| | joey + hunter ‹ d'abord je ne t'ai jamais aimé. j'ai pris en toi ce qui m'intéressait, en commerçante avisée. ce n'est pas de l'amour ça. | |
| Auteur | Message |
---|
Swan Cartwright-Hansen there's no place like berkeley › prénom, pseudo : brittany › date d'inscription : 16/04/2008 › nombre de messages : 58111 › disponibilité rp : open - alicia, nael (flashforward) › avatar : emilia clarke
| Sujet: joey + hunter ‹ d'abord je ne t'ai jamais aimé. j'ai pris en toi ce qui m'intéressait, en commerçante avisée. ce n'est pas de l'amour ça. Dim 26 Aoû - 20:10 | |
| ▬NOTHING SCARES ME ANYMORE▬ ► JE N'ARRIVE PAS A AIMER LES HOMMES. J'AI FAIS DES PROGRÈS. AVANT, JE N'AIMAIS PAS LES GENS • Demain, tout va changer. J'en ai marre, j'en peux plus. Poursuivre chaque jour une finalité qui n'existe pas, m'étourdir, taper, jouer, baiser, sortir, je veux rompre cet engrenage infernal. Demain, j'arrête la coke, je me résigne à faire quelque chose. Je veux avoir une raison de me lever le matin. Demain, je bazarde ma fierté de con qui sert à rien, et je lui avoue la vérité, je lui dis à quel point je l'aime, que je n'ai jamais cessé de l'aimer. Et puis si elle s'en fout, au moins, je serai fixé. Et si elle ne s'en fout pas. Demain ne sera pas comme hier, comme aujourd'hui, comme tous les jours gâchés de ma misérable vie. Demain, je serais peut-être avec Hell.on a une carte de crédit à la place du cerveau ▬ lolita pill ‹♥› |
- Spoiler:
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: joey + hunter ‹ d'abord je ne t'ai jamais aimé. j'ai pris en toi ce qui m'intéressait, en commerçante avisée. ce n'est pas de l'amour ça. Dim 26 Aoû - 23:51 | |
| ❝ Funny how I blind myself, I never knew if I was sometimes played upon, afraid to lose I'd tell myself what good you do convince myself ❞ « Hé bien Hunter, je t'ai vu avec madame la garce au bal de promo. C'est reparti pour un tour ? » Blasé, il laissa échapper un soupir agacé tout en ignorant la remarque de son voisin. Il aurait du savoir que cette soirée ne serait pas sans conséquences, que la cavalière à son bras ne passerait pas inaperçue. Lorsqu'on est avec une fille comme Joey, on est habitué à recevoir des regards jaloux et envieux de ceux qui n'ont pas cette chance. Pour les hommes, elle était une pièce de choix, et de cela elle était parfaitement consciente. Malgré sa beauté à faire pâlir chaque homme, elle n'en était pas moins complètement imbue d'elle-même, et cette prétention maladive avait posé de nombreux problèmes au jeune homme. Ce n'était pas pour rien que les deux étudiants s'étaient séparés après quelques mois. Cette rupture l'avait attristé, mais pour des raisons bien différentes que le simple manque de son ex. Il s'était longtemps demandé la raison de son comportement, pour finalement lâcher l'affaire tant il avait l'impression de parler à un mur. Si elle se complaisait dans son attitude insupportable, grand bien lui fasse. Mais Hunter ne serait pas là pour en subir les conséquences. « Allez, raconte. Pas de secrets entre nous ! » Ce voisin entêté ne semblait visiblement pas le laisser rêvasser en paix. En plein cours d'espagnol, cet idiot n'avait visiblement rien d'autre à faire que de le parasiter. Sans doute souhaitait-il s'imaginer la soirée qu'avait bien pu passer Hunter, au bras de cette belle créature. Lui n'avait certainement pas eu cette chance. « Tais-toi, tu me gonfles. » lâcha-t-il froidement, fatigué de devoir ressasser cette soirée. Il regretta une fois de plus d'avoir accepté de l'accompagner. Quelle idée avait-il eu d'aller à ce bal complètement kitch ? S'il avait eu la bonne idée de refuser dès le départ, il ne serait certainement pas en train de se maudire dès dix heures du matin. Contrairement à ce que les gens pouvaient bien penser, il n'y avait rien de glorieux à être le joujou d'un soir de la jeune Lindley-Mayhew. Il avait beau être sorti avec elle quelques temps, la soirée qu'ils avaient passé il y a peu n'avait été qu'un simple jeu magnifiquement orchestré par Joey. Charmante manipulatrice, prétentieuse princesse. On attrape pas les mouches avec du vinaigre, et elle avait usé de ses plus beaux charmes afin d'attirer une nouvelle fois le jeune Epsilon dans ses filets. Elle n'avait certainement pas du trouver cette mission compliquée, tant il avait du se montrer naïf. Il semblerait que le Brythe-Flanders ne soit pas bien difficile à charmer. Peut-être avait-il un trop grand cœur. Au moins il en avait un, contrairement à la blonde. La sonnerie annonçant la fin du cours le tira de ses réflexions. Il ramassa ses affaires et quitta la salle sans un regard pour son agaçant voisin. Son intuition lui disait qu'il ne lâcherait pas l'affaire aussi facilement, et qu'il n'était pas le seul. Beaucoup seraient certainement à l'affut de croustillants ragots, qui peut-être leur donnerait quelques pistes afin de se lancer dans un projet séduction dans le but d'atteindre Joey. Doux espoirs qu'ils avaient là. Quoi que. Nombre d'entre eux ne rêvaient que d'une nuit avec elle, bénéficiant ainsi de tous les avantages de son corps sans s'encombrer des inconvénients d'ordre sentimentaux. Au moins il n'y avait aucun risque là dessus : sur ce point là, Joey était le pire des hommes. Cette rancœur envers la jeune bêta lui sauta aux yeux alors qu'il énumérait peu à peu les pires défauts qui l'exaspéraient. Les clichés qui caractérisaient les hommes comme étant les pires salauds lui arracha un amer sourire. Dans cette catégorie, elle battait des records. Après le cours d'espagnol suivit celui de piano, qui dura deux heures. Les deux heures les plus calmes de la journée, assurément. Pas de voisin insupportable. Le jeune homme était supposé rejoindre une amie à l'heure du déjeuner, afin de décompresser quelques heures avant de retourner en cours. Mais son humeur se révélant plus mauvaise qu'il ne l'aurait voulu, il préféra rentrer chez lui. Au volant de sa voiture de luxe, il rumina en silence, l'humeur morose. Il opta pour une sieste rapide, meilleur moyen de se déconnecter quelques instants. A peine plongeait-il dans un sommeil sans rêves que son téléphone sonnait. Le nom qui s'afficha ne lui annonçait rien qui vaille, et il hésita même à répondre. Fidèle à sa réputation, il décrocha finalement afin de retrouver la voix chantante de la jeune blonde qui lui demandait de la rejoindre, un brin autoritaire. Il ne broncha pas, décidant de laisser sa fierté de côté pour l'instant. Après tout il n'en était plus à sa première fois avec elle. Quel bonne poire. Sans grande surprise il s'exécuta. Il prit tout d'abord une douche sans se presser. Il n'allait pas non plus courir, peu lui importait d'être en retard. Madame survivrait. Une fois habillé, il reprit la route de l'Université. Elle l'attendait sur le toit. Pourquoi restait-il à sa botte ? Il était toujours là lorsqu'elle en ressentait le besoin, que ce soit pour discuter, rigoler, ou bien pour recevoir ses foudres lorsqu'elle l'envie lui prenait. Sa bonté finirait par le perdre. Il monta bientôt les escaliers avant d'ouvrir la porte menant au toit. Il n'oublia pas cette fois de bloquer la porte à l'aide de quelques cailloux, préférant éviter de se retrouver bloqué avec la jeune femme. Sa fierté ne l'aurait pas supporté. Il remarqua sans surprise la blonde assise sur un banc, une clope aux lèvres. Il ne s'approcha pas et vint se poser face à elle, les yeux rivés sur la vue. Il ne lui accorda qu'un bref regard avant de sortir son paquet de cigarette et d'en allumer une. « Madame m'a sonné ? » demanda-t-il avec une certaine indifférence tandis qu'il aspirait largement la première bouffée de sa cigarette. Entonnement, tirer un trait sur sa fierté lorsqu'il était en présence de la jeune femme ne semblait pas bien difficile pour Hunter. Elle qui ne se lassait pas de montrer sa supériorité en tous points, qui aimait faire savoir que personne n'était assez bien pour elle. S'il avait su que cette même femme tombait peu à peu amoureuse d'un homme et qu'elle était peut-être même capable de le respecter, son avis sur elle aurait sûrement changé. Ou pas. A cet instant, il ne ressentait pas de malaise à se montrer aussi conciliant avec elle. Il avait bon espoir qu'elle finisse un jour par se lasser de ce comportement. Hunter attendait ce jour. Après tout rêver n'a jamais fait de mal à personne. |
| | | Swan Cartwright-Hansen there's no place like berkeley › prénom, pseudo : brittany › date d'inscription : 16/04/2008 › nombre de messages : 58111 › disponibilité rp : open - alicia, nael (flashforward) › avatar : emilia clarke
| Sujet: Re: joey + hunter ‹ d'abord je ne t'ai jamais aimé. j'ai pris en toi ce qui m'intéressait, en commerçante avisée. ce n'est pas de l'amour ça. Mer 5 Sep - 19:16 | |
| ▬I GOT THAT CERTAIN SAVOIR FAIRE▬ Je tournais, je virevoltais, j'étrennais une robe nouvelle et je me trouvais belle. Irrésistible, unique. Si légère. - Spoiler:
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: joey + hunter ‹ d'abord je ne t'ai jamais aimé. j'ai pris en toi ce qui m'intéressait, en commerçante avisée. ce n'est pas de l'amour ça. Lun 22 Oct - 11:37 | |
| |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: joey + hunter ‹ d'abord je ne t'ai jamais aimé. j'ai pris en toi ce qui m'intéressait, en commerçante avisée. ce n'est pas de l'amour ça. | |
| |
| | | | joey + hunter ‹ d'abord je ne t'ai jamais aimé. j'ai pris en toi ce qui m'intéressait, en commerçante avisée. ce n'est pas de l'amour ça. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |