y prenait pas trop mal, malgré tout. Il ne s'était pas reçu une nouvelle baffe, ce qui voulait dire qu'il ne gaffait pas trop. Et, en fait, tant mieux qu'il ne se soit pas à nouveau fait gifler; ça aurait été le top départ pour péter son câble et avouer en gueulant qu'il n'était pas ce fichu Sky et que la blondinette allait devoir lui rembourser les deux baffes. Quoique... Bien s'y prendre, c'était vite dit. Moooooooooooooooooooooon Dieu ce que cette nana était compliquée ! Son père était malade, il allait mourir ! Il lui fallait quoi ? Qu'une bombe atomique menace de péter dans le ciel et que ça soit obligé d'être tenu top secret pour enfin avoir une excuse valable du pourquoi il n'avait pas prévenu ? Non mais. Sky aurait pu laisser à Danone une copine aimante, amoureuse qui ne demandait qu'à passer du bon temps, pas une folle furieuse qui voulait à tout prix entendre des excuses qui n'avaient pas lieu d'être pour l'étudiant. Danahiel secoua alors la tête. - Je te l'ai dis, je ne voulais pas t'inquiéter. Justement, tu l'as dis toi même: tu as déjà côtoyé le monde du cancer. Je ne voulais pas te ramener dedans. Tu as perdu quelqu'un, ça ne t'aurais fait qui lui rappeler son souvenir. Je n'ai pas envie de faire souffrir les gens qui m'entourent. Danahiel prit alors une voix plus douce. - Tu comprends? Il espérait avoir marqué un point, mais il savait qu'il n'avait pas encore gagné la partie. Alors il tenta l'approche câlin bisous. Chose qui marche normalement avec la plupart des filles. Avec la plupart. Parce que, Jodie n'est pas "la plupart des filles". Jodie fait partie de cet autre "plupart". La plupart chiante, bornée et boudeuse. Donc il fallu sortir d'autre moyens encore plus avancée. Comme la belle déclaration d'amour en épelant les mots "Je t'aime" et en essayant d'expliquer à la blondinette que son coeur ne pouvait survivre loin de celui de la blondinette, que Ô combien il l'aimait. Mais que Ô combien ça pouvait l'énerver ! Alors il se mit à pleurer. Bouuuuuuuuuuuuuuuh, le méchant Sky. Bouuuuuuuuuh. Qu'il était vilain. Pardoooooooon maman Jodie, pardooooooon. Je m'en veuuuuuuuuuuuux, si tu savaiiiiiiiiiiiiis. Et même ça, ça ne marcha presque pas. Enfin, si, un peu, tout de même. Danone retint un sourire lorsque Jodie lui demanda si sa déclaration d'amour était fini. Si elle savait... Elle n'avait même jamais commencé, bébé. Mais, au moins, elle avait dit ça avec le sourire. Sourire que Danahiel se su pas déchiffrer: moqueur ou sincère? Elle enchaîna ensuite en lui disant qu'elle était mal à l'aise. Que cette déclaration l'avait rendue mal à l'aise, car elle ne pouvait lui en faire en retour. Il prit la remarque comme un reproche. S'était-elle confiée à Sky à ce sujet? Sûrement. Mais il ne saurait jamais. Et puis, il fit le rapprochement. Cette histoire lui tenait un peu trop à coeur à son goût. Ensuite, il avait apprit qu'elle avait elle aussi connue le monde du cancer. Et, pour finir, elle n'était pas capable de lui faire elle aussi des déclarations d'amour parce que ça lui faisait mal au coeur. D'accord. Il ne fallait pas chercher bien loin. Son ex était mort d'un cancer. Avec un peu de chance, c'était ça. Pourvu que la logique de Danahiel ait raison. La blondinette acheva alors son discours en lui faisait comprendre qu'elle ne lui avait pas pardonnée parce qu'elle avait dorénavant peur qu'il s'enfuit de nouveau sans prévenir. Pfeu. Mais au moins, son jeu d'acteur avait été parfait et elle ne se doutait de rien du tout. Parfait. Bon, maintenant, il fallait répondre sans en faire trop, parce que mademoiselle Jodie n'aimait pas ça. - Je... Désolée, je me suis emporté. Je sais, mes réactions sont excessives en ce moment... Couvrir ses arrières. - Je cherche pas loin pourquoi... Soit j'ai un excès d'amour, soit j'ai excès d'isolement.. C'est pile ou face. Je sais que je t'ai fait peur. Je ne sais pas par contre comment me faire pardonner. C'est bête, hein? Ça fait le mec pourri qui tente tout pour rattraper sa copine en passant par la déclaration d'amour foireuse parce qu'il aime vraiment sa copine et qu'il ne veut pas la perdre... Bouh. En plus, il arrive à faire sentir sa petite amie mal à l'aise. Soupir. Puis Danahiel fit mine de sécher ses larmes. J'avais pensé à autre chose pour nos retrouvailles. J'voulais pas que ça se passe ici et comme ça tu sais. Petit rire. Tant pis. Je subirais ce qu'il faudra subir, mais je me ferais pardonner. Crois moi. Toujours faire croire aux femmes qu'elles sont reines de la situation.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Empty
MessageSujet: Re: Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais. Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  EmptyMar 15 Mai - 23:01

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Tumblr_m3urdqfhVD1qd2t6io1_500
Chaque jour nouveau apporte son lot de nouveaux mensonges. Les pires sont ceux que l’on se raconte avant de s’endormir ; on les murmure dans l’obscurité, on se dit qu’on est heureux, ou qu’il est heureux. Que l’on peut changer, ou qu’il changera d’avis. On se persuade que l’on peut vivre avec ses pêchés, ou que l’on peut vivre sans lui. Oui, chaque soir avant de s’endormir, on se berce de mensonges, dans le fol espoir qu’au petit matin, tout devienne réalité. Est-ce que les gens étaient si mal élever que pour ne pas prévenir de leur départ même en situation grave ? J’aurais même préféré qu’il m’envoie un texto trois jours après pour me dire qu’il allait bien, qu’il revenait vite. Certes, je me serais inquiété, mais moins que je ne l’ai fait jusqu’à aujourd’hui. Et puis, je ne voyais pas pourquoi il réagissait comme ça. Il savait ce que j’avais enduré et il me cachait les problèmes de santé de son père. On ne s’était pas promis de tout se dire, mais ce genre d’histoire il m’en aurait parlé, non ? Enfin, c’était ce que je croyais, mais une fois encore, ce que je croyais n’était pas la vérité. Il n’avait pas voulu m’inquiéter alors que ce fut tout le contraire, il n’a pas voulu me faire revivre ce passé douloureux alors que j’aurais supporté et surtout retenu mes émotions. Personne d’autres que moi dans son entourage ne comprend aussi bien sa situation. Il voulait protéger les gens qu’il aime. C’était beau ça, mais ça pouvait vite devenir dangereux. « Oui, je comprends, mais à trop vouloir protéger les gens qu’on aime, on finit par les étouffer et ça c’est pire que tout. Je suis partagée, Sky, partagée entre mon amour, mon envie de te pardonner et la colère, cette colère qui me ronge depuis ton départ. » J’étais furieuse et à cette colère était venue s’ajouter la peur d’un nouvel abandon au cas où il revenait. Je lui expliquai tout ça après son immense déclaration d’amour. Le cancer rend vraiment les gens à fleur de peau. Il comprenait vraiment maintenant par quoi j’étais passé il y a quatre ans, quel chemin de croix j’avais dû subir. Heureusement pour moi, lui n’était pas encore en dépression, son père n’était pas mort. Heureusement, car j’ai beau l’aimer de toutes mes forces, je ne sais pas si j’aurais les forces de le supporter s’il entame ce long chemin où il broiera du noir tout le temps, je n’avais pas envie qu’il m’entraine à nouveau dans cette spirale infernal. Enfin, pour le moment, nous n’en étions pas là. D’ailleurs, il s’excusa de cet élan d’émotion. En ce moment, il ne connaissait que deux réactions : excès d’amour ou excès de solitude. J’avais eu droit aux deux réactions et ça me fendait le cœur, car je pensais qu’on restait toujours proche des gens qu’on aimait vraiment quand on vivait ce genre d’épreuve. Enfin, tout le monde ne réagissait pas de la même façon. Il allait tenter de se faire pardonner. Je sais pas comment, mais il arriva à me faire rire. Il se faisait passer pour un mec bête et « inutile », tout ce qu’il n’était pas. Il soupira et sécha ses larmes. Il n’avait pas voulu ça pour nos retrouvailles. Ah bon ?! Qu’avait-il imaginé ? J’avais hâte de le savoir. Il rit et ajouta une nouvelle fois qu’il allait tout faire pour se faire pardonner. « Tu es loin d’être bête. Je trouve ça mignon, c’est juste que malgré les quelques mois que nous sommes ensemble, je ne suis pas encore capable de te le dire, c’est tout. Tu sais comment ça s’est terminé avec Avery, tu sais bien mes raisons, mais tu sais bien que ça ne veut pas dire que je ne tiens pas très fort à toi. D’ailleurs, je ne t’aurais pas foutu une baffe et je ne te ferais pas une scène si ce n’était pas le cas. » Je souris et lui pris la main. « Au fait, tu as dit que tu avais prévu autre chose comme retrouvailles, tu pensais à quoi ? » Je me mordis la lèvre. Moi, curieuse ? Non, jamais.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Empty
MessageSujet: Re: Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais. Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  EmptyJeu 24 Mai - 1:23






    Ouh qu'il jubilait. Danahiel n'avait jamais autant jubilait de sa vie. Il s'éclatait, la situation lui plaisait. Il jouait, la faisait tourner en bourrique, et il aimait ça. Elle s'était faite bernée. Comme toutes les autres. Une femme est une femme faut-il croire. Mais là, la situation n'était pas la même. Elle était meilleure. Fantastique. Il plongea alors une énième fois son regard dans celui des yeux bleus de Jodie et retint un sourire pervers. Ils allaient s'amuser tous les deux. Mais son regard ne se fit pas insistant, et il détourna alors les yeux, essayant de jouer l'air du copain abattu. Et aussi pour cacher tout le dégoût que la blonde arrivait à lui inspirer en deux secondes. Elle vivait dans son monde, croyait à l'amour, au bonheur. Elle ne pensait qu'à elle, et engueulait son mec uniquement parce qu'il s'était absenté une petite semaine à cause de son père gravement malade. Danahiel avait déjà entendu parler d'elle, mais il ne la connaissait pas avant. Il ne connaissait même pas son prénom avant qu'elle ne le lui apprenne elle même. Ouais. Elle vivait dans son monde, faisait semblant de s'intéresser aux autres mais ne creusait pas plus que ça. Si les ragots qu'il avait entendu étaient vrais, elle était de la confrérie Epsilon. Tiens donc. Ça ne l'étonnait pas, elle le portait sur son visage. Elle avait cet air typique des gens fortunés, cet air supérieur. Oh, la petite blonde n'avait pas l'air supérieur dans son caractère, mais à l'extérieur. Les vêtements qu'elle portait étaient tous de marque, Danahiel n'eut pas de mal à le reconnaître. Sûrement que le prix de tout ce qu'elle portait égalait sans problème le salaire d'un médecin. Vêtements, bijoux, patatra, patatri. Elle avait grandit dans ce monde, même si elle se donnait des airs de gentille petite fille. C'est en parti pour ça que danone avait du mal à la regarder normalement. Mais elle ne s'était pas rendu compte, trop occupée à engueuler son vrai faux petit copain. Pouah, limite il allait pas lui lâcher que Sky, c'était pas lui, et qu'elle était complètement idiote. Rien que pour voir sa mine déconfite. Bon, il allait à coup sûr se prendre une nouvelle baffe. Mais ça en valait la peine. Oui, Sky t'as larguééééééééééééééééééééééééééé. Tiens, ça allait lui faire bizarre de s'appeler Sky maintenant. Il avait intérêt à gérer sur ce coup. Mais pour le moment, fallait se concentrer sur ce qu'il se passait maintenant et pas sur autre chose. Il marchait sur des œufs et cette position le gênait quelque peu. Danahiel n'aimait pas marcher sur des œufs, il aimait être maître de la situation quoi qu'il arrive, et tout le temps. Arrêtes de t'égosiller, mon père est sur le point de mourir. Le jour ou ton chihuahua se fera écraser, je viendrais pas t'embêter parce que tu as mis trop de temps pour faire ton shopping, alors un peu de respect. Si tu veux, tu peux laisser l'amour emporter la partie? Tu vas voir, ça sera bénéfique pour toi, et pour moi ! Ouch. Autrement, tu fais chier. Ecoutes... Je.. J'ai jamais été confronté au monde du cancer. Je n'ai jamais lu de livre expliquant ce que les gens ressentent, comment ils réagissent, rien. Je connais le cancer car d'ici quelque années, je serais médecin. C'est tout. Je savais pas quoi faire. J'avais peur, je n'ai pas réfléchi, j'ai juste foncé pour aller voir mon père. Ses jours sont comptés. Il laissa le silence prendre place un instants, faisant peser la situation. Je n'ai pas voulu t'étouffer, Jodie. Jamais. Je n'ai pas non plus voulu que tu te sentes à l'écart ou quoi que ce soit.. J'ai juste pas réfléchi. Je sais, pour toi, j'aurais du, mais j'étais dans un état second. Wouhaaaaaaaaa. Danone le comédien! Genre, mais il va pouvoir aller jouer dans des films à Hollywood bientôt! Et comme ça, il aura encore plus de nanas à ses pieds! Le must du must, pleins de jolies filles à la masse qui croient qu'elles ont Dan comme copain. Cool. Trop cool. Il continua alors sur sa lancée, passant par la magnifique déclaration d'amour à la scène de pleure. Rien ne marcha, ou presque pas. La blondinette cachait-elle donc un cerveau sous sa chevelure? Bah. Même. Elle ne se doutait de rien. L'étudiant avait tout de suite couvert les arrières de son comportement en parlant de la nouvelle de son père. La belle excuse. Papa va mourir, alors soit j'ai envie de te dire je t'aime en 600 langues, soit j'ai envie de pleurer comme une madeleine serré fort à mon ourson en peluche. Il ouvrit alors une autre porte vers le chemin de l'excuse: j'avais prévu d'autre retrouvailles. Ouais, cool. Sauf que c'était faux. Il avait rien prévu du tout, et n'avait pas d'idée en tête. Alors quand Jodie lui demanda ce qu'il avait voulu mijoter, il se gifla intérieurement. Il s'était piégé lui même, le con. Ouais, c'est bien que tu trouves ça mignon, mais ça t'as gênée, alors c'est nul. J'suis nul. Aïe, il avait eu du mal à la sortir celle là, elle lui avait brûlé les lèvres. Je sais.. Je sais. Je n'ai jamais dis que je pensais que tu ne tenais pas à moi, je ne t'en voudrais jamais d'avoir des souvenirs de lui et d'avoir besoin de temps. Ah. Pour prouver ton amour, tu fais mal toi? C'est une façon de voir les choses. Lâcha-t-il ensuite en souriant.Bon. Trouver une idée pour les retrouvailles, vite. Un truc. Un truc pas trop con, mais un truc. Rah, c'était compliqué, elle n'aimait pas les trucs à l'eau de rose et en plus il n'aurait pas pu débarquer au coin de la rue et l'inviter boire un café pour se retrouver. Merdouille. J'étais pas sûr de moi.. T'aimais pas les trucs roses bonbons, c'est compliqué. Petit rire. Mmh.. Jm'e serais arrangé pour que quelqu'un te demande d'aller à un lieu défini. Là ou on s'est embrassé la première fois par exemple. Mouahahahah, bonne idée danone. Tu m'aurais tapé une crise de nerfs, comme celle ci, et.. Danahiel serra la main que Jodie venait d'entremêler avec la sienne et la regarda dans les yeux. Tu m'aurais engueulé, mais je t'aurais dis que je t'aimais. Que j'étais désolée, mais que je t'aimais. Bon, on tombe dans l'eau de rose là. Alors on imagine qu'il pleut, comme ça ça fait nul. Je t'aurais pris les mains, et.. J'sais pas. Soupir. Il prit alors Jodie dans ses bras, tout doucement, par peur de la brusquer et de se prendre une baffe encore une fois. Tu m'as manqué. Je ne partirais plus. Ou je te met dans ma valise avec moi.



Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Empty
MessageSujet: Re: Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais. Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.  Empty

Revenir en haut Aller en bas

Je t'aime pas, je t'ai jamais aimé et je t'aimerais jamais.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

Sujets similaires

-
» JODIE ☆ Je t’aime pas et je t’ai jamais aimé... J’ai une tête à t’aimer ? J’ai une tête a t’aimer ?
» Ne jamais dire jamais! | Emy
» joey + hunter ‹ d'abord je ne t'ai jamais aimé. j'ai pris en toi ce qui m'intéressait, en commerçante avisée. ce n'est pas de l'amour ça.
» Il ne faut jamais camper sur ses certitudes, ô grand jamais... - privé. Lunabee.
» Atha&lenn ○ À jamais à toi, à jamais à nous.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-