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jayan&camélia❀titreenrecherche

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MessageSujet: jayan&camélia❀titreenrecherche jayan&camélia❀titreenrecherche EmptySam 14 Jan - 10:36

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Lennon-Barckley & Pelizza Da Volpedo
À nos vies de merde, dans ce monde de merde, qui tire à sa fin. « N’attendez pas de chute à cette histoire, il n’y en a pas. Il est mort et plus rien n’a de sens pour moi. J’envisage l’avenir comme une éternité de souffrances et d’ennui. Ma lâcheté m’empêche de mettre fin à mes jours. Je continuerais à sortir, à taper, à boire et persécuter des cons... Jusqu’à ce que j’en crève... L’humanité souffre. Et je souffre avec elle. »


J'étais présentement dans ma chambre résidentielle sur le campus de Berkeley et je me sentais déjà un peu perdu. Tout s'était passé tellement vite en à peine trois mois. Je suis arrivée le treize février, dans les alentours de midi et on fut tous pris d'assaut par le conseil d'établissement de la faculté pour nous souhaiter la bienvenue et nous faire savoir les règles et le déroulement de notre intégration pour nous les petits nouveau arrivant en milieu d’année... Je venais tout droit d’Italie. Par la suite, les plus forts allèrent vagabonder sur le campus et dans les alentours, tandis que les autres (moins courageux) allèrent dormir pour se remettre de l'affreux décalage horaire. Moi, étant très peureuse et pas très aventureuse, je préféra aller me mettre au lit très tôt plutôt que de risquer de m'égarer encore plus dans cette ville inconnu. Le dimanche, on nous convia à un buffet pour le petit déjeuner. La directrice générale est revenue pour nous dire quelques mots et nous laissèrent ensuite manger la bonne bouffe « américaine ». Après ça, on put aller visiter Berkeley avec nos parrains de confrérie. Étrangement, j'avais le pressentiment qu’il allait m'oublier. On avait échangé plusieurs mails ensemble quelques mois avant mon arrivé, mais je le sentais tellement froid et tellement loin de l'évènement. Alors je m'étais imaginée le pire : il m'oublierait la première journée, il serait arrogant, etc. Finalement, j'avais vue juste. Il n'était pas venu pour me faire la visite. Deux ou trois heures après que la visite fut terminée, un jeune homme vint m'aborder pendant que je lisais dans le grand hall. C'était ce fameux parrain. Je fus très surprise qu'il ose se pointer là avec tant de retard. J'aurais pu l'envoyer valser, habituellement je l’aurais fais. Je le regardai fermement dans les yeux afin de lui faire comprendre ma peine et ma colère envers lui. Pour se faire pardonner, il me donna rendez-vous dans ce hall, demain vers treize heures trente... Bizarrement, en vrai, il avait l'air moins snob et prétentieux que lorsque je lisais ses messages électroniques. J'acceptai son invitation. Après tout, qu'est-ce que j'avais à perdre ? Les cours ne commençait que la semaine prochaine, alors j'avais encore tout mon temps pour glander. Après cette petite tournée, je préféra retourner à ma chambre pour de ma famille, oui trois mois à Berkeley et je me sentais déjà tellement seule, malgré mon frère et mes quelques amis que je comptais sur le doigt d’une main. Alors, aujourd'hui, je regardais par la fenêtre et essayais de prier pour que ça aille mieux dans les prochains jours. C'était tellement différent ici. On pouvait dire que j'avais vécut un déracinement total. Les gens n'étaient pas pareil, le langage était si différent, les coutumes ne ressemblaient pas aux nôtres, le système scolaire n'était pas identique... Tellement de chose étaient différentes et je me demandais si j'avais bien fait de venir. Je laissai un long soupir couler dans l'air et je me dis à moi-même que je devais me laisser du temps. On dit souvent que le temps arrange les choses, alors la situation me montrera si ce vieux dicton est vrai ou pas. J'étais complètement perdu dans mes pensées, lorsque j'entendis mon téléphone portable sonner sur mon lit. Je me retourna et me dirigea lentement vers le lit, puis le prit entre mes mains. C'était un message texte d'un numéro inconnu. J'appuyai sur le bouton pour l'ouvrir et me rendit compte, après lecture, que c'était mon parrain. Il me confirmait notre sortie. Je souris. Je ne me demandais pas comment il avait pu avoir mon numéro, mais bien pourquoi il m'envoyait un texto pour confirmer ? Il s'investissait plus, maintenant ? En fin de compte, peut-être qu'il n'est pas un si mauvais correspondant que ce qu'il m'avait donné l'air. Je regardai l'heure d'un rapide coup d'oeil sur mon portable. Midi. J'avais encore tout mon temps pour me préparer et me vêtir. Je fis un quart de tour pour être face à ma grande commode et l'ouvrit. Je sortis un slim et un débardeur ligné noir et gris et un chandail manche courte blanc, presque transparent. J'enfile le tout d'une vitesse rapide et me regarda dans la glace qui était accroché derrière la porte de ma chambre. Mes vêtements étaient parfaitement assortis et j'avais fière allure niveau vestimentaire. Pourtant, mes cheveux juraient avec le reste. Ma grande tignasse brune était un peu mêlé. Je soupira et prit la brosse à cheveux qui était par terre. Je me peigna rapidement et décida de finalement me faire une queue haute. Après avoir fait cette coiffure rapidement, je me regarda à nouveau et sourit. Ce n'était pas parfait, mais ça passait. J'ouvris la porte de ma chambre et me glissa dans la petite pièce qui servait de salon et de cuisine à la fois. Je me dirigea en sautillant vers le réfrigérateur et ouvrit la porte. Je me pencha et observa pendant environ cinq minutes ce que je pouvais bien manger. Je pris un reste de salade de macaronis que je m'étais fait hier soir. Une fois le petit plat dans mes mains, je referma la porte du frigo et ouvrit le tiroir à couvert qui se trouvait juste à côté pour prendre une fourchette. Je m'accota au comptoir et mangea rapidement la salade. Quelques instants après, l'assiette était vide. Je la posa dans l'évier et alla directement dans la salle de bain qui se trouvait tout près. Je me regarda une fois de plus dans la glace et fit un énorme sourire. Je retourna rapidement dans ma chambre et pris mon sac qui était accroché au dossier de ma chaise. Je repris mon téléphone qui se trouvait toujours sur mon lit et le fourra dans mon sac. Je retourna dans la pièce d'à côté et finalement, sortis de la maison. Je verrouillai derrière moi. Aislynn n'était pas là pour le moment, contrairement à moi. Une fois la porte refermée derrière moi, je marcha droit devant... Trois heure était passé et j’étais à un point d’énervement monumental, oui le rendez s’était plus que très mal passé. Il avait eu 1heures de retard, du coup je n’étais pas rester pour faire notre fameux « date » mais simplement j’attendais qu’il arrive pour pouvoir lui jeté mon verre à la figure sans bien même attendre ces explication qui aurait sans doute était bidon. Je rentrais chez moi dans une rage folle, me déshabillant dans ma chambre a fur et à mesure que j’avançais je laissais par terre ma trainé de vêtement, et rentra directement dans la douche pour me détendre, oh que oui j’en avais réellement bien besoin. Déjà un quart d’heure était passé, et je sortie essorant ma tignasse brune dégoulinante d’eau, une fois pressé et essoré, je les fis bouger pour ne pas qu’il reste figé, j’enroula une serviette autour de ma poitrine qui me descendu à peine en dessous de mon fessier. A peine sortie de la salle de bain, je fis un bon de 3 mètres et un petit cris, il ne m’avait pas entendu, le jeune homme actuellement allongé sur mon lit, et lisant MES magasines, m’avait complétement ignorer, non mais je rêve ou quoi, je pris une de mes chaussure à terre et m’empressa de lui envoyer a une vitesse phénoménal. « Non, mais qu’est-ce que tu fais là toi, tu t’es perdu peut-être ? » je repris ma petite respiration et repris calmement. « Et pour commencer pose mes affaires s’il te plait, tu n’es pas chez mémé içi alors reste tranquille et ne te met pas à l’aise. » Non mais pour qu’il se prend celui là, oui je savais bien que c’était un amie de ma soulmate, mais quand bien même, il va falloir que je lui en touche deux mots dés qu’elle sera de retour.


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MessageSujet: Re: jayan&camélia❀titreenrecherche jayan&camélia❀titreenrecherche EmptyMer 18 Jan - 15:40

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pelizza da volpedo & lennon-barckley
Heavens shake with anger and the clouds. They curse the ground and I'm screaming for an answer but the darkness blinds me now. We will not survive on misery. We will fill ourselves with love. We are searching. We are hopeful. We are anything but lost.

Il y a des jours comme ça, où le moral nous manque. Pas d’explication, juste une raison. Cette fille, mon amie avec qui j’avais dépassé la limite qu’on est censé respecter. Puis on s’applique, on s’attache encore plus et ça finit toujours mal. Il y a deux jours dans le parc de l’université, on s’était emporté plus loin que l’on aurait imaginé. Reproches, jalousies et frontières. On allait bien trop loin. On s’impliquait et sans même se rendre compte, on s’éloignait. Il y avait cet autre qui comptait. Du moins, c’est ce que j’en avais conclu lorsqu’elle n’avait fait que me reprocher mon passée. Vraona n’avait pas sa place dans la discussion. Notre relation ne datait pas d’hier et on était loin de ne pas savoir ce qu’on voulait. On avait été bien ensemble, sauf que je n’étais pas à l’époque l’homme qu’elle méritait. Quand je m’attache à une personne, je ne le fais jamais à moitié. Ce n’est pas comme si je m’attachais à tout ce qui passait. Mais il y a des personnes particulières qui font la différence, qui me plaisent ou qui se différencie simplement de la normale. Cela faisait donc une journée entière que je me retournais la question dans tous les sens. Est-ce que je devenais fou ? Les sentiments peuvent changer une personne et une relation dans toute sa splendeur. On peut connaitre le meilleur comme le pire. Il n’y a pas d’explications, pas de choses à faire pour le moment. Il fallait qu’on prenne du temps de notre côté, mettre une certaine distance. Une chose était sûre, je ne voulais pas la perdre à nouveau et me dire pendant des mois que j’ai été l’imbécile de service. Je vais donc voir d’autres personnes, retrouver ma solitude et mon envie d’écrire à nouveau. La littérature ne me suivait pas comme d’habitude. Quand je perdais le moral où que je me trouvais au milieu d’un rond-point, je n’arrivais pas à poser mes pensées sur un bout de papier. Ma plus grande envie reste indéniablement d’écrire quelque chose de tellement bon qu’il pourrait changer le cours d’une vie. Faire remettre les choses à leur place et recommencer de plus belle. J’aimerai avoir ce pouvoir qu’ont les plus grands écrivains. Ecrire des peines et quand même ne pas décevoir celui qui nous lie. Ne pas forcément s’attendre à ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants. Cendrillon n’est pas vraiment le dessin animé que je préférais. Enfin, je suis encore loin de parvenir à ce stade. Je ne suis qu’encore un étudiant de troisième année. J’ai encore besoin d’expérience, d’apprentissage et de retenue quand je couche ce que je souhaite sur le papier. Alors je me retiens et quand je retrouve l’inspiration je ne trouve plus une seconde à moi pour respirer. En me levant ce matin, j’étais partagé entre l’envie de m’y remettre, de m’accrocher à mon bureau. Mais également tenté par cette envie de sortir, de me changer d’air et d’essayer de mettre Ebony de côté. Cela faisait donc un moment qu’on ne s’était pas retrouvé avec Aislynn. Cette fille que je connais depuis quand ? Toujours pratiquement. On est tous les deux de la ville et on a grandi avec nos repères. Sans hésiter une seconde de plus, je choisis cette seconde proposition et je saute dans la douche. A mon aise, je prends le temps de me laver, de trouver de quoi porter et d’envoyer un message à mon amie. Bien sûr, elle était toujours partante pour ce genre de petit tête à tête. Pour cette raison, je passais par le vendeur de nourriture chinoise à emporter. Elle adore les nouilles chaudes avec quelques légumes comme accompagnement, je n’allais pas la décevoir surtout si elle évoquait mon humeur. Il fallait de quoi l’occuper pour ne pas qu’elle s’endorme, tellement je devais faire pitié. Enfin bon, je pense que ça allait nous faire du bien. Depuis sa rupture avec Joshua, son accident et j’en passe. On n’avait pas eu une minute pour se poser et discuter simplement. De plus, elle venait de m’indiquer sa nouvelle adresse. Elle avait donc vraiment tout changé. Elle avait pris sa vie en main et j’en étais admiratif après une telle tournure des choses. Sa rééducation, son cœur désormais à nouveau vide et j’en passe. J’aimerai être celui qui ne noie pas son moral. Alors j’essayais de me convaincre de ne pas y penser une seule et unique fois pendant cette journée. Ebony serait mise dans un coin de ma tête, dans cette boite fermée à double tour.

Bien sûr, à son habitude, Aislynn n’était pas là. Elle n’allait pas tarder selon ses dires. Pour cette raison, elle me fit partager sa cachette de clé de secours. Je n’allais pas attendre comme un psychopathe devant la porte ou encore impatient comme je suis, j’aurais été tenté de pénétrer par infraction. Avec ma chance, elle cachait un chien de garde dans cette demeure et j’allais me faire manger le slip en moins de deux secondes. Descendant de mon véhicule que je venais de garer juste devant, je fis comme elle me l’avait indiqué. Ramassant la clé qui était accroché en dessous d’un des appuis de fenêtres extérieurs. Je fis comme si de rien n’était, comme si j’étais royalement invité et que la porte s’ouvrait à moi. Il ne faisait pas un bruit à l’intérieur sauf quand je m’approchais de cet escalier. Comme si une douche coulait et que je n’étais pas totalement seul à respirer dans ce coin. Aislynn avait dû rentrer plus tôt que prévu et elle s’est dit qu’elle pourrait prendre du temps en sachant qu’elle avait partagé son secret avec moi. Je montais et suivais le bruit qu’effectuaient les gouttes sur les parois de l’habitacle. Rentrant alors dans cette chambre, je n’allais pas aller plus loin et voir s’il avait besoin qu’on lui frotte le dos. Je souriais rien qu’à la simple imagination de la scène. Je pris place alors sur le lit comme elle l’aurait fait si elle était chez moi. Attrapant ses magasines que je feuilletais, je n’allais pas être pressé. J’avais de quoi m’occuper et elle n’allait pas passer une heure à se doucher sinon je l’imagine déjà sortir comme un sharpei. Sauf que lorsque la douche s’arrêta et qu’une silhouette se pointa, je réalisais que j’étais complétement en zone inconnue. Quand cette chevelure brune s’avança à vive allure face à moi. Evitant comme je le pouvais sa chaussure, je me relevais et une émotion étrange devait se lire sur mon visage mais ça ne l’arrêtait pas là. Elle semblait si énervée que je ne pouvais pas lui en vouloir. A sa place, j’aurais réagis de la même façon. Enfin moins colérique, je pense. Mais ça lui donnait un petit air de femme indestructible qui ne veut pas qu’on trouble son territoire. « Heu .. Non. Je ne suis pas chez Aislynn, ici ? » Alors là je remettais tout en question. J’avais peut-être été dans la mauvaise maison mais cette même demeure qui partageait alors la même maison que mon amie. Etrange coïncidence en même temps. Néanmoins, ça ne me faisait pas oublié l’incompréhension de cette jeune femme. J’avais envie de me lever et de lui présenter mes excuses pour l’intrusion. Mais en même temps, vu sa tenue actuelle, j’avais plus peur qu’elle me prenne pour un violeur qu’autre chose à cet instant précis. Je ne bougeais pas alors. En place, je m’étais simplement redressé. Je l’observais. Son visage ne me disait rien, elle ne devait pas vivre ici depuis si longtemps sinon je n’aurais pas oublié cette beauté. Son visage, son sourire, elle a vraiment beaucoup de choses qui pourraient faire frémir un homme et cela sans même que j’ai eu le temps de la connaitre. « Je suis désolé pour ça. Je n’aurais pas dû mais j’ai cru que j’étais chez mon amie et elle doit avoir le même genre de magasines donc je ne me suis pas posé de question. Désolé, vraiment. Je ne voulais pas. » A cette seconde, je me relevais. Inquiet plus qu’autre chose d’avoir pénétré chez une inconnue. Je m’approchais d’elle et lui tendis la main de façon très polie. Je n’allais pas passer au – dessus de l’éducation qu’on m’a donné. « Je vais m’en aller, je pense que.. Enfin, je m’appelle Jayan et encore .. Je m’excuse, je ne suis pas ce genre de voyeur d'habitude » ajoutais – je d’un air hésitant. Son regard me tenait en figé. Je ne voulais pas mais je devais m’en aller. Après tout, si elle avait appelé la police, je serais surement en garde à vue pour irruption dans un domicile qui n’est pas le mien. Alors tant que je le pouvais encore, j’allais faire demi – tour. Faire comme si de rien n’était et laisser la journée se passer. Je devrais sans doute appeler Aislynn pour qu’elle me rende sa véritable adresse. En tout cas, si ça avait été une blague de sa part, c’est le genre de chose que je ne suis pas prête d’oublier. Même si j’aurais voulu connaitre cette inconnue dans une situation moins embarrassante.

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jayan&camélia❀titreenrecherche Empty
MessageSujet: Re: jayan&camélia❀titreenrecherche jayan&camélia❀titreenrecherche EmptySam 28 Jan - 15:52

jayan&camélia❀titreenrecherche Sanstitre11copie jayan&camélia❀titreenrecherche 71348305 jayan&camélia❀titreenrecherche Adrian-Rose-Dimitri-Chace-Crawford-Sophia-Bush-Ben-Barnes-Vampire-Academy-by-Richelle-Mead-vampire-academy-10325916-100-100
Lennon-Barckley & Pelizza Da Volpedo
À nos vies de merde, dans ce monde de merde, qui tire à sa fin. « N’attendez pas de chute à cette histoire, il n’y en a pas. Il est mort et plus rien n’a de sens pour moi. J’envisage l’avenir comme une éternité de souffrances et d’ennui. Ma lâcheté m’empêche de mettre fin à mes jours. Je continuerais à sortir, à taper, à boire et persécuter des cons... Jusqu’à ce que j’en crève... L’humanité souffre. Et je souffre avec elle. »


En général, on peut classer les gens en deux groupes : ceux qui aiment les surprises, et ceux qui les détestent. Moi je les déteste. Je n'ai jamais rencontré de chirurgien qui aimait les surprises. Parce que, en tant que chirurgien, on déteste évoluer dans l'inconnu, à moins d'être bien informé, parce que quand on ne l'est pas, des gens meurent, et les procès affluent. Je radote, je crois que je radote. D'accord, alors ce que je voulais dire, parce que j'avais vraiment quelque chose à dire, n'a rien à voir avec les surprises ou la mort, ou même le chirurgien... Ce que je voulais dire c'est que, celui qui a écrit : "Ce qu'on ignore ne peut pas nous faire mal." était le dernier des imbéciles. Parce que pour la plupart des gens que je connais, l'ignorance est le pire sentiment du monde. Depuis mon arrivé a Berkeley j’étais totalement dans l’ignorance, je veux dire quand j’étais dans mon internat j’étais populaire et tout le monde m’aimer et pourtant moi je n’aime personne, maintenant que je suis a Berkeley je suis toujours égale a moi même, je n’aime personne, et pourtant ici pas mal de gens et étudiant on essayé d’être gentil et aimable avec moi. Quelle horreur. Je n’ai pas besoin de gentillesse je suis née pour n’aimait que moi même et personne d’autre, j’y peu rien je n’arrive pas a m’intéressé a quelqu’un d’autre que moi même. Voilà à quoi je pense, je pense que tous ces étudiants ne sont que des hypocrites, tous font semblant de s’intéressé aux un aux autres, alors qu’il ne cherche seulement une raison de ne pas rester seule. Bon sang j’étais la seulement depuis 3 mois et j’avais déjà plus d’ennemie que de jours içi a mon actif, oui je suis très forte, je suis bien fière de moi. Je comptais seulement que sur 2 filles. Manon & Constance, deux filles aussi bitch que moi, Manon je l’a connaissais depuis bien longtemps donc voilà un bon soulagement de l’avoir vu dans les couloirs de l’université. Quand à Constance je l’avais donc rencontré via Manon puisque toutes les deux sont inséparables, elles sont aussi accessoirement très proche de mon frère Augusto donc forcément je me devais de l’être aussi. Mon frère Augusto est genre le seule homme en qui j’ai confiance, tous simplement parce que lui et moi somme pareil, il est tellement … lui même prétentieux et superficielle tout comme moi, mais notre amour surpasse ces petits défaut du quotidien. Bref voilà où en était ma vie maintenant, célibataire et fière de l’être et surtout voulu, accessoirement avec une belle villa partagé avec ma meilleure amie, j’avais bien une chambre dans ma confrérie mais il était inenvisageable que je dorme dans une chambre de 10 mètre carré alors que j’ai toujours vécu dans un luxe inconditionnelle. Officiellement je n’ai aucune relation sexuelle avec personne, oui je n’avais eu qu’une seule relation sexuelle dans ma vie, quel grave erreur j’aurais voulu me conservé pour l’homme qui finira sa vie avec moi, à la place je me suis donné corps et âme dans une relation basé sur le mensonge oui j’ai été naïve de couché avec un homme mariée, mais je dois bien l’avouer détruire un couple de jeune marié a été l’expérience la plus enrichissante de ma vie. Mais comme je le disais officiellement je n’ai aucune relation sexuelle apparente, mais officieusement oui officieusement, j’ai bel et bien une relation sexuelle avec un jeune homme particulièrement sexy, oui Gaulthier, CV ? Epsilon, et très sexy, c’est tous ce que j’ai besoin de savoir pour l’instant, notre relation reste secrète puisque j’ai une certaine réputation de fille pure a tenir, comment on m’appelle le pure démon. Et oui mais ce surnom me va si bien. J’étais donc face a ce jeune homme qui n’avait pas une once de politesse, rentrer chez les gens comme ça, non mais on va-t-on sérieusement ? En tout cas il allait connaître le sang chaud de la pelizza da volpedo. « Si chez Aislynn ET Camélia, tu l’a connais d’où la Aislynn ? » Je pris la batte de baseball qui se trouver derrière la porte de ma chambre pour le menacer si la réponse ne me convient pas. « Attention a ce que tu répond, si jamais t’es un violeur ou un psychopate j’appelle la police ! » Oui j’avais pas l’air fine le téléphone se trouvais de l’autre coté de la pièce et j’étais a moitié nue autant dire que ma crédibilité en prenais un sacrée coup dans la patate. J’attendais sa réaction et a mon plus grand étonnement il se retrouva dans une situation des plus gênée, alors que en théorie j’aurais du être la plus gênée des deux. Je baissai un peu ma garde, mais pas trop tout de même, s’il s’avérait vraiment être une connaissance de d’Aislynn je ne devais pas le faire fuir sous peine d’être torturer par la blonde qui me servait de meilleure amie et aussi accessoirement de colocataire. « J’espère bien que tu es désolé, qu’est-ce que tu dirais si j’étais entré dans ta chambre et que tu sortirai presque nue comme un verre devant un étranger, mais en effet tu es bien chez ton amie, c’est ma meilleure amie, et aussi colocataire tant cas faire, mais si tu le sais pas, c’est que tu ne dois pas venir souvent, et pourtant j’ai comme l’impression que tu t’es mis bien à l’aise en arrivant ! Tu t’es trompé de chambre, celle d’Aislynn et en face du palier. » il s’avança pour me serrer la main, mais j’avais une main accroché a ma batte de baseball, et l’autre tenant ma serviette sur le point de s'écroulé si je lâchais le tout. Le dilemme, lâcher ma batte, ou ma serviette, c’est sans une once d’hésitation que je déposais la batte juste à coté de moi –si jamais- et lui tendis ma main, il avait une sacrée poigne, mais je ne fis rien paraître. « Maintenant que tu es la, tu n’a cas rester, elle ne va pas tarder, surtout que maintenant que tu t’es étalé comme une larve sur mon lit, il est tout défait, il faut bien que quelqu’un le fasse, et cette personne se sera certainement pas moi. » Je souris intérieurement, quel garce, mais quel magnifique garce, je plaisantais bien sur, mais encore une fois je ne lui laissai rien paraître a voir s’il allait vraiment le faire ou pas, oui je m’étais servi de cet excuse pour ne pas rester seule.


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jayan&camélia❀titreenrecherche Empty
MessageSujet: Re: jayan&camélia❀titreenrecherche jayan&camélia❀titreenrecherche EmptyLun 30 Jan - 15:11

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pelizza da volpedo & lennon-barckley
Heavens shake with anger and the clouds. They curse the ground and I'm screaming for an answer but the darkness blinds me now. We will not survive on misery. We will fill ourselves with love. We are searching. We are hopeful. We are anything but lost.

Avant d’être un espilon confirmé, je dois avouer que le côté delta me servait de couverture. Cette époque fait partie du bon vieux temps. A ce moment-là, je me souciais de rien, ni de personne. Mon sport favori était la drague. Il n’y avait pas mieux pour se dégourdir un peu les jambes et voir de nouveaux visages. Je me créais même des groupes. D’un côté, il y avait les filles auxquelles, j’avais déjà goutté. Un peu comme des dossiers classé que je ne ressors en cas de véritable nécessite. Il y a les filles que je n’ai pas encore touchées. Celles – ci sont soit repoussante, soit compliquée. J’évitais le moindre le souci. Je calculais le risque et voyais s’il était bon à prendre. Car je ne voulais pas avoir l’étiquette du gars qui est responsable de la mort de cette fille. On ne sait jamais qui peut – être la véritable personne en face de nous. Alors, comme bon chasseur, je me méfiais. J’aimais les sentir contre moi, inhaler leurs parfums ou encore caresser leurs cheveux. J’étais le genre d’homme qui se préoccupait seulement du moment présent. Demain est une nouvelle page. Je ne voulais pas me tracasser pour mon futur, en laissant filer mon présent. Alors quand il arrivait de me réveiller à côté d’une belle inconnue, je connaissais la suite. Je faisais le moins de bruit possible. Je ramassais mes affaires et je filais en douce. Tel un gentleman. Si ma mère voyait de là – haut, toute ma mise en œuvre, je devais lui faire hérisser le peu de poils qui lui restaient. Ce n’est pas l’image de la femme qu’elle a essayé de m’inculquer. Elle attendait du respect et plus de classe pour que j’en traite davantage. Sauf qu’à cette époque, c’était trop compliqué, trop difficile à gérer. Enfin, je ne voulais pas de tracas en arrivant à peine à l’université. Je voulais profiter du temps, des filles et de mon argent. Je ne vais pas vous le cacher, j’ai de quoi dépenser dans mes poches, de quoi dépenser jusqu’à la fin de mes jours même. Mais j’ai fait une rencontre, j’ai croisé le chemin qui allait tout remettre en question, tout changer. La raison à mon changement de comportement s’appelle Vraona. Cette fille brulante à l’extérieur mais douceur à l’intérieur. Elle a complétement tout chamboulé sur son chemin. A l’instant où j’ai posé mes yeux sur elle, je ne voulais plus rien savoir. Je voulais juste savoir quel était ses envies, je voulais faire partie de quelque chose de particulier à ses yeux. Je souhaitais qu’elle s’attache à moi, non pas pour la blesser mais pour partager ce que je pouvais ressentir de mon côté. C’est à partir de cette rencontre que je me suis rangée, que j’ai décidé de respecter un peu plus le côté féminin qu’il y avait sur cette planète. Ma mère avait été la seule à qui j’aie pu autant donner, suivie de très près de ma sœur. Pour moi, c’était étrange ce sentiment, je me sentais renaitre de plus belle, revivre à travers ce que nous pouvions partager. Je suis devenu cet epsilon d’aujourd’hui. Ce mec qui connut à être fière mais qui laisse couler plus de respect. J’évite ces histoires d’un soir car elles ne m’apportent plus rien. Je continue d’avancer, sans ce désir perpétuel qu’est situé en dessous de ma ceinture. Néanmoins, ça ne m’empêche pas de trouver une femme belle ou d’avoir envie de l’approcher plus près, encore plus près de moi. J’utilise alors plus de tact pour arriver à mes fins et je préviens d’avance si je prendrais ou non jambe à mon coup. Je peux clairement dire que cette fille, je l’oublierais jamais et heureusement qu’elle a accepté que l’on garde contact. Malgré le fait que je ne puisse pas lui donner le bonheur qu’elle mérite, ça me fait plaisir de garder un œil sur elle. J’essaye qu’elle ne me remarque pas mais je n’accepterais pas si un jour il lui arriverait quelque chose de mal. Je crois même que je m’en voudrais de ne pas avoir été là..

Sauf qu’à cet instant précis, la seule chose qui me préoccupait était cette brune avec sa batte de baseball. Elle croyait vraiment que j’étais un voyeur ou un violeur. Sérieusement, j’avais la tête du méchant qu’on voit dans les films. Enfin, je n’allais pas trop envenimer la situation plus qu’elle ne l’était. Je venais en paix. « Je la connais depuis toujours. Elle a grandis dans la ville, tout comme moi. » Je le regardais et devenais de plus inquiet quand elle se rapprochait de moi, munie de son arme. En même temps, je devais réaliser que j’étais supérieur dans la situation. Je portais un pantalon et j’avais de quoi courir à mes pieds, si je voulais m’enfuir. « Je suis comme ça car ça l’a été toujours depuis qu’on a dix ans. De plus, c’est la première fois que je viens ici, enfin à l’étage. Je ne savais pas qu’il y avait une autre femme dans cette maison. Et en plus de ça, une violente. » Ajoutais – je jouant les airs inquiets. Je ne voulais pas à avoir à montrer à cette fille qu’elle risquait de se blesser avec son arme. Je m’imaginais déjà courir, poursuivit par une demoiselle complétement nue. Ne pouvant pas cacher mon sourire en coin, je faisais comme si de rien n’était, comme si je voulais juste être sympathique. Pouvant caresser sa main à la minute où elle décida d’être sur ses gardes. Je gardais mon regard plongé dans le sien. J’étais loin de m’imaginer à une telle excuse. J’étais de corvée, punition du lit. Mais il me semblerait que madame est une princesse. Je souriais tout en écoutant la fin de sa phrase et en souriant tout autant. Un petit air narquois pouvait se lire en moi mais je ne faisais lui rendre que la monnaie de sa pièce. « Tu sais, le demander gentiment, ça ne va pas t’étouffer. Tu me fais d’ailleurs pensé à quelqu’un, Gusto. On dirait lui mais en fille. » Je lui balançais ça alors qu’elle n’avait même pas idée de qui pouvait se cacher derrière cette identité. Je repris place alors sur le lit. Après tout, autant en profiter si c’est moi qui vais devoir le refaire. Je la regardais, toujours face à moi. Enveloppée dans son drap de bain, j’aurais souhaité qu’une tempête souffle et qu’elle se retrouve nue comme un ver. Elle devait en cacher des jolies choses et je devais mesurer mes pensées si je ne voulais pas me faire prendre pour un pervers. Je souriais alors, rien qu’en imaginant et continuais de faire la conversation comme si c’était normal. « Tu es nouvelle ici, car je ne t’ai jamais vu dans les parages et on peut dire que cette ville, c’est un peu ma maison. Donc. » Autant me renseigner, faire la discussion et en apprendre davantage.

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MessageSujet: Re: jayan&camélia❀titreenrecherche jayan&camélia❀titreenrecherche EmptyVen 24 Fév - 15:38


Lennon-Barckley & Pelizza Da Volpedo
À nos vies de merde, dans ce monde de merde, qui tire à sa fin. « N’attendez pas de chute à cette histoire, il n’y en a pas. Il est mort et plus rien n’a de sens pour moi. J’envisage l’avenir comme une éternité de souffrances et d’ennui. Ma lâcheté m’empêche de mettre fin à mes jours. Je continuerais à sortir, à taper, à boire et persécuter des cons... Jusqu’à ce que j’en crève... L’humanité souffre. Et je souffre avec elle. »


Quand je suis rentré à Berkeley, aucune confrérie mise à part les epsilons n’aurait pu me convenir, je n’étais pas une artiste, ni une dépressive, oui j’écris, mais cela ne voulait pas dire que je suis une artiste bien au contraire. Je suis une femme prétentieuse, qui n’aime qu’elle, je le sais parfaitement c’est un énorme défaut mais je l’assume complétement. Tellement assumé que je n’ai pratiquement aucun ami, mise à part Aislynn, mais cette fille est à part elle est comme de ma famille, je l’aime plus que tout, après ça il y a Manon et Constance. En tout cas j’avais aussi une très bonne copilote quand le soir nous avions rien à faire et qu’on voulait simplement s’amuser, je n’étais pas du genre a me taper un hommes chaque soir, bien au contraire je n’avais eu que deux hommes avec qui j’avais eu des relations sexuelle, deux hommes dont un qui était là a Berkeley, qui est-ce ? et bien c’est maintenant un homme que je déteste pratiquement, l’ennemie de la famille Pelizza Da Volpedo, j’ai nommé le monsieur Gaulthier Levy-Carcenac. Oui comment j’ai pu coucher plusieurs fois en plus avec un membre de la famille Levy-Carcenac, la plate copie de de la famille Pelizza Da Volpedo. En tout cas cette histoire était bel et bien terminée, maintenant j’étais seule et très bien comme ça. J’ai déjà été amoureuse, une fois, une seule et unique fois, j’étais dans mon pensionnat à Londres, et celui avec qui j’ai eu ma première fois était celui dont j’étais folle amoureuse à l’époque. Il m’avait aimé lui aussi, comme un dingue, mais nos destin on eu raison de nous, mes parents mon obligé à revenir en Italie pour continuer ma vie, et pour que mon père essaye de me transformer en son futur PDG de la galerie d’art. Bien que j’en avais grandement envie, d’avoir du quitter celui que j’aimais m’a brisée le cœur, comme une fille naïve j’avais naïvement pensé qu’il m’attendrait, à peine partit trois mois qu’il m’avais déjà remplacer par cette pimbèche blonde à forte poitrine. Sacré cliché hein, pour ma dernière année je lui ai fais vivre un enfer, et encore le mot enfer était tellement faible par rapport a ce que je lui avais fait subir. Ce n’est pas moi qui ai décidé d’aller à berkeley avec tout le reste de ma famille, non loin de là, mon padre pense bien entendu que la logique des choses et vu mon intelligence que c’était une obligation que je poursuive mon curcus scolaire dans la prestigieuse université de Berkeley. Au début j’étais loin mais très loin d’être convaincue, oui j’allais retrouver Gusto, Aislynn et Manon mais j’aime pas vraiment changer d’environnement, de trouver des étranger, je suis pas du genre sociable bien au contraire, je suis le genre de personne qui n’aime pas les gens, je ne les supportent pas même. Je comprend pas pourquoi je n’arrive pas à apprécier les jeunes de mon âges, même les gens tout court. Ici à Berkeley, il y a beaucoup de monde, beaucoup de monde inintéressant, et sans intérêt mais j’ai quand même su trouver quelques personne qui vaille la peine d’être connu, et qui vaille pas peine que je m’intéresse un temps soit peu à eux bien que ce ne soit absolument pas mon genre. Bien sur personne ne surpasserai celle que j’aime le plus, à savoir la soulmate, la jolie blonde qui me servait de colocataire, je n’avais jamais était plus heureusement qu’en habitant avec elle, quand j’étais dans mon pensionnat je vivais avec prés de dix filles dans la même chambre, et je les détestées toutes, sans exception, je leurs menais la vie dure comme je sais si bien le faire, oui je pouvais bien le dire Manon et Aislynn étaient les deux seules filles de berkeley que je ne m’amusais pas à rabaisser ou à humilier à tout va. Oui traitement privilégié pour les deux plus belles iotas. Prochaine étapes pour que tout aille encore mieux dans ma vie ? Réconcilier mon merveilleux frère avec la merveilleuse Manon. Challenge accepted.
Enfin pour le moment je me retrouvais à moitié nue, devant un inconnu pas si inconnu que ça qui prétendait connaître ma meilleure amie, est-ce que je devais le croire ? Non parce que moi je ne l’avais jamais vu avant alors bon, j’avais de sérieux doute quand à la sincérité de son histoire. « Ah oui t’es sur de ça, très bien alors tu m’en voudra pas si je te pose deux ou trois question, juste pour vérifier. » Je continuais d’avancé vers lui toujours munie de ma fameuse batte de baseball en bois bien dur qui pourrais faire très mal si je décidais de la lui planté en plein dans le crâne. Mais s’il répond juste, je n’aurais donc pas à faire ça. « Quel est sa couleur préférée ? Quoi hein, non mais je rêve tu viens tout le temps la et je ne te vois jamais, arrête un peu tes conneries, et comment ça violente ? tu me prend pour une psychopathe ou quoi ? Alors c’est toi qui débarques et c’est moi qui suis chez moi qui suis une violente. » Non mais alors ça s’était la meilleure, bon oui je veux bien lui accorder je peux être parfois violente, quoi que j’avais un tel classe que je faisais très souvent attention a mon comportement, je n’avais pas le droit à l’erreur, une réputation ça se construit et une fois qu’elle l’ai sa se garde, c’est plus difficile à garder cas construire, alors je l’entretiens du mieux que je peux. Bien entendu celui en face de moi avait l’air malgré tout d’un gentleman, est-ce que pour une fois je serais tombé sur un homme bien ? Non quand même j’en doute, des hommes bien a Berkeley, ce serait bien une première ça par exemple. Coup de chance pour lui, il avait bien répondu à la question, j’allais donc lentement déposer ma batte de baseball sur le coté. « J’ai pour habitude de faire mon petit chef, j’en suis désolé. Tiens alors maintenant tu prétend connaître mon frère, dis moi soit t’es suicidaire, soit t’es un petit malin. Alors comment tu connais mon frère ? » Alors il n’allait quand même pas être ami ? Mon frère n’a absolument pas d’ami, a moins que ce Jayan soit un epsilon, il n’a aucune raison de connaître mon double au masculin. En y réfléchissant bien j’étais dans un assez mauvaise position pour exigé quoi que se soit, j’avais pour simple vêtement, un drap de bain, plutôt court et plutôt léger. Je me tournais en allant vers la salle de bain, il continua de parler pendant que moi je me pressé pour me trouver un accoutrement plus présentable. A savoir un t-shirt et un shirt qui me servait potentiellement de vêtement spécial roucoulage à la maison. Question classe on repassera. « Tu a tous juste. Je suis presque sur que tu m’aurais remarqué avant sinon, je ne passe pas inaperçu. » Lui dis-je avec un air aguicheur en sortant de salle d’eau.


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MessageSujet: Re: jayan&camélia❀titreenrecherche jayan&camélia❀titreenrecherche EmptyDim 26 Fév - 16:00

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pelizza da volpedo & lennon-barckley
Heavens shake with anger and the clouds. They curse the ground and I'm screaming for an answer but the darkness blinds me now. We will not survive on misery. We will fill ourselves with love. We are searching. We are hopeful. We are anything but lost.

Avant d’être chez l’élite, j’avoue m’être cherché. Pour cette raison en arrivant à Berkeley, je devais faire un choix si je voulais me sentir intégré et aussi profiter du temps qu’on me donnait ici. Car après qu’est ce qui va se passer ? On grandit. On prend des responsabilités et on s’endurcit. On doit choisir un poste, s’acheter une maison, construire des bases solides pour le restant de la vie. Car accepter de respirer, c’est aussi prendre le risque d’un jour, tout lâcher. C’est la base même de l’existence humaine. On vit. On sourit. On pleure. Et on meurt. Clairement ça marche comme ça et on ne peut pas l’éviter. On ne peut pas se dire que sa vie est éternellement et qu’on a tout le temps pour faire ça ou dire quelque chose à cette personne. Pour cette raison là qu’on agit surement bêtement parfois. Pour cette raison, j’avais directement trouvé ma place chez les beta – delta. Je n’avais rien à envier et tout à donner. Je ne m’attachais pas aux femmes et tout le reste était déjà moins compliqué. J’étais égoiste sur les bords quand il s’agissait de couvrir mes arrières. Je l’avoue et je n’ai aucun regret avec cette époque et cet ancien moi. On grandit chacun à notre rythme et il suffit parfois d’une rencontre pour tout basculer. J’ai grandis, j’ai pris de l’assurance et surtout j’ai réalisé que je pouvais perdre n’importe qui à n’importe quel moment. D’accord, je reste peu expressif sur mes sentiments, ma façon de voir les choses. Reagan est la seule qui peut me faire changer de la tête au pied par n’importe quel acte de sa part. Si elle me dit de partir avec elle, j’hésiterais c’est certain mais je suis sûr que je finirais par faire mes valises. Je ne peux pas prendre le risque de la voir s’éloigner de moi. J’ai des principes et le fait d’avoir perdu ma mère très jeune n’a pas arrangé la situation. Je fais passer mes proches avant tout et le pire c’est que je fais passer ma sœur avant moi. Juste parce qu’elle le mérite, je ne cherche pas plus loin, pas d’explication qui tienne la route mais qui tienne éveillée debout. Elle est ma priorité depuis que ma mère nous a quitté, elle a toujours été et elle le sera éternellement. Aucune femme ne pourra me retourner contre elle, personne ne pourrait me faire dévier de mon chemin qui reste lié au sien. On ne pourra jamais m’enlever ça. Alors je peux comprendre ceux qui font passer la famille avant tout. Néanmoins, je peux comprendre ceux qui ne savent pas se piffer. Car ça n’a pas toujours été rose chez nous. Quand ma mère est décédée. J’ai eu du mal à comprendre, à vouloir l’accepter et mon père se trouvant dans le même état on ne savait pas faire bon ménage. On ne voulait pas se parler. Quand ça arrivait, tant bien que mal, on s’engueulait au point même qu’une fois, je fus à deux centimètres de lui mettre mon poing en pleine figure. Je ne pouvais plus le voir boire son verre chaque soir dans le canapé. Il restait des heures sans bouger, sans bruit comme s’il était mort - vivant. Il était là sans vraiment être près de nous. Il y avait ma sœur et je ne pouvais pas accepter tout ceci donc on est allé dans de la famille. Je l’ai protégé tandis que moi, je continuais à broyer du noir, à tourner en rond dans ces bars et à faire des rencontres d’un soir. J’étais en pleine crise d’adolescence et San Francisco n’a aucun secret pour moi. Donc je fréquentais ces zones les plus sombres, je rencontrais les mauvaises personnes et je finissais toujours par me bagarrer parce que j’avais trop bu. La moindre faille me faisait monter en vrille. Je pétais un câble sans raison et je frappais le premier qui me bousculait. Pendant ces nombreuses soirées où je me suis égaré, j’ai également eu la chance de faire quelques rencontres que je garde en changeant, en me retrouvant simplement. J’ai toujours des contacts avec Ebony. Cette fille qui à l’époque me faisait dire que les garçons manqués existaient bien quand on la regardait. Elle ne voulait pas qu’on la fasse chier et était prête à plus qu’une claque pour te faire passer l’envie d’oser imaginer plus à ces côtés. Enfin là, c’était l’ancienne demoiselle que j’ai pu connaitre car aujourd’hui, elle a fait un bout de chemin comme moi. A croire que dans le fond, on reste toujours le même mais qu’en surface on peut changer, évoluer et devenir plus fière. J’ai pris de l’assurance. Je sais ce qui est bien et mal. Cependant par moment, il m’arrive encore de ne pas savoir quelle direction prendre.

Face à cette demoiselle plus que charmante, je me rendais compte qu’elle avait un gros caractère. Munie de son arme, elle avait presque voulu me faire goûter à sa force et sa poigne. Heureusement que j’avais réussi à la calmer un minimum avant de me retrouver avec le front ouvert et pissant le sang. « Ah oui t’es sur de ça, très bien alors tu m’en voudras pas si je te pose deux ou trois question, juste pour vérifier. » Je croyais rêver. Elle doutait vraiment de mon honnêteté. Si j’avais été le méchant loup, je me serais déjà jeté à son coup. Je ne serais pas là, à attendre que mon heure arrive. Enfin bon, si ça pouvait la rassurer. J’acquiesçais simplement de la tête et ça suffisait à la lancer sur son raisonnement et à lui faire venir les questions auxquelles, je pourrais répondre ou non. Je n’ose même pas imaginé si je me trompais. Elle n’hésiterait pas pour me rué de coups. « Quel est sa couleur préférée ? Quoi hein, non mais je rêve tu viens tout le temps-là et je ne te vois jamais, arrête un peu tes conneries, et comment ça violente ? tu me prend pour une psychopathe ou quoi ? Alors c’est toi qui débarques et c’est moi qui suis chez moi qui suis une violente. » Elle me faisait rire et je devais me retenir pour ne pas faiblir. Sinon ça risquerait de l’énerver encore plus et c’est une pente sur laquelle je ne souhaite pas glisser. Alors la couleur préférée, quoi de plus facile pour moi, si Aislynn était arrivée chez les iotas. Elle s’y était imprégnée. Au point même de voir, sa vie en rouge. Seulement, je mis plus de temps à réfléchir, histoire de faire trainer le suspens. Je jouais le feu et j’en avais conscience. Néanmoins elle me tendait une perche plus longue de deux mètres. « Je pense que c’est le rouge sa couleur préférée. Pour te faire remarquer, depuis que je suis là, je n’ai pas encore essayé de te coller au sol et de t’attacher aux quatre coins du lit. Donc bon, je n’ai rien encore d’un agressif » ajoutais – je en terminant sérieusement. C’est finalement doucement et simplement qu’elle baissa les armes mais jusque quand, telle était ma question. Ce genre de femme reste toujours sur ses gardes, ça c’est l’évidence même que je pouvais en conclure sans véritablement la connaitre. Mais à l'instant où elle en ajouta davantage sur sa façon d’agir et son explication. Je ne pouvais pas le nier. Elle me laissait croire qu’en quelques lignes, elle venait de se décrire dans toute sa grandeur. Je ne pus me retenir de la comparer à une de mes connaissances. Son frère ? Elle est sérieuse là. Oh je crois que j’avais péché le mauvais poisson de ma journée. « Ton frère ? Tu es sa sœur ? Je connais Gusto depuis que je suis arrivé chez les Epsilon et il m'a jamais parlé de toi.. tu ne sais pas pourquoi ? » Pas besoin de commencer avec des grandes histoires mais au lieu de détester le jeune homme comme la plus part des hommes de l’université. Je m’étais fait ami avec l’ennemi numéro un de ceux qui se sont déjà fait piquer leurs meufs sous leur nez. Alors très vite, j’en apprenais sur la jeune femme, dévoilée sœur de ce grand nom que certains ne pas le nom. Je rigolais à l’intérieur et ne pouvais pas retenir ça pour moi tout seul. Aussi vite pensé, aussi vite craqué. Je rigolais légèrement et mettais la main devant mon visage pour ne pas vexer cette demoiselle. « Je dois avouer que tu as des atouts de taille pour te faire remarquer mais ce n’est pas ce que je regarde en premier. » Sourire sur le bout des lèvres. Je la regardais une dernière fois de haut en bas et me disait que son corps était simplement parfait. Peut – être un peu trop même. Enfin, on ne va pas se compliquer la vie. Je m’avançais alors vers elle, muni du peignoir que j’avais attrapé sur la chaise juste à côté du lit et lui tendit gentiment. Encore la preuve que je ne venais pas pour abuser d’elle. Tout dépend de quel point de vue, le mot abusé est pris par la personne car je comptais m’amuser un petit peu. « Je suis sûr que tu joues de ton physique pour obtenir ce que tu veux. Je ne sais pas pourquoi mais j’en suis persuadé. » Un commentaire qui pouvait m'aider à voir à travers ce sublime regard.


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jayan&camélia❀titreenrecherche Empty
MessageSujet: Re: jayan&camélia❀titreenrecherche jayan&camélia❀titreenrecherche EmptyVen 2 Mar - 16:36


Lennon-Barckley & Pelizza Da Volpedo
À nos vies de merde, dans ce monde de merde, qui tire à sa fin. « N’attendez pas de chute à cette histoire, il n’y en a pas. Il est mort et plus rien n’a de sens pour moi. J’envisage l’avenir comme une éternité de souffrances et d’ennui. Ma lâcheté m’empêche de mettre fin à mes jours. Je continuerais à sortir, à taper, à boire et persécuter des cons... Jusqu’à ce que j’en crève... L’humanité souffre. Et je souffre avec elle. »


La douleur peut se manifester sous différentes formes. Ça peut être un petit pincement, une légère irritation, une douleur lancinante, une douleur que l’on supporte tous les jours. Et il y a le genre de douleur que l’on ne peut pas ignorer. Une douleur si grande, qu’elle bloque tout le reste. Et fait disparaître le reste du monde. Jusqu’à ce que la seule chose à laquelle on pense, c’est à quel point on souffre ! La façon dont on gère notre douleur dépend de nous. La douleur... On l’anesthésie, on la surmonte, on l’étreint, on l’ignore... Et pour certains d’entre nous, la meilleure façon de gérer la douleur, c’est de foncer tête baissée. La douleur... Vous devez arriver à la surmonter. Espérer qu’elle disparaisse d’elle-même, espérer que la blessure qui la cause se referme. Il n’y a pas de solutions, pas de remèdes miracle. Vous devez respirer à fond et attendre qu’elle s’estompe. La plupart du temps, on peut gérer la douleur. Mais parfois, la douleur s’abat sur vous quand vous vous y attendez le moins. Elle vous attaque en traître et ne vous lâche pas ! La douleur... Vous devez juste continuer à vous battre parce que de toute façon vous ne pouvez pas l’éviter. Et la vie en fournit toujours plus. On ne peut pas dire que j’ai vécu une enfance malheureuse, je viens d’une famille plutôt aisée donc je ne suis en manque de rien, encore pire même j’avais beau ne rien demander qu’on me fournissait déjà tout, oui c’est assez dure parfois la vie de stars j’étais traité comme une princesse en étant la petite dernière, quand j’étais plus jeune, ma mère et moi étions inséparable j’étais la chouchoute forcément étant la dernière, je n’étais absolument pas proche de mes frère et sœurs. Et mon père n’avait de yeux que pour moi, mais cela à très vite changé, a 14 ans voila l’âge ou pour la première fois je me sentis proche de Gusto, cela avait commencé quand plus petite je lui avais donné un dessin que j’avais fais, lui qui habituellement était méchant, l’avais pris et m’avais même fais un sourire, mais encore une fois 14 ans voilà l’âge ou tout à changer, mauvaise fréquentation ce qui entraina ma perte, je me suis mise à fumer, et à boire, faire la fête comme les jeunes de mon âges enfaite. Mais s’était beaucoup trop pour mes parents. J’avais même fais de la garde à vue avec la Petrov-Versier, pour une sacrée connerie d’ailleurs. Nous avions volé une magnifique porshe carrera rouge dans une villa, alors que bien entendu si on le voulait qu’un mot à dire au parent et nous l’aurions eu sans problème. Mais tous cela avait été fais pour s’amuser, nous avions donc volé la voiture pour partir faire un road trip à vegas, ont avaient joué, bu et tout ce qui s’en suit, mais sur l’autoroute j’avais un peu forcé sur l’accélérateur ce qui donna suite à un contrôle de véhicule par la police qui nous suivait de prés depuis un moment apparemment. Bien entendu pas de papier, direction la garde à vue, je n’avais pas prévenue mes parents et aujourd’hui ils ne le savaient toujours pas. J’avais appelé mon frère Augusto mon ange gardien, il me fit donc sortir moi sa sœur et Manon sa meilleure amie. Et c’est quelques jours après cela que mes parents avaient décidé de m’envoyé en pension sans bien même me demander mon accord, je fus donc en pension 1 an à Londres, ou j’avais été folle amoureuse, la première et pour sur la dernière, il m’avait trahi et je ne le pardonnerai jamais au grand jamais. Depuis les relations avec ma mère sont plus que tendu, nous nous parlions que très peu et pour dire le minimum syndicale pour une mère et sa fille. Par contre s’était totalement différent avec mon père, à la fois très peu présent mais aussi très présent à la fois. Il adorait m’entendre parler d’écriture et de peinture, puisque lui-même était donc le dirigeant d’une galerie d’art, son plus grand rêve était qu’un de ces enfants le veuille aussi, et par chance cela tomba sur moi. Mon rêve serait de faire ça avec mon frère. Je pense que c’est aussi pour cela qu’on s’entend aussi bien, parce que lui aussi est très proche de notre père et vraiment pas du tout de notre mère. Sans parler de nos ennemies commun, Sandro et Francesca, oui se sont des triplés, moi je suis à part. En tout cas il ne les aime pas et moi non plus et s’était très bien comme ça. Quand je pense que Sandro me traite de catin, alors que je n’ai vraiment pas beaucoup de relation, alors que sa sœur à été engrosser d’un batard, il y a de quoi rire.

Devant Jayan qui ne me laisser absolument pas indifférente, je ne savais pas comment réagir, je laissais comme toujours mon tempérament prendre le dessus sans vraiment le modérer. Espérons simplement qu’il ne m’en tiendrait pas rigueur pour la suite…et si s’était le cas et bien tant pis je n’allais pas m’excuser d’être comme ça. « Je pense que c’est le rouge sa couleur préférée. Pour te faire remarquer, depuis que je suis là, je n’ai pas encore essayé de te coller au sol et de t’attacher aux quatre coins du lit. Donc bon, je n’ai rien encore d’un agressif » Merde bonne réponse de sa part, il ne mentait donc pas. « Encore heureux tu n’imagine même pas les ressources que j’ai en dessous de mon lit, bombe à crimogene, barre de fer et des tas d’autre armes. Mais bon puisque tu as bien répondu, je te laisse la vie sauve pour cette fois. » Et la je lui fis pour la première fois un sourire sincère, je devais bien l’avouer il me faisait rire. Nous arrivions au chose sérieuse, il connaissait bien Gusto apparament, bien entendu qu’il ne parle pas de moi, je suis arrivé cette année, mais maintenant tout le monde me connaissait et pas seulement parce que je suis la sœur du fabuleux Augusto Pelizza Da Volpedo, mais bien parce que j’ai un caractère qui fait qu’on me remarque bien comme il faut. « Ton frère ? Tu es sa sœur ? Je connais Gusto depuis que je suis arrivé chez les Epsilon et il m'a jamais parlé de toi.. tu ne sais pas pourquoi ? » Je le regardai voyant que le jeune semblait étonné, je répondis aussi vite. « Non c’est mon voisin. Ben oui puisque je te le dis, c’est normal je suis la que depuis le début du semestre, tu es bien le premier a ne pas me connaitre, j’en suis presque vexée. » Vexée ? non quand même, mais bon c’est vrai que la plupart du temps, même les personnes que je ne connaissais pas eux me connaissais rien cas mon nom de famille ce qui est généralement plutôt flatteur, j’avais un sacrée tempérament ce qui me laisser ma popularité à moi-même aussi , je n’étais pas cataloguer comme « Ah Camélia la sœur a Gusto » une chance je me suis pas tracasser à me forger un caractère pour devenir invisible, j’ai toujours l’habitude d’être sous les projecteurs c’est pas aujourd’hui que ça allait changer. « Je dois avouer que tu as des atouts de taille pour te faire remarquer mais ce n’est pas ce que je regarde en premier. » Est-ce que j’avais bien compris ? Apparemment oui, monsieur était bel et bien en train de me regarder de haut en bas voyant un peu ce que j’avais à montrer, oui je le sais je suis magnifique, j’adore être vu et regardé, mais quand même un peu de respect. Je le regardai alors fixement et même lourdement pour lui montrer son ingratitude. « Tu n’a jamais vu de femme de ta vie, pour insister lourdement sur mon corp ? Je veux bien qu’il soit parfait c’est flatteur mais un peu de tenu on en est pas encore là tout les deux. Plus tard peut-être. » Allons on ne regarde pas une Camélia comme ça, quand même je vaux bien plus que cela. « Je suis sûr que tu joues de ton physique pour obtenir ce que tu veux. Je ne sais pas pourquoi mais j’en suis persuadé. » Et bien encore un qui juge sans connaitre, je veux bien que je sois aguicheuse mais quand même, je pris son peignoir et je le poussa sur mon lit pour qu’il puisse s’assoir a mes cotés. « Et bien figure toi que non, tu me prends pour une fille complètement superficielle à ce que je vois, on se connait depuis 5 minutes et c’est tout ce que tu tire de moi ? Je n’ai pas besoin de jouer de mon physique, mon intelligence suffit. »




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MessageSujet: Re: jayan&camélia❀titreenrecherche jayan&camélia❀titreenrecherche EmptyMar 13 Mar - 20:18

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pelizza da volpedo & lennon-barckley
Heavens shake with anger and the clouds. They curse the ground and I'm screaming for an answer but the darkness blinds me now. We will not survive on misery. We will fill ourselves with love. We are searching. We are hopeful. We are anything but lost.

C'est vrai, la vie est comme ça... Tantôt un tourbillon qui nous émerveille, comme un tour de manège pendant l'enfance. Tantôt un tourbillon d'amour et d'ivresse, lorsqu'on s'endort dans les bras l'un de l'autre dans un lit trop étroit puis, qu'on prend son petit déjeuner à midi parce qu'on a fait l'amour longtemps. Tantôt un tourbillon dévastateur, un typhon violent qui cherche à nous entraîner vers le fond lorsque, pris par la tempête dans une coquille de noix, on comprend qu'on sera seul pour affronter la vague. Et que l'on a peur. Je ne peux pas dire que je n’ai jamais mis mes mains sur mon visage pour éviter cette terrible réalité. Il y a encore peu, je faisais les mêmes gestes que lorsqu’on m’a annoncé le départ de ma mère. Quand ce soir-là, papa est rentré et m’a pris sur ses genoux. Le seul soir où il a eu assez de courage pour m’adresser quelques mots. Ces paroles qui allaient me prévenir d’une absence pesante. Maman ne rentrerait pas. Je ne croiserais plus son regard et encore moi sentir ses baisers. Je n’étais qu’un enfant et pourtant j’allais me retrouver face à mes responsabilités. Ma petite sœur était encore jeune pour vraiment comprendre, pour avoir complétement profité. Un jour, elle regrettera. Je le sais. Elle aura assez de remords pour se dire que la vie n’a pas été juste. Adoptée à son plus jeune âge, elle est arrivée dans notre famille et a eu la malchance de voir notre mère nous quitter plus tôt que prévu. A cette époque où je venais tout juste d’échanger mes petites roues de vélo pour devenir un grand. A ces souvenirs où ma sœur commençait à chanter ses premières chansons. Loin de nous, loin d’aujourd’hui, j’ai dû avancer. Le choix ne se posait pas. Ma porte de secours fut un peu de courage mais aussi cette passion que j’ai développé pour la littérature. Ces bouquins qui racontent les histoires des autres et pourtant se rapproche de la nôtre. Ce sentiment qu’on a quand on tourne page après page et qu’on se rend compte qu’on veut toujours en savoir davantage. Ces moments où entre les lignes, on retrouve notre ombre, notre façon d’agir ou de penser. Je me suis évadé par ce moyen-là. J’ai lu nuit après nuit et dans tous les styles. Je n’ai fermé aucune porte. J’ai découvert des terres inconnues et je me suis fait plus que plaisir. En arrivant à Berkeley pour moi, c’était une évidence. Je voulais faire ça et pas autre chose. C’est le moyen qui m’avait tiré la tête hors de l’eau et je ne pouvais pas le nier. Encore à l’heure actuelle quand ça ne va pas et que le sommeil me perd. Je réfléchis et je me retrouve toujours face à ces deux choix. Je peux sortir dans un bar et m’assoir au comptoir. Je peux commander un whisky et regarder le monde qui m’entoure. Je peux aussi me mettre au calme chez moi, prendre de quoi m’hydrater et me concentrer sur une livre. Le lire et l’apprécier. Un jour, j’espère avoir cette place. Avoir la chance de voir mon livre sortir. Je ne sais pas sur quoi il portera. Je n’ai que des idées et aucun projet. Seulement, j’espère réellement que ça m’arrivera. J’aimerai savoir que les gens se sont retrouvés dans ce que j’ai écrit. J’aimerai qu’il ressente que la lecture peut les sauver de n’importe quelle galère. Je veux laisser une trace dans ce monde qui est loin d’être rose. Je veux qu’on se dise que j’ai fait de belles choses et que ça à aider. Je veux prouver à tous ces crétins qui n’ont pas cru en moi qu’ils ont bien été cons. Ils ne savaient pas ce qu’ils rataient. Je pourrais leur montrer ce que je vaux à l’état pur. Une pierre qui ne demande qu’à être taillée. Je ne cache plus qui je suis. Je pense que plus rien ne m’effraye si les gens prennent un plaisir à me critiquer c’est peut – être parce qu’ils m’envient secrètement. Je ne sais pas. Même si on ne peut pas tout le monde et qu’on ne peut pas être aimé de la population entière. Je me dis que ceux qui parlent, ne savent pas. Puis ça ne me tracasse pas. Je sais qui je suis et ce que je vaux. C’est simplement l’essentiel.

Face à cette jeune femme, je restais naturellement moi. « Encore heureux tu n’imagine même pas les ressources que j’ai en dessous de mon lit, bombe à crimogene, barre de fer et des tas d’autre armes. Mais bon puisque tu as bien répondu, je te laisse la vie sauve pour cette fois. » Je souriais en train de l’imaginer avec tout cet armement en dessous son oreiller. Avec son visage d’innocente jeune femme, elle m’étonnait. Enfin je ne sais pas comment expliquer aussi cette attirance que je pouvais éprouver à son égard alors que je la connaissais tout juste. Est-ce que j’étais vulnérable parce qu’une autre ne réalisait pas la chance que c’était de m’avoir ? Non certainement pas. Je ne suis pas le type de personne qui aime avoir une roue de secours. Je préfère être seul que de devoir jouer un double jeu. Je l’avoue ça n’a pas toujours été comme ça par le passé. Mais ce qui compte ce n’est pas ce qui a été mais ce qui est aujourd’hui. « Non c’est mon voisin. Ben oui puisque je te le dis, c’est normal je suis la que depuis le début du semestre, tu es bien le premier a ne pas me connaitre, j’en suis presque vexée. » En moins d’une minute, j’avais eu droit à un sourire sincère et naturel. Puis la seconde d’après, c’était cet air vexé qu’elle laissait prendre place sur son visage. Vexée. Je le plains si elle s’arrête à ça. Je préfère connaitre une personne pour ce qu’elle est que pour ce que l’on raconte d’elle. Je ne dis pas, j’avais surement dû entendre parler d’elle. Sauf que les rumeurs sont loin de faire partie de mon quotidien. J’écoute ce n’est pas pour ça que je retiens. Je préfère ma propre optique, ma propre image et je voulais qu’elle le sache. « Tu sais, ce n’est pas parce que je ne sais pas par avance qui tu es que je ne peux pas prendre le temps de l’apprendre, histoire de savoir si ça en vaut le détour. » C’était étrange cette facilité que j’avais de bien me sentir sans vraiment savoir qui elle peut être. Même si je me doutais des qualités et défauts de ce genre de type. Elle a de l’assurance mais un peu trop de modestie et je n'allais pas me cacher pour lui dire. On ne va pas par quatre chemins quand on commence une route. On avance tout droit et même s’il y a des obstacles c’est à nous d’y faire face. Alors si certaines de mes réflexions ne lui plaisent pas, j’espère que dans le fond elle saura changer d’avis. « Et bien figure toi que non, tu me prends pour une fille complètement superficielle à ce que je vois, on se connait depuis 5 minutes et c’est tout ce que tu tire de moi ? Je n’ai pas besoin de jouer de mon physique, mon intelligence suffit. » Cette réponse à notre conversation me prouvait que je me trompais. Maintenant c’était peut – être une façon pour elle d’agir histoire de se protéger. Car quand on croise pour la première fois Camélia du regard, on s’avoue charmer, c’est certain même. Néanmoins, certains penseraient plutôt à la mettre dans leurs draps que de prendre le temps de parler. A une époque, j’aurais été ce genre de gars complétement con pour réfléchir plus haut que mon pantalon. Encore aujourd’hui, je plaide coupable de ne pas être de marbre quand on me plait et elle me plait. Prenant place à mes côtés, je restais un instant silencieux et l’observais plus précisément. J’oubliais ces formes bien dessinées pour tomber dans ce regard plus que captivant. Pour au final, ajouter : « Montre-moi que ton physique n’est pas ta plus belle arme. Je suis tout ouvert à toutes éventualités. Je suis prêt à regarder qui se cache derrière cette silhouette. » Un petit défi personnel, je n’en doute pas. Je mettais de l’huile sur le feu. C’est ce qui arrive quand on pose ce type d’ultimatum mais je n’avais rien à perdre loin de là. J’avais tout à y gagner et je pense qu’elle également..



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MessageSujet: Re: jayan&camélia❀titreenrecherche jayan&camélia❀titreenrecherche EmptyMer 4 Avr - 16:21


Lennon-Barckley & Pelizza Da Volpedo
À nos vies de merde, dans ce monde de merde, qui tire à sa fin. « N’attendez pas de chute à cette histoire, il n’y en a pas. Il est mort et plus rien n’a de sens pour moi. J’envisage l’avenir comme une éternité de souffrances et d’ennui. Ma lâcheté m’empêche de mettre fin à mes jours. Je continuerais à sortir, à taper, à boire et persécuter des cons... Jusqu’à ce que j’en crève... L’humanité souffre. Et je souffre avec elle. »


D’accord, c’est vrai. Parfois même les meilleurs d’entre nous prennent des décisions irréfléchies. De mauvaises décisions. Des décisions que nous savons déjà que nous allons regretter sur le moment, à la minute, ou plus précisément le matin qui va suivre. Je veux dire peut-être pas regretter, regretter parce qu’au moins on aura été capable de prendre un risque. Mais quand même... quelque chose au fond de nous décide de faire une folie. Une chose dont on sait qu’elle va forcément se retourner contre nous. On le sait, mais on le fait quand même. Ce que je veux dire c’est... on récolte ce qu’on sème. On a ce qu’on mérite. C’est le karma et peu importe comment vous voyez sa, votre karma vous empoisonne.
Ce qui ne te tue pas te rend plus fort … enfin ca ce n’est pas moi qui le dit, c’est simplement une citation à la con qui n’étais pas vrai du tout, alors d’après elle tous ce qui ne te tue pas est censé de rendre plus fort ? Ce qui voudrait donc dire qu’a partir du moment ou dés que j’ai un coup bas, si jamais il ne me fait pas mourir j’en sortirai plus forte ou plus grande ? C’est vraiment n’importe quoi, oui je ne suis pas du tout en croyance avec ce genre de conneries. En y repensant c’est ma mère qui me racontais toutes sorte de citation ou elle ne cesser de lire mon horoscope ou quoi, elle savait que moi j’y croyais pas un mot mais elle insistée, étant donné qu’elle en était une pur croyante, le faite que ca fille n’y croit pas un brin la dévastée, je me souviens même qu’elle m’avait emmenée voir une voyante, bon dieu ce que ca avait été pathétique. En fin bref je ne croyait en rien, même pas en moi bien entendu je laissé croire que oui, mais depuis la fusillade j’avais franchement beaucoup de doute et je m’étais rendu compte de pas mal de chose alors c’est pour dire, j’avais cru a l’amour pendant un temps, mais ce temps la été révolu jusqu’au jours où j’ai rencontré Jayan, oui je n’avais pas ressentit ça pour personne depuis … vraiment pas mal de temps, même mon premier amour dont j’avais été drôlement bien attachée, je ne l’aimais pas autant que Jayan. Oui avec mon premier amour je pense que c’était surtout un véritable coup de cœur rien de bien spécial d’ailleurs pour le temps que ca a durée, oui à peu prés 4 mois dans mes souvenirs, mais pour moi quatre mois c’est déjà pas mal alors je vais pas m’en plaindre, mais pourquoi est-ce que j’ai l’impression qu’avec Jayan sa pourrait durer encore plus que quatre petit mois ? je ne sais pas, je sais vraiment pas comment exprimé mon attachement, et je pense que je m’en étais rendu compte surtout quand il avait choisis Ebony à ma place pour le bal, la j’avais reçu on peu le dire un véritable coup de couteau en plein cœur moi qui ne ressentais jamais rien je ne sais pas pourquoi je ressentais ce genre de chose avec lui, je vous en pris achever moi. Mais bon comme le dis encore une autre citation débile, la roue tourne, mais en ce qui me concerne elle avait du mal a tournée, dés que je l’apercevais, je me sentais mal, dés que je savais qu’il serait a un endroit je m’y précipité tel une gamine voulant des chocolats, rien que pour le voir, même pas pour qu’on se parle, d’ailleurs la plupart du temps il se rendait même pas compte de ma présence, oui beaucoup trop occuper avec Ebony. Je me sentais mal est-ce que ca passerai un jour ?
Ba non forcement, la vie est faite, pour faire en sorte de vous faire chier tout le temps sans vous laissez aucun répits, satané vie qui n’en loupe pas une pour vous en faire baver, ca je le savais bien et depuis le temps je m’y été habitué, oui depuis mon plus jeune âge je suis une poisseuse, mais attention pas une poisseuse style, mince j’ai loupé le bus, non une poisseuse beaucoup plus poussé genre … j’avais toute les capacités d’entré a Harvard, mais malheureusement il ne restait qu’une place de libre et elle a été réservé a peine 5 minutes avant votre appel. Oui une poisse qui pouvait vous chamboulez la vie dans le mauvais sens du terme. C’est d’ailleurs pour ca que le bal c’était avéré un vrai désastre, oui la poisse est fidèle une fois qu’elle est avec vous elle ne vous lâche plus. Enfaite dans mon malheur j’avais peut-être était chanceuse, pourquoi ? … Tout simplement parce que j’étais blessée, et peut-être qu’il demanderait de mes nouvelles ? Je ne sais pas on verra bien, en tout cas je m’étais préparé je savais qu’il devait passer, pourquoi je ne sais absolument pas, mais en tout cas il le devait. Moi cloué au lit ne pouvant pas bouger j’attendais en essayant d’étudier et de critiquer tout le monde dans ma tête, j’avais subis un sacré traumatisme dans ma tête à cause de la fusillade, une chance que ma soulmate son petit ami et même Oswald avait été là pour moi. La sonnette avait enfin retenti et j’imagine qu’il était rentré tout seule puisque je ne pouvais pas me lever tranquillement, la balle que j’avais reçue dans ma jambe m’avait laissé en souvenir un joli plâtre, un long très long plâtre. Il était à l’étage, j’imagine qu’il ne venait pas mevoir moi, mais j’entendis quand même son pas venir vers ma chambre, merde pourquoi je me sentais mal, mon dieu mon frère ne me reconnaitrais pas. Que dis-je mon frère ? PERSONNE me reconnaitrait. Voilà il était entré tout simplement.


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