maya & bradley ▬ I can’t see you, But I know you’re there. • I’ll do whatever you say, okay? Just promise me you’ll come back to me. Promise me you’ll open your eyes and you’ll live a long, healthy, amazing life. Promise, promise me.I am going to live a long, healthy, amazing life with you. I promise. ;; Talk to me...

Montrer ses talents cachés ? Encore faudrait-il qu’elle en ait, et la chose n’était guère évidente. D’autant que difficile de désirer quelqu’un avec qui l’on vient de se chamailler durant plusieurs longues heures…Maya se souviendrait de cette soirée étrange durant laquelle s’étaient mêlés pleurs et cris sans discontinuer ! Mais pour l’instant, elle avait un besoin urgent d’évacuer cette pression étant la sienne. Elle serait bien incapable de faire quoi que ce soit de constructif tant qu’elle n’aurait pas tâté la balle ni habilement manié son club de golf. C’était son petit péché mignon sportif, le défouloir par excellence, et la discipline qu’elle entreprenait à chaque coup de cafard. C’était plus constructif de se dépenser en jouant au golf plutôt que de s’enfiler une énorme Amandine au chocolat, n’est-ce pas ? Et ce bien que la blondinette soit sûrement la seule personne au monde n’aimant guère le chocolat. Elle préférait tout ce qui touche aux fruits rouges, notamment aux fraises. Ce n’était guère le propos dans la minute mais si elle n’avait aucune envie d’avaler quoi que ce soit portant le nom de nourriture, elle avait grande hâte d’être la reine du green. Elle jouait à ce sport exigeant depuis des lustres et même son père n’avait jamais réussi à la battre. Elle n’avait pas souvenir, du reste, d’avoir un jour entendu Bradley parler d’un quelconque goût pour le golf. Il n’était pas du genre à privilégier les sports de riche comme celui-ci, et elle n’avait pas non plus eut vent de son talent à la Tiger Woods. Sans doute cette nuit agitée serait-elle plus révélatrice qu’elle ne s’y attendait de prime abord. Le jeune homme s’était déjà montré très étonnant, et si Maya ne pouvait pas dire que cela avait toujours été dans le meilleur sens du terme, elle se devait d’admettre que Bradley est un homme surprenant. Il ne se laisse pas dominer par ses émotions et c’est notamment cette qualité qu’elle lui envie le plus. La preuve, il était déjà en tenue et énonçait qu’il n’avait strictement rien à cacher, alors que Maya savait que si elle jetait un coup d’œil et se mettait à mater, elle n’était pas certaine de rester longtemps elle-même. La différence entre leurs deux tempéraments certainement, une différence de taille que Maya aurait rêvé de gommer d’un revers de manche. Hélas, tout le monde ne possède pas un tel contrôle sur lui-même ou ses pensées.

« Mais t’es pas humain ma parole ! Tu mattes une nénette avec un cul extraordinaire et tu restes de marbre…Faudrait vraiment que tu m’apprennes. Bah, j'ai rien à cacher non plus tu me diras. Au contraire même. »

Certes, l’alcool aidait grandement à délier la langue d’ordinaire si scellée de Maya. Elle ne se serait probablement jamais permis d’être aussi nature peinture en présence de Bradley, tout simplement parce qu’il appartenait à la gente masculine. Ses rapports avec celle-ci étaient aussi divers qu’enrichissants, et ma foi, si elle pouvait éviter les contacts, elle ne s’en privait guère. Avec Bradley s’était différent. Elle ne se serait jamais permise de boire ET de prendre sa moto ensuite si elle n’avait pas été totalement en confiance, tout en sachant que l’alcool la révélait exactement telle qu’elle savait être : Passionnée, ouverte d’esprit et franche comme elle ne l’était jamais en temps normal.

« Ouais, mais tu t’es déjà habillé c’est pas du jeu ! Tu triches t’es trop rapide. »

Petit clin d’œil. Il était tellement inhabituel de la voir aussi naturelle que c’en était presque choquant. Mais le fait est que ce n’était pas sa faute si elle mettait autant de temps pour enfiler trois fringues se battant en duel : Ses gestes étaient nettement moins synchronisés que d’ordinaire et elle comptait garder ses forces pour lorsqu’elle se trouverait sur le green, quitte à passer pour la pire cruche que la terre ait jamais porté en son sein. C’est Bradley qui devait sûrement se régaler du spectacle, d’une parce qu’il était drôle et inattendu, mais aussi parce qu’il fallait admettre que le corps de Maya était loin d’être désagréable à regarder. Pour le coup, il pouvait se rincer l’œil en toute impunité, c’était tout bénéfice, n’est-ce pas ?

« Tu peux me filer un coup de main ? J’arrive pas à attacher le haut, c’est une fermeture éclair…Faut qu’on m’explique l’intérêt bordel ! »

D’accord, la situation était cocasse, et si Maya avait été elle-même, elle ne lui aurait jamais demandé d’aide, trop honteuse de la chose qu’elle aurait été. Cependant, Bradley était là, il l’avait déjà vue en petite tenue et l’alcool dans son sens pervertissait très légèrement sa perception et ses sens vis-à-vis de la situation actuelle. Si elle n’en n’avait pas vraiment conscience et que cela ne la gênait pas, pourquoi rester à galérer alors qu’elle pouvait demander un coup de main ? Ils étaient entre personnes civilisées après tout !

Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal

Bien sur qu’elle avait des talents cachés elles les ignoraient peut être tout simplement, Bradley lui avait rapidement pris conscience de ce qu’il savait faire et ce qu’il ne savait pas faire. Quand on parle de lui on parle de lui comme quelqu’un de sur de lui, de narcissique, d’un mec qui se vante ou qui se la joue selon comment les gens le voient. Mais franchement pour le connaitre très bien, bien sur je ne peux vous dire qu’il n’est pas narcissique, quand quelqu’un se regarde dans toutes les glaces ou ce qui y ressemble qu’il croise c’est déjà qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas forcement très rond dans sa tête. Mais dire qu’il se vante c’est faux, Bradley admet volontiers ses défauts, il en admet même bien plus que ce qu’il en a. Mais pour ce qui est des qualités il ne fait pas le modeste sa c’est sur, donc conscient de ses forces et de ses faiblesses il fait facilement la part des choses. Ce que beaucoup de gens lui enviait c’été comme le dit Maya sa maitrise totale de soit, pour ce qui est des femmes j’arrive à le comprendre, il pose beaucoup avec des femmes magnifiques en string ou en lingerie fine pour son boulot. Sil il n’arrivait pas à se concentrer il faudrait qu’il change de métier, ensuite c’est vrai il se mettait souvent en danger. Je pense directement au jeu qu’il a avec Emy, la faire languir, la voir nue, la chauffer et même plus avant de disparait c’est tout de même avoir un self contrôle bien plus élevé que ce qu’un humain normal a, vous voulez l’explication ? Il a tellement vu de femmes nues, il a tellement couché avec des femmes que quand il en voit une et qu’il ne veut pas lui sauter dessus il pense à d’autre ou se dit qu’il trouvera mieux, un moyen de se mentir à lui-même pour passer pour un bon gars.
La Maya il jouait avec, elle était parfaitement faite, normal que son travail marche si bien, elle était sexy, savait jouer de ses charmes et ne devait pas mal danser, que des avantages pour un métier qu’il ne pouvait pas voir. Je sais je l’ai déjà dit mais il lui arriver de venir la voir avec un gros blouson, il payait une heure ou deux et lui passait le blouson, ils discutaient ensemble. Elle ne supportait pas ça, mais lui dans sa tête il se disait « Deux heures de moins entre les pattes d’un pervers », oui il avait peur pour elle. Peur qu’un soir elle soit attendu par un fou, qui la viol, la séquestre, elle qui avait déjà vécu dans de choses difficiles…


Le au contraire me plait pas mal ! Bon si tu veux que je t’avoue, ton cul les pas extraordinaire, il n’est même pas humain, rebondit, j’ai envie de le croquer mais j’ai déjà bien mangé se midi, j’arriverai donc à résister, promis je t’arracherais pas ta robe bien trop moulante.

Lui n’avait pas besoin d’alcool pour que sa langue se délie, elle n’était même jamais lié peut être une erreur. La franchise de nos jours est tellement rare qu’on ne peut que lui reprocher des choses qu’il fait plutôt des choses qu’il n’a pas faite. Bradley préférait la Maya qu’il voyait maintenant que celle avec qui il c’était pris la tête quelques dizaine de minutes avant, peut être une heure grand maximum. Elle était plus décontracter, plus elle-même, et non je ne dis pas ça parce qu’elle lui fait un petit rentre dedans.


Bon allez je vais remettre au même niveau que toi

Il baissa son short laissant apparaitre son boxer ultra moulant, un boxer très joli soit dit en passant, plein de motifs déçu, des touches de couleurs. Autant dire que le boxer valait une somme atomique, lui ne l’avait pas payé, pour les sous vêtements il était sponsorisé, il portait toujours des trucs hors de prix, les femmes qui le déshabillait avait même du mal à lui enlever le boxer, heureusement qu’il cache une machine à plaisir et que rapidement le boxer sauté.
Il leva son polo histoire de montrer ses abdos, il eut le tic de se toucher le ventre, tic qu’il avait tout le temps. Voilà elle avait vu ce qu’elle n’avait pas vu pendant qu’il c’était changeait, il remonta le tout et lâcha.


Finit le spectacle, le reste c’est payant…

Il s’approcha d’elle pour lui donner un coup de main à la jeune femme, d’un coup sec il remonta la fermeture éclair, ce qui eut une conséquence immédiate, la poitrine de la jeune femme, si ferme et si droite se leva à nouveau, fiou faisait elle exprès d’être habillé comme ça ?

Bon je m’en sors bien pour rhabiller les filles, un talent que je ne connaissais pas !

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Cette fois, leur discussion était nettement plus légère, presque drôle, et ne comportait plus la moindre trace de tension. Au contraire, celle-ci avait été littéralement balayée et si seulement elle en avait eu vraiment conscience, Maya se serait probablement félicitée d’avoir bu une petite goutte d’alcool. Elle s’était considérablement assouplie en l’espace d’à peine une demi-heure et cela faisait plaisir à voir. Elle riait plus facilement, se dévergondait de la manière la plus sensuelle qu’il soit et elle n’avait rien à craindre du fait qu’elle soit en galante compagnie. La partie n’étant pas anesthésiée par l’alcool se rendait bien compte de la chance qu’elle avait…Bradley était sûrement la dernière personne au monde à vouloir lui faire du mal volontairement. Il était maladroit, souvent cynique, mais désormais que leur dispute semblait terminée, il n’y avait plus vraiment besoin de revenir dessus. Il serait toujours temps qu’ils ne se reprennent le bec plus tard, lorsque Maya serait redevenue sobre et que sa souffrance ferait en sorte que ses paroles ne dépassent sa pensée. Mais pour l’instant, elle n’avait mal nulle part, se sentait parfaitement bien dans ses baskets et bien que ses gestes soient relativement désynchronisés, elle ne semblait pas s’en plaindre. Au contraire, la petite difficulté de la chose l’amusait plutôt. Elle n’avait de cesse de se marrer comme une véritable gamine qu’elle redevenait si peu souvent, et dont la sincérité ne pouvait être remise en doute. Pour sûr, Bradley ne l’avait jamais vue dans un état pareil. Il devait trouver cela aussi amusant que reposant, et ce bien que leurs disputes soient rares. Ils arrivaient à se côtoyer et à ne garder que le meilleur, et si ce soir ils n’y étaient pas parvenus, c’était uniquement parce que les confidences avaient gâché cette ambiance détendue ayant habituellement lieu entre eux. Maya détestait ce genre de confidence…Cela gâchait tout, rendait triste et faisait perdre un temps fou en discussions futiles. Si elle le pouvait, jamais elle ne quitterait l’état joyeux dans lequel elle se trouvait actuellement. Celui-ci était confortable et lui permettait de profiter à fond d’un moment qu’elle aurait certainement intellectualisé dans d’autres circonstances.

« Mais en fait t’es musclé ma parole ! Tu passes ton temps en salle de gym ou quoi ? Regarde-moi ces abdos ! M’étonne pas que les femmes hurlent après ton corps, espèce de séducteur va ! »

Petit clin d’œil accompagné d’un sourire en coin, non pas moqueur mais presque provocateur. Elle n’avait pas hésité à frôler lesdits abdominaux du bout de ses doigts, comme si cela lui appartenait. Il ne fallait pas oublier que la Maya alcoolisée n’était pas tout à fait maîtresse de ses faits et gestes…En conséquence, elle se permettait bien plus de choses que d’ordinaire et n’en n’éprouvait aucune honte. Après tout, elle venait de faire un compliment à Bradley, compliment qu’elle pensait absolument et qu’elle ne s’était pourtant jamais permis d’exprimer à haute voix. A croire qu’elle n’ait jamais souhaité aller dans son sens et lui permettre de se mettre encore un peu plus en avant…mais en l’occurrence, ce soir, ils étaient sur un même pied d’égalité. Maya se sentait nettement plus féminine, sexy, prête à chercher une quelconque proie afin de prouver par a+b qu’elle savait très bien séduire sans cours. Le fait est…Maya avait un caractère impossible et était de fait inaccessible comme demoiselle, mais son corps avait des courbes divines, ne pas le reconnaître ne pouvait que constituer un odieux mensonge. Cela dit, ce que l’on n’attendait nullement d’elle, c’est son jeu de séduction. Maya n’hésita nullement à faire descendre la fermeture éclair que Bradley venait tout juste de remonter, avant de hausser un sourcil de défi : Puisqu’elle avait un corps fabuleux et un fessier de rêve comme il l’avait justement fait remarquer, pourquoi ne pas l’utiliser ? Après tout, elle avait été raisonnable et prude pour les dix années à venir, inutile de poursuivre sur cette voie alors qu’enfin elle se sentait capable de se libérer…

« Tu peux m’aider, elle est redescendue je ne sais pas comment… »

Maya ne s’était pas encore avouée vaincue, loin de là. Ce n’était peut-être pas habituel de sa part, mais elle pouvait avoir un certain talent en matière de séduction…Talent qu’elle mis en œuvre simplement en caressant le haut du torse de Bradley du bout des doigts de sa main droite. Un geste à l’allure parfaitement anodine mais aurait certainement son petit effet.

« Et si on veut admirer le reste, quel paiement peut-être accepté ? »

C’était subtil. Maya s’exprimait en murmurant presque et quelque part, le « danger » l’attirait soudainement. Sans s’expliquer pourquoi…Mais de toute évidence, elle n’avait aucune envie de comprendre le pourquoi du comment de son attitude plus sincère et fougueuse. La vraie attitude de la blondinette si elle ne passait pas autant d’énergie à garder le contrôle d’elle-même.

Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal

Oui la discussion c’était totalement calmé, loin d’eux maintenant les disputes, la jeune femme avait but ne serait ce que deux verres, n’avait pas l’air ivre mais plus à l’aise, plus cool, peut être tout simplement que les deux verres lui avait fait oublier, l’espace d’un instant sa maladie, elle se sentait vivre. Après peut être simplement que c’été l’idée de faire du golf qui la rendait comme ça, elle n’avait jamais parlé à Bradley de ce gout prononcer pour se sport. Bien sur beaucoup trouvent que c’est un sport de riche, mais franchement en quoi se sport serait plus un sport de riche que le reste. Pas la peine de mettre de polo de marque, de short de marque, on peut louer des clubs pas besoin d’en acheter forcement. C’est vrai les riches adorent ce sport mais pourquoi ? Vous êtes vous déjà poser la question ne serait ce qu’une fois ? C’est tout simplement parce que les riches comme vous les appeler sont souvent au travail, oui l’argent ne tombe pas du ciel, ils sont tous de puissant hommes d’affaires qui ont besoins de se défouler tout en se calmant un paradoxe important quand on y pense. Le golf mélange les deux choses, l’espace d’un instant quand on frappe on lâche toute sa rage, mais ensuite on est calme se baladant sur le green, étudiant la moindre bosse, le moindre défaut de cette verdure impeccablement taillée.
Ok ce soir, ni Maya, ni Bradley étaient de riches hommes d’affaires avec beaucoup de soucis sur les épaules comme quoi le golf attire tout le monde, bien sur les deux sont des gens riches pour Maya et assez riches pour Bradley mais ils restent des jeunes comme les autres, juste un peu d’argent en plus mais rien de plus. La partie allait être drôle, entre un Bradley qui ne savait faire qu’une chose, frapper comme une brute et encore, frapper avec une brute quand il n’y a pas de balle c’est une chose, mais frapper la balle quand elle est là ça c’est autre chose, qu’il n’a jamais réussit à faire même dans un mini golf, c’était ce soir son premier golf. Puis après Maya, pas ivre, mais un peu joyeuse, elle avait l’air spécial, une attitude que Bradley aimait bien, dommage qu’il faille un peu de saké pour ça, arriverait elle à voir la balle correctement ? C’est une autre histoire mais tellement pressé de voir ça il se doutait bien qu’ils riraient tout les deux, elle se moquerait de lui parce qu’il est mauvais et lui se moquerait d’elle parce qu’elle prend un air sérieux, se décontract les épaules, un peu comme le ferrait Tiger Wood !


Séducteur arrête de me flatter, appel moi tout simplement beau gosse pour ce soir ça suffira.

Dit il avec une fausse modestie et voilà vous lui lancez une fois un compliment tout de suite après il en fait des tonnes, enfin pas vraiment pour une fois il est resté sobre, bien sur il à lancé une petite vanne sans laquelle on aurait pu croire qu’il avait de la fièvre mais pas de « Pas de gym c’est naturel » ou d’autre connerie qu’il aurait pu sortir. Ce soir ils étaient tout deux dans un autre état, lui voulait que la soirée se passe sans accro contrairement au début. Quand on pense au début ils ont fait beaucoup de chemin, partant d’un Bradley complètement fracasser, une Maya qui veut qu’il aille au médecin, puis un passage chez elle, un appartement qu’il n’a jamais vu pour ensuite s’engueuler fortement, apprendre qu’elle aune maladie qui va peut être rapidement lui prendre son corps, lui arracher sa meilleure amie, finissant ensuite dans un green, enfin finir c’est un bien grand mot, actuellement 4 heures du matin ils allaient certainement s’endormir tout deux dans l’appartement de la belle, à moitié assis dans le canapé entrain de regarder des conneries à la télé, peut être qu’autre chose se passera, cette soirée tellement surprenante va elle continuer avec les rebondissements ?
Première chose qui l’avait pas choqué mais plutôt surpris, agréablement surpris, le fait qu’elle passe son doigt, enfin son doigt je dirais plutôt la main sur ses abdos, plusieurs fois elle l’avait vu en boxer, en maillot de bain ou simplement torse nu mais jamais elle n’avait fait ça, pourtant lui ne comptait plus le nombre de main au fesse qu’il lui avait mit !

Quand la jeune femme lui fit face il fut à nouveau surprend d’entendre que la fermeture, il aurait voulut lui dire de prendre une taille au dessus, mais vous connaissez les femmes c’est le genre de chose qui les vexes, Bradley n’avait pas vu qu’elle avait fait exprès de faire descendre la fermeture lui croyait simplement qu’il était trop petit.


Allez tourne toi je vais faire ça mais c’est la dernière après tu la laisseras ouverte cette foutue fermeture, un défaut peut être !

Cette fois si ils étaient bien plus proche que la première fois ou il avait remonté la fermeture à bout de bras, là il plia les coudes, elle était à un avant bras de lui, une fois remonté il fut surpris de la voir se rapprocher et se retourner face à lui, passant son doigt sur le polo. L’effet ? Et bien pour le moment il n’y en avait pas, non pas qu’il résistait à quoi que ce soit, non pas qu’il jouait comme il à l’habitude de faire, simplement parce qu’il ne comprenait pas trop ce qu’il se passer.


Pour le reste, paiement liquide obligatoire je ne veux pas de trace, mais bon t’as pas les moyens !

Dit il avec un clin d’œil, cette fois si il avait compris la subtilité de la phrase. Bien que mauvais en étude lui aussi peut jouer avec les mots, ce qu’il venait de faire habillement mais la subtilité elle avait disparue.

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D’accord, ce n’était pas forcément bien malin de chercher la petite bête en présence d’un homme venant tout juste de se déshabiller à nouveau. Mais Maya avait toujours aimé jouer avec le feu, bien que cette facette de sa personnalité ne soit pas forcément visible aux yeux de n’importe qui. Peu étaient ceux qui la connaissaient vraiment, en vérité. Même Bradley n’avait pas toutes les cartes en main. Il ne savait pas qu’elle aimait la vitesse par-dessus tout et que le fait de se procurer des sensations fortes était son petit lot quotidien. Elle estimait que sa vie était déjà bien assez courte pour se permettre d’être une peureuse finie. Quant à la situation qui les occupait à présent, Maya n’avait aucune envie de se mettre de limite, quitte à le regretter le lendemain. Ce n’était pas exactement comme si elle avait le temps ou la place pour les remords, n’est-ce pas ? Aussi ne put-elle s’empêcher d’esquisser un petit sourire narquois face aux différentes répliques de Bradley : Pour sûr, il avait de la répartie, mais il ne maîtrisait pas ladite répartie au point de la demoiselle. Maya était passée experte en la matière, aussi incroyable que cela puisse paraître. Ce n’était pas nécessairement parce qu’elle avait été violée qu’elle n’avait aucune imagination en matière de relation charnelle…Au contraire, elle savait être passablement inventive et s’il n’était pour l’instant pas question de sauter sur ce beau jeune homme au corps proprement divin pour l’œil, Maya ne mettait aucune possibilité de côté. Elle n’avait plus vraiment de contrôle sur ses sens, bien que son art de la parole soit parfaitement intact. Restait à savoir jusqu’à quand elle allait aussi bien se débrouiller pour rendre la pareille à Bradley…Jusqu’à quand justement serait-elle capable de rétorquer verbalement sans qu’aucune mesure plus « physique » ne soit prise. Par principe, elle n’allait pas céder la première : Maya avait certainement une meilleure résistance que celle du jeune homme…

« Liquide ? Dommage, j’ai pas de portefeuille sur moi. En fait, j’ai pas grand-chose sur moi quand on y regarde bien. »

Le pire, c’est qu’il s’agissait d’un rentre dedans sans vraiment que cela en soit un. Tout ce que souhaitait Maya, c’était s’amuser d’une part, et tester les limites de son interlocuteur d’autre part. Bradley qui se prétendait capable d’être le meilleur sur tous les fronts devait sûrement être redescendu de son piédestal au moins pour ce soir. Personne ne peut avoir aucune faille, et s’il s’agissait d’une fausse vantardise, Maya ne voulait pas le savoir. La preuve, elle venait à nouveau de détacher cette foutue fermeture éclair et sans un mot elle s’était contentée de faire comprendre la chose à Bradley d’un simple haussement de sourcil. Effectivement, d’un point de vue purement pécuniaire Maya était loin d’avoir les moyens de satisfaire quelqu’un…Ou même la possibilité d’avoir la plus petite prétention financière. Mais disons que ce soit elle était sans doute prête à mettre en avant d’autres atouts, jusqu’ici encore trop souvent ignorés. Pour sûr, elle allait savoir en jouer, elle qui avait tant l’habitude de se déshabiller avec sensualité et goût…

« D’accord, je n’ai pas les moyens. Je suis une fille de riche sans aucun moyen…Paradoxal, hum ? Mais au moins j’ai des atouts que tu n’auras jamais vus chez personne d’autre. Parce que ne t’en déplaises, j’ai déjà plus de cervelle que la plupart des barbies que tu peux bien mettre dans ton plumard ! »

Ce n’était pas très fin, soit. Mais Maya n’avait pas tout à fait tort : Bradley n’allait tout de même pas lui faire croire qu’il sortait toujours avec des filles dont le QI aurait pu faire rougir ce bon Einstein ! La donne l’aurait surprise, évidemment. Mais Maya mettait clairement en avant qu’en plus d’avoir un corps tout à fait agréable à l’œil, elle avait de l’esprit. Elle n’était pas du genre à régler de genre d’affaire vite fait à l’intérieur d’une voiture et juste pour cette fois, faire preuve d’un peu de séduction ne lui faisait guère de mal. Aussi, plutôt que de continuer son petit manège à passer le bout de ses doigts contre le torse dénudé du jeune homme, la blondinette s’écarta légèrement, son regard se mettant soudainement à briller d’une intensité qu’on ne lui connaissait guère avant de tourner le dos à Bradley pour commencer à remettre en place sa fermeture éclair. Elle allait rapidement être fixée : Soit le jeu l’intéressait et il le continuait de lui-même avec son « tact » habituel, ou il partait du principe qu’il valait mieux qu’ils aillent chatouiller quelques balles d’abord…L’un dans l’autre, la suite de la soirée promettait d’être sûrement intéressante.

Les coups, quand ça vous arrive oh oui ça fait mal

Jouer avec Bradley ce n’est pas jouer avec le feu c’est pire que ça, vous avez en face de vous une personne qui n’a pas une seule limite comme lui, qui ne se braque rarement et qui oublie souvent les bonnes façons de faire. Bien sur cette fois ci il avait en face de lui une femme qui n’était pas à ses yeux comme les autres femmes, elle était la personne qu’il appréciait le plus sur cette terre, lui qui était fils unique n’avait jamais pu partager avec quelqu’un les moments que l’on peut décrire de fraternel de la vie, il n’avait pas eut une grande sœur présente pour le chouchouter, prendre soin de lui. Il n’avait pas eut de frère pour jouer aux petites voitures ni aux Action man, peut être qu’il ressentait maintenant ce manque, peut être que la façon d’être du jeune homme s’expliquait à l’heure actuelle par son enfance, une enfance parfaite mais avec un manque de contact que l’on peut juger de pesant. Oui maintenant il avait l’âme d’un enfant, il ne voulait pas vieillir et au contraire quand il croise un gamin il l’envie presque, la seule chose qui pourrait lui manquer dans cette vie d’adulte c’est je vous le donne en mille, le sexe, chose qu’on n’a pas quand on est enfant et chose qu’il aime par-dessus tout.
Ben alors pourquoi ne jamais avoir pensé sexe avec Maya qui est une fille magnifique, belle, intelligente, gentille et surtout très bien foutue. Donc pourquoi ne jamais avoir ressenti d’attirance pour elle, l’envie d’aller plus loin. Tout simplement parce que Bradley ne connait que les coups d’un soir, et qu’avec la belle il ne veut pas gâcher leur amitié, un coup d’un soir gâcherait à coup sur cette amitié magnifique qui en cette soirée vient de vivre sa première engeulade en des années. Une question arrive, si ce soir il venait à se passer quelque chose ou plutôt si quelque chose pouvait se passer comment réagirait il ? Et bien difficile à cerner le jeune homme, Maya est ivre, enfin est un peu joyeuse à cause de l’alcool, il pourrait donc déduire qu’elle ne veut pas ce qu’elle est entrain de faire et que c’est l’alcool qui la pousse à faire ça. Deuxième solution il a encore en tête le fait qu’ils soient les meilleurs amis, la meilleure amie qu’il n’a jamais eut et donc qu’il ne veut pas gâcher ça, la dernière est qu’il s’en moque et qu’il prend le risque.
Remettons les choses en place, le beau blond a vécu une rupture difficile avec Alice, femme qu’il avait demandée en mariage, femme qui a accepté sa demande avant de disparaitre dans la nature, difficile pour le jeune homme qui s’en remet petit à petit. Pour le moment il n’a rien avoué à Maya, il allait lui annoncer pour le mariage quand Alice a disparu, donc pour Maya rien ne c’est passé, c’est surement mieux comme ça. Ce soir il ne se voit pas annoncer une nouvelle chose à la belle, surtout une chose comme ça, il commence à faire le deuil, une première déception pour le beau blond, la première et surement la dernière il est bien décidé à devenir un pire enculé avec les femmes.


Pas grand-chose c’est vite dit, très bien habillé pour faire du golf, pas la place de mettre un portefeuille sa donnerait des formes moches à se corps parfait !

Voilà maintenant que le bellâtre ce mettait à jouer, ce n’était pas de bonne augure, il était un joueur et les limites qu’il avait dépassaient surement ce que pouvait penser la belle en face de lui. Bien sur avec Maya il avait toujours fixé des limites mais ce soir était un soir bizarre, il ne voulait pas la froisser mais ne voulait plus se retenir, il voulait être lui-même, l’état dans lequel elle était lui permettait au moins ça.


C’est vrai que tu es bien plus intelligente que toutes les filles avec qui j’ai fait quelques folies, mais bon je ne leur demandais pas franchement de faire des additions. Mais quand j’y réfléchis, je pense qu’elles étaient encore trop intelligentes à mon gout !

Quand la jeune femme revint pour qu’il lui remonte à nouveau la fermeture éclair il sourit légèrement et tout en lui faisant un léger baiser dans le cou pour ensuite la mordiller il descendit totalement la fermeture et lança.


Au moins là on sera tranquille, foutue fermeture éclaire.

Lui lança t’il avec un clin d’œil, oui il n’était pas prix Nobel mais comprenait après deux fois qu’elle en faisait exprès, long à la détente lui ? Non jamais !