Pour la première fois de sa vie depuis le décès de sa mère, Pacey-Danyaël était enfin heureux. Amoureux, sa petite amie le comblait bien plus qu’elle ne pouvait l’imaginer. Malgré leur union interdite, le jeune homme ne voulait pas perdre Viktoria. La jolie étudiante était tout pour lui : son oxygène, sa joie de vivre, son inspiration. Après lui avoir fait l’amour, l’acteur avait peur qu’elle s’en aille. Pacey se rendait bien compte qu’il n’avait pas été bon dans sa toute nouvelle activité physique. Si lui, il n’avait pas eu le temps d’éprouver le moindre plaisir, il était évident que la Sampi non plus. Enfin peut être que cela était normal, ça le Workers n’en savait rien. Mais si c’était le cas, pourquoi les gens adoraient ils tous autant coucher ? S’il n’y avait pas énormément d’autres sensations que celle de la peur… Non ce n’était pas possible. Faire l’amour ça devait être beaucoup mieux que cela. C’est juste lui qui n’avait pas su s’y prendre comme il fallait. Il avait tout gâché. Avec Viktoria dans ses bras, l’enseignant restait silencieux depuis sa récente découverte sur l’être humain. Il pensait à tout cela. Pacey était triste, fortement déçu. Il s’attendait à beaucoup plus que ça. Le fameux septième ciel, il ne l’avait pas encore trouvé. L’acteur ne s’y connaissait pas tellement en relation sexuelle. Il ne savait pas qu’il lui faudrait de la pratique avant de découvrir toutes les joies du plaisir charnel. Qu’il devait s’expérimenter pour tenir plus longtemps pendant l’acte.

Viktoria se faisait rassurante, comme toujours. L’enseignant avait trouvé sa perle rare. Pour elle tout semblait bien aller. Elle lui répéta encore à quel point elle l’aimait. Bizarrement Pacey avait du mal à la croire. Il s’était donné à elle pour la première fois, ce fut un véritable désastre et la Sampi prétendait que tout allait ? L’étudiante n’avait pas voulu se faire blessante. L’enseignant en était sûr. Cependant il ne releva pas la parole. Elle voulait savoir comment lui il se sentait.

Pacey : " – Pas très bien… Je… Je n’imaginais pas que faire l’amour était si… “

Décevant ? Pacey pensait effectivement à ce terme. Mais il n’osait pas le dire par peur que Viktoria le prenne pour elle. La jeune femme avait été parfaite avec lui. C’était lui qui n’avait pas su tenir, qui avait tout gâché de ce moment magique.

Pacey : " – Enfin que c’était si rapide. J’étais plus effrayé d’autre chose. Alors que toi, tu semblais si sereine. Comment fais-tu ? “

La réponse était simple. La Sampi était tout simplement plus expérimentée que lui. Ca faisait mal à Pacey d’imaginer que d’autres hommes avaient pu toucher sa petite amie avant lui. Il se rendit compte qu’à ce niveau là, il ne savait pas grand-chose de Viktoria. Elle connaissait tout de lui. Et lui restait dans l’ignorance la plus totale.

Pacey : " – Dis moi Viktoria, tu… Tu avais déjà dépucelé d’autres hommes avant ce soir ? “

Le garçon se faisait maladroit dans sa façon de demander les choses. Mais il avait tellement besoin de savoir. Besoin de se comparer aux autres partenaires que sa petite amie avait eu avant lui. Besoin de savoir où il en était et à quel point il avait pu être lamentable.

Pacey : " – Tu as eu combien de partenaires avant qu’on se mette ensemble ? Tu… T’avais quel âge lors de ta première expérience ? “

C’était beaucoup de questions d’un coup. Nombreuses d’entre elles, le jeune homme se les était souvent posées auparavant sans jamais oser interroger la principale concernée. Pacey avait bien évidemment peur de ses réponses. Peur d’avoir mal. Peur de se sentir encore plus inférieur qu’il ne l’était déjà. Viktoria le laissa quelques instants pour se rafraichir sa gorge. Lui aussi avait soif mais il était bien trop perturbé pour s’en rendre compte. Pacey était allongé sur le côté. Songeur, le regard dans le vide, maintenant que sa petite amie savait qu’il n’était pas extra au lit, il avait encore plus peur de la perdre. Viktoria était sa véritable première compagne. Il avait attendu près de trente ans pour découvrir les relations sexuelles. S’il venait à perdre celle à qui il venait d’offrir sa virginité, l’enseignant ne s’en remettrait surement pas. Il refuserait de la remplacer dans son cœur et dans son lit. Pacey était romantique et croyait réellement à l’âme sœur. Il était sûr que Viktoria était la sienne. Il se laisserait mourir d’amour si elle le quittait. Etant certain que cela arriverait tôt ou tard, Pacey versa déjà une larme à cette hypothèse. Il aimait réellement cette femme. Larme qu’il s’empressa de sécher lorsque la Sampi revint sur le lit. Elle était restée nue sous la chemise ouverte de l’enseignant. Ce dernier était troublé par sa beauté. Elle ne semblait pas vraiment pudique contrairement à lui. Se glissant sous la couette, elle ôta le haut de son petit ami qu’elle avait emprunté.

Pacey : " – Je t’aime aussi mon Ange… “

Viktoria lui proposa de recommencer s’il le voulait. Pacey fût très agréablement surpris par cette initiative.

Pacey : " – Tu… Tu voudrais vraiment qu’on le refasse ? “

Il souriait timidement. Il avait peur d’avoir mal compris. L’enseignant n’osait pas remettre le couvert sans confirmation de l’accord de sa bien aimée. Bref si seconde fois il devait y avoir, Pacey espérait que cela se passe mieux que sa première expérience.

Pacey angoissait tellement à l’idée de perdre sa petite amie. Pourtant jamais Viktoria n’avait fait un geste ou dit une parole qui pouvait laisser croire ça à son compagnon. Le Workers avait appris à se dénigrer fortement au fil du temps. On l’avait tant de fois rabaissé et humilié sur sa virginité que le garçon en avait terriblement souffert. De nos jours qui avait-il de si péjoratif d’attendre la bonne personne pour passer à l’acte ? Etait ce si mal que cela ? Pacey ne voulait pas ne plus savoir compter le nombre de partenaires avec qui il couchait dans sa vie. Il refusait d’être un coureur de jupons comme son père. Le fils croyait réellement à l’amour. Il était naïf d’en faire une telle importance. Si l’enseignant s’écouterait, maintenant qu’il a offert sa virginité à sa petite amie, il la demanderait en mariage. Mais la réalité était dure à encaisser. Leur amour était interdit. Ils n’étaient ensemble que depuis un mois. Ils se découvraient encore l’un l’autre. Ils avaient beau s’aimer tous les deux, pour faire durer un mariage et que cette union soit la plus merveilleuse et solide qu’il soit, l’amour ne suffisait pas.

Dans leur relation de couple, Pacey avait toujours tout fait pour chérir et mettre en avant sa petite amie. Il voulait absolument qu’elle soit heureuse dans sa vie privée comme vie professionnelle. Depuis ce soir, à présent qu’il avait pratiqué l’amour physique, l’enseignant ne faisait que se rabaisser davantage. Mettant Viktoria sur un piédestal. Elle était devenue tout pour lui. Mis à part les « je t’aime », jamais le garçon n’avait vraiment fait de déclaration d’amour à la Sampi. Encore blessé par le rejet de Brooke lorsqu’il lui avait sa flemme, Pacey avait la trouille que s’il se déclarait, Viktoria partirait elle aussi.

Le jeune Workers écoutait très attentivement sa bien aimée. La Sampi se faisait rassurante. Elle lui expliquait son point de vue sur la situation. Elle commençait à en avoir marre qu’il doute de son amour. Elle lui déclara aussi des choses dont il ne se doutait même pas un seul instant. Viktoria avait décidé de coucher avec lui car elle souhaitait qu’il soit son dernier partenaire. Elle le voulait lui et cela pour le reste de sa vie. Elle lui répondit ensuite à ses nombreuses questions. Pacey-Danyaël ne l’interrompit pas. Il écoutait très attentivement ce qu’elle avait à lui dire. Il apprit ainsi qu’elle avait perdu sa virginité à l’âge de seize ans. Décidément toutes les personnes qui étaient proches ou non de l’acteur avait tous perdu leur innocence au même âge. Ce qui avait tendance à mettre le garçon très mal à l’aise. Dire que pour lui, il lui avait fallu quasiment le double de temps pour s’adonner aux plaisirs de la chair. Le Workers apprit aussi que Viktoria avait dépucelé d’autres garçons avant. Pacey était tellement peu confiant en lui, que ça lui démangeait les lèvres de ne pas demander à sa copine de le comparer par rapport aux autres novices qu’elle a connus. Mais il ne le fit pas. Pourquoi ? Parce que la belle lui expliquait pourquoi il devait cesser de se tracasser la tête comme ça. Qu’il devait cesser de réfléchir pour tout et pour rien. Qu’il devait se laisser vivre.

Pacey : " – Excuse moi mon Amour d’être comme ça. Mais c’est que… Comment dire… Je suis beaucoup plus vieux que toi. On… On a huit ans d’écart. Ca peut encore paraître énorme à ton âge. Mais… Mais pourtant dans tes bras, je… Je ne me sens pas physiquement ni psychologiquement pour vieux que toi. Tu… En matière de couple tu as beaucoup plus de vécu. Tu as eu différentes longues comme courtes peut être histoires d’amour. De… De mon côté je ne peux pas en dire autant. Lorsque j’étais encore étudiant, j’ai eu si on peut appeler ça deux amourettes. Qui tout cumulé n’avaient pas tenu deux semaines. La première fille avait parié derrière mon dos qu’elle réussirait à me dépuceler. Et l’autre s’était servie de moi pour récupérer son mec. Aucune des deux ne m’a jamais aimé. Elles refusaient de le tenir la main en public. Et en privé le plus loin que j’ai été avec elles, c’était pour faire ça… “ Il se pencha de Viktoria pour lui effleurer à peine ses lèvres. " – Ensuite, je… J’ai eu un coup de foudre pour une fille. Elle avait à peine plus d’un an que toi. Donc à l’époque je ne dis pas le scandale que j’aurai fait si je lui avais avoué mes sentiments. D’autant plus que Charlotte avait bien d’autres préoccupations. Je l’ai rencontré à l’hôpital. Elle était patiente aux soins d’oncologie pédiatrique. Elle avait une leucémie. Je me rendais très régulièrement dans ce service là à l’époque car j’avais un projet de fin d’études à créer pour finaliser mes études de cinéma. Ma mère étant décédée de la mucoviscidose, je pris très à cœur le sujet sur les maladies graves et j’en ai fait un documentaire. Une fois diplômé, je suis devenu acteur. Mon chemin s’était séparé d’elle. Pendant des années je n’avais cessé de penser à elle. Et lorsque je suis revenu à San Francisco, j’ai eu la surprise de découvrir qu’elle était toujours vivante. Malheureusement plus pour longtemps car deux mois après sa leucémie l’a emporté d’une hémorragie interne. Après, bah… J’étais triste, sur le point de sombrer dans la dépression lorsque j’ai connu Brooke. La première fois que je l’avais vu, elle m’avait fait du rentre dedans. Elle savait déjà que j’étais encore vierge. Elle voulait me dépuceler. J’ai refusé. Puis au fils du temps, avec notre relation de collègue, on a avait à mieux se connaître. Elle me disait m’aimer. Je pensais énormément de temps avec elle. Je suis tombé amoureux d’elle mais j’ai découvert qu’elle avait été mariée et qu’elle avait couché avec mon père. Ca avait été un coup dur à supporter. Lorsque je m’étais fait à cette idée que j’allai peut être me mettre en couple avec mon ex belle mère, elle a découvert mes sentiments et m’a forcé à lui avouer ce que je ressentais. J’ai voulu l’embrasser langoureusement car j’espérais qu’elle m’aimait encore. Mais ce n’était pas le cas. Elle n’a pas répondu à mon baiser et m‘a repoussé. Et… Et encore toi… Tu… Tu es entrée dans ma vie… “

Pacey lui souriait tendrement. Il caressa le visage de sa petite amie et l’embrassa.

Pacey : " – La suite tu la connais… Maintenant tu… Tu sais tout sur mon pitoyable passé amoureux. Si je… Si j’étais encore vierge, c’était parce que je… Coucher ne m’intéressait pas. Je… Je voulais tout simplement faire l’amour à la femme dont je serais follement amoureux et qui partagerait un minimum mes sentiments. Je… En solo j’aurai pu en attendant me soulager mais je ne le faisais pas. Il m’est juste arrivé à deux ou trois occasions que je commence à me toucher. Mais jamais jusqu’où bout… Enfin tu vois ? Je voulais tout découvrir avec celle que mon cœur choisirait pour partager le reste de ma vie avec. Très vite dans notre relation j’ai compris que cette femme était toi. Je t’aime sincèrement Viktoria. Et l’idée d’un jour te perdre me terrifie… “

La base de la réussite d’un couple se tenait en deux mots : communication & confiance. Pacey refusait que son couple avec Viktoria parte vers le chemin de la défaite. Ce fut pour cette raison qu’il venait de longuement se confesser à elle. La plupart de ses aveux, il n’y avait que la Sampi qui était devenue la gardienne de ses secrets. L’acteur adorait si fort son étudiante qu’il voulut se faire âme transparente pour elle. Pour qu’elle puisse lire en lui comme dans un livre ouvert. La jeune femme connaissait à présent les plus grandes craintes de son amant. Mais aussi son plus grand souhait. Indirectement, l’enseignant fit comprendre à sa petite amie qu’il ne voulait qu’elle et personne d’autre. Que si un jour elle devait s’en aller, il en deviendrait inconsolable. Pacey était tombé fol d’amour pour son élève. Lui qui jusqu’à présent dans leur relation, il n’avait jamais réellement su ouvrir son cœur, ce soir l’acteur lui lâcha tout l’amour qu’il éprouvait pour elle. Emue par ce moment sincère et profond en émotions, Viktoria s’ouvrit à son tour. Elle fit comprendre à son chéri que jamais il ne la perdrait. Que seul la mort pouvait les séparer. Sur ces mots, Pacey posa son index sur la bouche de Viktoria. Il secouait légèrement la tête.

Pacey : " – Ne parle pas de malheur mon Ange. Tu… Tu dois d’abord faire ta vie. Nous… Ensemble nous allons faire de toi la plus grande comédienne de tous les temps. Tu réaliseras tous tes rêves. Ou du moins nous ferons tout pour que tu y arrives. Alors la mort attendra. Elle n’a pas besoin de toi pour exister. Mais moi oui. Je ne peux vivre sans toi. “

Quelques instants plus tard l’atmosphère se chauffa. Viktoria fit découvrir à Pacey que l’amour peut être beau, peut être fort. Il n’avait plus besoin de se poser aucune question. Elle réussit à le faire se contrôler un peu. Le second acte dura bien plus longtemps que le premier. Il s’était fini de façon nettement meilleure aussi. Le garçon découvrit enfin le plaisir. Dire s’il avait atteint le septième ciel, ça il ne saurait le dire. Tout ce qu’il savait, c’était qu’il avait aimé ça. Et qu’il voulait recommencer. Notre couple d’amoureux ne prit le temps que de reprendre leur respiration. Pacey serrait son étreinte et fit basculer Viktoria sur le dos. Il voulait se donner encore et toujours à elle. L’enseignant avait énormément de retard à récupérer sur le plan sexuel. Amoureux, il s’empara des lèvres de sa belle. Ses mains osaient timidement explorer le corps de la Sampi. Il voulut essayer de remettre le couvert mais il n’y arriva pas. Honteux et paniqué, le Workers vint se caller à côté de Viktoria.

Pacey : " – Excuse moi… Je… Je ne sais pas ce qu’il m’arrive. Je… Je n’y arrive plus… Je ne dois pas être normal. Je n’en sais rien. Je t’aime toujours Viktoria. Crois moi. J’ai… Je… J’ai très envie de te refaire l’amour mais mon corps ne suit pas. “

Blessé dans sa virilité, ses premières larmes se mirent à couler. Pacey n’osait plus regarder sa petite amie. Déçu, il récupéra la couverture et l’installa sur eux.

Contrairement à Mikael, Pacey ne mentait pas. Il tenait ses promesses. La preuve étant qu’il avait déjà réussi à décrocher une audition à sa petite amie. L’enseignant voulait tout ce qu’il y avait de meilleur pour Viktoria. Et si un jour la norvégienne réussirait ses rêves, l’acteur serait extrêmement fier d’elle. Plus qu’il ne l’était déjà aujourd’hui. Le Workers était l’homme le plus heureux ce soir. Il s’était offert corps et âme à la Sampi. Et en rien il ne regrettait sa décision. C’était fou tout ce que Pacey avait pu appris ces dernières heures. Et dire que la nuit ne faisait que commencer… Demain une longue journée de travail l’attendait. Peut être que pour Viktoria aussi. Il ne connaissait pas encore l’emploi du temps de la demoiselle. L’heure tournait à une vitesse impressionnante. Il se faisait déjà minuit passé. Il aurait été sage d’aller se reposer. Mais non. Notre couple interdit préférait les plaisirs de la chair au sommeil. Le garçon ne cessait de découvrir davantage sur les relations sexuelles. Là il paniquait car il voulait remettre le couvert mais il n’y arrivait pas. Viktoria le consola en lui disant que c’était normal. Que contrairement à ce qu’il pensait de lui, il était normal. Son corps avait juste besoin d’un peu de repos. En attendant, Viktoria lui apprit à la satisfaire autrement que par son entrejambe. Pacey se faisait maladroit. Il se faisait délicat. Il découvrit que les bouquins de biologie des cours secondaires étaient loin d’être complet sur leurs schémas du sexe féminin. Jamais l’acteur n’aurait imaginé se retrouver un jour dans cette position là. Et pourtant… Il n’était pas du tout prêt à faire ça. Et pourtant il le fit. L’amoureux transi voulait rendre sa compagne heureuse sur tous les points. Il faisait absolument tout ce qu’elle lui demandait sans rechigner. Pacey offrit de cette nouvelle manière un orgasme à la Sampi. Il ne s’était pas arrêté. Viktoria avait dû l’obliger à remonter pour qu’il cesse ses langoureux baisers là où on savait. La jeune femme avait besoin de reprendre son souffre. Elle voulait retrouver les lèvres de son petit ami mais Pacey tourna légèrement sa tête. Il avait honte de vouloir embrasser sa copine après ce qu’il venait de lui faire. Encore une fois la Sampi eut raison sur le Workers. L’acteur se demandait si Viktoria allait à son tour lui donner des baisers très intimes. SI elle voudrait pourquoi pas. Il aimerait bien essayer. Mais il n’osait rien lui demander.

Pacey : " – Oh zut, j’avais complètement zappé ! Je… J’avais prévu un film pour ce soir. Tu… Tu aimerais quand même le regarder ou tu préfères qu’on le visionne la prochaine fois ? Enfin… La prochaine fois que tu… Que tu viendras dormir ici… “

Pacey se mit à rougir. A présent lorsqu’il parlait de fois, il pensait à sa nouvelle et très récente vie sexuelle.

Pacey : " – C’est Titanic de James Cameron. La version longue avec Léonardo di Caprio et Kate Winslet. Il dure assez longtemps comme œuvre. Tu l’as déjà vu ? “

Après l’accord de sa petite amie, Pacey se leva du lit, cachant son intimité d’une main – bah oui le jeune homme était extrêmement pudique et même si Viktoria l’avait vu en tenue d’Adam, l’acteur n’était pas spécialement prêt à se balader à poil dans son studio – il alluma l’ordinateur. Maintenant le fond d’écran était une photo de Viktoria. Il chercha le film dans ses fichiers téléchargés et le lança. Pacey revint s’allonger à côté de sa belle. Le pauvre était encore très envie de faire l’amour. Son corps était à nouveau d’attaque. Mais l’acteur ne disait rien. Il cacha son entrejambe avec un bout de couette afin que la Sampi ne se rendre pas compte de son désir ardent ainsi que de sa frustration. Ils regardèrent le film.