the great escape
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Se changer les idées. [Hot]

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MessageSujet: Se changer les idées. [Hot] Se changer les idées. [Hot] EmptyDim 12 Fév - 23:31

Se changer les idées. [Hot] 1zdbx2a

    Reprendre le cours de sa vie après une fusillade, Maxence n’aurait jamais pensé y faire face. Ca faisait deux jours qu’il avait reprit comme si de rien n’était. Après la fusillade, il s’était retrouvé à l’hôpital, faisant en sorte que les étudiants soient soignés. Puis, le lendemain, il s’était laissé faire. Il avait eu l’arcade sourcilière gauche ouverte, choc qu’il avait reçu quand David, l’étudiant armé l’avait frappé au visage. Puis, quand il avait voulu se redresser et protéger les étudiants qui étaient avec lui, David lui avait tiré dessus. La balle n’avait fait que l’effleuré au flanc droit. Il avait saigné, mais ça n’était pas de gros dégâts. Il se retrouvait donc avec son sourcil ouvert et surtout un pansement sur la hanche droite. Ca ne lui faisait pas plus mal que ça, sauf dans certains mouvements. Du coup, il faisait attention le plus possible. Enfin bref, ce matin, il s’était levé et cette fois-ci, il n’avait clairement pas fait attention. Sa peau était encore à vif ce qui n’était pas agréable du tout. Allant sous la douche, il enleva son pansement et fit attention que l’eau ne soit pas trop chaude. Après sa douche, il alla remettre un pansement. Puis, il alla prendre son petit déjeuner. Ayant simplement un caleçon, il alla dans sa cuisine. Un café, un verre de jus d’orange et un long morceau de pain à la confiture d’abricot plus tard, il se retrouvait dans sa chambre. Passant un tee-shirt blanc, il y mit par-dessus une chemise grise. Puis, il attrapa un jean bleu marine et sa veste grise. Puis, allant à l’entrée, il prit ses Converse bordeau. Allant jusqu’au canapé, il s’y installa pour enfiler ses chaussures.

    Une fois près, il alla chercher son sac de cours. Vérifiant que tout y était, il partit pour l’université. Aujourd’hui, il préféra prendre sa moto. Depuis la fusillade, même si lui n’avait pas été gravement blessé, il voulait de la vitesse. Il avait besoin de ressentir un certain frisson. C’était sans doute stupide, certains pourraient le penser, mais lui avait besoin de ça. Une bonne dose d’adrénaline. De plus, penché sur sa moto, dans les virages, il sentait sa hanche lui faire mal, mais il faisait comme si de rien n’était, en serrant simplement les dents. Une fois arrivée sur le parking de l’université, il se gara et descendit de sa moto. Casque à la main, il avança, saluant quelques étudiants, avant d’aller dans sa classe. Il y avait encore dix minutes avant que le premier cours ne commence. Il sortit ses affaires et alla ensuite en salle des professeurs, pour se chercher un café. Là-bas, comme tous les jours, il salua quelques personnes, brièvement, passant à côté de ceux avec qui ils avaient des différents. Edward O’Malley, le doyen, ces deux là étaient les personnes avec qui il avait le moins d’affinités et ça n’était pas pour rien. Finalement, il retourna dans sa classe et pû donner son premier cours de la journée.

    La matinée, passée assez rapidement. A midi, il partit chercher quelque chose à déjeuner pour ensuite aller le manger dans son bureau. L’après-midi arriva, il enchainé ses cours jusqu’à 17h. Allant par la suite dans son bureau, il s’y enferma. Il voulait être seul. Mettant son I-pod en route, il écouta de la musique, tout en tapant quelques notes dans son ordinateur portable. Il avait quelques commentaires à mettre sur des devoirs qu’il avait corrigés. Mais surtout, il avait décidé d’avancer son projet d’album. Puis, une demi heure plus tard, il regarda les cours qu’il allait devoir donner le lendemain. Puis, une autre demi heure passa et 18h sonna. C’est alors qu’il sursauta sur sa chaise, en retirant ses écouteurs de ses oreilles.

    Non mais ça va pas ou quoi !

    Serrant alors les dents, il posa sa main su sa hanche droite. En sursautant, il s’était fait mal et il décida alors de se rasseoir. Il avait en face de lui une étudiante en médecine. Pourtant, il avait fermé la porte du bureau à clé, mais elle avait réussit à l’ouvrir. Il ne devrait pas être étonné, mais il ne s’était pas attendu à ce qu’elle arrive. Tentant de se calmer, il savait qu’il avait encore des restes de la fusillade et il n’aimait pas ressentir cela. Il l’avait déjà vécu dans une autre situation et il n’avait pas envie de le revivre. Alors, une fois à peu près calmé, il fixa l’étudiante.

    Je peux vous aider ?

    Il supposait que si elle était là c’était pour ça ou alors … Haussant les sourcils, il savait de quoi la jeune femme était capable et ça ne le dérangeait. Mais là tout de suite, il était dans son rôle d’enseignant, du coup il n’avait pas pensé à autre chose que l’aider pour ses études.

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MessageSujet: Re: Se changer les idées. [Hot] Se changer les idées. [Hot] EmptyJeu 16 Fév - 13:22





i'm a bitch, i'm a tease

Tourniquet

J'imagine que des rires se faisaient entendre ici, avant le chaos, avant que toutes les personnes que j'avais jamais connu ne soient forçées à grandir une bonne fois pour toute, loin de toutes ses désillusions, loin de ces espoirs vains, loin de la stupide innocence d'esprit que l'adolescence pouvait offrir. Il n'y avait pas de faux semblants désormais: depuis la fusillade, tous les jeunes adultes que je connaissais s'était pris un sacré coup de pied au cul sur l'échelle de la matûrité. Je préférais me dire, moi, qu'il ne s'agissait que du choc et que tout reviendrait à la normale bien assez rapidement.

Et pourtant...

Le parc était plus calme qu'à l'accoutumée, et l'objet tourne encore aujourd'hui, grinçant encore au gré de ses tours, et moi je m'y laisse bercer. Le seul endroit un peu moins étudiant et un peu plus enfantin du parc et je m'y prélassais, plongée dans des pensées aussi confuses qu'avait pu l'être la soirée de Saint Valentin. J'aime cet endroit, juste pour ça. Ici, les fantômes du passé semblent plus présents, ici l'âme des enfants m'apparaissent presque dans les arabesques des espoirs à un avenir plus radieux. Et ça me réchauffe le coeur. Tant de morts, tant de cris. La joie remplacée par l'effroi... Je ne devrais pas éprouver pareilles choses, je suis déjà assez mal vue sur le campus comme ça, mais je ne pouvais m'empêcher de savourer le savoir que, le temps d'une nuit, la promesse d'une mort injuste et soudaine était partagée à l'université entière et que, juste pour quelques heures, le couperet ne risquait pas de faillir sur ma vie uniquement. Dans l'angoisse, j'y avais retrouvé un certain équilibre... Une certaine paix.

Et pourtant, regardez...

Le temps est maussade, gris, le brouillard règne sur l'étendue de verdure, mais vous voyez cette courbe soudaine dans la volute qui couvre cette cage à poule? Ne ressemble-t-elle pas à une forme de bambin grimpant sur la structure métallique comme si ça vie en dépendait? Je pourrais presque imaginer la scène, avec sa mère accourant vers lui pour lui brailler de redescendre. Connasse, elle devrait le laisser tomber et se briser le bras, ça lui apprendra à être aussi incompétent. Je ne supporte pas l'incompétence. Je ne supporte pas les brailleries de mère qui prétendent se soucier de leurs bambins alors que ce n'est qu'un tissu de mensonge fait dans le seul but d'être déchiré en lambeau à la première occasion donnée. Oh, si je le pouvais, je passerais bien mes mains autour de son cou, à cette traîtresse, avant de me charger de son fils; heureusement que je n'ignore pas que tout cela ne se déroule que dans ma tête. Et tout aussi sûrement, comme pour me donner raison, la scène s'évanouit à l'instant où je formule cette pensée.

Je continue de me laisser tourner, assise contre une barre, propulsant de temps à autre l'antique jeu d'un coup de pied dans l'herbe. L'après-midi était silencieuse, le sol était délicieusement frais. Le seul bruit étranger au grincement régulier du jeu, c'était l'éclat de rire nerveux qui me secoua à la pensée de tous ces jeunes qui nourrissaient maintenant les pissenlis par la racine. A toutes ses mères qui avaient souffert, péris. A toutes ces personnes qui étaient tombées sous le joug des Errants. Mais le rire mourut soudain sur mes lèvres, remplacé par une contemplation silencieuse de ce qui était -ou pas- correct de faire...



MAXENCE – « Non mais ça va pas ou quoi ! »

Je me tenais face au professeur je ne sais trop combien de temps plus tard, et ma tête bascula légèrement de côté tout en l'observant s'énerver, ses mots coulant hors de sa bouche dans un torrent de fluidité légèrement angoissé. Il m'arracha même un petit rire... Parce qu'il était marrant, cet homme, dans le fond, et lorsqu’au final l’information sembla atteindre son cerveau endormi par la journée de cours lassante à mourir, le bond qu’il fit était d’autant plus drôle. D’une main qui frôla ma joue, je coinçais une mèche derrière mon oreille afin de retenir un pan de cheveux en riant un petit peu plus. Rire qui mourut sur mes lèvres lorsque finalement il braqua son regard sur moi. Mon visage se tendit un peu, imitant l'expression faciale qu'arborait tant de mes filles au moment où elles découvraient qu'elles étaient prises au piège... un air faussement innocent, confus et finalement, totalement paniqué. A mon avis, l'attitude de mijaurée devait venir avec l'air angélique, oui, c'était sûrement ça.

HELLA – « Oui. Non. Peut-être... Qu'est-ce que tu en penses, Maxence ? »

La rime impromptue et stupide laissa échapper un petit rire légèrement dément. Il était mignon, comme ça, à tenir son lecteur audio près du coeur comme s'il s'agissait d'un gilet Kevlar. Je l’avais bien vu tenter de me dévisager des pieds à la tête, de manière insistante, avant qu’il ne se rende à l'évidence et comprenne que les ombres de son bureau me protégeaient toujours de son regard scrutin, et c’était limite si je ne me passais pas la langue sur les lèvres en me délectant des images qui devait lui passer par la tête en cet instant précis. Ou bien était-ce mes pensées à moi ?? Bref, peu important. Mais au lieu de ça, sa voix encore légèrement chevrotante résonna à nouveau dans le silence, et me somma de lui répondre... Moi je repris mon avancée, un pas à la fois, lentement et de la manière assurée d'un prédateur prêt à bondir, les ténèbres disparaissant soudain pour laisser la place à l'apparence qui était miennes. Les ombres laissèrent la place à une cascade sombre. Mon regard brilla un instant en dardant sur l'aîné leurs iris enflammés. Je devais être trop proche de lui à présent à son goût, ou peut-être pas, cela dépendait de s'il était toujours sur la même onde de pensées que lorsqu'il m'avait vue pour la première fois ou pas. Je le voyais détailler ma tenue, admirer le détail de la soie de ma tenue noire... Un bustier serré, une jupe plus courte que l'ordinaire et serrée à mi-cuisse alors que mes pieds étaient chaussés de longues bottes noyant mes genoux dans les ténèbres qui me correspondaient bien mieux. Je reculais l'ipod d'un doigt, doucement, le dégageant sans pour autant sembler menaçante à cet homme et susurra à son oreille, comme un murmure se noyant dans son canal auditif. Puis, battant en retraite juste assez pour l'observer, je hausse le regard, je le toise sans vergogne et lorsque lui monte finalement ses yeux pour les plonger dans les miens, specimen glacial dans un monde où j'étais maître, un sourire habille mon visage, ne présageant rien de bon... ou au contraire.

Les choses sérieuses peuvent commencer

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MessageSujet: Re: Se changer les idées. [Hot] Se changer les idées. [Hot] EmptyJeu 16 Fév - 14:43

Se changer les idées. [Hot] 1zdbx2a

    Etre sur les nerfs, c’était peu dire pour Maxence. La fusillade avait été un évènement plus qu’imprévu. Il était venu aux Etats-Unis pour faire un album, parce qu’on le lui avait proposé. Il avait réussit à décrocher un poste à Berkeley. Seulement, la fusillade ne faisait pas partit du programme. Il avait pensé au fait qu’il pourrait faire de nouvelles rencontres, qu’il avait revoir certaines personnes, dont ses anciens étudiants français qui étaient restés ici après l’échange avec La Sorbonne. Mais se retrouvé à se faire frapper par un étudiant et tirer dessus, ça n’était pas du tout quelque chose de planifier. Il savait bien qu’on ne pouvait pas tout prévoir. Comme la mort de son meilleur ami, mais il restait sur les nerfs et ça n’allait sûrement pas s’améliorer en deux jours. Du coup la seule chose qui parvenait à le calmer était bien la musique. Jouer était apaisant, mais écouter également. C’est pour ça qu’il opta pour cette option, parce qu’il avait en plus des copies à corriger et pas mal de travail à effectuer pour les prochains cours. Etant concentré, il était dans sa bulle quand il vit quelque chose bouger et qu’il eu peur.

    S’étant redressé trop vite, il eu mal à sa blessure à la hanche, mais il se reprit et revint s’asseoir sur son fauteuil. Il entendait le rire de son interlocutrice, mais ça ne le mettait pas plus à l’aise pour autant. Lui demandant finalement s’il pouvait l’aider, il resta la fixer. Assit au fond de son fauteuil, il regarda sa partenaire, ne sachant pas à quoi elle avait pensé en arrivant jusqu’ici. Le fait qu’elle lui réponde en utilisant son prénom fit sourire l’homme intérieurement. Seulement, il n’allait pas lui faire la joie de sourire. Posant les bras sur les accoudoirs de son fauteuil, il prit le temps de la fixer de haut en bas quand elle vint plus près de lui, après avoir fait le tour du bureau. Il devait admettre qu’elle avait toujours les bonnes tenues pour venir le voir. La première fois, il n’avait pas comprit ce qui s’était passé. Elle avait réussit à éveiller son instinct le plus primaire sans qu’il ne s’en rende compte. Puis, à chaque fois qu’ils se voyaient, elle avait cette façon de parvenir à éveiller tous ses sens, mais il ne savait vraiment pas comment elle y parvenait.

    Coucher avec des femmes n’étaient pas quelque chose qui dérangeaient le français. Au contraire, si elles étaient consentantes et majeures, c’était tout ce qu’il voulait savoir. Hella, était les deux et c’était parfait. Seulement, il ne s’était jamais passé à par des paroles qui avait à chaque fois attisé l’enseignant. Alors, quand l’étudiante se pencha pour lui parler à l’oreille, ses mains se crispèrent sur les accoudoirs de son fauteuil. Continuant de la regarder, il sentait la veine sur sa tempe droite battre. C’était en général signe chez lui que des images peu catholiques passaient dans son esprit. Se reprenant, il fixa sa partenaire. Soupirant doucement, il se mit alors à sourire. Il ne pouvait s’en empêcher à chaque fois qu’elle lui sortait ce genre de propos. Desserrant ses doigts du fauteuil, il leva son bras le plus proche de la jeune femme pour la poser sur sa jambe. Un geste simple, avant qu’il commence à caresser sa cuisse pour monter doucement vers la jupe. La fixant dans les yeux, il savait qu’elle ne se laisserait pas faire. Elle avait ce côté sauvage qui était plaisant et il se demandait ce qu’elle comptait faire de lui aujourd’hui. Allait-elle encore une fois vouloir s’amuser pour le frustrer, allait-elle partir rapidement, ou allait-elle vouloir plus que le fait de l’aguicher ? Il ne savait pas, alors, il continua de la regarder dans les yeux, tout en passant sa main sur sa cuisse.

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MessageSujet: Re: Se changer les idées. [Hot] Se changer les idées. [Hot] EmptyDim 19 Fév - 20:32





i'm a bitch, i'm a tease

Deux orbes de feu brûlaient dans l'obscurité de ma cachette, comme un brasier nourri aux relents de la chasse. Du jeu. De savourer le fait qu'il ignore parfaitement que je me trouve là, même si je m'étais trouvée dans le bureau avant même qu'il n'y entre à son tour. Je l'avais vu arriver, admiré s'installer et ricaner alors qu'il ne m'entendais déjà plus à cause de ces foutus écouteurs dans les oreilles... Il lui en aura fallu le temps, pour réaliser qu'il n'était pas seul. Dommage, peut-être, qu'il n'ait fait rien d'autre que d'écouter de la musique, j'adorais tout particulièrement maintenir des épées de Damoclès au dessus de la tête des gens... avant de les décapiter avec, bien sûr. Est-ce que vous avez déjà vu un corps à peine privé de sa tête ? Si vous avez de la chance, il vous offrira cette danse grotesque en effectuant quelques pas, titubant comme s'il était imbibé avant de sombrer et ne plus jamais bouger. Il ne valait mieux pas que je vous dise comment je le savais, cela ne se passait d'ailleurs pas à tous les coups, mais... soit. Si mon coeur avait battu pour quelque raison que ce soit, il aurait pu résonner aux lourds sons que rythmait l'anticipation qui m'accueillait en cet instant précis. Maxence... Maxence, Maxou, Max... Je reconnaîtrais cette tignasse de vieux n'importe où, le gris avait tendance à ressortir du lot en plein flot de faces étudiantes. Mais même pour moi, qui n'en avait d'ordinaire que faire, je me découvrais suffisamment physionomiste quand il était question de lui. Mais pour l'instant, je me contentais de l'observer, tapie dans l'ombre alors qu'il tentait de discerner mes traits. Si j'admettais volontiers qu'il m'arrivait de provoquer quelques rencontres "fortuites" entre elle et moi, cette nuit est purement le fruit du hasard... ou presque. Son bureau n'avait qu'à pas se trouver sur mon chemin; c'était à croire que le hasard n'avait jamais existé et qu'une main cruelle (pour Maxence) s'amusait à secouer cet amuse-gueule devant moi juste pour me faire saliver à l'idée de m'amuser de lui. Heureusement que je ne croyais en aucun autre pouvoir supérieur que le mien donc, hein ? Je suis un esprit libre, un animal sauvage, baignée dans les effluves de stérilité hospitalière ou tout simplement enivrée de ce parfum de vie qui me ressasse si souvent de mauvais souvenirs... Je préfère jouer... C'est toujours plus amusant de jouer, non? Même si ma mère m'a toujours dit de ne pas jouer avec la nourriture. Mais qu'en sait-elle, cette connasse? Pourquoi devrais-je l'écouter alors qu'elle n'a jamais été là pour moi? Je joue avec la nourriture, j'aime quand on me laisse jouer, et encore plus lorsque ça court et que ça crie et que ça geint et que....

Par tous les dieux, tapez-moi, l'ivresse de la chasse me reprends...

Il ne m'a pas frappée, mais son geste eut le même effet sur moi: Maxence vint déposer une main calleuse sur ma cuisse avant de doucement remonter et se montrer plus audacieux. Que j'aime quand il se montrait sans peur et prompt à l'expérience... Cela m'exciterait presque assez pour baigner ce lieu ô combien professionnel dans l'odeur si caractéristique d'une nuit emplie d'érotisme et de débauche. Mais dans le fond, jamais je ne lui avouerais que les aspérités de sa peau d'homme mûr renvoyaient une myriade de sensations à mon système nerveux, et puis je n'étais pas présente pour que lui s'amuse de moi... ou en tout cas, pas encore. Ma main droite captura le poignet pour le tordre sans le briser mais en interrompant le contact éhonté. Un sourire gracia mon visage, mais pas le genre de sourire qui fait plaisir à voir, que l'on a l'impression d'être honnête. Non. Mon sourire à moi avait plus l'air d'un rictus empreint d'ironie, ma dentition immaculée brillant doucement entre les deux traits sombres de mes lèvres. M'approchant de lui à nouveau, jouissant du pouvoir que je traduisais dans son exhalation soudaine et profonde, je n'affichais pourtant pas la moindre attitude hostile et capturais doucement son menton pour le forcer à me regarder dans les yeux. Le regard rieur de cette joie que seul un prédateur peut réellement éprouver, je laissais mes iris se dilater un petit peu avant de poser les yeux sur ses deux lèvres à lui et d'y déposer un baiser furtif, un smack sans conséquences.

HELLA – « Ne me tente pas, tu sais que tu aurais du mal à me suivre... »

Passant ensuite mon index sur sa chair, je caressais cet espace de peau comme si je pouvais effacer d'un trait le frisson glacé que je venais d'y déposer. Un hochement de tête, un ricanement, et c'est tout ce qu'il me fallut nécessaire pour reprendre mon pas, rôdant autour du bureau en me rapprochant de temps à autre pour inspecter un objet, presque comme un chasseur qui cherche à en savoir un maximum sur sa proie. A la différence que cette chasse là tenait plus d'un jeu malsain auquel j'étais passée maître dans les règles de l'art. Je sentais son regard poser sur mes épaules et je réalisais que la proximité n'était pas la seule manière de faire déglutir un homme. Parfois, il suffit d'un déhanché un peu plus prononcé, il suffit de s'approcher de la porte d'accès pour la verrouiller ou s'assurer que les fenêtres sont occultées. Parfois, ne faites rien d'autre qu'instaurer une atmosphère intimiste et l'esprit du mâle s'occupe de faire tout le reste. Même si je devais m'avouer que repartir d'ici en étant repue était bien haut sur la liste, je n'avouais pas avoir la même considération pour mon professeur. Après les évènements de la Saint Valentin, je désespérais de reprendre un semblant de contrôle sur ma vie et cela imposait un relâchement soudain du stress que j'avais accumulé depuis l'attentat. Rien de tel qu'un jeu pour me remettre d'aplomb et mon petit doigt m'avait dit que Maxence allait être le plat du jour... Le plaisir de le voir se trémousser sur son siège, de plus en plus inconfortable alors que je continuais à cercler autour de lui, frôlant son épaule du bout des doigts lorsque je passais derrière lui avant de finalement lui faire face et m'installer sur son bureau de manière nonchalante. Je ne me penchais que légèrement pour dégager le stylo sur lequel je m'étais accidentellement assise et le faisait rouler de côté avant de me réinstaller. Comparé à ma position, Maxence était installé de travers, me poussant à soulever une jambe pour pousser sur son siège et rajuster l'angle juste très légèrement: je le voulais face à moi, sans pour autant avoir à me déplacer de là où je m'appuyais des deux mains sur le bureau, penchée faiblement en arrière et observant attentivement le professeur ou plutôt, la direction de ses yeux qui me dévoraient du regard en se posant de temps à autre là où cela ne devait pas...

HELLA – « Et tu imaginerais qu'en bon prof de médecine, tu saurais depuis le temps que les yeux sont bien plus haut que ça... Mon pauvre vieux, faut songer à la retraite si tu divagues à ce point là. »

Mon ton était exaspéré, mais je n'agissais pas de manière différente pour l'encourager à se montrer plus discret. Au moins, ses mains ne semblaient pas prêtes à se montrer conquérantes à nouveau.... enfin, semblaient était le mot ici.
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MessageSujet: Re: Se changer les idées. [Hot] Se changer les idées. [Hot] EmptyMar 21 Fév - 0:41

Se changer les idées. [Hot] 1zdbx2a

    Etre dans son bureau, c’était comme enfin pouvoir être au calme. Avoir la porte fermée à clé, c’était faire en sorte de tout laisser dehors et d’avoir juste ses papiers et sa musique. Rien ni personne ne devrait venir défier cela. Cependant, de voir Hella en face de lui était à la fois flippant et plaisant. Flippant parce qu’il était encore sur les nerfs depuis la fusillade et qu’il venait de réagir comme un crétin en ayant peur. Plaisant, parce qu’il savait de quoi elle était capable avec lui. Seulement, il savait aussi qu’elle était du genre à le frustrer. Ou était-ce lui qui se frustrait tout seul ? A vrai dire, il se disait qu’il devait y avoir un peu des deux. Le fait qu’elle joue avec lui et ses pulsions primaires de reproduction. Non, il ne voulait pas d’enfants avec sa partenaire, mais le sexe était une option plus qu’envisageable. Du coup, il lui demanda ce qu’il pouvait faire pour elle, quand elle décida de lui tourner autour. Commençant par aller d’un côté du bureau, puis il se sentit pousser des ailes. Il posa alors sa main sur la cuisse de sa partenaire. Autant prouver clairement les idées qui lui traversaient l’esprit. D’ailleurs, une séance de frustration ou de sexe serait la bienvenue pour qu’il soit moins sur les nerfs. Quoi que finir frustré, n’allait pas plus le détendre. Remontant sa main le long de la cuisse de la jeune femme, il fut arrêté par sa main et il sentit son poignet être en mauvaise posture. Ne disant rien, il ne fit que la regarder espérant ne pas finir à l’hôpital à devoir plâtrer son poignet. Mais ce ne fut pas le cas. Non, la jeune femme vint plus près de lui, pour poser sa main sous son menton et qu’il la regarde dans les yeux. Se laissant faire, elle l’embrassa légèrement, quelque chose de très furtif avant de lui parler et il haussa un sourcil.

    Tu n’as jamais été assez loin pour savoir si je pouvais te suivre.

    Haussant un sourcil, il se mit à sourire en coin, en fixant sa partenaire qui venait en sorte de le lâcher pour aller de l’autre côté du bureau. Gardant son regard à chaque fois sur elle, il ne comptait pas la quitter une seule secondes des yeux, bien décida à le faire rester cette fois-ci. Puis, la regardant bouger d’un côté et de l’autre de son bureau, il finit par la voir s’asseoir sur le meuble en bois pour se retrouver devant lui. Etant toujours assit dans son fauteuil, il sourit quand elle bougea ce dernier avec son pied. L’entendant alors parler, il eu un léger rire et il la regarda alors dans les yeux.

    Je ne divague pas, je sais où son tes yeux, mais ce ne sont pas eu que je veux voir pour le moment.

    Restant dans son fauteuil, il posa ses mains de part et d’autre de la jeune femme, pour agripper le bureau et se rapprocher. Sentant les pieds de la jeune femme contre ses cuisses, il savait qu’un simple coup de talons pourrait faire mal. C’est pour ça qu’il commença à lui enlever ses chaussures, faisant fi de toutes protestations possibles. Une fois qu’elles furent enlevées, il les laissa tomber un peu plus loin et il attrapa ses mollets pour mettre les pieds de la jeune femme contre ses cuisses.

    Je compte finir avec mes deux mains encore bien attachées à mes bras.

    Il préférait le préciser, mais il voulait également lui faire comprendre qu’’elle ne devait pas prendre ça pour un affront, en tout cas, lui voyait les choses comme ça. Du coup, il posa ses mains à plat sur le bureau, de part et d’autre de la jeune femme.

    Iras-tu plus loin pour savoir si je tiens la distance ?

    Haussant les sourcils à nouveau, il eu un sourire plus que fier. Il était près à toutes éventualités, espérant que celle de se faire briser les parties intimes serait à écarter.

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MessageSujet: Re: Se changer les idées. [Hot] Se changer les idées. [Hot] EmptyDim 4 Mar - 23:15





i'm a goddess on my knees

Ma mine se renfrogna dans une grimace sans empathie alors que je me retenait de sortir un cuisant "pauvre loulou" lorsqu'il indiqua que je n'avais jamais été si loin que pour le laisser briller par sa résistance. Il se montra même audacieux, bien décidé à me faire savoir qui était le patron alors qu'il me déchaussa et s'approcha de moi comme si je n'étais qu'une autre fourniture de son bureau et qu'il se faisait plus proche pour pouvoir accorder toute son attention. Mes yeux se posèrent sur ses mains reposant sur le bois de part et d'autre de mes cuisses, alors que mes pieds à moi -ayant suivi le mouvement d'approche du gaillard- reposaient désormais sur les siennes, légèrement sous le bureau. Si bien que j'étais comme prisonnière de l'étreinte, même si dans un instant fugace j'adorais ça. Il jouait les prédateurs, il avait cette fierté dans regard, si pathétique que c'en était presque marrant; pour un peu, j'en aurais ri à gorge déployée.

HELLA – « Et tu les imaginais attachés à quoi, tes bras ?? »

J'avais véritablement eu envie de parler de ses poignets, mais les simples accoudoirs de son siège ne permettrait jamais une entrave suffisamment satisfaisante pour moi... Apparemment, une visite à domicile s'annonçait sous peu chez ce bon vieux prof... après tout, c'était monnaie courante dans le métier non ? Visite à domicile, auscultation, estimation des risques et des différents maux avant prescription des soins appropriés. Quoique décidée plus tard à suivre la voie de la médecine légale, j'ignorais si l'homme serait rassuré à l'idée de suivre mes pas, même si l'imaginait tremblant de peur excitait mon intérêt presque aussi efficacement que n'importe quoi d'autre.. Ce n'est que lorsqu'il me demanda si j'allais aller plus loin pour découvrir s'il allait être en mesure de tenir la distance que je m'esclaffais volontiers. Légèrement penchée en arrière, à l'aise mais sans invitation trop flagrante, basculant ma tête en arrière pour rire à gorge déployée. Ce qu'il pouvait me faire rire, ce petit vieux. Pour la peine, consciente de ses yeux pervers qui ne cessaient de me lécher du regard, j'en dégageais une jambe avant de la croiser sur l'autre, geste anodin qui aurait pu lui faire peur quelques secondes. Mon sourire était dément, et j'observais attentivement le petit aîné comme un animal calculant les capacités et faiblesses de sa proie, amusée que j'étais par ce que je découvrais et imaginais, mais surtout satisfaite et curieuse de savoir d'où pouvait bien venir toute cette assurance. Il était fier. Assuré. Gourmand peut-être et en ce qui me concernait, sans doute avait-il les yeux plus gros que le ventre... Je me redressais un peu, avant de poser mes mains sur les siennes et de me pencher légèrement en avant, comme si je voulais sonder au plus profond de son âme; j'étais sérieuse, pendant ces quelques instants, ne cherchant rien de plus qu'à imaginer juste ce qui pouvait lui faire croire qu'il avait la moindre chance avec moi. Et mon inspection s'acheva sur un fou ricanement; entamant le mouvement destiné à me faire changer de place, je soulevais une main pour la passer dans son cou, frôlant la chair là dans le but de lui faire vivre des sensations de frissons que nul n'était en mesure de retenir. C'était dans la nature humaine, le corps mortel ne pouvait résister certains stimulus et venait à réagir par automatisme à ces derniers. Je l'imaginais avoir la chair de poule une seconde, peut-être déglutir alors que je me déplaçais sans pour autant éloigner sa chaise du bureau, décidée que j'étais à prendre position sur les genoux du tourmenté et de profiter de la proximité pour lui faire miroiter juste ce que plus, avec moi, pourrait lui apporter. Je m'installais à mon aise, en prenant mon temps et en basculant bien le poids de ma silhouette pour ne pas lui faire mal. Après tout, j'étais d'humeur garce et l'aguicher pour l'estropier plus tard n'était pas forcément à l'ordre du jour. Je remerciais silencieusement la directrice d'avoir fourni à tous ses profs les mêmes sièges stupides, ces chaises ergonomiques saines assez pour permettre notre proximité actuelle. Sans elle, sans cette chaise, je ne serais peut-être pas si confortablement et lourdement installée sur les genoux de ma proie, jouant doucement avec les quelques cheveux limitant sa nuque tout en l'observant attentivement, cataloguant la moindre réponse..

HELLA – « Rappelle-moi encore pourquoi exactement tu t'imagines en mesure de passer la ligne de départ, grand père ? »

Les hommes détestaient qu'on les critique sur leur âge, mais il fallait avouer que dans bien des cas, un petit coup de pouce était nécessaire. Tenir la distance n'était pas tout, encore fallait-il être en mesure de l'entamer. De manière régulière, je contractais les muscles de mes cuisses comme pour le narguer un peu plus, savourant juste un peu plus son assurance mêlée d'indécision et de je ne sais quoi d'autre alors que deux silhouettes trouvaient place l'une avec l'autre de la manière la plus naturelle qui soit...

HELLA – « Tu sais, il ne faut pas avoir honte... Tu n'es pas l... ooh, voyez-vous ça. »

Voir n'était peut-être pas le meilleur terme à utiliser, mais l'expression seyait à ma réalisation. A savoir que le corps crispé de Maxence venait de gagner un niveau dans la catégorie "ferme" et que le percevoir m'amusait au plus haut point. Les mecs resteraient décidément tous les mêmes, montrez-leur un décolleté plongeant et mettez les proche d'une belle femme et ces pervers bandaient comme des animaux.

HELLA – « Peut-être pas si impotent que ça, le papy. »

Et comme pour vérifier ma théorie, je dardais ma main entre nous pour évaluer juste à quel point l'évolution dans le statut physique de Delacre était de taille. Peut-être profitais-je de cette proximité pour ne pas frôler que lui, soupirant profondément alors que je faisais montre d'une précision criminelle. Cela dura un bon dix minutes avant que je ne juge mon inspection suffisante, peut-être décevante (ou bien était-ce à quel point l'homme était facile à manipuler qui me décevait ?) et levait une jambe afin de me déloger et me relever. Je n'allais pas le priver du spectacle alors que je me penchais pour récupérer mes chaussures et que lui tournait la chaise pour me garder à l'oeil, apparemment en guerre avec lui même. Ou du moins, c'était ce qu'il me semblait. La soirée avait été fun, je m'imaginais déjà avec plaisir le voir bloqué dans ce bureau pendant quelques heures alors que j'allais pouvoir faire la fête avec d'autres que lui. Coincé, seul, avec sa main pour seule amie pour le soulager d'une situation dans laquelle j'adorais le mettre.... il allait bientôt que je découvre d'autres manière de le rendre dingue, ça devenait lassant à la longue.. A moins bien sûr qu'il ne se souvienne de ce qu'il est et décide d'agir en conséquence... ce n'était certainement pas moi qui allait m'en plaindre.

Qui le ferait ?
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MessageSujet: Re: Se changer les idées. [Hot] Se changer les idées. [Hot] EmptyLun 5 Mar - 14:54

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    Simplement attachés à mon corps pour que tu n’attrapes pas mon poignet à nouveau. Mais si toi tu pensais à m’attacher, c’est faisable.

    C’est vrai qu’il ne dirait pas non. Il ne l’avait encore jamais fait, mais c’était une expérience à tenter. De plus, maintenant qu’il avait enlevé les chaussures de sa partenaire et qu’il était entre ses cuisses, il lui demanda si elle était prête à aller plus loin avec lui pour voir s’il tenait la distance comme elle l’avait dit quelques minutes plus tôt. L’entendant et la voyant rire, il ne dit rien, ne faisant que la regarder, avant de justement la voir croiser les jambes. Les mains toujours posées à plat sur le bois de son bureau, il ne bougea. Puis, sentant les mains de sa partenaire sur les siennes, il la fixa. Elle en fit autant, comme si elle cherchait à lire en lui pour savoir s’il allait se dégonfler ou pas. Mais ça ne serait pas le cas. A chaque fois elle le frustrait et il devait faire de ses mains, ses meilleures amies, alors cette fois-ci, il espérait que ça ne serait pas le cas. L’entendant rire, il vit sa main se lever pour venir sur sa nuque et il sentit ses doigts y jouer avant d’avoir un frisson qui parcouru son dos. Cependant, il ne lâcha pas ses yeux. Oui, il ressentait ce qu’elle faisait, mais il n’en bougea pas son regard.

    Finalement, elle se glissa tranquillement sur ses genoux, chose qu’il appréciait particulièrement. C’est alors que tout changea physiquement pour l’enseignant. Sentir les doigts de sa partenaire sur sa nuque à s’amuser avec ses cheveux et la sentir sur ses genoux, fit qu’il réagit. En plus de cela, les propos qu’elle tenait lui faisaient comprendre qu’elle se jouait de lui et ça n’en était que plus excitant. La sentant en plus jouer de ses cuisses, il ne pû empêcher mini Max de prendre vie. Effet qui en coupa même les propos de sa partenaire, qui visiblement ne s’était pas attendu à une telle réaction et ce aussi rapidement. Haussant un sourcil à sa dernière phrase, il se demandait ce qu’elle comptait faire, avant qu’il ne sente une de ses mains descendre vers leurs entre jambes. Serrant les dents, il la laissa le caresser, mais il ne bougea pas son regard de celui de sa partenaire, qui au bout d’un moment décida de partir. Soufflant doucement, il sentait qu’il n’allait pas se calmer tout de suite et que son corps n’allait clairement pas l’écouter. Mais, ce fut le comportement de l’étudiante qu’il analysa en premier lieu et ce comportement ne lui plaisait pas. Encore une fois, elle semblait vouloir partir en le laissant dans cet état. Mais cette fois-ci, il en décida autrement. Il avait vu la jeune femme reprendre ses chaussures et aller vers la porte pour sortir de là. Du coup, il se leva rapidement de son fauteuil, qui fit un bruit sourd et il alla poser sa main sur la porte pour qu’elle ne sorte pas.

    Se collant dans le dos de la jeune femme, il la fit se coller à la porte. Puis, il verrouilla la porte et mit la clé dans la poche arrière de son pantalon. Il ne comptait pas la laisser partir aussi facilement. Restant collé à elle, il savait qu’elle pouvait le sentir à travers leurs vêtements. D’ailleurs, ces bouts de tissus devinrent pour l’homme fort désagréable. Alors, de sa main libre, il défit le bouton de son jean et l’ouvrit complètement, le laissant tomber sur ses chevilles. Se collant à nouveau à la jeune femme, il amena son visage près de son oreille.

    M’allumer vous amuse, mais cette fois-ci, il va falloir finir le travail.

    Cette jeune femme semblait sûre d’elle en toute occasion et c’était une des choses qui l’excitait également. Du coup, il posa ses deux mains sur la jupe de la jeune femme pour attraper la fermeture éclair et de la baisser pour lui enlever ce vêtement. Quand la jupe toucha le sol, il sourit et se frotta à elle, lui faisant ainsi comprendre qu’il était plus que près et qu’il ne finirait pas seul et frustré. Cependant, il n’alla pas plus loin. Mais, il s’amusa à penser qu’elle allait soit vouloir le castrer, soit en profiter. Evidemment la seconde solution serait la bienvenue. Du coup, il fit glisser une de ses mains sur la cuisse de l’étudiante en souriant et il la remonta pour arriver au bustier. Soupirant doucement, il laissa sa main vagabonder entre la nuque et la poitrine de sa partenaire.

    Vous semblez beaucoup moins loquasse que d’habitude.

    Il savait que dire ce genre de choses n’allait pas arranger son cas, mais il s’en fichait bien. Du coup, il en profita pour faire descendre ses doigts jusqu’à sa cuisse à nouveau pour aller enlever le string de la jeune femme et il sourit la sentant bouger. Il ne savait pas si elle comptait se retourner pour lui en coller une, alors il en profita pour ne plus laisser aucune ambigüité et il s’enfonça en elle en une seule fois. Serrant la mâchoire, il ne laissa échapper aucun son de sa bouche, comme si ça ne lui faisait absolument rien. Cependant, il sentit les sensations de son acte et sourit, restant à sa place pendant plusieurs minutes. Non seulement pour qu’elle s’habitue à lui, mais surtout pour se remettre doucement et il commença finalement ses coups de bassins, prenant appui contre la porte, de ses bras.
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MessageSujet: Re: Se changer les idées. [Hot] Se changer les idées. [Hot] EmptyLun 12 Mar - 19:35





when you hurt, when you suffer


{ warning: pas pour les kids ! }



HELLA – « Ça va, je ne te dérange pas ? »

Oh, apparemment j'avais dû toucher une corde sensible... au moins si j'en jugeais la hâte avec laquelle il s'était presque littéralement jeté sur la porte avant de m'en interdire l'accès. Et ça, cela m'amusait. Les hommes étaient si malléables, il suffisait de poser une silhouette féminine tout contre certaines parties de leur anatomie pour envoyer leurs méninges dans une explosion mentale digne des plus beaux feux d'artifice. Tous pareils. Alors le fait qu'il m'empêche de partir n'était pas surprenant. Le fait qu'il verrouille à clé et enferme cette dernière dans sa poche arrière de jean avant de m'appuyer et me maintenir contre le mur, en revanche... Il y avait un territoire dangereux qui s'instaurait entre nous et, pour la peine, cela envoya mon coeur battre à du cent à l'heure. Ça, ce n'était pas prévu dans mon plan... et je détestais être prise de court.

MAXENCE – « M’allumer vous amuse, mais cette fois-ci, il va falloir finir le travail »

Oh, ce n'était pas l'allumer qui m'amusait le plus, mais plutôt de le continuer de me vouvoyer malgré la situation, le voir souffrir et souffler ces quelques mots à mon oreille comme si c'était la chose la plus prédatrice qu'il était en mesure de susurrer. Ça, ça m'amusait... Trop, même. J'entendis un peu de bruit derrière moi et malgré mes tentatives pour tourner la tête et apercevoir ce qu'il était occupé de faire, il me maintenait de tout son poids contre la porte, la main appuyée contre mon visage forçant ainsi la direction que mon regard devait prendre. Ce n'est que lorsque son autre main se posa sur mon ventre pour m'attirer contre lui (ou pour lui donner appui alors qu'il se pressait contre moi, n'importe) que je ressentais juste à quel point j'étais dans la merde. Ce con, il devenait juste un peu trop sérieux pour moi et le jeu me déplaisait de plus en plus. Mais j'avais beau gesticuler, mes actions ne servirent que ses desseins à lui, puisque avant même que je ne puisse faire quoi que ce soit, mon vêtement tomba au sol, ne laissant plus rien entre lui et moi que le tissu de nos sous-vêtements respectifs.

HELLA – « Non mais ça va pas, arrête ça merd... »

La tentative de mouvement pour me baisser, ou me pencher en avant et récupérer mon vêtement pour me rhabiller fut une belle erreur, puisqu'il profita de l'occasion pour me soumettre totalement à sa merci. Mes mains furent je ne sais trop comment entravées par l'une des siennes et il lézarda l'autre devant, profitant de son poids d'hommes pour me caler contre le mur et empêcher tout mouvement alors que sa main faisait des ravages sur mon système nerveux. Mais si les effets de ses tortures étaient là physiquement, incontrôlables, je me décidais moralement à ne pas l'encourager d'aucune autre façon, si bien que s'il y avait le déhanchement occasionnel ou la tentative pour me dégager je ne lui laissais pas l'opportunité d'imaginer que tout cela s'avérait plus plaisant que je ne le laissais paraître.

MAXENCE – « Vous semblez beaucoup moins loquasse que d’habitude. »

Il avait l'air si fier dans le ton de sa voix que je me jurais là, à cet instant précis, que j'allais finir par buter ce fils de pute. J'avais le droit de jouer, mais jamais il n'avait été question de permettre à cet enfoiré d'inverser la tendance. Ses doigts arachnéens prirent soin de me débarrasser du dernier vêtement me séparant de lui et la direction que tout ceci prenait ne faisait qu'engager plus de détermination dans mes tentatives pour me libérer de lui. Je n'aimais vraiment pas ça.

HELLA – « Laisse-moi partir, putain. Qu'est-ce que tu fous ? »

Ignorer l'essoufflement léger de ma voix serait fortuit, mais je blâmais l'overdose sensorielle qu'il venait de me faire subir.

HELLA – « Voilà, t'as pris ton pied, tu t'es bien amusé, maintenant laisse moi parti... r »

Le i mourut dans un gémissement de douleur alors qu'il s'enfonçait d'un coup, autant que possible, sans invitation de ma part ou préparation préalable de son acte. S'il avait choisi la voie traditionnelle, encore, ça aurait pu passer mais telle n'était pas l'alternative qu'il avait choisi. Au lieu de ça, il reposait désormais alors que j'avais l'impression d'avoir été soudainement déchirée en deux. La douleur était intenable et quelques larmes de honte, de surprise, de souffrance glissèrent soudainement le long de mes joues. C'était un prix au jeu que je n'étais pas prête de payer, et qui allait lui coûter cher: si je m'amusais de lui en tout bien tout honneur, cela ne signifiait pas nécessairement que j'avais envie que cela en arrive là mais selon toute évidence il en avait décidé autrement. Je restais immobile quelques instants, sous le choc, pétrifiée par la douleur et par la réalisation de ce qu'il se passait, jusqu'à ce que finalement il ne se mette à se mouvoir et avec chaque coup de bassin tel un burin martelant mon esprit en me rappelant toute la gravité de la situation et que je ne devais en aucun cas me laisser faire. Aussi lorsque lorsque dans son roulement de bassin il se délogea malencontreusement, j'en profitais pour me débattre juste un peu plus fortement qu'auparavant et profiter du fait qu'il pestait contre sa situation pour me dégager de son empreinte et tituber en arrière, vers le bureau. Aussi loin que possible de lui, compte tenu des circonstances. La douleur rendait tout déplacement difficile, et lorsque j'atteins finalement le bureau c'est pour m'y appuyer lourdement, face à lui, refusant de le quitter des yeux une seule seconde. Ce petit enfoiré était toujours debout, peut-être un peu trop fier de lui malgré le léger souffle coupé et je ne me méfiais que plus de lui maintenant. Sûrement trouvait-il plaisant de m'avoir remise à ma place mais pour ma part, je n'étais pas décidée à lui laisser ce plaisir. Faisant fi de la tornade d'émotions qui s'emparait de moi, je relevais la tête, lissant mon top comme si je pouvais le rallonger de dix centimètres pour couvrir un peu ce que l'absence de bas dévoilait. Mais je me décidais à la jouer fière, comme si je ne ressentais rien, aussi lorsque je me suis mise à parler et à siffler haineusement les quelques mots qui suivirent, on aurait pu croire que ce n'était que mon caractère hautain habituel qui prenait la parole.

HELLA – « C'est tout? C'est tout ce que ton cerveau ultra diplomé a trouvé pour fermer ma gueule ? J'avais entendu parler du manque de vigueur des petits vieux mais je ne me serais jamais imaginer que c'était à ce point pitoyable... »

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MessageSujet: Re: Se changer les idées. [Hot] Se changer les idées. [Hot] EmptyLun 12 Mar - 22:39

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    Se faire allumer pendant un moment ça va, mais à un moment donné, la limite devait être franchie. Maxence lui en tout cas en avait marre et il ne voulait pas laisser partir la jeune étudiante. Qu’elle se joue de lui était une chose avec laquelle il était d’accord depuis qu’elle le faisait. Mais pas aujourd’hui. Non, il avait besoin de plus. Non seulement pour prouver qu’il le pouvait au vu des propos de son interlocutrice, mais surtout parce qu’il allait mal et que le sexe pouvait être un bon palliatif. Enfin, selon lui en tout cas. C’est pour cela qu’il se leva de son fauteuil pour bloquer la porte de son bureau et l’empêcher de filer. Fermant la porte à clé, il mit cette dernière dans la poche arrière de son pantalon, expliquant alors à la jeune femme qu’elle allait devoir terminer le travail. D’une façon où d’une autre, mais elle devrait le faire. Cependant, elle ne semblait pas vouloir rester en place et il décida donc de prendre les choses en main. Du coup, il fit en sorte de se retrouver le plus dénudé possible, tout comme sa partenaire. Se jouant d’elle, il en arriva au moment de lui faire comprendre qu’elle n’aurait pas dû s’arrêter.

    Il avait entendu la surprise dans les propos qu’elle avait commencé à tenir. L’effet de surprise était de toute façon son meilleur ami à l’instant même. Restant un moment sans bouger, il finit par s’amuser en lui indiquant qu’étrangement, elle semblait moins à l’aise dans cette situation que quand elle avait le dessus. Il en profitait pleinement et il entendit sa voix, un peu moins assuré qu’habituellement. Cependant, il ne se laissa pas faire plus et il fut plus sec dans ses mouvements. Cependant, un mouvement fut moins contrôlé et elle le repoussa. Surprit, il fronça les sourcils. Il ne s’était pas attendu à ce qu’elle ait autant de forcer. Serrant les dents, il savait qu’il n’avait pas été par quatre chemins et qu’elle n’avait pas du tout apprécié ce qu’il venait de se passer, mais il voulait lui faire comprendre qu’il ne se laissait pas faire aussi facilement. Surtout qu’elle semblait elle de son côté, prendre son pied en le torturant, alors lui ne voyait pas pourquoi il ne pourrait pas en faire autant. La fixant alors, il vit qu’elle tentait de faire comme si de rien n’était. Elle lissait son haut et il esquissa un sourire, avant de serrer les dents, la mâchoire et froncer les sourcils à ses propos. A nouveau, en quelques secondes, elle avait réussit à l’énerver.

    Sentant la veine sur son front battre à toute vitesse, il fixa l’étudiante qui semblait vraiment joué celle qui pouvait garder la tête haute après tout ce qui venait de se passer. Du coup, il en décida autrement. S’avançant, il se colla directement à elle. Comme elle était de dos au bureau, elle se retrouvait coincée entre le meuble et lui, ce qui était un avantage pour lui. La fixant toujours dans les yeux, il savait que s’il parlait elle pourrait retourner ses paroles contre lui, du coup il pensa plus à agir. Cependant, il ne pû s’empêcher de sourire en coin et de dire quelques mots.

    Manque de vigueur ?

    Il haussa les sourcils et sourit de plus belle, avant de l’attraper par les hanches pour la faire se retourner et se retrouver à nouveau dos à lui. La plaquant contre le bureau, il fit en sorte qu’elle ne puisse plus bouger, en entravant ses bras de ses mains et se redressant pour la surplomber et arriver à son oreille.

    Il ne faut jamais parler de choses qu’on ne connaît pas.

    Revenant en arrière, il sourit, la sentant un peu crispé ce qui lui plû, parce que ça lui prouvait qu’elle n’était plus aussi confiante qu’avant. Se rapprochant d’elle, il commença d’abord par se frotter à elle, faisant en sorte que l’entrée soit encore meilleure que précédemment et il y alla à nouveau d’un seul coup de rein. Serrant toujours les dents, il ne voulait pas lui donner la satisfaction de lâcher un seul son. Puis, commençant ses mouvements de bassins, il alla de plus en plus vite au fils des minutes, ne lui laissant aucune chance de riposter.

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