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C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux

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MessageSujet: C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux EmptySam 15 Jan - 14:36

C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux Evan-Rachel-Wood-evan-rachel-wood-232415_100_100C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux 003ftb6q

    Trouver un emploi ça n’est pas toujours simple. Samuel lui avait eu la chance de pouvoir prendre la suite d’un professeur en philosophie. En effet, son premier poste il l’avait eu grâce au fait qu’un homme qu’il connaissait prenait sa retraite. Il avait donc commencé ainsi, puis après la mort de sa femme, il avait postulé un peu partout et surtout sur la région parisienne. Il avait alors été contacté par La Sorbonne où il a travaillé pendant plusieurs années. Puis quand il y a eu l’change entre La Sorbonne et Berkeley, le directeur de l’université américaine lui a proposé un poste, ce qui fait qu’il a encore pû trouver un emploi facilement. De ce côté-là il n’a jamais vraiment eu de problème, mais il a vu combien son fils a eu du mal à se trouver un emploi. On ne voulait pas le prendre, le disant trop jeune et sans expériences. Mais c’était le directeur de La Sorbonne qui avait accepté de le prendre en temps que médecin de l’université. Puis, avec le déménagement aux Etats-Unis, Carl avait accepté qu’il garde son poste de médecine au sein de Berkeley. Les choses allaient donc pour le mieux pour Antoine. Seulement aujourd’hui c’était Samuel qui ne savait pas où travailler. Ca faisait deux jours qu’il était sans emploi. Maria l’avait virée pour son comportement déplacé envers une élève et surtout au sein de l’université de Berkeley. En effet, il avait embrassé Caroll, ne faisant plus attention où ils étaient. Elle lui avait donc dit le lundi qu’il n’avait plus sa place dans le corps enseignant de l’université. Il avait tout de même réussit à avoir le mardi pour mettre ses cours au clair pour les élèves et également pour son successeur. Le mardi soir, il avait parlé avec Caroll et ils s’étaient avoué leurs sentiments. Le mercredi, il avait reprit ses lettres de motivation et CV pour pouvoir en amener plusieurs. Aujourd’hui jeudi, il ne savait plus quoi faire. Il n’avait pas eu de nouvelles. D’accord ça ne faisait qu’un seul jour, mais il avait laissé son adresse mail et personne ne lui avait envoyé un seul message, juste pour dire qu’ils avaient bien eus sa demande d’embauche. En tee-shirt et en caleçon Sam était chez lui, à regarder la télévision. Il ne pouvait pas envoyer plus de courriers, vu qu’il avait envoyé à chaque établissement qu’il y avait au plus près et finalement également dans la région. Zappant, il arrêta finalement la télévision et partit prendre une douche. Il en avait déjà prit une en les levant, mais ne sachant pas quoi faire, il alla à nouveau sous l’eau chaude. Profitant de la douche, il réfléchissait à ce qu’il pourrait faire de sa journée. Il ne voulait pas aller en ville, pour ne pas dépenser d’argent et donc avoir de quoi pouvoir payer le loyer de la maison et les factures. Ca aussi ça allait être un gros problème. S’il n’avait plus d’emploi, il ne pourrait pas garder la maison, vu qu’il n’aurait pas de quoi la payer. Il se disait que finalement l’achat de sa voiture et de sa moto aurait pû attendre. Seulement, il ne s’était pas du tout attendu à se faire envoyer. Une fois sortit de la douche et séché, il alla s’habiller. Une fois près, il repartit dans le salon et soupira. Que faire ? Regardant le piano, il alla en jouer un moment, environ une heure quand il entendit sonner à la porte. Fronçant les sourcils, il ne se souvenait pas attendre quelqu’un. Regardant s’il était présentable, il se demanda alors si ça n’était pas un employeur potentiel. Même s’il doutait du fait qu’ils se déplacent en personne, ça pouvait être ça. Allant ouvrir la porte en souriant, il vit finalement une personne qu’il connaissait bien. Fronçant les sourcils, il resta un peu surprit.

    Abby ?

    Tous les problèmes de l’homme venaient de s’envoler. Quand Abby était là, il ne pensait qu’à elle et son bien être. Si elle était venue aujourd’hui c’est quelle avait besoin de lui et il ne penserait qu’à ça. L’invitant donc à entrer, ils allèrent au salon. Prenant place sur le canapé, il la regarda, inquiet.

    Qu’est-ce qui se passe ?

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MessageSujet: Re: C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux EmptySam 15 Jan - 17:19

▬ La famille on ne la choisi pas toujours. Lorsque l'on décide d'accorder son coeur, c'est un évènement à part.
Notre famille est épanouie, et on se confie à l'être idolâtrécomme si sa vie en dépendait.


Abbygail n’était pas du genre à fouiner dans les affaires des autres. Elle partait du principe qu’elle avait beaucoup à faire de son côté et qu’il n’y avait que peu de personnes capables de le comprendre. Son comportement n’était pourtant pas si égoïste que cela, elle évitait juste d’être en contact avec les problèmes des autres afin de ne surtout pas être tentée de faire preuve de sensibilité. Mais lorsqu’il s’agissait de son père de cœur, Samuel, la personne au cœur d’or l’ayant adoptée pour lui apporter tout son soutien, la donne était totalement différente. Abby voulait qu’il soit fier d’elle, qu’il ait le sourire rien qu’en la voyant mais surtout, qu’il ne s’inquiète pas pour elle. C’était pourquoi, alors que cela faisait cinq jours tout juste qu’ils n’avaient pas échangé un mot, elle avait pris le taureau par les cornes et s’était finalement décidée à lui rendre une petite visite. Après s’être douchée, habillée et après avoir pris un taxi, elle se retrouva devant la porte de cet appartement qu’elle n’avait pas vraiment visité depuis le lendemain de Noël. Elle hésita quelques instants sur ce qu’elle comptait dire à Samuel au sujet de cette petite visite surprise…Ce n’était pourtant pas son genre de venir sans prévenir, de tomber ainsi tel un cheveu sur la soupe juste parce que l’envie lui avait prise. A vrai dire, il pourrait y avoir des millions de raisons à sa présence dans ce couloir, devant cette porte dont elle ignorait jusqu’à la couleur. Elle tendit finalement son doigt afin de presser la sonnerie, non avoir tâtonné quelques secondes pour trouver ce maudit bouton. Sa canne d’aveugle dans la main droite, elle la serrait comme si sa vie en dépendait, comme si elle était prise d’un stress qui n’avait pourtant pas lieu d’être. En l’adoptant, le professeur de philosophie avait marqué une certaine intimité entre eux, à savoir celle d’un père et d’une fille. Abby soupira donc profondément afin de se détendre, allant même jusqu’à fermer les yeux quelques instants avant de se lancer. La porte venait juste de s’ouvrir et elle arborait un sourire à la fois sincère et éclatant. Samuel avait dû s’inquiéter rien qu’à l’observer devant sa porte alors qu’elle n’avait aucunement annoncé sa présence par un coup de fil ou un texto préalable. Lorsqu’il lui demanda ce qui se passait, elle éclata de rire. C’était tellement inhabituel qu’un père lui demande comment elle allait qu’elle prit quelques minutes afin de profiter de ce fait on ne peut plus unique. Elle prit donc place sur le canapé, déposant son sac à bandoulière sur le côté avant de soupirer et de prendre les mains du professeur dans les siennes. Il fallait le rassurer et ne surtout pas le laisser se faire du mouron pour rien. « Je vais bien, pas de panique. Je me suis juste dit que tu pourrais avoir besoin d’une présence aussi…Qui a dit que ça devait être forcément à sens unique, hein ? » énonça-t-elle d’une voix douce et plutôt enjouée. Après tout, elle avait suffisamment déprimé pour les trois cent douze prochaines années, il était donc plus que temps de prendre la vie du bon côté. Elle serra donc plus fortement ses mains dans les siennes afin qu’il se repose sur elle si d’aventure il avait besoin de parler, mais en attendant, elle le conduisit dans la petite cuisine de son appartement, bien décidée à préparer quelque chose et prouver qu’elle pouvait elle aussi être une oreille attentive et quelqu’un capable de concocter quelque chose à se mettre sous la dent. Certes, elle ne serait jamais aussi bonne cuisinière que Tasha, surtout en l’absence de sa vue, mais elle pouvait tout de même essayer. Tandis qu’elle préparait un simple pain grillé avec du beurre de cacahuète et de la confiture, dont elle avait lu les étiquettes en passant et repassant ses doigts contre celles-ci, elle arborait un sourire amusé.

ABBY – « Si je te racontais ce qui m’est arrivé, je suis pas sûre que tu me croirais…Je ne sais plus si je t’en avais déjà parlé, mais il y a trois ans, quand j’ai eu l’accident de voiture qui m’a coûté la vue, mon fiancé James était au volant. C’était le fils unique d’un homme politique redoutablement influent, et cela dans le monde entier…Il était ambassadeur. Enfin bref, je ne pensais pas qu’il allait me laisser un quelconque héritage, et il y a quelques semaines, après mon retour de l’échange avec la Sorbonne en fait, il est venu me trouver. James m’avait laissé un testament, et il était là pour me tester sans que je sache l’issue de notre échange. Il m’a mise…Tellement hors de moi ! Mais j’ai répondu ce qu’il avait besoin d’entendre. Je n’ai jamais été James pour l’argent, je ne savais même pas qu’il était riche et quand bien même, j’aurais très bien gagné ma vie sans cet accident stupide, et je n’aurais jamais été nécessiteuse. Enfin bref…Il m’a testée jusqu’au bout sans que je le sache pour me remettre ce que James m’avait laissé. Trois ans plus tard, tu te rends compte ? »

La jolie demoiselle soupira, tout en poursuivant sa petite cuisine histoire de s’occuper les mains. Son sourire avait finalement disparut pour laisser la place à un simple hochement d’épaules. Samuel avait toute sa confiance, elle n’avait donc aucunement peur de lui confier ce qu’elle s’apprêtait à lui dire. Ce fut pourquoi elle stoppa quelques instants son ouvrage afin de chercher à le regarder dans les yeux. Ce n’était pas vraiment droit et son regard était aussi fuyant que celui de tous les aveugles sans qu’elle ne s’en aperçoive, mais le contact était présent. Personne n’aurait pu contester la chose…

ABBY – « Il m’a laissé un chèque de neuf million sept cent cinquante mille dollars. Depuis près de trois semaines, il est attaché à un aimant sur mon frigo, et je choque Tasha à ne pas vouloir l’encaisser. Mais je ne veux pas de cet argent…Je ne le mettrais à la banque que lorsque j’aurais trouvé comment utiliser justement cet argent. Pas avant…Même si ça choque, je m’en contrefous. »

Nouveau haussement d’épaules de la demoiselle qui n’avait effectivement aucune intention de transgresser ce qu’elle était dit à moins que cela n’en vaille la peine. Elle reprit donc son semblant de cuisine avant d’énoncer, d’une voix plus détendue et douce : « Et toi, qu’as-tu à me raconter de complètement fou ? »
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MessageSujet: Re: C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux EmptySam 15 Jan - 23:23

C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux Evan-Rachel-Wood-evan-rachel-wood-232415_100_100C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux 003ftb6q

    Ne pas s’inquiéter ? Quand Samuel tient vraiment à une personne il s’inquiète souvent, voire tout le temps. Il ne peut pas faire autrement, il est programmé comme ça. Alors en voyant la jeune femme, il s’était inquiété tout de suite. Ils n’avaient pas prévu de se voir, enfin il n’en avait pas le souvenir, donc il se disait qu’il y avait un problème. Il avait pensé tout de suite aux bébés. Peut-être qu’elle avait besoin d’aller chez le médecin et elle avait pensé à Sam pour qu’il l’y amène. Puis, voyant qu’elle ne paniquait pas, il opta plutôt pour Adrian. Il y avait peut-être encore des soucis de ce côté là. Mais si c’était le cas, Sam savait qu’il n’irait pas par quatre chemins avec le jeune homme. Cette fois-ci, il serait direct et il ne laisserait pas tranquille. Abby l’aimait c’était quelque chose de sûr et certain et il avait accepté de l’amener à l’autel le jour de son mariage, donc Adrian avait intérêt à gérer les choses sinon Sam perdrait son sang froid. Sam n’était pas du tout un homme violent. Les seules fois où il l’avait été ça avait été surtout verbalement et c’était quand il était ivre du matin jusqu’au soir. Il avait été violent physiquement seulement envers lui-même quand il avait tenté de suicide à plusieurs reprises durant sa cure. Sinon, il n’avait jamais été violent physiquement. Il avait d’ailleurs plus de facilité à blesser les gens par la parole plus que par les actes. Alors après avoir fait rentrer la jeune femme et l’avoir amené jusqu’à son salon, il lui demanda ce qui se passait. L’entendant rire, il haussa un sourcil sans comprendre. Qu’avait-il dit de drôle ? Fixant la jeune femme, il la laissa prendre ses mains et il la regarda, toujours sans comprendre ce qui se passait. Sam eu alors du mal à avaler sa salive. Pourquoi voulait-elle être une présence pour lui ? Oh non, elle savait toute l’histoire par rapport à Caroll et lui. Il savait qu’elle pourrait comprendre son inquiétude même si elle était aveugle. Il essaya de rester neutre face à ses propos et ne préféra pas répondre sachant que sa voix et son ton allaient le trahir. Il resta silencieux et vit finalement la jeune femme se lever du canapé pour aller dans la cuisine. Fronçant à nouveau les sourcils, Sam suivit la jeune femme. Devait-il lui dire la vérité ? Il n’était pas sûr que ça soit une bonne chose. Abby avait un an de plus que Caroll, elle pourrait donc mal prendre sa relation avec la jeune femme. A vrai dire personne ne savait qu’ils avaient une relation. C’était tout récent d’ailleurs. Mais Sam ne voulait pas se griller auprès de futurs employeurs et il ne voulait pas que Caroll se sente mal à l’aise face à ses amis. C’est vrai que sortir avec un homme de 51 ans, ça n’était pas quelque chose que l’on criait sur tous les toits. Il voyait d’ailleurs déjà beaucoup lui dire qu’elle n’avait sans doute pas résolu son problème d’Œdipe et donc que c’était pour ça qu’elle se croyait amoureuse de Samuel et bla bla bla. Sam savait lui à quoi s’en tenir avec la jeune femme. Ils en avaient parlés, ils s’étaient remit plusieurs fois en cause et ils s’étaient avoués leurs sentiments. Aujourd’hui ils étaient ensemble et Samuel ne reculerait devant rien ni personne. Il n’avait pas ressentit cela depuis que sa première femme était décédée. Il n’avait pas été autant amoureux d’une femme. Evidemment il y avait eu la mère de Lucie, mais s’il ne s’était pas marié avec elle c’était parce qu’il n’était pas si amoureux que cela. Evidemment il avait aimé la mère de sa fille, mais c’était moins fort qu’avec la mère d’Antoine et moins fort qu’avec Caroll. Reposant son attention sur Abby, il l’écouta alors parler. Restant donc attentif, il essaya de mettre ses problèmes de côté qui étaient finalement revenus rapidement. Mais il resta concentré et fut assez surprit de ce que la jeune femme était en train de lui dire. A la fin de ses premiers propos, il ne fit que hochait la tête. Il savait que la question n’était que pure rhétorique, il resta donc silencieux. De toute façon, il n’aurait pas pû répondre grand-chose. Voyant la jeune femme à continuer de faire la cuisine Sam ne savait pas très bien s’il devait l’arrêter pour qu’elle lui parle en face où s’il devait la laisser continuer. Fixant alors les mains de l’étudiante, il bougea les yeux en même temps que ses mouvements, quand elle reprit finalement la parole. La laissant venir face à lui, il la regarda dans les yeux et il écouta à nouveau ce qu’elle avait à lui dire. Haussant cette fois-ci les sourcils, il fut encore plus surprit de ses propos. Seulement il préféra éluder la question qui était de savoir s’il avait quelque chose de complètement fou à raconter.

    Tu devrais mettre le chèque ailleurs. Pas forcément à la banque, mais dans un lieu plus sûr chez toi que sur ton frigo.
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MessageSujet: Re: C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux EmptyDim 16 Jan - 22:10

▬ La famille on ne la choisi pas toujours. Lorsque l'on décide d'accorder son coeur, c'est un évènement à part.
Notre famille est épanouie, et on se confie à l'être idolâtrécomme si sa vie en dépendait.


« A ceci près que les lieux sécurisés, il n’y en a pas énormément chez moi, sauf erreur » énonça Abbygail d’une voix presque désolée. Après tout, elle avait pleinement conscience du fait que ce simple morceau de papier avait une valeur inestimable, et ferait sûrement le bonheur de beaucoup d’autres gens. Abby estimait simplement ne pas avoir besoin d’être richissime pour avoir ce dont elle rêvait. Ses désirs étaient plutôt simples, rien que le fait d’être en compagnie agréable, de faire des sandwiches et de discuter sans devoir supporter des cris, des intrigues à n’en plus finir et des crises de larmes pour finir, c’était suffisant. Samuel semblait cependant moins emballé qu’elle, et si ce n’était pas excessivement étonnant, cela ne l’empêcha pas d’arquer un sourcil qui n’avait rien de sympathique. « Il y a quelque chose qui cloche ? » demanda au bout de quelques minutes, alors qu’elle tenait un couteau plein de beurre de cacahuète dans la main. Abby avait arrêté de faire des sandwiches pendant quelques instants, cherchant à comprendre ce que Samuel était en train de lui cacher au juste. Habituellement, lorsqu’elle se hasardait à demander ce que les autres avaient à raconter de fou, ils se lançaient dans des explications abracadabrantes, ne cessaient jamais de parler, comme si leur vie entière dépendait du plus long temps de parole du monde. Mais son père de cœur semblait hautement préoccupé. Il ne relançait pas la discussion, comme s’il voulait éviter un sujet bien précis…Certes, Abby n’était pas une experte en matière d’émotions diverses, mais elle avait suffisamment observé la race humaine pour savoir qu’elle n’était pas douée pour le mensonge, à moins que la chose à cacher soit vraiment importante. Ce mensonge ne devait pas en valoir autant la chandelle pour qu’il fasse si peu d’effort pour dissimuler son mal être. Abby déposa donc le couteau contre une tranche de pain vierge, nature, afin de contourner le plan de travail de la cuisine pour atteindre l’épaule de Samuel. Certes, la blondinette n’était pas la plus tendre des demoiselles, elle ne savait pas prendre quelqu’un dans ses bras sans ressentir une intense gêne dans les entrailles, mais elle faisait un effort cette fois. Il n’était guère question de rester renfrogné et Samuel devait à tout prix comprendre qu’il pouvait tout lui dire. Elle était l’oreille la plus sûre qui soit…Elle était tellement fine et aiguisée que cela lui faisait presque peur, parfois. Abby en avait entendu des secrets, et s’était habituée à les garder au fond de sa mémoire, comme n’importe qui utiliserait les tiroirs d’une armoire. C’était imaginé, métaphorique, mais l’idée principale était bien présente.

ABBY – « J’ai pas l’air, je sais bien que je suis parfois aussi glaçante qu’un iceberg et pas très expansive dans mon genre, mais je suis une oreille très attentive, tu sais. Bon, tu pourrais très bien me répondre que ce n’est pas mon rôle, mais crois-moi que j’ai gardé bien pire comme secret du temps où mon père n’avait de cesse de se confier à moi…Enfin bref, s’il y a quelque chose qui cloche, je crois que je suis la personne de la situation. Quoi que ce soit, ça ne veut pas être inavouable à ce point là. Je viens bien de confier une ânerie, alors je ne crois pas que tu puisses faire pire côté hérésie totale. »


Le plus formidable dans l’histoire, c’était probablement cet enthousiasme et cet optimisme totalement dignes d’elle. Abby était à des années lumières d’imaginer ce que Samuel était en train de cacher dans sa manche. Elle ne pouvait pas deviner la chose, étant donné qu’elle ne mettait plus les pieds à l’université pour l’instant, attendant que les jumeaux soient nés pour prendre une décision au sujet de ses potentielles futures études. Elle tapota donc l’épaule de son père de cœur, persuadée du fait qu’il puisse se confier en vue de se sentir mieux et qu’ils tournent ensemble cette fichue page qui semblait lui gâcher la vie. « Au fait, tu veux un petit sandwich ? Tasha répète à longueur de journée qu’un estomac bien rempli, c’est le début du bonheur. Elle me le rabâchait sans arrêt quand on habitait toutes les deux, et si je suis ravie de ne plus l’entendre le dire, je dois dire qu’elle n’a pas tort, pour une fois » énonça-t-elle avant de hausser les épaules. On ne pouvait pas dire qu’elle ne fasse pas tout ce qui était en son pouvoir pour qu’il se sente mieux. C’était presque mignon si ce n’était pas aussi maladroit… « Enfin bref, tu n’es pas obligé de parler, mais si tu as besoin, sache que je n’aime pas le sens unique. Alors tu peux te lâcher toi aussi, pour toutes les fois où tu l’a fait pour moi. »
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MessageSujet: Re: C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux EmptyDim 16 Jan - 22:34

C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux Evan-Rachel-Wood-evan-rachel-wood-232415_100_100C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux 003ftb6q

    Esquissant un sourire aux propos de la jeune femme, Sam devait avouer qu’elle avait raison. Dans une maison où trouver un endroit sûr pour garder un chèque et surtout d’un montant comme celui que détenait la jeune femme. Evidemment il y avait les anciennes méthodes, celles de nos grands-parents. Cacher le chèque sous le matelas, dans une boîte à café ou tout autre objet où on ne penserait jamais le chercher. Le problème était que désormais les voleurs connaissaient ces cachettes, donc ça n’était pas bon non plus pour ce fameux chèque. Finalement le plus sûr était encore de le mettre à la vue de tous. Peut-être que certaines n’oseraient croire qu’il s’agit d’un vrai chèque, avec un montant aussi élevé. Mais Sam ne pû y réfléchir plus longtemps. A la question de la jeune femme, il se passa une main sur la nuque. Abby aurait alors pû comprendre qu’il n’était pas à l’aise. C’était son signe principal pour dire qu’il était mal à l’aise. Seulement, il ne savait pas comment lui avouer les choses. Evidemment il savait qu’elle n’irait pas en parler, mais il n’était pas franchement à l’aise. Elle était désormais sa fille et il savait qu’elle pouvait mal prendre ce qu’elle allait dire. Il avait bien vu la réaction de Lucie et celle d’Antoine également. Lui avait juste expliqué qu’il ne comprenait pas pourquoi Samuel allait s’enticher d’une jeune, il pensait qu’elle jouait avec lui. Mais il lui avait également dit qu’il ne voulait pas le juger et que donc, il respecterait son choix, même s’il ne serait pas vraiment satisfait d’avoir une « belle-mère » plus jeune que lui. Lucie elle avait clairement fait comprendre à son père qu’elle ne voulait pas de Caroll dans leur vie. Enfin tout cela n’était resté qu’au stade des photos divulguées en France. Mais Sam savait aussi que quand sa relation avec Caroll serait apprise par tout le monde, ses enfants lui tourneraient le dos. Le fait qu’en plus il est perdu son emploi faisait que ça rajouterait des problèmes. Alors il ne voulait pas que celle qu’il considérait comme sa fille, Abby, pense la même chose de lui. Il ne voulait pas se retrouver seul. Il ne voulait pas être jugé une nouvelle fois. C’était en partie pour ça qu’il taisait la vérité. Mais surtout parce que Caroll et Abby n’avait qu’un an d’écart. Abby avait un an de plus et Sam ne voulait pas qu’elle pense qu’il était un pervers où quelque chose comme ça. Elle avait le droit de le penser, mais de le voir sur son visage, il ne le voulait pas. Il savait déjà qu’il aurait beaucoup à voir d’ici quelques temps, quand la vérité serait découverte, donc il n’avait pas envie de voir tout cela pour le moment. Regardant finalement l’Epsilon s’approcher de lui, il l’écouta parler. Il haussa un sourcil à ses propos. C’est vrai qu’elle avait dû entendre de sacré chose avec son père, mais il n’était pas vraiment à l’aise. A vrai dire il n’avait jamais imaginé devoir lui en parler, seulement elle avait été là pour lui, comme il avait été là pour elle. Il savait qu’il pouvait lui faire confiance, sinon il ne l’aurait pas adopté. D’ailleurs Sam s’attendait à voir débarquer le père de la jeune femme un jour. Evidemment lui et la mafia ça faisait deux et il ne savait pas vraiment à quoi il devrait faire face, mais il savait qu’il ne laisserait pas tomber la jeune femme. Seulement aujourd’hui c’est elle qui voulait l’aider et ail appréciait vraiment cela. Hésitant, il ne savait pas vraiment comment expliquer les choses. Pourtant c’était simple, mais il avait vraiment peur d’être jugé. L’écoutant à nouveau parler, il esquissa un sourire.

    Je veux bien le sandwich s’il te plaît.

    Gardant un sourire en coin, il fixa la jeune femme. Il avait confiance en elle, il espérait qu’elle comprendrait, même s’il en doutait fortement pour le moment. Peut-être qu’il serait agréablement surprit, il n’en savait rien, mais il hésita encore un moment. Avalant difficilement sa salive, il soupira doucement et se lança.

    J’ai perdu mon emploi au sein de Berkeley. Si je l’ai perdu c’est parce que le directrice adjointe m’a vu embrasser une étudiante.

    Bon c’était déjà un début, à vrai dire, il préférait s’arrêter là, mais il savait aussi qu’il devrait en dire plus. Seulement pour l’instant il préférait voir qu’elle serait la réaction de la jeune femme.
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MessageSujet: Re: C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux EmptyDim 23 Jan - 16:05

▬ La famille on ne la choisi pas toujours. Lorsque l'on décide d'accorder son coeur, c'est un évènement à part.
Notre famille est épanouie, et on se confie à l'être idolâtrécomme si sa vie en dépendait.


« T’as embrassé une étudiante ?! » démarra Abbygail, l’air passablement incrédule, cachant fortement son amusement. Ce n’était pas drôle comme situation, pourtant, tandis qu’elle avait énormément de mal à imaginer Samuel dans les bras d’une étudiante, elle ne trouvait pas cela choquant pour autant. Ce serait sûrement la seule à ne pas en faire tout un fromage, mais elle trouvait cela amusant. « Mais c’est dingue ! Je veux dire…Moi qui t’imaginait comme quelqu’un de super sage, incapable de faire un faux pas, c’est dingue ! » s’exclama-t-elle aussitôt, avec une sorte d’enthousiasme absolument hors de propos. Abby n’avait jamais été partisane du parapluie dans le derrière, elle préférait plus facilement la folie à la raison, et elle savait très bien trouver son bonheur dans des actions aussi débiles que dangereuses. C’était un peu moins le cas depuis son accident bien sûr, mais on ne pouvait que difficilement la considérer comme une personne absolument saine d’esprit. Très étrangement, elle était fière de Samuel, fière qu’il se soit lâché et qu’il ait profité d’une opportunité bien que la bienséance ne soit pas vraiment au rendez-vous dans un tel acte. Abby n’était pas du genre à juger les personnes de son petit cercle de confiance, au contraire, elle était plutôt dans un état d’esprit de soutien quoi qu’il advienne. Si son père d’adoption craignait qu’elle ne le prenne mal ou soit choqué, il devait être surprit du sourire immense s’étant soudainement esquissé contre ses lèvres. Abby avait même cessé temporairement de faire des sandwiches, pour ne se concentrer que sur cet aveu énorme ayant sûrement demandé une somme de courage très importante à Samuel. « Relax, tu sais, si je peux pas dire que j’ai déjà fait pire, je suis pas une sainte. C’est pas mon rôle de juger…Au contraire, je trouve que la vie est trop courte pour qu’on la pourrisse avec la bienséance et ce genre de conneries. Tu as fait quelque chose, c’était peut-être une erreur, et après ? T’es pas mort pour autant, et Maria est dure de t’avoir renvoyé pour ça. Elle est jalouse ou quoi ? » Levant les yeux au ciel, Abby venait tout juste de se souvenir que Samuel lui avait demandé un sandwich avant qu’elle ne se stoppe pour s’émerveiller presque devant son aveu. Elle reprit donc le couteau en main, deux tranches de pain sandwich avant d’étaler sur une première une petite quantité de beurre de cacahuète, et sur la deuxième de la confiture de myrtilles. Rien que l’odeur était alléchante, et elle devait grandement se dominer pour ne pas sauter elle-même sur ces simples tranches de pain, qu’elle plaça l’une sur l’autre avant de tendre le tout à son père d’adoption. Ne dit-on pas que manger, c’est le début du bonheur ? Elle sentait qu’il avait besoin de se remettre, et probablement de trouver en elle une oreille attentive et discrète. Cela tombait plutôt bien, Abby avait l’habitude d’être une tombe absolue, surtout pour ce genre de cas…Elle n’était pas fille de mafieux pour rien, même si cette place ne lui plaisait pas la plupart du temps.

ABBY – « Bon alors reprenons…Tu as été pris la main dans le sac si je peux dire, et la directrice t’as viré. Y’a aucun moyen de revenir en arrière ? Je veux dire, je l’aime bien Maria, je peux essayer de plaider en ta faveur. Je ne dis pas qu’elle m’écoutera parce qu’elle sait très bien faire la différence entre le personnel et le professionnel, mais ça ne coûte rien d’essayer. C’était sûrement une réaction à chaud, épidermique, elle sait faire la part des choses. Si t’étais déprimé, pourquoi tu m’as pas appelée ? Je suis excellente pour remonter le moral parait-il, et crois bien qu’avec tout ce qui se passe dans ma vie, j’aurais volontiers tout mis de côté pour se payer une tranche de franche rigolade. Cette étudiante, c’était sérieux ou juste un bisou comme ça ? Pas que ça me regarde, mais si je veux plaider en ta faveur, faudrait que tu me donnes de petites infos. Sans forcément me dire qui c’est, ça, j’ai pas besoin de le savoir, c’est ta vie privée et je respecte ça. »

On ne croirait pas à la voir ainsi, si imprévisible qu’elle puisse être respectueuse face à un scoop tel que celui-ci. Mais il s’agissait de Samuel et forcément, c’était différent. Elle l’avait toujours respecté et ce n’était pas demain la veille que cela allait changer. Au contraire, ils avaient beaucoup en commun et c’était probablement plus facile pour lui de lui parler que d’évoquer la chose face à ses enfants légitimes. Abby n’était pas une tombe pour rien, la preuve était là devant ses yeux, elle n’avait porté aucun jugement et avait su adopter une réaction on ne peut plus méliorative. Le plus n’était pas de le faire culpabiliser, mais de comprendre, de l’encourager pour qu’il ne se sente pas exclus. Perdre son travail, il n’y avait rien de tel pour perdre le moral d’un même coup. Il ne suffisait pas de lui proposer de se gaver de chocolat noir pour retrouver le sourire…Il fallait toucher là où ça lui ferait du bien, métaphoriquement.

ABBY – « Dis-toi qu’Adrian a osé me dire qu’il avait peur de sa peur, peur de lui avouer qu’il m’avait demandée en mariage et que je suis enceinte de jumeaux. J’ai voulu croire au prince charmant, et je me suis gravement plantée. Ca me ressemble pas de faire confiance sentimentalement parlant…On m’y reprendra plus. Les fiançailles et ce genre de conneries, c’est fini. Je vais devenir mère, je vais assumer très bien toute seule, et j’emmerde ceux qui sont pas d’accord ! »

Tout en posant violemment le couteau à beurre contre le plan de travail, la blondinette soupira tout aussi brutalement pour se calmer. Ce n’était pas le moment de perdre ses nerfs, après tout. « Désolée, les hormones. Je suis un peu sur les nerfs en ce moment…Mais quand j’y repense, c’est génial ce que t’as fait ! T’as prouvé qu’on pouvait décider de ne pas avoir un parapluie dans l’arrière train ! J’applaudis ton génie, vraiment. » Et Abby alla jusqu’au fond des choses…En applaudissant effectivement.

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MessageSujet: Re: C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux EmptyDim 23 Jan - 16:41

C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux Evan-Rachel-Wood-evan-rachel-wood-232415_100_100C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux 003ftb6q

    Dire la vérité était sans doute la meilleure chose à faire. Il savait qu’Abby ne le pousserait pas à parler s’il ne le voyait pas, mais s’il ne lui disait pas la vérité il serait mal à l’aise. Donc il prit son courage à deux mains et avoua à la jeune femme qu’il avait été renvoyé de Berkeley parce qu’il avait embrassé une étudiante. Entendant la question de la jeune femme, il fronça les sourcils s’attendant à recevoir un sermon en pleine visage. Seulement il fut vraiment surprit de la réaction de la jeune femme. Elle semblait … amusée ? Haussant alors les sourcils, il resta incrédule à fixer la jeune femme. Elle semblait vraiment souriante face à cette annonce. Elle n’avait pas du tout la réaction qu’il avait imaginé et il ne savait pas si c’était très bon signe. Elle avait un sourire et il ne comprenait pas vraiment pourquoi. Ouvrant la bouche pour lui poser la question, finalement aucun son ne sortit. Que dire en même temps ? Peut-être qu’en posant la question elle allait lui dire que finalement il était un inconscient pervers ? Bon d’accord, il en faisait peut-être beaucoup là. Mais il se concentra finalement sur ce que la jeune femme lui disait.

    Non c’est normal, un enseignant n’a pas à embrasse une élève.

    Levant les yeux vers la jeune femme, il percuta à sa dernière question. Maria jalouse ? Il est vrai que la jeune femme avait eu une liaison avec un enseignant français du nom de Maxence Delacre qui ressemble trait pour trait à Samuel, mais ça ne pouvait pas être ça, si ? Tout le monde en France appelait Maxence et Samuel les jumeaux, les siamois, les clones, mais de là à ce que Maria soit amoureuse de Sam ? Elle est en couple avec Edward et ils ont un bébé ensemble, alors ça ne pouvait pas être ça, si ? Non ! Hochant la tête pour s’enlever ces pensées de la tête, il soupira doucement et se passa une main sur la nuque. Il était en train de délirer là, il fallait qu’il se reprenne. Laissant alors la jeune femme continuer ses sandwiches, Sam était en train de revoir ce qui s’était passé dans ce fameux couloirs de l’université où Maria l’avait surprit en train d’embrasser Caroll. Il aurait vraiment dû faire attention au lieu de se laisser aller ainsi à l’embrasser sans penser aux conséquences. Sortant de ses pensées, il écouta la jeune femme parler et il esquissa un sourire.

    Ne dis rien à Maria. C’est gentil de vouloir m’aider, mais avec la discussion que j’ai eue avec elle je n’ai aucune chance de retrouver mon poste. C’est come ça et je ne peux rien y faire. Pour l’étudiante sur le moment c’était comme ça, on se laissait aller depuis qu’on avait décidés d’avoir une liaison, mais depuis quelques jours ça n’est plus un simple amusement. Je suis vraiment amoureux d’elle, elle m’a aussi avouée ses sentiments.

    Souriant en se souvenant de ce moment, il devait avouer qu’il avait été surprit de se laisser aller dans les bras de la jeune femme. Fixant sa fille de cœur ou plutôt désormais sa fille adoptive, Sam se mit à sourire. Finalement la jeune femme ne l’avait pas jugée, elle ne lui avait pas fait de sermon non plus. Elle était de son côté et il devait avouer que ça lui faisait plaisir. Ca lui changeait de son fils et de sa fille, Antoine et Lucie, qui pensaient clairement que Caroll se jouait de lui. Bon eux n’étaient pas au courant du fait que Sam était désormais en couple avec Caroll, mais sans ça il savait que quand ça viendrait à se savoir, il allait en rendre pour son grade. Ecoutant ensuite la jeune femme parler, Sam eu un léger rire.

    Moi j’ai peur de ma mère pour beaucoup de choses, même encore à mon âge je l’avoue, mais tout de même ! Quoi que si elle venait à savoir que j’ai une relation avec une jeune femme de 23 ans, sachant que ma fille à 20 ans, alors là oui j’aurais peur de ma mère.

    Il se rendit alors compte qu’il avait intérêt à faire attention quand il aurait sa mère au téléphone désormais. Elle avait toujours sûr quand il était amoureux et il ne fallait pas qu’elle le comprenne désormais, sinon là il risquait gros. Il sursauta en entendant le couteau frapper le plan de travail. Fixant la jeune femme, il resta un peu surprit, se demandant ce qui se passait.

    Oh j’ai l’habitude des femmes ayant des soucis d’hormones, j’en ai connues deux comme ça.

    En effet sa première femme, la mère d’Antoine et sa compagne, la mère de Lucie. Il avait eu le droit à pas mal de sautes d’humeur et tout autres choses de la part des deux femmes enceintes.

    Mon génie ? Regarde où ça m’a mené. Je suis sans emploi, si je ne trouve pas un emploi rapidement je ne pourrais plus payer mes factures et je me retrouverais sans maison. Tout ce qu’il me reste c’est la femme que j’aime avec qui je sus obligé de me cacher, mon chien qui lui apprécie les longues siestes donc il se fiche pas mal de moi. Ah si heureusement tu es là au moins tu es bien la seule à ne pas me juger. Je t’en remercie d’ailleurs.

    Se levant, il sourit en la voyant applaudir. Il s’avança vers elle et l’embrassa sur la tempe. Tendant ensuite la main pour attraper le sandwich, il sentit la lame du couteau taper sa main. Grognant, il sourit sachant qu’elle n’avait pas voulu lui faire mal, mais juste lui dire de ne pas toucher à la nourriture qu’elle venait de préparer. Heureusement elle avait mit la lame à plat.

    Tu m’aimerais toujours même si j’ai une relation avec une femme bien plus jeune, même plus jeune que toi ?

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MessageSujet: Re: C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux EmptyLun 24 Jan - 15:36

▬ La famille on ne la choisi pas toujours. Lorsque l'on décide d'accorder son coeur, c'est un évènement à part.
Notre famille est épanouie, et on se confie à l'être idolâtré comme si sa vie en dépendait.


« T’es vraiment amoureux d’elle ? Bah dis donc…Je crois décidément qu’il n’y en a pas un pour relever l’autre ! » Abbygail aurait facilement pu tout accepter de Samuel. Elle savait que ce n’était pas quelqu’un d’inconscient, et que s’il avait pris le risque d’embrasser une étudiante, c’est parce qu’elle en valait vraiment la peine. Sa réaction était très étonnante, évidemment…Elle qui d’ordinaire avait toujours un avis sur tout, qui jugeait très facilement autrui même si elle n’avait pas toutes les cartes en main, elle faisait preuve d’une maturité on ne peut plus étonnante, presque illogique la connaissant. Mais Samuel l’avait adoptée, il lui avait offert un petit cocon familial dans lequel se réfugier dès qu’elle allait mal, il avait été son épaule maintes et maintes fois, si bien qu’elle pouvait difficilement oublier tout ça et le laisser tomber. Au contraire, maintenant qu’elle était ici, elle comptait bien lui offrir une oreille attentive dès qu’il en aurait besoin, et pourquoi pas lui donner quelques conseils. Il était amoureux, plus âgé, mais sa petite amie était une étudiante…Donc, c’était davantage le rayon de la blondinette, dont le sourire était en train de trahir l’enthousiasme proprement débordant. Elle manqua d’ailleurs d’éclater de rire lorsqu’il osa lui demander si elle l’aimerait toujours s’il avait une relation avec une femme plus jeune, même plus jeune qu’elle…Abby n’était pas de ce genre là. Elle ne jetait pas la pierre à sa famille, la preuve avait été faite alors qu’elle avait protégé les magouilles incessantes de son véritable géniteur pendant des années. Elle se contenta cependant de mâcher lentement une bouchée de sandwich, afin de se remettre de ses émotions. Les aveux n’étaient sûrement pas finis, et d’ailleurs, Abby n’était pas en reste de ce côté-là : Il y avait tellement qu’elle pourrait dire à Samuel…S’il savait tout, il l’aurait probablement traitée de folle, d’inconsciente et d’on ne sait quoi encore. Abby merdait à longueur de journée en ce moment, et le pire, c’est qu’elle ne ressentait aucune espèce de culpabilité. « Tu l’aimes, c’est évident. C’est vraiment pas moi qui te jetterais la pierre… » commença-t-elle après avoir avalé sa bouchée, et alors qu’elle venait de sortir deux verres pour y verser de l’eau. La cuisine était vraiment le lieu rêvé pour avoir ce genre de discussion, elle l’avait appris à Noël dernier, lorsqu’elle s’était gentiment bourré la gueule en compagnie de Tasha. Les deux jumelles avaient rarement autant parlé à cœur ouvert qu’à ce moment là, et dans ce lieu précis. Certes, le mur s’était retrouvé plein d’avocats et d’œufs, formant une œuvre d’art culinaire plutôt spéciale, mais ce n’était pas là l’important. Les domestiques avaient grogné face au travail supplémentaire, mais les sœurs Vodianova s’étaient retrouvées.

ABBY – « Tant que je n’ai pas à l’appeler belle-maman, je crois que ça ne devrait pas me poser de problème. Déjà, parce que tant que tu es heureux et bien dans tes pompes, moi cet argument-là me suffit. Je ne suis vraiment pas la meilleure personne à qui il faille parler de ce genre de choses, étant donné que ma vie sentimentale est un naufrage absolu, mais…Je peux quand même essayer de te donner quelques conseils, histoire que les rôles soient un peu échangés, pour une fois. »


Haussant les épaules, Abby cherchait en réalité la manière la plus douce de confier sa propre situation. Avec Adrian, il y avait certes de l’eau dans le gaz, mais elle s’était tout de même retrouvée avec un autre homme pour un road trip qui les avaient emmenés à Las Vegas puis à Chicago…Ils n’avaient pas fait de la couture ensemble, c’était chose évidente, et la blondinette avait pleinement conscience d’avoir réagit épidermiquement. Du moins, au départ elle pensait que ses agissements n’étaient que le résultat de longs mois de déception avec Adrian…Avant de découvrir qu’il s’agissait d’autre chose de nettement plus fort et incontrôlable. « Puis tu sais, j’ai pas été une sainte récemment, loin de là » commença-t-elle avant d’éclater de rire face au fait que Samuel lui confiait avoir peur de sa mère. « En fait, c’est une manie d’avoir peur de maman chez les hommes ? Les femmes sont pas des monstres, ce ne sont que des excuses !! » s’exclama-t-elle finalement, tout en prenant de finir son sandwich. Il n’y avait rien qui pressait, surtout que ni Samuel ni elle n’étaient attendu à leur travail respectifs. Abby avait pris une sorte de congé maternité en arrêtant ses études, et le pauvre professeur avait été congédié de la pire façon…Cette vérité était bien déprimante vue sous cet angle, il n’y avait vraiment que la jolie russe pour voir inlassablement le côté positif des choses. Elle savait que Samuel allait vite retomber sur ses pattes, comme le chat aguerri qu’il était, et Abby avait bien l’intention de lui tendre la main quoi qu’il advienne, surtout s’il se retrouvait expulsé de chez lui.

ABBY – « Il y a huit ans, je suis sortie avec un jeune homme…Le premier amour de ma vie, quelqu’un qui m’a vraiment marquée au fer rouge, si je puis dire. Notre histoire s’était finie brutalement, parce qu’à l’époque déjà j’avais besoin de stabilité, et j’étais persuadée qu’il n’aurait jamais pu m’offrir ça. Je l’ai revu il y a quelques semaines, et je pensais que je serais assez forte pour passer outre, mais…Quand on a aimé quelqu’un comme ça, c’est pour la vie. On s’est revus plusieurs fois en tout bien tout honneur, puis j’ai découvert que sa gamine était en attente d’une greffe de cœur. Qu’est-ce que j’aurais pu faire, rester à la voir agonir alors que je pouvais faire quelque chose ? J’ai négocié avec le centre de don d’organes pour qu’elle soit tout en haut de la liste, et qu’elle bénéficie d’un bipper au cas où il y ait un donneur potentiellement compatible. Puis tout s’est enchaîné, on a parlé de nos rêves et il m’a finalement entraînée dans le road trip dont je rêvais depuis gamine. Je l’ai retrouvé, comme si je ne l’avais jamais quitté…J’adore Adrian, mais il m’a abandonnée Samuel. Aaron a été là. Il m’a tenu la main, comme toi, et chaque jour, il est avec moi. Je ne veux plus être toute seule, c’est trop dur…Ne me juge pas, hein ? »

Après tout, être paumé faisait partie de la nature humaine actuelle. Que ce soit Abby ou Samuel, il n’y en avait effectivement pas un pour relever l’autre. « Il m’a dit qu’il prendrait soin des bébés, et il a assumé ça devant ses parents, alors que son père est un Sénateur très prisé, et très rigide…Rien à voir avec la peur de fillette d’Adrian ! » Abby ne cherchait pas à se donner d’excuses, parce qu’elle ne cherchait pas l’absolution. Elle n’avait pas l’intention de culpabiliser, pas alors que Samuel se trouvait lui-même dans une situation délicate. Il fallait donc trouver des solutions pour lui avant de se pencher sur sa vie sentimentale chaotique. « Ce n’est pas au vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces, pas vrai ? » reprit-elle aussitôt, avec un retour d’enthousiasme venu d’on ne sait où. « Tu n’es pas encore à la rue…Faut garder espoir. Tu sais très bien que je t’aiderais si ça devait arriver. En attendant, on va essayer de te trouver un autre travail avant de désespérer, d’accord ? » Il existait toujours la sempiternelle option Ekaterina, après tout. Elle qui avait du poids sur toutes les institutions du pays, elle pouvait très certainement avoir du poids sur la carrière de Samuel également. « Mais j’y pense, tu ne m’avais pas dit que tu avais une amie médecin ? Tu ne pourrais pas enseigner dans un hôpital par hasard ? Ca vaut peut-être le coup d’envoyer des CV… »

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MessageSujet: Re: C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux EmptyMar 25 Jan - 19:53

C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux Evan-Rachel-Wood-evan-rachel-wood-232415_100_100C’est ceux qu’on aime qui nous comprenne le mieux 003ftb6q

    Se passant une main sur le visage, Sam savait qu’en effet aimer une femme bien plus jeune que lui n’était sans doute pas une bonne idée, mais c’était ainsi et il ne pouvait rien y changer. Ils s’étaient déjà dit qu’ils ne voulaient pas faire de mal à l’autre, seulement ils n’arrivaient plus à voir les choses sans l’autre. En tout cas pour Samuel s’tait le cas. Il ne se voyait plus avancer sans Caroll dans sa vie. Demandant alors à Abby si elle l’aimerait toujours malgré le fait qu’ils soit avec une étudiante et une jeune femme plus jeune qu’elle, il la vit sourire. Ca voulait dire oui ? Il esquissa un sourire et resta simplement la fixer. L’écoutant parler après avoir finit sa bouchée, il garda son sourire. La voyant ensuite évoluer dans la cuisine, il sourit et la laissa prendre ce qu’elle voulait. Deux verres et de l’eau, d’accord. La laissant les servir, il prit son verre et en but un peu, tout en l’écoutant parler. Ayant un léger rire à ses propos, il hocha la tête.

    Ne t’inquiètes, tu n’auras pas à l’appeler belle-maman. Là-dessus, je te rassure tout de suite. Déjà qu’il va falloir que j’en parle à Antoine et Lucie, je sens déjà le mal de crâne arriver.

    Oui, ils allaient sans doute le traiter d’inconscient mais c’était son problème. C’était lui qui vivait avec une étudiante, bien plus jeune que lui. Il l’aimait et c’était ainsi, il ne changerait pas ses sentiments pour leur faire plaisir. Oui il avait déjà commit des erreurs des années plus tôt avec son alcoolisme, mais là c’était totalement différent. Ca n’était pas juste une passade. Il ne faisait pas non plus sa crise de la cinquantaine, non il était bel et bien amoureux. En même temps si Samuel savait que Lucie avait une relation avec Alcide, il le prendrait mal. Pensant alors au fait que Caroll aurait pû en parler avec ses parents s’ils étaient en vie, il aurait vu le père de la jeune femme débarquer en moins de deux. Heureusement pour lui il ne finirait pas avec un cocard. Mais Sam savait que quand lui apprendrait que Lucie et Alcide, sa fille et son ami étaient ensemble, là ça serait lui qui serait du genre à en venir aux mains. Mais maintenant au moins Lucie ne pourrait plus rien lui dire. Antoine pourrait à la limite, mais il savait que son fils lui dirait sa façon de penser et qu’ils en resteraient là. Antoine était un jeune homme direct, même si ça devait faire mal, mais au moins Sam savait à quoi son fils pensait et il faisait avec. Puis, ils tournaient la page et ne revenait pas dessus, sauf si cela était nécessaire. Lucie était tout aussi directe que son frère, mais cette fois-ci elle ne pourrait pas lui dire que Caroll était une fille sans scrupule qui l’avait encore une fois manipulé après l’épisode des photos. De toute façon Sam ne lui laisserait pas le choix que d’accepter la situation comme elle est. Il a 51 ans, il est grand vacciné et il fait ses propres choix. Prenant alors du pain, Sam commença à se faire un sandwich, laissant la jeune femme manger celui qu’elle avait préparé. Entendant la jeune femme dire qu’elle n’avait pas été une sainte, l’homme fronça les sourcils. En arrivant à parler de sa mère, Sam imaginait très bien la réaction de cette femme face à la situation sentimentale de son fils. Elle qui voulait d’autres petits enfants ça n’était vraiment pas gagné. Carol avait 23 ans et toute la vie devant elle, ça ne sûrement pas avec Samuel qu’elle aurait des enfants. De plus, il ne se voyait pas élever un autre enfant. Non pas que ça le dérangerait, mais quand son enfant aurait 20 ans, lui en aurait 70, donc il n’avait pas vraiment envie d’avoir un jeune dans les pattes à ce moment là. De plus avec la découverte de sa paternité pour Nelligan, ça lui faisait trois enfants et ça lui suffisait.

    Ah mais non les femmes ne sont pas des monstres, elles le deviennent juste une fois qu’elles sont mères.

    Prenant du beurre de cacahouète, Sam en mit sur son pain.

    Non mais imagines. Tu es ma mère et je te dis que je suis en couple avec une femme de 23 ans. Sérieusement tu m’engueulerais, non ?

    Ca n’était pas pour être soulagé d’un poids, mais Sam voulait tout de même l’avis de la jeune femme.

    Tu verras toi quand tu seras mère.

    Souriant, Sam devait avouer qu’Abby n’avait pas idée pour le moment, mais qu’elle comprendrait bien assez tôt ce que ça serait.

    Alors moi je n’imagine même pas que Lucie me dise qu’elle sorte avec un type de mon âge, parce que là franchement, je la prive de sortie même si ça ne changera rien et je vais directement foutre mon poing dans la gueule de l’homme en question.

    Ah oui ça c’était sûr et certain que Sam n’allait pas rester calme. Etalant le tout sur son pain, il posa le couteau et écouta à nouveau la jeune femme. Souriant à la jeune femme il comprenait ce qu’elle voulait dire.

    Je ne te juge pas, ne t’inquiètes, je comprends ce que tu veux dire.

    Lui aussi sa femme était son seul amour. La mère d’Antoine avait été la femme qu’il avait toujours recherché et il n’avait jamais réussit à trouver une femme aussi bien. Il savait qu’il ne devait pas faire de comparaison, mais c’était plus fort que lui. De plus ayant lui-même été greffé, il pouvait comprendre la situation dans laquelle se trouvait l’amie d’Abby et surtout sa fille. Buvant à nouveau de son eau, il écouta la jeune femme et sourit.

    C’est moi le vieux singe là ? Sympa.

    Souriant toujours, il n’était pas du tout froissé parce qu’elle venait de dire. Il savait qu’elle employait juste l’expression et que ça ne lui était pas destiné directement. L’entendant alors parler de lui, il soupira doucement. Finissant son sandwich, il en prit un bout et le mangea tout en écoutant la jeune femme.

    Oh et comment comptes-tu me trouver un emploi ?

    Souriant, il l’écouta ensuite parler de son amie à lui. Il n’avait pas pensé à elle et en effet, ça pouvait être une bonne idée en effet.

    Addison ? Elle pourrait m’aider sans doute. Il faudrait déjà que je lui dise que je vis désormais ici d’ailleurs.

    En effet il n’avait pas été la voir et pourtant ils étaient amis. Ca ferait une raison d’aller la voir.

    Le problème c’est que je n’ai fait que deux ans de médecine et je ne suis pas vraiment au point pour l’enseigner. Je n’étais qu’à mi-temps à Berkeley et je n’ai que les bases, je ne pourrais pas vraiment aider les jeunes en médecine.

    Mais ça avait été une idée brillante sinon, seulement il n’avait pas assez d’expérience. Malgré le fait qu’Antoine, son fils, soit médecin, ça ne l’aiderait pas à être un enseignant en médecine.

    Mais je trouverais t’inquiètes pas pour ça. C’est mon problème et c’est à moi de faire mes preuves. Le tout désormais c’est que je puisse vivre ma vie sans avoir à être jugé par tout le monde.

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