| | | Oh le jolie lapin [Alcide C. van Stexhe] |  |
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Invité Invité
![Oh le jolie lapin [Alcide C. van Stexhe] - Page 2 Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) | | Sujet: Re: Oh le jolie lapin [Alcide C. van Stexhe] Jeu 16 Juin - 20:23 | |
| Séducteur, Alcide l’était, c’était indéniable. Si on le lui demandait, il n’hésiterait même pas à avouer. Sa faiblesse, c’était la féminité, et ce, depuis toujours. Dès qu’une femme lui plaisait, il se sentait prêt à lui décrocher la lune ou les étoiles, à être pour elle ce qu’elle voulait qu’il soit, pour une nuit ou plus longtemps, selon le bon vouloir de la gente dame.
Pour séduire, il aimait user de mots, de phrases, de petites attentions et de regards entendus. Fondamentalement, van Stexhe était un homme doux, le genre tendre, pas vraiment romantique, mais il pouvait l’être par moments… quand il était vraiment amoureux, en fait. Il l’avait été avec Annaëlle, il y avait vingt-neuf ans, puis avec Ana, quelques années après… Plus récemment, il avait joué au preux chevalier servant avec Lucie et il avait adoré cela. Chaque fois, il avait apprécié se mettre au service d’une dame pour essayer de participer au bonheur de celle-ci.
Les paroles de Liliane au sujet des hommes le firent sourire. Ainsi, la jeune femme lui semblait partager son point de vue. Peut-être étaient-ils faits pour s’entendre, au fond… L’enseignant se contenta de hocher la tête, sans répondre à ce qu’elle lui disait. C’était un silence qui en disait long malgré tout, rien qu’en voyant les traits du visage d’Alcide, on pouvait très certainement se rendre compte de ce qu’il réalisait en écoutant un tel discours. Certes, le thème était digne des topoï traditionnels, ainsi que la manière de l’exploiter, mais il y avait aussi quelque chose de plus… quelque chose que le passionné des belles lettres qu’il était ne pouvait encore parfaitement saisir pour le moment. Les paroles de la jeune fille lui tourneraient dans la tête toute la nuit s’il le fallait, mais il trouverait.
Tous deux avaient ensuite parlé de l’importance que l’on donnait trop souvent au regard des autres. Alcide avait fait part de son point de vue, un point de vue qui se voulait sincère et honnête mais qui, comme le soulignait Lili, n’était pas aisé à faire comprendre à de toutes jeunes personnes. Van Stexhe avait alors expliqué qu’il avait toujours essayé de faire passer ce message auprès des jeunes qui croisaient son chemin, il évoqua ainsi son neveu et sa nièce, Julien et Marie, les enfants de sa sœur, en dévoilant à Liliane ce qu’il avait utilisé comme phrase pour les faire tous deux réfléchir, le fameux « À défaut d’être, il faut paraître ». Marie et Julien avaient sans doute médité cela un bon moment avant d’en saisir le sens profond, mais l’homme était persuadé qu’à présent tous les deux étaient des personnes intègres pouvant être fières de ce qu’elles étaient vraiment. Autre chose qu’une façade de complaisance n’ayant pour but que d’être reconnue par ses pairs.
Quant au prénom Liliane, écoutant les propos de sa jeune interlocutrice, Alcide se sentit obligé d’en dire un peu plus au sujet de son amie perdue de vue, mais il commença par répondre à la question de la golfeuse.
"Charmeur, voyeur, beau parleur, mauvais golfeur… Je ne réfuterai rien de tout cela, Liliane, parce que c’est sans doute ce que je suis… Mais je peux vous dire ce que je ne suis pas, cela vous facilitera la tâche : je ne suis ni grossier, ni toujours sûr de moi, je n’ai pas pour habitude d’être facilement d’accord et, même en étant fondamentalement pacifiste, il m’arrive d’en venir aux mains pour l’une ou l’autre raison…" Pour le reste, Liliane n’aurait qu’à observer et prendre note mentalement des indices qu’elle pouvait relever sur le quinquagénaire. "Mais ne vous en faites pas, je sais faire la part des choses, vous n’êtes pas la Liliane que j’ai connue lorsque j’étais étudiant et vous n’avez donc pas à essayer d’être à sa hauteur… à moins que vous ne rêviez d’organiser avec moi des activités de bizutage universitaire, mais je crois avoir passé l’âge de toutes ces choses-là…"
Aaah, Liliane… Il était comitard, elle était comitarde. Tous deux calottés, baptisés de la fac de philo et lettres… Ils en avaient organisé des barathons ensemble ! Ils avaient aussi très souvent déliré sur tout et sur rien, rivalisant d’imagination pour passer des moments très drôles avec la bleusaille… ils avaient aussi couché ensemble à plusieurs reprises. Bref, oui, c’était ce qu’on pouvait appeler une excellente amie, pour l’époque. Par la suite, elle était partie à l’étranger, en Asie, où elle voulait changer le monde. C’était cet aspect-là de sa personnalité que van Stexhe avait toujours aimé : Liliane rêvait de grandes choses, elle était toujours pleine d’espoir et c’était contagieux.
Mais cette Liliane-ci, celle qui était avec lui dans ce club de golf, n’était pas celle de ses souvenirs… et encore heureux. Ce qu’il y avait de bien dans les nouvelles rencontres, c’était ce côté découverte de l’autre, nouveauté de l’autre et apprivoisement. Alcide adorait cela.
Lili lui souriait lorsqu’elle lui parlait de sa non-incompétence en tant que tuteur, rebondissant sur ce qu’il venait de dire, mais l’homme n’était pas rassuré pour autant. Son filleul, c’était devenu le centre du monde, le sens de sa vie, celui qui serait toujours là, même si Al venait à se planter complètement dans ses choix et dans sa vie… C’était la lueur d’espoir à laquelle l’homme tâchait de se raccrocher en cas de coups durs, c’était la petite étincelle qui, d’un simple sourire ou d’un simple câlin, était capable d’effacer n’importe quelle souffrance, sans même qu’il ne soit nécessaire de parler… Elyott, c’était un petit magicien qui mettait du baume au cœur, tout simplement, et à côté de qui van Stexhe se sentait terriblement dépourvu, parfois.
Pour la suite, eh bien, comme il avait été décidé que Liliane et lui iraient ensemble jouer au billard, il fut question des vêtements d’Alcide, de ce pantalon trop large qu’il allait enfin pouvoir quitter, bien que la jeune femme avait plutôt l’air d’apprécier l’opportunité que lui laissait le vêtement de lui offrir une vue sur les fessiers de l’enseignant. D’ailleurs, apparemment, Lili appréciait la vue, ce qui fit rire van Stexhe. Qu’aurait-il pu faire d’autre ? Au fond de lui, il n’aurait pas été mécontent qu’elle s’approche un peu plus, qu’elle vienne lui caresser les fesses ou qu’elle vienne se coller tout contre… mais ce n’était pas le genre de pensées qu’il était censé avoir en tête.
Liliane avait même l’air d’accord de se laisser caresser du regard pendant le billard. Voilà un bon deal, songeait l’homme !
"J’espère alors que vous n’hésiterez pas à bien vous pencher, Liliane, je voue un véritable culte à la poitrine…" Il disait cela comme une boutade, mais au fond, ce n’était pas faux. Et, tout en marchant, il laissa son regard essayer de deviner, sous les vêtements de son interlocutrice, ce qu’elle pouvait bien porter comme lingerie, imaginant de la dentelle – peut-être parce que lui-même aimait cela – et imaginant aussi ce que pouvait être la sensation de passer doucement la main sur cette poitrine-là…
Toutefois, il fut rappelé à la réalité par une histoire de bières, ce qui n’était pas plus mal, car à force de divagations, Alcide aurait très bien pu finir par faire une connerie ou par commettre une maladresse.
"Je remarque que vous dites « Celui qui perd paiera la deuxième »… mais j’étais déjà convaincu de payer les deux premières tournées, vous savez… Il y a trop longtemps que je n’ai plus joué au billard, alors vous allez m’envoyer au tapis très facilement…" Envoyer au tapis… voilà bien une tournure de phrase qui pouvait être interprétée de bien des manières. "Après tout, le tapis, à défaut de votre lit… Ce n’est déjà pas si mal…"
Van Stexhe faisait référence à ce que Liliane avait dit plus tôt, sur le fait qu’elle n’essaierait pas de le mettre dans son lit, qu’elle ne lui materait pas trop les fesses et qu’elle ne dirait rien au baby-sitter d’Elyott. Oui, il fallait suivre, c’est vrai, c’est le principe de l’humour à retardement.
Puis, de retour au bâtiment du club, tous deux rendirent leurs équipements, Alcide récupéra ses vêtements normaux, qu’il ne put pas enfiler directement. Il pouvait aller se changer aux toilettes, chose qu’il détestait, mais qu’il fit tout de même. Et il dut garder, évidemment, le pantalon et le polo qu’il avait été contraint d’acheter pour se ridiculiser sur le green.
Ils allèrent donc ensemble dans un bar que connaissait la jeune fille. Elle s’empressa de se diriger vers le billard qui était libre tout en invitant Al à aller chercher des bières. Ce qu’il fit sans rechigner, puisqu’il s’était proposé pour cela.
Dans son jean, l’homme se sentait bien plus à l’aise que dans le pantalon trop large. Pareil pour le tee-shirt, il le préférait très nettement à ce polo qu’il avait été obligé de porter. Commandant deux grandes bières pression, le professeur de psychologie paya les consommations puis revint vers sa partenaire de billard, à qui il tendit l’un des deux verres, avec un sourire.
"J’aurais dû vous demander ce que vous vouliez comme bière… apparemment, le choix ne manque pas ici… J’espère qu’une simple pression vous conviendra, Liliane…"
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| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Oh le jolie lapin [Alcide C. van Stexhe] Ven 17 Juin - 20:42 | |
| Il me facilita la tâche en enumérant quelques unes de ses qualités et défauts, interessant de savoir qui se trouve en face de moi mais j'ai surement encore enormément de chose à apprendre sur lui, heureusement d'ailleurs. Ce serait bien trop ennuyeux de savoir déjà tout, j'aime le mystére, la découverte, la seduction... Il y a t-il une seduction entre Alcide et moi? Je dirai que oui, dans toute rencontre, connaissance il y a séduction, que se soit avec un homme ou une femme. On cherche à plaire à l'autre, on se rend appréciable, on tente de montrer notre plus beau visage. Mais il y a t-il séduction dans l'attente de quelque chose de plus? Peut-être... Puisqu'après tout quand un homme rencontre une femme ou inversement, je pense qu'inconsciement on fini toujours par se poser la question : "Est ce que je pourrai être avec lui ou elle?" la réponse n'étant pas forcement toujours positive. Et la nous vient la grande question l'amitié entre homme et femme est-elle possible? Je ne vais pas débattre la dessus mais question interessante qui peut nous donner du fil à retordre et mettre pas mal de gens en désaccord.
Il me montre de nouveau son coté voyeur, dragueur que j'apprécie bien évidement. En tournant sa phrase dans le sens d'une petite boutade, de l'humour pour faire passer en quelque sorte un message. Est-il interessé par ma poitrine? Bien sur quel homme ne serait pas interessé? Aucune raison de le prendre mal, ou de se vexer au contraire autant le prendre comme une flatterie, je suis assez interessante mais surtout assez à son gout pour qu'il ose m'observer de tous les cotés. Je me contente de lui sourire, je ne manquerai pas de lui faire une remarque un peu plus tard dans la journée. Il me parle aussi un long moment de sa Liliane, une jeune femme qu'il a rencontré lors de ses études à la fac, une grande amitié apparement. Je ne pourrai jamais lui ressembler, tout individu est propre à lui même, chaque personne à sa personnalité, on est tous différents et heureusement d'ailleurs sinon le monde nous serait d'un grand ennui. Il faut de tout pour faire un monde, même des vilains ^^.
Une fois de plus je souris a sa remarque sur le tapis, une petite reférence à mes paroles de toute à l'heure par rapport à mon lit... Il ne lâche rien, toujours un mot à dire et j'aime ca, je suis sur de ne pas m'ennuyer avec lui enfin tout du moins j'espère... Si jamais ca arrive je trouverai bien une solution pour partir, un faux coup de telephone, une révision pour un partiel le lendemain, bref il y en a des tonnes à trouver.
Une fois arrivée au billard, Alcide s'empresse d'aller chercher les bières pendant que je me charge de mettre les boules en place, entre temps avant qu'il ne revienne vers moi j'attrape deux queues de billard que je depose sur la table.
"Ca me conviendra.. Merci"
Dis-je en attrapant la bière qu'il me tend, j'en bois une gorgée avant de la deposer sur un table pas loin de moi.
"Au fait ca ne vous derange pas si on se tutoie? Ca serait plus sympas non? On est plus au terrain de golf chez les coincés"
J'espère qu'il ne prendra pas ca mal, vu les années qui nous séparent l'un de l'autre, ce qui m'étonnerait puisqu'il a l'air assez simple, sans trop de chichi.
"On y va que je vous mets sur la table de billard"
Va t-il comprendre la référence par rapport a toute à l'heure? Moi aussi je fais de l'humour à retardement.. Je le regarde un instant pour voir si il fait le rapprochement avant d'attraper ma queue de billard et de rajouter:
"Un de mes fantasmes"
J'attrape la boule blanche puis la met en place, je me penche ensuite légèrement mettant mes fesses et ma poitrine en évidence avant de frapper dans celle-ci. Les boules s'écartent et s'aparpillent un peu partout sur la table, je me reléve et me retourne vers mon partenaire de jeu:
"A vous, vous voulez que je vous montre comment tenir la queue?"
Je me trouve dans mon élément, je suis plus à l'aise qu'au terrain de golf.. J'arrive donc à me lacher un peu plus, faisant de plus en plus d'allusion douteuse bien évidement tout ca sur un ton ironique même si.... |
| | | | Invité Invité
| | Sujet: Re: Oh le jolie lapin [Alcide C. van Stexhe] Sam 18 Juin - 15:44 | |
| Que penser des filles qui trainaient dans les bars comme celui-ci ? la plupart accompagnaient leur petit ami, d’autres se retrouvaient entre copines… Quant à Liliane, eh bien, elle sortait du lot car elle n’était ni avec une copine ni avec son mec. Juste avec un quinquagénaire quasiment inconnu, rencontré par hasard sur un terrain de golf et à qui elle s’était apparemment mis en tête d’enseigner le billard. Alcide connaissait les bases, bien sûr, mais il n’avait jamais vraiment joué, il n’avait pas de technique, il n’avait pas pratiqué depuis des années et, en plus de tout cela, il se fichait pas mal de perdre ou d’avoir l’air ridicule.
Le but était surtout de passer un bon moment, de se changer un peu les idées et, peut-être aussi, de faire un peu plus connaissance avec cette Liliane. Or, quel meilleur moyen y avait-il pour apprendre à connaître quelqu’un que de s’intéresser à ce que cette personne aimait ? En l’occurrence, la bière et le billard. Pour la première, van Stexhe connaissait plutôt bien le domaine, il n’avait donc que le billard à réviser.
L’homme était allé chercher les bières et en avait donné une à sa compagne de jeu, s’excusant de ne pas avoir pris ses renseignements avant d’aller commander, car, même si cela n’était pas très courant, ce bar offrait un panel assez varié de bières. Mais cela n’eut pas l’air de déranger la jeune femme pour autant. Imitant Liliane, Alcide but lui aussi une gorgée de bière, peut-être une trop grande gorgée en comparaison de celle que fit la demoiselle, d’ailleurs, puis, son verre à la main, il ne put qu’esquisser un sourire lorsque la jeune fille lui proposa qu’ils se tutoient.
"Je n’ai rien contre… effectivement, ici c’est bien moins axé sur les convenances et la politesse exagérée."
Le professeur préférait la simplicité, mais il ne se serait jamais permis de tutoyer Liliane si celle-ci ne l’avait pas proposé, car il estimait que le respect passait aussi par le vouvoiement lorsqu’on ne connaissait pas vraiment les personnes.
Et puis, il ne regrettait pas d’accepter le tutoiement, surtout en entendant les paroles de la jeune fille « On y va que je vous mette sur la table de billard »… hum… heureusement qu’Alcide avait un minimum de retenue. Son sourire s’agrandit et il arqua un sourcil, et, remarquant le regard de sa partenaire de jeu qui ajoutait quelques mots à propos de fantasmes, il laissa simplement échapper : "Eh bien, vas-y, fais-toi plaisir, Liliane…" et il se passa une main sur le menton, comme pour se donner une contenance face aux propos qu’il avait presque envie de prendre comme une galante invitation.
Van Stexhe regarda Lili s’emparer d’une queue et placer la boule blanche sur le tapis, dans une attitude qui attira le regard masculin sur tout autre chose que le jeu. Cette fille avait un joli corps et savait s’en servir. Les yeux baissés vers les fesses de la jeune femme, Alcide imaginait les sensations que cela devait éveiller de caresses ces fessiers-là, de prolonger les caresses vers les cuisses, doucement, en se laissant guider par le souffle de la jeune femme…
Il fallut à Alcide quelques secondes pour revenir sur terre, pour constater que Lili l’avait sans doute vu détailler ses fesses à ce point et, maintenant qu’elle s’était retournée pour lui faire face, il remonta les yeux lentement, s’arrêtant à la poitrine quelques instants avant de remonter encore, pour regarder la jeune femme droit dans les yeux alors qu’elle lui parlait de « tenir la queue ».
Alcide ne put s’empêcher de froncer légèrement les sourcils, sans doute parce que cette phrase, après les pensées qu’il venait d’avoir, sonnait comme une invitation, à nouveau. Il posa sa bière sur une table toute proche et s’avança vers la jeune femme.
"Allez, montre-moi ce que tu sais faire avec une queue…" Oui, l’homme rentrait dans son jeu, à nouveau. Il ne voyait pas comment il aurait pu résister à ce genre de tentation. Il aimait cela, jouer sur les mots, les doubles-sens, les situations un peu douteuses ou scabreuses… Et puis, si cela dérangeait Liliane, elle n’aurait pas continué sur cette lancée… "Alors, Liliane, une démonstration en bonne et due forme, je te prie…"
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| | | | Jake Fitzgerald there's no place like berkeley › prénom, pseudo : elo, lodiie
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| | Sujet: Re: Oh le jolie lapin [Alcide C. van Stexhe] Dim 10 Juil - 21:16 | |
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