the great escape
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[TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn

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[TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn Empty
MessageSujet: [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn EmptySam 9 Oct - 13:05

    [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn Hp10-fb0672

    « Le paradoxe de l'amour réside en ce que deux êtres deviennent un et cependant restent deux »

    Le projet d’Echange re-pointait son nez en ce mois de Septembre ; et les personnes qui étaient venus visiter l’université de Berkeley devaient maintenant repartir avec les correspondants qu’ils avaient eus. Repartir sur cette terre qui avaient peut-être manqué à certains car ils étaient revenus et peut-être pas à d’autres qui étaient restés là-bas ; en Amérique. Le voyage avait été fructueux ou pas ; je ne m’en souciais plus ; je venais d’emménager avec Heavynne dans la maison de ma mère ; ça m’a fait un choc d’y retourner. Ma mère et moi avions toujours été proches ; sa mort avait été un choc dans ma vie, encore plus lorsque j’ai su que c’était mon père qui l’avait tué. Maintenant que mon père n’était plus, je n’avais plus de soucis à me faire, semblait-il. Ma vie pouvait reprendre un semblant de normalité et je pouvais penser à autres choses qu’a la mort ; pensais-je à l’amour ? Heavynne m’avait toujours plut ; mais nos caractères étant pareils du moins du côté des défauts c’était la guerre à chaque fois entre nous ; un perpétuel cycle de dispute ce faisait entre nous. Être de nouveau en colocation avec elle ne me gênait pas du tout ; je lui devais bien ça et surtout on avait changé durant ces vacances ; surtout durant les vacances chez moi. La Corse avait été un déluge de mauvaises nouvelles et surtout de mauvaises choses que je ne pensais pas avoir. Les problèmes étaient plus ou moins réglés et l’année scolaire avait repris ; j’étais maintenant en avant-dernière année de Politique ; la 4iéme et j’espérais vite finir ces études. Emménager avait été une chose aisée ; mais me retrouvait dans un endroit ou avait vécu ma mère le plus souvent m’avait retourné le cœur ; j’avais failli pleurer en y entrant mais j’ai réussi à ne pas pleurer devant Heavynne. Le temps n’effaçait pas cette douleur. Je m’étais retrouvé seul mon chagrin & moi. Maintenant que j’avais passé le cap ; il fallait que je gère l’entreprise de mannequinat de ma mère tout en essayant de reprendre contact avec la civilisation Française ; tout changeait et encore plus les habitudes ; tout était moins libre et ça changeait grandement de l’Amérique. Mais pour une fois je n’étais pas seul. Pour une des rares fois je ne pensais pas coucher avec d’autres filles car dans ma tête il y avait un problème .. une fille. Ma fierté n’avait pour l’instant pas voulu montrer les dents pour m’empêcher de tomber sous son charme ; mais dès le premier soir j’y étais tombé. Je n’avais pas pu contrôler ce qui s’était passé ce soir-là, je ne dirais pas que c’était un coup de foudre mais une ressemblance y était. Cette petite personne était belle ; d’une humeur qui me donnait le sourire et en plongeant dans son regard j’avais un sentiment inexplicable en moi qui avait envie de l’avoir contre moi et de la protéger de tout et surtout un sentiment de possessivité qui m’obligeait presque à l’avoir juste pour moi, juste à mon compte. A mes yeux ça avait beaucoup d’importance ; la dernière fois que l’on s’était vu c’était il y a à peine 24h .. mais c’était déjà trop. C’était des choses de la vie qui me rendait fou quand je cherchais une raison qui était rationnelle et qui n’avait aucune fantaisie dedans. Mais à croire que ce fut un tour du destin qui avait voulu qu’elle & moi nous nous intéressions et surtout que nous ayons des similitudes .. deux célibataires au cœur brisé. Cette petite blonde avait le don de me rendre fou, de me faire changer et à croire que j’étais devenu accroc à cette sensation d’euphorie et de liberté, comme si cette fierté qui m’avait empêcher de vivre un premier amour, me laissait cette fois prendre les rennes et qui sait en souffrir aussi si cela devait arriver. Maintenant tout était différent et je me laissais vivre à croire, la vie à Paris était maussade, même si le soleil était là il en faisait pas très chaud et un léger vent soufflait. Il pleuvait surement en Amérique ou encore faisait-il une chaleur folle ?! Ce pays me manquait déjà mais il fallait que je me ressource un peu ici quand même, mon pays natal, du moins le voisin de mon pays natal. J’étais Corse, puis Français. Même si sur les papiers tout était écrit à l’inverse. Je ne disais mot et je sortais à peine de chez moi, je ne me souciais plus si Heavynne était là ou pas comme avant ou elle m’intéressait plus qu’une amie, maintenant tout était réglé et j’avais une blonde en tête et plus de brune. J’étais habillé assez chaudement, enfin, d’une veste qui m’arrivait aux genoux, genre celle du film Jumper, par la suite des chaussures noires ainsi qu’un pantalon en cuir de circonstance ainsi qu’un t-shirt en V sur mon torse. J’avais un collier autour du cou, avec mes initiales, CEC. Je marchais à pas rapide et ici rien n’était plus pareil pour se déplacer, les Taxis ne répondait pas aux sifflements comme là-bas, il fallait aller les voir. Tout était plus calme, moins avancée à croire et ça avait du bon au fond, on pouvait tout simplement prendre son temps, même si Paris n’était pas la ville réputée pour son calme. Je ne disais rien lorsque je trouvais le taxi, j’avais complètement oubliée que j’avais acheté une moto et une voiture et qu’elles étaient dans le garage de la maison de ma mère, ma maison maintenant. Je ne pouvais faire marche arrière et je ne voulais pas que l’on fasse un tour en voiture ou en moto, je voulais l’avoir contre moi et marchait sans se préoccuper du temps. Profiter de cette journée qui pouvait paraître fraîche, mais le temps capricieux de France pouvait nous montrer de la chaleur qui sait. En ce début de matinée, je ne pouvais contrôler mes pas et paya la course lorsque j’arrivais enfin à l’hôtel ou elle séjournait. J’y entrais et rester dans l’entrée, prenant mon portable et l’appelant, attendant qu’elle décroche « Je suis en bas.. je t’attends. » J’avais comme le souffle coupé à ces mots, quand je l’attendais c’était comme si une douce musique atteignait mes oreilles pour me donner un indicible réconfort. La patience que je pouvais avoir atteignait ces limites sur le moment et lorsque je vis cette petite blonde descendre, resplendissante comme tout, je ne pouvais avoir que les yeux figés sur elle. Elle était importante à mes yeux, je ne pouvais cependant dire à quel point, je ne le savais pas. Mon cœur peut-être, vu qu’a sa simple présence, il avait doublé sa cadence. M’approchant alors doucement d’elle, je pris son visage entre mes mains et lui donna alors un baiser que je réservais surement à plus tard, mais je ne pouvais retenir ces pulsions si violentes en sa présence « Bonjour Toi.. . »
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Jake Fitzgerald
there's no place like berkeley
Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn EmptyJeu 14 Oct - 20:30

      [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn Ed4
      « A cet instant , elle leva les yeux et me regarda.
      Il me sembla qu'elle était en train de se noyer sous
      mes yeux et que si je tendais la main vers elle, je
      la sauverais. »


    Il avait été temps pour Aislynn de faire ses bagages et de partir sans même avoir l'envie de se retourner. La jeune femme avait le grand besoin de s'éloigner de Berkeley mais également de sa vie, là - bas. Les choses ne ressemblaient pas vraiment ce dont à quoi, elle avait pensé. Heureusement qu'elle avait été réélue pour être présidente des iotas sinon, elle se serait surement pendue. La demoiselle n'avait plus de nouvelles de ses parents et elle se doutait qu'elle en était responsable, en partie. Elle préférait éviter sa mère pour ne pas avoir de contact avec son père. De toute façon, il doit être bien trop occupé à coucher avec des filles du même âges que sa propre enfant. Quel dégoutant ! On peut dire qu'elle ressent une vraie colère pour ce qu'il a fait et la douleur qu'il a provoqué dans le coeur de sa mère. Loin de là, elle se dit que toute façon, ça ne changera rien si elle s'en mêle. Sauf dans le sens négatif, elle se connait et sait qu'elle ne serait pas capable de mâcher ses mots. Alors c'est sans se tracasser qu'elle boucle sa valise, comme lorsqu'on tourne une page du passé. Elle n'a pas vraiment de correspond mais connaissant déjà un peu la ville, qu'est Paris. Elle n'avait qu'une seule envie, c'était d'y remettre les pieds. Elle trouvait l'endroit romantique et sans chichis. Elle appréciait le froid glacial qu'il pouvait y avoir mais aussi les parfums des fleurs françaises. Aislynn ne pouvait qu'apprécier et revenir encore plus forte de cette expérience. Puis elle savait qu'il se trouvait quelques personnalités qu'elle connaissait déjà à Paris. Elle n'était pas la seule américaine à vouloir venir se changer d'air. Les yeux fermés, elle fit la sieste pendant ces sept heures d'avion. Elle adorait ce transport et savait malgré tout les risques. Mais le simple fait de se sentir dans l'air, la rendait comblée comme si elle même pouvait voler. D'accord, miss Woobleforth est pas mal niveau rêve et imagination. Après tout à quoi bon se fixer des limites, on n'est même pas sûr d'être assez fort pour les respecter. Alors qu'elle fit une petite sieste, elle rêva de choses plutôt étrange. En effet, elle trouvait Joshua dans une ruelle sombre. Son corps allongé sur les pavés de la ruelle, il saignait du nez et il ne répondait pas à l'appel que lui lançait la jeune femme en disant à haute voix son prénom. Derrière lui, une boite de poudre était vide et elle comprit très vite dans quel pétrin, il était tombé. Puis un autre flash back, vient la sauver de ce cauchemar. C'est le sourire de Charles, devant une vitrine. Il dit imaginer la belle blonde dans cette robe et tout deux, se promènent dans une grande ruelle de cette magnifique France. Quand soudain, elle casse son talon. D'accord, faudrait réellement qu'elle pense à rêver à autre chose, parce que c'est pas très logique tout ça. En tout cas, elle savait qu'elle retrouverait l'un de ses jeunes hommes de l'autre côté du continent.

    Ce français avait tout pour plaire et elle ne pouvait que se l'avouer. Après cette dernière soirée avec lui, à l'université, elle avait connu un homme complétement différent de ce que raconte les rumeurs. Son sourire si brillant qu'on ne peut lui sourire en retour. Un regard si profond qu'on ne souhaite que s'y perdre pour savoir ce qu'il y cache. Une chevelure aussi douce que c'est toujours un plaisir de laisser glisser ses doigts. Une peau si savoureuse que ces baisers sont comme foudroyant et qu'on en devient très vite accroc. Elle n'avait pas honte de s'avouer charmée mais elle espérait avoir la chance de le recroiser comme il lui avait promis. Après tout, il pourrait être son nouveau guide touristique et qui mieux qu'un résident pour lui faire connaitre les recoins de cette grande ville. Plongée dans ses pensées, elle n'entend pas toute suite que l'avion va se poser et qu'il est préférable de rester assis. A la bonheur ! Son coeur battait et le bout de la tour Eiffel brillait dans les nuages encore un peu présent. Aislynn espérait plus que tout que cette avancée vers l'inconnu allait lui réserver de belles surprises même si certains français se verront encerclés par les américains. Ils se demanderont peut être ce qu'il arrive, peut être qu'ils sont envahis. Cette idée faisait sourire la jeune femme et d'un seul coup, elle se voyait loin des soucis, des tracas même si au fond d'elle, la jeune femme gardait une place privilégiés pour les gens qu'elle aime et qui lui manqueront. Descendant de l'avion, elle ne perd pas une seconde et attrape sa valise au vole. Elle allait dans son hôtel préféré et même sans parler à ses parents, ils s'étaient proposé pour lui offrir ça en échange de leurs absences. Peut importe du vide qu'ils laissaient, depuis le temps, la jeune femme s'y étaient habitué. Cependant, elle pouvait quand même profiter de cet hôtel fabuleux avec ces chambres spacieuses et luxueuses. Aislynn aimait les bonnes choses et elle ne pouvait absolument pas le nier. Comme attendue, elle fut contente de retrouver l'accueil de cet établissement et se demandait toujours comment, elle avait pu faire pour ne pas y revenir depuis tout ce temps. Assise tout juste sur le lit, elle sent son téléphone vibrer et la photo du charmant Charles apparait. « Je suis en bas.. je t’attends. » A la fois étonnée et réjouis, elle n'attend pas une seconde. « J'arrive de suite, ne bouge pas. » Mais se recoiffe malgré tout parce qu'elle vient quand même de traverser l'océan pacifique. Se frotte le visage et s'asperge un peu de parfum, la demoiselle attrape sa veste et descend à toute vitesse dans le hall en se réjouissant de voir son guide déjà plaisant. « Bonjour Toi.. . » Il était debout, l'attendant avec son regard toujours prenant, elle fût enthousiaste à le retrouver. Ne pouvant même pas s'empêcher d'aller vers lui et le prendre dans ces bras. Elle le tenait encore quelques secondes et savourait l'instant même. Une nouvelle vie pouvait naitre ici et Charles en ferait certainement partie. « Bonjour, bonjour toi ! Comment tu vas sur cet autre continent ? » Plus que contente, elle sourie et semble respirer de nouveau. Une nouvelle page s'écrit et elle est plus que contente. Cette ville, cet homme, son sourire, le froid, l'instant, elle vit simplement et semble goûter enfin le goût de la liberté.
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MessageSujet: Re: [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn EmptyDim 17 Oct - 19:40


[TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn Hp06-fb0654

« Ce qui fait qu'on désire et qu'on aime, c'est une force douce et terrible, plus puissante que la beauté. »

Au fond ; je n’avais pas très confiance en moi. Du moins, j’avais compris que Joshua & elle ; ça avait été du sérieux, si pour l’instant j’arrivais à ne plus lui faire penser à cet affreux bonhomme qui lui avait brisé le cœur, c’était que j’étais bon. Pour la première fois je me remettais en question, je ne le remarquais pas tout de suite, mais je voulais donner le meilleur de moi-même à Aislynn ; car je la désirais, avant ce n’était qu’un simple désir mais maintenant c’était devenu plus que réel. Je devais y croire, si je voulais que cette nouvelle histoire que j’écrivais sur le continent Européen marche. Je devais y croire plus que je ne croyais en moi, car si je me reposais essentiellement sur moi, ça ne marcherait pas. Il fallait tout simplement être deux pour qu’une histoire marche, vive et ne meure jamais. Mais étais-je le bon personnage, ou un personnage temporaire de l’histoire de Miss Aislynn ?! Je ne pouvais empêcher ces spéculations de ce faire en mon sein, mais là, j’étais avec elle et ce n’était pas un autre, c’était bien moi ; Charles-Édouard Castello. J’allais aujourd’hui lui proposer de devenir officiellement mienne, et je ne pouvais cacher que j’avais peur, car je ne pouvais prévoir sa réaction, d’habitude j’usais de quelques manipulations sur la personne pour savoir à l’avance ces réactions, mais là, ça n’avait pas marché. Du moins je ne voulais rien utiliser car avec elle je sentais le renouveau et tout ce qui collait avec. Je ne voulais apporter quelques magouilles de mon esprit fastidieux dans sa tête, ni dans la mienne. Mes mains sur son visage, un baiser rapidement donné malgré qu’il soit long ; moi je l’avais trouvé bien rapide. Peut-être que j’avais été habitué à autre chose, à plus longtemps plutôt. Nous avions tout notre temps si on voulait approfondir ces cours de langues, même si j’en étais friand, je ne devais pas en abuser. Je devais d’abord officialiser les choses comme je le voulais. Mon regard toujours friand du sien, je la trouvais légèrement fatigué, et j’avais un doute, avais-je choisi le bon moment pour sortir balader dans Paris et officialiser tout cela ? N’étais-je pas trop rapide ? MAIS Punaise, il ne fallait plus que je doute de moi, qu’avais-je ? Où est passé le Charles-Edouard confiant et briseur de cœurs que tout le monde connaît ? Aurait-il disparu pour laisser place à un Charles-Edouard totalement romantique et amoureux de la gente féminine et qui au grand damne de tous, saurait se combler d’une seule femelle ? Peut-être que oui, ou peut-être pas. Les nouvelles pages d’un nouveau livre allaient s’écrire et je n’étais qu’un lecteur avide de voir la suite des choses. J’étais le héros de l’histoire et aussi son lecteur, je n’étais que friand de ces histoires là qui nécessiterait de ne pas vouloir tout lire. Je suis un lecteur avide, et pour cette seule histoire, je ne devais pas me dépêcher par pure curiosité de tout faire à la va vite ; je devais profiter. Habillée comme elle était c’était super ; le froid ne nous dévorerait pas, et même si le soleil était là, le froid par moment pouvait être mordant, et nous dévorait à l’intérieur. En sa compagnie mon cœur augmentait son rythme cardiaque et donc pour ainsi dire je n’avais pas du tout froid, à part le bout de mes doigts qui étaient froid ainsi que mon visage quelque peu. Après ce baiser ; j’avoue il n’était plus si frais mais bien entichée de la belle blonde. Mes yeux brillaient digne d’un smiley avec des yeux brillants et mes lèvres quelque peu humide du au baiser qu’elle venait de prolonger. Je ne pouvais dire si c’était l’amour ou un aphrodisiaque que j’avais pris ce matin sans m’en rendre compte mais je n’y pouvais plus. Mon corps battait à une allure que je n’ai pas encore connue et j’avais envie de crier ce que je voulais avec Elle. Mais je devais attendre, je voulais lui proposer à la fin de cette journée, ou en son milieu, mais pas maintenant, c’était trop tôt et j’avais peut-être un air de manique à vouloir que tout soit parfaite, juste perfectionniste sur les bords on va dire. Mon regard tombait dans le sien alors que ma main gauche cherchait la sienne pour s’y entremêlais avec une douceur à faire réveiller un mort. Oui, je pouvais faire frissonner les femmes aussi, il n’y avait pas qu’elle qui pouvait rendre totalement fou un homme d’elle. Peut-être fallait-il que je lui réponde afin d’éviter que ce regard que je lui lançais ne dure, que ma bouche ne redemande à l’embrasser et que nous ne sortions pas par cause d’hormones trop réveillés. Il le fallait et j’inspirais donc et parla enfin « Sur cet autre continent, je vais merveilleusement bien, tu sais j’y étais déjà à la base.. ce n’est qu’un retour aux sources à croire. J’espère que tu t’y plais ici.. tu n’est pas fatiguée rassure moi, je m’en voudrais de te faire bouger par ce temps quelque part dans Paris.. – Dis-je inquiet, puis ne pouvant me retenir – Tu m’as manqué Aislynn.. je ne pensais pas que tu me manquerais autant.. . – Okay, j’en rajoutais peut-être, mais c’est le romantisme je vous dis, le romantisme ! – Prêt pour cette journée à deux ma belle ? Attention, il fait frisquée.. . » Dis-je tout en lui ayant pris la main et l’entrainant dans mes pas vers le dehors. Sortant de l’hôtel ; sifflant un taxi mais ayant oublié que nous n’étions pas en Amérique, et okay ne s’arrêterait, il fallait marcher un peu et les Taxi était là, attendons tous un client quelconque. « Alors, dis moi, ou veux-tu aller ? » Dis-je en l’entrainant dans le taxi.
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Jake Fitzgerald
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn EmptyDim 24 Oct - 0:44

      [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn Ed4
      « A cet instant , elle leva les yeux et me regarda.
      Il me sembla qu'elle était en train de se noyer sous
      mes yeux et que si je tendais la main vers elle, je
      la sauverais. »


    Aislynn y était enfin. Elle s'était longuement apprêté à venir passer des journées entières dans les ruelles de Paris. Une ville aussi magnifique qui avait marqué sa première visite, il y a cinq ans. La belle blonde n'était qu'une adolescence avide d'aventures et de découvertes. Elle voulait parcourir le monde à courir après sa destinée. Rome, Athènes, Paris, elle adorait ces villes et ce qui faisaient de chacune d'entre elle, un territoire unique au monde. Seulement, notre avenir n'est pas forcément ce que l'on avait désiré. Les années ont passé et elle est rentrée à l'université, sachant qu'elle avait besoin de connaissances pour percer dans un domaine qui la passionne. Aucun regret, aucun changement, la jeune femme sait apprécier sa vie et ça à sa juste valeur. Tout juste arrivée, Aislynn descendit au rez de chaussée. Un invité de marque l'attendait et elle ne pouvait que remercier sa présence. Entre Charles et elle, les choses étaient simples et plaisantes. Sourire et doux, il avait déjà su la charmer sans même s'en douter. Enfin légèrement, parce que la jeune femme ne voulait pas forcer le destin. Elle ne voulait pas que tout cela soit rapide. Finir dans son lit et s'en aller le matin, sans savoir de quoi serait fait demain. Elle demande juste un peu de stabilité, de renouveau et de confiance. Cette confiance qu'elle donne difficilement mais si importante dans une relation. Dans le regard de ce jeune homme, on trouve beaucoup de mystères, beaucoup d'interrogations et de douceur. On a tous notre chemin, on a du montrer ce que l'on valait aux yeux du monde, s'affirmer sans jamais oser douter au risque de retomber à la case départ. Un soupir, un regret et on faiblit. Aislynn a vécu ça, il y a peu de temps. En quittant Berkeley et faisant sa valise, elle s'offre une dernière et seconde chance. Juste une seconde pouvoir croire que tout est encore possible et que la vie n'est pas un ramassis de conneries. Avoir dans un baiser, le coeur s'exprimer si fort qu'on pourrait jurer voler. Un espoir dans un regard d'un ami, d'un inconnu qui nous pousserait à nous battre encore et toujours. La vie n'est pas un jeu, on n'est pas assis face à une table, jouant aux échecs comme on vit un instant. Plus qu'un pion, une dame ou même un roi, on est là face à notre réalité, à nos douleurs et également nos moments de bonheur. On relève la tête et on souhaiterait retrouver cette envie de crier que le monde est beau, que la vie est une chose précieuse.. Un nouveau départ, une nouvelle page voilà ce qu'elle attend et surtout ce qu'elle rêve depuis qu'elle est montée dans cet avion.

    La présence de Charles était un bonus pour la jeune femme. Elle ne pouvait pas rêver mieux. Depuis leur rencontre, elle se retrouve, fidèle à elle - même. Se rappelant le premier baiser, le premier jeu de séduction mais surtout cette soirée passée sur le haut de l'université, simplement blottie dans ses bras en fixant les étoiles. Un silence majestueux et une sensation d'être seul au monde. Aislynn l'apprécie beaucoup de ce jeune homme, en sachant qu'elle doit encore en apprendre sur son sujet. Charles est loin d'être une personne simple et facile à comprendre. « Sur cet autre continent, je vais merveilleusement bien, tu sais j’y étais déjà à la base.. ce n’est qu’un retour aux sources à croire. J’espère que tu t’y plais ici.. tu n’est pas fatiguée rassure moi, je m’en voudrais de te faire bouger par ce temps quelque part dans Paris.. » Il devait se sentir bien de retour à la maison. Aislynn était légèrement fatiguée et cela était sans doute dû au décalage horaire mais elle était loin de se voir dormir toute la journée alors qu'elle vient de déposer ses bagages dans cette merveilleuse ville. « Je ne suis pas fatiguée, juste excitée à cette idée de passer du temps, ici et avec toi.. » La demoiselle avait droit à sa première visite guidée du beau brun. Première parce qu'elle s'en imagine de nombreuse à ses côtés. Elle ne souhaite pas que retrouver ces lieux majestueux mais aussi en savoir plus sur l'histoire du jeune français à ses côtés, comme une enfant, elle compte bien mener sa petite enquête et qui sait un jour, ça pourrait être autour de miss Woobleforth de lui faire visiter sa ville natale. Un baiser, un échange, un frisson et un simple plaisir de le retrouver. Se sentant parfaitement bien à ses côtés, elle apprécie la simplicité de leur relation même sans savoir dans quelle direction, ils vont, elle savoure. « Tu m’as manqué Aislynn.. je ne pensais pas que tu me manquerais autant.. . Prêt pour cette journée à deux ma belle ? Attention, il fait frisquée.. . » Ces paroles et la sincérité qui se marquait dans son regard ne pouvait que la charmée. Qu'avait - il fait pour ne pas mériter sa vraie histoire d'amour ? Cette question lui tournait dans la tête dès la première fois où elle avait eu la chance de croiser son regard, sa force mais aussi sa fragilité. Charles savait bien cacher son jeu et ce qu'il ressentait.. « ça fait du bien de te voir, de te toucher. Je suis prête à découvrir tes moindres secrets et ceux de cette ville qui est tienne, il me semble. » Main dans la sienne, il n'eut pas difficile à la trouver. Un taxi et sans hésiter, elle le suivit, se demandant où il allait mais après avoir prononcé cette question.. Elle se demandait vraiment où elle souhaiterait aller et c'est alors sans idée qu'elle répondit : « Je voudrais aller voir ce que tu préfères dans cette ville, ton endroit coup de coeur ? »
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MessageSujet: Re: [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn EmptyLun 25 Oct - 14:28

[TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn Sanstitre7ua
« Rien ne nous rend si grands qu'une grande douleur. »

Cette sortie, ce moment. Les avais-je attendus ? Oui, depuis longtemps, je ne voulais pas croiser Joshua sur Berkeley, et je ne l’avais pas croisé ici aussi, et durant le voyage, il n’était tout simplement pas venu participer à l’échange. Ce n’était pas par peur, mais je ne voulais pas qu’il me pique la fille dont j’étais en train de doucement tomber amoureux, si ce n’était déjà fait. Je ne savais rien et je ne pouvais comprendre. Sa couleur blonde, son regard, et son sourire me rendait complètement fou, je n’avais pas le choix et je devais accepter sa beauté qui savait me donner le sourire automatiquement. Comme si elle était une évidence à ce que je sois heureux. C’était rare qu’une femme puisse me donner le sourire, je n’en connaissais qu’une qui avait ce pouvoir là. Mais avec Aislynn ça avait toujours été comme ça, des sourires, des regards, et quelques baisers innocents mais si fort. Je ne pouvais dire non à ce qui allait m’arriver si je la côtoyais encore, j’en deviendrais vraiment attaché, et cela, l’accepterais-je ? J’avais au fond de mon cœur, cette frayeur, que cette fierté me menace de ne plus aimer cette petite blonde, allais-je faire comme avec Aurlanne ? Lui dire que je l’aimais et m’enfuir comme un lâche en la laissant en pleurs sur le sable. Non, je ne laisserais plus faire cette fierté, je ne voulais pas, ça ne se passerai pas ainsi. Je ne laisserais pas faire cette fierté, je ne devais plus l’être autant, je n’étais pas Italien, mais Corse. La fierté n’étaiut pas identique, mais chez moi c’était surement de famille, foutu mafieux. Nous étions donc dans le taxi, sa main dans la mienne, et la réponse qu’elle m’avait offert plutôt m’avait un peu plus comblé, je ne pouvais croire qu’elle m’avait dit ça, c’était tellement beau que mon cœur prit une nouvelle accélération. Timide ? Peut-être, je n’en savais fichtrement rien, et je m’en fichais, le plus important était qu’Aislynn était avec moi et qu’elle avait le sourire. Joshua lui avait surement arraché quelques larmes et je lui en voulais pour ça, c’était inadmissible de faire ça. Mais n’étais-je pas comme lui ? Un garçon dont le sens ‘amour’ n’avait comme image que l’emprisonnement de la liberté ? Avec Aurlanne, ce mot avait pris un sens et une image que j’approuvais, ça ne voulait pas dire que l’on devenait plus faible, peut-être plus fort. Ce n’était pas faux totalement, on s’ouvrait peut-être à une personne qui pouvait vous briser le cœur. J’avais encore peur de ça, mais avec Aurlanne, j’avais été le seul fautif. Connaissez-vous une personne au monde qui préfère sa fierté à l’amour ? Moi, et personne d’autre sur cette foutu Terre. Peut-être que ce n’était que la première fois, et que j’avais trop peur de m’attacher pour osez espérer cela. Il fallait que je me laisse aller, j’avais fais ça depuis le début et je verrais plus tard. Cette fierté n’avait surement été que trop présente dans ma vie, et elle avait enfin déserté mon esprit, qui sait. Ma main dans celle d’Aislynn, je ne pouvais quitter son regard, mon pouce caressant sa peau douce qui m’avait tant manqué, et la douceur de ces lèvres avaient rendu les miennes moins sèches. Il faisait frais, mais avec elle je ne pense pas risquer d’avoir des gerçures, loin de là. Elle semblait vouloir savoir les secrets que j’avais ici, à Paris. Elle voulait me connaître plus amplement, devais-je risquer de la mettre au courant ? De continuer sur cette voie qui pourrait qui sait me briser le cœur ? Peut-être, je ne savais pas. Je lui souriais toujours tandis que le taxi nous emmenait vers la Tour Eiffel, l’écoutant toujours, je lui répondais enfin « Tu me rends tout gaga là ; tu triches Aislynn. Moi aussi ça m’a manqué, surtout de plonger mon regard dans le tien.. j’aime m’y perdre. – Autant rester sincère et le plus direct possible, comme avant – Tu veux savoir mes secrets ? Je n’en ai aucun.. enfin, aucun que tu devrais savoir ma belle.. – Et oui, je ne pouvais tout lui dire, c’était bien trop dangereux. – Mon endroit coup de cœur ? Mon endroit coup de cœur.. . » Je laissais un silence avant de lâcher une nouvelle adresse au chauffeur, lui souriant, ne disant rien d’autre, la surprise serait de taille, autant pour elle que pour moi. Je n’y étais pas retourné depuis si longtemps.. aurais-je un choc ? Peut-être, peut-être pas, en retournant dans la maison de ma mère, j’avais failli craquer, serait-ce de même pour.. ? Il fallait en avoir le cœur net. Le trajet ne fut pas long, malheureusement, je stressais un peu, je ne savais pas quel réaction j’allais avoir. Je payais le taxi, et sortit, lui tenant la porte puis la voyant sortir, je refermais sur sa suite. Je pris sa main et avança quelque peu face à l’édifice impressionnant et coloré. Je pris une respiration plus longue et dis enfin « Voici l’agence de mannequinat de ma mère. Elle est à moi maintenant, et j’essaye de la diriger avec plusieurs autres personnes mais bon .. elle est connue et j’ai pas grand-chose à faire. – Je fis silence et serrait sa main un peu plus fort, essayant de ne pas trembler – Allez, viens. » Dis-je alors que j’amorçais un pas, ne la regardant pas pour ne pas faillir, ouvrant la porte et la lui retenant jusqu'à qu’elle en soit entré. Plusieurs personnes vinrent vers moi, ils étaient tous content de me voir et m’avait presque encerclés, je leur fis un regard qui semblait être sans équivoque, laissez moi tranquille quoi ! Ils le comprirent et je continuais le chemin avec Aislynn, arrivant dans la salle ou tout le monde défilait. Je m’assis, l’attirant sur mes genoux, et regardant la salle. « Désolé.. ils sont assez collants.. et puis ils ne m’ont plus vu depuis tellement longtemps.. depuis.. – Je ne dis rien, laissant un suspens, un silence plutôt – Tu veux défilé ma belle ? » Comment changez de sujet, par CEC.

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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn EmptySam 30 Oct - 18:41

      [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn Ed4
      « A cet instant , elle leva les yeux et me regarda.
      Il me sembla qu'elle était en train de se noyer sous
      mes yeux et que si je tendais la main vers elle, je
      la sauverais. »


    Comme une évidence, les deux jeunes gens se comprenaient sans avoir besoin de faire de grands discours ennuyeux et qui étaient royalement une perte de temps. Aislynn était plus que heureuse de le retrouver aujourd'hui, à Paris. Loin de leur petit monde habituel, le petit duo allait vivre de nouvelles aventures dans les rues de la grand capitale. Aujourd'hui, ils allaient passer une journée comme les autres. Enfin, ils n'avaient passé qu'une soirée vraiment ensemble et c'était à Berkeley. Néanmoins, restant fidèles à eux - mêmes, il n'y avait rien de prévu. Juste naturel, ils allaient s'accompagner et elle espérait en apprendre un peu plus à son sujet. Pour cette raison, lorsqu'ils avaient pris place dans le taxi et lui avait demandé sa destination. Elle n'avait pas longtemps à réfléchir pour savoir qu'elle souhaitait que son voyage cette fois - ci, à Paris, soit différent des autres. Sans hésiter, elle souhaitait visiter ce qui faisait de Charles, la personne qu'il est. Sa main dans la sienne, elle le sentit légèrement inquiet quand elle répondit. Après tout, il semblait ne pas s'attendre à une telle réaction. Après tout quoi de plus normal pour elle, Aislynn s'attachait très vite au jeune homme. Alors qu'elle s'était promise de se préserver de ce genre de relation quand Joshua et elle avait décidé de stopper leur histoire. Bien plus que blessée, elle s'était jurée de se préserver, de se renfermer sur elle - même quand il s'agissait d'éprouver de tels sentiments. Sauf que sa dernière rencontre en date, avec ce beau ténébreux, changeait tous ces plans et elle ne pouvait pas vraiment bouger quoi que se soit. Entrée dans cette histoire qui n'en est pas encore une, en tout cas, c'est ce qu'elle sent. Aislynn essaye de se poser le moins de questions possibles. Elle ne veut pas avoir peur et partir loin du jeune homme parce qu'elle sait simplement qu'elle s'en voudra. Si bien près de lui, en sécurité blottie dans ses bras, la belle demoiselle se ressent sereine et paisible, ce qu'elle avait cru mourir quand Joshua claqua la porte de sa chambre. Dans ce taxi, elle se sentait juste heureuse. Pas trop et pas dans le minimum, un véritable équilibre dans son âme. Miss Wooblefoth croyait au renouveau sur ce continent ! « Tu me rends tout gaga là ; tu triches Aislynn. Moi aussi ça m’a manqué, surtout de plonger mon regard dans le tien.. j’aime m’y perdre. Tu veux savoir mes secrets ? Je n’en ai aucun.. enfin, aucun que tu devrais savoir ma belle.. Mon endroit coup de cœur ? Mon endroit coup de cœur.. . » Ces paroles, sa façon de sourire et de la regarder, bien des choses pour la faire craquer. Surtout quand il avoue à haute voix qu'elle le rend fou, hors de lui même pour utiliser des mots que seuls lui devaient d'ailleurs utiliser. Surtout plonger son regard dans le sien, cette phrase était également si bonne à entendre, si plaisante et si agréable qu'on se sentait moins inutile qu'on l'avait imaginé. « Je triche pas Razz et ça me fait plaisir de te retrouver, te toucher et te sentir. » Bien sûr qu'il avait des secrets et même s'il disait le contraire, Aislynn n'arrivait pas à le croire. On a tous notre petit jardin secret. On est humain à la base et quoi de plus normal d'avoir nos points faibles et que l'on préfère les garder en nous pour ne pas être touché.

    Sentant sa main devenir légèrement moite, la jeune femme espérait ne pas avoir dit une chose qu'il ne fallait pas. Elle ne souhaitait pas le mettre mal à l'aise. Elle ne peut pas faire comme si elle n'avait pas vu, donner un papier au chauffeur. Elle se demandait ce qu'il avait derrière la tête, ce qu'il réservait. Voyant le taxi changer légèrement de direction, la belle blonde ne pouvait qu'être curieuse. Allait - elle découvrir quelque chose sur ce beau jeune homme ? Allait - il vraiment s'ouvrir à elle ? Pressée et proche de lui, dans ce taxi, elle se rapproche, en entourant son bras. Jusqu'à ce que le taxi s'arrête et qu'elle tombe face à ce grand bâtiment portant une enseigne connue et respectée, elle est vraiment interrogée et ne sait pas quoi penser de tout ça. Jusqu'à ce que Charles prononce quelques mots.. « Voici l’agence de mannequinat de ma mère. Elle est à moi maintenant, et j’essaye de la diriger avec plusieurs autres personnes mais bon .. elle est connue et j’ai pas grand-chose à faire. Allez, viens. » Bouche bée , elle était loin de s'imaginer une telle chose. Il allait lui présenter sa mère ? Tant de questions se bousculaient à ce moment précis que la demoiselle préféra tout mettre de côté pour simplement faire face à ce qui l'attendait. Sourire au lèvres, elle pénétra dans cette grande entrée et ne pouvait pas s'empêcher de se sentir encerclée. Sentant la main du jeune homme se resserrer, elle sentait que quelque chose n'allait pas. Le suivant sans rien rajouter, elle reste à ses côtés et le soutien comme elle peut. Depuis le temps qu'il n'était pas revenu, ici. Là, elle se rappela ces quelques mots, cette entreprise était sienne. Où était donc sa mère ? Elle avait décidé de lu léguer ? « Tout ça est à toi ? » Marchant jusqu'à une autre pièce, elle rentra dans cette immense salle. « Désolé.. ils sont assez collants.. et puis ils ne m’ont plus vu depuis tellement longtemps.. depuis.. Tu veux défilé ma belle ? » A l'aide d'un regard, elle lui montrait que cela l'importait peu. Après tout, c'est elle qui avait souhaité en savoir un peu plus sur lui. Assise sur ses genoux, elle passe sa main dans ses cheveux et reste plongée dans son regard. Elle s'avance et supprime l'espace qui les oppose. Pour venir frôler ses lèvres, pour qu'il sente sa respiration à l'aide de sa bouche et pour qu'enfin, elle se lance et l'embrasse si passionnément qu'il pourrait en perdre la tête. Langue contre langue, ils s'harmonisaient plus que bien. Elle laissa glisser sa main ensuite sur son visage, sa joue pour se retirer.. « Je suis contente d'être ici et avec toi, peu importe ce qu'il y a autour.. Tu souhaites me voir défiler ? » C'est alors qu'elle se lève et qu'elle part se cacher. Dans les coulisses, je trouvais une tenue qui me plaisait. L'enfilait et me lançait. Si ça pouvait faire sourire le jeune homme, elle ferait presque tout pour le voir heureux et simplement lui - même. Après tout, ils sont loin de leur université, loin des cours et des tracas. Défilant, un pied devant l'autre, on aurait dit qu'elle avait toujours faire ça. Arrivant au bout du podium, elle s'arrête et dit : « Alors je pourrais travailler pour toi, tu crois ? »
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MessageSujet: Re: [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn EmptyDim 7 Nov - 17:57

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« L'amour est un égoïsme à deux. »

Tout était bien plus dur que je n’avais osé l’imaginer, même si venir ici relever de la facilité, je voyais sur les murs les photos de ma mère qui ne posaient pas, mais avec qui elles partageaient la scène avec d’autres mannequins qui avaient bien su démarrer ici et s’envoler pour être des nouvelles stars pour d’autre entreprises. Depuis sa mort, tout était bien plus dur. Derrière sa mort, il y avait tout un tas de noirs secrets qu’Aislynn ne devrait jamais savoir, mais en avais-je envie ? Était-ce que pour la protéger que je ne voulais pas qu’elle sache ? Non, c’était bien plus profond. Je ne voulais pas qu’elle a peur de moi, car j’étais lié à elle à présent, je ne l’avais pas encore compris, mais c’était comme un bouffée d’air, mon oxygène. J’en ai besoin, c’est vital. Mais je ne pouvais pas être à ce point égoïste, si ? Je ne sais plus quoi faire, je suis perdu. Merde. J’en ai marre de toujours avoir des problèmes de confiance avec les gens, je ne sais pas si je dois lui faire la confidence de ce que je suis réellement. Je n’ai pas honte de moi, mais de mon père, il a souillé la famille, et maintenant en l’ayant tué, je pense l’avoir nettoyé. Je crois. N’être jamais sûr de mes choix, est-ce ainsi que je voyais ma vie si je la vivais réellement ? Toujours me remettre en question ou remettre en question la situation dans laquelle je suis ? Avant ce n’était pas comme ça, avant je ne me souciais que de moi et pas des autres, m’être ouverts aux autres les as mis en danger plus que je ne pensais être en danger moi-même. Perdre les autres au lieu de me perdre était d’un égoïsme que je ne pensais pas avoir. Mais je ne voulais perdre personne, mais la vie n’est jamais comme on le souhaite, ça serait trop simple sinon, un rêve éveillé même. Il fallait que j’arrête de me plaindre, même si j’adore ça, ça en devient agaçant. Je reposais mon regard sur la belle blonde qui n’était pas loin de moi, peut-être avait-elle senti l’inquiétude qui m’avait pris, et qui à présent se maîtrisait peu à peu, mais ça faisait tellement longtemps que je n’étais pas venu ici, ça présence était là sans que je ne le veuille et je ne pouvais empêcher les remords et la nostalgie ainsi que le manque de me montait aux yeux. Bien sûr je le cachais assez bien, tant qu’Aislynn ne se trouvait pas trop près de moi, mais elle se décidait à venir m’embrasser. Je ne pouvais que répondre favorablement à cela, répondant au baiser qu’elle me donnait alors que ma main glissait sur sa taille et l’autre sur sa joue tandis que nos langues s’entrechoquaient, se cherchaient et s’unissaient à nouveau. Un léger moment de fougue et de tendresse, un moment que j’appréciais. La main d’Aislynn perdue dans ma chevelure ne me dérangeait pas, elle m’apaisait au contraire et je la laissais faire alors qu’elle me proposait qu’elle défile. Sans que je n’eusse le temps de répondre elle s’était envolée de mes genoux et était parti derrière l’estrade et je ne la vis plus. Je savais ce qu’elle allait faire et j’avais hâte qu’elle me montre cela, j’en profitais même pour sécher mes yeux, elle n’avait pas vue que j’avais les larmes aux yeux, par chance. Je ne voulais pas que l’on me voit faible au grand jour. Ni jamais d’ailleurs ! Je n’étais pas faible, je ne le serais plus, jamais. Quelques minutes plus tard elle revint, changée. Habillée assez sexy, je ne pouvais que baver devant son accoutrement et je la regardais défiler vers moi dans cette tenue. Elle est magnifique, je la regarde et me lève doucement pour admirer la tenue dans laquelle elle est. Transparent, cela pourrait me donner des envies, mais peut-être pas. Mon corps bougeait sans que je ne doive lui ordonner quelque chose, sans que je n’eusse à le penser. Je me retrouvais à monter sur l’estrade en une enjambée puis me posait devant elle, son front contre le mien, puis je reculais de nouveau, la regardant dans cette tenue, faisant le tour autour d’elle et jugeant de bas en haut, puis je posais mes deux mains sur sa taille et la collait à moi, faisant mine de réfléchir alors que je frôlais ces lèvres des miennes mais je ne l’embrassais pas, je devais lui répondre à toutes ces interrogations. Je la lâchais doucement et je lui fis dos, regardant le mur en face puis écartant les bras et tourna sur moi-même pour être de nouveau face à elle et lui montrer l’édifice, parlant enfin « Oui, tout ceci est à moi. Ma mère est morte, assassinée.. donc, donc tout est à moi. – Les larmes aux yeux, elle me venait toute seule et je ne pouvais rien faire contre, le ton de ma voix en changeant pas – Tu es magnifique, même si c’est des petites tenues pour nuit.. elle te va à ravir, j’ai bien envie de te croquer mais je ne pense pas que ce soit le lieu prompte à ça. »Je lui souris alors que je m’assis à même le sol, j’avais les yeux qui commençait à avoir un trop pleins de larmes, et j’essuyais ça d’un revers de la main, je ne devais pas. Mais c’était si fort. Un sentiment si fort, un vide si immense, elle me manquait et être là ou elle avait été, les souvenirs me revenaient en tête si fort que je ne pouvais rien faire contre. Je ne la regardais pas, je ne voulais rien dire, mais il fallait que je dise quelque chose, que je m’ouvres à elle et lui raconte ça. Je pris une profonde respiration et dit enfin « Elle me manque, ça fait longtemps.. trop longtemps qu’elle n’est plus là et que j’ai du me débrouiller seul. Je ne peux plus supporter son absence. Si elle serait encore là, tu serais idéale pour elle, tu es tellement magnifique. » Je restais assis sur le sol, la regardant de haut, je voulais l’embrasser, et sans attendre, mon corps réagit et je me levais pour l’embrasser, lui donner un baiser tendre, doux, mais fort à la fois et remplie d’amour et de promesses, car je crois que je l’aime cette petite blonde.
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MessageSujet: Re: [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn EmptyJeu 11 Nov - 14:10

      [TERMINE] C'est peut-être parce que tu es là ; que je vois enfin la magie de Paris .. ?! [..] Aislynn Ed4
      « A cet instant , elle leva les yeux et me regarda.
      Il me sembla qu'elle était en train de se noyer sous
      mes yeux et que si je tendais la main vers elle, je
      la sauverais. »


    Cette journée allait être plus révélatrice que la jeune femme ne l'avait imaginé. Dans cette grande pièce où règne un podium de défilé, elle en apprend davantage sur Charles. Elle l'apprécie également énormément. Se trouvant toujours heureuse, posée et calme à ses côtés. Mais ce qui fait le plus grand bien, c'est la sécurité qu'il dégage quand il la prend dans ses bras. En venant à Paris, elle cherchait à écrire une nouvelle page et elle l'imagine bien avec le jeune homme. En effet, elle s'est faite sa propre opinion. Derrière son regard, elle sent qu'il y a un coeur et loin d'être en pierre. Elle lui fait confiance et c'est une chose précieuse pour miss Woobleforth. Elle qui donne très facilement cet avantage. Elle se sent vraiment bien et apprécie qu'il lui ouvre une porte de son existence. Nous avons tous un chemin à parcourir et on a tous des étapes à surmonter. Mais elle était loin de s'imaginer que le beau brun était si important ici. Il avait cette agence et Aislynn comptait bien profiter du moment. Se redressant de ses genoux comme un éclair, elle s'échappe derrière ces grandes tentures et y trouve beau nombre de tenues. Ayant même difficile à choisir, elle opte pour quelque chose d'unique et de ravissant. Elle adore le tissus et n'hésite pas une seconde de plus. L'enfilant, elle s'imagine le visage de Charles. Allait - il apprécier ? C'est alors qu'elle ne le fait plus attendre. Se lançait sur la plate forme, elle marche et se donne du charisme comme si elle avait toujours fait ça. Souriante, éclatante, elle se laisse vivre et se laisse livrer à ce beau brun. Quelque chose de vrai les unit, plus qu'elle ne l'aurait peut être imaginé. Le principal est qu'aujourd'hui, ils sont prêt pour écrire de nouvelles lignes, voir de nouveaux horizons. Charles n'attend pas bien longtemps pour venir la rejoindre. Front contre front, elle remarque quelque chose dans son regard. Quelque chose de nouveau et d'envoutant, ayant du mal à s'y éloigner, elle reste plongée. Sentant qu'il dépose ses mains sur ses hanches, la rapproche de lui et fait naitre un certain désir. Alors qu'il joue d'elle sans même s'en douter. Elle essaye de garder le dessus et de ne pas craquer aussi vite. Elle aimerait qu'il la désire comme il n'a jamais désiré une autre. Cependant, ses paroles viennent interrompre ce moment. Une vraie confidence qu'elle n'avait même pas imaginé. « Oui, tout ceci est à moi. Ma mère est morte, assassinée.. donc, donc tout est à moi. Tu es magnifique, même si c’est des petites tenues pour nuit.. elle te va à ravir, j’ai bien envie de te croquer mais je ne pense pas que ce soit le lieu prompte à ça. » Choquée, la seule chose qui sort de sa bouche, est un mot : « Quoi ? » Elle l'écoute cependant finir ses paroles. Elle comprend alors d'où vient ce côté mystérieux et intouchable. Ce n'est pas facile de se voir ôter sa maman de cette façon. Une mère est le pilier d'une famille et ça doit être plus que douloureux de vivre avec cela, dans le silence. Elle se doute que peu de gens sont au courant de ce secret. Cette partie de lui qui pourrait l'affaiblir. Néanmoins, Aislynn est loin d'être là pour le faire souffrir..

    « Elle me manque, ça fait longtemps.. trop longtemps qu’elle n’est plus là et que j’ai du me débrouiller seul. Je ne peux plus supporter son absence. Si elle serait encore là, tu serais idéale pour elle, tu es tellement magnifique. » Il s'était assis sur le podium et elle pouvait remarquer les larmes devenir maitre de son visage. Aislynn se sentait mal pour lui. Ayant du mal à comprendre pourquoi la vie lui avait infligée toute cette souffrance. Pourquoi lui ? Seulement, elle était heureuse de l'entendre dire qu'elle lui manquait. Ce n'était pas une façon de montrer qu'il était un faible. Non! Juste un homme en manque d'une personne importante. Mais ce qui fait sourire la demoiselle est la fin de sa déclaration. Cela doit être le plus beau compliment qu'on lui ait fait. Il tourne son visage, elle remarque les larmes et avant qu'elle eut le temps de réagir, Charles s'était levé. « C'est normal qu'elle a creusé un trou en toi. Je suis sûr que de là - haut, elle est fière de toi. Regarde toi, Charles. Tu es devenu un homme et pas n'importe lequel. » N'ayant pas le temps de finir, il l'embrasse, la serre contre lui et la demoiselle en fait de même. Elle sent l'intensité de ce moment. Elle l'enlace de ses bras et leurs visages l'un contre l'autre, elle sent ses larmes chaudes toujours présentes sur son visage. Un baiser remplis de passion, de tendresse et de futur. Ils sont l'un contre l'autre et elle décide de mettre fin au baiser. Elle a besoin de lui parler, de le remercier de s'ouvrir à elle.. Se reculant mais restant son corps contre le sien, avec l'une de ses mains, elle essuie ses larmes et un sourire en coin se dessine sur son visage. « J'aurai aimé la connaitre, elle devrait être une femme fabuleuse. » Le serrant dans ses bras, elle pose sa tête dans son coup et l'embrasse délicatement, lui caressant également le dos du cou. Elle se sentait bien, heureuse et comblée. Charles était la seule source de ce bonheur. Elle ne saurait pas comment le remercier mais elle aurait également son moment de confidence à un moment ou à un autre. Elle reste alors de longues minutes là, et lui murmure : « Tu comptes beaucoup pour moi, Charles. »
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« Là où on s'aime, il ne fait jamais nuit. »

Le désir, l’amour ? Je ne savais que dire par rapport à cela. Aislynn me plait et je veux qu’officiellement nous sortions ensemble aux yeux de tous, et même si nous n’en n’avions pas encore officiellement parlé je veux dire. A croire que je tiens à faire comme dans la vieille école. L’ennui c’est que ce n’est pas la bonne époque, et peut-être que je lui accorde trop d’importance, trop vite. Mais je ne peux rien faire contre les sentiments qui sont naît pour elle en moi, je n’y peux rien et donc je laisse faire, je m’ouvre doucement à elle et presque inconsciemment elle arrive à m’arracher les parcelles de vérité qui forment mon passé douloureux. Je reste contre elle, mon regard dans le sien, rien ne m’importe plus qu’elle, Aislynn et rien d’autre. Je me fiche de ce qu’il se passe autre part, mon cœur ne bat que pour elle, et alors qu’elle me confie que je compte beaucoup pour elle, mon corps ne peut réprimer ce sentiment si fort, ce sentiment que j’ai commencé à apprécier avec Aurlanne et qui revient sans cesse. Le sentiment d’être aimé malgré le fait d’avoir eu un passé qui ne fait que nous reprocher des choses. Mes lèvres cherchent à entrer en contact avec les siennes, et j’y arrive sans vraiment la regarder, je connais son visage par cœur, à croire. Je laisse ma langue allait contre la sienne et je ne peux réprimer un sourire sur mon visage, peut-être que c’est elle, la bonne. Il ne faut pas que je me focalise sur la peur de m’attacher et surtout de la peur de la perdre, il faut tout simplement tester, et voir si ça marche, si ça marche, tant mieux, sinon tant pis, c’est que ça ne serait pas elle. Je ne sais pas quel sera le problème, et j’espère qu’il n’y en aura pas. J’oublie complètement de lui répondre mais je continue à l’embrasser comme un fou, mes mains sur ces joues, je garde sa tête entre mes mains et ces lèvres entre les miennes, avant de lâcher ces lèvres rosies et de frotter son nez au sien. Je respire doucement et mes yeux pétillent pour elle. Elle et pas une autre, je le veux. Je ne dis pas grand-chose, je suis juste sous le choc de mes désirs, jamais je n’ai voulu une fille autant qu’elle, ça sera elle et pas une autre, je le veux. Mais je gardais quand même de la raison en ne m’avançant pas trop, en ne me faisant pas trop d’espoirs, on ne sait de quoi le lendemain est fait. Je caresse sa joue et je finis par reculer quelque peu, je cherche les mots, mon regard ne quitte pas le sien, et elle comprend que ce qu’elle vient de me dire me rend bien, heureux, elle a bien choisi son moment à croire. Ma mère en serait contente si elle l’aurait vu aujourd’hui, mais elle n’est pas là, et ne le sera plus jamais. Merci Papa. Il faut que j’assure la relève à son nom, j’aurais aimé la présenté à la fille que je pense aimer, mais je ne peux pas, je dois faire avec. Je prends ma respiration, et descendant ma main dans la sienne, je parle et l’attire vers les escaliers pour enfin descendre de l’estrade « Tu sais, je ne suis pas vraiment un homme bien, du moins, je sais pas ce que je dois vraiment.. mais depuis que je suis arrivé à Berkeley j’apprends des choses que je n’ai surement pas connu.. l’amitié, la vraie et aussi.. l’amour – dis-je en posant mon regard sur le sien, c’était peut-être un peu trop avancé, et ça laissait une ambiguïté à la situation, et surtout des questions posés, chez l’un comme chez l’autre – J’espère que ça va continuer ainsi, de belles surprises en belles surprises, même s’il y en a eu des mauvaises.. . – Je laisse un blanc, puis m’assoies sur une chaise, avec elle sur mes genoux – J’aurais aimé te la présenter, mais ce n’est pas grave.. – puis plus sérieux – Toi aussi tu comptes beaucoup pour moi Aislynn.. tu me rends différent, je ne sais comment l’expliquer, mais je me sens mieux en ta présence.. qu’elle soit physique ou juste dans ma tête.. je me sens toujours bien. » Et bien, ça c’est de la déclaration, et si je n’ai pas le droit à un autre baiser avec, je pense que je devrais me faire moine, ou encore me faire tatouer tiens ! Alors que je regardais ces beaux yeux et ces cheveux d’or, je vis l’heure derrière elle, et peut-être serait-il temps d’aller prendre un petit déjeuner. « Tu veux manger quelque chose ? Boire un truc ? Il est bientôt midi.. et tu sais bien, chez les Frenchies, on mange souvent vers midi, une habitude quoi.. =P » Dis-je avec le sourire tout en entremêlant ces doigts aux miens, attendant sa réponse, ou ces réponses. Alors que doucement, je nous sortais d'ici, partir manger quelque part loin de mes souvenirs douloureux.
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» Flashback •• « Etre indécis a peut-être un avantage »

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