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Give me my paper - Bradley T. Cooper

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MessageSujet: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper EmptySam 13 Mar - 14:20

Give me my paper - Bradley T. Cooper 168hf0p-19c9f96 Give me my paper - Bradley T. Cooper 000k4wq9-10d0854
(c) Livejournal
Une amitié née des affaires vaut mieux qu'une affaire née de l'amitié.
David Rockfeller


Les cours, un synonyme de détresse, d’ennui, de déprime et que pourrais-je bien encore dire ? De suicide ? Enfin bref, vous avez compris que je soin loin d’aimer ça. Pour tout vous dire, ça ne m’étais jamais venu à l’idée d’étudier encore très longtemps. J’ai déjà eu beaucoup de peine à obtenir mon diplôme lors de ma dernière année de lycée à Los Angeles alors autant vous dire que je doutais qu’une université quelconque veuille de moi. Mais, quand on est riche, tout le monde le sait, il ne faut pas forcément l’intelligence. De nos jours, l’argent fait tout et c’est sans doute pour cette raison que la plupart des gens courent après le fric – je ne nie pas que moi non plus. Mon frère jumeau avait été accepté à Berkeley, la même fac que je voulais intégrer et laquelle a bien voulu de moi. Bien entendu, après une « petite » somme versée de ma mère sur le compte de Berkeley. Et puis, sincèrement, si je n’avais pas voulu faire d’études supérieures, ma mère l’aurait très mal pris. Elle n’a jamais veillée sur mon frère ou moi cependant, la seule et unique chose qui l’a toujours intéressée n’est autre que la réputation qu’on peut donner à la famille Johansten. Très connue de la Californie, elle n’est pourtant pas plus appréciée. Déjà par notre richesse qui fait plus d’un jaloux et aussi par la classe et la prétention de ma mère qui n’a toujours vu que l’extérieur des gens qu’elle peut côtoyer. Autant dire que la famille Johansten a plus d’ennemis que d’amis.

Je m’étais absenté une année de Berkeley dans le but de partir pour New York. Une ville reconnue pour ses immenses buildings et ses taxis jaunes. C’est vrai, de ce point de vue je n’ai pas du tout été déçu de voir qu’il vous suffit de lever le bras pour que cinq taxis se pointent dans les secondes qui suivent votre geste. Mais, contrairement à beaucoup de personnes, si j’avais fait ce voyage pour New York, ce n’était pas pour apprécier la ville et prendre le temps de visiter ses moindres recoins. Au contraire, j’y étais allé pour percer dans le monde du cinéma puisque j’ai toujours aimé être la tête d’affiche de n’importe quel événement et parce que j’aime me faire distinguer d’une foule de plusieurs personnes.
De plus, le cinéma a toujours été une passion pour laquelle je me suis battu contre ma mère qui trouvait cela plus que ridicule. Au fond, je n’en ai jamais rien eu à faire de ses avis parce que même si cette femme m’a mis au monde, elle n’a jamais été une mère pour moi. La seule chose que j’ai pu lui apporter c’est de pouvoir dire : « regardez mon fils comme il est beau ».

Bref, revenons à New York. J’étais accompagné de Moira, ma manager qui s’est chargée de me trouver des castings tout au long de mon séjour dans cette immense ville. Par chance, elle m’en a trouvé plusieurs et j’ai été retenu sur deux films. Par ailleurs, deux films qui ont fait un immense carton dans le box-office mondial. C’est de cette façon que je suis devenu mondialement reconnu. On aurait pu croire que par ces prestations qui laissent un certain potentiel je n’aurais eu aucun mal à trouver de nouveaux rôles mais dans le monde du cinéma, ce n’est pas forcément de cette façon là que ça fonctionne, malheureusement. Contrairement à ce que j’avais pensé, mon succès dans ce monde là s’arrêta après mon second film qui parlait de la guerre en Irak. J’ai bien eu de nouvelles propositions mais c’était loin d’être de gros films avec un budget impression. J’étais même persuadé que ces films que l’on me proposait n’allaient jamais voir le jour. Et j’ai bien eu raison d’avoir pensé ceci puisque depuis, je n’ai pas eu de nouvelles de ces films.

Aujourd’hui, me revoilà à Berkeley. Etudiant redoublant en deuxième année de médecine. Malgré tout, je n’ai pas tout perdu dans ce monde de strass et de paillettes puisque je viens de signer ce gros contrat pour la marque Hemerson. Marque de vêtement pour laquelle je suis devenu en une simple et rapide signature la nouvelle égérie masculine.
Mais revenons-en un peu à la réalité. La sonnerie de Berkeley venait de retentir dans tout le bâtiment et en à peine quelques secondes, on entendit un bruit de porte se classer ce qui voulait dire que les classes venaient de s’ouvrir et que chacun se ruait à l’extérieur pour profiter du week-end qui démarrait. Je fus l’un des premiers à quitter ma classe et je me dirigeai vers les casiers afin de déposer mes affaires. Pour une fois, je n’avais pas été viré du cours d’histoire. Mais ce n’est pas pour autant que j’ai retenu quelque chose bien que mon professeur d’histoire m’ait interrogé à de nombreuses reprises sur la matière que nous étudions soit la deuxième guerre mondiale. Ce dernier pensait que, parce que j’ai tourné dans un film de guerre, je suis devenu une nouvelle encyclopédie sur les guerres. Autant vous dire que de tourner dans un film pareil ne m’a rien appris sur l’histoire mais plutôt à savoir comment font les soldats pour survivre, comment on charge une arme et j’en passe.
Je descendais les marches une à une pour me retrouver à l’étage inférieur là où se trouvait mon casier quand je reçu un appel sur mon I-Phone. Je décrochai ce dernier et me plantai dans un coin du couloir afin de déranger personne mais, manque de chance les footballeurs de Berkeley étaient dans les parages et, toujours accrochés à leur ballon, ils se faisaient des passes dans les couloirs. Manque de chance, un sportif ne me vit pas et me percuta ce qui fit tomber mon portable parterre ainsi que mon dossier remplit de feuilles. Evidement, les feuilles étaient plus au moins… partout.

THOMAS : « T’excuse pas surtout ! »
SPORTIF : « Oh je suis vraiment désolé mec ! »
THOMAS : « Ouais ouais c’est bon casse-toi ! »

Je m’abaissai afin de ramasser mon portable. Je regardai si mon interlocuteur était toujours en ligne mais apparemment ce n’était pas le cas. Le choc avait du couper la connexion. Je plaçai mon portable dans ma poche puis je commençai à ramasser mes feuilles les chiffonnant encore plus qu’elles ne l’étaient déjà. Pendant ce temps, les couloirs s’étaient vidés, il ne restait plus grand monde et c’était tant mieux. Cela m’éviterais de me faire bousculer une nouvelle fois.
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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper EmptyDim 14 Mar - 12:42

Give me my paper - Bradley T. Cooper 168hf0p-19c9f96 Give me my paper - Bradley T. Cooper 000k4wq9-10d0854
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    Les cours étrangement le beau blond qu’était Bradley aimait ça, enfin le mot est peut être fort, mais comme il travaillait dans une branche qui lui plaisait il allait le plus souvent en cours sans trainer des pieds. Je dis bien le plus souvent car il est vrai que certains cours obligatoires ne lui plaisent pas le moins du monde, pour n’en cité qu’un, le cours de droit familiaux. Je vais rapidement vous expliquer pourquoi, tout le monde sait que Bradley est le fils d’un grand homme d’affaire, le genre d’homme d’affaire qu’ici on respecte énormément car il est un self made man. Partant de rien il a petit à petit monté son empire pour arriver en haut de la fiche. Bradley lui n’avait donc jamais connu la pauvreté, les problèmes familiaux et tout ce que certaines personnes vivent durant leur jeunesse ou plus généralement dans leur vie. Alors comme Bradley été un peu nombriliste et bien s’occuper des affaires de familles des autres pas trop pour lui. Quand on sait que durant le cours d’affaire de famille les élèves doivent étude des cas assez spéciaux, la mère se drogue mais veut la garde des enfants, comment voulez vous défendre ça ? Certains ont la fibre et iront fouiller les problèmes du père, d’autres comme Bradley ne l’ont pas est préféreront avoir 0.
    Ah oui j’oubliais, Bradley étudie le droit, est là c’est le drame non ? Parce que si il n’est pas capable de défendre une femme qui n’a pas beaucoup de vice comment veut il s’en sortir dans de grosses affaires ? Et bien étrangement dans les études de cas ou il faut défendre un criminel de guerre, un triple meurtrier, un violeur en série, et bien à chaque fois il y arrive. L’explication ? Bradley sait défendre, sa facilité à parler lui permettra d’embobiner n’importe qui, si en plus il y a des nanas dans l’assemblés un petit sourire et hop elles sont conquises. Mais lui il lui faut absolument des affaires médiatiques. Je terminerais donc ma plaidoirie en disant que son objectif et simple et modeste à la fois (ironie quand tu nous tien), il veut être le plus grand avocat d’Amérique et même plus, être l’avocat des intérêts Américains dans le monde, autant dire qu’il y a encore 4 ans d’école et 6 ans de formations …

    Là ou Thomas et Bradley se rejoignaient c’est qu’ils avaient tout les deux envie d’être reconnu, oui Thomas lui voulait être connu dans le monde du cinéma, un endroit difficile, un endroit ou pour survivre il faut toujours être à l’affiche mais pire que ça, il ne faut jamais se tromper dans ses choix. Oui si vous faites un film qui ne plait pas, de part son scénario ou autre chose et bien vous tombez, tout le monde vous oublie. Oubliant même toutes les réussites, qui pourtant devraient faire largement le poids face au seul échec. Mais non tout comme dans le mode du droit, on retient plus les échecs cuisants que les réussites triomphantes.
    Dans les deux métiers on choisissait ce que l’on voulait faire, Thomas lui pourra tranquillement choisir ses films, après mur réflexion il pourra dire « Je le fais » ou « Aucunes chances de me voir sur l’affiche », Bradley lui aussi pouvait choisir les clients, les chois se feront de la même façon la chance de réussite et surtout la chance de médiatisation.

    Tout comme Thomas finit les réflexions sur le futur, revenons à la réalité, la dure réalité même si il faut avouer que Bradley adore sa vie de jeune étudiant. Comment ne pas l’apprécier ? Franchement il est riche, beau, sportif et populaire à l’université, tout pour être heureux. La seule chose qui dérange notre beau gosse national est le fait qu’il soit dépendant de ses parents, il trouve qu’il a vécu grâce à l’argent de ses parents depuis trop longtemps. Et même si maintenant son père ne lui donne plus de sous, il vit de rente et d’action qu’il lui a offert à différent moment de sa vie. Contrairement à beaucoup de fils de riche (ou même de fille), Bradley ne supporte pas d’être le fils de, même si son père n’est pas une star, quand il sera grand avocat tout le monde dira « C’est grâce à son père… ».Malheureusement ils n’auront pas tord, qui a donné de l’argent pour que Bradley entre à Berkeley ? C’est papa, et oui les notes et le comportement du jeune homme ne plaisant pas du tout au directeur de Berkeley.
    Berkeley, l’endroit ou retentissait la sonnerie de fin de cours, Bradley lui finissait sa journée, et oui c’est ça d’avoir un emploi du temps de sportif, les cours sont regroupé le matin pour pouvoir s’entrainer l’après midi, c’été ce qui plaisait à Bradley. Dans cette ville il faisait souvent beau, alors quoi de plus agréable que d’être dehors toute l’après midi ? Sa vous donne un teint bronzé et vous devenez encore plus beau gosse que vous ne l’êtes. Seul problème quand on est sportif, les aprioris tout le monde pense que vous êtes un bourrin et pourquoi ça ? A cause des footballeurs Américains, toujours entrain de jouer dans les couloirs, bousculant tout le monde. Les basketteurs eux sont plus tranquilles, le ballon étant trop lourd pour risquer de le lancer dans des couloirs.

    Ils venaient de faire des leurs encore une fois, ils venaient de bousculer un jeune garçon que Bradley n’avait pas encore reconnu. Il décide de venir l’aider, il fallait tout de même redorer le blason des sportifs, bien que pour être franc ils se moquaient pas mal de ce que certains disait d’eux, ils étaient dans les gars les plus populaires alors ils avaient bien le droit de se permettre des choses que d’autres n’oseraient jamais faire … même les choses les plus débiles.
    Il se baissa pour ramasser et regarda l’homme c’été Thomas.

      Bradley dit : « Salut ! »


    Il connaissait Thomas et son frère jumeau, les deux étaient en froid, voilà pourquoi il ne savait jamais comment se comporter avec Thomas, parfois il été sympa, puis dès que son frère arrivait il devenait odieux, agressif, un peu lunatique comme mec non ?
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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper EmptyDim 14 Mar - 17:42

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Une amitié née des affaires vaut mieux qu'une affaire née de l'amitié.
David Rockfeller


Je ne suis pas du genre bagarreur mais c’est vrai qu’il en faut très peu pour me pousser à bout. Du genre impulsif, j’ai été mêlé à de nombreuses bagarres, aussi bien dans l’enceinte de Berkeley qu’à l’extérieur. En même temps, même si je suis l’un des garçons les plus populaires de l’établissement, je suis aussi l’un des garçons que l’on peut le moins aimer. Je suis riche, je suis beau, toute les filles se mettent à genoux devant moi dès que je leur adresse un sourire, autant dire que cela a de quoi en énerver plus d’un. La jalousie, quel magnifique défaut ! Et pourtant, moi-même il m’arrive d’être jaloux. Oui, je suis jaloux quand une fille me plait et qu’un autre s’en approche d’un peu trop près à mon goût. J’ai connu très peu de filles qui m’ont fait cet effet là car pour être franc, les filles n’ont jamais beaucoup compté pour moi si ce n’est lorsqu’elles crient dans mes bras. Je ne suis encore jamais tombé amoureux sauf, cette fois-ci, lorsque la fameuse Soukaïna James étudiait dans les murs de Berkeley. Elle fut sans doute mon seul amour, un amour pour lequel j’ai traversé le monde pour la retrouver après son départ précipité. Elle avait un mari et deux enfants à sa charge et pourtant, cela n’a rien changé, il y a toujours eu quelque chose entre nous. Malgré tout, elle ne pouvait nier ses responsabilités voilà pourquoi elle avait définitivement quitté la Californie pour l’Europe, plus précisément la France. J’avais tenté de la retrouver, parce que je l’aimais mais c’était comme si elle avait disparu de la surface de la Terre. Avant elle, il n’y avait eu personne, ou alors, peut être Chelsea C. Safton. Nous avions vécu quelque chose ensemble certes mais pour moi, ça n’avait jamais été très sérieux. Je ne me voyais de toute manière pas entreprendre une relation en étant aussi jeune, je voulais encore profiter de ma jeunesse voilà pourquoi, en cordiale entente, nous avions décidé de nous séparer.

En ramassant mes feuilles sur le sol, je repensais à tout ça ainsi qu’au week-end que j’avais passé il n’y a pas si longtemps en compagnie d’Heavynne mais je repensais surtout à ce sportif qui m’avait bousculé et qui m’obligeait à me mettre parterre pour ramasser mes feuilles. Oui, d’accord, il s’était excusé mais il aurait au moins pu s’arrêter pour ramasser mes feuilles. En l’espace d’une instant, j’hésitai même à les laisser parterre car de toute manière elles ne me sont pas d’une très utilité vu que je révise que très rarement mais pour finir, je me résignai à les ramasser parce que sinon, j’étais presque persuadé que le concierge allait les récupérer et les donner à mon professeur d’histoire qui allait se faire une immense joie et m’ennuyer encore plus qu’il ne le fait déjà. Autant dire que je préférais largement ramasser ces feuilles plutôt que de devoir écouter encore des leçons de morale que pouvait donner ce professeur. Des leçons qu’il devrait tout d’abord en tenir compte lui-même.

Alors que je ramassais une feuille sur la dernière marche du grand escalier, un jeune homme s’abaissa à mon niveau pour ramasser une autre fiche d’exercice. Je trouvais cela plutôt bizarre car personne dans cette université n’aurait pris la peine de m’aider. Même mes propres amis, quoique certains pourraient bel et bien le faire comme Maxwell par exemple… Je relevai la tête histoire de voir qui m’avait aidé et c’est là que je croisai le regard de Bradley. Je fus assez surpris qu’il m’aide voilà pourquoi je resté silencieux tout en le regardant avant qu’il ne prononce ces quelques mots.

BRADLEY : « Salut ! »

Nous sommes arrivés plus au moins en même temps à Berkeley et très vite, nous nous sommes liés d’amitié. Il faut dire que j’ai de nombreux points communs avec le jeune homme et que nous avons toujours su nous entendre. On rigolait bien ensemble et puis, il a fallu qu’il se trouve un autre ami. Devinez qui ? Nick… Ouais, le plus stupide des Johansten mais aussi celui qui s’est toujours fait adoré de notre mère. Ayant de très mauvaises relations avec lui, je ne pouvais pas me mettre en tête que mon ami passait de plus en plus de temps avec Nick. Sans compter que Bradley me parlait quelques fois de trucs qu’il avait faits avec son nouveau meilleur ami. Autant dire que ce genre de chose me mettait toujours dans un état de colère démesuré. Oui, c’est l’effet que cela me fait dès que je croise Nick ou que j’entends son prénom quelque part. Malgré tout, je pris la feuille qu’il me tendit pour la remettre avec les autres déjà en ma possession.

THOMAS : « Merci mais je crois bien que tu t’es trompé de Johansten. Venant de ta part, ça me vexe presque un peu que tu me confondes avec Nick. »

En fait, ça m’aurait complètement vexé qu’il me prenne pour Nick mais je savais que Bradley ne me confondrait jamais avec Nick. Je suis bien trop différent de Nick. Même si physiquement nous n’avons aucune différence – sauf mes yeux qui sont verts contrairement à Nick – du point de vue vestimentaire, je suis bien différent de Nick ainsi que mes traits sont quelques peu différents des siens, du moins, c’est ce que j’espère. Déjà qu’il a fallu que j’ai un frère jumeau… j’espère au moins me faire distinguer de lui un minimum !
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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper EmptyDim 14 Mar - 21:41

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"Give me my paper "

    Bradley lui étrangement n’est pas du style bagarreur et pourtant beaucoup de gens disent que les sportifs ont toujours tendance à avoir la droite qui part facilement. Et bien Bradley lui non il est le genre de mec qui a beaucoup de repartit et c’est bien connu la violence est l’arme des faibles, Bradley lui préfère tourner tout à l’ironie voir même ce moquer de la personne qui le cherche. Bien sur sa lui vaut souvent une bonne droite, et une fois qu’il a prit un coup il change totalement est devient une vrai furie, lançant des coups sans s’arrêter, il avait déjà envoyé quelques personnes à l’hôpital à cause de sa, mais n’allez pas croire qu’il en était fier bien au contraire. La dernière bagarre en date, c’était la semaine dernière à cause de son meilleur pote Drew, ils étaient tout deux sortis pour jouer au casino, c’été un endroit qu’ils adoraient. Ils étaient tout deux fils de riches et avaient des millions à claquer, le casino était l’endroit rêver. Manque de chance pour eux au lieu de perdre de l’argent ils en avaient gagné. Après ce gain d’argent ils c’étaient mit à boire un verre, puis un second, et ensuite ils c’étaient amusé comme à leur habitude à ruiner l’ambiance. Drew lui lançant un verre à la figure, bien sur pour rire, Bradley ripostant lui aussi. En moins d’une minute un gars de la sécurité était venu, Bradley comme à son habitude lui aurait tendu un petit billet pour qu’il parte, mais Drew était moins diplomate il lui avait envoyé une bonne droite. La bagarre était lancé, des vigiles étaient arrivé de partout, les coups pleuvaient, le résultat avait été simple. Bradley et son pote finissant au poste de police. Endroit ou ils finissaient beaucoup, mais ou leurs avocats les sortaient rapidement. Rajoutez à ça le fait qu’ils étaient tout les deux en droits et qu’ils menaient la vie dur à la police, avouons même que les flics n’étaient jamais heureux de les voir arriver, ils savaient qu’ils ne pouvaient rien contre eux, mais étaient obligé de les garder, il ne fallait pas perdre la face devant les plaignant.
    Pour ce qui est de la jalousie car c’est le second thème abordé par Thomas et bien Bradley ne l’est pas du tout et on peut le comprendre. Il a une entière confiance en lui, il est beau et le sait, il n’a jamais eut de problème avec les filles, ayant même toutes les nanas qu’il voulait. Alors pourquoi être jaloux ? Franchement ce n’est pas la peine et Thomas non plus ne devrait pas être jaloux, ils étaient tout les deux dans le même bateau, Thomas ayant une popularité plus grand et qui dépasse les limites de l’université. Et oui le plus doué des ainés pour la scène est un acteur connu et reconnu dans le monde du cinéma. Bradley ne l’a jamais envié, il n’aime pas trop le cinéma, bien sur il le respecte pour ça et sait pertinemment que ce qu’il fait, Bradley n’en serait pas capable… Bradley lui préfère être connu comme quelqu’un de détesté, chose que Thomas ne peut se permettre, et oui un acteur que le public n’aime pas on ne le voit plus, alors qu’un avocat hait par le public est un avocat que les grand criminels demanderont.

    Enfin nous n’en sommes pas là pour le moment Bradley est à genoux entrain d’aider Thomas, pourquoi fait il ça ? Et bien tout simplement parce qu’il apprécie le jumeau, il les apprécie tout les deux. La seule chose qui fait que Thomas est toujours un peu froid avec lui et qu’il s’entend aussi fort bien avec Nick, qui est son frère et qu’il ne supporte pas. Pourquoi ? Et bien sa jamais Bradley ne le serra, c’est une histoire de famille dont les deux jeunes garçons ne veulent pas parler, et il peut comprendre totalement ça. Manque de chance pour lui il est entre deux feux, deux amis qui se haïssent donc un qui lui reproche de trainer avec son frère, la solution trouvé par notre beau blond ? Ignorer les conflits et faire comme si de rien n’était, chose difficile mais que voulez vous on fait avec…
    En aidant Thomas il savait très bien ce qu’il allait lui dire, thomas avait beau être tout ce qu’il dit être il n’en restait pas moins quelqu’un de très prévisible, il sortait toujours la même chose à Bradley du style « T’as pas affaire à Nick », ou « Tu sais que ce n’est pas Nick », comme si il n’était pas capable de différencier les deux frères, ils étaient jumeaux mais pas identique, Bradley arrivait facilement à les différencier. Les yeux, la voix, l’attitude, les vêtements et encore d’autres choses qui les différencier.

      Bradley dit : « Ah bon ? Mince je pensais avoir à faire à Nick. » Il laissa donc tomber les feuilles qu’il avait ramassé puis se leva « Sinon tu vas bien ? »


    Thomas réagirait comme il voudrait Bradley s’en moquait un peu, en faite si Thomas ne voulait pas avoir à faire à Bradley uniquement parce qu’il était sympa avec son frère et bien tant pis pour lui. Mais si il voulait faire l’effort et redevenir le mec qu’adorait Bradley il n’y aurait aucuns problèmes.
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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper EmptyLun 15 Mar - 20:02

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Une amitié née des affaires vaut mieux qu'une affaire née de l'amitié.
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Oui enfin, qu’on m’aime ou que l’on ne m’aime pas, ça m’est bien égal. Je ne cherche pas à être aimer ou pas car je sais que mon caractère peut déplaire à de nombreuses personnes comme il peut plaire à d’autre. Et pour tout vous dire, qu’une personne ne m’aime pas me fait ni chaud ni froid. Après, c’est tout à fait vrai de dire que dans le monde du cinéma – monde dont j’ai fait partit durant une année – il vaut mieux être apprécié de ses fans sans quoi, vous ne faites aucune carrière dans ce domaine là. Heureusement, j’ai cette chance d’être toujours à l’aise et par la même occasion, de mettre à l’aise les personnes qui m’entourent. C’est plutôt marrant parce que depuis que je suis revenu de New York, j’ai l’impression d’être devenu encore plus « puissant » que je ne l’étais auparavant à Berkeley. Car bien avant mon départ pour cette grande ville des Etats-Unis, je restais l’un des garçons les plus populaires de la faculté mais après ma revenue, il faut dire que j’ai nettement remarqué que ma popularité s’est accrue. Sans doute parce que je me suis fait connaître des personnes qui ne me connaissaient pas encore avant – même si je doute que c’est possible – et peut être bien parce qu’à la sortie de l’université, il y a cette immense affiche qui me représente. Oui, vous savez cette petite vitrine qu’on retrouve souvent dans les lycées et par conséquent, cette fois-ci, dans une université. Là où sont entreposés les différents trophées gagnés par l’équipe de baseball de Berkeley ou encore son équipe de basketball. Enfin bref, là où sont affichées toutes les personnes qui donnent à l’université de BCU une certaine fierté.

Plus jeune, j’étais persuadé qu’un jour, on me verrait dans cette vitrine plus tard parce qu’au fond, devenir populaire, c’est toujours ce que j’ai recherché n’importe où j’ai mis les pieds. Mais jamais je n’avais pensé que c’est en devenant une star de cinéma que j’y arriverais. En fait, au départ, je voulais devenir un grand sportif. Le sport a toujours fait partie intégrante de ma vie. Par ailleurs, j’en pratique très régulièrement déjà parce que je suis contraint de garder la forme et ma silhouette sans reproche pour mon nouveau job en tant que mannequin et aussi parce que j’aime ça tout simplement. Vous vous dites sûrement mais alors pourquoi ne pas continuer dans le sport et entrer à l’université dans la confrérie des IOTAS ? Et bien figurez-vous que j’aurais pu entrer dans cette confrérie. Je crois même que cela n’aurait posé aucun problème à un quelconque membre de cette confrérie cependant, j’ai du abandonné le sport que je pratiquais pour cause de blessure assez grave au genou. Je pratiquais le soccer ainsi que le football américain et le baseball, bref, j’ai déjà tout essayé mais ce que j’aimais le plus, c’était le football américain. Malheureusement, après ma blessure, on m’a garantit que pour moi, il était impossible que j’envisage de continuer dans ce sport. J’ai donc décidé de quitter ce que je faisais pour m’orienter vers autre chose, de là où est apparue ma soudaine envie de devenir acteur. Même si j’ai fait carrière durant une année, j’ai fini par être oublié, ou du moins, je n’ai plus eu de propositions intéressantes voilà pourquoi je suis revenu à Berkeley avec un nouveau but dans ma vie. Devenir le meilleur chirurgien esthétique de la Californie et pourquoi pas, des Etats-Unis pendant qu’on y est ?

Et là, à cet instant précis, j’étais à genoux parterre en train de ramasser mes différents papiers qui s’étaient envolés lorsque l’autre débile de sportif m’avait bousculé. C’est en voyant la stupidité de certains sportifs que je ne regrette pas aujourd’hui d’avoir décidé d’intégrer la confrérie des DELTA. Nous sommes bien mieux vu que certains sportifs.
J’avais un peu de mal à comprendre pourquoi est-ce que Bradley était là à m’aider. Je n’avais pourtant pas été très tendre avec lui ces derniers temps. Je le méprisais depuis qu’il s’était rapproché de mon frère jumeau et lui, bizarrement, il revenait à chaque fois vers moi. A croire qu’il pense que je peux redevenir sympathique avec lui et qu’on peut, peut être, retrouver notre complicité d’autrefois. Malheureusement pour lui, je suis une personne plus que têtue et il est bien difficile de me faire changer lorsque je me suis engagé dans quelque chose.

BRADLEY : « Ah bon ? Mince je pensais avoir à faire à Nick. »

Et là, il laisse tomber parterre toutes les feuilles qu’il venait de ramasser. Je le regardai d’un regard peu sympathique puis, je roulai les yeux et fit un tas - qui ressemblait plutôt à une boule en fait – avec mes feuilles puis je me levai à mon tour vérifiant qu’une autre feuille ne trainait pas dans les alentours. Je devrais peut être songer à mettre ça dans un classeur ou un dossier, ça m’éviterais de revivre la même scène tiens…

BRADLEY : « Sinon tu vas bien ? »
THOMAS : « Ouais ça va et toi ? »

Puis, sans même attendre une réponse quelconque, je me dirigeai vers mon casier afin d’y ranger toutes ces fichues feuilles qui ne me servaient pas à grand-chose en fait mais bon, j’étais quand même bien obligé de garder mes supports de cours sans quoi, j’allais probablement me faire virer de tous les cours et comme punition, j’aurais le droit de copier toutes les fiches reçues à la main… Autant dire que je préfère les fourrer dans un coin de mon casier.

THOMAS : « T’as pas entrainement ce soir ? »

Oui, cela m’étonnait beaucoup qu’il soit là après les cours. En principe, les sportifs se donnent rendez-vous le soir après les cours pour aller s’entrainer au terrain mais là, ce n’était pas le cas de Bradley. Non, il était là avec moi. Et, je me rendis compte, par la même occasion que j’étais devenu « gentil » à son égard. Je rectifiai ça tout de suite.

THOMAS : « Enfin… je veux dire, t’es encore là ? »

T’es encore là à me suivre !? Ouais, c’est exactement ce que je voulais dire par cette phrase. C’était quand même bizarre parce que j’étais censé ne pas aimer Bradley, ou du moins, lui en vouloir d’avoir sympathisé avec Nick mais au fond, je n’oublie pas à quel point nous avons pu nous amuser ensemble. Et puis, je ne voulais tout de même pas qu’il croit que c’est parce qu’il m’a aidé à ramasser mes feuilles que je vais à nouveau l’accepter dans mes amis facebook. Sans compter qu’après les avoir ramasser il les a laisser à nouveau tomber parterre. Faut pas rêver ! Pour ça, il faut aller voir Alice au pays des merveilles au cinéma!
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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper EmptyLun 15 Mar - 23:17

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    Bradley était totalement comme Thomas il se moquait pas mal qu’on l’aime ou pas parce qu’il s’aimait lui et c’était déjà quelque chose que certaines personnes n’arrivaient pas à faire. Bien sur on peut facilement le traité de prétentieux mais il s’en fou comme de sa première chemise (ou comme de sa première Harley comme s’amuse à le dire Drew), la popularité se jauge à plusieurs choses, la première bien sur au nombre de personnes qui vous apprécie, la seconde au nombre de personne qui vous connait, et ensuite au nombre de personnes qui parlent de vous. Et bien Bradley qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas il ne laissait personne indifférent chez tout le monde il suscitait des avis, des commentaires et en gros c’est ça qu’il aimait. Bien sur il ne courrait pas du tout après la popularité, c’était même quelque chose qui lui était tombé dessus sans vraiment qu’il le veuille. Je vous explique, Bradley est et restera un gars qui aime être tranquille donc la plupart du temps se genre de mec sa reste un gars normal, et franchement je pense pouvoir affirmer que sa ne l’aurait pas dérangé du tout. Mais quand on est beau, riche et surtout sportif titulaire dans l’équipe de basket, autant dire que sa n’aide pas à passer inaperçu. Les sportifs quand ils sont en haut de l’affiche tout le monde en parle mais quand ils sont blessés et bien normalement on les oublie et un nouveau vient prendre sa place. C’était ce qui se passait tout le temps et ce qui devait se passer tout le temps, manque de chance après la blessure de Bradley il devint encore plus populaire qu’avant.
    L’explication ? Et bien je n’en ait pas peut être parce que cette blessure le rendait un peu plus humain lui qui aux yeux de tous apparaissait comme une bête de travail, le gars qui dès sa première semaine à l’université était titulaire indiscutable dans l’équipe et surtout le mec qui c’était tapé la chef des pompons girls. C’était même plus le fait de sortir avec la patronne des cheerleaders qui avait fait de lui quelqu’un dont on parler, ensuite ses attitudes avaient fait de lui quelqu’un d’apprécié. Il faut dire qu’il n’a pas peur du ridicule, là ou certains se retiennent de faire telle ou telle choses pour une question d’image et bien lui ne se pose pas de question il fait n’importe quoi tant que sa va dans son sens. Voilà pourquoi pas une soirée ne se fait sans sa présence, il est invité partout arrivant toujours déguisé pour coller au plus au thème demandé. Sa force est dans sa persévérance et quand on lui annonce qu’à cause de son dos il ne pourra normalement plus faire de sport et bien l’on peut dire qu’il prend un coup énorme dans la gueule, le genre de coup dont normalement on ne se relève pas. Mais comme son père disait toujours, les diagnostics sont toujours là pour être changé, et c’est ce qu’avait fait Bradley il avait fait mentir le médecin, il c’était lancé dans une campagne anti douleur. C’est vrai qu’au début après ses séances de musculation des dorsaux il n’arrivait même plus à marcher, puis petit à petit il se remit à courir, à faire des lancers. Il décida ensuite de porter un support dorsal et le tour était joué. Il revint donc à la compétition, toujours autant adulé par le club de supporter de Berkeley et prit enfin la place qu’il voulait celle de capitaine, non sans mal…

    Pour ce qui est des confréries puisque Thomas en parle, et bien avouons aussi que les confréries auraient pour la plupart pu accueillir le beau blond qu’est Bradley. La confrérie des DELTA lui tendait les mains, et bien oui Thomas ne peut tout de même nier que monsieur Cooper est un beau gosse, surement bien plus beau gosse que d’autres DELTA. Quand on voit qu’il est toujours en fête il aurait pu aussi être un OMEGA, et oui il est même quasiment de se groupe puisqu’il va à toutes leurs fêtes et en organise même certaines avec eux. Le dernier groupe qui aurait surement pu l’accepter et celui des riches, un groupe assez fermé de personnes qui ne se mélange pas, les EPSILON. Tout le monde pense que se ne sont que des fils à papa qui ne font aucuns excès et bien il se trompe drôlement, se sont pour la plupart des gars ou des filles qui picolent jusqu’à plus soif et qui se drogue grave !
    Pourquoi Bradley avait il fait tomber les feuilles du jeune homme ? Et bien parce qu’il ne voulait pas aider quelqu’un qui voulait l’envoyer chier. Bradley avait trop la tête dans le passé, le passé durant lequel ils avaient tout deux vécus une belle histoire d’amitié. Après tout avait changé et le jeune homme s’en était prit à Bradley, uniquement parce qu’il sympathisé avec son ennemi de toujours son frère, sa va loin non ?

      Bradley dit : « Très bien merci ! »


    Dans un coin de sa tête il demandait bien si la réponse qu’il venait de donner intéressait un peu Thomas, mais il comprit vite que le DELTA s’en moquait pas mal. Et bien si il le prenait comme ça Bradley allait partir, pourquoi parler à quelqu’un qui en avait vraiment rien à foutre de vous. C’est Thomas qui perdait quelque chose et non l’inverse.

      Bradley dit : « Si dans une heure. »


    C’est vrai il n’avait pas tord, les sportifs se réunissaient toujours après les cours histoire de s’entrainer, mais vous n’imaginez même pas la pression qu’ils ont sur leurs épaules. En plus des cours ils ont tout un campus derrière eux, c’est surement la rançon de la gloire. Ici en Amérique le sport et surtout le basket sont important, els université s’affrontent et attention à celui qui perdra il va s’attirer les foudres de toute l’université. Ce n’est même pas rare de voir un sportif se faire insulter parce qu’il a mal joué ou autre, c’est la ferveur, elle apporte popularité mais aussi embrouilles.

      Bradley dit : « T’as raison fait le bad boys, si tu ne veux pas me parler dit le tout de suite sa sera plus claire. »


    Oui la rectification de la phrase qu’avait faite Thomas avait dont d’énerver Bradley, pourquoi ? Simplement parce que il essayait d’être méchant avec son ancien ami, chose qu’il n’arrivait pas et quoi de plus normal quand on sait pourquoi il lui en veut.
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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper EmptyMar 16 Mar - 20:27

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Une amitié née des affaires vaut mieux qu'une affaire née de l'amitié.
David Rockfeller


Je me doutais bien que mon attitude à l’égard de Bradley n’était pas du tout correcte. Par ailleurs, je trouvais aussi complètement stupide que je lui en veille de trainer avec Nick. Mais d’un autre côté, j’éprouve tellement de haine envers mon frère qu’il m’est difficile de partager une amitié avec lui. Cela pourrait néanmoins nous rapprocher mais jusqu’à présent, et cela fait plus de vingt ans que ça dur, il n’y jamais eu la quelconque amélioration dans notre relation. Même quand nous étions des gosses, on se détestait. Il faut dire que de grandir à côté d’une personne qui vous ressemble parfaitement physiquement n’est pas facile. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, les jumeaux ne sont jamais très satisfaits d’avoir une personne leur ressemblant. C’est vrai que pour certaines choses, cela peut être un immense avantage. Du genre, je n’y comprends rien à cette matière, mon frère va passer mon interrogation demain à ma place. On n’y verrait que du feu et je suis persuadé que ça fonctionne. Toutefois, avec Nick nous n’avons jamais partagé une complicité telle que celle-ci et par conséquent, nous ne savons pas du tout si ça peut fonctionner ou pas. Mais sincèrement, je doute que ça fonctionne avec nous. Malgré notre physique qui se ressemble comme deux gouttes d’eaux, caractériellement, tout – ou presque – nous oppose. Néanmoins, ce n’est pas pour cette raison que nous avons eu cette peine à nous entendre. Non, je mettrais plutôt cette conséquence sur le dos de mes parents – ou plutôt de ma mère vu qu’il ne nous reste plus qu’elle. C’est elle qui n’a fait que nous comparer en disant : « Oh Thomas est meilleur à ça… » et « Nick est plus intelligent dans ce domaine là que Thomas. » ou encore « Thomas est moins sociable que Nick. » Enfin, vous l’avez compris, toute ma vie, j’ai été comparé à Nick ce qui a forcément créé une compétition entre nous. On ne s’est pas rendu compte immédiatement de cela mais c’est lorsque les gros conflits ont débuté que je m’en suis aperçu. Et ma mère le savait très bien, elle. A croire qu’en fait, c’est ce qu’elle a toujours voulu, qu’on ne s’entende pas et qu’on se mène une perpétuelle guerre entre frères. Mais bon, Nick n’avait qu’à pas commencer !

Parfois, je me demande qu’elle aurait été ma vie si mon père n’avait pas fuit le continent américain après notre naissance. C’était un faux diplomate, il n’avait pas d’autre choix pour s’en sortir c’est vrai mais je lui en ai toujours beaucoup voulu. Peut être un peu moins que Nick mais bon, d’un côté, même si je n’ai pas eu la chance de grandir avec un père, je m’en suis plutôt bien sortit. Après tout, on trouve de tout sur internet, plus besoin d’avoir de père pour lui demander des conseils. Et puis, avec le père que ça aurait été, je me doute bien que je n’aurais pas pu beaucoup compter sur lui. Il n’y a qu’à voir ma mère. Même si c’est une grande personne, elle est pourtant loin d’être la femme parfaite. Buvant dès qu’elle en a l’occasion, ramener des jeunes hommes âgés presque de mon âge à la maison, il n’y a pas de quoi être fier d’une mère pareille si vous voulez mon avis. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’aux jours d’aujourd’hui, je n’ai plus aucun contact avec elle. Et pour tout dire, je ne m’en porte pas plus mal.

BRADLEY : « T’as raison fait le bad boys, si tu ne veux pas me parler dit le tout de suite sa sera plus claire. »

Si je n’étais pas stupide ? Tout comme Bradley, je ne suis pas le genre de garçon à mesurer tous mes faits et gestes. J’aime faire l’idiot et je ne me gène pas de sortir des plaisanteries complètement débiles ou encore de me comporter comme le dernier des crétins. D’autant plus qu’aujourd’hui, je me laisse davantage aller. En effet, ayant été sous le feu des projecteurs durant une année, je ne pouvais pas me permettre de faire l’idiot n’importe quand sans quoi j’aurais sans doute été très mal vu de la presse et des fans. Ce n’est pas pour autant que je me suis comporté comme un mec sans histoire. Non, j’ai eu plusieurs problèmes et j’ai aussi du débourser plusieurs milliers de dollars pour un avocat qui au final était plus qu’incompétent.
A l’entente des paroles de Bradley, je comprenais qu’il commence à s’énerver. Dans sa position, je ne supporterais pas non plus l’attitude de mon interlocuteur, Je soupirai, roulai les yeux puis fourrai mon paquet de feuilles dans mon casier me pressant de le fermer afin d’éviter qu’autre chose ne me tombe dessus. Je tournai la roulette pour éviter qu’on ouvre mon casier en devinant mon code puis, d’un geste contrôlé et rapide, je me tournai vers Brad’.

THOMAS : « Roh bon d’accord j’arrête. Sinon je sens que je vais être harcelé pour le restant de mes jours et franchement, même si tu étais une fille, je crois que je m’en lasserais vite ! » fis-je avec une touche d’humour. C’est vrai que cette situation était assez stupide et au final, je venais de me rendre compte que la seule personne gagnante dans cette histoire c’était Nick alors autant changer ça tout de suite.

HJ: sorry, post pourrav' je me rattraperai au prochain ;-)
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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper EmptyVen 19 Mar - 0:08

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    C’est vrai que l’attitude qu’il avait avec Bradley était à la limite de la décence, soit il lui disait franchement ce qu’il n’allait pas soit il redevenait come avant, car oui il n’avait jamais réellement expliqué à Bradley le problème. Le jeune sportif avait compris par lui-même qu’il y avait une énorme haine entre les deux frères jumeaux mais vous savez quoi ? Cette haine n’a pas l’air franchement réciproque, Bradley quand il est avec Nick se voit toujours poser certaines questions comme « Comment va mon frère », ou autre question, du genre sur Thomas. Quand on lit la phrase deux choses sautent aux yeux le fait que Nick appel Thomas son frère et que Thomas lui préfère l’appeler par son prénom. On comprend tout de suite que d’un coté l’idée d’être de la famille le gène considérablement alors que l’autre n’éprouve pas de regret bien au contraire lui est content d’avoir un frère, surtout un frère jumeau avec qui il espérait tellement partager tout. Enfin Bradley savait très bien qu’ils ne s’entendraient jamais, toute leurs vies ils n’avaient pas pu avoir une relation normal, on ne demande pas une complicité totale mais au moins qu’ils se tolèrent.
    Enfin Bradley ne peut pas comprendre et dans ce que dit Thomas on comprend vite pourquoi, vivre toute sa vie avec son double doit être un enfer, le physique la chose qui aujord’hui permet aux gens de juger les autres et qui est surement le plus important qui existe. Exit l’intérieur on juge tout sur l’apparence, et d’apparence ils sont totalement identique, les vêtements changent mais après c’est tout. Avoir un jumeau pose donc forcement des problèmes au niveau des relations avec les filles, surtout à l’adolescence quand on commence à draguer et on commence à avoir ses premiers flirt. Les filles se disent qu’elles ont deux chances alors que si Thomas avait été seul et bien il aurait été la seule cible. Ok je ne dis pas que Thomas a du avoir des problèmes avec les femmes mais ‘est tout de même un point assez emmerdant quand on a un jumeau.
    Après oui les parents, et même les amis vont vous comparer à votre frère, chose qui se fait beaucoup dans une famille, on compare toujours le petit frère au grand frère, mais ici il n’y a ni petit frère ni grand frère mais deux entités du même âge. C’est donc comme ça que l’on créé des animosités, quand on est jeune on pense être totalement identique à son frère, et quand on vous annonce qu’il est plus gentil que vous ou qu’il est plus n’importe quoi et bien votre égo en prend un coup. Quand on connaît Thomas on connaît aussi son égo qui peut être parfois surdimensionné on comprend donc les problèmes qu’il a du avoir…

    L’absence d’un père n’a pas du être un accélérateur à leur entente, imaginez vous une famille ou la femme à le pouvoir ici la femme est une mère. Les deux fils vont essayer de remplacer le père prenant l’ascendant l’un sur l’autre et même parfois sur l’autorité maternelle. Dans une famille normal c’est déjà assez difficile à porter (par normal je parle sans jumeau), mais dans une famille ou il y a des jumeaux qui eut sont déjà relié par une concurrence apparu dès leur naissance et bien c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase.
    Mais voilà Bradley aussi n’a pas été élevé par son père, ni même par sa mère trop souvent en voyage, il ne s’en porte pas plus mal, à l’air de l’internet et même des nounous 24/24 les parents n’ont plus le même rôle on pourrait même parfois appeler des parents de simple géniteurs tellement ils n’ont pas de contact avec leurs enfants. Alors pourquoi faire un bébé ? Et bien parce que quand on est riche un fils ou une fille c’est l’assurance de ne pas reverser tout l’argent durement gagné à l’Etat.

    La stupidité ? C’est surement la seule chose qu’ils ont le droit d’avoir à leurs âges, et oui ils sont jeunes et auront toute leur vie pour être sérieux, droit et intègre, surtout Bradley qui lui veut être avocat. Mais la chose qu’il ne faut pas oublier c’est qu’il faut savoir à qui l’on s’adresse, il parle à Bradley un gars avec qui il a vécu beaucoup de choses, des choses que l’on ne peut pas forcement effacer d’un coup de gomme. La vie sans amis c’est difficile et je pense pouvoir avancer que Thomas ne pourrait vivre sans ami. Bradley et lui sont tout de même très similaire, ils sont même plus proche d’un point de vue caractériel que le sont les deux frères. Orgueilleux, rancuniers, avec un égo surdimensionné, voilà trois adjectifs qualifiant aussi bien Thomas que Bradley.
    On comprend donc mieux les phrases de Thomas il est sans doute vexé d’avoir vu son ami discuter et même sympathiser avec son frère. Encore cet bagarre qui durera toute leur vie, il avait peur de quoi ? Qu’ils les confondent ? Qu’il préfère Nick à lui ? Ils ne sont pas comparables, à part le physique ils n’ont rien en commun.

      Bradley dit : « Quel clodo tu fais, si j’étais une nana même pas je poserais les yeux sur toi, il y a bien plus beau gosse que toi, par exemple Nick ! »


    Lui dit-il avec un léger sourire en coin, un sourire presque vicieux. Mais bon que voulez vous on ne changera jamais ni Thomas ni Bradley. Thomas avait un peu piqué au vif le jeune sportif il ne pouvait pas rester là sans riposter, ne serait ce qu’un peu.
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MessageSujet: Re: Give me my paper - Bradley T. Cooper Give me my paper - Bradley T. Cooper EmptyDim 21 Mar - 16:44

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C’est vrai que je n’ai pas la moindre idée de ce que Nick éprouve à mon égard mais je me doute bien qu’il ne doit pas me porter dans son cœur comme c’est le cas pour moi. Lorsque je suis partit pour New York, je l’ai fait avant tout pour devenir un acteur renommé et aussi parce que j’ai perdu la seule femme que j’ai aimé mais aussi, pour échapper à une haine qui me ronge depuis bien trop longtemps à l’égard de cet autre fils Johansten qui n’est autre que Nick. Etant jeunes, nous n’avons pas passé beaucoup de temps ensemble et pour tout vous dire, je ne sais pas grand-chose sur le jeune homme. Je ne connais même pas son parcours parce que j’en ai jamais eu rien à cirer. Qu’il fasse sa vie de son côté et moi, la mienne de mon côté me va parfaitement bien. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, je n’éprouve aucune peine à nous voir se haïr de la sorte. Il faut bien quelque chose pour pimenter un peu notre vie non ? D’accord, j’ai déjà suffisamment d’éléments pour donner un autre tournant à ma vie sans compter celui-ci mais bon, de toute manière, je doute qu’il soit possible pour nous, de nous entendre un jour. On a bien eu des moments de complicités quand nous étions encore que des gosses mais ils finissaient toujours par partir dans une direction opposée. A croire que de nous entendre, c’est tout simplement mission impossible. Sans compter que j’ai moi aussi été le petit ami durant quelques mois de la belle Nena Barks qui est à l’heure actuelle la petite amie de longue date de ce très cher Nick. Je me demande d’ailleurs qu’est-ce qu’elle peut bien lui trouver. Sortir avec moi puis après avec Nick ? C’est complètement stupide… M’enfin, c’est là qu’on voit que la couleur de cheveux pour gravement atteindre l’être humain malgré ce qu’on peut dire. Par ailleurs, je l’ai détesté le jour où elle s’est mise en couple avec le benjamin Johansten. J’ai d’abord cru qu’elle voulait me rendre jaloux et je crois que c’est ce qu’elle a voulu faire. Mais au fond de moi, mis à part son joli petit cul bien rebondi, je ne lui ai jamais rien trouvé à cette fille. Manque de chance, elle n’a eu aucune réaction de ma part, ou du moins, celle qu’elle a sans doute du espérer. Et puis, à l’heure actuelle, elle est encore en couple avec ce crétin. Autant pour moi…

Même si je n’ai pas eu la chance d’avoir un père présent, je ne m’en plains pas. De toute manière, j’ai été élevé par des nounous et je me doute bien que même si mon père avait préféré assumé ses actes, il aurait été absent. Forcément, étant un faux diplomate, il aurait tôt ou tard terminé en prison. D’ailleurs, aujourd’hui, j’espère bien qu’il croupie dans une prison en compagnie de personnes très sympathiques de conversations. Et sincèrement, il ne faut pas se voiler la face. Prenez Bradley. Il a eu un père et une mère mais se sont-ils montrés présents comme des parents normaux le fond ? J’en doute. Quand on est riche, on doit choisir. Soit c’est son boulot – par conséquent sa fortune – ou soit c’est ses enfants. Certaines personnes prennent le bon choix et décident donc que je ne pas faire d’enfants quant à d’autres, ils préfèrent paraître comme des gens capables d’avoir une vie en dehors du boulot et fond donc des enfants. Mais si c’est pour ne pas s’en occuper, à quoi bon. Je dois dire que j’ai eu beaucoup de chance malgré tout. J’ai grandit dans un milieu ou la drogue circulait et où les avocats étaient toujours utilisés pour des affaires de vandalismes ou autre. Mais par chance, je n’ai pas mal tourné comme un bon nombre de mes amis. Je ne nie pas n’avoir jamais touché à la drogue parce que ce serait vous mentir mais je n’en suis pas devenu indépendant contrairement à un bon nombre de mes connaissances qui ont fini par reprendre les reines de l’industrie de leur père par exemple.

BRADLEY : « Quel clodo tu fais, si j’étais une nana même pas je poserais les yeux sur toi, il y a bien plus beau gosse que toi, par exemple Nick ! »

Non, je n’aime pas beaucoup son amour. Et je le fis remarquer en cessant instantanément de sourire au début de sa plaisanterie qui m’avait pourtant semblé complètement innocente. La fin ne m’avait pas beaucoup plu et je me doutais bien qu’il venait de dire ça dans l’unique but de se venger de ce que j’avais pu lui faire subir. C’est vrai, je l’ai peut être mérité mais de me prendre par ces sentiments là n’est jamais une bonne chose à faire, au contraire.

THOMAS : « Dans le genre "j’ai envie de me faire refaire le portait" tu me sembles intéressé. Parce que si c'est le cas, continue comme ça et ça arrivera. » fis-je en utilisant un air faussement ironique.

Sincèrement, l’envie de lui mettre une droite là en cet instant ce n’était vraiment pas ce qui me ferait culpabiliser. Mais bon, inutile de créer une bagarre là, en pleins milieu des couloirs et casiers. Sans compter que je me ferais très mal vu en arrivant à mon shooting avec un bel œil au beurre noir. J’entends déjà les remarques que l’on me ferait.
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