the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

Partagez

Flashback - Catahleen&Fleur

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Zachariah La Tour Dubois
there's no place like berkeley
Zachariah La Tour Dubois
prénom, pseudo : Stéph'
date d'inscription : 12/08/2009
nombre de messages : 38933
disponibilité rp : malia ; ness ; camryn ( ff zaislynn)
avatar : joseph morgan

Flashback - Catahleen&Fleur Empty
MessageSujet: Flashback - Catahleen&Fleur Flashback - Catahleen&Fleur EmptyMar 22 Jan - 10:50

Flashback - Catahleen&Fleur 4g6mnr
'Cause ... You're ma flatah.
flashback → 2011 ; ❝ Les vrais amis sont ceux qui nous aident, sans qu'on leur demande. Ceux qui ne se défilent pas lorsqu'on ne va pas bien, et prennent le temps de nous écouter. Ceux qui malgré les circonstances restent présents. Les vrais amis on les retrouve quand ça va mal, pour nous guider sur le bon chemin. Ce sont ceux qui accourent pour nous consoler, pour essuyer nos larmes, quand la vie nous blesse. Ceux qui comprennent notre chagrin sans poser de questions, et sont présents par de petits gestes. Les vrais amis on n'en a pas beaucoup. Mais on sait que peu importe la situation, ils seront là pour nous. ❞ Catahleen Hammersmith & Fleur La Tour Dubois ; Vivre la naissance d'un enfant est notre chance la plus accessible de saisir le sens du mot miracle.

Une pluie sans fin ruisselait le long des carreaux. Le temps était aussi maussade que mon humeur. Je posais mon stylo et fermais mon livre d’histoire de l’art. Ne répondant pas au regard intrigué que me lançait ma meilleure amie, je soupirais avant de me lever difficilement de mon siège. Coinçant l’une de mes mains dans le creux de mes reins, je me postais devant le miroir plein pied de Catahleen. De profil, on pouvait distinguer mon ventre plus que rebondi. Proche du terme, je n’en pouvais plus. Je n’avais qu’une hâte : que mon futur enfant pointe le bout de son nez afin que je puisse le choyer et l’aimer comme il se devait. A ce moment, je ressentis un coup de pied ( ou de main ), qui me fit sourire. Je déposais ma main à l’endroit où mon bébé venait de se manifester en espérant pouvoir le sentir de nouveau. Je pris ce coup comme un signe. Lui aussi avait hâte de découvrir le monde et plus particulièrement ses parents. A travers le reflet du miroir, je vis que l’autre alpha me contemplait sans rien dire. Je me retournais très légèrement vers elle avant de lui confier l’angoisse qui me taraudait depuis de longues semaines. « Je sens que Constance n'apprécie pas le couple que je forme avec Drew. Tu crois qu’elle aimera son neveu ? » Connaissant ma sœur cadette et son inaptitude à supporter les enfants, j’avais réellement peur de la voir rejeter mon fils. J’en étais la première malheureuse car je jugeais Constance comme étant la prunelle de mes yeux. Dans ma famille, personne n’avait plus d’importance qu’elle. Alors si jamais elle ne s’entendait pas avec mon enfant … Non, je ne pouvais pas envisager une telle éventualité sous peine de me déclencher une dépression nerveuse. Ce qui serait excessivement mauvais pour mes derniers jours de grossesse. De la tranquillité et du repos avait dit le médecin. Fallait à dire, beaucoup moins à appliquer. Je ressentis un deuxième coup avant qu’une contraction plus forte que toutes celles que j’avais eues précédemment ne me fasse grimacer de douleur. Ô joie et bonheur de la maternité. La dureté de mon ventre, prouvait toute l’étendue du mal être que je percevais. J’inspirais tout doucement avant d’expirer tout aussi légèrement. Une contraction refit surface et c’est en baissant mes yeux vers le sol que je compris que je venais de perdre les eaux. J’allais donc accoucher incessamment sous peu. Ce qui n’était absolument pas prévu car j’étais en avance sur le terme. Je relevais mon regard paniqué pour fixer inlassablement ma meilleure amie. « Il arrive. Tout de suite. Il va naître. Dans ta chambre. » Murmurais-je, mes yeux sortant presque de mes orbites. Je secouais mon visage de gauche à droite, de façon négative. Non, il ne fallait pas que je cède à l’angoisse qui montait en moi. J’avais tout le temps nécessaire pour me rendre à la clinique, voir une sage-femme et un gynécologue avant de voir la frimousse de mon fils. Il n’était pas envisageable un seul instant que je donne la vie sur le lit de Catahleen. Crispée, je me mis à tourner et retourner dans la pièce en cherchant avec une énergie folle mon cellulaire. Je ne faisais même plus attention si Catahleen m’aidait ou si elle était restée assise sur sa chaise. Je m’en fichais. Les nerfs avaient pris le dessus. Ne trouvant pas mon téléphone portable, j’explosais. « Trouve mon téléphone! Appelle une ambulance, vite, vite vite ! » La Fleur mature, posée et toujours maîtresse de ses émotions n’existait plus. Je n’étais plus qu’une jeune femme sortant de l’adolescence qui aurait un enfant d’ici quelques heures. Et je n’étais pas préparée. Définitivement pas prête à me retrouver avec un bout de chou dans les bras. Je venais tout juste d’en prendre conscience. Je fermai les yeux à cause d’une énième contraction qui me fit souffrir. Les services médicaux ne tardèrent pas à arriver et ils me forcèrent à l’allonger sur une espèce de brancard pour me déplacer et surtout pour ne pas fatiguer. J’agrippais la main de Catahleen comme une folle en roulant des yeux vers elle. Il manquait quelqu’un à l’appel. Le plus important. « Où est Drew ? » Chuchotais-je affolée à l’idée que le père de mon enfant ne soit pas présent pour la naissance de son fils. Pourquoi n’était-il pas là avec moi ? Si j’étais dans cet état, c’était de sa faute et monsieur ne daignait pas se présenter au pire moment de ma vie. J’attrapais le col de la veste de ma meilleure amie avec une violence inouïe. Elle ne mit pas deux secondes à se retrouver contrainte de se baisser. Les traits de mon visage se convulsaient au fur et à mesure que les contractions arrivaient et il était clair qu’elle n’avait pas intérêt de se plaindre de ma non douceur car avec mes hormones en furie, j’aurai pu commettre un meurtre. « Fais en sorte qu’il se ramène en vitesse. Harcèle-le de sms et d’appels s’il le faut. Retourne tout San Francisco. Je le veux avec moi. » Énonçais-je sur un ton qui n’admettait pas de refus. Je malmenais ma pauvre Catah’ qui ne devait plus savoir où donnait de la tête. Un ambulancier me tapota la main comme pour me calmer. Or je n’avais pas de compassion mais d’une chambre en clinique privée. Épuisée, je fermais les yeux avant de renverser ma tête contre le brancard. Et nous voilà partis, gyrophares allumés et sirène hurlante. J’ancrais mon regard dans celui de la deuxième alpha. A défaut d’avoir mon petit ami officiel ( ahah ) à mes côtés, j’avais ma flatah.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Flashback - Catahleen&Fleur Empty
MessageSujet: Re: Flashback - Catahleen&Fleur Flashback - Catahleen&Fleur EmptyJeu 24 Jan - 12:55


❝Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé.❞ D’une humeur morose, j’attends avec impatience d’avoir des nouvelles de ma sœur jumelle Aubrey. Elle ne m’avait donné signe de vie depuis plus d’une semaine, et cela n’était absolument pas normal. J’étais donc dans ma chambre, j’étais précisément en train d’étudier comme à ma grande habitude, la plupart de mon temps je le passais dans ma chambre ou alors à la bibliothèque. Etudier pour moi n’étais pas qu’une simple obligation pour passer mon année supérieur pour moi ça se révélait être une grande passion comme la plupart des alpha. Ma Flatah qui se trouver en face de moi avait cette passion commune avec moi, cependant depuis bientôt neuf mois elle été préoccupé plutôt par autre chose, sa grossesse. Depuis quelques mois elle était en couple avec Drew Mcffenders. Le jeune homme en avait subit des choses pour avoir le privilège d’appeler Fleur « sa petite amie » même plus sa petite amie officielle. Il était passé par l’épisode rencontre avec le père de la jeune femme pour lui demander sa main. Mais le pire s’était passé en début d’année à un certain bal, quand celui ci lui avait fait sa déclaration officielle. N’étant pas une grande fan du grand amour, j’avais trouvé cette déclaration plus désespérante que romantique. Mais Fleur quand à elle vivait un bonheur parfait je ne pouvais donc qu’être heureuse pour elle étant ma meilleure amie. Revenons à aujourd’hui, elle été là devant moi, à observer son ventre pleinement rebondi, et je pu observé les traits de son visage étiré de bonheur. Le bébé quand à lui avait l’air d’être en pleine forme puisque je la voyais se tordre et se toucher le ventre avec une petite grimace. Je souriais, et je répondis à ses dires. « Très franchement je ne sais pas. Je ne la connais pas tellement et elle n’a pas l’air de vraiment apprécier Drew, mais à coté de sa il s’agit quand même d’un enfant qui aura le même sang qu’elle donc elle pourrait l’apprécier. » Je tentais de lui répondre du mieux que je le pouvais, mais je n’étais pas assez proche de Constance pour avoir le ressentis de celle ci. J’essayai donc de faire avec les renseignements que je connaissais. Ce qui est sur, c’est que si sa sœur ne serais pas là pour elle et le bébé, moi je serais toujours la pour l’aider du mieux que je peux, elle est mon amie et je ne l’a laisserai pas tomber. Fleur se tordait de douleur et là je compris très vite que ses douleurs était en réalité des contractions, ce qui annoncer que le travail avait commencé et que le bébé arriverai incessamment sous peu. Je me levai rapidement de sur mon lit, pour aller la rejoindre devant le miroir, elle essaya de souffler, mes ses souffles été accompagné d’horrible cris de douleurs. Je ne savais pas quoi faire, j’avais beau avoir un QI supérieur je n’étais pas habitué a ce genre de scène. Très vite, j’attrapai mon téléphone, pour appeler le service médicale, ils avaient intérêt a venir le plus vite possible. Je m’imaginai déjà moi, les mains dans la zone intime de mon ami, pour y sortir une chose de son corps. Non je ne pouvais pas l’envisager. « Non certainement pas la chambre vient à peine d’être réaménagé avec de nouveau tapis. » Oui quelques jours avant il y avait eu de la casse chez les alphas, suite à des objets lancé par les fenêtres. Bref, je lui tenais le bras pour l’aider à s’asseoir attendant sagement l’ambulance. « Allez souffle comme moi. » Je m’efforçai de faire le souffle du petit chien auprès d’elle, et je m’étonnai moi même de le faire aussi bien. « Ne t’en fais pas j’ai déjà appelé l’ambulance, ils arrivent. S’il te plait retient le du mieux que tu peux, il ne faut pas qu’il sorte. » La porte s’ouvrit et mon bonheur fut complet quand je vis les jeunes homme avec un brancard, cette fois ce fut un souffle de soulagement qui sortie de ma bouche. Une fois ma Flatah installé, je me relevai et elle me tira vers elle avec sa main, Drew, c’est vrai je ne l’avais pas prévenu. Encore une fois je sortie mon téléphone pour essayer de le joindre, et bien entendu je tombais sur le répondeur. « Drew, Fleur va accoucher, dépêche toi de venir, on nous emmène à l’hôpital rejoins nous le plus vite possible. » Une deuxième fois elle me tira vers elle mais cette vois, avec une violence puissante. Le col de mon pull avait pu le constater. Elle me demanda de trouver Drew, comment est-ce que j’allais pouvoir faire ça, je n’avais aucune idée d’où il pouvait se trouver, ou bien de ce qu’il pouvait faire. Je le savais ce matin en me levant que ça ne serait pas une bonne journée. En route pour l’hôpital je tenais toujours fermement la main de mon amie, pour qu’elle puisse se détendre un peu. Quand à moi, ça avait plutôt l’effet inverse, puisque je ressentais cette douleur le long de mes petits doigts compresser par la deuxième alpha. De ma deuxième main, j’appeler encore et toujours le delta et intérieurement je priais pour qu’il arrive au plus vite, que je puisse partir de ce cauchemars. Oui je l’aimais ma Fleur, mais pour rien au monde je n’aimerai vivre un tel évènement. Arrivé à l’hôpital, Fleur fut emmenée dans une pièce ou je ne pouvais pas entrer, j’avais lâché sa main au dernier moment et elle me lança un regard d’espérée. C’est a ce moment là que le médecin me demanda si j’allais assisté à l’accouchement. N’ayant aucune nouvelle de Drew je répondis un oui méfiant, mais un oui quand même. J’enfilai une blouse, un masque, et je pénétrai dans la salle où Fleur était en position pour accoucher. Catah prépare toi, ce n’est que le début j’en ai peur.


Revenir en haut Aller en bas
Zachariah La Tour Dubois
there's no place like berkeley
Zachariah La Tour Dubois
prénom, pseudo : Stéph'
date d'inscription : 12/08/2009
nombre de messages : 38933
disponibilité rp : malia ; ness ; camryn ( ff zaislynn)
avatar : joseph morgan

Flashback - Catahleen&Fleur Empty
MessageSujet: Re: Flashback - Catahleen&Fleur Flashback - Catahleen&Fleur EmptyJeu 24 Jan - 22:26

Flashback - Catahleen&Fleur 4g6mnr
'Cause ... You're ma flatah.
flashback → 2011 ; ❝ Les vrais amis sont ceux qui nous aident, sans qu'on leur demande. Ceux qui ne se défilent pas lorsqu'on ne va pas bien, et prennent le temps de nous écouter. Ceux qui malgré les circonstances restent présents. Les vrais amis on les retrouve quand ça va mal, pour nous guider sur le bon chemin. Ce sont ceux qui accourent pour nous consoler, pour essuyer nos larmes, quand la vie nous blesse. Ceux qui comprennent notre chagrin sans poser de questions, et sont présents par de petits gestes. Les vrais amis on n'en a pas beaucoup. Mais on sait que peu importe la situation, ils seront là pour nous. ❞ Catahleen Hammersmith & Fleur La Tour Dubois ; Vivre la naissance d'un enfant est notre chance la plus accessible de saisir le sens du mot miracle.

Je vais mourir. Sous l’effet de la douleur, j’avais envie d’hurler, de me rouler par terre ou de tomber dans les pommes afin de ne plus rien ressentir du tout. Catahleen remarqua que mon attitude n’était pas normale car en deux – trois mouvements, elle se retrouvait à mes côtés. J’avais effectivement besoin de son soutien mais encore plus d’un péridurale pour me soulager de ces contractions qui tendaient la peau de mon ventre. J’énonçai alors ma frayeur quant au fait d’accoucher dans sa chambre. Et elle, me répondit fanfreluches. « Mais je m’en fiche de tes tapis ! » Dis-je presque agacée qu’elle ose s’inquiéter d’une telle futilité. Et ma souffrance passe en deuxième position. Avec mon surplus d’œstrogène, il fallait que je me calme rapidement parce que sinon, je serai bien capable de l’agresser ( pas physiquement cela va de soi, je n’étais pas en état ). Je levais les yeux vers ma meilleure amie en ouvrant la bouche en un O énorme. « Comment veux-tu que je me retienne ? Ce n’est plus moi qui décide. » Lâchais-je en posant mes mains sur mon ventre comme mon inciter mon fils a rester bien au chaud. Je n’étais plus la dirigeante de mon destin et encore moins de mon propre corps. La vie qui avait grandi en moi durant de nombreux avait apparemment cru bon de pointer sa bouille aujourd’hui même. Et dire que je n’avais toujours rien préparé pour sa venue. Je me sentais démunie et terriblement en dessous de tout comme mère. Je n’assurais pas. Les ambulanciers m’aidèrent et Catahleen comme d’habitude toujours aussi adorable m’accompagna vu que Drew était à l’abonné absent. Un ange cette fille. Dans l’ambulance, Catahleen ne cessait de me répéter que tout allait bien se passer. Qu’il n’y avait pas de raison valable de paniquer. Ah bon ? Pourtant, j’en voyais des dizaines de raisons de crier ma peur. Une fois à la clinique, on m’emmena pour me préparer et c’est un regard empli de détresse que je lançais à la jeune Hammersmith avant qu’elle ne disparaisse de mon champ de vision. Dans la salle de travail, prête à subir le pire moment de mon existence, je désespérais de revoir le visage familier de ma meilleure amie. Elle n’était pas de la famille alors peut-être qu’on ne lui permettrait pas de venir à mon chevet. Ou alors, elle ne souhaitait pas assister à ce spectacle qui s’avèrerait répugnant, je le pressentais. Ravalant les larmes qui me montaient aux yeux et qui menaçaient de s’écouler dans les secondes suivantes, je respirais fortement et émit un soupir de soulagement lorsque je vis la frimousse de Catah’. Sauvée, je l’étais. Elle s’approcha de moi et je lui murmurais sur le ton de la confidence. « Ils ne t’ont pas privé de ton cellulaire ? » Epuisée alors que je n’avais pas encore commencé le plus dur, je n’en restais pas moins maligne. Mon alpha favorite me fit des gros yeux et sortit de sous sa blouse ce précieux ustensile. Je m’en emparais sans tarder en ignorant royalement les cris de la sage-femme qui me sommait de ne pas l’allumer car les ondes et les machines auxquelles j’étais reliée ne feraient pas bon ménage. Comme si je m’en souciais. Je composais avec frénésie un numéro que je connaissais par cœur depuis plusieurs mois et la sonnerie m’irrita les tympans. « Vous êtes bien sur le répondeur de … » et blablabla « Laissez-moi un message … » et blablabla « Je vous rappellerai … » et blablabla. Je fermai les yeux trois secondes, le temps d’entendre le bip. « La Tour Dubois ! C’est le nom que ton fils va porter si jamais tu ne viens pas dans la minute qui suit ! Pour faire perdurer ton nom, tu n’auras qu’à engrosser toutes les poufiasses qui hantent l’université ! Je serai officiellement indisponible pour toi ! » Ouais officiellement, j’espère que tu as bien compris ce que ce mot signifiait. Raccrochage. Soupir de soulagement. Je venais de m’enlever un sacré poids su cœur. Maudire Drew l’espace d’un message avait fait retomber toute l’adrénaline qui m’était montée au cerveau. Je rendis le téléphone portable à sa propriétaire et je me remis du mieux que je pus pour avoir ( du moins tenter d’avoir ) une position un peu plus confortable. « Ne fais jamais d’enfant avec Edward. » Affirmais-je avec force à l’intention de Catahleen qui avait repris ma main pour m’apaiser. Je n’abordais que très peu le sujet de l’epsilon, sachant pertinemment qu’elle était très secrète sur ses sentiments avec lui. Mais je n’en pouvais plus. La gente masculine m’horripilait et ils en prenaient tous pour leur grade. « Si tu veux un bon conseil, émascule-le dans son sommeil sinon c’est toi qui ressemblera bientôt à une baleine et qui souffrira mille maux. » Je n’eus pas le temps de poursuivre mon merveilleux monologue à l’encontre des hommes et de tout le malheur que je leur souhaitais car le gynécologue entra dans la salle et je sus immédiatement que les choses sérieuses allaient commencer. Que dieu me préserve.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Flashback - Catahleen&Fleur Empty
MessageSujet: Re: Flashback - Catahleen&Fleur Flashback - Catahleen&Fleur EmptySam 26 Jan - 23:00


❝Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé.❞ De ma vie je n’espérai pour rien au monde vivre ce qu’elle été en train de subir actuellement, ont m’a toujours dis que la grossesse était un évènement des plus merveilleux, Fleur me l’avait elle même dit. Mais très franchement en voyant son état de douleur et de détresse je venais à me poser la question si oui ou non j’avais envie de vivre un jour cette chose. Je ne sais pas, il va me falloir de longues heures de négociation avec Edward pour lui faire oublier qu’il veut des enfants. « Oui pardon, tu me stresse, je suis stresse avec tes histoires de contraction là. » Ba alors Catah un peu de sang froid, reprend toi un peu. Ton ami vis un des pires moments de sa vie et tu perd complétement le contrôle de toi même. Je sentais Fleur de plus en plus agressive avec ma personne, je ne l’avais jamais vu dans un tel état. Je ne savais pas vraiment quoi faire pour la détendre, et en réalité quoi que je fasse je pense que rien maintenant ne pourrai la calmer. « Je sais bien, mais tu pourrai déjà commencer par te calmer et peut-être qu’en dessous il se calmera aussi. » lui lançai-je sur un ton des plus calme mais prononcé quand même. Habituellement que très peu sensible à ce genre de chose, j’éprouvai pour mon ami beaucoup de compassion quand à sa douleur qui m’avait l’air tout simplement atroce. Mais aussi pour mes nouveaux tapis qui étaient à présent rempli de liquide amniotique, dégageant une odeur proche des bouches d’égout du quartier. Satané tapis tout neuf, maintenant bousillés, je n’oublierai pas d’envoyer la note du pressing à la La Tour Dubois. J’étais là prés d’elle, je l’accompagnerai jusqu’au bout si Drew ne pointai pas vite son nez pour aider sa futur femme. Et s’il ne venait pas, j’allais moi même lui faire la moral, j’irai le chercher, le tirer par la peau des fesses, et lui dire ma façon de penser. C’est bien beau de faire des déclarations officielles devant des centaines de personne, mais si derrière ça ne suis pas, rien ne va plus. Je me demande bien qu’est-ce qu’il peut faire pendant que sa femme vis un moment aussi atroce que ça ? J’espère pour son propre bien qu’il a une bonne excuse quand à cet absence. Dans l’ambulance qui était enfin arriver, je repris mon téléphone et laissa un second message à monsieur Drew. « Drew Drew Drew, laisse moi te dire que là maintenant il serait temps que tu vienne, le temps presse, elle va sortir ton bébé d’une minute à l’autre, si tu ne te dépêche pas, j’envoi le père de Fleur venir te chercher, et il sera beaucoup moins patiente que moi. Alors fais le bon choix. » Abrutit, oui là tout de suite je le déteste. Arrivé a ses cotés dans le bloc opératoire, elle me posa la question de savoir si oui j’avais mon téléphone. « Evidemment que non, tu sais bien que j’ai une cachette imparable. » Oui normalement je n’avais pas le droit de le garder, mais contenu de la situation actuelle j’avais plutôt intérêt de la garder. Je l’observai prendre mon cellulaire et crier corps et âme à l’attention de Drew, le pauvre, il allait en prendre pour son grade. Mais la la gynécologue entra dans la salle et me demandais sur le champ si c’est moi qui allait assisté je répondis d’un oui hésitant, et me plaça a coté de ma flatah. Bon sang qu’est-ce qui m’a pris de dire oui, là tout de suite je sentis le stresse monter en moins et pourtant ce n’est pas moi qui devrais être dans cet état. Le travaille avait commencé je le senti dés lors que je senti Fleur s’emparé de ma main et de crier de toute ses forces. Ma main n’allait pas survivre à une tel pression, je me baissai presque à sa hauteur tant je soufrai, bouche ouverte, yeux écarquillé, je n’avais qu’une envie lui en foutre une pour une pleine vengeance à la Hammersmith. La tête venait de faire son apparition et ça annoncé donc la fin de notre souffrance partagée, MA souffrance, quand tous ça sera fini, je ne tarderai pas à appeler mon kiné. Ma main été d’un rouge écarlate et dégoulinante à presque en devenir dégoutant. LE supplice été maintenant fini, le petit passage émouvant de Fleur et son minuscule petit bout qui n’avait rien de craquant pour l’instant, mais pour le sport j’allais prétendre le contraire. Après tous un bébé à la naissance n’a rien de magnifique. « Félicitation ma Flatah. » lui lançai-je touchée, mais je n’allais pas l’embrassé tant elle transpirer. Je sorti de la salle de travaille et je vis Drew courir au loin. « Et bien il serais temps, tu a tout raté, c’est un garçon et il se porte très bien. Merci grâce à toi je vécu un moment que je n’oublierai jamais. Et j’ai perdu ma main au passage.» Lui dis-je sarcastiquement. C’est ainsi qu’un nouveau petit Mcffender-La Tour Dubois fis son apparition.




Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

Flashback - Catahleen&Fleur Empty
MessageSujet: Re: Flashback - Catahleen&Fleur Flashback - Catahleen&Fleur EmptyDim 3 Fév - 19:57

:out:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Flashback - Catahleen&Fleur Empty
MessageSujet: Re: Flashback - Catahleen&Fleur Flashback - Catahleen&Fleur Empty

Revenir en haut Aller en bas

Flashback - Catahleen&Fleur

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» flashback
» Flashback -- LINA&ERWAN
» [Flashback] Roadtrip - Ft. The Family
» FLASHBACK •• One happy family.
» [FlashBack] The perfect alternative

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-