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Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal

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MessageSujet: Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal EmptySam 29 Oct - 20:01

Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal Sign-e10
Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal


    Samedi soir, qui dit samedi soir dit sortit en boite, chose normal pour un jeune homme de l’âge de Bradley. La rentrée se profil à Berkeley mais qu’importe on ne chance pas les bonnes habitudes. Pendant les vacances on sort tous les soirs, pendant les cours et bien la semaine on fait la fête à l’université avec les confréries et ensuite le week-end sortis en boite de nuit histoire de faire de nouvelles connaissances. Pourquoi la boite ? Tout simplement parce qu’on sort du cadre Berkeley et que l’on peut rencontrer des filles qui ne sont pas à l’université, oui je sais c’est une utopie puisque dans les boites que Bradley fréquente il y a 80% d’élève, que voulez vous.
    Bref 20 heures, un petit repas pris à l’arrache à l’appartement, oui pas de restaurant ce soir, pas envie de sortir manger, une seule envie boire un petit coup, un second et peut être même un troisième. Oui Bradley boit maintenant de l’alcool, c’est Ebony qui est à la base de son changement d’attitude. Le Bradley de troisième année serra totalement différent de celui que vous avez puis connaitre en seconde année. La timidité ? Envolée grâce aux cours si je peux appeler ça, d’Alcide. Plus timide le nouveau Bradley deviens pas une machine mais presque, il est beaucoup plus odieux qu’avant, maintenant il n’a plus de mal à approcher une jeune femme, alors pourquoi se laisser faire ? Si la jeune femme lui manque de respect ou même si elle fait un petit truc qui ne lui plait pas il la jette et se jette sur une autre proie, chacal, oui voilà ce qu’étais devenu le nouveau beau gosse.
    L’alcool maintenant ! Et bien Bradley vous vous souvenez était contre l’alcool, une soirée passé avec Ebony, le lendemain il se souvenait de rien, elle l’avait drogué sans qu’il ne le voit, sans qu’il ne le sache et il ne le sait toujours pas. Mais cette femme avait un quelque chose sur lui, elle lui lançait un défi et hop il le faisait. Et bien sur vous vous doutez qu’elle avait tout accès sur l’alcool, depuis il buvait, enfin toujours raisonnablement, vous ne le verrez jamais ivre, plein comme disent les jeunes, sauf si bien sur la belle Ebony lui lance le défi !

    00h00, Bradley arrive en boite, toujours bien habillé, cette fois ci un pantalon blanc moulant, un jean quoi, oui voilà un jean, avec une chemisette noire ouverte quasiment entièrement, laissant apparaitre ce corps imberbe et totalement musclé. Oui Bradley été un kéké si on veut, il aimait qu’on voit c’est formes, il était comme une nana. Voilà ce qu’on appel l’égalité des sexes, il n’y a pas que ses demoiselles qui peuvent prendre soin d’elles, oui Bradley lui aussi fait des soins pour le visage et toutes ses conneries, ça vous dérange ?
    Enfin bref revenons en à nos moutons, c’est donc un Bradley frais et bien soigné qui s’asseoie au bar commandant non pas un coca mais une vodka glacé, une boisson qu’il avait petit à petit appris à aimer, le fait qu’elle soit froide faisait disparaitre la sensation de l’alcool. Sensation à laquelle Bradley était encore très sensible, le gout de l’alcool, ça ne lui plaisait pas, il fallait donc un moyen de le faire disparaitre, soit boire de l’alcool chaud mais pas top, ne soit boire de l’alcool glacé comme il le faisait actuellement.

    Deuxième verre et maintenant direction la piste de danse, danser ? Bradley sait faire il n’est pas dans le club de danse de l’école pour rien. Bien sur vous ne le verrez pas dans un spectacle de dans en fin d’année, il est simplement là pour deux choses. Apprendre à danser parce que la danse ça plait aux filles et pour les filles présente dans le cours. Autant dire qu’il en avait mise quelques unes dans son lit, pour ne pas dire presque toutes. Puis le fait de savoir danser, sur la piste on le voyait, on le remarquait, surtout les femmes.
    L’une d’elle se rapprocha de lui, la danse commença, toujours très collé serré bien sur, les mains voguant sur le corps de l’autre, la danse c’été un acte sexuel un peu moins nu, un moyen de jauger la personne. Bradley aime dire qu’une femme qui ne sait pas danser est une femme qui ne sait pas bouger au lit. Alors pourquoi l’inverse ne marcherait t’il pas ? Pourquoi un homme qui ne sait pas danser ne serait pas un bon coup. Oublions ça, la chanson se finit et un mec appel Bradley, surement le copain de la demoiselle.

    Dans le mille, le mec est totalement furieux, ça copine danse avec quelqu’un d’autre, Bradley lui explique calmement (Toujours facile d’être calme comme il est dans la bonne position), mais le mec s’énerve quoi de plus normal quand on est quasiment cocu, il décide d’en coller un à Bradley. Le ton monte est Bradley s’énerve, il met en déroute son adversaire, oui il sait danser mais reste un mec qui sait se défendre tout de même.
    La soirée continue sans encombre, le mec n’est plus là pour le bon blond de l’histoire ancienne quoi !

    Enfin pas si ancienne que ça puisqu’à la sortie, 4 bonhomme l’attendent, l’un deux à un poing américain, mais c’est quoi se bordel. Juste pour une nana en plus ! Que faire ? Fuir ? Non mais ça ne va pas la tête, Bradley a toujours dit qu’il préférerait mourir que de fuir devant quelqu’un, ce soir c’était un moyen de mettre en action ce qu’il avait toujours dit.
    Le combat ne fut pas long et la conclusion fut celle qu’on se doutait tous, Bradley avait pris une belle branlée, l’arcade en sang, le nez en vrac il aurait surement besoin de quelques points de sutures, mais hors de question d’aller à l’hôpital. Il se relève avec un peu de mal et se dirige vers sa voiture, quand …!

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MessageSujet: Re: Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal EmptySam 29 Oct - 21:18

    maya & bradleyI can’t see you, But I know you’re there. • I’ll do whatever you say, okay? Just promise me you’ll come back to me. Promise me you’ll open your eyes and you’ll live a long, healthy, amazing life. Promise, promise me.I am going to live a long, healthy, amazing life with you. I promise. ;; Talk to me...

Ce soir, hors de question d’être en retard. Maya a beau être une amante déplorable, incapable de se laisser toucher par autrui, elle reste une amie fidèle prête à se mettre quatre dans l’hypothèse où l’on a besoin d’elle. En l’occurrence, ce soir, c’est une connaissance de son cours d’archéologie qui l’appelle à l’aide. Cette fille là est souvent ivre, elle a facilement tendance à ne plus tenir debout après s’être enfilé un nombre impressionnant de bières, et forcément, elle ne peut s’empêcher d’appeler la première personne disponible dans son répertoire téléphonique. Cette personne, c’est une ravissante blondinette qui vient de fini son show auprès du club qui l’embauche cinq soirs par semaine. Elle n’a même pas le temps de changer de tenue qu’elle saute sur ses clefs de voiture pour se ruer à travers les rues de San Francisco telle une folle du volant. Maya n’est pas forcément en tenue pour aller chercher une amie dans un club qu’elle ne connait pas, mais soit, il faut le faire et donc elle s’y adonne sans perdre de temps. Qu’importe qu’elle ait un corset placé sur son corps aux courbes divines, accompagné d’une simple mini-jupe en cuir noir qui couvre à peine ses jambes fines et musclées. Maya n’est même pas dans l’optique où elle pourrait se faire attaquer : Elle n’a qu’une idée en tête, c’est récupérer son amie fanatique de soirées arrosées, la déposer chez elle, la coucher et rentrer enfin dans sa chambre de confrérie pour récupérer du lourd sommeil qu’elle peut avoir en retard. Dieu sait que la jolie blondinette s’est usé les yeux sur ses bouquins dans l’optique de ses examens d’avant les vacances…En moins de temps qu’il n’en fallut pour le dire, Maya s’empressa de garer sa chère Mini Cooper dans le parking du Lexington Club avant d’en sortir en quatrième vitesse pour pénétrer à l’intérieur. Passer devant le videur, c’était chose facile : Maintenant qu’elle était stripteaseuse relativement « connue » dans le monde de la nuit, Maya connaissait plus ou moins les employés des différents clubs de San Francisco, ceux-ci se plaisant de temps à autre à passer au Manhattan Lounge afin qu’elle ne leur régale les yeux…Mais ce soir, aucune chance qu’elle n’enlève le moindre vêtement : Elle était là pour une raison précise. Hélas, ladite raison s’était déjà fait raccompagner en taxi par une autre connaissance de l’université, que la blondinette connaissait de vue seulement. Sa réputation était suffisamment honorable pour qu’elle n’aille pas chercher plus loin et ne soupire d’être venue jusque là, sans prendre le temps de se changer, pour rien. Une fin de soirée gâchée qui n’allait pas l’empêcher de mettre en place son plan de rechange, consistant à rentrer tout aussi vite à sa maison de confrérie afin de s’octroyer une bonne nuit de sommeil. Du moins, c’est ce qu’elle avait prévu avant de n’être attirée par des bruits suspects, à l’arrière du club…

La curiosité est un vilain défaut, c’est un fait. Pourtant, c’est ce qui permit à Maya de faire fuir les quatre gaillards s’en étant sûrement pris à un innocent, et de découvrir avec stupeur qu’il s’agissait en vérité de Bradley…La jolie blonde s’était aussitôt ruée vers lui, en criant « Brad ! » aussi fort qu’elle ne le pu afin qu’il ne la remarque et ne fasse pas un pas supplémentaire avant qu’elle ne l’ait rejoint. Évidemment, elle eut tôt fait de le soutenir en prenant l’un de ses bras pour l’entourer autour de ses frêles épaules, avec une délicatesse parfaitement digne d’elle. Ainsi, c’était lui qui s’était pris une telle dérouillée par les quatre gaillards s’étant mis en fuite ? Stupéfaite, à la limite de la crise de nerfs, le premier réflexe de Maya fut de les emmener, doucement mais sûrement, vers sa voiture à elle. Aucun risque qu’elle ne conduise puisqu’elle n’était ni blessée ni alcoolisée, somme toute.

« Ils ne t’ont pas raté ! Tu peux me dire pour quelle raison ils s’en sont pris à toi, comme ça ? Il faut à tout prix que tu ne portes plainte !! Fais-moi confiance, j’y veillerais ! Mais en attendant, je vais t’emmener aux urgences, et plus vite que la musique… ! »

Maya ayant déjà fait du circuit, elle maîtrisait parfaitement sa conduite et n’avait jamais peur de rouler bien au-delà des limitations de vitesse ordinaires. Il n’y avait aucun risque pour qu’il n’arrive pas vite à l’hôpital, néanmoins, il ne fallait pas être déjà diplômé de Berkeley pour se rendre compte que Bradley n’avait aucune envie de se rendre aux urgences et d’être ainsi examiné par un charlatan de médecin. Manque de chance, Maya n’était pas du tout de cet avis et avant qu’il ne l’en fasse changer, de l’eau aurait coulé sous les ponts…

« Pas de discussion, tu veux ! Je connais un très bon chirurgien, il devrait pouvoir te soigner en moins de deux, et comme il me connait tu n’auras aucun souci…Allez, une fois dans ta vie, fais-moi donc confiance, tu ne peux pas rester comme ça alors que tes plaies risques de s’infecter ! Sans compter que tu peux avoir des lésions internes…Ne me demande pas de rester les bras croisés alors que tu es dans un état pareil, c’est hors de question. Je ferais ce que tu veux en échange, deal ? »

Tant qu’il ne lui demandait pas d’arrêter son job au Manhattan Lounge, elle était prête à faire n’importe quoi. Mais avant qu’ils ne discutent ce genre de détails, ils arrivaient juste à la voiture de Maya. En somme, tout restait à faire, y compris le fait de convaincre Bradley de la laisser le conduire au chirurgien qu’elle connaissait si bien, et pour cause, il était en charge de son dossier concernant son attente de greffe…Chose qu’elle n’avait jamais confiée au jeune homme de peur qu’il ne s’inquiète.
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MessageSujet: Re: Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal EmptySam 29 Oct - 21:40

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    Les soirées Américaine, c’est des soirées qui n’ont aucuns de secrets pour le beau blond, peu habitué à faire la fête à son arrivé à Berkeley ou plutôt je rectifie, habituer à faire de simples fêtes. Il a très vite pris gouts aux quartiers huppés et aux fêtes dans les clubs branchés, pas question d’aller dans les boites qui ont mauvaises réputation, les boites ou l’on ne peut croiser une star, non Bradley a ses entrées. Oui petit à petit il c’est fait connaitre dans le monde du mannequina, bien sur le mannequina pour sous vêtements mais l’on ne le croit jamais, c’est un métier d’avenir. Oui les gouts et les couleurs dans les vêtements c’est une chose, mais on met tous quelque chose en dessous c’est quasiment obligatoire pour l’hygiène et pour le confort. Autant dire que le jeune homme sortit du milieux moyen Américain s’en donne à cœur joie, ne buvant pas d’alcool il s’amuse tout de même, rencontrant des femmes toutes plus belles les unes ques les autres. Rencontrant des stars mais prennant aussi petit à petit la place de star entre guillemet bien sur. Mais ce n’est plus rare du tout de voir une demoiselle lui demander de signer son string ou son soutien-gorge. La plupart du temps la demoiselle est très désirable et je ne vous cache pas que cela finit au lit.
    Oui Bradley est un tombeur, le genre de mec qui ne connait pas le mot non, le genre de mec à qui personne n’a jamais dit non. Ses parents le couvraient d’amour, mais aussi de ce qu’ils pouvaient, se reprochant de ne pas avoir tout l’argent possible pour lui, ils ne disaient jamais non. En classe ? Et bien Bradley faisait ce qu’il voulait, étant jeune son coté angélique, son visage d’ange faisait que personne dans les maitres ou maitresses ne lui disait quelque chose. Le collège ? Et bien pas de non il faisait ce qui lui chantait, bien sur les notes ne suivaient pas mais que voulez vous lui s’en moquait, ses parents disaient rien tout bénéf !
    Puis les filles sont rapidement arrivé, pas la peine de faire du sport, son métabolisme lui permettait de fondre les graisses, son visage lui permettait de les emballer facilement. Puis il y a eut le sport, son corps prenant rapidement des formes avantageuses, la fin de l’adolescence, le début du sexe tout s’enchainer sans aucuns refus !
    Bradley était quelqu’un de très spécial, sur de lui, surement trop il n’avait pas peur de foncer dans le tas, il avait été timide un temps mais cela c’était envolé laissant place à une machine à femme. Il s’amusait même avec certaines se payant le luxe de chauffer et de partir, à la manière d’une allumeuse pour les demoiselles. Manque de respect ? Non simplement le fait qu’il est un grand enfant, le genre de mec qui est resté au niveau adolescent, le genre de mec à tenir un carnet pour faire un concours avec un bon pote. Malsain ? Encore une fois non, il le fait pas du coté pervers mais du coté jeu, pour lui la vie n’est qu’un grand jeu de société ou l’on avance les pions, on le hasard fait les choses, le destin le reste. Bisounours land prochain arrêt, oui c’est ça, il vie dans le pays de Candie, celui qui ne ressemble à aucun autre pays.

    Des embrouilles en soirée ? Très rarement, pour ne pas dire jamais. Quelques bagarre mais le fait qu’il fasse un peu de musculation, qu’il sache un peu se battre et qu’il soit sur de lui faisait le plus souvent partir les adversaires du soir. Malheureusement ce soir les adversaires étaient nombreux et n’avaient pas franchement peur de ses bras. Vous savez en meute les loups chassent des animaux qu’ils n’auraient jamais attrapé seul. L’homme c’est totalement pareil, un femme que l’on drague ou plutôt une femme vous drague, son mec débarque, grosse jalousie. Seul il ne fait pas le poids, il fait donc appel à ses amis et hop il vous en met une. La seule satisfaction de Bradley c’est que bien qu’ayant reçu un nombre de coups incalculable, il n’a pas mit de genoux à terre, il a continué à frapper et il est donc fier de lui.
    Quand je vous avais annoncé qu’il vivait dans le monde rose des bisounours je ne vous avez pas mentit, il se satisfait de tout même dans les moments les plus noirs. Moment qui soit dit en passant ne sont pas encore arrivé dans sa courte existence. Le jeune homme vit une vie calme et paisible, enfin sur le papier car il est toujours entrain de faire la fête, le monde de la fête et son monde. Enlevez juste alcool, drogue et tout ce qui nuit à la santé le jeune homme est saint !

    Une bonne branlée de prise, maintenant direction la voiture pour rentré, pas la gueule de bois, pas de drogue donc le code de la route n’interdit en rien la conduite non ? Exactement mon cher Bradley sauf que voilà une furie, voilà la belle Maya, Maya l’abeille comme l’appel Brady. En tenue, beurk, il ne supportait pas de la voir comme ça. Ne comprenant pas pourquoi elle travaillait dans un club de striptease alors qu’elle était blindé, ou plutôt que papa l’été !

      Mais non porter plainte tout de suite. Sont simplement jaloux parce que leur gonzesses viennent me draguer quand ils ont le dos tourné, je suis simplement victime de mon succès.

    Dit-il un grand sourire à la bouche, tranchant franchement avec son état. Un homme en sang, boitant un peu, mais heureux, fier de lui. Bradley tout craché.

      Et toi qu’es tu fais dans cette tenue ? Déjà dans le club je ne supporte pas te voir comme ça, alors dans la rue c’est encore pire. Vite on rentre à la maison.

    Il suivit la jeune femme, mais comprit rapidement qu’elle ne l’emmenait pas cers sa voiture, le beau blond crispa donc ses muscles pour qu’elle cesse d’avance. Même blesser la bête était bien plus lourde que la belle Maya, elle ne pouvait donc lutter.

      D’une je n’ai pas besoin de chirurgien je suis un mannequin parfait pas besoin de me faire opérer de quoi que se soit. De deux je t’ai toujours fait confiance ma belle, mais un peu d’alcool à 90°, une nouvelle tenue pour toi et un bisou et tout ira bien.

    Dit-il à nouveau avec un sourire, ne pouvant pas rire surement à cause d’une cote cassé. Il ne se posa pas la question sur le fait qu’elle connaissait bien un chirurgien, pourquoi faire ? Son petit ami ? Non elle lui aurait surement dit, voulait elle se refaire quelque chose ? Franchement elle n’en avait pas besoin mais bon vous savez les demoiselles de notre temps veulent faire du tunning, elles sont jalouses des voitures que ses messieurs pilotent.

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MessageSujet: Re: Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal EmptySam 29 Oct - 22:13

    maya & bradleyI can’t see you, But I know you’re there. • I’ll do whatever you say, okay? Just promise me you’ll come back to me. Promise me you’ll open your eyes and you’ll live a long, healthy, amazing life. Promise, promise me.I am going to live a long, healthy, amazing life with you. I promise. ;; Talk to me...

Effectivement, leurs forces respectives n’avaient strictement rien à voir. Même blessé, Bradley pouvait la retenir et même l’empêcher d’avancer sans l’ombre d’une difficulté, au grand dam de la demoiselle. Cela allait être nettement plus rude qu’elle ne se l’imaginait de prime abord : Si elle n’était pas en mesure de lui faire entendre raison, il allait probablement trimballer ses blessures durant des semaines, risquer ainsi l’infection et autres lésions graves, pour peu qu’il ait quelques côtes cassées. C’était au dessus des forces de Maya que d’accepter pareille chose. Il fallait à tout prix qu’elle ne trouve une excellente raison pour le faire changer d’avis…Qu’il ne veuille pas porter plainte était une chose, qu’il ne risque sa santé pour un simple excès d’orgueil en était une autre ! Évidemment, s’il avait été au courant de l’insuffisance pulmonaire de la jolie blonde, probablement aurait-il été en mesure de lui rétorquer qu’elle ne prenait guère soin d’elle au quotidien et que contrairement à lui, le moindre rhume, la moindre bronchite un tant soit peu carabinée pouvait avoir raison d’elle et la tuer. Contrairement à lui, elle était pleinement consciente des risques et avait décidé de passer outre dans le but de vivre la vie la plus normale possible. Ils ne jouaient donc pas du tout dans la même cour et Maya savait pleinement de quoi elle parlait en vantant les mérites du chirurgien qu’elle connaissait : Grâce à lui, elle évitait de vivre dans une chambre stérile à longueur de temps et d’être contrainte de ne jamais sortir de peur de se choper le moindre microbe traînant par là. C’était justement parce qu’elle avait toute confiance en ce fameux chirurgien qu’elle essayait de faire entendre raison à Bradley…S’il le laissait agir, il avait une chance de n’avoir aucune cicatrice et ne rien risquer de grave. S’il laissait les choses traîner, Maya ne préférait même pas y songer. C’était trop risqué…

« Et en plus t’es fier de toi, bravo ! Non, pas question que je te laisse rentrer dans un état pareil, tu me prends pour une idiote ? Tu penses vraiment que ça ne se voit pas comme le nez au milieu de la figure que tu as sûrement des côtes cassées ? Merde Bradley ce n’est pas d’alcool à quatre vingt dix dont tu as besoin mais de sutures ! Et ça, je ne sais pas faire, je suis future archéologue, pas médecin au risque de me répéter. Arrête de faire ta tête de mule et laisse-moi te filer un coup de main ! »

Maya n’avait pas l’intention de céder un pouce de terrain, et si elle ne pouvait pas lutter physiquement, elle allait agir autrement. Ses paroles, sa gestuelle, et même son regard allaient être ses meilleures armes, quoi qu’en pense Bradley. Il la connaissait suffisamment pour savoir qu’elle n’était pas du genre à lâcher le morceau mais plutôt à être obstinée, butée jusqu’à obtention de ce qu’elle désirait vraiment. En l’occurrence, elle haussa les sourcils de surprise tant le rapport avec sa tenue lui semblait éloigné vis-à-vis de la situation actuelle. Pourquoi diable sauter sur cette occasion pour la rabrouer sur ce qu’elle était en train de porter ? Elle se serait volontiers changée, si seulement elle en avait eu l’occasion et le temps. Du reste, le fait qu’il ne remarque ses vêtements hautement sexy n’était jamais synonyme de compliment chez Bradley. Pour un peu, elle avait l’impression d’être une vulgaire prostituée à ses yeux et il ne pouvait pas savoir combien c’était insultant pour elle. Certes, il ne savait pas du tout pourquoi Maya s’adonnait à ce job avec tant de volonté, mais ce n’était pas une raison pour sauter sur la moindre occasion en l’assénant de remarques ne faisant nullement avancer la discussion…

« A t’entendre on dirait que j’ai l’air d’une pute ! Merci pour ce compliment si agréable ! D’autant qu’il n’y a aucun rapport avec la choucroute, on ne parle pas de moi mais de toi, là…J’étais juste venue chercher une amie fortement alcoolisée à ce club, elle s’est déjà fait raccompagner et je n’ai pas eu le temps de me changer, ce n’est pas la peine de monter sur tes grands chevaux et vouloir à tout prix que je ne me change ! Je suis sexy, pas vulgaire, habitue-toi…D’autant que je ne vois pas pourquoi ça te choque. »

Si elle était avec quelqu’un, probablement Maya s’amuserait-elle à essayer ce genre de tenue pour pimenter la relation, pour plaire, pour se mettre en valeur dans l’intimité. La rue n’avait rien d’intime, c’était une affaire entendue, et Bradley n’occupait pas la place de petit ami, c’était une affaire doublement entendue, mais le visage de la jolie blonde ne pu s’empêcher de se crisper sous l’effet de la vexation. Il ne pouvait pas frapper plus juste ni plus fort…Sans compter qu’elle n’était nullement venue pour se faire rabrouer mais justement pour qu’il ne s’en sorte indemne, lui qui était si fier d’avoir un physique avantageux de mannequin, il était proprement illogique qu’il n’en prenne pas plus soin en cas de dérouillée comme c’était le cas ce soir !

« Mouais, bah le mannequin parfait risque d’en prendre un coup si jamais ses blessures s’infectent ! Je t’en prie, pour une fois dans ta vie laisse-moi vraiment te filer ce coup de main, sans compter que tu n’attendras pas aux urgences puisque je connais le chirurgien qui pourra te soigner en deux temps trois mouvements ! Ça ne te prendra rien comme tant alors par pitié, une fois dans ta vie remballe ta fierté et laisse une nénette te secourir ! De toute façon, je n’ai pas la moindre intention de me changer tant que mon chirurgien ne t’aura pas ausculté, recousu et examiné avec des radios, comme ça, la cause est entendue. »

Du chantage ? Cela y ressemblait, en tout cas. Il s’agissait avant tout d’une manœuvre désespérée en vue qu’il n’accepte son aide. D’autant qu’elle connaissait suffisamment le chirurgien en question pour qu’il n’ait aucune crainte vis-à-vis de sa guérison…
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MessageSujet: Re: Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal EmptyJeu 17 Nov - 15:48

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    La force n’avait aucunement sa place dans la relation que les deux jeunes gens avaient, jamais au grand jamais Bradley n’userait la force contre ça douce et tendre, oui quand vous me lisez vous vous dites une seule chose, il est amoureux d’elle et bien non. Oui quand il parle d’elle il parle d’elle comme sa femme, il peut lui arriver de lui dire je t’aime, mais plutôt comme l’on dirait je t’aime à notre mère que comme on dirait je t’aime à notre copain ou notre copine. La jeune femme en cette soirée voulait que Bradley face quelque chose qu’il n’avait pas envie, elle voulait qu’il le fasse pour lui, pour son intérêt elle avait simplement peur pour lui, peur que ce joli visage soit abimé à cause d’une bagarre à la con.
    Bradley ne voulait pas aller à l’hôpital encore moins porter plainte, il voulait simplement oublier cette soirée, enfin pas totalement dans un coin de sa tête c’était sur il se vengerait tomberait sur les mecs un par un pour ensuite se venger, normal Bradley est un homme un simple homme qui a comme point faible les femmes et son égo. Parlons en de son égo la chose qu’il a surement de plus gros chez lui, un égo qui lui fait faire pas mal de connerie, comme ce soir surement, comme d’autres soirs avant et après, il était comme ça on ne pouvait pas lui reproche d’agir sans réfléchir, d’agir sur des coups de têtes. La vie c’est comme ça on donne des coups on en reçoit, quand on tombe on se relève et on remontre sur le vélo.
    Un beau discours non ? Il aurait surement beaucoup plus de valeur dans la bouche de la blonde que dans la sienne, lui n’a jamais eut de pépin physique, n’a jamais eut de soucis dans sa vie. Alors que sa meilleure amie, la prunelle de ses yeux elle a un souci de santé énorme, bien sur elle le garde pour elle, est obligé de quasiment se prostitué pour gagner de l’argent alors que son père et plein aux as. Pourquoi s’entêtait-elle à ne rien lui dire ? Pourquoi ne voulait-elle pas qu’ils partagent ensemble se fléau, il voulait être la pour elle, il le considérait comme sa moitié, il préférait mourir pour elle que de ne plus la voir. Oui il ne ressentait ça pour personne…

      Fier ce n’est pas le mot, j’aurai été fier si j’avais réussit à leur mettre une branlée, malheureusement je dois avouer qu’ils m’ont pas raté, même si j’ai bien amoché le grand con qui est venu en premier. Après ils m’ont tenu et je me suis fais enchainé. Mais t’inquiète pas, on va à la maison, on boit un petit café, on discute un peu, au dodo et demain tout aura disparu. La gueule en vrac sa donne un air bad boy sa plait aux filles je pourrais donc tester !

    Dit il en riant, puis en stoppant net, se tenant la lèvre. Rire et sourire lui faisaient mal, chose dommage pour un gars qui avait toujours les dents sorties. Même dans cette état il apparaissait souriant, on aurait envie de lui donner le bon Dieu sans confession à ce mec là. Pourtant vous avez en face de vous une pire ordure, quelqu’un qui aime jouer avec les autres, qui aime se moquer, qui juge sur le physique et tout ce qui faut pas, des défauts qui font son charme.
    Partons maintenant sur la tenue de la jeune femme, un moyen de changer de conversation ? Non pas du tout, quand une fille que vous aimez plus que tout travail dans un endroit ou elle devient de la vulgaire chaire, qu’elle sort comme sa pour X raison oui vous avez les boules et vous vous sentez obligé de faire une réflexion, dur à entendre je vous l’accorde mais c’est comme ça, Bradley ne tourne jamais sa langue dans sa bouche , une erreur de plus une erreur de moins, la jeune femme lui pardonnait tout, un enfant gâté je vous dit.

      Ce n’est surement pas le lieu pour que l’on discute de ce que je pense de ta tenue du soir, de ton boulot et de beaucoup de chose non ? Si tu veux qu’on s’engueule-t-on monte dans la voiture on rentre et on discute. Pour ta copine je comprends mais mademoiselle aurait pu attendre un minimum pour que tu te changes, il va t’arriver des bricoles un jour et là je m’en voudrais de ne pas t’avoir protégé.

    Il marqua une pause et enchaina

      Ce qui me choque, ma belle tu me connais rien me choque chez les filles mais là toute ta tenue me choque, désolé de te le dire.

    C’est sur il n’était pas son petit copain, au grand regret de leurs parents mais voilà la voir comme ça lui déplaisait fortement, si vous aviez une sœur vous accepteriez qu’elle s’habit comme ça dans la rue ? Surement pas, donc voilà-vous comprenez ce que vit le jeune homme. Qu’elle s’habille comme ça pour son mec ou son futur mec il le conçois totalement même si c’est sa petite protégée, quand il la voit avec un garçon il pète un plomb, pas devant elle il sait ce tenir mais bon…

      Je suis mannequin sous-vêtement chérie je ne risque pas grand-chose. Pour les blessures on va désinfecter à la maison c’est sur je suis d’accord avec toi.

    L’air de rien il marchait et la jeune femme le suivant ils arrivèrent devant sa voiture, d’un bip elle s’ouvrit Bradley touchait petit à petit au but. Il fit donc le tour de la voiture, sans trop parler il s’installa enfin dans sa voiture, il était déjà heureux d’être assit, à l’abri des regards, il ouvrit donc la porte passager, sortant la tête il appela son amie.

      Bon tu montes, je ne vais pas rester dehors avec cette gueule, je pourrais être vu, pis hop demain dans les journaux.

    Oui petit à petit il commençait à avoir une petite notoriété, qui dit connu dit journaux.

    1000 mots

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MessageSujet: Re: Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal EmptyVen 18 Nov - 12:09

    maya & bradleyI can’t see you, But I know you’re there. • I’ll do whatever you say, okay? Just promise me you’ll come back to me. Promise me you’ll open your eyes and you’ll live a long, healthy, amazing life. Promise, promise me.I am going to live a long, healthy, amazing life with you. I promise. ;; Talk to me...

D’accord, Maya n’était pas l’experte des relations humaines, ni même une spécialiste de la médecine, mais elle ne pouvait s’empêcher de s’inquiéter pour Bradley. Il savait être plus têtu qu’elle et dans l’hypothèse où il ait des côtes cassées, il fallait agir au plus vite. Mais il fallait se rendre à l’évidence : Elle ne parviendrait certainement pas à le faire changer d’avis ni même à l’emmener aux urgences. Elle le suivit donc sans ciller, tout en soupirant à chaque pas, jusqu’à ce qu’ils n’atteignent la voiture du jeune homme : Hors de question qu’il ne conduise. Il avait peut-être peur d’être photographié par un éventuel paparazzo qui se pointerait juste à ce moment là, mais Maya ne comptait pas céder un pouce de terrain là-dessus : Elle était indemne, parfaitement maîtresse de ses mouvements et elle avait les idées claires. Certes, sa toux s’était considérablement intensifiée au fil des minutes et lorsqu’elle eut atteint la porte de la voiture, elle ne manqua pas de placer sa main devant sa bouche face à la quinte de toux impressionnante qui la secouait, mais elle tâchait de faire avec. Elle venait juste de cacher habilement son mouchoir taché de sang qui venait de lui servir pour s’essuyer la main après sa quinte de toux, et voilà qu’elle poussa déjà Bradley du côté du copilote afin d’atteindre le volant. Il ne gagnerait pas cette fois…Surtout en sachant qu’il était blessé et que ses côtes restaient douloureuses. « Pousse-toi je conduis, et ce n’est pas négociable » rétorqua-t-elle d’un ton qui n’aurait souffert aucune réplique. « Attache ta ceinture » conclut-elle avant de fermer la portière, d’attacher la sienne et de démarrer. Durant tout le trajet ou presque, Maya conserva un silence de marbre. Elle n’avait aucune intention de l’emmener aux urgences puisque ce n’était pas son souhait, mais en échange, elle n’allait pas non plus le conduire jusqu’à sa maison de confrérie…Plutôt à l’appartement que lui avait offert son père adoptif à sa dernière visite à San Francisco. Pour sûr, Bradley allait très certainement lui faire un caca nerveux de taille en apprenant qu’elle lui avait caché l’information…Mais sa réaction serait sûrement moindre si elle était contrainte d’avouer que la toux qu’elle venait juste d’avoir avait eu pour conclusion un mouchoir taché de sang toujours présent dans sa poche.

« On ne va pas à l’hosto, détends-toi. Mais c’est une surprise. »

En quelques minutes à peine, grâce au fait qu’il n’y ait pas âme qui vive dans les rues de San Francisco, Maya s’arrêta face à un immeuble résidentiel dont la taille n’était pas nécessairement impressionnante mais qui laissait présager le haut luxe des appartements le composant. Elle se gara dans le parking privé grâce à son interrupteur personnel et, même dans l’ascenseur, elle ne dégoisa pas un mot. En vérité, la charmante blondinette était très en colère. Elle voulait manifester son profond désaccord face à l’attitude puérile de Bradley et il n’avait certainement pas fini d’en entendre parler. Néanmoins, elle l’avait tout de même conduit jusqu’à son nouvel appartement, qu’elle n’occupait pas encore à plein temps, et qui avait pourtant des véritables airs de foyer. Sur les murs, du petit hall d’entrée jusqu’au salon en lui-même, des photographies de Maya, des dessins et peintures faits par celle-ci, ainsi qu’une personnalisation au niveau des couleurs pour laquelle son père adoptif avait eu un goût tout bonnement exquis. Cette soirée risquait fort d’être placée sous le signe des révélations…D’une part parce que Bradley n’avait jamais eu vent du petit photo shoot que Maya avait effectué pour une ligne de robes de mariée, et dont les photos étaient exposées en grande partie dans son salon tant elle était rayonnante et magnifique sur celles-ci, et d’autre part parce que sa toux ne risquait pas de passer inaperçu s’il dormait ici.

« Allonge-toi sur le canapé, je me change avant que tu me fasses une syncope et je rapplique mon p’tit cul. »

Volontairement provocante juste pour l’emmerder, Maya esquissa un rictus nerveux avant d’arquer un sourcil de défi. C’était tellement tentant de le mettre hors de lui…Certes, elle se rendait tout de même dans sa chambre afin d’enfiler une chemise noire moulante et un jean lui allant à merveille, mais elle en risquait pas de devenir agréable pour le restant de la soirée. La preuve, à peine revenue avec une trousse de secours qu’elle soupirait déjà devant l’étendue des dégâts sur le visage de Bradley. Par chance, il l’avait écoutée et s’était allongé…C’était toujours ça pour lequel elle n’aurait pas à batailler.

« Je vais désinfecter tout ça rapidement mais je ne suis pas médecin…Je ne peux pas faire de radios ni te faire d’éventuelles sutures, alors si tu souffres d’infections, il ne faudra pas venir te plaindre ! Cela dit personnellement, j’irais aux urgences demain. Toute seule ou avec toi, ça dépend surtout de toi. »

Pour ponctuer la raison d’une potentielle visite aux urgences, Maya joua la carte de la franchise jusqu’au bout en sortant le mouchoir taché de sang, sans pour autant fournir de plus ample explication. Il n’était pas question qu’elle s’étende sur la question, en vérité…Elle n’avait aucune envie de se répéter qu’en cas d’absence de greffe, il ne lui restait plus que quelques mois. C’est la raison pour laquelle elle passa outre, terminant la désinfection des plaies de Bradley avant de déposer un mince bisou juste contre ses lèvres. Aucune raison d’être gêné…Il n’avait été fait que pour la guérison !

« On sous-estime trop le pouvoir de mon bisou magique ! »
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MessageSujet: Re: Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal EmptyVen 18 Nov - 17:45

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    Elle avait choisit la meilleure manière de faire craquer Bradley, aller dans son sens pour petit à petit le faire dérivé vers ce qu’elle voulait faire, donner lui un bras et ensuite demander lui un doigt il acceptera, il ne faut pas tout lui demander d’un coup. Le beau jeune homme venait de se faire secouer par un paquet de bonhomme il avait pris des coups dans la tête et même si il ne l’avouerait jamais il avait mal, une douleur qui raisonnait dans sa tête comme quand vous vous réveillez après une grosse cuite, ou que vous subissez une migraine énorme durant toute une journée. Il n’avait probablement rien, des coups quand sa arrive ça fait mal et avec le temps la douleur disparait, une aspirine, un nuit de sommeil et le lendemain il ne reste plus que les traces d’un combat perdu, malheureusement. Les traces partiront plus vite que le souvenir de la défaite du blond, il ne se pardonne pas d’avoir pris une raclée aussi nombreux que puissent être les gars il voulait gagner. Il repensait à ce qu’il avait fait se disant qu’il aurait mieux fais d’esquiver ou de faire telle ou telle chose, une connerie en soit il n’avait pas l’ombre d’une chance mais bon les hommes vous savez comment c’est…
    Arrivé à la voiture Bradley pensait avoir gagné, elle décidé même de conduire, allait elle lui faire un mauvais coup ? Il ne doutait pas du tout d’elle, il avait parfaitement confiance en elle, il lui avait dit non il savait qu’elle avait compris et qu’elle ne lui jouerait pas un tour à l’ancienne comme on dit chez moi, il s’installa donc à la place passager écoutant attentivement ce que disait la jeune femme, comme un enfant sage quoi. M’enfin l’enfant sage était un peu rebelle, il recula à fond le siège, couchant le dossier pour ensuite mettre les pieds sur le tableau de bord, il était dans sa voiture il pouvait donc faire ce qu’il voulait. La voiture démarrant, un silence s’installa, la jeune femme ne disait rien, pourquoi ? Ou l’emmener t’elle ? Chez lui ? Chez elle ? Il se demandait bien mais la fatigue simple conclusion des coups pris se fit sentir, les yeux se fermèrent et il s’endormit, il fut sortit de ce doux sommeil par la voix de la jeune femme, un peu agacé mais souriante c’était l’essentiel.

      Je te fais confiance ma belle, mais on va ou ?

    Dit il, sa phrase se terminant sur une baisse de volume surprenante, il était un peu dans le coltard, il se rendormit assez vite. Il fut réveiller par le bruit du frein à main, ou se trouvait il ? Il n’en avait aucunes idée, un parking avec que de belles voitures, le luxe était bien présent, une résidence privée ? Oui c’était ça, il se frotta les yeux, il avait dormit quoi 10 minutes même pas mais était totalement à l’ouest. Les douleurs ? Et bien comment dire, encore plus présentes qu’avant il avait l’impression d’être passé sous un rouleau compresseur, impressionnant comment le corps humain pouvait mal réagir aux coups.
    Bradley ne dit mot, il suivit la jeune femme, il avait maintenant beaucoup de question à poser à Maya, que faisaient ils ici ? Chez qui ils étaient ? Peu curieux dans la vie de tous les jours, quand il s’agissait de Maya il le devenait beaucoup plus, cet appartement était très luxueux. Pourquoi n’avait elle jamais parlé de cet appartement ? Les questions lui brulaient la bouche mais elle lui adressa un ordre avant, il s’exécuta, enlevant ses chaussures (Respectueux le garçon) et ouvrit enfin la bouche.

      On est ou là Maya ? C’est chez toi ?

    Il n’avait pas encore vu de photo d’elle, donc se demandait bien ou ils pouvaient être tout les deux. Il se doutait bien qu’elle n’était pas chez un ami ou quelque chose comme ça, il se doutait même que l’appartement lui avait été offert ou prêté par son père adoptif, un gars super, sympa, amusant et en plus pleins aux as, mais pourquoi bosser dans le striptease si son père ne lui a pas coupé les vivres.

      Petite, petite un peu prétentieuse non ?

    Lui dit il avec un sourire angélique, la jeune femme était parfaite elle le savait. Il fut heureux de la revoir enfin changé, dans une tenue plus descente, elle allait le soigner il ne voulait pas qu’elle le fasse dans une tenue affriolante comme elle avait juste avant. Le beau ne supportait pas la voir comme ça, comme il ne supportait pas son travail. Ce soir des questions seront mises sur la table, pourquoi bosser dans un lieu si miteux alors qu’elle a beaucoup d’argent. Pourquoi toussait elle si bizarrement, c’est vrai la toux qu’elle avait n’était pas une toux normal, loin d’être le genre de toux que l’on a quand on est enrhumé, non quelque chose n’allait pas chez elle, il n’avait pas voulu jouer l’arrogance en lui disant d’aller aux urgences elle n’aurait peut être pas rigolé autant.

      Pas grave met moi un peu de désinfectant, choucoutte moi je sais que tu adores ça.

    Il marqua une pause comme pour analyser sa phrase quand enfin il l’a compris il lui posa la question.

      Qu’es tu vas faire aux urgences demain ?

    Quand elle lui montra le sang il ne su quoi dire, elle ne rajouta rien, il lui caressa donc la main que dire de plus elle parlerait peut être plus durant la soirée. Quand elle l’embrassa sur la bouche, légèrement il sourit légèrement, oui le bisou magique faisait du bien, mais il comptait bien se faire cajoler toute la soirée c’est pourquoi il lança en faisant mine de gémir.

      J’ai très mal au dos, je pense qu’il me faudrait un massage.


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MessageSujet: Re: Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal EmptyVen 18 Nov - 18:38

    maya & bradleyI can’t see you, But I know you’re there. • I’ll do whatever you say, okay? Just promise me you’ll come back to me. Promise me you’ll open your eyes and you’ll live a long, healthy, amazing life. Promise, promise me.I am going to live a long, healthy, amazing life with you. I promise. ;; Talk to me...

Une chance énorme que venait de lui offrir Bradley : Elle n’avait même pas à expliquer le pourquoi du comment du sang présent sur le mouchoir qu’elle venait de lui tendre, il avait aussitôt embrayé sur sa petite personne. Parfait ! Maya soupira délicatement avant de cacher immédiatement la trace de sa maladie, trace physique dont il lui faudrait forcément parler à un moment donné mais qui ne devait pas être à l’ordre du jour. D’autant qu’il lui fallait accomplir une tâche plus énorme, plus difficile et plus urgente que toutes celles auxquelles elle avait été confrontée jusque là : Diminuer le côté égocentrique de Bradley. Ce n’était qu’une façade qu’il se donnait bien évidemment, et Maya n’en prenait pas pour se faire mal, mais comme toute damoiselle se respectant, il fallait qu’elle le fasse languir. Se faire désirer, il n’y avait rien de tel, surtout si cela restait purement platonique. Certes, elle n’acceptait aucune marque physique d’affection –si l’on mettait de côté le « bisou magique » qu’elle venait de donner à Bradley à l’instant–, mais comme n’importe quelle femme, Maya aimait être adulée et attendue. Elle aimait que l’on braque son attention sur elle et elle seule. Ce n’était pas souvent le cas avec le jeune homme pour peu qu’il soit en pleine conquête…Par conséquent il aurait été criminel de ne pas en profiter tout de suite et maintenant. Son premier réflexe fut donc d’éclater de rire face à la demande si peu détournée de Bradley : Il ne pouvait pas être plus clair, et elle ne pouvait pas avoir moins envie de lui faire un massage avec ce genre de demande. Elle haussa ensuite un sourcil avant de s’effectuer le même mouvement à l’aide de ses épaules, comme si elle se fichait soudainement de tout. Ce n’était pas comme si elle lui devait quoi que ce soit, n’est-ce pas ? D’autant qu’il n’avait strictement rien écouté de ses conseils et qu’il n’en n’avait fait qu’à sa tête. La punition visant la privation de massage semblait être un formidable début.

« Et puis quoi encore ? Tu veux pas que je te cire tes pompes aussi ? Y’a pas marqué boniche, trouve-toi une copine qui s’en chargera ! »

Maya connaissait Bradley sur le bout des doigts, elle savait qu’il ne souhaitait pas s’engager et encore moins demander un massage à quelqu’un d’autre, du moins pour l’instant. S’il voulait que ce soit de sa part, ce n’était pas pour rien : Les mains de la charmante blondinette étaient parfaitement habiles en matière de massage. Elle aurait presque pu se trouver une vocation de kiné à l’aide d’un tel talent…Mais il fallait qu’elle fasse l’effort de passer outre tout ce qui l’avait dérangée durant ce début de soirée, la façon dont il la regardait lorsqu’elle se trouvait en tenue sexy et, enfin, le fait que la fatigue et la douleur dans sa poitrine se fassent plus lancinantes de seconde en seconde. Autant de raison à l’origine de son refus d’obtempérer…Bradley allait devoir s’accrocher s’il souhaitait réellement obtenir quoi que ce soit de la part de Maya.

« Sérieusement, donne-moi une bonne raison de te faire ce plaisir…Si tu veux, je te cite la liste de tout ce qui peut me donner envie de dire non : Primo, tu es encore plus têtu que moi. Secondo, tu n’as pas voulu te pointer aux urgences pour cinq petites minutes d’examen…T’es bien un mec tiens ! Tercio, c’est à peine si tu ne m’as pas insultée parce que je n’étais pas dans une tenue que TU jugeais correcte. Ça te convient ou j’te fais un dessin ? »

Maya n’était pas réellement en colère, et ses reproches n’étaient que pure illusion. Il lui fallait un prétexte pour détourner l’attention de son cas personnel, voilà tout. Les blessures de Bradley étaient un formidable alibi et bien qu’elle soit suffisamment inquiète concernant celles-ci, cela ne l’empêchait pas de les prendre pour prétexte. Intérieurement, elle s’en excuserait presque…

« Désolée, mais c’est non. J’suis pas ton chien. »

Sous entendu : Traite-moi mieux et je considèrerais à nouveau la situation de manière posée, calme, avec tous les nouveaux éléments en main. En attendant, Maya s’était légèrement reculée et installée confortablement contre le fauteuil juste en face du canapé, s’affalant pratiquement dessus en une pose tout à fait provocante. Peut-être que dans le fond, elle cherchait à le faire craquer…Maya n’était qu’une femme. Elle avait besoin comme tout le monde d’un minimum d’attention, qu’on lui dise qu’elle pouvait être jolie et qu’elle n’était pas une simple décoration. Qu’importe que le moment soit mal choisi ou pas.
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MessageSujet: Re: Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal EmptySam 19 Nov - 7:48

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    Oui Bradley était très égocentrique, il pensait qu’à lui c’est un défaut qu’on ne peut cacher malheureusement il est découvert, mais que la jeune femme ne pense pas être tranquille si vite, Bradley avait embrayé rapidement sur le mouchoir, il n’avait rien dit et même fermé les yeux. Mais comme tout blond qui se respecte il peut lui arriver de zapper quelque chose mais tout d’un coup s’en rappeler et d’aborder le sujet à un moment ou elle ne s’y attendait pas. Tout comme cet appartement qui avait l’air immense, bien sur pour le moment il n’avait vu que le salon mais déjà il l’impressionnait. Bradley avait les moyens mais surement pas les moyens de s’acheter un loft que dis-je un appartement aussi grand que celui là. Il adorait vivre ans sa chambre universitaire avec les autres gars de sa confrérie, un pied que l’on n’imagine même pas. Des fêtes, des filles et surtout une ambiance qui collait parfaitement à Bradley, testostérone, sexe et confiance en soi démesuré, l’enfer sur terre quoi !
    Pourquoi vouloir se faire désir par Bradley ? Leur relation n’était elle pas qu’une relation uniquement amicale, une très belle amitié qui était très forte. Bradley avait en face de lui la seule fille, la seule femme magnifique avec qui il n’avait pas essayé de couché. Maya était surement l’exception qui confirme la règle, la règle qui dit que tout ce qui a des seins et des cheveux passera un jour ou l’autre dans le lit taille 200 du beau blond. Bien sur lui faisait ensuite le choix, certains disaient la quantité vaut mieux que la qualité, Bradley préférait les deux et pour le moment tout allait bien pour lui, il ne regrettait que très peu des filles avec qui il avait couché, bien sur comme tout les mecs de son âge il avait quelques casseroles au cul mais rien de bien méchant.

      Non, non je veux juste un petit massage, pis en plus j’ai très mal au dos tu pourrais faire l’effort d’être gentille non ?

    Dit-il avec un léger sourire, out le moment ou elle s’inquiétait pour lui, comme si son inquiétude était partie depuis qu’il avait refusé d’aller à l’hôpital, Bradley ne pourrait donc pas jouer de ça pour se faire câliner et qu’elle prenne soin de lui. Il ne se doutait pas du tout que la jeune femme souffrait d’un mal, sinon il aurait été prêt à donner son cœur pour qu’elle puisse survivre. Ils avaient tout deux un lien spécial mais étrangement ils avaient aussi beaucoup de secret l’un et l’autre. La jeune femme par exemple lui avait caché cet appartement, sa maladie, le pourquoi elle préférait danser en club de striptease pour gagner de l’argent et non pas prendre celui de son père adoptif. De son coté Bradley lui cachait une seule chose, le fait qu’il allait bientôt se marier avec la belle Alice. Elle en avait entendu parlé de cette belle brune avec qui il avait vécu un été magnifique, mais voilà Bradley ne l’avait jamais revu jusqu’à ce fameux jour dans le centre commercial. Ils c’étaient revus et tout de suite les deux étaient retombé sous le charme, un deuxième coup de foudre mais celui là plus rapide. Une demande en mariage en suivit, c’été il n’y a pas longtemps une semaine pas plus. Bien sur Bradley n’avait pas de bague de fiançailles, non pas qu’il ne la mettait pas, mais la demande était sur un coup de tête seule Alice avait une bague pour le moment.

      Olalala, si c’est pour me faire engueule j’aurai mieux fait de rentrer chez moi. Oh grande je t’ais rien demandé c’est toi qui m’a ramené ici, maintenant tu assumes. Pis si tu veux une raison pour t’occuper de moi, euh laisse moi réfléchir, elle est simple. C’est moi Brad tu peux rien me refuser je te rappel !

    Il savait qu’elle n’était pas en colère il la connaissait bien mais se demandait tout de même ce qui lui passait à l’heure actuelle dans la tête. Elle était parfois différente, des changements d’humeur que Bradley ne comprenait pas, mais moi je les comprends pour toi petit blond, elle ne supporte pas comme tu es, toujours à penser à toi. C’est quoi ça, tu vois un mouchoir plein de sang et tu dis rien, prend soin d’elle. Bradley l’aime bien sur, mais quand on regarde la scène on est en droit de se poser la question !

      Bon d’accord, s’il te plait Maya chérie, j’ai très mal au dos tu peux me masser ?

    Lui dit-il en faisant papillonner ses yeux comme pouvait le faire une femme parfois.

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