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« Nos mensonges nous engagent mieux qu'aucune vérité. »

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MessageSujet: « Nos mensonges nous engagent mieux qu'aucune vérité. » « Nos mensonges nous engagent mieux qu'aucune vérité. » EmptyMar 24 Juil - 15:23




Vitaly & Eileen

« Plus le mensonge est gros, plus il passe. »
► JOSEPH GOEBBELS
Une belle journée commençait à San Francisco, depuis quelques semaines déjà l’été avait prit ses marques. Ici, la chaleur était agréable loin de celle étouffante du désert de Mojave, l’air était respirable et dehors soufflait un petit vent océanique. La baie de San Francisco était des plus magnifique en cette période de l’année. Aujourd’hui Eileen avait prévu de boire un verre avec son ami Vitaly et pourquoi pas se promener près de l’eau. Elle ne l’avais pas vu depuis un moment, entre les examens de fin d’année, ses aller retours à Vegas, et ses visites de maisons, aujourd’hui elle comptait bien rattraper le temps perdu. Eileen avait fait la rencontre de Vitaly depuis déjà plusieurs mois, elle l’appréciait beaucoup, elle aimait le courage dont il faisait preuve et ce malgré qu’il soit aveugle, mais elle savait qu’elle avait avec lui une terrible erreur. Lorsqu’elle l’avait rencontré elle ne s’était pas présentée en tant qu’Eileen Rosenbach mais en tant qu’Allie Wagner. Elle ne pensait jamais le revoir, elle avait eue envie de s’amuser, de voir ce qu’il se passerait si elle se prenait pour une autre personne, voir si les gens la considérerait autrement si elle n’était pas milliardaire, voir l’effet que ça fait d’être une personne normale. Mais elle avait revue cet homme et n’avait pu se résoudre à lui avouer la vérité, elle était doucement atterrie dans une spirale infernale, un cercle vicieux, ses mensonges avaient étés plus forts qu’elle. Un mensonge en entraînant un autre, s’était désormais sur toute sa vie et toute son histoire qu’elle lui avait mentie. Les parts de vérités était si mince qu’Allie et Eileen n’avaient quasiment rien en commun, l’une venait de Vegas, l’autre de Jacksonville, l’une était incroyablement riche l’autre venait d’une famille modeste. Elle ignorait comment se sortir de cette magistrale mascarade si bien qu’elle continuait sur sa lancée, mentant un peu plus à chaque fois qu’elle le voyait. Pour le moment, elle le savait il ne se doutait de rien, mais combien de temps ce jeu malsain allait il encore durer avant que la vérité n’éclate ? Elle l’ignorait mais redoutait d’avance le moment ou ceci se produirait. Elle savait que lorsqu’il l’apprendrait leur amitié serait compromise, elle savait aussi qu’il n’aimait pas les trahisons et que celle-ci en était une magistrale venant d’une personne qu’il considérait comme son amie.

Elle avait donné rendez vous à Vitaly dans un bar sympa sur Ocean Avenue, le genre d’endroit pittoresque ou Eileen Rosenbach ne mettrait jamais les pieds, plus habitué aux bars lounge servant des cocktails explosifs et hors de prix, mais qu’importe, elle peaufinait chaque détails de sa nouvelle identité afin de ne laisser entrevoir aucunes parties de la personne qu’elle était vraiment. Ouvrant son dressing, elle attrapa une robe vaporeuse et légère et une paire de ballerines colorée, puis appela un taxi. Ca aurait était une grossière erreur d’arrivée avec sa Porsche à plus de cent mille dollar, Vitaly avait beau être aveugle il n’en restait pas moins une personne très difficile à manipuler. Tous ses autres sens étaient bien plus développer, il faisait attention à chaque détails qui l’entourait, aux odeurs, à l’intonation de la voix de ses interlocuteurs et bien plus encore. Elle devait être prudente en toute circonstances pour ne pas risquer d’être démasqué. D’ailleurs depuis quelques temps quelque chose la tracassait, Vitaly avait entendu parler d’une certaine Eileen fréquentant la confrérie Epsilon par un Beta, ce dernier ne s’était à priori pas gêné pour en faire une description des plus péjoratives, Eileen espérait qu’il ne ferait jamais le rapprochement, même si pour l’instant ceci n’était qu’un détail, il avait de quoi la perturber. L’air de rien, elle jouait aux confidentes, à la fille fragile qu’elle n’était pas, se critiquant elle-même parce qu’il le fallait. Tous ces mensonges l’avait amusé un temps mais aujourd’hui elle était consciente qu’à un moment ou un autre elle allait faire une gaffe, s’emmêlait elle-même les pinceaux et se trahir, elle était obligé de contrôler chaque mots qui sortait de sa bouche pour ne pas se griller et ceci demandait énormément de concentration, parfois même trop.

Sortant du taxi, elle tendit un billet au chauffeur qui l’a remercia d’un sourire. Entrant dans le bar elle se dirigea immédiatement vers la terrasse à l’arrière, par cette chaleur c’était l’endroit le plus agréable, de grands parasols avaient étaient installés, les gens déjà présents sirotaient de grands verres remplis de glaçons. Regardant qu’il n’y avait personne de l’université elle se mit chercher Vitaly du regard, il était déjà la elle le savait. Contrairement à elle c’était une personne ponctuelle. Elle le vit au bout de quelques secondes assis à une table un peu l’écart, il n’avait pas encore commandé, comme tout bon gentleman il avait du préférer l’attendre. Le sourire aux lèvres elle s’installa face à lui, et remarqua que lui aussi souriait. Il semblait content de la voir, il avait sans doute plein de chose à lui raconter, elle aimait bien l’écouter parce que pendant ce temps elle ne mentait pas. Attrapant sa main posée sur la table elle dit d’une voix enjoué.

- Salut beau brun, tu m’attendais ?



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MessageSujet: Re: « Nos mensonges nous engagent mieux qu'aucune vérité. » « Nos mensonges nous engagent mieux qu'aucune vérité. » EmptyMar 24 Juil - 21:18


    La ponctualité est une qualité trop souvent sous-estimée, c’est l’évidence même. Mais n’importe qui ne s’appelle pas Vitaly et ne vient pas d’une famille où la perfection est une obligation. Bien que son père n’ait que récemment eut vent de son existence, il n’en demeure pas moins que leur ressemble est frappante et qu’ils demeurent aussi impitoyables et exigeants l’un que l’autre… à une petite différence près : Joe Shark poursuit de ses assiduités tout ce qui porte un jupon intéressant, Vitaly a un sens trop aigu du détail pour qu’une femme ne lui plaise plus de deux minutes d’à filée. A vrai dire, s’il avait accepté ce rendez-vous avec Allie, c’est parce que son esprit avait su se détacher de toutes les gourdes qu’il pouvait côtoyer à Berkeley et parce que justement, il la pensait différente. Dans son immense naïveté, il croyait ne pas s’être laissé berner par quelques artifices redoutablement ficelés par la demoiselle. Comme quoi, on ne connait jamais vraiment les gens. Ceux qui se prétendent amis avec autrui ne cherchent en vérité qu’un moyen de se faire mousser, ou en l’occurrence la preuve par a+b qu’ils ne savent pas perdre grâce à leurs vingt coups d’avance. S’il avait vent de la vérité, autant dire que la jeune femme n’existerait plus et qu’aucun de ses arguments ne saurait un jour trouver grâce aux yeux dépourvus d’émotion de l’impitoyable Shark fils. On lui déplaisait une fois, pas deux. Mais dans l’état actuel des choses, il était loin d’avoir ce genre de choses à l’esprit, bien au contraire : il s’était habillé simplement, conservait sa sempiternelle paire de lunettes de soleil sur le nez et évitait de s’attacher aux éventuels commentaires qu’il pouvait entendre dans ce bar dont le brouhaha commençait à lui faire joyeusement tourner la tête. Voilà bien un fléau qu’il affrontait au fur et à mesure du temps : si son ouïe s’était considérablement renforcée en quatre ans d’entraînement, Vitaly était sensible au moindre bruit, et à la musique trop forte en particulier. Fort heureusement, comme tout Bêta qui se respecte, cela ne semblait pas le déranger outre mesure : bien au contraire, il tapotait le tempo à l’aide de l’un de ses pieds et, de temps à autre, de ses doigts masculins tandis que l’attente glissait sur lui comme de l’eau. Somme toute, lorsqu’Eileen l’honora finalement de sa présence, il apprécia tout particulièrement qu’elle ne balance pas une phrase forte tombée tel un cheveu sur la soupe alors qu’il semblait ailleurs, enfermé dans sa petite bulle aseptisée favorite. Au contraire, elle s’installa d’abord, et enchaîna par une entrée en matière qui lui arracha un franc sourire. Vraiment, elle pouvait se vanter de savoir lui inspirer des émotions plus fortes que celles qu’il ressentait habituellement… il ne fallait pas oublier qu’il était souvent aussi expansif qu’une pierre !

    « Qui sait, peut-être que j’attends quelqu’un d’autre ? » la défia-t-il en relevant doucement la tête dans sa direction, bénissant la présence de ses lunettes de soleil qui ne l’obligeait pas à fixer un point en particulier. Il ne gênait pas la personne, et ne se mettait pas non plus dans une situation délicate. « Toujours aussi ponctuelle, à ce que je vois. Cela doit pouvoir s’ériger au rang d’art. » Un brin goujat ? Sans doute. Mais c’était un petit jeu entre eux : ils ne prenaient jamais mal les petites piques bienvenues dans leurs conversations. Ainsi, il n’y avait pas de tabou, pas de gêne, et Vitaly n’avait pas non plus l’impression qu’elle ne le traitait que comme un infirme avec qui elle passait un moment par dépit. Autant dire que cette simple idée lui plaisait indéniablement. « Mais j’entends d’ors et déjà ta gorge crier qu’elle est assoiffée… GARÇON ! » Puisque le bar était d’ors et déjà baigné dans une espèce de brouhaha indicible, le jeune homme avait claqué des doigts tout en utilisant toute la puissance vocale qu’il pouvait avoir en réserve. Autant dire que les discussions s’arrêtèrent quelques minutes avant de ne pouvoir reprendre, rien que par curiosité pour cet effet soudain et surprenant. « Avant que je ne te raconte ce que mon pote Bêta m’a encore raconté sur cette Eileen, je pense que tu prendras comme d’habitude un bon petit mojito de derrière les fagots ? » Vitaly était vraiment un tout autre homme dès lors qu’il s’agissait de boire ou de faire la fête. Pire, on aurait presque dit un gamin aux arguments intarissables et à la capacité d’encaissement particulièrement élevée. Ils n’étaient pas ici pour se murger, évidemment… mais s’assouplir n’a jamais fait de mal à personne.
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MessageSujet: Re: « Nos mensonges nous engagent mieux qu'aucune vérité. » « Nos mensonges nous engagent mieux qu'aucune vérité. » EmptyDim 29 Juil - 18:58




Vitaly & Eileen

« On ne sait rien de soi. On croit s’habituer à être soi, c’est le contraire. Plus les années passent et moins on comprend qui est cette personne au nom de laquelle on dit et on fait les choses. »
► Amélie Nothomb

A vrai dire, Eileen n’aimait pas vraiment cet endroit, ce bar était bruyant, les cocktails ne cassaient pas trois pattes à un canard et c’était un véritable repaire à touristes. En cette période de l’année des personnes venues des quatre coins du moins décidaient de visiter la « Cote Ouest » c'est-à-dire L.A, San Francisco et parfois Vegas. La population de la ville augmentait fortement chaque été, comme dans toutes les grandes villes ainsi baignées par le soleil. Le fameux bar était en prime installé dans une rue touristique qui conduisait à l’océan, et les touristes étaient présents partout, appareils photo à la main, tongs aux pieds, serviettes de plage sous le bras, tout un attirail savamment organisé au goût des plus douteux. Non, décidément Eileen n’aimait pas cet endroit mais elle prenait sur elle car en présence de Vitaly elle devenait Allie, et Allie n’était pas du tout comme elle. Allie aimait l’océan, les gens, Allie était gentille, agréable pas du tout égocentrique et pleine d’humour, Allie n’avait pas des goûts de luxe et se fichait de l’endroit du moment qu’elle était avec des gens qu’elle aimait. Le genre d’amie parfaite, idéale, qui n’existait pas et qui si elle existait énerverait tout le monde de par sa perfection. Eileen s’installa donc en face de Vitaly en ayant pris soin dans un premier temps de scanner toute la terrasse, elle était méfiante, sans doute trop elle en était conscience mais elle refusait de se faire avoir à son propre jeu. S’installant face à lui elle posa sa main sur la sienne pour lui signaler sa présence et aussi parce qu’elle l’appréciait et que ces petits gestes d’affection lui faisait forcément plaisir, elle le voyait d’ailleurs au sourire qu’il affichait. Eileen ne le considérait pas comme infirme, elle ne le plaignait pas toutes les cinq minutes, ne le prenait pas non plus en pitié, et ne lui demandait pas s’il avait besoin d’aide, c’est peut être ça qui lui plaisait chez elle ; car elle savait que Vitaly était difficile en amitié, être son ami était donc une sorte d’honneur, un privilège réservé à un petit nombre de personnes. Au contraire Eileen le considérait comme une personne « normale », comme les autres, comme si lui aussi pouvait voir, et c’était exactement ce qu’il recherchait. Elle n’étudiait pas la psychologie pour rien, elle savait que Vitaly assumait parfaitement son handicap et qu’il était donc inutile de lui rappeler toutes les cinq secondes qu’il ne pouvait pas voir, il n’avait pas besoin d’être assisté en permanence. Pire, elle en jouait pour lui lancer quelques piques bien placées, elle savait qu’il ne le prenait pas mal, c’était un jeu entre eux, de l’humour. Vitaly était incroyablement drôle, et rien que pour cette unique raison elle ne se lassait pas de passer du temps en sa compagnie, elle ne s’ennuyait pas. Comment aurait elle pu s’ennuyer d’ailleurs avec tous ces mensonges ?

- Toi attendre quelqu’un d’autre ? Ca j’en doute, qui dans cette ville à part moi à assez de patience pour t’écouter pendant des heures tout en buvant des mojitos insipides ?

Les mojitos étaient en quelque sorte devenus leur boisson de prédilection, ils commandaient toujours la même chose, une sorte de tradition. Eileen préférait la tequila mais le rhum ne la dérangeait pas, et puis se mettre dans la peau d’une autre personne nécessitait aussi quelques sacrifices. Par contre, si il y avait bien une chose qu’elle était forcé de partager avec Allie c’était ses défauts. Le retard notamment, Eileen était incapable d’être à l’heure, sans arrêt entrain de courir entre deux endroits différents, le retard était devenu une chose habituelle chez elle, si bien que les personnes qui la connaissaient bien lui donnaient rendez vous à 19 heures pour qu’elle soit la à 20 heures. Malheureusement pour Vitaly il avait encore l’espoir qu’un jour Allie serait ponctuelle. Elle aimait sa remarque à ce sujet, et n’hésita pas à rire, à force elle n’avait même plus honte de débarquer après la guerre, malgré tout elle s’excusa.

- Excuse moi mais je te rappelle que je viens de l’autre bout de la ville.

Fausse excuse évidemment, elle avait simplement et comme toujours décidé de prendre son temps. Avait hésité entre deux robes pendant une bonne dizaine de minutes et avait finis par recevoir un mail de son père concernant son futur achat d’une maison en ville, elle se laissait distraire, perdait du temps, il n’y avait rien de plus compliqué. Puis soudain alors qu’elle regardait son ami, il cria « Garçon », plutôt bruyamment, si bien que la plupart des gens installés en terrasse se retourna avant de ne reprendre leurs discussions. Un serveur accouru rapidement à leur table, il voulu dire à Vitaly de baisser d’un ton, mais lorsqu’il se rendit compte que ce dernier était aveugle il se ravisa. Il prit la commande des deux jeunes gens, des mojitos bien frais, Eileen remercia le serveur d’un sourire et se dernier disparu presque aussitôt appelé à une autre table.

- Ma gorge est constamment assoiffée tu devrais savoir ça, rien de tel qu’un mojito.

Puis c’est alors qu’il mentionna un de ses amis, un bêta, Eileen ne se souvenait plus de son nom mais elle avait son image en tête. Un type plutôt égocentrique, qui aimait faire craquer les filles, un brin péteux, le genre insupportable. La dernière fois qu’ils s’étaient vus, Vitaly lui avait parlé de ce type et de ce qu’il racontait sur une certaine Eileen. Elle avait rapidement compris que l’autre bêta dépeignait d’elle une image des moins flatteuses et qu’il racontait ça ensuite à son pote Vitaly, lui-même se plaisait à critiquer des inconnues avec son amie Allie tout en ignorant qui elle était. Un foutu cercle vicieux. Elle devait en permanence jouer un rôle, et pour ne pas se griller, elle avait raconté à Vitaly qu’elle connaissait Eileen de vue, mais qu’elle savait les choses qui se disaient sur elle. Elle en faisait un portrait désavantageux, une fille à papa, claqueuse de fric, venant de Vegas, croqueuse d’hommes, riche comme crésus, une Paris Hilton amélioré. Se critiquer ainsi la faisait plutôt rire dans le fond, et elle aimait savoir ce qui se disait vraiment dans son dos ; et comment Vitaly voyait une fille comme elle. Oui, elle voulait en savoir plus, et elle ne cacha pas son impatience.

- Eileen Rosenbach, toujours elle, décidemment il a une dent contre elle ton ami ? Quoi qu’il en soit ça m’intéresse ! Dis moi tout.

C’est à ce moment que le serveur réapparu, déposant devant eux les deux mojitos. Eileen attrapa son verre et le porta à ses lèvres, rafraîchissant oui, mais insipides, mal dosé, rien à voir avec les fabuleux cocktails de Vegas.





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