Sujet: Dead Memories ¤{ hot }¤ ||| Viktoria ♥ Lun 16 Jan - 19:11
Samedi onze février deux mille douze, aujourd’hui cela aurait fait trois mois que Pacey sortait avec Viktoria. Cela aurait dû être un trimestre intense en bonheur et en émotions. Riches en émotions, certes, il n’y avait aucun doute. Malheureusement depuis un mois le couple interdit de Berkeley California University n’existait plus. Le mois passé l’enseignant s’était vu dans l’obligation de rompre avec sa compagne. Ordre de ses supérieurs s’il ne voulait pas être définitivement viré du campus. C’était complètement ridicule car la Sampi n’était même plus une de ses étudiantes. La semaine précédente la rupture, le Workers avait réussi à la faire intégrer dans la filière théâtre qui était le choix premier de la jeune femme. Non pas qu’elle n’aimait pas l’histoire du cinéma mais bon ce n’était pas son rêve de devenir actrice sur grand écran. Elle ce qui la faisait vibrer était les planches et les rideaux. Trois coups de bâtons au sol, le grand tissu d’ameublement s’ouvrit laissant passer les lumières des projecteurs. Devant la scène, dans le silence et le noir le plus complet, les centaines voire des milliers de spectateurs qui applaudissaient… C’était ça la grande ambition de Viktoria. Et non pas une équipe de filmage et des caméras. Les supérieurs de Pacey-Danyaël s’en contrefichaient. Le jeune enseignant en herbe avait été surpris dans les bras de sa petite amie au moment où il était encore son professeur. Il apprenait encore son nouveau métier. Pacey devait être mis à l’épreuve. Mis à l’écart de ses classes, il dût prendre des congés sans solde. Attendant le verdict de l’académie sur sa capacité ou non à enseigner réellement. Un mois que le Workers était sans emploi et qu’il ne gagnait pas un centime. Pour rembourser ses dettes il dût revendre une grande partie de ses meubles. La chambre que Brooke l’avait aidé à acheter, aujourd’hui il ne restait plus que le matelas au sol. Le lit, la table de chevet et l’armoire où il rangeait des vêtements, le garçon avait dû s’en séparer. Grâce à l’argent qu’il avait récolté de ses ventes, il avait pu rembourser le reste de ce qu’il devait à sa collègue. Il put payer deux traites de la bague de Viktoria aussi. Il lui en restait encore quatre pour être tranquille de ses endettements matériels. Concernant le loyer, l’acteur avait pu avec bien du mal convaincre son propriétaire de prendre le mois impayé sur la caution. Si Pacey ne retrouvait pas rapidement un emploi, dans un mois il serait sans domicile. Mais bon là le jeune homme ne préférait pas y penser. Il avait déjà bien des soucis avec sa santé qui se dégradait jour après jour. Depuis qu’il avait perdu Viktoria, Pacey avait maigri de six kilogrammes. Lui qui n’était déjà pas enveloppé à l’avance, son indice de masse corporelle était en chute libre. Pour un mètre quatre-vingt-cinq, il ne pesait plus que soixante-quatre kilogrammes. Torse nu, on voyait ses côtes. Ses membres s’étaient affinés. Il avait perdu de la graisse mais aussi du membre. L’acteur ne bougeait pour ainsi plus de chez lui. Ce soir, c’était sa toute première sortie et encore parce que son père ne lui laissait pas le choix. Alcide s’inquiétait pour son fils. Il sombrait fortement dans la dépression et ne semblait même plus vouloir vivre. Le psychologue voulait que son gamin prenne l’air et surtout qu’il fasse des rencontres. Il devait oublier sa peine d’amour. Pacey avait beau lui supplier de le laisser tranquille, qu’il ne voulait pas effacer Viktoria de sa mémoire ni de son cœur, il n’eut pas le choix. Le père et le fils se rendirent dans un bar. Alcide avait payé les consommations. L’acteur avait énormément de mal à boire son verre. Non pas parce c’était de l’alcool. C’était sa maladie qui s’aggravait. Il ne savait presque plus rien avaler. Côté alimentation il s’était rendu à prendre que de la purée et viande mixée qu’il mélangeait dedans sinon ça ne passait pas. Il faisait difficilement un tout petit repas tous les deux à trois jours. Depuis son célibat, il n’avait plus faim. Il ne dormait presque plus. Ses journées comme ses nuits, il les passait à pleurer sur son matelas. Lorsqu’il était motivé, il lisait un peu le livre que Viktoria lui avait donné. Ce bouquin était en fait tout ce qu’il fallait savoir sur le sexe comme un cours sur les rapports intimes. En théorie, le professeur en avait appris beaucoup mais bon sans aucune pratique cela ne lui servait strictement à rien. Viktoria l’avait complètement détruit sur ce point de vue là. Elle qui avait été la première et unique partenaire de Pacey, elle lui en avait tellement dit sur sa façon pitoyable de coucher que le garçon avait perdu la totalement de sa fierté masculine et de sa confiance en soi. Il ne faisait aucun effort au lit. Il n’avait jamais rendu la Sampi heureuse sexuellement parlant. Maintenant qu’il avait de l’expérience, il pouvait aller trouver des femmes de son âge pour en moins tenter d’en satisfaire une mais il avait du travail à faire pour y arriver. Qu’il pouvait aller coucher avec Brooke, qu’elle voudrait peut être de lui maintenant qu’il n’était plus vierge. Mais bon avec tout ce que Viktoria l’avait rabaissé, même si Pacey aurait encore eu des sentiments pour sa collègue, jamais il n’était la voir pour ça. Il savait son père coureur de jupons et surement très doué au lit, il ne voulait pas que la blonde le rabaisse aussi sur ses minables performances sexuelles. Il refusait d’être comparé à son père. Le nouveau partenaire de l’acteur au lit était uniquement la lecture de son nouveau livre. Mais il avait du mal à lire. Chaque fois il pensait à Viktoria et tout ce qu’elle lui avait dit. Lorsqu’il arrivait à finir un chapitre et qu’il réussissait à s’endormir un peu après avoir encore bien pleuré, il rêvait que son ex petite amie le rejoigne sous la couette et qu’ils fassent l’amour. Pacey se réveillait beaucoup avec l’entrejambe tendu. En manque de relations intimes, il était de plus en plus frustré. Mais il ne faisait rien pour arranger les choses mis à part prendre des douches froides. Le garçon ne voulait pas que son poignet accompagne son partenaire de lit. Il était bien trop malheureux et en mauvaise santé pour ça.
Au bar, alors que le Workers entamait seulement son verre, au loin il vit Viktoria. Son cœur ne fit qu’un bond. Pacey était encore très amoureux d’elle. Mais lorsqu’il la vit dans les bras d’un autre garçon et qu’elle l’embrassait, son cœur se brisa davantage. Il aurait voulu être heureux pour elle. Elle s’était trouvé un mec de son âge. Mais l’enseignant ne supportait pas de la voir avec un autre. Ce fut les yeux embués de larmes et un regard échangé avec la Sampi que Pacey s’excusa et qu’il partit du pub pour retourner chez lui. Plus d’une heure plus tard, le garçon était dans son lit. Pour essayer de se changer les idées, il avait mis un épisode de Stars Wars. Mais rien n’y faisait. Il avait toujours Viktoria en tête. Pacey se faisait lamentable. Le visage humide et les yeux rougis de larmes, il était des plus fatigués. De temps en temps il avait tendance à fermer les yeux. Mais au lieu de faire son rêve préféré, celui où la Sampi le rejoignait, il se la remémorait sans cesse dans les bras de l’autre.
Dernière édition par Pacey-Danyaël Stenfler le Mar 17 Jan - 0:30, édité 2 fois
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Sujet: Re: Dead Memories ¤{ hot }¤ ||| Viktoria ♥ Lun 16 Jan - 21:51
Un mois. Un putain de mois. Un mois de désordre, un mois de pleurs et de questionnement. Tout était sombre autours de moi. Et bien que parfois, des parcelles de soleil viennent s’éclairer au bon soin de mes amis et de mon jumeau, le soir, les ténèbres me replongeaient dans une insomnie mortelle. Je mourais chaque soir de ne pas être dans les bras de Pacey, de ne plus partager de souvenir avec lui, sinon ceux que nous avions eu durant près de deux mois. L’album de photo totalement détruit était toujours sur ma table de chevet, ainsi que le mouton de Callum. Cette peluche que je lui avais achetée pour noël et qu’il m’avait prêté le temps de mon chagrin. Dans mes oreilles, sans cesse, mon ipod qui jouait les mêmes chansons. Pour annihiler le silence qui se faisait pesant. J’étais souvent seule à l’appartement. Eirik habitait quasi exclusivement chez Payson, Callum avait un horaire de nuit avec les pompiers ou l’hôpital et Felina avait tout simplement disparu de la carte. Enfin, je ne la croisais quasi jamais. Du coup, bien souvent seule les soirs, je me plongeais dans le plus d’activité possible pour oublier ce sentiment de solitude qui était devenue mon compagnon d’âme depuis que Pacey m’avait largué. Lorsque je n’avais pas le nez plongée dans les livres, je passais mon temps avec Axel à préparer mon audition pour Wicked que Pacey m’avait obtenue. Je passais aussi un max de temps dans les locaux de théâtre pour certaines pratiques. Sinon, je sortais dans les bars. Me saouler jusqu’à oublier était devenu un moyen de survivre à cette douleur quotidienne. Noah et Sasha, que j’avais rencontré un soir, me faisaient découvrir depuis près de quatre semaines les joies d’un moment sans soucis et hors de tous problèmes avec des drogues que je n’avais jamais essayer. J’étais loin des drogues dures, ils le savaient, mais je savais aussi qu’ils s’amusaient à me voir plonger dans leur monde de junkie. La petite bourgeoise au milieu d’eux détonnait beaucoup, j’en étais consciente. Mais tant qu’ils me faisaient sentir autre choses que de la douleur, qu’il me faisaient rire et que Noah m’emmenait dans sa couche une fois de temps en temps, je n’avais rien a dire. Exutoire à mes frustrations sexuelles, Noah et moi entretenions cette relation de baise sans sentiment. Bien souvent plus high qu’autre chose lorsque tout se produisait, je vivais un instant de plainitude dans son lit qui me donnait la force de porter un masque devant Eirik et m’empêchait de l’appeler a tout heure du jour ou de la nuit. Payson vivait une plus grosse crise que moi, et je n’étais pas assez égoïste pour ne pas le voir. Et le matin, lorsque je retournais chez moi pour prendre ma douche et faire mes cours, je pensais tristement à Pacey, en me disant que j’exécutais ce qu’il voulait. Je voyais des garçons de mon âge. Et est-ce que ça m’apportait le bonheur qu’il croyait que j’aurais? Absolument pas.
Tournant en rond dans mon appart, je soupirai. Callum venait de m’appeler pour annuler notre soirée puisqu’il devait faire des heures supplémentaires à l’hopital. Je mangeai donc le repas que j’avais fait pour nous deux. Moi qui ne mangeait que lorsqu’on m’y obligeait, j’avais voulu faire plaisir a mon ami anglais en lui cuisinant un met typique de son pays natal. Pour éviter le gaspille, je mangeai ma part que j’avais fait volontairement plus petite. Il était fou de voir comment une absence pouvait remplir une grosse partie de votre estomac et vous couper totalement l’appétit. Enfin bref. Je textai à Callum pour lui dire que des fish & chip l’attendrait à son retour. Je regardai l’heure. Il commençait à se faire tard. Mais je n’avais pas sommeil. Meilleure chose à faire dans ce temps là? Sortir. J’allai dénicher une robe courte, sexy mais pas trop vulgaire et je mis de la musique, histoire d’être dans l’ambiance. Tout en dansant et en chantant, je me préparai. Rihana. Encore une fois. Chaque fois que je me préparais. Pour oublier. «I just wanna dance, I don’t realy caaaare» Chantais-je en me promenant dans l’appartement en sous-vêtement pour trouver mon portable. J’envoyais un texto à Noah, pour savoir s’il était libre et avait envie de finir la soirée avec moi. Sa réponse fut négative, il avait déjà d’autre plan. Mais m’annonça que si je voulais, je pouvais passer aller chercher de la came chez lui. Je souris, un peu déçue, et je retournai à ma préparation. Une heure plus tard, j’étais maquillée, coiffée et dans le bus pour le bar. J’avais dans ma bourse quelques petites pilules que j’avais été cherché chez mon ami de la déchéance.
Ce soir je n’avais qu’un but; danser, boire et l’oublier. Le reste, on verra comment la soirée se déroule. Après avoir fait la file d’attente dans le froid de janvier, j’allai directement me réchauffer au bar avec un shooté, puis un autre, et un troisième. Puis, la piste fut a moi. Sortir seule, c’était moche. Mais il y avait une chose de bien, on pouvait finir chez n’importe qui sans avoir a se justifié avec ses amies. Ce pourquoi, au fil de heures, je dansai avec divers garçon, me fis payer quelque verres et réussi finalement à tout oublier de la vie pour être totalement saoule et dans mon univers de musique. Je dansai vers un type plutôt mignon et tout s’enlignait pour que ce soit lui mon encas ce soir. Ses mains sur mes hanches, les miennes dans sa nuque, nous nous draguions du regard. Lorsqu’il me demanda d’un souffle si j’avais de quoi s’éclater je souris malicieusement. Il comprit. Je sortis subtilement d’une poche de ma robe un sachet et j’avalai une pilule devant lui. Puis, continuant ma drague, je plaçai une seconde sur ma langue en lui lançant un sourire complice. Il compris le message et vint m’embrasser goulument. Nos langues dansèrent et il vola la drogue pour en prendre a son tour. Notre baiser s’éternisa et nous continuâmes à danser un moment, le temps que le tout fait son effet. La tête me tournait alors que soudain le monde sembla ralentir pour unir moi et l’inconnu dans une transe qui serait notre à jamais. Ses mains étaient maintenant sur mes fesses et je n’en avait cure, j’allai de nouveau trouver ses lèvres dans un baiser envieux. Je lui soufflai la demande d’aller nous chercher quelque chose à boire alors que j’allai a la salle de bain. Me prenant par la main il me fit sortir de la foule de danseur. Trouvant un mur non loin du bar et des toilettes, il alla m’y adossé en me souriant légèrement puis retourna m’embrasser. Moins vu qu’en pleine piste de danse nous échangeâmes un autre baiser langoureux qui me fit tourner la tête. Mes mains parcouraient son corps alors que les siennes frôlaient mon entrejambe avide. Je relevai la tête pour aller lui mordre la lèvre avec envie et lui proposer de continuer le tout chez lui lorsque mes yeux croisèrent celle de la personne que je m’attendais le moins à voir dans un bar; Pacey. Mon cœur fit un bon alors que je figeais totalement, le cœur serré. Alors qu’il détournait le regard, je fis de même, laissant l’inconnu embrasser mon décolleté. J’étais totalement tétanisé et bouleversé de le voir. Un mois sans le croisée et le voilà à me voir en train d’être intime avec un autre. Je me sentais horriblement mal. J’aimais Pacey. Et toute cette tentative ce soir pour l’oubliée était totalement vaine. Je fini par souffler a mon partenaire de la soirée de m’attendre ici, que j’irai au toilettes et qu’ensuite, j’allais le suivre jusqu’à sa chambre. Il me fit un regard goulument alors que sa main se plaça sur mon intimité légèrement refroidis par la vision de Pacey. Je lui fis un faux sourire et je me dirigeai vers les toilettes, Non sans regarder là où j’avais vu Pacey. Mais je le voyais partir avec Alcide aux talons. Dans la salle de bain, je me passai de l’eau dans le visage pour me ressaisir et m’empêcher de pleurer. La drogue faisant son effet j’étais à la fois endolorie par le visage que Pacey me fit la seconde où nous nous étions regardés que totalement déconnectée de la réalité. Putain, j’étais en train de faire un mauvais rêve. Reprendre toi Viktoria. Va prendre deux trois verres et fini dans le lit de ce type sans nom. Oublie le Viktoria. Il ne t’aime pas. Il ne veut plus de toi. Retournant dans la salle, sexuellement frustré par le refus que Pacey m’avait fait dans son bureau la dernière fois, je cherchai du regard mon rancard du soir pour constater qu’il était déjà en train de caresser une autre fille dans un coin sombre. S’il espérait terminer au lit avec deux filles ce soir, il se trompait sur mon cas. Rigolant amèrement, je posai un juron en norvégien et j’allai au bar. Un dernier verre et je retourne à la maison. Cette soirée était totalement gâcher. De plus, la douche froide que j’avais reçue en voyant mon ex avait enlevé tout le plaisir que m’avait procuré ma drogue. Maugréant, je payai deux shooter que je callai sans attendre. Je foulai dans ma poche pour trouver les dernier billets qu’il me restait en liquide lorsqu’avec je pris le sachet contenant ma dernière parcelle de drogue. Je commandai un verre puis pendant que le barman préparait mon cocktail, je pris en douce la drogue que j’avalais. Mon verre en main, je regardai le bar. Le type au loin me fit signe de le suivre, une autre fille au bras. D’un doigt bien particulier, je l’envoyai se faire balader. Il haussa les épaules et partit. Encore plus sexuellement frustré, je callai mon verre en colère.
Je sorti du bar immédiatement après, me dirigeant vers l’arrêt de bus pour retourner à l’appartement. Lorsque devant moi, la ligne de bus pour se rendre chez Pacey embarquait des passagers. Je ne sais pas si c’est le fait que j’ai consommé de la drogue trop rapidement, les nombreux verres qui commençaient à vraiment faire leur effet, le fait de l’amour revu, l’histoire avec l’inconnu ou un mélange de toute cela, mais vingt minutes plus tard, je titubais jusqu’à la porte de son appartement. Dans notre rupture, j’avais oublié de lui rendre les clés de son appartement. Totalement stoned et saoule, je me laissai guider par la douleur qui me comblait le cœur. Je voulais le revoir. Qu’il me voit arriver et qu’il me fasse l’amour. J’aimais Pacey, et j’en étais toujours aussi amoureuse. Ce n’était pas des inconnus ou Noah que je voulais, c’était lui. Que lui. J’entrai alors dans son appartement le plus silencieusement que mon état le pouvant. Retirant mes talons hauts et mon manteau, je regardais la place quasiment vide et, l’espace d’une seconde, je me demandai s’il n’avait pas déménager et que j’entrais dans un appartement désert. Mais qu’est-ce qui se passait ici par tous les dieux? La seule chose qui me donna la confirmation d’une présence, ce fut celle d’un bruit. D’un film. J’essayais de découvrir lequel. J’entendis la chanson thème et je souris. Star Wars. C’était bon ce film. Je titubai donc à la chambre de Pacey que je vis assoupis devant le film. Il n’y avait pas assez de lumière pour que je constate sa nouvelle condition physique. Je souris donc, amoureuse, le cœur battant comme jamais. La tête dans les vapes, je m’agenouillai donc sur son lit et lentement j’allai caresser son visage. Il était beau. Comme d’habitude. Lorsque je vis ses pupilles s’entrouvrir légèrement, je lui fis un sourire. «C’est moi Pacey, c’est Viktoria» Je ne sais pas ce que je faisais. J’agissais par instinct, car ma conscience était engourdie par la boisson et la consommation. Ce qui était en soit une bonne chose. Car sinon, jamais je ne serais venu ici, et jamais je n’aurais posé mes lèvres sur les siennes avec désir et envie. Je perdis tout contact avec la réalité lorsque je sentis sa langue trouver la mienne. M’allongeant sur lui, j’embrassai passionnément mon amour perdue et une chose était certaine; j’étais heureuse en ce moment.
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Sujet: Re: Dead Memories ¤{ hot }¤ ||| Viktoria ♥ Mar 17 Jan - 0:18
Devant l’un des épisodes de Stars Wars, Pacey avait du mal à garder les yeux ouverts. Le film était commencé depuis à peine une demie heure, qu’exténué par les sanglots, le jeune homme commença à s’endormir. Les images de la soirée au bar s’éloignèrent. Vite remplacés par l’arrivée de Viktoria dans son studio. C’était la première fois qu’elle venait chez lui depuis qu’il avait perdu une bonne partie de ses meubles. Mais là ce soir elle s’en fichait un peu. Tout ce qu’elle voulait était retrouver le chemin de vers son amant. Le Workers et la Sampi s’étaient remis ensemble. Viktoria s’installa sur le lit de Pacey et lui annonça sa venue : « - C’est moi Pacey, c’est Viktoria. » Le garçon qui commençait à peine à dormir sortit de ses songes. Il entrouvrit les yeux vers elle. Le film éclairait à peine légèrement le studio. Mais Pacey reconnut sa petite amie. Sa belle, sa douce. Il posa timidement sa main sur celle de sa chérie qui caressait sa joue. Il lui sourit amoureusement.
Pacey lui murmura : " – Ma Princesse, t’es revenue… “
Il répondit avec une douceur inégalité au baiser de Viktoria. Baiser tendre devenu langoureux puis passionné. Leurs langues valsaient ensemble inlassablement. L’étudiante vint s’allonger sur son compagnon qui avait tiré la couette le temps qu’elle le rejoigne dans le lit. L’envie crampant en flèche chez les deux partenaires, ils commencèrent à se caresser mutuellement. Pour le moment les mains ne faisaient que se promener dans le dos, le cou, les cheveux, sur le torse, les cuisses. Pacey se croyait encore dans son rêve. Il était à mille lieux de penser que ce qu’il vivait en ce moment était réel. Non pas après tout ce que Viktoria lui avait dit dans son bureau il y a trois semaines. Pas après l’avoir dénigré au plus haut point sur le plan intime. Elle avait bien fini son discours par : « - Adieu Pacey. » avant de claquer la porte en sortant. Non elle ne voulait plus avoir à faire à lui. A ses yeux l’enseignant n’était qu’un salaud et un tarée. Elle regrettait surement de l’avoir rencontré et pire encore d’être sortie avec lui. Viktoria était entrain de déboutonner le haut de son pyjama à carreaux, découvrant son torse imberbe et pâle. Sachant qu’il avait encore du mal à ouvrir la robe courte qu’elle portait présentement, la Sampi lui facilita la tache en ouvrant la fermeture à glissière qui se situait dans son dos. Pacey lui ôta son habit. Elle était en sous vêtements. A travers son pantalon de pyjama, le jeune homme ne pouvait cacher l’envie qui montait. Il ne portait pas de boxer en dessous. Viktoria étant assis sur lui ne pouvait que sentir pleinement les effets qu’elle lui prodiguait. Ce fut lorsque la Sampi commença à lui baisser son bas et à caresser librement l’entrejambe du Workers que Pacey comprit qu’il ne rêvait pas. Il se redressa dans son lit pour faire face à Viktoria. Déboussolé il ne fit que la fixer sans dire un mot. Il était tellement heureux qu’il avait du mal à croire qu’elle était réellement là. Elle lui souriait tendrement puis baissa les yeux sur ce qu’elle faisait. Le Workers suivit son regard. Il se mit aussitôt à rougir. Lui qui avait toujours tout fait pour cacher sa nudité afin qu’elle ne se moque pas de lui, il était là nu comme un vers.
Pacey se mit à paniquer : " – Viktoria, je… Tu… “
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Sujet: Re: Dead Memories ¤{ hot }¤ ||| Viktoria ♥ Mar 17 Jan - 0:59
Je vivais le buzz le plus divin que j’avais vécu. Complètement déchiré, je ne ressentais plus rien de la réalité et je ne me concentrais que sur une chose, Pacey. Le gout de ses lèvres semblait s’être redoublé de saveur depuis notre rupture. Je ne savais mais vraiment ce que j’étais en train de faire, et seul mon instinct me guidait. Alors lorsque celui qui m’avait repoussé prolongea mon baiser et l’intensifia, je perdis pied et je me laissai guider sous ses doigts. Le gout de ses lèvres, ses doigts sur ma peau, son odeur. La drogue amplifiait toutes ces sensations par dix voire cent. Déjà excité par l’inconnu du bar, ma libido explosait comme jamais. Mais même ivre, je savais que je ne pouvais pas être aussi sauvage que je le voulais. Il pourrait prendre peur et réaliser ce qui était en train de se passer. Je voulais qu’il se laisse prendre dans la magie du moment et que tout comme moi sa tête stop ne serait-ce que deux seconde. Je décidai donc de faire durer un long moment nos baisers passionné et désireux. L’atmosphère de l’appartement vide s’échauffait à une proportion incroyable et les mains baladeuses de Pacey sur moi me rendirent totalement digue. Chaque parcelle de corps avait le droit a la retrouvaille de l’autre et de voir Pacey si processif envers mon corps ne me donnait qu’encore plus envie de lui. Rien n’avait plus d’importance. Il n’y avait que lui et moi dans une union irréellement parfaite. Des retrouvailles nocturnes qui n’auraient jamais dû se passer. Mais bientôt, les caresses et les baisers ne comblèrent plus assez mon appétit vorace. La chemise du pyjama de Pacey vola assez rapidement dans la pièce alors que mes doigts fins caressèrent cette terre connue. J’aurais du remarquer un changement, mais j’étais beaucoup trop partit dans l’alcool et dans mon désir pour porter attention à la maigreur de Pacey. Tout ce qui comptait présentement, c’est qu’il détachait ma robe. Lui plaquant un suçon dans le cou, je souris totalement aux anges; j’avais gagnée. Nous étions très loin du refus de son bureau. Voyant sa difficulté et refusant qu’il me claque une crise de panique dans ce moment si charnel, je l’aidai à se départir de ce bout de tissus. Ses mains sur ma peau me firent échapper un gémissement que j’allai étouffer dans un baiser langoureux. Assise en califourchon sur son entrejambe, je ne pouvais que devenir encore plus cinglée en le sentant aussi excité que je ne pouvais l’être. Putain, j’avais tellement envie de lui. J’en crevais. C’était la première fois que le sexe avec Pacey était aussi charnel. Avec lui c’était du sexe romantique et amoureux, non pas que je m’en plaigne bien au contraire. Mais aujourd’hui, notre retrouvaille au lit signifiais une union de désespoir, une union d’attente, une union inattendue, une union, donc, beaucoup plus instinctive. Et franchement, ce n’était pas pour me déplaire. Je fini par retirer le boxer de Pacey pour m’occupée de son intimité de ma main. Sa réaction fut immédiate. C’était la première fois que notre acte se passait en dehors des couvertures, et j’avais beau vouloir prévenir une crise de sa part, il devait être surpris. Mais j’étais trop stoned et remplis d’un désir profond pour arrêter en ce moment. Ce pourquoi, lorsqu’il commença à bredouillée, j’accélérai mon entreprise.«Shhhh» soufflais-je en l’embrassant pour qu’il se couche sur le dos. «Ne gâche pas le moment. Tait-toi et profite.» Et avant qu’il ne puisse parler je retournai l’embrasser un peu plus. Je stopai alors ma main pour me redressée et retirer mon soutien-gorge dans un moment plutôt érotique qui ne sembla pas lui laisser indifférent. Il tenta d’émettre une plainte lorsque ma bouche commença sa décente vers son entrejambe. Mais lorsque je m’occupai de lui, ses plaintes se transformèrent en gémissement. C’était la première fois que je faisais découvrir à Pacey la fellation, et il n’y sembla pas indifférent. Au bout de quelques minutes le tout fut terminé. Je le regardai prendre son souffle en souriant. Puis je remontai mes baisers pour aller l’embrasser. Comme il sembla réticent, je retournai terminer son suçon dans son cou. Loin d’être rassasié de ses caresses et ses baisers, je plaçai sa main sur mon intimité en le regardant dans les yeux. J’avais envie de lui dire que je l’aimais, mais trop rapidement je laissai échapper un gémissement. Décidément, j’étais au septième ciel ce soir. C’était le meilleur coup de tête de l’histoire de l’humanité.
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Sujet: Re: Dead Memories ¤{ hot }¤ ||| Viktoria ♥ Mar 17 Jan - 1:51
Depuis sa rupture avec Viktoria, Pacey ne faisait plus attention à son corps. Sa malnutrition ne fut pas sans conséquence. Il avait maigri. Alcide le lui avait dit ainsi de les rares personnes qui avaient vu l’acteur depuis sa mis à pied. Personnellement le Workers s’en fichait royalement. S’il pouvait disparaître il ne pourrait pas s’en porter plus mal qu’il l’était depuis un mois. Bien au contraire ce serait être délivré d’une souffrance qui le détruisait à petits feux. En se retrouvant nu face à sa compagne, le garçon prit enfin conscience de sa maigreur. Il avait peur que Viktoria le rejette à avoir. Il ne supporterait pas une nouvelle rupture maintenant qu’ils étaient à nouveau ensemble. Pacey aimait sa princesse plus que de raison. Il fallait voir comment il se dénigrait au point d’en tomber malade depuis le départ de cette dernière. Il était incapable de vivre sans elle. Contrairement à ce qu’elle pensait, sa demande en mariage n’avait pas été faite au hasard sans y avoir réfléchi. Son cœur avait choisi Viktoria. Elle était sa première et sans aucun doute sa dernière. La question de l’âge n’avait jamais posé de problème avant cette demande. Depuis les huit années qui les séparaient le faisait souffrir. A côté il se sentait si vieux… Mais cette nuit le renouveau couple semblait mettre leurs problèmes de côté. Pacey qui était d’une extrême timidité se laissait goûter aux joies de la gâterie pour la première fois de sa vie. Autant il était nerveux au début, autant il avait très vite appris à apprécier ce moment lorsque la bouche de Viktoria joua avec son entrejambe. Lui qui n’avait eu absolument aucun rapport depuis plus d’un mois, lui qui était encore débutant dans sa vie sexuelle, Pacey ne sut pas tenir bien longtemps. Il avait encore du mal à se contrôler. C’était sans aucun doute l’un de ses points négatifs qui frustrait au plus haut point Viktoria lorsqu’ils faisaient l’amour. Le jeune homme n’était pas très endurant mais il espérait que cela changerait avec le temps. Quoique maintenant… Une fois que Viktoria lui ôta sa frustration, elle voulut naturellement qu’il lui rendre la pareille. En remontant sur le corps de Pacey, la Sampi voulut l’embrasser langoureusement. Ainsi il pouvait goûter à sa semence. Mais trop intimidé, le Workers ne put que l’embrasser sur la joue. Viktoria retourna l’embrasser dans le cou. Elle glissa la main de Pacey sur sa culotte puis dessous. L’acteur qui était follement amoureux d’elle tentait de se rappeler ce que disait le livre pour le cas où il se trouvait actuellement. Elle voulait surement qu’il fasse à son tour une langoureuse descente. Pacey fit rouler sa copine sur le dos pour s’installer sur elle. Il l’observait très attentivement. Voulait-elle réellement coucher avec lui après toutes les horreurs qu’elle lui avait sorties ? Pacey n’avait plus aucune confiance en lui. Il aurait aimé exécuter la demande silencieusement de sa moitié mais il n’y arriva pas. Il ne put que lui ôter sa petite culotte et se coucher à côté d’elle. Contre elle. Blottie contre son corps, l’enseignant cherchait seulement à jouer de ses doigts sur l’intimité de sa compagne. Il lui susurra quelques mos d’amour à l’oreille.
Pacey : " – Je t’aime… “
Qu’elle le croit ou non c’était bien vrai.
Pacey : " – Mais je ne peux pas…. Pas après tout ce que tu m’as dit l’autre jour. “
Le garçon stoppa ses mouvements de doigts à contre cœur. Il s’asseya sur le matelas tout en allant chercher la couette pour les couvrir tous les deux.
Pacey : " – Pourquoi ? Pourquoi fais tu cela ? Tu te fais chier au lit avec moi. Je ne te procure aucun plaisir. Tu… Tu veux savoir si j’ai acquis de l’expérience supplémentaire depuis notre rupture ? “
Pacey avait les larmes aux ciels. Il se doutait bien que contrairement à lui, elle avait eu des rapports intimes.
Pacey : " – La réponse est non. Car que tu me crois ou non, je t’aime sincèrement. Et que je refuse de te remplacer dans mon cœur comme sous la couette. “
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Sujet: Re: Dead Memories ¤{ hot }¤ ||| Viktoria ♥ Mar 17 Jan - 16:11
J’étais en extase. La drogue explosait chaque pore de ma peau et rentait la réalité gouteuse et jouissive. Les mains de Pacey sur moi, cette chaleur, cette proximité humaine. C’était loin des baises avec ces mecs inconnus qui, le temps d’un moment charnel, partageait ma vie. Non. Car bien que toute cette scène érotique fût un coup de tête, il y avait quelque chose de plus, quelque chose de tangible, quelque chose qui affolait mon cœur. Au-delà de la réciprocité charnel il y avait ce besoin viscéral de l’autre, ce besoin de se revoir après un moi. Chaque baiser avec un gout de désespoir, chaque caresse avec des allures de dernières fois. Même défoncé, je savais la situation irréelle. Et lorsque cette pulsion physique serait enfin expulsé et que nous devrions faire face à la réalité de nos actes, le vrai drame allait commencer. N’y avait-il pas une règle non écrite disant qu’il ne fallait jamais coucher avec ses ex? Par soucis de santé mentale, pour éviter de compliquer encore plus une relation au bord de l’abime. Mais une chose transcendait toutes ces lois, celle de l’amour. J’avais beau détester Pacey et lui en vouloir de m’avoir fait subir pareille chute émotionnel, je l’aimais à en crevée. Et un mois ne m’avait pas encore permis de l’oublier, bien au contraire. Dans les bras d’inconnu, c’était à lui que je pensais. Et maintenant ce n’était plus lui qui m’appelait princesse, mais un junkie qui semblait se délecter de mon malheur. Je venais de donner a Pacey un moment purement égoïste, m’oubliant dans nos ébats, me délectant de chaque soupire et gémissement qu’il lançait. Mon orgueil gonfla en le voyant totalement s’abandonner à l’acte. Ainsi, j’avais réussis à lui faire oublier toutes ses réserves et ses raisons de départ pour tomber entre mes mains. Le fait qu’il soit précoce, après un mois de relation sexuel avec lui, je m’y étais fait. Bien sur, lorsque nous étions dans notre couple, lorsqu’il voyait le nirvana avant moi, on trouvait toujours un moyen de m’y emmener par la suite. Mais en ce moment, rien ne m’importait. Je venais de le voir s’abandonner à moi en cela m’emplissait d’une envie encore plus prenante. Totalement stoned, je l’obligeai à me caresser et rapidement je me trouvai sans culotte à ses cotés alors que ses doigts me provoquait quelques gémissement. J’avais oublié ses caresses, j’avais oublié sa dextérité, et vu mon état il ne m’en fallu que très peu pour commencer à crier de plaisir. Bon sang, j’avais oublié combien il était bon de partager un moment charnel avec quelqu’un que l’on aime et qui ne nous est pas totalement indifférent. Il me souffla trois mots, trois mots que je ne croyais pas. Mais qui, vu notre activité, m’emmena encore plus loin dans mon plaisir. Combien de fois j’avais rêvé à ce qu’il me fasse l’amour en me susurrant ces mots. Bien sur, ce n’était pas exactement l’acte que nous commettions, mais le tableau était chavirant
. Et alors que j’étais sur le point de non retour, prête a hurler son nom dans un cris de plaisir. Il stoppa. Il commença alors à se plaindre et à dire des jérémiades. Mais ma frustration sexuelle venait de quintuplée et la rage que je ressentais envers lui pris la même expansion. Je n’était pas en état de l’écouter, et encore moins de le plaindre. J’étais défoncée et je n’avais pas pris mon pied. Pourquoi n’avait-il pas pu se la fermer. Encore deux minutes. Ensuite j’aurais été apte à l’écouter et tout aurait surement bien fini. J’aurais dormis dans ses bras et le lendemain matin la vie aurait continué. Mais non, il venait de tout gâcher. Encore. Putain. Ce type était vraiment égoïste. Trop emplis dans ses propres angoisses pour ne pas voir le mal qu’il me faisait. Il aurait pu attendre non? Mais non, au lieu de profiter d’u moment magique et inespéré entre nous deux, il l’avait gâché. C’était la demande en mariage fois milles. Muette de rages, je l’écouter se plaindre jusqu’à la fin avant de lancé vers lui un regard blessé et las. Je détournai la tête, incapable de le regarder et je sorti de sa couette. Je n’avais plus la force de me battre contre ses angoisses, ce n’était plus mon problème. Enfin si, car il m’en avait posé tout un; celui de ne pas avoir fait monter au septième ciel. Je lui en voulais de ne pas avoir profité d’un moment unique entre nous. J’avais rêvé de cette soirée secrètement depuis notre rupture et il m’avait fallu l’inconscience de l’ivresse pour m’y rendre et la vivre. Et il l’avait explosé en lançant une bombe atomique, sans même pensée qu’il n’était pas le seul à avoir mal dans la situation que lui-même avait provoqué. C’était la simple preuve qu’il ne m’aimait plus. Il ne pensait plus a moi. Et alors que je remis mes vêtements, je le maudit. Je me maudis. Je n’aurais pas du venir ici. Sans même lui adresser un regard et soupirai et je me dirigeai vers sa porte. A quoi bon se battre contre ses angoisses, il en sera toujours maitre et je passerai toujours en second. Au fond, cette rupture était peut être une bonne idée.
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Sujet: Re: Dead Memories ¤{ hot }¤ ||| Viktoria ♥ Mar 17 Jan - 22:24
Pacey-Danyaël ne comprenait plus ce qu’il se passait. Il y a trois semaines de cela, Viktoria était venue dans son bureau pour lui rendre ses affaires. Le jeune homme y avait vu la bague qu’il lui avait offerte à noël. Le reste n’avait que peu d’importance. Le Workers n’avait même pas fait attention que son ex compagne ne lui avait pas rendu le double de sa clef de studio. Pacey ne se séparait plus du bijou et du livre qu’elle lui avait offert. Même si au début l’enseignant n’avait pas le cœur à ouvrir le bouquin, depuis il l’avait lu au moins cinq fois ! Certains passages plus même. La Sampi lui avait donné, ce n’était pas pour rien. Elle voulait que cela devienne la nouvelle lecture du Workers. Et même si ce dernier n’avait que très faible espoir de retrouver l’amour de sa vie, il était tellement accroché à elle qu’il serait tout ce qu’elle voudra.
Alors que Viktoria venait de lui faire découvrir les joies de la gâterie, elle voulait qu’il lui rende l’appareil. L’acteur s’exécuta jusqu’à ce qu’il se rappelle de toutes les horreurs qu’elle lui avait balancé la dernière fois qu’ils s’étaient vus. Pacey avait encore très mal au cœur. Il voulait discuter de ça avec Viktoria mais cette dernière resta silencieuse. Au bout d’un moment elle se leva puis se rhabilla. L’enseignant la trouvait vraiment bizarre ce soir. La Sampi n’était plus la femme qu’il avait connue. Il y avait quelque chose de changé en elle. Déjà au bar, dans les bras de cet autre gars, jamais Pacey ne l’avait vu réagir comment ça auparavant. Elle n’avait jamais été comme ça avec lui. Il était clair dans l’esprit du Workers que son ex ne cherchait pas après un nouvel amour. Elle désirait que du sexe. C’était évident. Boire aussi. Son haleine sentait l’alcool. Il ne manquait plus que la drogue. Quoique c’était peut être déjà fait. Peut être même qu’en ce moment elle était stone et qu’il ne l’avait pas encore compris auparavant. Lorsque Viktoria se dirigea vers la porte de sortie, Pacey ne fit qu’un bond du lit pour la rejoindre. Il s’inquiétait pour elle. Il ne voulait pas qu’elle parte. Non pas depuis qu’elle était devenue à elle. Et encore moins vue son état d’ébriété. L’acteur qui était désespéré paniquait. Tant pis pour ce qu’il s’était produit dans le passé. Tant pis pour son travail si ses supérieurs venaient à savoir qu’il s’était remis en couple avec son ancienne étudiante. Pacey refusait de perdre à nouveau sa petite amie. Ce fut pour cela qu’à peine il rattrapait la Sampi par le poignet, il la plaqua contre la porte et l’embrassa. Pacey était encore nu comme un vers. Il se collait à elle et se mit à lui caresser ses hanches puis sa poitrine.
Pacey la supplia : " – Je t’en prie, ne pars pas. Je… Je ferais tout ce que tu voudras. Je t’aime Princesse. Ne me quitte pas. S’il te plait… “
Il pleurait. Il était vraiment désespéré. Pacey savait qu’il était pathétique mais tant pis. Il ne pouvait pas tomber plus bas que depuis leur rupture. L’embrassant langoureusement, passionnément, le jeune homme dévia ses baisers dans le cou de sa belle. Il se rapprocha de son oreille.
Pacey lui murmura : " – Excuse moi d’avoir cessé de te caresser. Viens avec moi. Suis moi jusque sous la couette. Je veux reprendre là où on avait arrêté. Où j’avais arrêté. Laisse moi te procurer du plaisir. Ou du moins essayer. Je t’aime Viktoria, suis moi… “
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Sujet: Re: Dead Memories ¤{ hot }¤ ||| Viktoria ♥ Mar 17 Jan - 23:13
Si j’avais planée durant un moment, le retour d’ascenseur était brutal. Le problème avec la drogue c’est que les joies sont exacerbées, mais les déceptions aussi. Ce pourquoi je décidai de partir sans dire un mot à mon ex. Mais, lorsque Pacey me plaqua contre le mur pour m’empêcher de partir et m’embrassa, mon cœur manqua un bon alors que ma libido explosa. Je laissai avec plaisir ses mains parcourir mon corps, totalement surprise. Jamais Pacey n’avait été aussi ferme, aussi sauvage de notre couple Et ce n’était pas pour m’en déplaire. Un peu de passion féroce n’était désagréable. Je la connaissais avec Noah et Sasha, ils étaient quasi violents avec moi. Mais entre ces relations bestiales et celles langoureuses que j’avais vécu dans les bras de mon ex petit copain, le changement ne me fis aucun tord. J’avais par souvent voulu être plus sauvage avec lui, mais chaque fois que j’essayais, il hésitait en devenait moins performant. Patiente, amoureuse, je m’étais dis qu’un jour il arriverait à comprendre. Mais ce jour n’était pas arrivé. Or, le voilà à me tripoter avec envie d’une manière certes désespéré, mais qui ne me laissa pas indifférente. Ce nouveau Pacey me fit grand plaisir et m’empêcha de le repousser, bien au contraire, j’y fis valser sa langue avec la miennes alors que mes ongles entraient dans la peau de son dos tant je le désirais ardemment. D’avoir arrêté de la sorte m’avais certes refroidis, ma la vigueur qu’il y mettait maintenant fit embraser mon désir pour lui. Il parla, ce qui m’énerva. Je ne fus pas capable de le regarde, je détournai ma tête. Le nom de princesse me fit frémir. Car je ne l’entendais depuis un mois que venant de la bouche d’un junkie qui me plongeait dans un univers trop malsain pour l’être fragile que j’étais. Mais naïve, je tombais sans me rendre compte des réelles conséquences. De toute façon, ce soir, ça n’avait plus d’importance. Je fermai les yeux en l’entendant pleurer. Je ne voulais pas le voir souffrir, ni l’entendre. Car je ne croyais pas aucun des mots qu’il me prononça. S’il m’aimait vraiment, il ne m’aurait pas laissé en m’inventant un horrible mensonge. Je recommençais à bouiller de haine envers lui mais ses baiser dans mon cou envolèrent toutes idées rageuse et je laissai échapper un souffle court et envieux. Ses mains sur moi. Bon sang, il avait réussis. Pour la première fois de notre couple, c’était Pacey qui inaugurait une relation physique, et il avait réussi à me faire craquer. Étais-ce car j’étais déjà allumée, totalement stone et soule? Sans doute. Mais je ne voulais pas donner de crédit uniquement à mon état. Car les mains de Pacey sur ma poitrine me faisaient frissonner. «A une condition» murmurais-je en frôlant ses lèvres des miennes. «Tu arrête de dire que tu m’aime et tu arrête de parler. » Je lui mordis la lèvre. Je n’avais aucune envie d’écouter ses angoisses. Égoïsme, certes. Mais je l’avais écouté tout mon couple, maintenant je n’étais plus obliger et ca me saouler légèrement. Il vint pour parler et je lui soufflai un «Tait-toi» avant de l’embrasser avec désir.
Je le laissai me guider jusqu’à son lit, faisant tomber au sol tout au long de notre voyage, ma robe et mes sous vêtement. Totalement nue sous lui, je lui souris et laissait guider mes mains sur ses parties sensible, il fit de même avec moi. Nous nous retrouvions rapidement en sueur sans même un toucher intime. L’atmosphère se chauffait. Et chaque fois qu’il venait pour parler je lui lançai un regard menaçant. J’ignorais si j’avais la volonté de mettre ma menace a exécution et de partir s’il ouvrait la bouche de quitter son appartement. Mais je voulais lui faire croire que je l’avais. Et chaque fois qu’il se taisait, j’allai l’embrasser et le caresser deux fois plus sauvagement pour le remercier. Notre union était silencieuse. Nous étions deux amants au prise dans une relation interdite et immorale. Ça donnait un gout de tragédie grec. Je trouvais cela poétique, je trouvais cela magnifique, je trouvais cela romantique. Et c’est le cœur qui voulait me sortir de la poitrine que je tentais de le convaincre par mes mouvements de me faire l’amour. Il refusa, bien que j’insiste. Ne voulant pas crée une autre situation désastreuse, je pilai sur mon appétit sexuel et je lui fis signe que je comprenais. Voyant ma déception, il fini par mettre de nouveau ses doigts dans mon intimité. Et il tenu sa promesse, reprenant là où il avait arrêté.
Ce jeu charnel se dura toute la nuit. Au final, j’avais fini par ne plus ressentir l’effet de l’alcool et de la drogue dans mon sang. Mais chaque moment intime que nous nous échangeâmes ne furent pas moins délectable. Et c’est totalement épuisée et en sueur que je fini par m’endormir contre lui. Aucun mot ne fut échangé de la soirée, si ce n’était que des gémissements et des cris. Il avait bien suivit les consignes, et nous avions passé un des moments sexuels les plus intense que nous avions jamais vécus ensemble. Il était trois heures de l’après midi lorsque je me mis à ouvrir les paupières difficilement. J’avais mal à la tête, la lumière heurtait mes yeux, et durant un moment je me demandai où est-ce que j’avais bien pu atterrir. Un flash d’une seconde me traversa l’esprit, me donnant les images de la veilles et en moins de trois secondes je réalisais que j’étais nue dans le lit de mon ex. Lentement, je me retournai pour lui faire face, il dormait toujours. Il avait maigris, du moins c’était mon avis. Je plissai les yeux sous le soleil qui éclairait l’appart. J’avais de plus en plus des images de la veille qui me revenait en tête. J’aurais du paniquer et avoir des remords. Mais il en était tout le contraire. J’avais le cœur qui éclatait, je me sentais comblé et heureuse. La sensation de se réveiller dans les bras de Pacey chassait toutes pensées. Je fermai les yeux, heureuse et profitai de cet instant de calme dans le creu de ses bras. Je savais que dès qu’il ouvrirait les yeux ce serait la troisième guerre mondiale. Alors je profitai de ce calme avant la tempête. Ma tête dans son cou, je me mi à caresser du bout des doigts son ventre nue. Je le sentais en érection. Amusée, je me dis que je lui en avait pourtant donner pas mal la veille. Je frôlai donc de mes doigts son intimité, toujours callé dans ses bras. Profite de ce moment de bonheur Vik, car ce sera sans doute le dernier dans ses bras.
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Sujet: Re: Dead Memories ¤{ hot }¤ ||| Viktoria ♥ Mer 18 Jan - 17:08
Viktoria voulait partir mais Pacey avait réussi à la convaincre de rester. Lui qui jusqu’à présent s’était toujours montré extrêmement doux et délicat lorsqu’il touchait sa petite amie, le jeune homme eut un flash de cette dernière au bar avec cet inconnu. Le mec s’était montré envieux et entremettant. La Sampi semblait adorer ça. Le Workers avait les larmes aux yeux car ça lui brisait le cœur de la voir avec un autre. Il s’en rendait malade car il se doutait bien que l’étudiante avait été voir ailleurs depuis leur rupture. Au bar Pacey en avait eu la preuve. Imaginer la femme de sa vie couchant avec un autre le fit pleurer tant il avait mal. Et dire que tout cela était de sa faute… L’acteur récoltait ce qu’il avait mérité en écoutant ses supérieurs et en rompant avec Miss Pedersen. Il ne devait s’en prendre qu’à lui-même. Il ne pouvait pas en vouloir à Viktoria. Elle n’avait fait que l’écouter lorsqu’il lui avait demandé de se trouver un copain de son âge. Bon sang ! Mais que cela pouvait être douloureux ! Viktoria contre le mur, dans ses bras, Pacey avait tenté de s’excuser. Il lui disait qu’il l’aimait. Ce qui était vrai sinon il ne se montrerait pas aussi pathétique avec elle. La Sampi accepta sa proposition de rester avec lui sous deux conditions. Il ne devait plus lui dire à quel point il l’aimait. L’enseignant acquiesça difficilement par un simple hochement de la tête. Il reniflait le plus silencieusement possible car il était persuadé à présent qu’il avait perdu l’amour de l’étudiante. Elle lui demanda aussi de se taire. Désespérément amoureux d’elle, il se soumit à toutes ses volontés. Pacey n’avait la joie de vivre que lorsqu’il était dans les bras de sa bien aimée. Il était tombé si bas que si elle lui proposait d’avoir une relation avec elle exclusivement sexuelle sans les accotés d’un couple d’amoureux, il accepterait sans hésiter. La nuit fut torride en préliminaires. Le couple n’avait pas été jusqu’à ne faire qu’un. Le garçon souffrait toujours des choses que la Sampi lui avait dites trois semaines auparavant sur ses compétences sexuelles. Dans le livre qu’elle lui avait donné, Pacey avait retenu que les femmes préféraient généralement les préliminaires à l’acte en lui-même. Du moins c’était ce qu’il pensait avoir compris. Alors à défaut d’autre chose, il tenta l’expérience. Et effectivement, à entendre les cris et autres gémissements de Viktoria, il ne semblait pas d’être trompé. Le jour était sur le point de se lever lorsque nos amoureux s’endormirent dans les bras dans de l’autre.
Il était plus de trois heures de l’après midi lorsque le Workers sentit une main caresser son ventre. Sachant que cela ne pouvait être que sa compagne, Pacey sortit des bras de Morphée. Le toucher de la femme qu’il aime sur lui ne le rendait pas indifférent. Cependant, Pacey garda les yeux fermés. Il avait peur que s’il se réveillait réellement, tout ce qu’il avait vécu cette nuit n’était qu’un rêve qui partirait en fumée. Alors pour être certain qu’il ne faisait pas erreur, l’enseignant se tourna face à sa dulcinée et lui caressa tendrement de ses hanches allant jusqu’à son cou. Oui elle était bien là. Pacey ouvrit lentement les yeux. En voyant Viktoria il ne put s’empêcher de lui sourire amoureusement. Il se rapprocha d’elle et l’embrassa timidement. Elle ne le rejetait pas. Au contraire elle prolongea son baiser. Le Workers était heureux. C’était bon il avait enfin retrouvé sa belle. Ils formaient bel et bien à nouveau un couple. Après un long baiser passionné, sachant que Viktoria devait surement avoir la migraine avec sa gueule de bois, il se leva du matelas sans dire un mot, retrouva son bas et son haut de pyjama qu’il enfila puis va préparer une aspirine pour sa belle. Même pas deux minutes plus tard, il revient vers elle avec le médicament près à prendre et le lui donna. Pacey avait envie de parler mais il se taisait. Il se rappela que la veille la Sampi l’avait obligé à se taire s’il voulait qu’elle reste avec lui. Sagement il continuait de lui obéir jusqu’à ce qu’elle lui donne la permission de parler.