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« Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex

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MessageSujet: « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex EmptyMar 12 Oct - 21:21

    « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex Luke-33-luke-pasqualino-11070914-100-100
      " Us, together forever "
      Parfois, même quand plus rien n'est
      censé nous surprendre, le monde
      arrive à nous rendre fous de joie.




    « Où est Alex ? » Je ne fais que répéter cette phrase. Les autres se contentaient de hausser les épaules en se pinçant les lèvres. « Mais merde, il est où ? » criai-je tandis que résonnait le dernier appel dans l'aéroport. Je ne pouvais pas me permettre de partir en France pendant trois mois sans lui dire au revoir, c'était tout simplement inconcevable. Bela me couvrit d'un regard tendre, fraternel, tandis que mes yeux s'humidifiaient. Je devais partir, maintenant, j'allais rater mon vol. Il n'était même pas foutu de me dire au revoir, d'être à l'heure pour ça. Non. Cela ne lui ressemblait pas, il avait toujours été là pour moi, et cette fois, non. Il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond. Manon m'appela du haut des escaliers de l'avion. Je ne pouvais plus attendre. Je déposai un baiser sur les joues de chacun de mes petits chéris, qui étaient venus me dire au revoir, eux. Bela, Chat, Léna, Ebroubrou, Esmé et Léa me serrèrent dans leurs bras une dernière fois. Je leur murmurai « Je vous aime. ». Bela essuya d'un revers de manche la larme sur me joue, que je n'avais même pas sentie. Elle me murmura quelque chose du genre " il doit avoir une bonne raison ". Mais il était trop tard, je lui en voulais, beaucoup. Il comptait un peu trop pour moi pour me faire un coup pareil, et il le savait parfaitement. Lançant un dernier regard à ceux que j'aimais, je montais les escaliers de l'avion, mon sac sur l'épaule, ma robe flottant au vent. Je m'engouffrai alors dans l'avion, le ventre serré et les yeux humides. Je retenais mes larmes, mais n'était pas sûre d'y parvenir bien longtemps. Je n'aurais jamais dû choisir de faire cet échange, je ne supporterais pas la séparation avec mes Sigmas et mes parents. Je trouvais ma place assez rapidement grâce à une hôtesse. Une chance, j'étais à côté du hublot. Je pouvais apercevoir les silhouettes des accompagnateurs se diriger vers la sortie, tandis que l'avion s'apprêtait à décoller. Derrière moi, j'entendais Constance et Manon rire aux éclats. Je n'avais pas du tout la tête à cela.

    Je laissai tomber ma tête contre le siège, regardant au dehors. Nous avions décollé depuis plusieurs dizaines de minutes maintenant, et une lutte contre les larmes s'opérait toujours dans mon esprit. Je n'arrivais pas à accepter le fait qu'Alex n'ai pas été là. Il était tout pour moi, même s'il ne savait pas à quel point. Partir comme ça, c'était comme partir avec le cœur brisé : ça faisait mal. Revoyant notre dernière soirée près du feu, sa douce voix sur mes notes de guitare, je laissai les larmes couler, enfin, consciente que je n'étais pas assez douée pour contrer la nature. Me séparer de lui pendant trois mois était peut-être la solution à ces sentiments qui me dévoraient depuis quelques temps, après tout. Peut-être même qu'à mon retour, il aurait rencontré une fille merveilleuse de laquelle il serait tombé follement amoureux. Je chassai immédiatement cette idée de ma tête. Le voir dans les bras d'une autre m'achèverait. Et pourtant, combien d'années avais-je bien pu m'en foutre, qu'il ai des petites amies. Je lui donnais même des conseils, à l'époque. Je n'en étais même plus capable. Rapprochant mes genoux de ma poitrine, je coinçai ma tête entre mes genoux, pleurant toutes les larmes de mon corps après ce départ précipité et raté. Les nuages gâchaient totalement la vue pour l'instant, mais je me doutais que nous quittions presque le territoire américain, ce que l'hôtesse confirma quelques minutes plus tard au microphone. Je fermai les yeux. Je ne pouvais faire machine arrière, de toute façon. C'est ainsi que le sommeil m'emporta, rapidement. Je tombais de sommeil, c'était mieux que de passer le vol à pleurer.

    Je fus réveillée quelques heures plus tard, par Constance qui me secoua doucement l'épaule pour me dire que nous étions bientôt arrivées. Dormir m'avait fait du bien, il fallait croire, car l'excitation et la curiosité avaient pris le dessus sur la tristesse et les regrets. Lorsque l'avion se posa, tout le monde applaudit le pilote, et nos frenchies de Berkeley poussèrent même quelques cris de joie. Rangeant la couverture que j'avais prévue dans mon sac, j'attendais que la moitié des gens se soient levés pour en faire de même. Je n'aurais donc pas à traverser une foule épaisse. une silhouette au loin m'évoqua quelqu'un. Alexander ? Pff. N'importe quoi. Il fallait que je me calme, si je commençais déjà à avoir des visions, qu'est-ce que ce serait dans un mois ? Je descendis donc de l'avion, le cœur plus léger qu'au départ, riant même avec Evan en attendant mes bagages sur le tapis roulant. Ils mirent d'ailleurs un temps fou à arriver. Le bus qui allait nous guider jusqu'à la résidence universitaire n'arrivait que dans une demi-heure. Chacun vaqua donc à ses occupations dans l'aéroport. J'étais toute seule, c'est vrai que la plupart étaient partis en groupe. Je décidai alors d'aller prendre un diabolo fraise pour me requinquer. Rien de mieux que du frais et du pétillant pour réveiller les neurones, après tout. J'usai de mes quelques notions de français face à la vendeuse qui sembla amusée. Elle était la première française à laquelle j'étais confrontée sur le sol français, et elle me faisait une bonne impression. Tout était écris en français, ç'avait tendance à m'embrouiller. Je ne m'y connaissais pas trop, j'avais quelques bases grâce au collège, mais je venais en France dans le but de devenir bilingue. C'était un de mes rêves. Le français, puis apprendre l'Italien ensuite, et je serais comblée. Je m'installai à l'une des tables surélevées, sur un tabouret plutôt haut. Je m'apprêtais à prendre ma première gorgée de diabolo lorsque je sentis quelqu'un me prendre par la taille. je sursautai. Puis, un souffle se rapprocha de mon oreille..
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MessageSujet: Re: « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex EmptyMar 12 Oct - 21:49





« Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex 710« Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex L-P-Icons-luke-pasqualino-10133657-100-100

Daki & Alex♥
« Ou que tu ailles, ou que tu sois. Je serais toujours près de toi, d'une manière ou d'une autre ...»


Je me sentais pas aussi alaise que je le voudrais, j'aurais vraiment aimer pouvoir faire semblant de lui dire au revoir puisqu'en faite, je partais moi aussi en France, mais c'était vraiment impossible, elle se serait douté de quelques choses. J'étais dans mon coin, dans un endroit ou elle ne pouvait pas me voir, un mur était placé juste devant moi mais moi, je pouvais la voir. Elle était avec Bela, Charlie et d'autre amis à elle, je voyais très bien que quelques chose n'allait pas. Peut-être le faite, que je n'étais pas la pour lui dire au revoir, mais j'étais la. Je pouvais la voir et la voir aussi triste, me faisait vraiment mal au coeur. Moi qui voulait lui faire une surprise en y allant moi aussi. Mais nan, elle pleurait, elle pleurait à cause de moi. " Mais merde, il est où ? ", j'avais raison, elle avait l'air plutôt énervé et déçu. Je l'avais déçu encore une fois, je soupira et marcha vers l'avion en trainant le pas et en essayant d'être le plus loin d'elle pour ne pas qu'elle me voit. J'avais déjà dit au revoir à Bela et les autres hier, pour ne pas qu'ils s'inquiètent de ne pas me voir, Bela était au courant du faite que je venais mais que Dakota n'était pas au courant, elle a donc bien gardé le secret comme je le voulais.

Je monta dans l'avion et m'assit près du hublot, j'étais assis à côté d'un Français qui devait surement être un Français qui était venu à Berkeley. Je vis Dakota passé à côté de moi, je baissa la tête pour ne pas qu'elle me voit, je voulais vraiment garder la surprise pour tout à l'heure quand on sera en France. J'avais la tête posé contre le hublot, Dakota n'était qu'à deux rangé de moi, elle pleurait je l'entendais et cela m'énervait plus que tout. Je serrais avec force le siège, si il avait été en verre, je l'aurais surement déjà briser. Je déteste la voir pleurer comme ça, surtout à cause de moi. " Arrêtes de pleurer Dakota, je t'en supplie tu vas me rendre fou ... " Dis-je doucement, le français devait surement me prendre pour un fou, vu la façon dont il me regardait mais cela ne me posais aucun problème. Je ferma les yeux après avoir mis ma musique pour éviter de l'entendre pleuré et m'endormis doucement.

Je fus alors réveillé par l'hôtesse qui venait de nous dire d'attacher nos ceinture car on allait atterrir, me voilà maintenant en France. Je boucla ma ceinture et soupira doucement, la France le pays le plus beau d'Europe ou même du monde. Je me leva doucement une fois que l'avion ne se pose sur le sol français, je me dépêcha de sortir pour ne pas qu'elle me voit. Ce n'était pas encore maintenant, j'étais maintenant devant le tapis roulant ou les valises sortaient. J'attrapai la mienne et partit dans les toilettes, pour attendre un peu. Attendre qu'elle trouve sa valise et qu'elle soit seule même si elle est avec Constance. Après quelques minutes, je sortis des toilettes et regarda autour de moi. Je souris en la voyant assisse toute seule devant un diabolo non loin de moi. Je m'approcha doucement et posa ma valise sur le côté avant de posé mes mains sur ses hanches et d'approcher ma bouche de son oreille. " Tu croyais vraiment que j'allais t'oublier, Dakota ... Tu sais très bien que je déteste te voir pleurer, surtout à cause de moi ... " Dis-je doucement, elle tourna la tête et je lui fis un sourire au coin avant de lui déposé un baiser sur la joue. Je me posa ensuite à côté d'elle et demanda aussi un diabolo mais un diabolo menthe. Je joua doucement avec mes doigts. " Désolé de ne pas te l'avoir dit. Je voulais te faire la reprise mais quand je t'ai vu pleuré... J'ai su que ce n'étais pas un si beau cadeau ... " Dis-je en soupirant. C'est vrai que ce n'est pas du tout ma première attention de la rendre triste. Nan, j'aurais plus voulu qu'elle soit contente de me voir ici à Paris avec elle, mais j'ai un peu peur de sa réaction, j'espère qu'elle ne prendra pas mal le faite que je sois partit moi aussi à Paris sans lui dire ...
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MessageSujet: Re: « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex EmptyMer 13 Oct - 23:39

    « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex Luke-33-luke-pasqualino-11070914-100-100
      " Us, together forever "
      Parfois, même quand plus rien n'est
      censé nous surprendre, le monde
      arrive à nous rendre fous de joie.




    J'aurais pu reconnaître cette voix entre mille. Elle était unique, grave, douce, et merveilleuse pour moi. Mais c'était impossible, il ne pouvait pas être là, mon coeur eu un raté, et se mit à battre à une vitesse que je n'aurais pas pu imaginer possible avant de le vivre. « Tu croyais vraiment que j'allais t'oublier, Dakota ... Tu sais très bien que je déteste te voir pleurer, surtout à cause de moi ... ». Je sursautai à l'entente de ces mots. Il était décidément un peu trop merveilleux pour être réel, et dans ces moments-là, je ne pouvais empêcher mes sentiments d'éclater. Je me tournai sur mon tabouret, les yeux émerveillés et me retrouvait face au garçon le plus magnifique de l'univers. Il m'adressa son sourire en coin habituel, tellement charmeur sans le vouloir, j'en était totalement folle. Je restai presque bouche bée, et il s'approcha pour me déposer un baiser sur la joue. J'en profitai pour lui sauter dans les bras, le serrer le plus fort qu'il m'était donné de le faire. Je me nichai dans son cou, respirant son odeur qui enivrait tous mes sens. Une fois que j'eus relâché mon étreinte, il s'assit sur le tabouret d'à côté et commanda un diabolo menthe au serveur qui lui colla immédiatement aux fesses. Je n'arrivais pas à prononcer le moindre mot. Le surprise, mêlée à cette émotion indescriptible .. de l'amour, je crois, m'ôtaient tous les mots de la bouche. Je le vis jouer avec ses doigts, comme à chaque fois qui se sentait honteux et anxieux. Il ajouta, me regardant droit dans les yeux : « Désolé de ne pas te l'avoir dit. Je voulais te faire la surprise mais quand je t'ai vu pleurer ... J'ai su que ce n'étais pas un si beau cadeau ... ». Je baissai la tête en guise d'acquiescement. Pas un si beau cadeau, non, mais à la vue de ce qu'il venait, de faire, là maintenant, ce n'était plus qu'un lointain souvenir. Pour l'instant, ce que je voyais, moi, c'était qu'il m'avait fait une surprise plus que merveilleuse, et que nous allions passer trois mois tous les deux en France. Rien ne pouvait me remplir plus de joie, moi qui m'étais préparée à une longue séparation. Je prenais ses mains dans les miennes, pour lui éviter de continuer à jouer avec ses doigts. Je replaçai une mèche de ses cheveux, et mon émotion, un peu dissipée mais toujours aussi tranchante, me laissa enfin parler : « Tu es .. le meilleur de tous. Je crois que tu n'imagines pas ce que ça représente pour moi. Si tu veux le savoir, ça représente beaucoup. Je sais que j'ai pleuré, mais en même temps, tu savais bien que la séparation aurait été difficile .. On a jamais été séparés plus de deux jours depuis qu'on a cinq ans. Là, tu viens de me prouver que je pouvais toujours compter sur toi, toujours. ça n'a vraiment pas de prix. Je .. Je n'en crois tellement pas mes yeux .. » . Maintenant, c'était moi qui jouais avec ses doigts, ne cessant d'entrelacer les miens dans les siens. Je n'arrivais pas à le lâcher des yeux, et surtout, n'arrivait toujours pas à croire qu'il était là, à côté de moi. Mon Dieu c'était absurde, complètement absurde. Et pourtant, je me rendais à présent compte qu'être séparés pendant si longtemps aurait été trop difficile pour moi. Je pense que j'aurais craqué, sans lui. Il était tout ce qui faisait ma joie, un peu comme mon petit soleil personnel. Il allait illuminer ma vie à Paris. « Et dire que tu as réussi à manigancer tout ça sans que je me doute de rien, t'es un champion. Tu connais mon esprit fouineur, en plus. Je n'ai pas vu de valises, pas de toi à l'aéroport, je peux te dire que j'ai flippé comme une malade. Partir sans te dire au revoir, c'était trop dur, et monter dans l'avion, c'était comme avancer contre moi même. ». A ces mots, je retombais dans ses bras. Je sentais son cœur qui battait, au fond de sa poitrine et cela me fit sourire. Je le sentais toujours fébrile, anxieux. Il avait l'air de s'en être fait beaucoup pour moi. Enfin, je me trompais peut-être. Nous restâmes là, l'un contre l'autre en silence pendant cinq bonne minutes. Écoutant le flot des passagers de l'aéroport vivre en dehors de notre bulle à nous. Entendant l'hôtesse qui annonçait les vols en français. Les langages se mélangeaient ici et là, et moi, qui avais les yeux fermés, je ne prêtais attention qu'au son. N'importe quelle personne extérieure nous aurait pris pour un couple. C'est ce dont nous avions l'air, aux yeux des autres, et on nous le disait souvent. Malgré tout, nous continuions à nous comporter comme tel, car le regard des gens nous importait peu. Moi, de mon côté, en tous cas, leur pensées ne me dérangeaient pas, au contraire. J'aimais l'idée qu'on nous voit comme deux amoureux, car au final, c'est cette réalité dont je rêvais plus que tout, malgré que je sois incapable de l'avouer à mon meilleur ami, qui ne partageait sûrement pas mes sentiments. C'était difficile, après tant d'années à se côtoyer dans la fraternité la plus complète, de se rendre compte qu'il n'était plus le petit garçon de mon enfance, mais bel et bien un homme, qui plus est, l'homme de mes rêves. Cela rendait la vérité encore plus difficile à avour. Au bout de ce temps, je lâchai, entendant les battements de son cœur : « Qu'est-ce qui te rendait si anxieux, Alex ? Tu avais peur que je t'en veuille, que je te haïsse jusqu'à la fin de mes jours ? » dis-je en riant.
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MessageSujet: Re: « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex EmptyJeu 14 Oct - 7:16




« Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex 710« Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex L-P-Icons-luke-pasqualino-10133657-100-100

Daki & Alex♥
« Ou que tu ailles, ou que tu sois. Je serais toujours près de toi, d'une manière ou d'une autre ...»


Je savais que d'un côté, elle serait heureuse de me voir tout du moins, je l'espérais vraiment fort, passer 3 mois avec elle à Paris la ville la plus romantique que je connaissais. Il y a de quoi, espérer nan ?! Nan, il faut vraiment que j'arrête de penser à cela, ça ne se fera jamais car je ne penses pas qu'elle est les mêmes sentiments que moi. Sentiment qui me paraissent vraiment absurde quand j'y penses vraiment. Mais comment un garçon ne pourra pas tomber amoureux d'elle, elle est si magnifique, si gentille, un peu trop curieuse mais elle est tout simplement parfaite. Déjà le faite qu'elle vient de me sauter dans les bras, me montre bien que Dakii est une fille dont tous les mecs rêveraient. Je la serra contre moi, mes mains étaient dans le bas de son dos, ma tête enfuit dans les cheveux de Dakii. Nan, passer trois mois loin d'elle, je n'aurais pas pu. J'aurais surement pris l'avion pour venir la retrouver et éviter qu'elle ne tombe amoureuse d'un Français. Elle se recula doucement de moi avant que je ne m'assois sur le tabouret et que je commande un diabolo menthe. Je lui dis alors ce que je pensais, le faite que je savais que mon cadeau n'était pas si beau que ça. Elle avait pleuré, pour moi ... Ca m'énerve plus qu'autre chose quand j'y pense. " Tu es .. le meilleur de tous. Je crois que tu n'imagines pas ce que ça représente pour moi. Si tu veux le savoir, ça représente beaucoup. Je sais que j'ai pleuré, mais en même temps, tu savais bien que la séparation aurait été difficile .. On a jamais été séparés plus de deux jours depuis qu'on a cinq ans. Là, tu viens de me prouver que je pouvais toujours compter sur toi, toujours. ça n'a vraiment pas de prix. Je .. Je n'en crois tellement pas mes yeux .. " Je souris en l'entendant dire que j'étais le meilleur, si je l'étais vraiment. Je ne l'aurais pas fait pleurer n'est ce pas?! Je regardais mes mains qui étaient maintenant dans les siennes, je ne savais pas vraiment quoi répondre à cela, c'est vrai que je suis toujours là pour elle, en même temps je suis raide dingue d'elle, c'est un peu normal. Ensuite le meilleur, je ne penses pas, il y en a plein d'autre de gars meilleur que moi et c'est vrai que vivre loin d'elle. Je n'aurais pas pu, j'ose même pas l'imaginer. " Je ne suis pas le meilleur ... Passer trois mois loin de toi, j'ose même pas y penser. Quand tu serais revenu, tu m'aurais ramassé à la petite cuillère... Pourtant je suis là, et je ne comptes pas partir à moins que tu le veuilles toi. " Dis-je en souriant. Je la vis baisser la tête, j'avais raison mon cadeau n'était pas vraiment quelques chose de bien, mais je comptes bien me rattraper un jour ou l'autre. Après tout, j'ai encore trois mois pour lui faire un cadeau et j'espère que cette fois, elle ne pleurera pas sinon je serais vraiment le roi des imbéciles. Je la regardais dans les yeux, je ne pouvais pas regarder ailleurs, elle était si parfaite que cela me faisais presque peur, mon coeur battait comme il n'a jamais battu au paravent, si elle le découvrait elle me prendrait pour un fou. " Et dire que tu as réussi à manigancer tout ça sans que je me doute de rien, t'es un champion. Tu connais mon esprit fouineur, en plus. Je n'ai pas vu de valises, pas de toi à l'aéroport, je peux te dire que j'ai flippé comme une malade. Partir sans te dire au revoir, c'était trop dur, et monter dans l'avion, c'était comme avancer contre moi même. " Je sais que ce que j'ai fais est vraiment fort, passer près d'elle, entrer dans le même avion sans que celle-ci ne me vois. Je me sens plutôt doué sur ce coup là, elle se colla à moi. Elle était debout et devant moi sa tête dans mon cou, je suis sur qu'elle pouvait sentir mon coeur qui battait comme un fou, on dirait presque qu'il va sortir de mon corps pour aller rejoindre celui de Dakii. Je la serra le plus fort possible contre moi en évitant de lui faire mal, je déteste quand elle a mal, je déteste tout ce qui peut lui arriver. Mais j'aime quand les personnes qui se trouvent autour de nous croient que l'on forme un couple, si seulement c'était vrai. J'aurais été le plus heureux des hommes, j'aurais tout fait pour que cela arrive mais quand les sentiments ne sont pas réciproque. " Je suis juste doué ... " Dis-je avec un sourire au coin, je m'étonne vraiment à croire que l'amour donne vraiment des ailes. Qu'avec l'amour tu peux tout faire; même si ce n'est pas inhumain ce que j'ai fais c'est déjà fort pour moi. Elle se décolla de moi après cinq bonne minutes, ou on était seul tous les deux dans notre bulle à nous. " Qu'est-ce qui te rendait si anxieux, Alex ? Tu avais peur que je t'en veuille, que je te haïsse jusqu'à la fin de mes jours " Je baissa la tête honteux, non pas qu'elle me haïsse mais qu'elle me trouve trop envahissant, qu'elle me rejette car elle en aura marre que je sois tout le temps près d'elle. " Nan, j'avais que tu en es marre que je sois près de toi, que tu me trouves trop envahissant, car je sais que je le suis ... " Dis-je avec un sourire timide.
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MessageSujet: Re: « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex EmptyDim 17 Oct - 22:57

    « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex Luke-33-luke-pasqualino-11070914-100-100
      " Us, together forever "
      Parfois, même quand plus rien n'est
      censé nous surprendre, le monde
      arrive à nous rendre fous de joie.




    C'était vraiment absurde. Se retrouver tous les deux, au beau milieu de ce café d'aéroport à Paris, au milieu de tous ces gens de tous horizons, de tous styles. Je n'arrivais pas à me faire à l'idée qu'il était là devant moi et qu'il avait fait tout ça pour moi et uniquement pour moi. Comment vouliez-vous que dans ces moments-là, mes sentiments pour lui ne s'accroissent pas ? Il me donnait un peu plus d'espoir chaque jour, et même si je n'avais aucune chance d'être autre chose que sa meilleure amie pour lui, il ne m'aidait pas à m'empêcher de m'imaginer poser mes lèvres sur les siennes un jour. Le problème avec Alex, s'est qu'il était totalement adoré par tout le monde. En réalité, il avait un sacré nombre d'amies filles, avec qui il était attentionné, câlin et toujours à l'écoute. Je n'étais pas jalouse, non, mais j'avais juste l'impression, parfois, en dehors du titre officiel de meilleure amie, de n'être qu'une de ces amies parmi tant d'autres, une énième amie envers laquelle il était fidèle. Il était toujours difficile de savoir si vous étiez plus qu'une amie pour quelqu'un qui est déjà trop bien entouré. Surtout qu'il fallait préciser que toutes les filles qu'il fréquentait étaient juste magnifiques. Trinity, en particulier, était juste sublime. Elle était charismatique, bourrée de charme, ce qui me faisait descendre au seuil de morue pourrie sur le thermomètre de la beauté. Au final, je me prenais à rêver à quelque chose d'impossible, d'inaccessible, mais duquel je ne pouvais décrocher mes espérance. Coup du destin pour faire souffrir mon cœur déjà abîmé par mes quelques précédentes relations pleines d'échecs ? Sûrement, oui. « Je ne suis pas le meilleur ... Passer trois mois loin de toi, j'ose même pas y penser. Quand tu serais revenue, tu m'aurais ramassé à la petite cuillère... Pourtant je suis là, et je ne comptes pas partir à moins que tu le veuilles toi. » Je rougissai , mais baissai la tête pour qu'il ne remarque rien. Cela m'arrivait de plus en plus souvent, et j'apprenais peu à peu à contourner ce terrible élément qui pourrait totalement griller mes sentiments. Une fois que je sentis que la chaleur de mes joues s'était évaporée, je répliquai : « Tu es le meilleur, je persiste et signe. Et puis, après tout, c'est moi qui serait revenue en rampant, je pense. Tu aurais fini par retrouver une vie nouvelle sans moi à Berkeley. J'suis sûre que tu m'aurais vite oubliée. Enfin, oui, tu as raison, l'important, c'est que tu sois là, et que je ne veuille pas que tu t'en ailles, ce qui est le cas. Si tu t'éclipse de nouveau je deviendrais particulièrement méchante. » Je ris à ces propos. Je ne savais pas comment j'avais pu faire pour ne pas me rendre compte que je l'aimais plus tôt. Au final, j'avais toujours eu cette sensation d'être incomplète, d'être contre ma volonté dans mes anciennes relations, même si les garçons m'avaient toujours plû. C'était comme si à chaque fois, quelque chose m'avait bloquée, m'avait poussé à rendre les choses plus difficiles alors qu'elle auraient pu être simple. Tout cela, c'était parce que mon coeur était déjà pris, au final, et que même si je m'étais longtemps menti à moi-même, il y avait des choses qu'on ne pouvait pas se cacher. Je dévorais ses lèvres tandis qu'il se disait doué, quant à sa surprise. « Tu as du talent jusqu'au bout des ongles, même ! » Je lui souris légèrement. Je pouvais presque imaginer la façon dont mes yeux pétillaient. Rien qu'à la vue de sa silhouette au loin, mon cœur battait toujours à cent à l'heure. Vous imaginiez donc mon état actuel. Il ne semblait pas si fier de lui, et il m'avoua ce qui lui avait fait un peu peur, dans l'élaboration de son plan. « J'avais peur que tu en ai marre que je sois près de toi, que tu me trouves trop envahissant, car je sais que je le suis ... » . Je me détachai immédiatement de lui à ces propos affolants et totalement idiots. J'ouvris la bouche en grand pour lui montrer ma surprise, et croisai les bras avant de dire : « Monsieur Alexander Calvin Wilson. Je veux à partir d'aujourd'hui que vous arrêtiez de penser que vous êtes envahissant, où tout autre adjectif synonyme. Vous êtes mon meilleur ami, l'homme qui compte le plus à mes yeux, et vous osez prétendre que je vous trouverais envahissant, et que vous l'êtes ? Cessez donc vos inepties, vous êtes idiot. Je tiens à vous, et je me fous que vous me colliez au train, parce qu'en toute circonstance, j'aime ça, et votre compagnie me rend heureuse. »
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MessageSujet: Re: « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex EmptyLun 18 Oct - 19:15



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Daki & Alex♥
« Ou que tu ailles, ou que tu sois. Je serais toujours près de toi, d'une manière ou d'une autre ...»



Je la regardais en souriant, qu'est ce que j'aurais pu faire d'autre à part lui sourire. J'aurais aimer pouvoir poser mes lèvres sur les siennes, mais je voyais déjà la gifle m'arriver en pleine figure. Combien, je m'en étais pris quand je larguais une fille... Une bonne dixène car au final aucune fille ne m'allait vraiment, la seule qui je suis sur serait mon idéal est ma meilleure amie. Certes les meilleurs amis finissent la plupart du temps ensemble, mais je ne pense pas que cela marchera pour moi et Dakii. C'est simple, elle est bien trop merveilleuse pour moi, je n'ai rien de spécial a part mon talent pour la musique. Je n'ai jamais eu de chance dans l'amour, même si beaucoup de filles sont mes amies mais c'est juste parce que je les écoutes et aussi parce que je suis assez câlin, mais la meilleure de toutes. C'est bien Dakota, elle elle sait tout de moi, et puis elle se n'est pas pareil, j'en suis complètement accro. « Tu es le meilleur, je persiste et signe. Et puis, après tout, c'est moi qui serait revenue en rampant, je pense. Tu aurais fini par retrouver une vie nouvelle sans moi à Berkeley. J'suis sûre que tu m'aurais vite oubliée. Enfin, oui, tu as raison, l'important, c'est que tu sois là, et que je ne veuille pas que tu t'en ailles, ce qui est le cas. Si tu t'éclipse de nouveau je deviendrais particulièrement méchante. ». Je souris en entendant ses paroles, cela me faisait vraiment plaisir, même si la fin m'a un peu refroidit comme si j'allais l'oublier en l'espace de trois mois, c'est complètement absurde et crétin. Pour oublier une fille comme elle, il faut bien deux vies je penses. Même ses ex, je ne sais pas comment ils ont pu la quitter. Mais tant mieux pour moi, je ne supportais pas de la voir avec un autre garçon que moi. « Tu racontes vraiment n'importe quoi, je n'aurais pas pu t'oublier voyons. C'est complètement absurde, c'est impossible de t'oublier surtout que j'ai passé mon enfance avec toi alors je serais vraiment fou pour t'oublier ... » Dis-je en lui prennant une main, elle était d'ailleurs assez froide, c'est pour cela que je la frottais doucement dans mes deux mains pour pouvoir la rechauffer moi qui suis tout le temps chaus même en hivers une vrai bouillotte, je vous le jure. En hivers, Dakii se rapprochait souvent de moi pour que je lui rechauffe les mains, le bout du nez, elle posait toujours sa tête dans mon cou et ses mains dans mes poches. Alors maintenant, vous comprenez pourquoi on nous considère comme un couple, et j'aimerais vraiment que cela arrive. « Tu as du talent jusqu'au bout des ongles, même ! » Je rigola doucement, c'est vrai que je suis assez doué avec mes mains, mais c'est juste parce que j'ai commencé la musique vraiment tôt et parce que j'aimais ce que je faisais, sinon j'aurais très vite baissé les bras. Je me connais par coeur, d'ailleurs cela fait bien longtemps que j'ai arrêté de penser qu'un jour je pourrais être avec Dakii. Le rêve s'est beau mais à la fin cela fait toujours mal, surtout quand cela ne se réalise pas... Elle leva la tête et ouvrit grand la bouche, un nid de mouche aurait pu s'y installer à son aise. Ce que je lui avais dis avait du la choquer mais des fois, j'ai vraiment l'impression d'être trop collant. « Monsieur Alexander Calvin Wilson. Je veux à partir d'aujourd'hui que vous arrêtiez de penser que vous êtes envahissant, où tout autre adjectif synonyme. Vous êtes mon meilleur ami, l'homme qui compte le plus à mes yeux, et vous osez prétendre que je vous trouverais envahissant, et que vous l'êtes ? Cessez donc vos inepties, vous êtes idiot. Je tiens à vous, et je me fous que vous me colliez au train, parce qu'en toute circonstance, j'aime ça, et votre compagnie me rend heureuse. » Je lui fis un de mes sourires au coin avant de prendre sa tête et de la poser dans mon cou, je lui souriais doucement avant de lui faire un de mes câlins les plus tendre. Des fois, je pouvais être vraiment stupide, mais il paraît que cela fait partit de mon charme alors c'est un bon point pour moi. Ce qui m'a fait le plus plaisir c'est quand elle m'a dit que j'étais l'homme qui comptait le plus à ses yeux, elle ne peut pas savoir à quel point ses mots me faisais du bien. « Je suis en quelques sortes l'homme de ta vie, enfin pour moi tu es la femme de ma vie. La plus merveilleuse de toute et la plus belle. Aucune fille ne t'arrive a la cheville... » Je ne m'étais même pas rendu comptes de mes paroles, je lui avais en quelques sortes dit qu'elle était celle qui me fallait, j'espère qu'elle ne se barrera pas en courant, sinon je serais briser de partout.

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MessageSujet: Re: « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex EmptyMar 2 Nov - 18:21

    « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex Luke-33-luke-pasqualino-11070914-100-100
      " Us, together forever "
      Parfois, même quand plus rien n'est
      censé nous surprendre, le monde
      arrive à nous rendre fous de joie.




    Son sourire me fit, moi aussi, sourire. J'aimais bien quand il souriait. C'était peut-être bête, mais c'est le genre de choses qui vous raccrochent à une personne : un tic, une manie, ça peut devenir une chose énervante pour l'entourage, mais aussi un outil de charme. C'était le cas pour Alex. Quand il parlait, sa bouche avait tendance à remonter en un sourire malin du côté droit, c'était quelque chose qui me rendait folle, et qui me faisait littéralement fondre, même si mes talent de comédienne m'aidaient bien à masquer cette attirance. J'aimais aussi quand il était contrarié, et qu'il fronçait les sourcils. ça lui donnait un charme fou, et franchement, même si je détestais le voir pensif et triste, il y avait toujours ce petit tic qui me faisait légèrement sourire. « Tu racontes vraiment n'importe quoi, je n'aurais pas pu t'oublier voyons. C'est complètement absurde, c'est impossible de t'oublier surtout que j'ai passé mon enfance avec toi alors je serais vraiment fou pour t'oublier ... » Il n'avait pas tort, comment oublier sa meilleure amie, celle avec qui on avait tout partagé ? Mais en même temps, il y avait plusieurs manière d'oublier les gens. On oubliait certains parce qu'ils ne nous avaient pas marqué, c'est sûr, mais on pouvait aussi "oublier" quelqu'un dans le sens où, même si les souvenirs restaient, les sentiments, amicaux ou amoureux, passaient. Et c'était de cette manière que je ne voulais pas qu'il m'oublie. Je vivais dans la terreur constante qu'un jour, il s'éloigne. Je savais que quand il aurait une relation stable avec quelqu'un, un jour, cela arriverait, et j'étais incapable d'imaginer que je le supporterais. C'était la raison pour laquelle j'espérais que ce quelqu'un, ce soit moi. Pendant ses paroles, il avait attrapé ma main, et l'avait coincée entre les siennes. Je m'émerveillais toujours de la bouillotte humaine qu'il était. Si on avait été dans un monde surnaturel à la Stephenie Meyer, il aurait été sans aucun doute un loup-garou. Je passais mon temps à m'inquiéter pour lui, ayant l'impression qu'il était toujours malade ou fiévreux, même si je savais que c'était normal chez lui. C'était un avantage, en hiver, je devais dire. Il ne le savait pas, mais il m'était arrivé, lors des nuits trop froides de cet hiver, de venir à côté de lui pour dormir tellement j'étais frigorifiée. Il ne se rendait jamais compte de rien, parce qu'il dormait toujours comme un bébé. Bon, il était vrai qu'une fois allongée à côté de lui, je mettais souvent un bon bout de temps à m'endormir, parce que je ne pouvais pas m'empêcher de le regarder dormir. Il était tellement chou. C'était le genre de choses que je me permettais, de temps en temps, parce que je savais qu'il n'était pas au courant, et donc que ça ne grillerait aucunement mes sentiments pour lui. J'avais de la chance. Moi qui était une aventurière dans l'âme, j'adorais courir ce genre de risques, parce que ça rendait notre relation plus pimentée, et que ça me mettait en danger, sans jamais mettre en danger notre amitié, parce que j'y tenais trop pour la perdre.
    Suite à mon monologue, il semblait déconcerté. Il ne s'attendait sûrement pas à ce que je lui réponde que je ne le trouvais pas collant du tout. Le jour où je le traiterais de limace, il devrait peut-être s'inquiéter, mais je ne comprenais même pas pourquoi il s'était posé la question, c'était totalement idiot, complètement fou. Raah, les garçons, ils nous surprendront toujours, pas vrai ? On passe notre temps à voir les femmes comme les plus compliquées, mais ce n'est rien d'autre qu'une pure ineptie. Les garçons le montrent moins, c'est tout. Moi qui avais la chance d'avoir des amis garçons, j'avais souvent remarqué cela, et contredisait dorénavant tous les gens qui assuraient que les filles étaient les plus compliquées. Il prit mon cou entre ses mains, et, doucement, m'attira contre lui, et me serra de toutes ses forces. Que je pouvais aimer ça, ça aurait dû être interdit par le destin d'être autant amoureuse. Nan mais ho, j'étais pas si niaise comme ça, mais ma tête partait plus qu'en vrille quand il me faisait ces coups-là. Puis, suite à mon aveu sur sa place dans ma vie, il déclara : « Je suis en quelques sortes l'homme de ta vie, enfin pour moi tu es la femme de ma vie. La plus merveilleuse de toute et la plus belle. Aucune fille ne t'arrive a la cheville... » Il n'avait pas le droit de dire ça. Comment pouvait-il me troubler ainsi ? Mon cœur partit littéralement en vrille, et je remerciai Dieu de ne pas être fragile au niveau cardiaque. Je ne savais pas ce que je devais penser de ses mots. Le connaissant, ils pourraient tout aussi bien être amicaux qu'amoureux. J'optai pour la première hypothèse. J'étais sa meilleure amie, la personne qui le connaissait le mieux, peut-être qu'il disait que j'étais la femme de sa vie, uniquement dans ce sens là. Quant aux autres compliments, il se trompait .. J'étais loin d'être la plus belle, et encore plus loin d'être la plus intéressante. Mais c'était lui qui l'avait dit, alors même si je ne croyais pas en ses mots, il était le seul qui pouvait les rendre agréables à entendre. Dans ses bras, j'étais prête à tout croire, même le pire de tous les mensonges. C'était sûrement un défaut. Mon visage s'était complètement empourpré, et encore une fois, j'attendais de sentir toute trace de chaleur disparaître pour relever mon regard vers lui. Je posai ma main droite sur sa joue, et déposait un baiser au coin de sa bouche. Je ne saurais dire si je l'avais fait exprès ou non. J'attrapai mes valises, et dit « Dépêches-toi, beau brun, on va rater notre bus .. »

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MessageSujet: Re: « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex EmptyJeu 11 Nov - 11:44



« Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex 710« Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex L-P-Icons-luke-pasqualino-10133657-100-100

Daki & Alex♥
« Ou que tu ailles, ou que tu sois. Je serais toujours près de toi, d'une manière ou d'une autre ...»


Je la regardais en souriant, comment ne pas sourire devant elle, c'est vraiment impossible. Elle si jolie et pourtant, elle ne me regarde pas enfin elle ne me regarde pas comme je voudrais qu'elle me regarde. Si seulement j'avais le courage de lui dire ce que je ressens pour elle, mais c'est complètement impossible. J'aurais vraiment trop peur de la perdre si mes sentiments pour elle ne sont pas réciproque. Ce serait vraiment trop bête de gâcher une si grande amitié pour des sentiments aussi fort et qui ne sont pas réciproque. Le pire dans tout ça, c'est qu'elle croit que je puisses l'oublier c'est complètement absurde n'est ce pas. Comme si on pouvait oublier celle qu'on aime, c'est complètement fou. Je lui fis un de mes sourires au coin après lui avoir répondu, et l'attira vers moi doucement pour enfin la serrer dans mes bras aussi fort que je le pouvais sans pour autant essayer de la tuer. C'est vrai, que j'étais en quelques sortes l'homme de sa vie. D'une certaine façon, en tous cas enfin je l'espèrais plutôt en tous cas de mon côté. Elle est la femme de ma vie, sans elle je ne serais plus Alexander Calvin Wilson, un jeune Italien tomber amoureux d'une Américaine, qu'elle bonheur n'est ce pas. Elle posa sa main sur ma joue avant de me déposer un baiser au coin des lèvres, mon coeur loupa un battement, elle voulait vraiment que je meurs d'une crise cardiaque. Elle ne peut pas se douter de l'effet qu'elle me produit à chaque fois qu'elle me fait ça. Elle se leva d'un coup avant de prendre sa valise. « Dépêches-toi, beau brun, on va rater notre bus .. » Je rigola doucement et attrapa la mienne avant de courire à côté d'elle et de prendre sa main pour accélérer un peu plus. On arriva pile à l'heure avant que le bus ne part. On monta dans le bus et on partit s'asseoir dans le fond, pour une fois qu'il était libre. Je me suis mis près de la fenêtre, avant je déposa mon sac au dessus de notre tête et je pris la valise de Dakota et la mit aussi. Avant de me laisser tomber sur le siège, je tourna la tête vers Dakota et sourit. « A moi, les jolies Françaises ... » Dis-je en rigolant, pourquoi j'avais dit ça bonne question, je ne sais pas vraiment mais me connaissant par coeur, je voulais mettre un peu d'humour entre elle et moi comme d'habitude. « Tu sais que je rigoles bien sur ... » Dis-je en lui faisant un clin d'oeil.
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex « Tu y crois, toi , toi et moi à Paris ? » • pv Alex EmptyDim 13 Fév - 20:15

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