Jouer avec le feu pouvait être intéressant, mais risquée. Ca restait quelque chose qu’on pouvait ne plus contrôler et c’était ce qui arrivait au début à Maxence quand la jeune femme voulu le laisser en plan et finalement c’est elle qui venait de se brûler à son tour. En effet l’enseignant n’avait pas été par quatre chemins et avait direct dans ses gestes, avant d’entendre la jeune femme lui parler d’un manque de vigueur. Il voyait qu’elle voulait rester maîtresse de la situation et qu’elle ne se laisserait pas faire. Du coup, il recommença sa manœuvre et se retrouva derrière la jeune femme, lui faisant comprendre à nouveau qu’elle avait été trop loin. Mais il fut agréablement surprit de l’entendre ses soupirs et tout les sons qui sortaient de sa bouche. De plus, elle faisait bouger son corps contre lui, ce qui était encore plus agréable pour le français qui continua encore et toujours, avant qu’elle ne le repousse à nouveau. Serrant à nouveau les dents, il était moins loin que la première fois et il fronça les sourcils, tentant de comprendre avant qu’elle ne se retourne vers lui pour lui faire face. Fixant la jeune femme, il ne pû s’empêcher de remarquer son visage qui avait une teinte rouge, légère, mais visible.

De son côté, il tentait de calmer sa respiration et quand il l’écouta parler, il se mit à sourire. Un sourire un peu sadique, il fallait bien l’avouer. Mais sans comprendre tout de suite, elle l’attrapa par la nuque pour le faire venir plus près d’elle. Se laissant faire, il se demandait encore ce qu’elle comptait faire et il ne la lâcha pas des yeux, ne voulant pas se faire avoir. La regardant prendre ses aises et s’asseoir un peu plus confortablement sur le bureau, il devait avouer que si elle reprenait là où elle l’avait repoussé, il ne dirait clairement pas non. Il commençait à avoir mal même et il fixait la jeune femme, se demandant encore si elle allait se jouer de lui ou pas, mais ça ne semblait pas être son intention. Ecoutant l’étudiante, qui détachait chaque mot, il sentit en même temps une de ses jambes remonter contre les siennes et il en frémit d’anticipation. Puis, comprenant son regard, il en profita pour s’insinuer en elle. Autant en profiter pleinement.

Près à reprendre, elle le stoppa en le bloquant. Fronçant les sourcils, il la regarda, se demandant s’il n’avait pas mal interprété son regard ou alors si c’était elle qui voulait prendre les choses en main. Continuant de la regarder, il vit son air amusé et il comprit qu’il venait de se faire avoir. Ca n’était pas une sensation agréable, du coup, il tenta de bouger, mais la contraction qu’elle effectua, lui fit serrer les dents et il arriva à poser brutalement ses mains sur le bureau. Il ne s’était pas attention à ça et ayant été prit de court, il se retrouvait prisonnier de la jeune femme. La situation n’était pas agréable pour lui, cependant, il sentit la seconde jambe de la jeune femme remonter contre les siennes pour venir l’emprisonner un peu plus. Fermant les yeux en sentant les doigts de sa partenaire venir attiser encore plus leurs intimité, il serra encore plus les dents, avant d’être sortit brutalement des sensations qu’elle lui procurait.

Il fusilla la porte du regard comme si elle était l’étudiante qui y tambourinait. Il avait réussit à se détendre malgré le fait qu’il était prisonnier et l’autre étudiante collante venait là et fichait tout en l’air. Seulement, les paroles prononcées par la jeune femme qui se tenait devant lui, lui redonnèrent l’envie nécessaire pour ne pas tout abandonner. Puis, il entendit ce qu’elle disait en ayant reprit la parole. La fixant à nouveau dans les yeux, il resta dans la même position, toujours appuyé au bureau, avant de l’entendre dire qu’il ne pouvait pas la satisfaire et encore moins la faire crier. Près à agir, il sentit la jeune femme bouger la première et il en ouvrit la bouche, mais s’auto censura pour ne pas émettre le moindre son. L’entendant l’appeler docteur, il tenta de reprendre sa respiration, tout en amenant ses mains sur les cuisses de la jeune femme, pour les caresser. Prenant son temps, il entendait encore l’autre derrière la porte qui tentait en vain d’ouvrir ce morceau de bois. Cependant, il gardait toute son attention sur sa partenaire, toujours devant lui et il continua de la caresser avant de sourire. Il pouvait jouer avec une chose qui n’avait pas encore eu lieu, juste pour ennuyer l’étudiante et voir comment elle réagirait. Du coup, il rapprocha son visage du sien, avec un air très sérieux, il passa sa joue contre celle de la Gamma, avant de venir l’embrasser.

Ca n’était pas le genre de gestes qu’il fallait faire l’un envers l’autre. Pourquoi s’embrasser après tout ? L’acte était purement bestial, mais il apprécia de sentir la jeune femme surprise et il en profita pleinement pour lui donner un coup de rein. Il avait réussit à décontracter un peu, ce qui fait qu’elle avait laissé de la place pour qu’il bouge à son plus grand plaisir. Cependant, comme il l’embrassait, il n’y avait eu aucun son bien audible. Arrêtant alors de l’embrasser, il sourit et reprit ses mouvements de hanches, reprenant appui sur le bureau. Balançant certaines affaires par terre, avec ses bras, il la fit aller un peu plus loin sur le meuble, mais restant bien entre ses cuisses. Entendant l’étudiante derrière la porte demander à nouveau si ça allait, au vu du bruit des objets tombés au sol, il avait envie de lui hurler de dégager parce qu’il était en train de prendre son pied, mais au lieu de le faire lui-même, il accéléra les mouvements de bassin, sentant sa partenaire tenir bon pour ne surtout pas lui donner le plaisir de crier. Elle continuait de jouer avec lui et il décida de ne plus se laisser faire. Du coup, il alla un peu plus doucement, la caressant et il alla à un rythme beaucoup plus lent, avant de donner des coups de reins plus secs et profonds pendant plusieurs minutes et de reprendre ensuite les mouvements plus rapides et encore plus profonds. Voir la jeune femme allongé sur son bureau, les jambes dans le vide lui donnait envie de retenter l’expérience plusieurs fois, mais pour l’instant, il devait se concentre sur le moment et il continua de la caresser tout en se mouvant en elle et en faisant en sorte qu'elle cri pour que l'autre imbécile la ferme enfin.

Maxence Ҩ Hella

« I've been numb, I'm revived »

Cette petite garce n'allait pas laisser tomber l'affaire si facilement. Et ça tambourinait contre la porte, encore et toujours, comme si elle avait cru bien faire en s'imaginant devoir réveiller un professeur probablement assoupi. Putain, mais elle n'avait rien d'autre à faire de sa soirée, celle-là ?!

ETUDIANTE – « Professeur ? Je vais appeler ... »

J'allais hurler, oui, mais pas à cause de Maxence. Je n'étais pas si difficile que ça à énerver, mais cette idiote battait tous les records. Je m'en rabaissais un peu plus sur le bureau, désormais accoudée là où je n'étais jusqu'alors qu'assise et penchée en arrière, appuyée sur mes bras. Mais Maxence semblait avoir d'autres plans, puisqu'au moment même où j'allais me plaindre de son immobilité soudaine et donc juger correctes les assomptions que j'avais eu quant à sa vigueur, il s'approcha de moi juste assez pour venir capturer mes lèvres avec les siennes dans un baiser qui n'avait rien à envier au caractère sauvage de notre union. Il prenait, forçait, savourait et je n'étais pas prête à me plaindre, même si j'aurais adoré pouvoir prétendre le contraire. J'étais surprise, au contraire, qu'il se permette ce luxe et d'autant plus ébahie de me découvrir incapable de le lui faire payer... Pas tout de suite. Mes yeux se révulsèrent, il cessa de m'embrasser pour reprendre de larges mouvements de bassin encourageant ainsi le roulement du mien dans un rythme effréné. Putain, il ne mentait pas ce salop ! L'effort fut soudain, l'acte était éreintant et Maxence ne semblait jamais prêt à me laisser une seule seconde de répit, bien décidé à ce que je dérouille la mâchoire pour laisser paraître le plaisir qu'il m'offrait. Mais je me refusais à lui accorder cette satisfaction; je me mordais la lèvre au sang tant je me contraignais au silence, même si mes soupirs évadés se faisaient de plus en plus fréquents, de plus en plus profonds, suivant le rythme de ses hanches alors qu'il me rendait progressivement dingue.

ETUDIANTE – « Monsieur Delacre ? »

N'allait-elle donc jamais partir. Inquiétée qu'elle était par le foutoir qui put être entendu lorsque Maxence avait libéré le bureau. J'avais envie de lui décocher un regard qui avait l'air de tout dire "c'est de ta faute !" mais il ne m'en laissa pas l'occasion. J'étais la victime d'un ouragan de sensation et les forces me manquaient de plus en plus si bien que je n'avais plus la possibilité de soulever la tête pour le regarder. Arquée, les jambes lâches et à peine accrochées à la taille de Maxence, je rassemblais ma capacité de réflexion pour me plaindre de sa lenteur et du rythme tortionnaire avec lequel il se dégageait de moi.... jusqu'à revenir, violemment, de manière sèche et ô combien plus efficace, qui eut finalement raison de ma détermination au silence.

HELLA – « Oh, pu.. TAIN! »

Ma tête vola en arrière si rapidement qu'elle heurta le bureau, mais je ne pouvais m'empêcher le corps de se tendre. La tension dans mon bas ventre s'était soudainement relâchée et Maxence m'emportait dans un océan de sensations... Jamais je n'aurais cru que ces vieux os allaient me faire atteindre l'orgasme aussi rapidement. Une minute passa. Deux. Peut-être cinq... Pour autant que j'en savais, une heure avait pu passer avant que je ne réalise soudain que par dessus ma respiration saccadée et les grognements de Maxence qui semblait apprécier la vue mais souffrir de n'avoir pas droit à sa propre jouissance, le silence était revenu. Plus de coups à la porte. Plus de voix criarde qui cherchait à ...

ETUDIANTE – « Monsieur ? »

On aurait dit la voix d'un gosse suppliant sa mère après avoir été pris en flagrant délit de vol de cookie. Je n'étais certaine que d'une chose, c'était que si je venais à croiser Jennifer Collins dans les couloirs, j'allais lui faire payer son insistance. Maxence n'eut même pas le temps d'envisager me travailler pour atteindre son propre orgasme, et n’avait donc pas le temps de se demander ce qui lui arrivait que je m'étais déjà libérée de lui, repoussé de côté, et avançais de mon pas –que certains décrivaient comme royal – vers la porte du bureau.

HELLA – « Ecoute Collins, on ne veut pas de toi ici. Il te faut combien d'heures à être ignorée pour comprendre que ta présence n'est pas la bienvenue. A moins que tu n'aies envie de te faire baiser par l'homme aussi, ou que je m'occupe de toi là où il ne le fera pas, tu ferais bien de te mêler de tes affaires et dégager aussi sec avant que je ne m'occupe de ton cas pour de bon. Tu fais chier, avec ta voix criarde et ton air de mijaurée. Le prof n'est pas disponible, je m'occupe de son cas et toi, en attendant, tu ne fais qu'emmerder ton monde. Je m'en tape de savoir pourquoi t'es encore là ce soir, mais ta compagnie n'est pas désirée et franchement, elle commence sacrément à me gonfler. »

C’était déplorable. Je m’attendais presque à entendre cette idiote geindre d’avoir été rejetée. D’un autre côté, je jubilais, juste en voyant son regard effaré.

HELLA – « Dégage, je te dis. »

Rien de plus ne fut prononcé de ma part, cette incapable ne méritait pas plus. Agrippant son menton d’une main, je l’embrassais presque tendrement (si tant est que je soies capable de tendresse), mordillant sa lèvre au moment de me séparer d’elle, passant ma main derrière sa tête pour la maintenir en place alors que je restais là, front contre front. Elle prit une violente goulée d’air, comme quelqu’un attendant d’en avoir plus, mais tout ce qu’elle obtint de ma part fut un ton plus sec… plus froid. Peut-être que cette fois elle comprendrait.

HELLA – « Dé… gage »

Cette fois, l’imbécile ne se fit pas prier et déguerpit aussi vite qu’elle le pouvait, me laissant libre de me retourner et de retrouver l'intérieur du bureau... au moins le temps de remarquer que Maxence ne se tenait plus à côté du bureau. Un scan rapide de la pièce m'informait qu'il était désormais assis sur un sofa, occupé à reboutonner sa chemise en bougonnant qu'il s'était encore une fois fait avoir et que j'avais encore une fois profité de lui... Soit. Mais je n'en avais pas fini avec lui et le simple fait que je verrouille à nouveau la porte attira son attention, même s'il semblait évident qu'il se sentait à nouveau floué... et peut-être douloureusement frustré. Approchant lentement de lui, je laissais mon pas le taquiner un peu, le laisser se demander ce que j'allais faire, l'approchant doucement comme un animal cerclant sa proie. Une main se posa sur son épaule, m'y appuyant le temps de lever une jambe et la passer par dessus ses genoux, m'installant effectivement sur lui.

HELLA – « Tu pensais vraiment que tu en avais fini avec moi, mon petit ? Mon dernier mec a pu m'en faire avoir quatre en une seule nuit, je suis sûre que tu es doué assez pour ne pas t'arrêter au premier. Non ? »

Je me penchais doucement en arrière, tiltant la tête de côté en baissant les yeux comme pour juger un peu sa masculinité et sa capacité à faire durer la nuit. Je fis la moue, comme si l'idée qu'il ait abandonné si vite me faisait presque de la peine. Je n'attendais qu'un geste de sa part pour reprendre là où Collins nous avait laissé et s'il n'était pas en mesure de le comprendre et de clamer son dû, je n'avais aucun scrupule à le lui faire comprendre à ma manière.

Entendre l’autre cruche à la porte qui semblait penser que tout allait mal énervait le français, mais il ne préférait pas y penser, même si cette voix il en avait plus que marre. Il avait rencontré cette étudiante par hasard à la bibliothèque de l’université. Etant plus grand qu’elle, il lui avait attrapé un livre sur un des rayons du haut et depuis elle ne le lâchait plus. Le genre de filles collante et prise de tête. Parfois, il avait des moments de répits, mais parfois, elle venait comme là, l’ennuyer, pour rester poli. Elle était plus que collante et il en avait marre, seulement, il avait beau lui dire clairement qu’il n’était pas intéressé et qu’elle devait laisser tomber, mais elle ne semblait pas l’intégrer, ou alors son cerveau ne voulait pas le faire. Evidemment, il avait pensé à la mettre dans son lit et hop ça serait finit, mais il n’était même pas sûr qu’elle comprendrait que ça n’avait aucune signification pour former un couple, donc il avait préférait laisser tomber et l’éviter au maximum. Encore heureux pour lui, elle n’était pas étudiante en médecine, donc de ce côté là, ça allait. Seulement aujourd’hui et surtout pendant les minutes qui défilaient, il n’avait pas envie de se concentrer sur elle, malgré sa ténacité. Ses mouvements furent alors sa seule préoccupation. Hella l’avait clairement bloqué et il n’avait pas trouvé d’idée brillante pour la faire arrêter, avant de venir l’embrasser. Il avait bien vu, parce qu’elle fut surprise et il pû donner ses coups de reins.

Pour faire taire l’étudiante qui était derrière la porte, il avait envie de faire crier sa partenaire et il voyait qu’elle se mordait la lèvre, comprenant qu’elle n’avait pas envie de lui faire le plaisir de se laisser aller à de tels cris. Frustré sur ce point, il soupira quand l’autre étudiante reprit la parole, pour l’appeler. Non mais c’est pas vrai ! S’il ne répondait pas c’était qu’il y avait une bonne raison, non ? Apparemment pas. Le français se disait qu’elle avait peut-être pensé qu’il s’était évanouit ou autre, mais elle commençait sérieusement à l’énerver. Malgré, il tenta de l’occulter, préférant se concentrer sur sa partenaire du moment. Décidant alors de se retirer pour revenir d’un coup sec, il sourit quand il l’entendit jurer. Fier de lui et son égo se gonflant d’un seul coup, il continua encore, comprenant au bout d’un moment qu’elle atteignait enfin le point de non retour et qu’elle avait atteint la jouissance. Cependant lui n’en était pas pour autant arrivé et il continua avant de grogner quand la pot de colle se fit entendre à nouveau. Seulement, il n’eu pas le temps de bouger plus que sa partenaire le repoussait et le laisser là seul pour aller vers la porte. Plus que surprit, il prit quelques secondes, s’asseyant dans le fauteuil derrière lui. Se passant les mains sur le visage, il avait mal. Il n’avait pas atteint son but et il serra les dents.

Ne faisant pas attention à la conversation qu’il y avait entre les deux étudiantes, il tenta de calmer ses parties qui avaient véritablement besoin d’être débarrasser de la tension qui résidait toujours dans cette partie de son corps. Gardant les dents serrées, il jura d’être beaucoup plus direct encore avec l’étudiante qui était derrière la porte et il allait faire payer à Hella le fait qu’elle le laisse comme ça. Finalement la seule solution qui lui restait était que sa meilleure amie serait sa main. Du coup, il décida de se rhabiller, bien décidé à virer Hella de son bureau si elle osait revenir vers lui. Seulement il n’avait pas prévu le comportement qu’elle arborait désormais. Commençant par sa chemise qu’il trouva plus rapidement que le reste, il commença à la boutonner, assit sur le canapé, ayant son caleçon et son pantalon à porté de main. Il entendit alors le verrou de la porte et il leva la tête, voyant l’étudiante qui était toujours là et il fronça les sourcils, près à la mettre dehors, quand elle arriva vers lui et il comprit que oui les femmes étaient le sexe fort. Sentant sa main sur son épaule, il fronça un peu plus les sourcils, attendant des paroles de sa part, mais elle préféra d’abord bouger. La voyant se mettre à califourchon sur lui, il haussa les sourcils, se demandant ce qu’elle comptait faire de lui. Ecoutant ses propos, il esquissa un sourire, mais resta sur ses gardes au cas ou elle change d’avis. Elle semblait sérieuse, même si elle voulait bafouer son honneur de mâle. Du coup, il posa ses mains sur ses hanches et il la rapprocha de lui. La fixant dans les yeux, il ne voulait pas briser le contact au cas ou elle lui en fasse voir de toutes les couleurs.

La rapprochant toujours plus, il fit en sorte de la pénétrer à nouveau. Souriant, il apprécia de retrouver sa chaleur et il reprit ses mouvements. Il n’était plus le dominant, ce qui était dommage dans le sens où il aurait préféré pouvoir continuer comme avant, du coup, il fit en sorte d’être rapide, pour l’amener sous lui. Il venait de l’allonger sur le canapé et se retrouvait sur elle, commençant alors ses coups de reins, profonds et secs. Visiblement elle comptait passer la nuit là et ça n’était pas pour lui déplaire, surtout si c’était pour pouvoir continuer leur activité plus qu’agréable.