the great escape
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ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.

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MessageSujet: ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life. ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  EmptyDim 20 Fév - 17:22

ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  1okitd ESTEVAN&STIYZANNA la tour dubois duma. « A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi et regarder le soleil qui s'en va. Te parler du bon temps qui est mort et je m'en fous te dire que les méchants c'est pas nous. Que si moi je suis barge, ce n'est que de tes yeux car ils ont l'avantage d'être deux. Et entendre ton rire s'envoler aussi haut que s'envolent les cris des oiseaux »

    Plongée dans mon rêve, les yeux clos je partis vers d’autres cieux et remontai le temps. Dix ans auparavant. La belle jeune fille innocente et insouciante que j’étais, vagabondait seule dans la nature à la recherche de cerises. En effet, madame Nathalia- ma nourrice- et moi-même allions préparer une de ces tartes à la cerise dont nous seules avions le secret. Me promenant, mon petit panier rose à la main, je ressemblais à la belle au bois dormant, une vraie petite princesse dans toute sa splendeur. J’aimais être seule, respirer l’air frais de la nature, être au calme sans avoir 6 frères et sœurs à l’entour de moi. J’avais dix ans et c’était la première fois que madame Duma-ma mère- me donnait l’autorisation d’aller cueillir mes fruits préférés en tête à tête avec moi-même. Ah ce que j’étais fière, ma mère –ô combien odieuse- me prenait enfin pour une grande. Mon panier remplit de fruits rouges, il était temps pour moi de rejoindre la grande demeure des Duma. Je n’avais que quelques mètres à faire, il ne fallait pas croire que ma mère m’avait autorisée à parcourir la ville non plus. Soudain, une grande camionnette noire s’approcha de moi, baissant sa vitre pour me demander où se trouvait la poste ! « Stiyzannaaaaaaaaaaaa, réveille-toi ! C’est l’heureee ! » Ouh god, à qui appartenait cette voix si stridente et aigue à la fois ? Et surtout, qui osait m’interrompre alors que j’allais enfin changer la « phase » de mon passé. J’étais sur le point d’envoyer paître l’homme dans la camionnette et de partir en courant, rentrant saine et sauve chez moi. Oui, dans ce fameux rêve je ne faisais pas l’erreur d’être gentille et aimable avec mon futur violeur/séquestreur. Tant pis, c’était trop tard. De plus, cette voix me donnait déjà mal à la tête et je n’avais pas envie de l’entendre une nouvelle fois me crier dessus. « Zanna ma filllllllllllllle ». Ma mère ou plutôt la femme passant son temps à me pourrir la vie. Mais étant la belle gentille et naïve Stiyzanna, je disais amen à tous ses caprices. Faire la une d’un magasine alors que je détestais ça ? Je m’exécutais et avec le sourire en plus. La chose la plus folle que j’avais faite jusqu’à présent pour assouvir ses désirs ? Prétendre qu’Augusto et moi-même formions un parfait petit couple. Nos deux familles s’étaient alliées dans le but de nous marier ! Forcément, Duma + Pelizza Da Volpedo, deux grands noms ne pouvaient qu’aller ensemble. Nous jouons cette comédie depuis bientôt plus d’un an, bernant nos parents à chacune de leur visite. D’ailleurs, c’est exactement ce qui s’était passé hier soir lorsque nos deux très chères et tendres familles avaient décidé de nous faire la « surprise » de leur venue en Amérique. Voilà l’explication à mon réveil si brutal, ma mère était en Californie ! Please god, ramenez-là en Russie !
    Plus vite je partirais en cours, plus vite je serai débarrassée de ma tendre et délicieuse génitrice. Pour la première fois de ma vie, je n’avais pas passé des heures dans la salle de bain ni même devant mon immense dressing de 124m² afin de choisir la tenue parfaite. Une jupe noire montante accompagnée d’un chemisier blanc en soie laissant tomber quelques vagues de tissus. Sans oublier mes trois marques de fabriques : mes très chères louboutins, mon foulard gucci ainsi que mon serre-tête rouge préféré histoire de trancher le tout. Quelques minutes plus tard, je me trouvai devant ma classe, remettant correctement mes cheveux en place. A peine avais-je eu le temps de mettre un pied dans l’auditoire qu’une jeune fille y sortit complètement hystérique ! « Le prof n’est pas lààààààà, yahaaa je vais pouvoir rester toute la journée en compagnie de mes chats ». Devais-je rire ou plutôt avoir pitié ? Poor girl, je lui trouverai bien un boyfriend ne voulant pas qu’elle passe sa vie seule avec comme unique passion et occupation : ses chats. Ma bonté me perdra. Une question me traversa l’esprit : qu’est-ce que j’allais bien pouvoir faire de cette journée moi ? Il était à peine onze heure, 10h33 pour être précise, et il était hors de question que je retourne chez moi ! Passer toute l’après-midi en compagnie de ma mère passant son temps à préparer et à rêver de mon pseudo mariage avec Gusto ? Jamais de la vie ! Je devais rester loin de chez moi, le plus loin possible même. Je songeai à faire les boutiques mais me résignai. C’est exactement l’endroit où ma chère madame Duma se trouvait à cet instant précis. Crap, elle m’empêchait même de pratiquer mon passe-temps favori. Tant pis, je devais trouver quelque chose. Quelque chose que j’avais sous la main si possible, pour ne pas devoir retourner dans la demeure Duma. Je fouillai dans mon Hermès et y trouvai mon bonheur : mon vogue, mon meilleur ami. Dehors, le soleil rayonnait et il n’y avait pas une once de vent. C’était l’occasion parfaite pour découvrir ce bon vieux parc de Berkeley accompagné de mon magazine préféré. Cela peut vous paraitre étrange, mais depuis mon arrivée dans cette prestigieuse université, je n’avais jamais mis les pieds dans ce sublime parc. La nature et moi-même n’étions pas meilleures amies, surtout pas après ce qui s’était passé dix ans auparavant en allant cueillir des cerises. Mais, il était temps pour moi d’affronter mes peurs, mes souvenirs et mon passé. De plus, ce parc était bondé de personnes à toute heure du jour. Go girl, you can do that ! Mon courage prit à deux mains, je respirai enfin l’air frais tout en regardant autour de moi. Je faisais une obsession sur les gens, sur les arbres, sur la façon dont les bancs étaient disposés, sur ce couple d’amoureux qui se bécotaient comme s’ils étaient seuls au monde. Je déviai mon regard, ne voulant plus m’offrir le luxe de les admirer, d’admirer leur bonheur. Ce bonheur que je ne vivrais probablement jamais. Je soupirai et sortis mon meilleur ami- mon vogue- lui lançant un « alalala qu’est-ce que je ferai sans toi ! ». Je commençai d’abord par feuilleter le magazine entièrement afin de chercher le sujet qui me plaisait le plus. Haha je l’avais enfin trouvé, à moi la nouvelle collection chanel présentée exclusivement par monsieur Karl Lagerfeld himself ! Je m’apprêtai à me lancer dans ma lecture quand … BOUMMM ! Je venais de percuter quelqu’un et en prime, mon vogue trainait désormais dans une mare de boue. Adios V. Une fois mes adieux faits, je levai la tête histoire de voir qui était cet inconnu sur qui j’avais foncé et surtout qui était le « monstre » qui me privait de mon vogue ?! Mon visage se décomposa à la vue de la personne se tenant face à moi. Ses yeux, ce regard, ce sourire que je connaissais que trop bien. Un prénom : Estevan et mon cœur se mit à battre la chamade. Un léger sourire gêné s’afficha sur mon visage ne sachant pas vraiment que faire, ni quoi dire. « Je ne verrai probablement pas la nouvelle collection Chanel tout de suite ! » ironisant sur le triste sort de mon vogue. Oh god, quelle rencontre, quel cliché ! On dirait bien que je n’allais pas qu’affronter mon passé…


    Ps : regarde comment elle est belle :plop:

    Spoiler:
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MessageSujet: Re: ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life. ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  EmptyLun 21 Fév - 1:18

ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  1okitd STIEVANN ♥. « When I met you, I didn't know what to do. I was tired, I was hungry, I fight. Now I'm away, I write home everyday and I see you on the TV at night --- Oh her eyes, her eyes, Make the stars look like they’re not shining, Her hair, her hair, Falls perfectly without her trying, She’s so beautiful, And I tell her every day ♪ »

« Estevaaannnn moveee ! » Quoi? Qu'es ce qui se passait? Où était-il? Et bien tranquillement allongé sur le canapé de la maison La Tour Dubois, bien confortable, bien moelleux. Et il fallait qu'il bouge? Était ce une blague? Apparemment non. Pourquoi devait-il bouger? Une seule personne. Constance, bien évidemment. Il lui fallait de la place, oh pauvre chou, il fallait qu'elle s’asseye. Allait-il avoir de la pitié ou autre? « Non ! » Sadique, non, désarmant, oui. Sauf qu'elle aurait beau demander encore et encore il se déclarait encore moins. Mais Estevan ne pouvait rien refuser à sa soeur, encore moins depuis son accident alors il trouva une issue à ce petit problème. Il lui ouvrit grand les bras en sa direction, soit juste en face de lui, et lui fit signe de s'allonger sur lui, un big câlin familial. Elle était pas belle la vie? Oui sauf qu'ils étaient capables de s'endormir autant l'un que l'autre sans s'en apercevoir, sans lutter contre les bras envoutants de Morphée. De gros flemmards vous dis-je. Même eux ne le nient pas, c'est pour dire. C'était une bien belle image, celle qui vous reste gravée dans la tête à jamais, celle de tenir l'amour de votre vie dans vos bras, ne voulant la laisser partir, de peur de la perdre, de nouveau, comme il n'y a pas si longtemps.. Il fallait voir la réaction d'Estevan quand il apprit que sa soeur était à l'hôpital pour réellement comprendre. Tout le monde pourra dire "je sais ce que tu vis" ou bien d'autres choses, ce n'était pas et n'est pas le cas encore aujourd'hui. Et s'il n'y avait pas eu Matthew. Oui le fameux super héros de cette soirée, il faut dire ce qui est pour ce coup là, car sans lui, Constance aurait peut être prit une balle, dans le coeur, autre part, qu'importe, elle ne serait peut être plus des nôtres de nos jours.. THANKS GOODD ! Thanks Matthew. Pensée à tout de suite enlever de la tête, il resserra l'étreinte, légèrement de peur de la casser, de lui faire mal là où elle fut touchée. Les yeux fermait, son esprit vagabondait dans les esprits, d'une situation différente, autant pour sa vie, que pour celle des autres, une monde meilleur comme on dit. Le monde qu'on ne peut atteindre. La paradis suprême sur Terre? Peut être, encore faudrait-il qu'on y arrive. Et c'était loin d'être gagné. Plus Estevan pensait, plus il se relaxait, plus il se sentait partir, loin, très loin. L'image de Plum apparu, sa meilleure amie, celle qui avait aussi pas mal de soucis, côté coeur comme pas mal de gens ont du avoir échos. Oh sacré Ethan, sacré Iota. Laissant en plan une aussi belle femme, il fallait en avoir l'audace. M'enfin on ne pouvait pas cracher sur tout le monde après tout, encore moins sur un mec qui fait partit de sa bande de 6. La bande des beaux gosses comme un dirai, les infernaux n'est-ce pas? Il suffit de voir comment ils se sont rencontrés, ils se sont bien trouvés. Matthew, Ethan, Aymeric, Edward, Nathaniel & Estevan. Les fantastiques 6. Sans cette bande de potes, la vie d'Estevan serait moins drôle, moins mouvementée des fois, heureusement qu'ils sont là. Remonte le bon niveau. Chacun a son opinion, ses avis sur ce groupe, mais à ce qu'on entend, ce n'était que du bon. Sur cette pensée Estevan sourit, un air apaisé sur le visage, yeux fermés, s'endormant..

S'entend quelque chose de pointu et s'enfonçant dans son ventre, Estevan se réveilla d'un coup, un mal frappant. Réalisant où il était, il regarda ce qui lui faisait si mal. Le coude de sa soeur Constance. Oh great. Elle avait le chique de bien le réveiller, ça n'allait pas changer. L'observant quelques instants, l'air si innocent et pourtant.. Ne voulant pas la réveilla il l'a prit dans ses bras, l'amenant tranquillement dans sa chambre, la glissa dans ses draps avant de lui déposer un baiser tendre sur sa tête. Digne des films à la télévision n'est-ce pas? Sauf que là, c'était la réalité, la vraie vie. Estevan quittant la chambre de sa soeur sans faire de bruit pour rejoindre la salle de bain vu la belle tête qu'il devait avoir. En passant, l'heure, ohh too bad, il avait raté sa matinée de cours. Pour une fois que c'était pas sa faute. Mais il ne valait mieux pas qu'il rate l'après-midi, il avait fait assez de frasques pour ce semestre pour continuer comme ça même si c'était largement tentant. Puis, à l'université, il y aurait toujours quelque chose à faire pour se divertir. Le temps défila et il arrivait à l'université. Que pouvait-il bien faire? Le temps était parfait pour se promener en ville, mais bien sûr la vie en avait décidé autrement. Il était seulement 10h20 quand Estevan traversait Berkeley. Passer devant le panneau d'affichage, un match dans pas longtemps, et tout le blabla quotidien, des cheerleaders, quoi de mieux? Des bêtas. Enfin bref, ça promettait des scènes glorieuses, mythiques, et quelques humiliations le soir venu pour fêter cette victoire, comme d'habitude soit. Marchant dans les couloirs, Estevan se souvint la première fois qu'il traversait ceux ci. Un an auparavant, bien plus innocent sur l'université de Berkeley, sur San Fransisco, et maintenant cette ville avec laquelle il ne faisait plus qu'un. Qu'il n'allait certainement pas quitter de si tôt. Et toute la joie et gaieté de cette époque.. De bons vieux moments, mais les choses avaient changés, son entourage avait changé, tout avait changé, et pour des tas de gens.. Essayant d'éviter les personnes qui barraient son passage, il marchait un sourire béat aux lèvres, décontracté. C'était une journée banale qui avait commencé, mais qui n'allait pas se finir comme telle. Il marchait insouciant, ne réalisant que quelques instants plus tard qu'il marchait dans le parc de l'université, ce grand et beau parc. Là où l'on pouvait faire toutes sortes de rencontres. Chantonant, I’d catch a grenade for ya yeah, yeah, yeah, throw my hand on a blade for ya yeah, yeah, yeah, I’d jump in front of a train for ya yeah, yeah , yeah, tête baissait, ne regardant malheureusement pas où il allait, marchait, l'incident se produit. Il percuta quelqu'un et vit quelque chose tomber à ses pieds. Un magasine. Vogue. Vogue à cette heure-ci? Il n'y avait qu'une personne qui pouvait le faire.. Stiyzanna.. Relevant délicatement la tête, elle était devant lui, toujours aussi belle. Malgré son aisance et sa confiance en lui, Estevan ne savait où trop se mettre, limite embarrassé, ce qui ne lui ressemblait vraiment pas.. Sourire aux lèvres, il plongea son regard envoutant, tendre, innocent. « Probablement pas, mais qu'importe? » Que répondre? Comment engager une réelle conversation? Estevan ne s'était pas sentit aussi mal, du moins pas à sa place depuis un long moment. Sourire en coin, il l'observa d'un peu plus près. Son style, son élégance, sa présence, elle n'avait pas changé. « Bonjour toi.. » Voilà les seuls moi qui étaient venus à l'esprit d'Estevan. Du n'importe quoi? Oui c'était bien le cas, mais que faire quand on est devant une personne que vous ne pouvez traiter comme les autres, une qui est plus importante à vos yeux que d'autres? Pas la situation dans laquelle Estevan avait pensé se retrouver aujourd'hui en se levant..
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MessageSujet: Re: ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life. ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  EmptyJeu 10 Mar - 18:27

ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  352ejx3 ESTEVAN&STIYZANNA; Go delta, go breaking my heart. « And all the roads we have to walk are winding. And all the lights that lead us there are blinding. There are many things that I would like to say to you but I don't know how. Because maybe you're gonna be the one that saves me ? And after all you're my wonderwall »

    Une personne et votre vie peut changer à tout jamais. Ma personne portait le doux et parfait prénom d’Estevan. Estevan La Tour Dubois. Je pourrais probablement écrire des centaines et des centaines de livre le concernant, « nous » concernant. Notre histoire était tellement peu ordinaire que ce livre ferait fureur à la seconde même de sa sortie. Mais cette « pseudo romance » était bien trop importante à mes yeux pour laisser le monde entier en profiter. C’était entre lui et moi et personne d’autre. Qui l’aurait cru ? Moi, Stiyzanna Duma, peureuse de première classe envers les hommes j’étais devenue dépendante de ma peur, de La Tour Dubois himself. Un Delta en plus ça. La fille réticente aux relations ( amoureuses ou d’une nuit ) que j’étais, rampait aux pieds d’un tombeur de ces dames. A croire que Berkeley m’avait définitivement changée. La logique des choses voudrait certainement que je sorte avec un Epsilon portant un très grand nom. Augusto Pelizza Da Volpedo en était l’exemple typique. Mais non, mon choix se porta sur un bleu, non pas sur un mauve. Avais-je perdu la raison ? Etais-je devenue complètement folle ? Mais comme on le dit souvent, «  on ne choisit pas de qui l’on tombe amoureux ». Je ne vais pas me la jouer à la romantique de service – je détestais ça- en prétextant que j’étais bel et bien amoureuse du jeune homme et que mon amour pour lui était sans faille et sans limite. Non. De un, je m’interdisais de tomber follement amoureuse et de gouter au bonheur de cette sensation. Et de deux, l’idée de faire confiance à un homme, de lui donner mon corps et mon cœur m’effrayait totalement. Seulement, nous avions dépassé ce stade puisqu’il possédait déjà mon cœur. Il pouvait, d’ailleurs, en faire ce qu’il voulait : le piétiner, le chérir, .. Il était sien, et je ne l’avais jamais donné auparavant. Je détestais cette sensation de dépendance à une personne, le fait que mon monde ne tournait plus qu’autour de lui et que mes conversations avec mes sex and the city girl’s ne dérivaient que sur sa petite personne. J’étais devenue ce que je m’étais juré de ne jamais être. J’étais déjà dans tous mes états alors que nous n’étions même pas un couple. Souvent, je me posais cette question « Est-ce qu’un delta pouvait être fidèle dans un couple ?! » ou même « Est-ce qu’un delta pouvait être en couple tout court ?! » Ils avaient une réputation à tenir, « playboy un jour playboy toujours » ! Mais depuis quand je croyais aux préjugés, moi celle que l’on caractérisait comme fille à papa prétentieuse et égocentrique suite à mon nom de famille – alors que j’étais bel et bien l’opposé- ? Depuis que je ne voulais pas affronter la vérité en face sûrement. It’s too late little girl, la vérité était là juste en face de toi ! « Un vogue perdu, un Estevan de retrouvé ! ». J’avais toujours cette même sensation en sa présence, sensation que je n’avais jamais éprouvée auparavant. Je me sentais aussi petite qu’une souris, oui moi la grande Stiyzanna Duma. Je n’avais déjà pas confiance en moi face aux hommes en général mais face à lui, je tombais littéralement dans un puits sans fin. Le destin se jouait-il de nous ?! J’aimais me préparer psychologiquement à l’avance lorsque je le voyais. Je me faisais des centaines de films où je trouvais une réponse à chacune de ses questions. Souvent, une fois prête, je passais le dernier quart d’heure devant mon miroir à réciter des phrases toutes faites afin de lui plaire. Non je n’étais pas pathétique, je me mettais juste en condition (a). Ce n’était pas rien d’affronter Estevan La Tour Dubois. Tout le monde le connaissait, le chérissait et pour la plupart des jeunes filles de Berkeley, il demeurait un véritable fantasme humain. Dear god, je me trouvai face aux fantasmes de ces dames et la seule chose qui m’était venue à l’esprit, était celle de parler de mon vogue errant dans la boue. J’avais beau avoir changé, certes, mais niveau « je prends la parole en première face à Estevan », je pouvais me noter avec un zéro pointé. En même temps, comment voulez-vous dire quelque chose de crédible lorsque vous avez ce sourire auquel vous ne pouvez que fondre et ce regard qui vous transperce peu à peu. Ca y est, il avait parlé et sa voix résonnait telle une berceuse dans ma tête. Réveille-toi fille ! Yes, right, qu’importe le fait que je ne puisse pas voir la nouvelle collection Chanel ! Après tout, j’étais avec lui et c’était tout ce qui devait compter non ?! J’acquiesçai de la tête, un sourire complètement niais sur mes lèvres. Je secouai légèrement la tête histoire de me reprendre et d’affronter ma pire des craintes ! Il était à la fois mon paradis et mon enfer. Il aurait pu partir, tracer son chemin et aller retrouver une de ses groupies mais non, il avait « engagé » la conversation si je puis dire comme ça. Un simple « bonjour » qui voulait tant dire ! Je souris, voyant qu’il n’était pas décidé à partir et à me laisser seule dans ce parc qui me remémorait d’affreux souvenir lointain. «  Hey » Simple, bref et amical. « Que fait Estevan La Tour Dubois seul au parc ? » J’arquai légèrement un sourcil, le Delta n’était presque jamais seul, toujours accompagné par un de ses fidèles acolytes bleus ! Tant mieux pour moi je dirais (a). Je n’oserai même pas m’imaginer la scène si monsieur avait été en compagnie de ce cher Alban Saint-Remy. « Tu t’apprêtes à devenir le nouveau Bruno Mars c’est ça ? Fais pas semblant je t’ai entendu ! » Enorme sourire malicieux, je me mis à rire en l’imaginant avec la coupe de cheveux du chanteur baladant un piano à travers toute la ville pour une fille ! « Quelle est donc cette mystérieuse personne pour qui tu serais prêt à attraper une grenade et à faire le tour de la ville tout en poussant un piano ?! » Je plaisantai une dernière fois avant de me rendre compte à quel point ma question était indiscrète. Mon énorme sourire avait laissé place à un plus gêné limite désolé de la question posée. Jamais je n’en ferai une bonne ! J’avais juste envie de savoir que lui valait cette bonne humeur mais rien n’était dit que la réponse allait me plaire. Mes oreilles et mon cœur étaient prêts à entendre le prénom d’une fille qui n’était pas le mien – ou pas -.Je baissai la tête, feignant de regarder mon vogue. « Hum , t’es pas obligé de répondre hein ! » Go delta, Go breaking my heart.
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MessageSujet: Re: ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life. ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  EmptyVen 11 Mar - 20:48

ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  Sanstitre2v
Passent les jours, vides sillons, dans la raison, mais sans amour. Passe ma chance, tournent les vents, reste l'absence, obstinément.

Hum, finalement Estevan aurait mieux fait de rester chez lui, bousculer ou se faire bousculer par des gens qui ne regardaient point où ils marchaient, très peu pour lui. Mais.. Quoi que je fasse, où que je sois, rien ne t'efface, je pense à toi. Stiyzanna - pleins de prénoms - Duma. Que faire sans toi, que faire avec toi. Sa présence ressemblait à un rayon de soleil - banal mais beau -, elle éclairée sa journée. Un simple « Hey » le faisait sourire, intérieurement. Ne rien laissez paraître, laisser faire, garder dans sa tête que c'est un " coureur de jupons ". Un Delta sans scrupules et qui touche à tout sur son passage. C'était cette image là qu'Estevan voulait que sa Sti' garde en tête, on ne sait jamais.. Il ne voulait pas non plus qu'elle aille voir d'autres Deltas, il connait son histoire, et cette confrérie là était le pire choix à faire. Vraiment. Elle le savait bien mais on n'est jamais trop prudent comme on dit. Et les questions commencèrent. Trop de questions tue les questions. Hum.. quel questionnaire. Son air était très serein, posé, ne laissant transparaitre aucune expression. Estavan ne pouvait lui montrer ses réactions, une et tout était fichu. Ses paroles ne suivaient pas ses pensées. Elles disaient le contraire de ses pensées. Il ne voulait pas qu'elle sache ce qu'il pensait réellement, qu'il était heureux qu'elle soit là, devant lui, un peu trop heureux vis-à-vis d'un fille. Mais soit, elle n'allait pas le savoir, c'était important. Je me promène, n'en ais-je plus le droit Duma? Air interrogateur, elle était curieuse. Un peu trop curieuse. Il posa ensuite un doigt sur son sourcil arquai, le faisant redescendre avec un regard précis. Un simple touché, un simple contact, qui pouvait vous faire frémir. Pour une fois qu'il était seul en plus et qu'elle aussi, elle devrait plutôt en profiter au lieu de le bombarder de questions non? Rares étaient les occasions où ils pouvaient se retrouver seul tous les deux, mais vu leur situation, qui ça étonnerait? Leur amitié, leur relation, n'était pas facile non plus, ce qui n'arrangeait pas les choses. Peut être s'évitaient-ils? Peut être le destin était contre eux et ne leur permettait rien. Peut être que la vie pour eux, ensemble, tout simplement amis même, était déjà voué à l'échec. Oui j'avoue que je chantonnais.. Cette chanson me rend heureux. C'était le cas, cette chanson était belle et bien pensée, à croire qu'elle était écrire pour une certaine fille. Mais lui, ne pensait qu'à une seule en y pensant, en la chantant.. sauf que cette personne en question, elle n'était pas au courant. Cette chanson, une chanson attachante et émouvante voulait tout dire. Si on en comprenait le sens..Un énorme sourire sur ses lèvres, quelle magnifique réaction. Elle était belle, et elle se rendait belle en souriant comme ça. C'était elle, ce petit bout de femme qui, quand elle rentrait dans votre vie, n'en ressortait jamais. Elle qui était toujours là pour vous, quoique vous ayez fait, même si vous étiez en tord. Une personne en or. Aucun autre mot ne pouvait la qualifier correctement. Pour toi voyons. Sa réponse était venue instantanément, son regard déjà plongé dans le sien avant de prononcer ces quelques mots. Pourquoi l'avait-il dit? Il ne savait pas, mais comme on dit sur certaines raisons.. Enfin bref. Cette réponse n'était peut être pas la meilleure, c'était sûr. Elle baissant la tête, un tilt se fit dans sa tête. Avait-il réellement dit ces trois mots? Apparemment oui. Il n'y avait pas de quoi se rattraper, c'était d'instinct, c'était naturel. Aucun reproche, aucun regret. Sauf que comme prévu, elle ne devait rien savoir. Faignant de rigoler, ce qu'il arrivait très bien à faire passer pour un rire naturel soit disant passant, il reprit. Non je rigole ne t'en fais pas.. Cette chanson me fait penser à une personne en particulier, mais tu n'en seras pas plus. Good job ! Sourire agicheur en coin, il releva doucement la tête de Stiyzanna du bout de ses doigts de sa main droite. Regardant son air gêné, il ne put que se souvenir de leurs précédentes retrouvailles, les mêmes gestes, les mêmes réactions, à croire que c'était écrit. Ses réactions et ses paroles avaient l'air de l'intimider.. ce n'était pas pour lui déplaire à vrai dire.. Ça l'arrangeait bien, mais pourquoi, ça seul lui pouvait le comprendre.. Ne fait pas semblant, je te connais. Elle pouvait prétendre regarder son Vogue avec tout le monde, mais pas avec lui. Elle pouvait faire ce qu'elle voulait, il l'a connaissait. Too bad, try again ! Sa main n'ayant pas bougé, ce contact encore présent avec elle, il ne comprenait se phrase. Et pourtant.. Tu m'expliques pourquoi je ne devrais pas te répondre? Un air interrogateur, les sourcils relevaient, il enleva sa main. Attendant tune réponses, il l'observait de plus prés. Toujours aussi bien habillée, soignée, c'était bien elle, on pouvait la reconnaître de loin. Une Epsilon. Préjugés complètement absurde. La preuve, elle était bien en présence d'Estevan, alors qu'entre "bourgeois" et "coureurs de jupons", tout le monde sait bien que ce n'est pas le meilleur climat qui existe. Il suffisait aussi de prendre quelques relations en compte. Une évidente, celle d'Alban Saint-Remy et Siyzanna. Un sourire aux lèvres, il feignait de réfléchir au lieu de prétendre être plongée dans ses pensées. Il savait que là, il ne pourrait éviter certaines questions avec Sti', c'était inévitable. Erf, il aurait du rester à la maison, en compagnie de sa soeur, dormant. Les deux membres les plus soudés de la famille ensemble et dormant sur le canapé. Son sourire ne partait pas, mais il devait relancer la discution, éviter ou plutôt retarder à tout prix certaines choses, certains discussions.. embarrassantes? Peut être. Mais il n'avait pas non plus envie d'être pathétique alors.. Et toi alors? Que fais-tu ici? Tout simplement. Elle n'aimait pas ce genre d'endroits, alors pourquoi donc était-elle ici? Énigme. Va-y Stiyzanna,dit m'en plus sur toi, évitons de parler de toi & moi, de "nous" pour le moment, ça vaudra mieux. Si seulement il prononçait ces paroles, en deux deux, il n'existerait plus sur cette Terre. Ta présence en ces lieux m'étonne.. Pourquoi diable avait-il lancé ce sujet? Il rappelait des souvenirs douloureux, m'enfin.. Il n'aurait une réaction, visible ou non, qu'à certaines conditions, comme une réaction triste de sa part. Les sujets douloureux pour Estevan, en ce moment, il y en avait tellement, en entamer un de plus, ou un de moins, ça ne changerait pas grand chose, quoique.. Entre des personnes qui tirent des coups de feu sur ses proches, d'autres qui ont des accidents, et tout ce qui vient à côté, comment ne pas réagir devant tout ça? Non Estevan ne devait pas faire souffrir Sti', surtout pas maintenant, jamais. Il mit alors un petit coup sur son nez d'un doigt, sourire accueillant, ne voulant que du bonheur pour elle.
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MessageSujet: Re: ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life. ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  EmptySam 12 Mar - 17:40

ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  2cpevwi ESTEVAN&STIYZ' ; I miss you but you'll never know. « You have stolen all my senses. There’s a fever in my heart and you are taking my defenses you are pulling me apart. Forever we are and we are dying and we still be standing on our ground so i will take away my feelingi will be an animal »

    La curiosité est une attitude de disponibilité ou d'intérêt à l'égard d'un sujet ou d'un phénomène donné. Elle peut être un trait de caractère, présente en toute occasion, ou se manifester dans des circonstances particulières. On dit aussi que la curiosité est un vilain défaut. Mouais, moi j’aurais plutôt tendance à dire que c’est une façon de montrer à la personne que l’on s’intéresse à elle et que l’on veut tout connaître de sa vie. Bon, d’accord je venais en effet de questionner le La Tour Dubois avec de multiples questions – plus intéressantes les unes que les autres- ; et il me le fit d’ailleurs remarquer. Damn it ! Je devais vraiment apprendre à me contrôler et à tourner sept fois ma langue dans la bouche avant de prendre la parole, mais ce n’était pas pour rien non plus que l’on me surnommait « Pipolette ! ». Je souris à sa remarque ; l’air gêné, me disant que la prochaine fois j’éviterai probablement de commencer la conversation par un interrogatoire de la sorte ! Je n’étais pas de la police, et il n’était pas un malfrat après tout (a). Néanmoins, monsieur daigna réponse à ma première accusation ; monsieur se promène. Je ne l’avais pas deviné tiens ! Estevan se promenant seul, la fin du monde approchait-elle à grands pas ?! Mais c’était surtout la fin de sa remarque qui m’intéressait et qui m’avait laissée perplexe. Je le scrutai de bas en haut avant de poser délicatement mon regard dans le sien ne sachant pas vraiment que répondre à ça. N’en avait-il plus le droit ?! « T’as tous les droits du monde La Tour Dubois, quand bien même je n’ai rien à dire sur tes faits et gestes ! ». Je n’aimais pas particulièrement appeler les gens par leur nom de famille – sauf Saint-Remy, mon exception à la règle- mais il l’avait fait quelques secondes auparavant, c’était du donnant/donnant très cher ! Un énorme et beau sourire satisfait s’afficha sur mon visage. Ouh yeah, j’avais totalement et irrévocablement raison, je ne possédais nullement le rôle me permettant de lui interdire quoique ce soit ! Nous n’étions qu’amis après tout non ?! Rêvais-je ? Ou venait-il de poser son doigt sur mon sourcil ?! Je frémis au contact de sa peau sur la mienne tout en essayant, bien sûr, de ne rien montrer. Les démonstrations et moi-même ça faisait deux. Et puis, surtout, je ne voulais rien révéler sur la nature de cette sensation qui parcourait mon corps à cet instant précis. Ressaisis-toi petite, tu as devant toi Estevan La Tour Dubois un delta – autrement dit, un homme sans sentiment voir un homme à femmes-. La conversation vacillait et le delta avoua qu’il chantait bel et bien cette fameuse chanson « grenade » de Bruno Mars et en plus de ça, elle le rendait heureux. Un vague sourire sur mes lèvres, s’il était heureux je l’étais aussi. C’était niais et pourtant c’était la stricte vérité ! Après toutes les péripéties qu’il avait du traverser ces dernières semaines, un peu de gaieté ne lui faisait pas de mal. Pourquoi ? Pourquoi étais-je tant curieuse ? Dieu achevez-moi s’il vous plait! Mais quelle idée d’oser demander «  pour qui était destinée cette chanson ! ». Niak niak niak. J’avais complètement perdu la tête, mais ça c’était de sa faute à lui, il n’avait qu’à pas ressembler à un prince charmant tout droit sorti d’un walt disney. Je le détestais d’être aussi beau, aussi troublant, aussi «  Estevan ». La lame qui avait transpercée ma peau venait désormais d’atteindre mon cœur. Pour moi ? Vraiment ? Une multitude de questions traversèrent ma tête et des émotions lointaines revinrent à la surface. Je ressentais ce même « petit truc » que la première –et seule- fois où nous avions couché ensemble. Mais je redescendis aussitôt de mon paradis blanc- voir rose- sans nuage. Il ne s’était sûrement pas rendu compte de ses dires, et surtout pas de ce qu’il venait de faire à l’instant même. Il avait ri, tout ceci n’était donc que foutaise. Un pieu planté droit dans le cœur. Je feignis de rire à mon tour. Alala quelle bonne blague, je vous jure ! «  Je ne m’en fais pas ! ». Simple, froid et efficace. Comme si ça ne lui avait pas suffit, il venait de relever ma tête, baissée précédemment. Deuxième contact de la journée. Je terminai moi-même le processus du «  relevage de tête » tout en me reculant très légèrement, ne voulant plus qu’il pose son doigt, sa main, ou que sais-je sur moi. Je ne demeurais déjà pas tactile à la base mais là,.. Oui d’accord, j’avais fait semblant de partir à la recherche de mon vogue. Oui j’étais bel et bien gênée par l’indiscrétion de ma question, so what ? Je rigolai de sa remarque voulant lui rétorquer une phrase toute faite « Tu connais par cœur toutes les filles avec qui t’as couché ou j’ai juste droit à un traitement de faveur? ». Bitchy sluty girl – que je n’étais pas-. «  Peut-être parce que t’aurais pu voir ça comme une question indiscrète à laquelle t’aurais pas eu l’envie de répondre. Je te donnais une échappatoire au cas où. C’est tout ! » Pretty little liar. Mais j’assumais mon mensonge avec classe et dignité osant même soutenir mon regard dans le sien. Cette personne le rendant si heureux n’était pas moi et je n’avais aucunement l’envie de savoir de qui je devais être follement jalouse ! Cette personne devait sans doute être « elle », je le connaissais que trop bien aussi. Peut-être le grand Estevan La Tour Dubois était-il tombé amoureux de sa dernière conquête ? Ou bien, était-il carrément en couple ? Devais-je m’attendre à une confession de sa part ? « Je suis en couple avec la plus jolie fille de la terre et je n’ai jamais ressenti ça auparavant pour personne ». Stop it ! Je devais arrêter de me faire des milliers de film à la seconde. Ah tiens, nous avions échangé les rôles : il était devenu l’interrogateur et moi l’accusé. « J’ai décidé d’affronter mes peurs. Ne rigole pas, tu sais bien que j’ai jamais été très fan des parcs et de tout ce qui va avec ! » Ca pouvait paraitre stupide limite pathétique une fille ayant peur des parcs. Mais ceux qui ne savent pas la véritable histoire ne pourront jamais comprendre ce que cela signifie pour moi. J’affrontai mon passé, mon horrible passé qui me hantait jour et nuit. Sa dernière phrase me fit sourire, un beau sourire frais et sincère cette fois. Il venait de me donner une preuve de plus qu’il me connaissait réellement et que je n’étais pas qu’une stupid girl à jeter après une folle nuit. « J’ai décidé que la nouvelle Stiyzanna serait forte et vaillante et qu’elle n’aurait plus peur de rien ! » Je le fixai intensément démontrant par mon regard l’intensité de mes paroles. J’avais cette volonté, cette rage de vaincre et j’allais gagner ce combat contre moi-même j’en étais certaine. Gaah, troisième contact de la journée – oui je les comptais-. Je fondais littéralement, pire qu’une glace exposée au soleil. Si j’avais décidé de devenir forte, j’étais d’une faiblesse incroyable et inouïe face à lui. Je n’avais envie que d’une chose ; lui dire à quel point il m’avait manqué ce petit con !
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MessageSujet: Re: ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life. ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  EmptyLun 14 Mar - 23:03

ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  Sanstitre4tp
Six on the second hand, two new years resolutions, and there's just no question, what this man should do, All this time, we were waiting for each other, all this time, I was waiting for you.

La Tour Dubois? Et bien c'était bizarre qu'elle le surnomme comme ceci mais soit. S'il n'avait plus le droit de faire ce qu'il voulait maintenant c'était le comble du comble. Quoique, si c'était en sa compagnie, il n'y voyait aucun inconvénient.. (a) Le sera-t-elle un jour? Bonne question. Heureusement qu'il avait encore tous ces droits le Delta, manquerait plus qu'il n'en ai pas ou plus.Mais d'un autre côté, si elle pouvait lui interdire deux trois choses, il pourrait en faire autant de son côté. Quoique, il connaissait déjà ses souhaits, du moins, un Delta, un coureur de jupons, elle pouvait très bien l'interdire de voir à droite à gauche, rendre les autres jalouses, et ça, ça serait de la pure folie. Non? C'est bête pour toi n'es-ce pas? Air taquin, il ne pouvait se retenir plus longtemps de lui demander. Qu'elle serait sa réponse? Il aimerait bien savoir.. mais savoir réellement ce qu'elle pensait, le fond de sa pensée et non un mensonge ou autre. Savoir que peut être.. "Tu disais que je suis un rêveur. Mais je ne le suis pas.." Une vague de tristesse s'abattit sur Estevan, sans qu'il ne laisse paraître la moindre émotions. S'il y a bien une chose chez les Deltas qu'il avait apprit et bien assimilé c'était caché n'importe quelle émotion, passant de la joie, de la fougue ou bien de la tristesse.. Et vu les évènements récents, garder la tête froide était le meilleur moyen. Pour ça il remerciait sa confrérie.. secrètement, bien entendu. Un sourire en coin il imagina le monde, leurs vies, sa vie sans tous les évènements passés. La belle vie? Mouais.. comme on dit, les erreurs nous font avancer, les erreurs de notre passé font notre futur, nous ne faisons la même erreur deux fois quand nous avons réellement comprit la leçon. Ne pas s'attarder sur ce sujet fâcheux et douloureux était la meilleure des solutions. Et le grand sourire de Stiyzanna ne put que l'en sortir. Si belle à sourire de toutes ses dents, on aurait dit une insouciante de la vie. C'était une belle chose. Heureusement qu'il avait croisé quelqu'un aujourd'hui, ou plutôt l'avoir croisé elle. Qu'aurait-il sinon? Rentré chez lui à déprimer. Peu commun connaissant Estevan, lui toujours d'une pêche tellement débordante, une gaieté à en énerver certains, un sourire toujours scotché sur son visage. Scotché à ses confrères Deltas aussi normalement. Ou bien d'autres amis. Certains préjugés amènent aussi, comme souvent, à de mauvais jugements sur les gens. On entendait souvent dire que les Deltas restaient entre eux, en bande. Faux. Totalement faux. Plus d'un pourrait démontrer le contraire. Le léger rire, sincère ou non, de Stiyzanna le sortit illico presto de ses pensées. Elle ne s'en faisait pas? Et bien.. Froide. Il n'était pas habitué à tout dire. Devrait-il? Il n'espérait pas en tout cas, mais si elle voulait jouer sur ce terrain, elle serait peut être servie, mais plus tard.. Elle se reculait? Très bien, ça commençait bien.. Ça promettait même. La regardant plus intensément, il avait une vague impression qu'elle lui cachait quelque chose, qu'elle n'allait pas tout lui dire, ou du moins peut être la vérité. Pourquoi cette impression? Aucune idée, mais elle avait l'air fondé. Pour sa part, il n'avait rien à cacher, à lui cacher, ou presque, alors pourquoi se serait-il échappé? La preuve je t'ai répondu, donc aucun soucis si? Question indiscrète.. Il lâcha un petit rire avant de baisser la tête, avant de la remonter aussitôt, se disant que des questions indiscrètes il en entendait encore et encore, alors une de plus ou une moins.. Les questions indiscrètes ne me font pas peur si tu veux savoir. Etre dans la confrérie des Deltas, et oui encore, c'était pas aisé, et oui les coureurs de jupons, que pouvaient-ont dire? Personne ne changerait de positions, jugements vis-à-vis d'eux alors bon.. ou presque tous, peut être que certaines exceptions existaient.. non non il ne visait personne. Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut m'en poser. Air très sérieux, regard dans le sien, il ne plaisantait pas sur le sujet. Bizarre hein? Non juste qu'il n'avait pas envie d'embrouilles, histoire à deux balles qui lui pourriraient la vie, basé sur une soit disant parole qu'il aurait prononcé il y aurait temps de temps. Blablabla. Relâchant son visage, un qui était décontracté et apaisé. Estevan était étonnée de la voir en ces lieux et sa réponse l'étonna, mais pas complètement. Apparemment elle voulait du changement? Elle allait être servie alors. Voilà les pensées d'Estevan. Elle allait changé.. En bien c'était sûr, du moins il l'espérait, mais espérait bien plus qu'elle allait rester la même au fond, pas de changement radical, pas la perdre elle, non. Ses peurs? Oui tout le monde à des peurs, profondes ou non, elle des espaces verts, c'était pas faux.. Qui pouvait à ce jour prôner et crier qu'il avait vu Stiyzanna Duma dans un parc? Personne. Sauf Estevan, à cet instant précis. Je ne rigole pas, au contraire. Lui adressant un sourire, furtif, mais il fut présent, il se demanda comment elle avait fait pour surmonter ses peurs. Quand on connait certaines personnes qui ont peur, même la phobie limite des hôpitaux, eux, ils n'étaient pas prêt de les affronter, alors qu'elle.. Elle devait forte sa petite Sti'. Content de te voir parmi ces lieux alors. C'était sincère, il pourrait, peut être hein bien préciser sur le peut être, se promener avec elle des fois dans les parcs etc.. Bonne nouvelle. Sa réaction avant l'air tellement.. elle avait l'air épanouie. Ce qui faisait réellement plaisir à voir. Sa réponse confirmait bien ses idées. Plus peur de rien? C'est ce qu'on allait voir.. Si c'était bien le cas.. non elle verrait. Un sourire partagé, il était fière d'elle si on pouvait dire ça comme ça. Elle était là, en ces lieux sombres pour elle, souriante. Une image a garder en mémoire, à jamais. Peut être le commencement de tout. Je veux bien te croire avec plaisir si tu le dis ! Généralement, à ce qu'il connaissait d'elle, et il l'a connaissait quand même, faut pas croire, elle agissait en conséquences, quand elle disait quelque chose, qu'elle allait faire quelque chose, elle le faisait, et jusqu'au bout. Son regard soutenu prouvait bien les choses. M'enfin, il allait bien voir.. "Tu continus de dire que je suis un rêveur.. Mais je ne suis pas le seul." Imaginez les, tous les deux, plantés au beau milieu du parc de l'université de Berkeley, qui l'aurait cru. Estevan avança alors d'un pas vers elle, reculé par Stiyzanna quelques instants plus tôt. Si elle n'avait vraiment peur de rien, au du moins elle n'allait plus en avoir peur, allait-elle reculer? Ça ne l'étonnerai pas, ils n'étaient vraiment pas loin l'un de l'autre, no pas à quelques centimètres comme certains diraient, mais pas loin l'un de l'autre. Elle s'était éloignée de lui peu de temps avant, pourquoi? Avait-elle peur de lui? Avait-il fait quelque chose? Il ne le savait pas, il ne pouvait le savoir.. Il attendait une réaction pour être fixé. Pleines de mystères cette Stiyzanna.. pleines de peurs aussi peut être? Estevan allait le savoir dans très peu de temps.. bonne ou mauvaise nouvelle? Mystère et boules de gommes..
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MessageSujet: Re: ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life. ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  EmptyMer 16 Mar - 21:29

ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  2im2rlw Mon ami, mon amant, mon amour, et bien plus encore. « Parfois je me dis que j'ai tort de rester si passive. Mais d'où tu me regardes, moi je te dévore. Mais c'est parfois trop dur de discerner l'amour. Mon ami, mon amant, mon amour, et bien plus encore. Je te veux toi avec défauts et tes problèmes de fabrications. Je te veux toi, j'veux pas un faux pas de contrefaçons »

    Si c’était bête de ne pouvoir rien dire sur ses faits et gestes ? Bien entendu que ça l’était. Toutes les filles de Berkeley – et moi avec - auraient aimé avoir son mot à dire sur les actions de monsieur La Tour Dubois. Mais aucune n’en avait le privilège et certainement pas moi. Lui interdire de courir dans les jupons de ces dames ou encore même d’arrêter de les fréquenter tout court. Mais non, je n’en avais pas le droit et surtout pas en ce qui concernait qui il pouvait voir, ou pas. Seule sa petite amie , invisible pour le moment, daignera lui demander une telle chose. A la vue de son petit air taquin, il attendait bel et bien une réponse de ma part. Comment formuler une réplique correcte sans trop en dire ? Je fis tourner sept fois ma langue dans ma bouche ne voulant pas qu’un « Bien sûr que ça l’est, tu aurais déjà dit bye bye à Alanna si j’en avais eu le droit ! » s’y échappe. Oui, la jalousie était un vilain défaut mais lorsque vous avez une des plus belles et populaires filles de Berkeley en tant que concurrente, vous avez le droit de l’être. Ma pseudo jalousie était donc totalement et irrévocablement fondée. « J’avoue ! » Le sourire en coin, je pris exactement le même air taquin que lui. La Stiyzanna belle et insouciante avait disparue et venait de se transformer en Stiyzanna – toujours belle- mais impassible. J’avais tendance à être madame « susceptible » et lorsque de telles choses sortaient de la bouche d’Estevan, je les prenais davantage mal. Sa petite blague ne m’avait guerre plu et il dut, bien entendu, le comprendre suite à mon pas en arrière. Fuir était sûrement ma solution à tout, la solution à tous mes problèmes surtout ceux concernant les garçons. LE fuir serait certainement la meilleure chose à faire mais je n’en avais ni la force, ni l’envie. Je me rendis compte qu’il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Me charrier au plus haut point, me rendre complètement folle en un seul regard ou même m’enfoncer un pieu droit dans le coeur en une seule et même remarque. Ce petit bout d’homme commençait à prendre trop d’ampleur dans ma vie et la vraie Duma se serait déjà enfuie, ne voulant livrer son cœur à personne, et encore moins à un Delta. Mais non, tout ce que je savais faire face à lui, c’était de reculer d’un pas net, sec et précis. Stiyzanna la pathétique bonjour. C’est, maintenant, le rôle de « menteuse » que j’endossai. Oh god que ça ne m’allait pas, pas du tout même. J’étais la pureté, la sincérité et la générosité incarné et me voilà mentant dans les yeux de quelqu’un. Cet Estevan me faisait décidemment trop tourné la tête. Mais je n’avais pas le choix, je ne voulais pas être découverte sur la nature de mes sentiments. «  No soucies » Accompagné de mon petit et trèèès sexy accent américain histoire de clôturer cette histoire. Les questions indiscrètes ne lui faisaient pas peur, vraiment ? Parce que moi j’en avais des tas, je pouvais même les compter par centaine. Je lui ferais bien fait un interrogatoire spécial « vie amoureuse ». Je nous imaginais seuls dans une salle sombre, lui assis et moi debout lui déballant un interrogatoire sans fin. Mon rêve prit fin – pour la deuxième fois de la journée – suite à la dernière remarque du delta. Ouh yes, il n’en était pas effrayé mais ce n’était pas pour autant qu’il fallait lui en poser. N’y avait-il pas comme une sorte de contradiction qui sonnait dans l’air ? Si, mais c’était de l’Estevan tout craché ça. «  Je prends note pour la prochaine fois. Je suis gentille, je te laisserai même m’en poser une » Mais ce n’était pas dit que j’allais y répondre par la plus vraie des vérités (a). Je disposai d’un immense sourire sur mes lèvres, « la prochaine fois » voulait insinuer que nous n’allions pas tarder à nous revoir. Néanmoins, il avait l’air sérieux sur le sujet, j’avais compris ce que je devais faire – et ne pas faire- à notre future rencontre : ne plus commencer la conversation par un interrogatoire à la Duma et encore moins avec des questions indiscrètes sortant de nulle part. C’était, désormais, à son tour de connaître les raisons de ma venue dans ce parc. Ma réponse était la plus sincère qu’il soit, je lui avais clairement dit la vérité cette fois ci. De toutes façons, pourquoi mentir sur ce sujet ? Il savait très bien ce qu’il en était et je ne voulais pas ressembler à Pinnocchio une fois de plus. Je fus surprise par tant de sincérité partagée, il avait l’air content de me voir là, affrontant mes peurs comme une grande alors que d’autres vivent éternellement avec elles. J’étais, à vrai dire, fière de moi à cet instant précis. Me faire passer pour une fille forte devant Estevan La Tour Dubois, sonnait comme quelque chose de jouissif. Je souris à mon tour, laissant toujours cette distance entre nous. « Tu as, au moins, l’immense honneur de pouvoir rapporter que tu as vu Stiyzanna Duma dans un espace vert. La classe. ». Big smile, auréole d’ange sur la tête. Non pas que je me prenais pour une star ou pour quelqu’un classé au dessus des autres mais je ne pouvais renier mes origines de « Duma ». J’étais bel et bien une personne importante, ayant du poids et de la crédibilité aux yeux des autres. Duma sonnait avec richesse, strass, paillettes et gloire. Dans ce monde où l’argent et la célébrité régnaient et faisaient le bonheur des uns et des autres, j’étais une pointure de marque. A quoi jouait-il ? D’accord, je lui avais annoncé mon pseudo changement de personnalité mais était-ce une raison suffisante pour se ré avancer vers moi ? Un simple pas mais un pas qui voulait tout dire. Il me mettait au défi, à savoir si j’allais vaciller ou non. J’avais envie d’hurler comme une folle et de partir en courant tellement l’espace entre nous était réduit. Que faire ? Laisser l’ancienne moi reprendre le contrôle sur mes émotions ou justement prouver que j’étais vaillante et forte comme je venais de m’en vanter précédemment ? Il y avait aussi cette envie de gagner face à lui, face à ce regard soutenu, face à ma pire crainte et tentation à la fois. Mon ange, mon démon. Etais-je assez courageuse pour continuer davantage le petit jeu qu’il venait d’instaurer ? C’était devenu une question de fierté. Je pris mon courage à deux mains soutenant encore et toujours son regard, démontrant que la nouvelle moi ne possédait aucune faille. « Tu ne me fais pas peur Estevan » Quelques centimètre, juste quelques centimètres nous séparaient. Plus rien d’autre ne comptait dés à présent, juste lui et moi et ce maudit espace. Le décor aurait bien pu changer, les secondes auraient pu passer au rythme des heures que je ne l’aurais même pas remarqué. Figée sur place, le regard épris par l’autre, mon corps ne répondait plus de moi. Je me félicitai une dernière à moi-même et retournai vaquer à mon occupation ; contempler mon ami, mon amant, mon amour et bien plus encore.
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MessageSujet: Re: ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life. ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  EmptyMer 23 Mar - 16:17

ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  Tumblrlhyl0yvttx1qcii55
And I need you now tonight, nd I need you more than ever, nd if you'll only hold me tight, we'll be holding on forever.

Total eclipse of the heart. Voilà ce qui se passait quand Estevan s'attachait trop, beaucoup trop à une fille. Et Stiyzanna, ça devait un peu trop pour lui. Trop d'attachement tue l'attachement. Ça devenait trop. Ce n'est pas un lâche, pas du tout, mais de un c'est un Delta, et un Delta, ça garde sa réputation coûte que coûte. Quelque soit les conséquences qui s'en suivent. Si c'était pas malheur ça? Si, mais c'est la vie, et Estevan s'est très bien fait et adapté avec celle ci, et puis avec l'habitude, on s'en accommode.. Déguelasse hein? M'enfin.. De deux, deux grandes histoires pour Estevan depuis qu'il était à San Fransisco, ça suffisait.. largement. Clélia, une fille merveilleuse à ses yeux, juste que le temps à jouer sur leur relation sinon personne n'avait fauté, avec sa petite frenchie chérie. A l'inverse Alanna. Bitchy. Quoique.. Il l'avait aimé, profondément aimé, et c'était dur. En plus de ça, c'est la meilleure amie de sa soeur Constance, comme s'il avait besoin, ou avait eu besoin de cette situation, quand elle l'a plaqué comme ça, sans raison, et les rumeurs qui suivaient avec cet Edward H. là. Ah ouais, elle avait préféré un amour pour l'argent au reste? Et bien.. chacun ses goûts, chacun ses valeurs comme on dit. Les explications , il pouvait attendre avant d'en avoir, ça, c'était sûr. Once upon a time I was falling in love, but now I'm only falling apart. Estevan s'était promis, juré de ne plus recommencer, pas les mêmes erreurs, et tout simplement de ne pas se recaser avant un moment, un bon bout de temps. Même si personne ne le savait pour autant. Les filles d'une nuit ça lui allait parfaitement, même plus que parfaitement. C'était l'idéal, le pied total. Comment ne pas apprécier, pour un mec, de coucher avec une fille, une fille différente chaque nuit soit disant passant, et ne pas avoir à la recontacter ou bien même s'inquiéter pour elle? Le pied, tout simplement. Et toutes ces résolutions peuvent partir d'un coup, sans raison, enfin si, en un éclair, un laps de temps très court, quelques secondes, et votre vie peut basculer, ou basculer inévitablement. Non. Estevan s'était promis de ne pas bouger, de camper sur ses positions et il était déterminer à la rester. Malgré certaines choses, certaines personnes, certaines rencontres aussi.. Et puis après tout, il avait déjà couché avec Stiyzanna, et comme on dit, on ne recouche pas deux fois avec la même personne, sauf exception faite (a). Qui était Florence. Mais elle, c'était une toute autre histoire, dont personne était au courant et dont personne ne serait jamais au courant, encore moins sa soeur Fleur. Imaginer le tableau, sa meilleure amie et son frère. La comble du comble non? Morale en veux-tu en voilà. Enfin bref. A son j'avoue il lâcha un petit rire. J'avoue? Que voulait-elle dire par là? Elle voulait le contrôler? Contrôler ses faits et gestes? Tous? Absolument tous? Et bah ça ma petite, c'était pas demain la veille. Contrôler Estevan, personne ne pouvait le faire, à part une personne peut être.. non c'était sûr, c'était sa soeur, Constance. Elle savait quoi dire et faire alors. On ne résiste jamais aux paroles de sa famille, true story. Regardant Sti' d'un regard chaleureux, sans trop non plus.. Comment devait-il réagir avec elle après ce qu'il s'était passé entre eux? Estevan n'avait pas l'habitude, oh non vraiment pas, alors que devait-il faire? Ni être trop proche ni être celui qui ne la connait pas et qui n'en a rien à faire d'elle car ce n'était pas le cas, vraiment pas le cas. C'était vraiment la dernière personne à qui il voudrait faire du mal avec ses soeurs. Toute choute, toute petite et mignonne à la croquer, il ne pouvait résister à cette douceur qu'elle dégageait. Mélanger à une pointe bitch à ce qu'il parait, m'enfin, ça il ne l'avait jamais encore vu, alors les dires, il ne les croyait pas. Peut être qu'il allait voir ça, plus vite que prévu même, qui sait de quoi l'avenir est fait? Ils n'y étaient pas encore, du moins il l'espérait alors autant qu'il oublie cette pensée et de suite. Plus de questions des le début? Parfait. Il ne demandait pas mieux, car qui savait les questions que Stiy' voulait lui poser, il n'imaginait pas et ne voulait pas, ni le savoir. Point. On ne sait jamais. Ça rouille les esprits non? En tout cas, lui le voit de ce point de vue. Merci. Simple, efficace et pas méchant. Dit idéalement non? Alors comme ça elle lui laissait une question? N'importe laquelle. Étonnant. Mais bien. Il pourrait lui demander ce qu'elle voulait, et bien, si c'était pas la belle vie ça. Et elle avait intérêt à lui répondre, elle n'aurait pas le choix après tout. Il décidait nonméoh (a). Mais il ne poserait pas la question tout de suite, l'effet de surprise était bien meilleure, la personne ne s'attadant généralement pas qu'on lui fasse le coup tant attendu à ce moment là. Quand elle s'y attendra le moins il lui posera, mais pas maintenant. Là tout de suite ce qu'il voulait c'était la regardait, tout simplement. Oulaaa, c'était reparti pour un autre tour, on avait dit non c'est non et ça le sera avant un moment. Point, et le sujet était clos. Et tant pis pour les autres. Méchant? Non, juste qu'Alanna n'avait pas été tendre avec lui c'est tout. Méchante qu'elle fut à leur fin, impossible à croire, m'enfin. C'était un Delta. Et un Delta n'a pas de sentiments, juste le mot sexe inscrit en gros et en grand comme tout le monde pense. Ça ne le dérangeait pas pour le coup, mais un jour, ça le gênerait, ça c'était sûr et certain. Attention. J'en prend note moi aussi. Marquant un pause il redirigea son regard dans le sien. Mais je te la poserai plus tard. Haha, sadique. La connaissant,elle n'allait pas pouvoir rester sur place avant qu'il ne lui ai posé sa fameuse question. Sauf que pour le coup, il ne cèderait pas, et elle tiendrait très bien le coup, un point c'est tout. Et bien sûr qu'elle est gentille, c'est sa Stiyzanna Duma, elle ne peut que l'être après tout. Ah oui et aussi, tu seras obligée d'y répondre, et sincèrement. Promis? Sourire en coin attendrissant, si elle lui résistait c'est qu'elle n'était pas normale, ou pas de coeur, et ce n'était pas son cas donc.. Normalement c'était gagné, du moins il l'espérait. Observant ensuite les alentours, il se demandait comment elle avait fait pour surmonter ses peurs. Pas tout le monde qui en était capable, et sur le coup, elle l'épatait, qui aurait cru un jour que quelqu'un pourrait épater Estevan? Personne. Mais ça bien sûr, elle ne le savait pas, et n'allait pas le savoir pour autant. Il valait mieux, autant pour lui, et surtout pour lui, et pour elle. Ouais ça c'est la classe tu l'as dis. Qui pouvait le dire à par tlui? Les gens autour d'eux, malgré le fait qu'ils étaient peu nombreux, ce qui était étonnant en ce beau jour ensoleillé pourtant, alors qu'il ne la connaissait pas? Qui connaissait réellement Stiy' en même temps? Il ne savait pas parfaitement avec qui elle trainait, mais concernant ses secrets et autres qu'elle gardait précieusement dans son coeur et sa pensée, il savait qu'il n'y avait pas grand monde. Même presque personne. Deux ou trois à tout casser qui sait. Et en ma compagnie c'est encore mieux non? Perche. Double sens. Fabuleux. Bien sûr ce n'était pas la question fatidique dont elle lui avait donné la permission, elle serait, elle verrait du moins quand il l'a lui poserait. Qui sait à quel moment ça sera. Enfin bref. Si ce jeu commençait déjà entre eux alors qu'ils ne venaient que de se retrouver, c'était mal barré. *Non Estevan tu ne recoucheras pas avec Stiyzanna, tu ne l'embrasseras pas non plus, aucune envie n'es-ce pas?* Daah foutu pensées. Comment bien réfléchir et tranquillement aussi quand on a une fille aussi magnifique devant soi? Aucune idée mai il le fallait bien, et garder ses esprit clairs et un sang froid terrible. Elle ne bougeait pas? Très bien il n'allait pas bouger non plus, mais il n'allait pas faire plus pour qu'ils soit plus proche encore et que la tentation soit à son comble; non elle ne l'embrasserait pas, elle n'avait pas le droit si on peut dire ça comme ça, puis elle n'en avait surement pas envie. Stop. Vraiment? Elle n'avait pas peur de lui? Une assurance infaillible, surtout devant lui? Mon oeil oui ! Ah oui tu es sur de ça et sûre de toi? Ça l'étonnait. Quoique il pouvait bien agir. Un petit peu ça ne dérangerait personne si? Mais non voyons.. (a)! Il colla sa tête contre la sienne, plus précisément son front contre le sien, sa main contre sa joue droite, la caressant doucement. Vraiment elle n'avait pas peur et pas déstabilisé? C'est bien ce qu'on allait voir. Mais ils ne s'embrasseraient pas, ça c'était sûr et certain. Too bad, try again.
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ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  Empty
MessageSujet: Re: ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life. ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  EmptyVen 1 Avr - 19:37

ESTEVAN&STIYZANNA ★ I'll be the greatest fan of your life.  2gxfsxv Stiyzanna & Estevan ♥ Babi e Step « Ho combattuto il silenzio parlandogli addosso e levigato la tua assenza solo con le mie braccia. E più mi vorrai e meno mi vedrai e meno mi vorrai e più sarò con te. E più mi vorrai e meno mi vedrai e meno mi vorrai e più sarò con te. E più sarò con te, con te, con te lo giuro. SERE NERE - Tiziano Ferro »

    Etre attirée par un delta cela donnait quoi ? Rien de bon en tout cas. Il parait qu’ils vous attirent, qu’ils mettent les petits plats dans les grands et qu’ils vous piétinent le cœur par la suite sans aucun scrupule. Telle est la légende des bleus foncés. Enfin, je devrais plutôt dire : la vraie nature. Pourquoi c’était tombé sur moi, sur nous ? Estevan étant le genre à vagabonder à droite et à gauche et moi, Stiyzanna, la fille effrayé par les hommes rêvant d’un prince charmant sortant tout droit d’un disney. Je n’étais pas la fille qui lui correspondait tout comme il n’était pas mon idéal masculin. Et pourtant, ça m’était tombé dessus comme ça. A croire que finalement j’aimais souffrir, être prise pour un objet et pleurer toutes les larmes de mon corps par la suite. Stiyzanna Duma, masochiste ? Un peu, probablement. Il y en avait énormément des filles dans mon genre, un peu trop rêveuses sur les bords, pensant pouvoir changer la nature d’un delta et qui se sont cassées la figure finissant avec un pot de glace ben&jerry’s à pleurer devant titanic et n’oublie jamais. Elles pensaient avoir tous les privilèges, être «  la seule et unique » et celle pour qui il arrêterait de coucher à droite et à gauche et se poserait enfin. Mais comme l’expression le dit si bien : « Chassez le naturel, il revient au galop. ». Par contre, il y avait toujours un exception à la règle, Edward Atwoodth, ancien roi des deltas- délaissant toutes ses activités « deltaniennes » pour sa tendre Constance La Tour Dubois. Mais je ne pouvais être dupe, le miracle n’allait pas se produire une deuxième fois. De toutes façons, j’étais déjà tombée dans le piège une fois, je ne comprenais guerre pourquoi il braquait encore son attention sur moi. Après tout, n’avait-il pas déjà eu ce que tout homme delta- ou homme tout court- voulait ? Tout aurait été plus simple si nous n’avions plus jamais à croiser le regard de l’autre. Le destin se jouait nous et j’étais certaine qu’il adorait ça, nous mettant dans des situations infernales, testant nos limites l’un sur l’autre. Destin, je t’aurais un jour, je te le promets. Son merci me fit sourire, comme s’il était satisfait voir soulagé que je ne lui pose plus trente-six mille questions à la seconde. Tant pis, de toutes façons, j’étais suffisamment «  fouine » dans l’âme pour aller chercher les réponses moi-même à mes questions (a). Afin d’équilibrer la balance, je lui offris la possibilité de me poser n’importe quelle question par la suite. Alalalala, ma gentillesse me perdra. Néanmoins, je n’avais rien à craindre de son interrogatoire, Estevan n’était pas une fille et mes histoires d’amour ne devaient pas l’intéresser plus que ça. Et puis, il n’y avait rien de très passionnant à dire sur ce sujet. Naha, le vilain, il se la jouait au sadique « monsieur le mystérieux de service ». Je possédais énormément de qualités – sans me vanter bien entendu- mais la patience n’en faisait pas parti. « Plus tard ? » . repris-je d’un coup, l’air presque outrée, comme si je ne pouvais déjà plus tenir en place. « Tu sais bien à quel point c’est un supplice pour moi d’attendre ! » .Bien entendu qu’il le savait, il en jouait même d’ailleurs, à cet instant précis. Mais je devais m’y résoudre, insister avec Estevan c’était comme demander à un enfant de rendre sa tutute, c'est-à-dire : mission impossible. Je lui fis, néanmoins, ma tête de boudeuse professionnelle. On ne sait jamais, ça pouvait l’attendrir (a). Damn it ! La Tour Dubois venait de foutre mon plan en l’air en l’espace de quelques paroles. Je devais lui promettre de lui répondre sincèrement. Ah il m’arrangeait vraiment bien celui là, comme si j’étais une menteuse de première classe et que j’aurais osé « déformer » la vérité. Bon d’accord, oui j’avoue, c’est exactement ce que j’aurais fait ! Mais là je n’avais plus le choix, une promesse était une promesse et vu son sourire plus qu’orgasmique, je pliais les armes. « Promis, sache que je ne mens jamais mon cher ! » . ou pas. A mon tour de lui faire un magnifique et irrésistible sourire en coin. Après tout, c’était la stricte et simple vérité, je me mentais jamais, je ne faisais que déformer la vérité en la reformulant à ma sauce (a). Et oui, désolé de vous décevoir, je n’étais pas la réincarnation de Marie et une part de moi était en train de changer et de s’aventurer vers le côté obscur de la force. Je souris de plus bel en le voyant acquiescer ma remarque. Ce n’était pas tous les jours que quelqu’un pouvait m’apercevoir dans un espace vert et il fallut que ça tombe sur lui. Comme l’expression le dit si bien, la classe on l’a ou on ne l’a pas. BAM, pensant que cette conversation était finie je ne m’attendais pas du tout à une telle remarque. Que répondre ? La stricte vérité ? Comme quoi je serai probablement déjà partie s’il n’avait pas été là et que sans s’en rendre compte il était mon soutient, celui qui me faisait tenir dans cet endroit me rappelant d’abominables souvenirs ? Non jamais. J’avais beau être gentille mais les niaiseries ce n’étaient pas mon truc. « J’avoue, ça aurait pu être pire ! » . Mouhaha, énorme sourire taquin sur les lèvres, je savourais dignement ma vengeance. 1-1 honey. Ca y est, la situation venait de prendre un tout autre sens et nous étions passés au stade supérieur. Je le savais, je le sentais. Il y avait toujours cette force, cette attraction magnétique entre nous qui nous poussait à être de plus en plus proches et cette attirance mutuelle qui empirait la situation à chaque fois. Estevan & Stiyzanna se promenant NORMALEMENT dans un parc, non ça n’était pas possible, il devait y avoir des complications ou du moins quelque chose pour perturber leur tranquillité. Et sans le savoir, j’avais mis la poudre au feu en me vantant d’avoir changée. Great Zanna, t’aurais pas pu la fermer ? Le pire était que je venais d’empirer les choses en lui avouant dans les yeux qu’il ne me faisait pas peur. Pensant que j’avais gagné la partie, je m’emballai intérieurement fière de moi et de ma nouvelle répartie. Mais c’était sans compter le retour des choses de monsieur La Tour Dubois. En effet, il vint coller sa tête contre la mienne déposant tendrement sa main sur ma joue droite et la caressant par la même occasion. Pétrifiée, j’étais totalement et irrévocablement pétrifiée. Nous étions trop proches pour moi, pour mon âme sensible ainsi que pour mon cœur qui battait à plus de 200kilomètres à l’heure. De plus, sa peau avait pris contact avec la mienne, me laissant sans voix. Oui, moi Stiyzanna Duma je n’osai ni bouger, ni ouvrir la bouche. Je devais me concentrer à ne pas céder. Céder à la pire de mes tentations, à ses lèvres se trouvant à quelques centimètres des miennes. Si nous étions dans un film à l’eau de rose, ce moment aurait été suivi d’un doux et long baiser entre le parfait jeune homme embrassant la belle princesse. Mais nous demeurions dans la réalité et nous étions Stiyzanna et Estevan. Je le fixai intensément le temps de quelques secondes qui me parurent une éternité. Je souffrais intérieurement comme personne, moi qui me prenais soudainement pour « Xéna la guerrière », le delta me fit vite descendre de mon nuage magique. C’en était trop pour moi, cette proximité me tuait à petit feu. Je posai mes mains contre le torse d’Estevan afin de le pousser délicatement, enlevant sa main contre ma joue en même temps. Je fis d’une pierre deux coups. Je soupirai l’air gênée, outrée et énervée à la fois. «  A quoi tu joues Estevan ? Tu testes mes limites c’est ça ? ‘Ô après combien de temps Stiyzanna Duma succombera-t-elle à mon charme ? ‘ J’suis pas une de tes potiches de barbies moi, je suis une petite princesse russe avec des émotions et des sentiments, ce que t’as pas vraiment l’air de comprendre !  » . J’avais la net impression qu’il me prenait pour une de ses groupies pouvant les manipuler, leur faisant faire tout ce qu’il voulait tout en prenant du plaisir bien entendu. Baissant la tête le temps de quelques secondes, je repris mes esprits de belle et parfaite Duma. «  Je suis peut-être pas aussi forte que je le pensais finalement. » .Merci monsieur le delta de me l’avoir fait remarqué.
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