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« Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia

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MessageSujet: « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia EmptyVen 4 Mar - 19:02

      « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia Torrey-torrey-devitto-18108567-75-75 « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia EdWestwick15
      « Le plaisir étant éphémère, et le désir durable, les hommes sont plus facilement menés par le désir que par le plaisir. »


Une soirée comme une autre, le temps est chaud, je n’ai pas réellement froid alors que je ne porte qu’une chemise ouverte sur les trois boutons du haut, couleur violet foncé. Un jean bleu foncé suivi de chaussures noires et par-dessus le tout je me réchauffais d’une veste en cuir marron. Je ne me chargeais pas en beau habit, j’avais décidément toujours la classe quelque soit mon habit, même si j’étais mieux sans. Une seule personne a pu voir mon anatomie dans les plus intimes recoins, et personne d’autre, du moins, je croyais que cela resterait ainsi, que les principes de l’amour et de la fidélité resteront ainsi marqués et gravés en nous. Je me suis trompé. Une nouvelle ville, une nouvelle vie s’offrait à moi. Mon père m’a donné un nouveau projet, celui de monter ma mafia ; de gré ou de force. J’avais le pouvoir, j’avais l’argent en Corse, pourquoi me fatiguer ici ? Pour tout simplement changer d’horizon et voir plus loin que mon pays natal. Alors que je sortais de mon humble chez moi, ne croyez-vous pas que j’aurais quitté ma somptueuse villa à peine fini pour un appartement à trois franc six sous de ce pays miteux ? Il est vrai qu’il est beau, mais tout se ressemble, tout manque d’originalité et je ne peux comprendre les gens qui appelant ça luxure. Je trouve rapidement un taxi et embarque. Il est 22 heures et la soirée n’a même pas commencé, pitoyable. Quelques minutes plus tard j’arrive devant l’imposant édifice et monte dans l’ascenseur vers le 38 iéme étage. Marcher dans le couloir et rejoindre l’appartement ou la fête avaient lieu. Quelques coups à la dite porte avant d’entrer dans un appartement aux senteurs alcooliques et illicites, des cigarettes ou d’autres herbes.. des regards que je connaissais se fixèrent sur moi et mon ami vint m’étreindre. Je lui rendais légèrement son étreinte alors que je prenais une bouteille de vodka et bougeait déjà vers le balcon, m’évader. Deux filles m’enlevèrent ma veste, voulant plus que me dévêtir alors que je leur donnais une légère tape sur les fesses pour m’en débarrasser. Me posant alors sur le balcon et admirant la vue, espérant alors être seul, alors que la musique battait à son plein. Je m’éloignais des regards via la vitre de ce grand balcon pour m’isoler au coin, et penser.
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MessageSujet: Re: « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia EmptyVen 4 Mar - 19:43

« Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia Edwestwick008
« notre relation ; ma drogue »


Ce soir là, Flavia l’attendait avec impatience. Cette soirée n’avait rien de bien différente des autres soirées de la jeune femme : elle allait la passer à faire la fête jusqu’à l’aube. Non, la différence ce soir c’est qu’il était là. Elle avait tellement envie de le voir, surtout après la journée mouvementée qu’elle venait de passer : les retrouvailles avec sa sœur n’avaient pas été de tout repos et Flavia comptait bien oublier tout ça. Lui, c’est Charles-Edouard. Leur relation si spécial rendait Flavia dingue, elle ne pouvait plus se passer de sa présence. Elle ne pouvait plus se passer de ce mec qui était désormais sa seule famille, son grand frère de substitution, celui qui savait tout d’elle. Flavia aimait la façon dont ce mec la regardait, où plutôt la façon dont il la déshabiller du regard.
La demoiselle avait donc quittée les cours une heure plus tôt ce jour-là afin de pouvoir se préparer. Après plus d’une demi-heure d’essayages et après avoir passé en revu plus de la moitié de sa garde robe elle opta pour une petite robe noire qu’elle venait tout juste d’acheter. Elle était parfaite pour cette occasion : ultra-sexy mais très chic, elle ne voulait pas non plus passer pour une fille vulgaire ! Elle accompagnerait sa robe avec de ravissantes chaussures à talons qu’elle avait ramenée de New York.
Après s’être coiffée et avoir retouchée son maquillage, la jeune femme était maintenant fin prête pour passer une nuit inoubliable.
Flavia eut à peine le temps d’admirer la ravissante vue qu’offrait la ville la nuit que son taxi s’arrêta enfin, elle était arrivée. L’immeuble était magnifique, pas de doute, elle était au bon endroit ! Une chance qu’à peine arriver ici elle connaisse déjà assez de monde pour être invitée aux soirées les plus branchées ! Sans plus attendre elle frappa à la porte et un jeune homme ultra sexy vint lui ouvrir. Flavia le salua, lui fit un clin d’œil et se pressa de pénétrer dans l’appartement. Le contraste avec l’extérieur était impressionnant. Ici l’alcool, la drogue et le tabac régnaient. Flavia sourit, elle allait enfin pouvoir s’amuser. 22h13. La soirée venait tout juste de commencer mais bon nombre d’invités étaient déjà ivres. Certains d’entre eux étaient déjà passés aux présentations plus intimes sur le canapé du salon. Écoutez pourquoi pas ? La vie est bien trop courte. Un verre d’alcool à la main, la jeune femme scruta l’appartement dans ses moindres recoins. Soudain, elle l’aperçut, seul, pensif derrière la baie vitré. Sans plus attendre, elle se dirigea vers le balcon. Ce ne fut pas chose facile, une dizaine de mecs plus canons les uns que les autres tentèrent de l'entrainer sur la piste de danse. Il faut croire que la robe y jouait un rôle important. Flavia se sentait bien, elle aimait qu'on le regarde, elle aimait être au centre de toutes les attentions. Elle alla rejoindre Charles-Edouard et posa une main sur son épaule. « Bonjour » lui susurra t’elle à l’oreille. La soirée allait enfin pouvoir commencer.




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MessageSujet: Re: « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia EmptySam 5 Mar - 16:42

      « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia Awf9g7
      « L'amour fraternel est plus durable. Il ressemble à la pierre précieuse qui résiste aux plus durs métaux et dont la valeur s'accroît avec les années. »


Ce n’est pas que je m’ennuie, c’est juste que j’avais besoin de sortir, et de ne pas rester seul chez moi, je ne pouvais pas. Mes pensées se tournaient soit vers Aislynn soit vers la Corse, deux choses dont je ne voulais plus penser durant un bon moment vu que je m’accordais un temps de plus, le temps que ma cousine fasse son opération et que je ne les laisse pas tomber, que je sois là pour elle comme elle pourrait être là pour moi. Un moyen de m’échapper à la dure vie que j’ai. C’est dur à croire, je vous le conçois, un homme comme moi qui ne fait que briser des cœurs et des culs, je mérite surement cela, pour tout les cœurs que j’ai brisé. Cela me prouve encore une fois que j’ai fait de mauvais choix et que l’amour n’est pas pour moi, qu’il est pour d’autres personnes, mais pas moi. Je n’ai plus le temps pour ça, et je dois aller à mon destin, quand je saurais que ma famille n’a plus besoin de soutient, que tout ira bien, je m’en irais dans l’ombre de leur bonheur. Mais j’en m’en voudrais si je laisse des gens sans nouvelles, derrière moi, la famille ce n’est pas que des liens de sang, c’est des liens d’amitiés qui sont tellement forts qu’ils ont atteint une toute autre dimension pour les gens qui le font vivre. Par exemple, avec Flavia. C’est ma sœur de cœur, je l’aime comme une sœur que je n’ai jamais eue, et c’est ainsi pour elle. Lorsqu’elle est arrivé elle n’était pas aussi à l’aise, et maintenant j’espère qu’elle s’est remise de son année et de ses aventures, j’espère qu’elle n’en fera pas de nouvelles, du moins, pas avec n’importe qui. Je suis proche des De Suza, Elena comme elle, et les deux me font de l’effet, je ne peux pas le cacher. Même si cette sœur de cœur me tente, même si j’ai envie de lui faire l’amour à chaque fois que je la vois, je tente de tout cacher et éteint les flammes de ce désir fou. Elena est différente, du moins, elle est plus grande et semble plus mature, mais elle est toute aussi tentante, les deux sœurs me tentent et c’est vraiment grave. En tout cas, les deux sont proches de moi, et c’est bien ainsi. Mes pensées se tournèrent de nouveau sur mon départ en Corse, il ne me restait qu’a retrouvé mon passeport et ça serait bien, je n’aurais plus qu’a les faire patienté jusqu’à mon arrivée en espérant qu’il ne perde pas patience, j’avais peur qu’il le perde. Mon verre à la main, je le finis d’un trait alors que je sentais une présence sur le balcon, en ma compagnie. Une main sur mon épaule et un ‘ Bonjour ‘ murmurait au creux de l’oreille, de quoi entamer la soirée, et je savais bien qui c’était, cette douce voix avec un léger trait latinos, je tournais doucement mon regard vers le sien, et comme d’habitude je me perdais dans son regard avant de poser ma main sur sa taille et la tirer contre moi. La câlinant comme tout grand frère avec quelqu’un de sa famille. Mon regard se fit par la suite plus précis. Après l’étreinte qui avait en faite duré deux bonnes minutes, je la regardais de haut en bas, elle était appétissante, comme toujours. Elle voulait me faire craquer une nouvelle fois ou que son grand-frère joue les flics si elle osait s’amuser avec quelqu’un à cette soirée ? Au fond c’était son droit, mais ma jalousie et ma manie de penser les gens comme ma propriété revenait doucement. Peut-être macho mais si l’on me demandait je dirais que ce n’est qu’un peu trop de jalousie, et une peur, la peur de perdre les gens que l’on aime, d’être seul. A jouer le bad boy solitaire, on en s’attire généralement pas les bonnes grâces de tout le monde, surtout quand l’on s’amuse à briser des cœurs. « Ma Flavia, ma belle, comment vas-tu ?! Cela fait bien trop longtemps que l’on ne s’était plus vu.. depuis mon retour de France je crois ?! » D’ailleurs, j’aurais du l’appeler et la tenir au courant, c’est vrai, mais j’étais bien occupé là-bas avec Aislynn. Maintenant que je n’ai plus la belle blonde dans mes yeux et mes bras, je suis libre à toutes autres, et cela pour toujours je pense. L’amour ça n’est réellement pas fait pour moi. Alors quand je la reprends dans mes bras, j’en profite pour contempler autre chose que Flavia, l’horizon, la vue qu’offre cet étage, je me dois de résister, au cas où « Tu as déjà du faire tourner des têtes en venant à cette party, j’en suis sûr.. fais attention en tout cas. » Cela c’était au cas où elle se lassait de ma compagnie et pour aller voir un autre, au cas où, je ne sais pas, ça fait tellement longtemps que l’on ne s’est plus vu, peut-être qu’elle ne m’aime plus autant qu’avant. Je doute ? Oui, et alors =(.
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MessageSujet: Re: « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia EmptyDim 6 Mar - 15:35

« Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia Edwestwick008
« Amour, amitié, attirance. »


A ce moment précis j’étais tout simplement heureuse. Cela faisait longtemps que je ne mettais pas sentie aussi bien. J’aimais être à ses côtés, j’aimais être près de lui. J’aimais la façon dont il me regardait, j’aimais la façon dont il m’aimait. Il me protégeait, avec lui je me sentais en sécurité et c’était un des seuls mecs que je connaisse qui me respectait. J’avoue que ça me changeait des mecs que je fréquentais. En même temps il faut voir les endroits que je fréquentais aussi : des soirées, des soirées et encore des soirées. Leur point commun ? La totalité des personnes qui y était présente finissait complètement ivres, défoncés ou à coucher avec tout le monde. J’avoue que je faisais aussi partie de ces gens là, je n’avais pas changé depuis mon départ de New York, je n’y arrivais pas, c’était plus fort que moi. Avec Charles-Edouard au moins je n’avais pas besoin de tout ça, je pouvais être moi-même. Même en jogging, la tête dans le cul et à trois heures du mat’, je me sentais belle dans son regard. Il savait tout de moi, il connaissait chaque détails de mon passé pourtant il ne m’avait jamais jugé. Depuis mon départ de la maison je n’avais plus aucun contact avec ma famille, il était un peu le grand frère que je n’avais plus, il le remplaçait d’ailleurs très bien. Je voulais qu’il soit fier de moi, je savais ce qu’il pensait de mes escapades nocturnes mais pour le moment je ne pouvais me résoudre à changer et il le comprenait. Flavia était un peu son double au féminin. Nous n'étions pas doués pour l'amour, ce n'était tout simplement pas pour nous donc nous en profitions pour enchainer les conquêtes. Il voulait mieux pour moi, bien mieux, mais je ne voulais pas devenir une Elena, je voulais me démarquer. Honnêtement je ne pense pas non plus qu’il souhaiterait que je devienne ma sœur, nous étions toutes les deux biens différentes et ça m’allait parfaitement comme ça.
Charles-Edouard m’attira contre lui, et me regarda pendant un long moment, avec le même regard que d’habitude. Ce regard qui me transperce, ce regard que j’aime tant. Nous sommes restés là quelques minutes, l’un contre l’autre, sans rien dire. « Ma Flavia, ma belle, comment vas-tu ?! Cela fait bien trop longtemps que l’on ne s’était plus vu.. depuis mon retour de France je crois ?! » . J’étais tellement heureuse d’entendre sa voix, de l’avoir enfin retrouvée après tout ce temps. « Je vais très bien et toi ? Oui c'est exacte, d'ailleurs raconte moi tout, comment ça s'est passé ? Tu as du faire tourner la tête de ces petites françaises!» dis-je en lui caressant les cheveux. J'avais envie qu'il me raconte son séjour en France dans les moindres détails, j'étais tellement excitée, j'avais envie de lui poser des centaines de questions. « Tu m’as manquée tu sais ! » . Pour être honnête ça n’allait pas très bien, les souvenirs de New York ne cessaient de me revenir et cette petite guerre entre Elena et moi commençait à me fatiguer. Mais là, oui, j’étais bien, à ses côtés donc je n'avais pas totalement mentie. « Tu as déjà du faire tourner des têtes en venant à cette party, j’en suis sûr.. fais attention en tout cas. » . Ces mots me firent sourire. J’aimais qu’il me parle comme ça, qu’il me protège, qu’il prenne soin de moi, comme un grand frère. « Oui peut être, pour être honnête je n’ai même pas fais attention ! » . Je lui souris et passa une main derrière son dos. Il avait l’air soucieux, triste il n’était pas comme d’habitude, quelque chose clochait. Ça faisait si longtemps que nous ne nous étions pas vu, j’espérais simplement que ce n’était pas ma présence qui le gênait et que rien n’avait changé entre nous. « Dis moi, quelque chose ne va pas ? »




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« Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia Empty
MessageSujet: Re: « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia EmptyLun 7 Mar - 21:02

      « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia Awf9g7
      « Chacun a père et mère, mais rien de plus difficile à trouver qu'un frère. »


Flavia, je la considérais comme ma sœur. Si ce n'était pas réellement ma sœur de sang, elle l'était ma sœur de cœur ; mais les sentiments, le désir qui naît quand l'on passe du temps ensemble, il n'est pas là pour une sœur de cœur. Du moins, il ne devrait pas être là. Mais, je suis un prédateur, j’aime les femmes et surtout le plaisir que j’ai entre leurs cuisses. La situation était bien trop tentante, mais pour la première fois je me montrais raisonnable avec elle. Lorsque nous étions ensemble et qu’elle se promenait devant moi moins habillée que maintenant, c’était tellement tentant mais si peu raisonnable. La raison je la montrais à ces moments là, ces moments forts de complicité et d’amitié que je ne voulais pas gâcher, car j’avais peur de la perdre comme sœur de cœur, elle avait besoin de moi & moi d’elle d’une façon que personne ne pourrait comprendre. Le désir physique que se fait nos corps n’est que nos hormones qui nous jouent des tours. Avec elle par exemple, je ne buvais pas trop, je ne sais pas ce que je pourrais faire dans un état que je ne pourrais contrôler, même si je tiens vraiment à l’alcool. Je sais que ma raison, elle, peut défaillir. J’ai déjà perdu une amie ainsi, laissant l’aspect de désir entre nous prendre forme, alors que nous aurions pu le stopper. Il créa un malaise, puis un froid, nous nous étions disputés, et aujourd’hui, nous ne nous parlions plus, plus du tout. Je ne voulais pas que ces mêmes choses se répercutent sur notre relation que nous avions, mais il fallait avouer que le désir était parfois tentant, très tentant. Comme ce soir. Une petite robe sexy qui moulait ces formes parfaitement, je l’imaginais bien avec des sous-vêtements affriolants que j’arracherais bien de mes dents, pour baiser son corps de mes lèvres jusqu’à la rendre folle. Mais je me mordais la joue intérieur et pensais à autre chose, il ne fallait pas que je pense à ça, sinon je risquais d’avoir de l’effet sur mon corps si je ne pouvais me contrôler. L’excitation chez un homme.. ça se distingue vraiment vite et bien. Je lâchais l’étreinte que nous avions alors que nous étions encore plus proches à présent. Mon verre vide sur le balcon, menaçant de tomber dans le vide et qui sait, s’écraser sur la tête de quelqu’un. Je m’empressais de le prendre en main pour éviter cet éventuel désastre et ne plus penser à ma sœur de cœur ou bien à mon futur qui devenait plus proche que je ne le pensais, même si tout n’était pas fini, même s’il me restait du temps, il m’en restait trop peu. Ma vie allait disparaître, alors autant en profiter jusqu’au bout avec les personnes qui me sont proches, voilà ce que je devais faire, et c’est que je faisais. Alors qu’elle répondait à mes questions, mon regard dans le sien avant que je ne regarde en face de moi, échapper à la tentation, rester à la raison. Un sourire ornait mes lèvres à sa première question, il est vrai que j’ai du faire tourner des têtes, mais une seule à fait tourner la mienne et je n’hésitais pas a répondre, sachant que ravivais des souvenirs serait douloureux, mais tant pis, je ne lui refusais rien, même à mes dépens « On fait aller comme tu vois.. on profite des soirées, tout comme toi je présume ! Oui, j’en ai fais tourner, du moins je crois.. tu sais, j’ai été en couple avec la présidente des Iota, Aislynn, une jolie blonde.. je ne sais pas si tu la connais. Je n’ai pas vu le temps passé là-bas, mais bon, le retour, a été dirions-nous, fructueux et son ancien petit-ami a voulu la récupérer et finalement il a eu gain de cause. Maintenant je suis là, et je ne fais que profiter, comme avant et rien de plus. » Les sentiments pour moi de nouveau ? Très peu pour moi, je ne voulais pas faire confiance une nouvelle fois en ces choses mystiques qu’étaient l’amour et autres folies que la vie octroie. Elle passa sa main dans mes cheveux et je frémis très légèrement, imperceptiblement pour elle, à ce contact qui m’avait tant manqué avec elle. Doucement je pris sa main libre et joignit ces doigts aux miens et la regardant dans les yeux je murmurais « Toi aussi tu m’as manqué, tu me manqueras toujours Flavia. » Je lui souris, tout cela respirait un peu trop le romantisme, je faisais sans doute sensation auprès de ma petite sœur, enfin j’en doutais. Mon regard se portait de nouveau sur l’horizon alors que je sentis sa main dans mon dos, voulant me réconforter, elle sentait que j’allais mal et c’était exacte, du moins, je n’avais pas le moral quand je pensais aux choses qui me feraient quitter Berkeley, mes ami(e)s, mes proches, ma famille. Je portai encore une fois mon regard dans le sien et dit alors d’une voix qui était vraie et sans fausse note « Oh rien, trois fois rien, je ressasse juste quelques mauvais souvenirs que je dois oublier. Alors toi & ta sœur ça va ? Et ne me fais pas croire que personne ne ta regardé avec cette robe, si je ne serais pas ton aussi proche de toi, tu sais bien que je serais comme eux, à baver sur toi et tenter de te dévorer tellement tu es appétissante. » Raison ? Raison ?! Ou es-tu ? Réveille-toi là, alerte !! Oui, il fallait que je fasse gaffe à ce que je disais, et surtout à ce que je buvais. Je posais mon verre vide loin de moi pour éviter la tentation de me resservir. Adieu tentation, plus qu’une à surveille, le désir.
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« Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia Empty
MessageSujet: Re: « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia EmptyMer 9 Mar - 15:14

« Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia Edwestwick008

    L’entendre me parler, après tout ce temps passé si loin de lui me dit un bien fou. Je pris le temps de l’observer et je ne pus m’empêcher de sourire. On pouvait comparer Charles Edouard à un animal, oui en quelque sort c’était un animal et je voyais bien à sa façon de me regarder que si j’avais été une simple inconnue nous aurions très vite fait plus ample connaissance. Je n’étais pas aveugle, je m’en rendais bien compte. En réalité je m’en suis toujours rendue compte. La première fois que je l’ai croisé, dans ce couleur je n’aurais jamais imaginé que notre relation prendrait ce chemin. Il m’avait aidé à me relever après m’avoir bousculée, nous aurions pu très bien en rester là et ne plus jamais s’adresser la parole. Ou nous aurions aussi très bien plus régler ça sous la couette. La première fois que je l’ai croisé oui je pensais le mettre dans mon lit et je pense qu’il se disait surement la même chose. Pourtant notre relation à prit une toute autre dimension : il est devenu un ami, un confident, un appuie précieux, un grand frère. Alors oui, bien que notre amitié soit sincère et forte, Charles Edouard n’en reste pas moi un homme, un dangereux prédateur voulant sauter sur tout ce qui bouge et je crois que le voir parfois aussi gêné avec moi me fait rire. J’apprécie ces efforts, il me prouve au quotidien qu’il tient en notre histoire, qu’il croit en nous et qu’il ne veut pas tout gâcher. En l’observant je remarquai définitivement qu’il n’était pas comme d’habitude, il était anxieux, pensif, ailleurs. J’étais inquiète pour lui, j’avais tellement peur qu’il fasse une connerie ou qu’il parte pour régler ces problèmes. La fuite n’est pas une solution, je le sais mieux que personne. Le passé nous rattrape toujours. Pendant quelques instants j’imaginai alors ce que serait ma vie sans lui, c’est bien simple je ne pouvais pas. Sans lui je ne pourrais plus, pas maintenant que je sais à quel point c’est bon de ne pas être seul, d’avoir quelqu’un sur qui compter. Avant qu’il ne me réponde je sentis bien que j’avais touchée un point sensible.« On fait aller comme tu vois.. on profite des soirées, tout comme toi je présume ! » . Effectivement il n’avait pas tord, depuis mon retour il faut dire que je les enchainais. C’était le seul moyen que j’avais trouvé d’oublier New York et mes problèmes. « Oui, j’en ai fais tourner, du moins je crois.. tu sais, j’ai été en couple avec la présidente des Iota, Aislynn, une jolie blonde.. je ne sais pas si tu la connais. Je n’ai pas vu le temps passé là-bas, mais bon, le retour, a été dirions-nous, fructueux et son ancien petit-ami a voulu la récupérer et finalement il a eu gain de cause. Maintenant je suis là, et je ne fais que profiter, comme avant et rien de plus. » Je ne m’attendais absolument pas à ça. Depuis que je le connaissais je n’avais jamais vue Charles Edouard triste pour une fille, pas une seule fois. Serait-ce une peine de cœur ? Je le pris dans mes bras, j’avais tellement envie de lui montrer à quel point j’étais désolée, à quel point il pouvait compter sur moi. Aislynn… Je ne la connaissais pas pourtant je ne l’aimais déjà pas, si je la croise celle la… J’étais en colère maintenant, j’étais en colère contre cette fille qui était en train de rendre mon frère de cœur malheureux. D’ailleurs comment son petit ami à t’il pu la récupérer ? Ce qu’il venait de me dire m’étonna énormément, Charles Edouard avait toujours eu toutes les filles qu’il voulait. De plus il était mignon, sexy, et il savait y faire… Non vraiment je ne comprenais pas. Il faut croire que cette fille n’avait vraiment pas de gout. Il méritait mieux. « Ooh, je suis sincèrement désolée ! Il ne faut pas te laisser abattre, tu es jeune, beau, sexy, tu rencontreras une autre jolie blonde bien mieux que cette fille ! » . C’était pourtant elle qu’il voulait mais je ne su quoi lui dire d’autre. Je resserrai encore mon étreinte. J'aurais tant voulue faire plus pour lui, j'aurais tant voulue prendre toute sa peine et la lui enlever. « Mais pourquoi tu n’essaie pas de la récupérer ? Tu vaux bien mieux que tout les mecs réunit je te le jure ! » C’était la petite sœur fière de son grand frère qui parlait. « Ne te laisse pas abattre, je ne supporte pas te voir comme ça, viens, cette semaine je t’emmène faire la fête tous les soirs et or de question que tu rentre bredouille, je vais inviter les plus jolies nanas de ma confrérie ! » . Oui, comme je venais de le dire je ne supportais pas de le voir comme ça, ça me rendait folle. Il me prit la main tendrement. Au fond nous nous ressemblions bien plus que je ne le pensais. L’amour n’était décidément pas fait pour nous. Du moins pas pour moi, lui il trouverait forcement quelqu’un. Il le méritait. C’était un mec génial. « Toi aussi tu m’as manqué, tu me manqueras toujours Flavia. » . Cette phrase me fit tant de bien, j’étais heureuse de savoir qu’il avait pensé à moi, que ma présence lui avait manquée. La deuxième partie de sa phrase me rassura, je m’étais faite des idées, il ne comptait surement pas partir. Du moins je l’espérais. Je ne m’en remettrais jamais. Je serrai sa main en signe de réconfort et déposa un baiser sur sa joue. J'aurais tellement aimée faire plus pour lui, je voulais au moins qu'il sache que j'étais là. « Oh rien, trois fois rien, je ressasse juste quelques mauvais souvenirs que je dois oublier. » Mon dieu comme je n’aimais pas le voir comme ça . « Tu veux qu’on en parle ? » Oui, j’avais envie qu’il m’en parle, je ne supportais pas me sentir aussi impuissante. « Alors toi & ta sœur ça va ? » . Pendant quelques instants je l’avais presque oubliée. « Ouh.. Disons que c’est..compliqué ! C’est très tendue, pour le moment chacune de nos conversations finie entre les cris, les hurlements et les larmes... ? » Un frisson me parcourue rien qu’à l’évocation même de ma relation si conflictuelle avec Elena. « Et ne me fais pas croire que personne ne ta regardé avec cette robe, si je ne serais pas ton aussi proche de toi, tu sais bien que je serais comme eux, à baver sur toi et tenter de te dévorer tellement tu es appétissante. » Sa dernière phrase me fit rire, il ne m’avait jamais parlé comme ça, même si je savais parfaitement ce qu’il pensait c’était la première fois qu’il me le disait. Preuve irréfutable qu’il était mal. « C'est gentil. En tout cas je n’ai pas fais attention, je ne suis pas venue pour eux ». Non, j’étais venue pour lui. « Oh, à ce point ? Toi aussi, tu es parfait ce soir. Comme toujours ! » Sans m’en rendre compte je dis ces derniers mots d’une manière plus sensuelle que je ne l’aurais voulue. Non, non, non il fallait que je me calme, il faisait le maximum et moi je ne faisais que pour lui faciliter la tache.

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MessageSujet: Re: « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia EmptySam 12 Mar - 13:17

      « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia Awf9g7
      « Chacun a père et mère, mais rien de plus difficile à trouver qu'un frère. »


Une sœur de cœur, ce n’est pas vraiment comme une sœur de sang, alors on a le droit de coucher avec ? Non ? Voilà ce qu’au font de ma tête, je pensais. Une question sur laquelle plusieurs réponses arrivaient comme un simple ‘ Oui ‘ ou encore ‘ Non, ce n’est pas bien. ‘ Ou encore celle-ci qui me ferait bien rire ‘ Demande-lui d’abord. ‘ Ma réponse à moi, que je me donnais était que je ne pouvais pas. Même si nous n’avions pas le même sang, nos sentiments l’un pour l’autre étaient fraternels. Du moins, même si elle me faisait de l’effet et que je lui en faisait aussi, je ne devais pas céder à la tentation, à la faiblesse que je ne regrettais jamais et que je faisais toujours, mais je ne devais pas, pas avec elle. Alors je ne dis rien, je pensais encore et toujours et c’était peut-être ça qui l’inquiétait, me voir moins bavard et plus pensif, plus la tête dans les nuages, c’est sans doute pour ça. Alors je la regarde et j’essaye de trouve quelque chose à dire, mais je n’ai rien à dire, j’attends juste ces réponses à ce que je viens de lui apprendre, ce que je viens de lui avouer à elle et à personne d’autre ; les autres le savent déjà. Me faire prendre un pain dans la gueule par Joshua en plein bal de Noël a fait fureur. C’est vrai que j’aurais pu aller à l’encontre de leurs décisions ; mais elles étaient unanimes l’un pour l’autre. L’un voulait la récupérer, l’autre voulait retourner avec lui, dans ces cas-là il n’y a pas de décision, il n’y a plus de choix ; juste à souffrir en silence et regarder un spectacle qui vous brise le cœur sans douceur. Je n’ai pas attendu pour voir la suite des choses ; je le savais déjà. Leurs amours est plus fort que les quelques mois que j’ai pu passer avec elle, je n’étais qu’une sorte d’entracte. Suffit, j’en ai marre de penser à cela, je n’aurais pas du ouvrir ma gueule, mais je ne pouvais pas avoir de secret avec ma sœur, même si ce n’était que ma sœur de cœur. Même si je la désirais et qu’au fond je rêvais de l’avoir dans mon lit, de partager un moment des plus fous avec elle. Mais non, il fallait que j’arrête de rêver et que je sois raisonnable, que je sois véritablement moi-même. Justement, il ne faut pas que je sois moi-même si je veux qu’elle soit loin de mon lit. Je dois être quelqu’un de coincé, ou tout simplement me retenir de ça, rester simplement raisonnable. Facile à dire, difficile à faire ; je ne suis qu’un Gamma. Un Gamma n’est pas censé être raisonnable, et pourquoi le serais-je ? Autant en profiter non ? Non, ce n’est pas bien, je ne veux pas que notre lien fraternel en pâtisse car il est sûr qu’il changera tout s’il se passe quelque chose. Il fallait que je réponde quelque chose, un silence se faisait entendre, et puis il fallait que je lui explique, je n’aurais pas du entamer ce sujet mais bon, ce n’est pas grave ; je ne peux décidément rien lui caché à ma Omega d’amour « Je sais très bien que je suis sexy et beau et tout ça, mais ce n’est pas ça. Leur histoire datée d’avant qu’elle & moi nous nous mettions ensemble, j’ai été une sorte de entracte pour elle.. du moins je crois, mais je ne peux pas lui en vouloir à elle, juste à lui. Et puis je n’ai pas besoin d’aide pour avoir les plus jolies nanas ; je t’ai déjà toi (a) » Et re-bim ! Il faut que j’arrête, mais c’est tellement tentant, je ne peux pas résister, alors que faire ? Je ne sais pas et je verrais plus tard, bien avant que ce soit bien trop tard. Mon regard ne quitte pas le sien alors qu’elle est contre moi, sa main dans la mienne, nous sommes liés. Elle me donne un bisou sur la joue et j’aimerais tellement plus. Mais NON ! C’est ma sœur voyons (a) ! Je résisterais coûte que coûte. Puis vint le tour de mes pensées noirs, je ne veux pas lui dire que je vais bientôt m’en aller, du moins pas ce soir. Je lui souris et fit un non de la tête puis écoutant sa réponse sur l’état actuel de sa vraie sœur & elle. Oui, il fallait que je réussisse à les mettre en accord toutes les deux, mais ça promet d’être dur, vraiment dur. Deux caractères hispaniques, deux bombes que je devrais parler une à une pour les faire concorder de nouveau. La vie est trop courte pour se chamailler encore & encore. Je suis sûr qu’elle avait vu ces gars la reluquer de bas en haut comme j’avais fait. Ma sœur me plaisait et je la voulais, mais je résisterais, je ne pourrais que flancher si c’est elle qui vient vers moi, et ce ton sensuel avec laquelle elle me parle, je ne peux pas résister indifférent, mais je le dois. J’avale ma salive et cherche de quoi répondre. Mon regard toujours dans le sien, je ne dois pas rater mon coup et essayer de calmer le jeu, comme toujours ; il le faut. « J’essaierais de lui parler à elle aussi, de sorte que vous vous remettiez en ordre, la vie est bien trop courte pour continuer à se disputer ainsi. Je sais que ça doit être dur, et avec vos caractères respectifs ça promet de l’être encore plus, mais je vais tout faire pour voir un beau sourire sur ces magnifiques lèvres – Et je résistais là ? Mon cul ! – Je ne suis pas parfait, bon, peut-être que si, mais ça ne reflète que l’image que tu envoie en restant près de moi ma belle ! Et ne dis pas que tu ne les as pas vu, ils t’ont surement reluqués dès ton arrivée, et je suis sûr qu’il te regarde depuis la fenêtre du balcon. – Je me retournais pour vérifier et effectivement il reluquait le fessier de ma sœur :O – Les salopards, ils te matent ! Mode protection activé ! » Dis-je avec un sourire alors que je me plaçais derrière elle, posant mes avant bras sur le rebord du balcon et restant collé à elle, ainsi, on pourrait croire que je lui faisais du rentre dedans mais non, personne n’avait le droit de la voir, même pas moi. Quoique.. CHUT ! Personne ! Oui, je suis protecteur, ou peut-être trop mais bon, je fais bien mon boulot, non ?
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MessageSujet: Re: « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia EmptyLun 14 Mar - 19:25

« Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia Edwestwick008

    Parfois, souvent même quand je regardais Charles-Edouard, ou plutôt quand je voyais la façon dont il me regardait j’avais envie d’aller plus loin. J’avais couchée avec tant de mec dans ma vie qu’à ce jour et bien que je sois pourtant très jeune je serais incapable de les citer. Seulement voila, j’avais couchée avec eux lors de soirées, et je ne me souvenais plus de la plus part de leur visage. Ces gars là n’avaient aucuns sentiments pour moi, Charles-Edouard en avait lui. Peut être pas les mêmes que ce que se portent deux personnes folles amoureuses l’une de l’autre mais il m’aimait, sincèrement. C’était quoi de faire l’amour, de coucher avec quelqu’un qu’on aimait vraiment ? Je n’avais aimée qu’une personne dans ma vie mais ça remonte à si loin maintenant. Mon mari. Shakespeare. Malheureusement à cause de toutes mes putains de conneries, j’avais tout foutu en l’air. Mais que voulez vous, on ne change pas les gens. Parfois je regrette, je me dis que ma vie aurait été bien différente, très différente si j’avais été une bonne petite épouse fidèle mais ce n’est pas moi malheureusement. Je suis fidèle aux gens que j’aime mais mon grand amour sera toujours la fête, l’alcool et la drogue, donc avec tout ça comment être fidèle ? Comment tenir quand à chaque soirées des mecs plus mignons, plus canons, plus sexys les uns que les autres ne voient que par vous. Je vous l’accorde, je ne fais que de me chercher des excuses, mais parfois ça m’aide. Parfois quand je repense à ce fameux soir, cette belle connerie je préfère me dire que je ne suis pas responsable. Enfin bon, l’amour, mon amour, Shakespeare. On n’oublie pas ces sentiments, on n’oublie pas ces choses là certes, jamais mais je pense avoir le droit au bonheur moi aussi, non ? Enfin quoi qu’il en soit, à chaque fois qu’il posait sur moi son regard protecteur, à chacune de ses caresses, je ne pouvais m’empêcher de me poser cette question. Au fond, on ne commettrait aucun crime, nous n’avons pas de sang en commun. Pourtant c’est tout comme pour moi, c’est comme s’il était mon grand frère, donc c’est vrai que coucher avec son grand frère c’est moyen. Aussi sexy qu’il soit je vous l’accorde. «Je sais très bien que je suis sexy et beau et tout ça, mais ce n’est pas ça. Leur histoire datée d’avant qu’elle & moi nous nous mettions ensemble, j’ai été une sorte de entracte pour elle.. du moins je crois, mais je ne peux pas lui en vouloir à elle, juste à lui. Et puis je n’ai pas besoin d’aide pour avoir les plus jolies nanas ; je t’ai déjà toi (a) » . Pendant qu’il me répondait je pris le temps de l’observer, il était tellement soucieux ce soir là, il n’allait pas bien, et même si je ne pouvais pas faire grand-chose, j’aurais aimée faire plus, je voulais faire le maximum, faire tout ce qu’une petite sœur peut faire pour ce grand frère qu’elle aime tant. Même quand il allait mal, il trouvait toujours le moyen de me complimenter, ce mec était vraiment énorme. Et d’une certaine façon il était un peu à moi alors j’étais extrêmement fière de mon frère de cœur. Je le pris à nouveau dans mes bras pendant de longues secondes avant de poursuivre : « Oui je sais, et tu m’auras toujours mais ça ne te dis pas quelqu’un pour te faire oublier cette nana ? Souvent pour oublier quelqu’un il faut en aimer une autre. Perséphone par exemple ? Elle est plutôt sympa non ? Et jolie ! » . Oui bon d’accord, faire de la pub pour une de ses meilleures amies c’est bas, très bas, mais ils sont déjà mariés donc bon à la limite… Je plongeai à nouveau mon regard dans le siens, il était vraiment trop canon, pourquoi n’avait il pas de frère jumeau ? Un cousin éloigné lui ressemblant comme deux goute d’eau ? Même ça ça ne me suffirait pas. Ce n’est pas que son physique qui m’attire autant, c’est un tout, c’est lui tout entier. Alors que je ne cessais de le regarder il enchaina sur un sujet plutôt sensible : « J’essaierais de lui parler à elle aussi, de sorte que vous vous remettiez en ordre, la vie est bien trop courte pour continuer à se disputer ainsi. Je sais que ça doit être dur, et avec vos caractères respectifs ça promet de l’être encore plus, mais je vais tout faire pour voir un beau sourire sur ces magnifiques lèvres. » J’étais réellement touchée qu’il attache autant d’importance à ma réconciliation avec ma sœur, mais ça promettait d’être dur, très dur, long aussi, très long. D’habitude quand on me parle d’elle je pique une crise, souvent je hurle aussi. Notre relation c’est tellement détériorée, il est bien loin le temps des deux petites filles qui s’amusaient ensembles. Cependant avec Charles-Edouard je ne pouvais pas hausser le ton, il voulait tellement que je sois heureuse, il disait ça pour moi et je le savais, il fallait que je me réconcilie avec elle. « Alors reste près de moi et ce sourire ne partira jamais. C’est adorable de ta part mais je pense que si ça doit se faire ça se fera naturellement. Elena à du mal à me pardonner certaines choses que je comprends complètement... » Oui enfin, pour la première fois j’admettais avoir en partie tord. «… Mais j’ai aussi du mal à lui pardonner quelques trucs, je n’y peux rien, c’est plus fort que moi. » Pourtant ces fameux trucs, Elena n’y était pour rien, mais il fallait bien que je rejette la faute sur quelqu’un et c’était tombé sur elle. « Je ne suis pas parfait, bon, peut-être que si, mais ça ne reflète que l’image que tu envoie en restant près de moi ma belle ! » Parfait, je vous l’avais bien dis. Il y a quelques minutes je culpabilisais de le tenter toujours autant mais il n’y allait pas de main morte non plus. C'était parfois insupportable pour moi d'essayer de rester de marbre fasse à lui. J'avais souvent envie de lui arracher sauvagement ses vêtements, j'en avais envie, autant que lui. « Alors le seras toujours car je ne compte pas m’en aller de si tôt. » Avant que je termine ma phrase, mon frère était déjà passé en mode protection et surveillait mes arrières avec attention. « Et ne dis pas que tu ne les as pas vu, ils t’ont surement reluqués dès ton arrivée, et je suis sûr qu’il te regarde depuis la fenêtre du balcon. Les salopards, ils te matent ! Mode protection activé ! » . Je vous disais quoi ? « Laisse c’est pas grave, c’est juste des pauvres types, je m’en fout ! » . Au fond je ne m’en foutais pas du tout, ça me faisait vraiment plaisir de le voir réagir comme ça, qu’il me protège autant. Je ne tournai même pas la tête pour voir si l’un de ces gars était mignon, j’étais trop bien avec Charles Edourd et je ne comptais pas changer de compagnon de soirée. Alors qu’il se plaça derrière moi, je ne pus m’empêcher de repenser à la conversation que nous venions d’avoir. A ce fameux grand amour, à la chose que je ne pardonnais pas à Elena. Il était peut être temps que j’en parle enfin à quelqu’un, parfois ça ne sert à rien de se mentir à soi-même et de mentir aux autres en disant que tout va bien. C’est décidé, je lui en parlerais demain, je ne voulais pas l’embêter, pas ce soir, il avait déjà bien assez de problème comme ça.


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MessageSujet: Re: « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia EmptyMer 16 Mar - 18:28

      « Parce qu’avant de partir, il faut que je vois Toi, toi.. & Toi. » Flavia Awf9g7
      « Chacun a père et mère, mais rien de plus difficile à trouver qu'un frère. »


La tentation ; MA tentation. Ma petite sœur me faisait craquer dès que je l’avais connu, et comment ? Des fois je me demandais si elle ne le faisait pas exprès, et d’autre ou je le sentais qu’elle faisait vraiment exprès comme avant que je ne parte, après que j’ai rompu avec Aurlanne et avant que je ne me sois mis avec Aislynn ; quand j’allais la voir et que mademoiselle s’amusait à traîner en shorty et compagnie ; de quoi me faire craquer. En ce temps là je couchais à droite et à gauche, maintenant je refais pareil, mais avec une fréquence moins élevée, avec plus de respect pour les femmes et avec une maturité qui ne m’appartenait pas, mais que j’avais acquise. Ma sœur de cœur est une vraie tentation, comme sa sœur, et il faut que je continue à rester raisonnable ce soir, même si je voyais de plus en plus que je pourrais peut-être céder ce soir. Mon regard sur l’horizon alors qu’elle pensait à son tour pensive et je décelais, comme à mon habitude, un mal chez elle. Je l’écoutais et elle me fit sourire, Perséphone, une amie que nous avions en commun, je lui avais tout dit sur elle, qu’elle pouvait m’attiré mais que nous étions mariés, et maintenant que je suis célibataire, je ne sais réellement que faire. Mon regard ne se cachait pas du sien et je semblais réfléchir, peut-être que je devrais arrêter tout ça et me reprendre un peu en main. Je ne sais pas et je ne saurais rien en restant ici, je devais partir de cette fête ; mais je ne bougeais pas, j’étais bien là avec ma sœur de cœur, celle que j’aimais par-dessus tout en tant que sœur. A la même hauteur que mes cousines que je considérais plus comme des sœurs que des cousines. Elle faisait partie de moi cette Flavia, comme une véritable sœur. Je ne savais que répondre à ça, alors autant le sauter ? Non, je ne pouvais pas lui laisser un blanc, alors je réfléchissais à ce que je devais lui répondre. Au fond, elle n’avait pas tort, mais si je devais coucher avec une fille ce soir, je voulais que ce soit elle ; ma Flavia, ma sœur de cœur. On ne pouvait pas simplement, je me le refusais et je refuserais si elle me faisait des avances, du moins, je crois. Je souris aussi, un sourire jaune, lorsqu’elle dit que je l’aurais toujours. Dans moins de deux mois je partais, et ça, elle n’était pas censé le savoir, du moins, pas tout de suite. J’essaierais de l’aider avec sa sœur avant de partir, je m’en voudrais si je la laisse seule avec ces problèmes, je m’en voudrais même trop « Perséphone ? Mignonne, mais tu sais bien que ‘ma femme’ est folle, et cruelle, c’est toujours explosif avec elle, on ne peut pas parler tranquillement, sans qu’elle ne sorte son fouet ! – Je ris, mais c’était vrai ! – Au fond, je ne sais pas si je suis fait pour l’amour, à part l’amour de ma petite sœur je crois, donc je préfère faire comme d’habitude.. plaire à une seule chaque nuit, et puis voilà. » Je la regardais et je souriais, elle faisait comme moi, et moi, j’étais jaloux, pas elle on dirait. Devais-je être ce frère ou bien moi-même ? Ma Flavia me plaisait bien trop ce soir, peut-être que je n’aurais pas dû abuser sur les alcools.. . Par la suite le sujet de sa sœur revient, comme toujours, quand on parlait d’une on parlait de l’autre, car je le savais au fond, rien n’est plus important que la famille, et étant seul, orphelin, j’avais reconstituée par le biais de mes cousines mon chez moi ici, vu que je n’avais plus de chez moi officiel là-bas. Plus de parents, pleins de sous ; la liberté totale ? Non, mon père n’en avait pas fini avec moi et je devrais en payer le prix, le prix de mon insolence. Voilà pourquoi je voulais tant aider ma Flavia, je voulais qu’elle passe de beaux jours avec sa sœur et qui sait se réconcilier avec ces parents, car on peut les perdre à tout moment. Ma main caressa la sienne doucement, avant que je ne pose ma tête au-dessus de la sienne, l’écoutant encore et toujours, je fus surpris lorsqu’elle admit qu’elle avait eu des tords dans cette histoire ; si elle serait une sainte ça ne serait pas ma sœur au fond ; on se ressemblait trop, et justement, c’est ça qui me tentait de l’embrasser, de la toucher, de lui faire l’amour tout court ! BREF ; je repris mes pensées saines je ne devais pas lui sauter dessus, c’est contraire à ce qu’un frère doit faire « Tu sais, quand j’étais en cours, en France, ma mère est morte d’un coup. Il y a même pas 1 ans, mon père est mort. Maintenant je suis tout seul, mais heureusement que j’ai la famille de ma mère, des ami(e)s proches, et toi ma sœurette. C’est un peu pour ça que je tiens à ce que ça s’arrange, une famille c’est important pour avancer, c’est un point d’ancrage auquel on revient toujours, ou on se sentira toujours bien. Je sais bien que tu as eu des problèmes, mais un jour, tu verras, ta sœur & toi vous vous jetterez dans les bras l’une de l’autre, et puis des années plus tard vous rirez de ça. It’s a life ! Et j’espère que vous m’appellerez quand ça s’arrangera, je veux être le premier au courant ! » Je lui souris et je posai un baiser sur son front, et regardant l’horizon, puis le balcon lorsque j’avais vu les garçons qui matait les fesses de ma sœurette, ma mienne, ma jumelle ; j’avais donc agi instinctivement même si elle avait dit qu’elle s’en foutait, je m’en foutais aussi ; il ne l’a matait pas devant moi. J’étais donc collés à elle ; on aurait pu croire que nous étions en couple et que nous nous embrassions ou que je lui faisais du rentre dedans ; pas à elle. « Ne dis pas que tu t’en fous, moi je ne m’en fous pas, il ne te mate pas devant moi, point. – Je souris, je ne la grondais pas, mais j’aimais quand même faire le grand-frère ultra protecteur, reprenant avec un sentiment d’envie dans la voix – On pourrait nous prendre pour un couple comme ça… tu ne crois pas ? » Dis-je alors, reprenant mes esprits, je devais rester calme. Mes mains autour de sa taille, je la gardais contre moi, tout en prenant gaffe à ne pas trop la coller contre moi, sinon je risquerais d’être exciter. C’est con ça, moi qui ne voulait pas que d’autres fantasmes sur elle, je me prenais à mon propre piège de frère protecteur. Je devais rester raisonnable, et surtout impassible à toute sensation qu’elle me ferait sentir sans qu’elle ne le veuille. « Flavia ? Tu es bien silencieuse.. à quoi penses-tu ? » Peut-être à elle & moi ? Au fond, nous étions pareils, peut-être que dans une autre vie on aurait pu être un couple s’aimant à la folie, ou des sexfriends sans sentiments l’un pour l’autre, juste du sexe. Un peu de ci et de ça ; il faut de tout pour faire un monde, et surtout des personnes avec qui s’entendre. Nous sommes frères & sœurs, et je ne m’en plains pas ; je l’aime comme ma sœur, et rien ne changera jamais entre elle & moi ; car je l’aime ainsi. Elle est certes ma jumelle et qu’elle me plaît, si un jour je craquais sur elle, elle le devinerait, j’en suis sûr ; et je ne pense pas que ça changerait quelque chose.
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