On se prend la main comme des enfants
le bonheur aux lèvres, un peu naivement

Je me rappelais mes étés d'enfance passées à la plage, l'innocence et la pureté de mon corps sous une tonne de petits grains dorés. Les châteaux de sables qui me faisaient pleuré quand la mer les inondait. Je me rappelais aussi mes shorts en jeans délavé et très courtes que j'aimais parader sous les yeux des jolis surfeurs, ses shorts m'avaient apportés tant de merveilleuses rencontres après tout. La plage avait toujours fait partie intégrante de ma vie, et ici, à Berkeley, elle était une des activités les plus en vogue et la plupart des étudiants passaient une grande partie de leur temps libre à se prélasser au soleil. J'avais la chance de faire partie de ceux qui pouvait accéder à la plus belle plage de San-Francisco, Playa Y Cocoteros. Ici, tout était beau, j'aimais y venir parce que la vie semblait toujours plus belle par ici, et les glaces étaient exquises, puis sans oublier qu'ils servaient les meilleurs cocktails. Être membre de ''l'élite'' m'apportait plusieurs bonnes choses comme celle là, et je ne m'en plaignais pas du tout... loin de là.

Vêtue d'une longue chemise de plage blanche en lin, les cheveux qui frisottaient et les joues roses à cause du soleil, j'étais assise seule, les jambes repliée contre ma poitrine, sur le sable chaud, il faisait merveilleusement beau et la journée s'annonçait merveilleuse, belle. J'attendais qu'il arrive, il me manquait à vrai dire, nous ne nous étions pas vus la veille, et je n'avais passé qu'à peine 30 minutes avec lui le jour d'avant. Depuis son arrivée à Berkeley nous avions passé pas mal de temps ensembles et j'aimais ça, bien sur sinon je me serais bien passé de sa compagnie. C'était par obligation que j'avais accepté un correspondant francais 8 mois auparavant, je devais participer plus aux projets d'école, et écrire quelques mots par semaine à un garçon à l'autre bout du monde ne me semblait pas trop difficile. Je dois avouer que le projet m'avait beaucoup plus intéressé lorsque je l'ai aperçu pour la première fois à l'aéroport, mais le fait qu'il soit beau n'est qu'un détail parmi tant d'autres. L'important c'est qu'il me fait sourire et que j'adore son accent, son talent aussi. Alors j'attendais, je me tressais une petite mèches de cheveux pour passer le temps. Je lui avais dis de dire qu'il venait pour me rejoindre à l'entrée, normalement ça marchait et ils ne posaient pas de questions mais là je flippais. Et si il ne le laissait pas entrer ? nan il allait m'appeler ... j'étais quand même pas pour aller me foutre à la porte comme une belle conne. Alors j'attendais.

Puis je le vis au loin qui marchait vers moi, je me retournais la tête pour sourire, aveuglée par le soleil, il était loin mais il se rapprochait. Il n'avait pas eu de problème en fin de compte, mais c'était Louis-Marie après tout, quand est-ce qu'il avait des problèmes lui. J'étais très enthousiaste dans toute cette histoire de ''faire découvrir la pays'' aux francais, et j'étais tellement heureuse de lui montré mes endroits coups de coeurs, celui-ci était spécial cependant, mon préféré de tous probablement. Il faisait chaud et tout était beau, la mer était calme et j'étais splendide.

Quand il arriva, je fus surprise parce qu'il était arrivé plus vite que je ne l'aurais cru et aussi parce que le rouge lui allait vraiment bien, son corps était penché vers moi, je ne le trouvais que plus beau puis il déposait un baiser sur ma joue, une habitude française que je ne pouvais qu'aimer.

Heureuse que tu aie pu, enfin que tu sois venu ... alors voilà ! une vraie plage américaine, mais je dois avouer que celle-ci est très, très belle ...

lui dis-je en lâchant un rire doux. J'envoyais mes cheveux dorés en arrière, je m'assisse un peu mieux, il était 2:47 pm et j'étais heureuse, c'est tout ce qui comptait pour le moment. Qu'importe si j'avais un coup de soleil, qu'importe si j'avais oublié mes lunettes de soleil, si mes cheveux étaient trop secs ou encore si j'avais choisis le bon bikini. Les shorts rouge de Louis-Marie éclataient dans mes pensées et c'était parfait comme ça. J'étais heureuse là, dans le moment même, voilà.

In many ways they'll miss the good old
days, Someday, someday.Yeah it hurts
to say but I want you to stay.Sometimes,
sometimes.When we was young ah man
did we have fun.Always, always.Promises
they break before they're made,
Sometimes, sometimes
someday ; the strokes

Louis-Marie , la plage de la californie , les blonde américaines en bikini le long de la plage , le sable fin reflétant les rayons du soleil , le son des vague doux et apaisant , le bruit des enfants jouant à côté , les mouettes et autres oiseaux nuisant , Autumn ...

Le parisien aimait vraiment la californie, et surtout sa correspondante . d'une part elle était irrésistiblement attirante , d'autre part elle était relativement drôle et sympathique avec le français . Comme toutes les étudiantes de Berkeley d'ailleurs . louis avait fait des rencontres dont il se souviendrait toute sa vie, ça c'était certain . toutes ces californiennes étaient si accueillantes que Louis-Marie ne savait plus où donner de la tête , mais malheureusement ses problèmes l'avaient suivit jusqu'à Berkeley . Pourtant il gardait en tête le doux visage de la sublime fleur , cette divine créature qu'il n'avait remarqué que lors du trajet en avion . le jeune homme était tiraillé entre plusieurs sentiments , dont la plupart lui étaient encore inconnus , mais pour le moment il arrivait encore à faire face .
Autumn, sa ravissante correspondante lui avait donné rendez-vous sur la sublime plage de san francisco , Playa Y Cocoteros. Dès son arrivé , Louis-marie avait été complètement charmé par la beauté du décor californien , mais la plage où autumn l'avait guidé était comme la cerise sur le gâteau .C'était comme dans ses rêves , cette plage n'avait rien à voir à celles qu'il avait pu au paravent trouver en france, en corse ou même en Italie . La playa y cocoteros refermait en elle ce quelque chose introuvable nulle part ailleurs , quelque chose d'extrêmement attirant . tenter de résister à cette terrifiante attraction aurait été une grosse erreur , mais Louis avait vraiment envie de voir Autumn , cependant quelque chose l'empêchait de franchir la limite .
Il sentait que s'il entrait dans cette plage , il s'y passerait quelque chose, un peu comme chaque fois que louis intègre un nouvel endroit. C'était un sentiment étrange, attrayant et terrifiant à la fois . Louis-marie était bien le genre poète-musicien-littéraire assez torturé dans son esprit , se posant des tonnes de question à longueur de temps , en pesant le pour et le contre avant d'agir , bref , ces choses tout à fait contradictoires .

Et puis une mouette passa , ce genre d'oiseau que Louis déteste , mais il ne sait pour quelle raison , ça l'attira dans cette plage . Il n'eut aucune difficulté à entrer , c'était assez facile pour un garçon comme lui de se faufiler où il le désirait, il savait convaincre et s'incruster . Il s'avança sur la plage , repérant au loin la magnifique autumn . Il avait son short rouge et ce débardeur blanc type Marcel, très "alerte à malibu" , mais il avait voulu marquer le coup, avec une pointe d'humour pour sa correspondante . Une fois face à la jolie blonde , il ôta ses raybans wayfarer façon rétro , écouta attentivement la belle puis lui répondit en souriant, comme à son habitude .

Louis-Marie; yes, I can determine the beauty of this place, it's really wonderfull .. I mean , you know ? just .. wow !


Spoiler:

Louis-marie était pour le coup assez stupéfait . la jolie blonde resplendissait dans ce décor de rêve , ses pommettes joliment rosées par le soleil environnent . Louis marie prit place aux côtés d'Autumn, gardant son sourire bien approprié et penseur .

Beauty queen of only eighteen
She had some trouble with herself
He was always there to help her
She always belonged to someone else
SHE WILL BE LOVED - MAROON 5

Assise à côté de lui, de Louis-Marie ... je me remémorais notre première rencontre, moi qui s'était conduit à l'aéroport de reculons, comme si j'avais réellement eu mieux à faire que de rencontrer le plus bel homme que cette terre aie créé. J'étais vêtue d'un vieux t-shirt de Star Wars et d'un jean skinny déchiré donc question faire bonne impression, j'aurais pu faire mieux. Mais après tout j'avais aucune idée qu'il serait aussi .. lui. Ensuite lorsqu'il me serra dans ses bras, comme le faisait SI BIEN les Français, et bien ma tête recevait trop d'émotion à la fois, il sentait si bon, il était si beau, avec son style de mauvais garçon, un mec comme il s'en faisait pas ici, en Californie. À partir de ce moment-là, je savais que mes autres occupations deviendraient beaucoup moins intéressantes, je me foutais bien de la pluie et du beau temps, de ma place dans la hiérarchie sociale ou encore des soirées bien arrosées, non, les choses venaient de perdre de leur importance et c'était peut-être pour le mieux. Maintenant de toute façon, je connaissais Louis-Marie, enfin je ne connaissais rien de lui vraiment encore, mais je comptais bel et bien y remédier.

Dans le trajet du retour nous avions parlé, de lui de moi, de lui surtout. Normalement, la vie des autres était d'un ennui mortel pour moi, mais lui, je dévorais son histoire comme je dévorais un épisode de ''The O.C.'', il était captivant, du moins il arrivait à me captiver et seulement ça, c'était la plus grosse des médailles. Il ne faisait pas super chaud ce jour-là, le soleil se couchait et le plus drôle c'était que lui, il avait chaud, j'étais stupéfaite en le voyant enlever sa veste, oui parce qu'il faisait un froid de canard et que lui il enlevait sa veste mais, aussi parce que j'aimais ce qui se trouvait en dessous, si bien qu'il dût me rappeler de regarder la route avec son petit signe de main que j'avais trouvé beaucoup plus mignon qu'il ne l'était réellement.

C'est parce qu'il fait froid et tu enlèves ta veste ? ... moi je suis frigorifiée ! lui avais-je dis, en faisant des signes comme une conne, à croire que je le croyais attardé. Il rit avec son sourire tueur, puis il me passa sa veste en me disant quelque chose en français que je n'avais pas du tout pigé, mais qui me rendit Ô tellement heureuse. Décidément, il n'étais pas habitué à la température de la Californie s'il avait chaud. Ensuite chaque chansons qui jouaient, il l'aimait, chaque cd. En plus d'être parfait, il avait de bons goûts musicaux, ça c'était un homme, un vrai...

J'étais sur la plage toujours, avec lui, je lui souris, parce qu'encore une fois, mon esprit libre c'était perdu dans mes pensées. Dans un geste brusque, je me retournas puis je m'assise sur lui, qui était maintenant couché par terre, je mis mes mains sur son torse puis j'envoyais mes cheveux par en arrière. Ensuite je fus prise d'un énorme fou rire en voyant son visage, tout émerveillé, tout décontenancé.


• You know ... I'm always thinking: What is it like to be ON Louis-Marie, I mean, in that position... And right now I have to admit, it's kind of AMAZING.
  Non c'est parce que je me demande SANS CÈSSE ça fait quoi d'être sur Louis-Marie, dans cette position là ... c'est assez génial je dois dire.
  
  Il commençait tranquillement à s'habituer à mon comportement impulsif et étrange et il commençait à prendre de la couleur aussi. Ce qui ne lui faisait absolument aucun tort, mais je ne détestais pas sa pâleur d'antan, celle qui le rendait justement si différent de tout le monde. Je pris ces Ray Bans, puis je les mise, j'étais si belle avec des Ray bans, qu'est-ce que j'adorais les Ray Bans. En me penchant sur lui, je lui dépeignis un peu les cheveux puis je lui demandais
  
  
• SO what do I look like ? Am I as cool as you ? PLEASE tell me I'm as cool as you are !!
  Alors j'ai l'air de quoi, est-ce que je suis aussi cool que toi ? Steplait dit-moi que je suis aussi cool que toi !!
  
  Je me relevais ensuite, je lui tendis la main, c'était le temps d'aller marcher, j'adorais marcher avec lui, je me sentais tellement différente, à croire qu'il n'y avait que lui et moi qui existaient. J'aimais que les gens me regarde, et tout le monde tournait la tête quand nous étions ensembles, et aujourd'hui, impossible de passer inaperçue avec les jolis shorts rouge de monsieur.
  
  PS: j'ai pas rien écrit sur ce qui aurait pu se passer, pour faire durer et vivre le topic plus longtemps. Oh et ne fait pas attention au Chace Crawford de la première icon I'M OUT

In many ways they'll miss the good old
days, Someday, someday.Yeah it hurts
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sometimes.When we was young ah man
did we have fun.Always, always.Promises
they break before they're made,
Sometimes, sometimes
someday ; the strokes

Flashback ;

En descendant de l'avion, Louis marie ne savait pas trop où aller . Il suivait ses amis, la foule de petits frenchies qui se dispersaient petit a petit . Un troupeau de californiens apparut au loin , tous avec une pancarte à la main indiquant le nom du français qu'ils accueillaient . Louis -maire peina a trouver qui était son correspondant , ne sachant pas de qui il s'agissait alors . Dans sa veste en cuire noire et son jean diesel , raybans fixées sur le bout de son nez, il cherchait du regard une bonne âme charitable capable de lui indiquer qui était ce fameux 'autumn' . Louis marie ne savait pas s'il s'agissait d'une fille ou d'un garçon , il ne s'était pas encore habitué à l'extravagance niveau prénoms des américains . Il tomba finalement nez-à-nez avec une magnifique blonde rayonnante , parée d'un t-shirt star wars très rétro . il s'approcha , sourit et dit 'Hi! i'm louis marie . ' . la blondinette se présenta à son tour , un grand sourire étincelant aux lèvres . Louis marie la serra fort dans ses bras, ce qui était une vieille tradition française qui ne semblait pas déplaire a la californienne . Ils eurent amplement le temps de faire connaissance lors du trajet aéroport-Campus , un petit avant-gout du séjour que louis marie allait passer en compagnie de la ravissante autumn . Ils arrivaient à parler de tout, du beau temps , de n'importe quoi en fait, ils arrivaient toujours à tomber d'accord . la jolie blonde le dévorait du regard , de quoi en mettre mal à l'aide plus d'un, sauf louis marie qui avait l'habitude . Il se serait volontiers laisser aller dans ses bras , mais il pensait à aude, et a fleur , et puis à toutes ces filles qui lui tournaient au tour depuis tant de temps ... Dur dur d'être un séducteur .
En descendant de la voiture , Louis marie fut tout simplement émerveillé par la beauté du campus de Berkeley Californian university ... Cette université de prestige semblait être immense, bien plus grande que la sorbonne, c'est pour dire ! Louis ne cacha pas son émerveillement , mais en français cette fois et autumn ne sembla pas tout comprendre . 'Oh my god ... c'est sublime . je rêve ou quoi ? putain, bien mieux que l'italie ...' . la jolie blonde le fixait assez étrangement, gardant son sourire aux lèvres , alors louis marie lui rendit ce dernier comme pour dire 'non , je ne suis pas fou OK?! ' . Elle lui fit alors visiter le campus , de quoi papoter encore un moment, au risque de s'attaquer aux sujets sensibles .

Autumn resplendissait sous les derniers rayons de soleil qui arrivaient encore à percer les doux nuages . sa chemisette transparente laissait apercevoir un Bikini terriblement sexy, de quoi affoler une bonne vingtaine de jeunes hommes . mais il n'y avait que Louis-Marie aux alentours . Tout à coup, la blonde ne cessa plus de remuer , et se mit à cheval sur louis marie qui s'était allongé dans le sable pour contempler le ciel américain en pensant à Angélina .. elle toucha son torse, lui piqua ses raybans et enchaina des mot qui firent sourire Le français , d'un sourire terriblement charmeur . était-elle aussi cool que Lui ? certainement oui,mais il n'allait pas le lui dire , i savait qu'elle ne voulait pas qu'elle le lui dise . C'était toujours plus plaisant de garder une certaine part de mystère, c'est a ça que servent les questions sans réponses d'ailleurs .. Enfin vous voyez .
la Californienne se releva et prit Louis marie par la main, le soulevant grace a une force herculéenne , quoi que le français n'était pas très gros .. un peu plus musclé je dois dire , et l'entraina un peu plus loin sur la plage, toujours par la main . Louis démêla ses doigts des siens , l'attrapant par l'épaule tout en déposant un doux baiser sur sa joue, ce qui les fit sourire .
Ils restèrent un moment silencieux, les pieds dans les vagues de plus en plus calmes, toujours enlacés , leur esprit perdu dans diverses pensées, catholiques ou non, privées ou libres , ce genres de choses . louis-marie décida tout de même de rompre ce silence qui n'était pas un de ces lourds blancs , pensants qui mettaient mal à l'aise . Il s'arrêta , et autumn suivit sous peu .

Louis-marie ;Hum you know ... this place is really brilliant. i don't know how i made if i wasn't fallen on you. I was really lucky .


Spoiler:

Il tourna sa tête face à celle de la douce blonde qui se mit à le regarder tendrement à son tour . Il lui sourit, elle aussi , tout ça en l'espace de quelques secondes . dans n'importe quel film ça aurait été le moment idéal pour que les deux héros se jettent dans les bras l'un de l'autre, s'embrassent et se roulent dans le sable . Ce genre de choses héroïques qui font fantasmer tout le monde .Mais Louis marie garda toutes ces personnes qui lui tenaient à coeur en mémoire, songeant a qu'est-ce qu'il arriverait une fois qu'ils auraient fait tout ce qu'on peut voir dans les films , puis tourna la tête face à la mer , entrainant autumn , lui faisant comprendre qu'il fallait redémarrer .

Louis -marie ;- really really lucky guy ... finit-il , pensif .


Spoiler:

And if it's alright, i'll stay until it' late
until you tell me that it's time that we moved on.
And if it takes all night I'll wait here til the daylight
so that I can see that we just don't belong
IF IT'S ARLIGHT - LINDSAY LOHAN

• FLASHBACK •
Nous avions marcher environ 2 heures autour de l'école, il était maintenant un pro-Berkeley. Tout ce qu'il avait à savoir, il le savait, il connaissait tout les endroit branchés à fréquenter, ceux d'où il était mieux de rester loin, quels cours se donnait où. Mais le plus important c'est que nous avions fait encore plus connaissance. Le mur de la gène c'était un peu dissiper et sa présence était de plus en plus agréable. Mes talons cependant, me faisaient de plus en plus mal. Quand je repense à la première journée justement c'est marrant parce que c'est vrai ce qu'il me dit sans cesse: << Est-ce qu'un jour, je te verrai porter je sais pas moi, des espadrilles ? Tes pieds, pauvres eux>>. Bah en fait, avec moi c'est pas compliquer ... JAMAIS je ne porterai des espadrille en dehors du gym, jamais. Il m'avait fait découvrir une boutique de crème glacée qui ne m'avait jamais vraiment attirée avant, il la connaissait parce qu'il y en avait en France. Maintenant c'est un de mes endroits fétiches. Puis nous avions continuer à marcher, avec l'écouteur de son ipod dans mon oreille et l'autre dans la sienne, comme des enfants, j'avais aucune envie que cette journée s'achève, j'aimais la crème glacée, j'aimais la France plus que tout, les vieilles chansons rock plus que jamais mais surtout, j'aimais tout ce que la vie m'offrait, j'étais choyée... un peu trop même.

Tu sais ... j'ai loué un dvd, c'est un vieux film d'horreur ''Children of the corn'', ouais je les adore et j'arrive pas à croire que je ne l'avais pas encore vu... enfin, si tu veux venir l'écouter chez moi ça pourrait être bien, mais je comprendrais si tu préférerais pas, je sais que c'est un vieux film, puis je, je crois pas qu'il soit en version française, mais il y a toujours les sous-titres... enfin, à ce moment-là, je doutais très fort que cette phrase allait un jour se terminer, je sentais ses yeux sur moi et son sourire en coin qui attendais que je trouve mes mots, puis ma peau était enflammée par en dessous. Bon dieu, j'étais Autumn Rowen-Glaswell après tout, et inviter un garçon me mettait dans tous mes états, enfin, inviter ce garçon me mettait dans tous mes états. Je regardais par terre, puis d'un autre coté, je me sentais ridicule dans ce t-shirt vintage, en temps normal, je me serais sentie admirée, originale, spéciale avec ce chandail, là c'était tout autre chose. Au moins, mes talons s'agençaient bien avec la couleur de l'habit de la princesse Leia.

Sa réponse se faisait attendre étrangement, et ma passion pour les vieux films d'horreur et de science-fiction me paraissait ridicule, plus que jamais. Pourquoi? aucune idée, puisque je savais que Louis-Marie ne serait pas du genre à poser un jugement, mais bon.
• FIN DU FLASHBACK •

Le fait qu'il me dise qu'il avait été chanceux de tomber sur moi ne me laissa pas indifférente, évidemment, je me considérais plus que chanceuse qu'il soit apparût dans ma vie, aussi spontanément, mais mon affection particulière, je la maitrisais mieux à présent, les effets restaient les mêmes, j'étais seulement plus en mesure de les dissimuler. Je le suivis du pas, quelles fesses il avait. Souvent, dans de différents laps de temps j'avais comme des images, une vidéo qui tournait dans ma tête qui me montrait moi et Loulou faire des choses très trèèès malsaines. Ça arrivait quand je voyais ses fesses parfois, où quand il me touchait d'une façon quelconque, je fantasmais. Mais tout ça c'était entre moi et Jésus bien entendu. Je le dépassa et en me tournant, les cheveux dans le vents comme une Victoria's Secret, bah comme une Autumn parce que j'étais mieux qu'une Victoria's secret. Enfin je lui dis


• Yeah, that's kinda right ... you're really lucky to have me, I mean, you know just spending the day with me make you special, plus, you actually had me in bikini. So that means that you are like ... GOD for the mens. Haha just kidding, I think I'm really lucky to have you, you're so special, different ... you shine in your own way. Oh and you are hell of a rockstar.
  Oui, c'est un peu vrai, tu est vraiment chanceux de m'avoir, je veux dire, tu sais le simple fait de passer la journée avec moi te rend spécial, en plus, tu m'as eu en bikini. C'qui veux dire que tu est genre ... DIEU pour la gente masculine. Haha, c'est des blagues, je crois que JE SUIS vraiment chanceuse de t'avoir, tu est tellement spécial, différent ... tu rayonne à ta façon. Oh et tu est une putain de rockstar.
  
  Ensuite il sembla ... troublé. Il y avait des instants parfois, où il partait dans un univers parallèle au mien, dans ces moments, j'avais seulement envie de lui ouvrir la tête pour savoir ce qui s'y cachait, ce qu'il me cachait où ce qu'il n'osait pas dire. J'avais envie qu'il m'en parle, je voulais vraiment être une partie de sa vie, en faire partie tout court.
  
  
• Again ... you did that face, you know, the serious face, wich means that you're not 100% happy. You know, I wish that one day, I'll be important enough to have you telling me what bothers you.
  Encore ... tu a fais ce visage, tu sais le visage sérieux, ce qui veux dire que tu n'est pas 100% heureux. Tu sais, j'espère réellement qu'un jour, je serais assez importante pour que tu puisse me les dire, ces choses qui te trouble.
  
  C'était le temps de continuer à marcher, je lui souris pour essayer de le réconforter, l'air était douce, pour moi tout allait bien ... c'était pas la catastrophe pour lui non plus. La vie était une chienne et moi, je ne faisais que bronzer.

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FLASHBACK ;

Louis-marie et Autumn avaient eut le temps de faire un grand tour sur le campus . Elle lui avait montré tous les endroits cool qu'il avait rêvé de voir, ainsi que les places mythiques du campus, et ça le faisait rêver . Ils avaient aussi put faire connaissance et se rendirent compte qu'ils avaient énormément en commun . Ils aimaient les mêmes choses, avaient les mêmes gouts et même quand ils n'étaient pas d'accord ça se terminait en symphonie de rires incessants dont Louis marie ne se serait jamais lassé .
En visitant, encore et encore, ils tombèrent nez-à-nez avec un marchant de glaces français . Les yeux de louis-marie se mirent à rayonner . Autumn était en train de lui raconter une anecdote cocasse sur ses vacances dernières mais il l'a coupa brusquement en l'entrainant devant ce marchand de glaces . "Bonjour, je prendrais une glace vanille et ..." commença Le français en s'adressant au vendeur qui lui aussi était français . Il se tourna vers Autumn, tout sourire et lui demanda ;" What do you want sweety ? The ice cream strawberry is just ... hmm!" Il parlait en agitant les bras d'une manière craquante , et la jolie blonde haussa les épaules en souriant . "et une glace à la fraise alors ." termina Louis Marie au vendeur . le vendeur semblait content de trouver un français dans ces quartiers . Il expliqua à louis que c'était assez rare mais que quand il en trouvez un il était content, il prenait des nouvelles du pays et rigolait bien , à la française . le jeune homme lui expliqua comment il était venu et que l'homme allait certainement avoir d'autres visites de français, et ça le mit de bonne humeur alors il leur offrit les deux glaces . " content d'avoir discuté avec toi petit . prend bien soin de ta petite amie , les femmes sont des perles elles sont très rares . " Louis-marie lui adressa un clin d'oeil en levant sa glace vanille en signe de remerciement puis tendit celle à la Fraise à la douce Autumn . petite amie ? ce fut une situation que Louis trouva drôle , ne sachant pas si Autumn avait comprit ce que racontait le vieux français . Il l'a prit par l'épaule et l'embrassa sur la joue , a nouveau en route vers de nouveaux lieux palpitants .
et puis Autumn lui avait proposé d'aller voir un vieux DVD anglais, alors Louis Marie avait accepté sans rechigner , il adorait les vieux films, et il adorait autumn .. what else ?
FIN DU FLASHBACK .

La plage se vidait petit à petit, pour ne laisser que Louis-marie et Autumn en tête à tête avec la mer qui se rabattait à intervalle régulier sur leurs pieds nus . Ils étaient toujours enlacés , en train de marcher le visage heureux et libre . La douce brise qui soufflait faisait du bien à Louis-Marie , c'était doux et plaisant , il aimait être là avec Autumn , elle était une fille si géniale et intéressante .
Ils marchèrent une bonne dizaine de minute sans parler, au moins . Ils souriaient juste bêtement, songeant à des choses aux quelles ils n'auraient jamais dut songer , mais pourtant ils le faisaient car c'est plus fort qu'eux, ils ne peuvent s'empêcher d'y penser . Vous comprenez ? Louis-marie ne savait plus exactement quoi dire , ses pensées s'étaient noyées dans l'eau bleu azure de la mer qu'il adorait contempler . mais ce qu'il aurait adoré voir également aurait été un couché de soleil . Quand le soleil se couche sur l'horizon , il plonge dans la mer et se fait emporter par les vagues , c'est une scène admirable que Louis-marie n'aurait voulu rater pour rien au monde . Il doit bien en exciter des couchés de soleil en Californie, mais ils sont certainement différents de ceux qu'il avait put admirer en France .

- you think that we shall have opportunity to admire a sunset?
tu penses que nous aurons l'occasion d'admirer un coucher de soleil ?

Il n'y avait rien de plus romantique . C'était un vieux cliché repris bien trop de fois lors de chef d'œuvres cinématographiques et films à l'eau de rose, mais ça marchait à tous les coups, et était provocateur de coups de foudres .
Quand il allait en corse il se mettait au bord de la plage, sur son transat habituel qui lui était réservé à l'année , et il était là, avec son petit carnet . Et puis il composait, il écrivait , il pensait . Il faisait du ménage dans son esprit car toutes ses pensées nocives étaient emportées avec la mer par toutes ces vagues, et disparaissaient totalement une fois que le soleil se couchait . C'était un phénomène que Louis-marie ne le lassait jamais d'admirer , ça lui faisait du bien, c'était revigorant .

• Direction, corbeille du RP, nettoyage de printemps.