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Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin

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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin - Page 2 EmptyMar 24 Fév - 17:06

Tout se passait bien dans a petite vie tranquille de notre petit fils à papa Russe et à Maman française… C’est vrai après tout, il était là, assis devant un film des plus géniaux, grandiose ! Avec à ses côtés, celle qui faisait battre son cœur. A vrai dire, il avait mieux à voir que ce film… La robe de Roxanne était si fine, qu’on eut cru qu’elle fut taillée pour elle. Ses courbes, ses hanches, la chute de ses reins, ses cuisses et même ses interminables jambes… Pour lui, elle était comme nue. Lui qui avait tant de fois déjà exploré son corps parfait, couvert de baisers ses membres bronzés et caresser sa peau veloutée… Il était capable de transpercer ce morceau de tissu sans le moindre mal en imaginant brièvement sa maîtresse, intégralement dénudée… Quel petit pervers me direz-vous ! Certes un peu. Mais elle était la fautive ! Mademoiselle Dickens avait pervertit notre ingénu intellectuel ici présent. Elle l’avait amené à découvrir ses vices cachés, à les approfondir aussi mais surtout à les multiplier. Plus le jeune homme passait du temps à elle, et plus il avait envie de lui faire l’amour. C’était comme une drogue. Au début tu as peur, ensuite tu trouves ça bien, mais plus tu y goûtes… Et plus tu en veux. Arsène ignorait cela possible. Comment pouvait-on s’attacher autant à un seul être ? Comment notre corps pouvait-il ainsi nous trahir sous ses pulsions et ses désirs ? C’était une forme… D’inconscient subconscient ? Un vice de fabrication ? Une erreur ? Ou étai-ce simplement le résultat d’une union charnelle parfaite et merveilleuse ? Parfois, cette addiction effrayait l’Alpha qui préférait taire ses envies au risque de frustration plutôt que de céder et toujours se demander si ce qu’il faisait pouvait être considéré comme « bien ». Après tout, bon nombre de personnes lui reprochaient cette relation, en particulier les connaissances, famille et amis de la belle qui ne manquaient pas de lui rappeler qu’au moindre faux pas il devrait faire attention aux coups de couteau dans le dos – sait-on jamais. Arsène n’avait aucune confiance en lui, c’était bien connu, or donc cette pression n’était pas tellement la bien venue. Il se sentait parfois oppressé et observé alors qu’il marchait simplement pour s’acheter son déjeuner ou autre… Des regards lourds, des regards noirs. Que pensaient-ils de lui, tous ces gens, pour lui en vouloir autant ? Qu’avait-il fait sinon tomber amoureux de la blondinette ? Avait-il une tête de psychopathe masochiste prêt à mutiler sa petite amie pour son bon plaisir pervers ? Pas vraiment non… A moins qu’ils le considèrent tous comme « trop naïf » pour une fille comme elle. Trop con en somme. C’est cela oui… Mais qu’ils aillent tous se faire voir ! Il ne cèderait pas… D’abord parce qu’il n’en voyait pas l’intérêt, et ensuite parce qu’il se moquait éperdument qu’on le vilipende.

Le téléphone de la jeune femme sonna, dérangeant par la même occasion tous les spectateurs autours… Quoi que pas tellement en fin de compte puisqu’ils semblaient tous trop occupés à se rouler des pelles plutôt qu’à suivre un traître mot de ce qui se racontait à l’écran. Seul Arsène donc se contenta de lever les yeux en l’air, l’air de dire « Binh tiens, heureusement que je lui ais dit de l’éteindre… ». Seulement alors qu’il s’empressa de l’embrasser, le cœur allégé par sa confession de tout à l’heure, un méchant geste désapprobateur le contraint à retirer vivement son bras et même à se reculer. Elle le fusillait littéralement du regard… De la même façon que si elle venait de le trouver dans ses draps avec une autre fille. L’estomac du jeune homme se noua et semblait remonter le long de sa gorge jusqu’à l’empêcher presque de respirer. L’angoisse et le goût amer de l’attente, comme s’il suçait une pièce de monnaie. Deux visages s’opposaient, deux expressions totalement différentes voire opposées. Celle d’un garçon – coupable – candide qui observait le moindre mouvement de sa petite amie avec incompréhension tandis que cette dernière menaçait de l’égorger. Le mouton et le loup… Le dandy ravala sa salive tout en enserrant son dossier de sa main appuyée dessus. What else ? Une gifle… Non, pire que ça, un véritable gourdin vint lui frapper la joue droite de plein fouet et le griffer par la même occasion en un claquement sec qui fit se retourner tous les étudiants autours d’eux. Il ne comprenait plus rien… Il n’arrivait d’ailleurs même plus à savoir s’il devait être triste, en colère ou simplement humilié… Ses grands yeux bleus écarquillés, il restait là, assit sur sa chaise, le visage blême et l’air complètement ahuris tandis que quelques rires se faisaient entendre. Roxanne partit… Laissant seul son cavalier en chemise blanche se retourner face à tous ces gens et leur adresser un bref sourire gêné genre « Oh c’est rien, j’ai l’habitude vous inquiétez pas, dans 30 minutes c’est fini. » N’empêche qu’il n’allait pas rester là à prendre racine comme un vulgaire baobab ! Quittant son appui il se pinça la lèvre inférieure presque jusqu’à sang, la colère lui brouillant les sens. Oui… Une haine terrible venait de lui prendre les tripes jusqu’à l’en faire écumer de rage. Sa main se détacha de sa joue endolorie avec plusieurs tâches de sang. Cette fois… S’en était trop. Les membres tremblants, Arsène se détacha de la foule, tête baissée et regard sombre… Plus noir que noir, c’était les ténèbres qui l‘entouraient.

Elle était dehors… Et elle s’était arrêtée. Cette salle p*te ! Il venait de lui… De lui dire… Et elle… Assez ! Il n’était pas son jouet ou plus exactement : il ne l’était plus. Refermant la grande porte de la salle sans la moindre douceur, faisant vibrer les parois, il s’arrêta à quelques mètres d’elle mais ne tenta en rien de la retenir… Grimaçant de douleur.

« C’est ça, casse-toi ! Vas-y, j’en ais plus rien à faire de tes caprices t’entends ?! Tu peux… Tu peux te faire sauter par tous les types si ça te chante ! Même par tout Berkeley si tu veux ! C’est ça que tu veux ? C’est ça ??! »

Sa voix était rauque mais malgré tout, on y décelait la fragilité d’un cœur naturellement trop gentil et trop respectueux pour décliner de telles paroles sans en avoir honte… Il reprit, les poings serrés sans cesser de la regarder mais sans approcher non plus. Son cœur lui faisait mal… Jamais il n’avait eut aussi mal jusqu’à maintenant. Plusieurs aiguilles froides s’y enfonçaient mais il n’avait plus assez de fil pour recoudre la blessure purulente qui s’y était formée.

« Bravo… Tu es douée… J’y ais vraiment cru tu sais ? A ton… Histoire d’amour. Oui oui, j’ai été assez con pour croire tout ce que tu me disais. Tu avais prévu ton coup n’est-ce pas ? Tu savais que j’étais la bonne poire idéale pour te rassasier un temps, jusqu’à ce que… Tu te rabattes sur un autre encore plus con qu’moi ? Putain… J’me sens trop bête… C’était pourtant évident ! Merde c’était juste là ! Sous mes yeux !! Comment une fille comme toi pouvait-elle m’avoir soi-disant choisie MOI pour… Ah et puis, pas mal aussi le coup de la fille trop malheureuse qui cherche à se faire aimer… ça aussi j’y ais cru ! Ahah… Tu peux être fière… T’as été… Parfaite… Trop parfaite. Joyeuse Saint Valentin… »

Arsène déglutit avec difficulté et alors que ses poumons se remplissaient d’un air toujours plus glaciale, il réussit à esquisser un sourire jaune. C’était limite s’il ne riait pas de sa bêtise. Bon, elle l’avait bien usé, il l’avait bien fait jouir et maintenant ? Le garçon senti qu’il était temps de partir lorsqu’il ne fut plus capable de contenir ses larmes qui s’écoulèrent à flot de ses yeux rouges. Alors il couru… Ne sachant absolument pas où il allait, n’étant même plus capable de réfléchir. C’était un miracle que ses jambes veuillent bien le soutenir encore alors qu’il tremblait comme s’il fut noyé dans les eaux du pôle Nord. Dans sa course, il croisa plusieurs couples qui s’embrassaient encore ainsi que la fenêtre qui menait au bureau du Doyen. Tout cela n’existait plus, et il refusait de se soumettre à la volonté morbide de cette traîtresse ! Le choc fut brutal… Celui de la collision entre Arsène et un autre élève qui passait, dissimulé par la nuit. Ce dernier pesta en se relevant et s’en alla sans plus faire attention au franco-russe qui demeura allongé sur L’Herbe. Ce que ça faisait du bien cette fraîcheur… Mais il n’y songeait même pas, trop occuper à verser de vraies larmes de crocodile en silence. Au lieu, il rampa jusqu’aux buissons devant et s’y reposa. Là il retira sa veste, ivre de colère, en arrachant quelques coutures, puis la jeta au loin. Il déboutonna ensuite sa chemise sans l'enlever mais en faisant sauter les boutons… Il avait la sensation d’étouffer… Pourtant il amassait le plus d’air possible avec sa bouche grande ouverte. S’allongeant sur le dos, il s’était vidé de ses larmes… Seules quelques récidivistes se manifestaient encore. Sa main quant à elle, arrachait les petites touffes de gazon, une par une… Roxanne… Comment l’oublier ? Elle était son premier véritable amour n’est-ce pas ? C'était à son tour de craquer.
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin - Page 2 EmptyMar 24 Fév - 23:27

    Partir, s'en aller loin de tout ceux qu'elle aimait ou qu'elle avait pu aimer, c'était tout ce qu'elle désirait sur le moment. Comment avait-elle pu se laisser tomber dans les bras du franco-russe alors que la moindre allumeuse pouvait l'avoir... Shiri était le bon exemple, la fameuse fille du sms dont parlait Kendall. Roxanne ne savait pas si elle avait couchée avec lui mais ce qu'elle savait, c'est qu'il ne lui en voulait pas de l'avoir embrassé du moins c'est ce qu'elle comprenait. Fragile, elle ne c'était pas remise de cette nouvelle. Cette sale pimbêche avait osée mettre le grappin sur SON alpha et lui le l'avait même PAS rejeté, quelle honte et l'idée de le vouloir de nouveau dans les bras de son ex était toujours présente. Elle n'avait rien dit, rien expliquer que dalle, elle était juste partie au loin. Gelée de l'intérieur, elle ne voulait plus retourner le voir, plus la distance sera grande et mieux ça sera pour elle. Toujours à fuir ses sentiments, elle n'avait pas changée. Désormais Arsène devait la prendre pour la dernière des s*lopes, elle en était consciente mais elle ne pouvait pas se laisser faire même si elle en tombait éperdument amoureuse. Étouffée par ses craintes, elle ne savait plus quoi faire ni comment lui parler. Son image la poursuivrait encore, celle de la bimbo qui couchait avec un maximum de mecs et pourtant elle en avait marre, marre d'être prise pour celle qu'elle n'était pas. Avant qu'elle ne puisse partir, Arsène c'était planté devant elle, il fermait la porte et avait une main ensanglantée. Elle l'avait giflée un peu trop fort, elle ne c'était pas rendue compte de la force qu'elle avait mise dans sa gifle. Comment avait-elle oser le défigurer ? Elle s'étonnait elle même. Il ressemblait à une brebis égarée qui voulait retrouver son chemin mais qui était toujours perdue. Chaque parole qu'il avait balancé avait fait mal à Roxanne qui répondue aussitôt :

    « Va donc dire ça à cette chère SHIRI, ta nouvelle maîtresse cette espèce de... Comment tu as pu tomber aussi bas, te laisser séduire par cette horreur tu me déçois. Non je ne veux pas me faire tout Berkeley parce que... le seul que je veux c'est toi mais vue le comportement que tu as avec cette sale bêta je ne peux pas te faire confiance et puis... et puis merde j'en ai MARRE ! »

    Déchirée entre l'envie de l'embrasser et celle de prendre la sortie une bonne fois pour toute, elle écouta les nouveaux dires de son interlocuteur. Il avait l'air si mal en point qu'elle avait encore plus mal au fond d'elle même mais, son visage restait vide, impassible comme toujours elle ne montrait rien. De nouvelles paroles blessantes, encore plus que celles d'avant. Comme si elle avait jouée avec lui, comme si toutes les larmes qu'elle avait versée avaient été fausses, comme si... elle l'avait manipulée jusqu'au bout. Non elle ne c'était pas servie de lui comme ' sex toy ' qu'elle jette une fois qu'elle est rassasiée, il n'avait pas la même valeur que tous les hommes qu'elle avait vue passé avant, il était beaucoup plus que ça. Insultée, elle fit mine de ne pas être touchée, comme si elle était intouchable alors qu'elle était pourtant si sensible cependant, elle ne pouvait pas se permettre de ne rien lui répondre.

    « Arrête... je ne suis pas comme ça... Je n'ai pas jouée avec toi mais tu ne me croiras jamais, tu préfère te fier à ce que raconte les autres ou alors à l'image que je peux avoir. Non je ne t'ai pas choisie pour un sale coup mais c'est... »

    Elle se stoppa avant de dire « c'est mon cœur qui ta choisi pour ce que tu es ». A quoi bon ? Elle l'avait beaucoup trop brisé et puis comme d'habitude il croira que c'est un mensonge pur et dur. La jeune Dickens aperçue les larmes du jeune étudiant coulées mais elle ne fit rien. De toute façon si elle l'approchait, il la rejetterait sûrement en pensant qu'elle a de mauvaises intentions envers lui. Il s'éloigna d'elle pour ensuite se retrouvé dans l'herbe. Ne voulant pas le laisser seule, la Zêta le suivi. Roxanne regardait cette scène, quand il s'arrachait les vêtements et qu'il pleurait sans s'arrêter. La souffrance d'Arsène était tellement visible qu'elle ne pouvait plus rester de marbre, elle finie par se laisser tomber sur ses genoux non loin de lui puis à l'aide de ses grands bras, elle attrapa son petit franco russe. Elle le tira avec force pour ensuite déposer ses mains sur la tête de celui-ci. Le collant contre elle, elle finie par lui murmurer :

    « Calme toi, je suis là... »

    Ses yeux se fermèrent doucement. La tête du franco-russe se trouvait contre sa poitrine. Elle passait lentement ses doigts dans la crinière de son cher amant torturé comme si elle cherchait à le rassurer. De son mieux, elle cherchait à le tenir dans son étreinte, elle ne voulait pas le lâcher. Les battements de son cœur se multipliaient comme si il allait se rompre là tout de suite maintenant. Ça suffit maintenant, toutes ces crises, ces tensions... Elle finie par brisé le silence.

    « Je t'appartiens tout entière et je ne veux pas que tu t'en aille. Tu m'as captivé depuis le premier jour j'ai sue que tu n'étais pas comme tous les autres. Quand tu m'embrasse j'ai l'impression d'être transportée ailleurs, dans un autre monde, un monde merveilleux sans problèmes où la haine n'existe pas mais où l'amour est roi. Je ne veux pas que tu pleure par ma faute, je ne veux pas que tu souffre à cause de moi. Tu ne mérite pas ce sort et je veux toujours t'avoir à mes côtés. Ce n'est pas que pour ton physique que je t'apprécie mais aussi pour ce que tu es. Il semble que ces blessures morales ne guériront pas mais celles que j'ai pu te faire au visage, je m'en occuperais. Ton visage, il hante tous mes rêves à présent et ta voix m'apporte la chaleur dont j'ai besoin. Je ne me suis jamais sentie aussi bien avec quelqu'un, c'est fou le bien que tu as pu me faire rien qu'avec quelque mots... »

    Roxanne marqua une pause pour ensuite décollé la tête d'Arsène de sa poitrine. Elle plongea son regard dans le sien avec une certaine lueur et elle se posa de nombreuses questions. Est ce que c'est le moment ? Peut être pas mais si elle ne le faisait pas maintenant, peut être qu'elle n'en aura plus jamais l'occasion. La jeune Dickens ne pu s'empêcher de l'enserrer dans ses bras et de déposer son menton sur son épaule puis elle lui dit enfin ;

    « Arsène je t'aime... »


    Elle l'avait dit sur un ton si sincère qu'il ne devrait pas douter de sa sincérité. Roxanne le serra tellement fort dans ses bras qu'on avait l'impression qu'elle allait l'étouffer. La jeune Dickens se sentait mieux maintenant qu'elle le lui avait dit elle n'aura plus à regretter le fait de ne pas lui avoir dit. Elle finie par le lâcher pour ensuite déposer ses mains dans sa nuque, elle baissa son regard et elle eut la bouche entrouverte.

    « Je t'aime et de tout mon cœur, je n'ai jamais autant aimé de toute ma vie, n'en doute plus... »

    Pour finir, elle s'empara à toute vitesse de ses lèvres ne supportant plus la distance qu'elle avait voulue quelques minutes avant. Elle y mettait le même entrain que quand il lui avait dit ses sentiments à lui. Prise dans son emballement, elle resta prisonnières des lèvres de son Arsène. Roxanne ne souhaitait pas s'en détacher, elle était capable de rester comme ça pendant des heures tellement que c'était agréable de pouvoir lui prouver qu'elle pouvait aimer. Son effervescence n'était pas bien discrète, elle pouvait maintenant lui dire autant de fois qu'elle le voulait les trois mots qu'elle c'était pourtant interdite de dire. La jeune Européenne mit fin à leur baiser après de nombreuses minutes et elle lui susurra :

    « C'est fini maintenant... les aventures... les autres femmes et et les autres hommes... c'est du sérieux entre nous pas vrai ? »

    Il n'avait pas intérêt de se tromper dans sa réponse car la question était importante à ses yeux. Roxanne était toujours dans l'herbe avec son bien aimé. Elle finie par lui sourire à nouveau avec des yeux tellement scintillants qu'on croyait qu'elle allait pleurer alors que non. Arsène ne s'en rendait peut être pas compte mais maintenant il pouvait aussi se dire qu'il pouvait la manipuler, elle c'était dévoilée et ne pouvait plus faire machine arrière, c'était trop tard mais elle n'avait aucun remords, elle savait que lui ne l'abandonnerait pas.
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin - Page 2 EmptyMer 25 Fév - 12:06

Ça lui faisait mal… Mal de se forcer à croire qu’elle avait finalement choisie de jouer avec lui depuis le début. C’est vrai qu’il était une proie facile, lui et son cœur d’artichaut encore vierge de tout sentiment aussi fort. Oh non, il n’avait jamais autant souffert intérieurement, c’était indescriptible tant les douleurs s’enchaînaient dans sa tête, dans son ventre, dans tout son corps en somme. Une déferlante de flamme qui lui brûlait les entrailles, des coups de marteau sur la tête tandis qu’il lui enfonçait les yeux dans la boîte crânienne. Il en aurait hurlé s’il avait été seul. Mais là, contre ses buissons, se trouvaient à quelques dizaines de mètres des couples qui dansaient toujours dans les bras l’un de l’autre… Arsène n’avait pas remarqué que Roxanne l’avait suivi, car pour lui, elle était retournée à sa confrérie, trop contente de son sale coup. C’était sûr… Son expression impassible de tout à l’heure… Elle se moquait de lui et demain il y aurait des affiches collées partout dans l’Université pour montrer l’impuissance et la bêtise du Franco-russe qui serait alors contraint de quitter les lieux à tout jamais et de retourner en Russie pour oublier. Les larmes qui s’écoulaient le long de ses joues comme des interprètes de sa seule agonie, lui brûlaient la joue… Celle que la belle avait giflée tout à l’heure. Oh ça, elle ne l’avait pas loupé et ce, dans tous les sens du terme. Comme si la souffrance morale n’était pas suffisante, voilà qu’il grimaçait… Paradoxe de l’enfer : pleurer pour se libérer mais verser du sel sur ses blessures ou contenir la trahison, attendre que le cœur explose mais ne pas raviver les écorchure… Roxanne pouvait le tuer tout de suite, il n’en serait que plus heureux. Impossible de vivre sans elle, impossible. Ce serait comme continuer à manger sans boire, comme… faire des projets en phase terminale d’un cancer généralisé. Vivre ou mourir… Lui si courageux, détruit par la perte de son être le plus cher. C’est qu’il était prêt à se mettre à genoux et à la supplier de rester avec lui si cela pouvait servir à quelque chose, or, il en doutait amèrement. Allongé sur l’herbe il gémit par à-coups tout en retirant d’un geste malhabile le sang qui dégoulinait de ses blessures. Ça lui déchira la peau… Plus encore que jamais il se déchira presque la lèvre inférieure en voulant simplement se la mordre… Pourquoi lui faisait-elle ça ? Qu’avait-il fait pour être ainsi sa cible ? Lui qui ne demandait jamais rien à personne, qui se faisait discret dans les conflits et évitait les prises de tête. Son cœur elle venait de le lui arracher, l’empêchant à tout jamais d’aimer à nouveau. Elle… Elle et son parfum… Elle et son rire, ses gestes…

Très vite, le jeune homme se retrouva tiré par deux bras qu’il aurait reconnu entre milles. Il se débattit d’abords pauvrement, déchiré entre l’envie de s’éloigner de cette femme qui lui faisait autant de mal mais aussi celle de l’embrasser en se fichant éperdument du fait qu’elle se fiche de lui tant qu’il pourrait rester encore un peu. Elle parlait d’une voix douce, comme si elle s’adressait à un enfant… Et elle le serra dans ses bras jusqu’à déposer sa tête contre sa poitrine. Arsène ne bougeait plus, il respirait simplement, les yeux à demi clos et le regard dans le vague, encore recouvert d’eau. Il voyait trouble mais… Il entendait bien… Il sentait les pulsations grandissantes de son organe battant contre son oreille tandis qu’elle glissait ses longs doigts fins dans ses cheveux bruns… C’est alors que la blondinette reprit la parole, comme un souffle protecteur et rassurant, elle entama un long monologue qui sembla reconstruire au fur et à mesure notre dandy effondré. Ce dernier ravala sa salive au goût âcre de sang et usa de ses bras pour entourer le buste de Roxanne. Sa confiance revenait petit à petit et bien malgré lui. Ce qu’elle disait était tout ce qu’il voulait entendre… Qu’elle lui appartienne oui, et pour toujours ! Et qu’elle l’aime tout entier son petit Alpha, pour son corps mais aussi pour son esprit de petit joueur, d’intellect et de timide garçon de ferme. Ahh ce que ça faisait du bien, comme un sérum magique qui effaçait les chagrins en un clin d’œil, elle parvenait à le guérir de ses plus profondes blessures en bougeant simplement les lèvres… La mannequine marqua une pause… Que voulait-elle lui dire de si important pour paraître aussi angoissée ? La tête du dandy s’était écartée de sa poitrine et il la regarda de ses grands yeux humides ornés d’incompréhension. « Arsène je t’aime… » Ces trois petits mots qu’elle se croyait incapable de lui dire venaient de sortir dans la foulée d’une grande confession. « Je t'aime et de tout mon cœur, je n'ai jamais autant aimé de toute ma vie, n'en doute plus... » Entre temps elle l’avait à nouveau entouré de ses bras et déposé son menton contre son épaule. Arsène lui, restait immobile et complètement dépassé. Lui qui, deux minutes auparavant, pensait leur histoire définitivement terminée, voilà qu’elle se transformait en une déclaration directe. Il ouvrit la bouche comme s’il voulu répondre quelque chose mais sembla plus sur le point de tomber dans les vaps à vrai dire, recherchant à nouveau son oxygène. Elle l’aimait, vraiment ?! Son ton était si sincère… Le doute n’avait pas sa place ici. Le garçon voulut esquisser un sourire qui ressemblait plus à un rictus de soulagement et reprit la parole d’une voix rauque et cassée :

« Mais… Alors pourquoi chaque fois que je fais, ou que je dis quelque chose… Tu me sautes dessus comme si je venais de… De te trahir ou… Je ne comprends pas, j’ai tout le temps l’impression de te décevoir, tu n’arrêtes pas de me faire des reproches alors que j’essaye de faire de mon mieux au fond.. Je n’suis pas une machine, j’ai besoin qu’on me montre de temps en temps que je n’suis pas qu’un incapable doublé d’un crétin. »

C’est vrai que Roxanne et les compliments, ça faisait deux, mais ce n’était pas ça qu’il demandait, juste un peu plus de gentillesse et de considération pour lui. Qu’elle reste comme elle est, sauvage et secrète, c’était comme ça qu’il l’aimait après tout, mais un peu d’effort de temps à autres, ça ne fait pas de mal… Il ramena en arrière les cheveux qui obstruaient sa vision et glissa une main derrière la nuque de la jeune femme, venant rapprocher son visage du sien… Il reprit, ses lèvres à seulement quelques tout petits millimètres des siennes, son souffle rebondissant sur sa peau clair :

« Parce que tu en doutais encore ? J’ai l’impression que tu n’m’écoutes pas… Combien de fois t’ais-je dis que j’en avais rien à cirer des autres filles ? C’est moi qui devrais être jaloux en vue de tes innombrables exs et de tes innombrables « amis » qui ne cherchent qu’une chose : te mettre le grappin dessus. Tu crois que ça ne m’angoisse pas ça… ? Je veux que notre histoire soit longue, depuis des semaines c’est de t’avoir qui me tient debout… Oui, c’est du sérieux. Quant à cette fameuse Shiri… »

Il baissa les yeux

« Elle m’a embrassé c’est vrai, mais c’est pas ce que tu penses… En fait elle faisait un pari stupide avec des amies et c’est tombé sur moi. Mais ça n’a pas duré 1 seconde et puis elle ne s’intéresse pas à moi je te rassure. Inutile de lui en vouloir, tu ne feras qu’aggraver une situation débile. Ça ne recommencera pas, en plus elle ne m’intéresse pas non plus… Y’a que toi qui puisse m’apporter ce dont j’ai besoin… »

Il esquissa un tout petit sourire en coin qui s’estompa lorsqu’il inclina son visage de façon à pouvoir embrasser de ses lèvres blessées la jeune femme. Qu’importe que ça lui fasse mal, la douleur physique était bien vite remplacée par le bien être que ce contacte lui apportait.

« On rentre ? J’ai… J'sens plus ma joue… » Murmura-t-il ensuite en tendant la main afin de récupérer sa veste.

C’est vrai qu’il l’avait presque oublié cette écorchure, mais ça commençait à franchement le brûler et il n’attendait plus qu’une chose : que son infirmière préférée s’occupe de lui (a)


[Hj : Avance le sujet jusqu'à la confrérie qu'on perde pas de temps Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin - Page 2 277800 pas la peine de changer de sujet xD]
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin - Page 2 EmptyMer 25 Fév - 23:46

    Un nouveau souffle, c'était tout ce qu'elle désirait. Aimer et être aimée en retour, avoir une vie plus saine, plus stable, ne plus enchaîner les hommes ni en souffrir comme toutes les dernières années de sa vie. La violente gifle qu'elle lui avait donnée n'était pas pour amplifier sa douleur mais, plutôt parce qu'elle avait été énervée par le sms de Kendall qu'elle n'aurait pas dû lire en fin de compte. Ses ongles avaient abîmés le beau visage pâle de son Franco-russe, des joues dont elle s'occupera certainement si on lui pardonne son agressivité et son manque de contrôle constant. Elle aurait voulue lui crier je t'aime là fois où lui l'avait dit mais elle ne l'avait pas réussie, elle croyait que c'était au dessus de ses forces alors qu'elle pouvait bien le faire avec un peu de motivation. Jamais elle n'avait envisagé blesser Arsène bien que, elle avait eut le droit à un rejet lorsqu'ils étaient amis et qu'elle avait commencée à le draguer mais elle avait finie par le séduire peu de temps et sans y aller mollo puisque, ça c'était fini au lit. Le rôle de maîtresse lui avait donc été donné puisque monsieur sortait avec une bêta répondant au nom de Cameron. Il lui avait promit de rompre avec lui mais Roxanne savait pertinemment qu'il aurait beaucoup de mal et elle avait cette crainte qu'il l'embrasse et retourne dans ses bras à elle pour qu'ensuite, son amante finisse aux oubliettes. Toujours à douter des hommes, elle restait indécise bien qu'elle était sûre d'aimer son petit égorgé vif. Lui qui était si unique, aussi bien mentalement que physiquement. Ses yeux bleus, sa chevelure, sa peau pâle, sa cicatrice et sa fossette quand il souriait sans compter ses airs d'innocent alors qu'il n'était pas si angélique que ça. De l'autre côté il y avait le Arsène intellectuel, celui qui se fichait des femmes mais ne pensait qu'à ses études, qui était traumatisé par un événement de son passé mais qui savait comment aborder la jeune Dickens. Sa voix réchauffait naturellement la belle Zêta ainsi que sa présence. Cet effet dévastateur, il n'y avait que lui pour avoir autant charmé la donzelle surtout que ses yeux l'hypnotisaient le plus souvent. Aux débuts, il l'avait giflé et elle pour rendre son attaque, lui avait donné un violent coup de pied dans l'entrejambe ce qui avait valu un placage au sol de la part d'Arsène alors qu'elle allait partir. Ce petit jeux de « je t'aime moi non plus » avait l'air de continuer mais plus le temps s'avançait et moins le jeux était présent. S'imaginer vivre sans lui était désormais une chose douloureuse et qui la rendrait malheureuse tout bonnement parce qu'elle était dingue de lui même si elle ne le montrait pas ce qui était d'ailleurs, son principal défaut. Roxanne se croyait forte pour toutes les épreuves mais celle de l'amour allait devenir son plus grand point faible, elle s'en rendait compte maintenant qu'elle venait de se disputer de façon violente avec son bien aimé et qu'elle l'avait suivi. Il avait pété un plombe, il avait arraché ses vêtements, il pleurait pour ensuite arracher les touffes d'herbes, il était vraiment effrayant et pitoyable dans cet état là qu'elle ne pouvait pas se permettre de le laisser ainsi.

    Les longs bras de la mannequin Européenne avaient attrapés Arsène pour le serrer contre elle, se retrouvant avec la tête de celui-ci contre sa poitrine. Comme si il était un enfant, elle le tenait contre elle et refusait catégoriquement de le lâcher, elle n'en avait pas finie avec lui. Ses doigts passaient dans chacun de ses cheveux bruns, elle aimait la chevelure de son homme. Elle voulait lui redonner confiance en lui parlant et apparemment c'était réussi. Et oui même si m'dame a la sale image de la garce cruelle, fourbe et manipulatrice elle savait aussi se montrer douce, rassurante et même ressentir de l'empathie. Elle était bien là, avec son torturé contre elle, à lui dire des mots doux. Pourquoi autant de gens voulaient briser leur couple ? De la jalousie sûrement et de l'incompréhension totale. Il fallait que tout les deux, se fichent de leurs dires ou sinon ils n'étaient pas sortis de l'auberge. Les paroles que lui avait dit Arsène fit soupirer la jeune femme qui répondit donc ;

    « Mais non tu ne me déçois pas ou sinon je t'aurais quittée depuis longtemps. Tu m'illumine, tu me fais épanouir et ça personne n'avait réussi à le faire alors tu ne peux pas me décevoir. Je sais que je ne montre pas vraiment mes sentiments, que je fais pratiquement que des reproches mais j'ai toujours été comme ça. Tu es loin d'être un incapable et un crétin, tu es bien mieux que ça, c'est insultant aussi bien pour moi que pour toi de penser ça alors arrête donc d'être sur le mauvais chemin... »

    Pas besoin d'en dire plus pour lui expliquer ça, elle n'allait pas y passer la nuit. Ni se douter de leur amour puisqu'il était réciproque et qu'elle avait finie par le lui faire comprendre. Jalouse et possessive, elle ne pouvait supporter le moindre flirt et la moindre harpies, ça la rendait complètement folle mais le pire c'était bien pour Cameron, ça la mettait hors d'elle. Faire des efforts oui mais combien de temps y parviendra t-elle ? 2 jours ? Voir légèrement plus ? Ça n'y changerait pas grand chose.

    « Écoutes, je sais que beaucoup d'hommes me tournent autour et surtout pour mon corps. Tu es bien le seule à m'aimer pour ce que je suis et pas pour mon apparence physique. Je ne te quitterais pas même pour un type ' populaire et beau gosse ', tu es tellement mieux que tout les autres, ils n'ont pas la même valeur que toi à mes yeux alors cesse de t'inquiéter à ce sujet. Les autres filles comme tu dis, devrais cesser de te tourner autour et tu devrais les repousser de façon plus... violente. »

    Elle marqua une courte pause avant de reprendre ;

    « Je m'en fiche que ça soit un pari ou non, tes lèvres m'appartiennent et je n'accepte pas que D'AUTRES y touchent ne serait-ce une seconde ou les frôle. Cette c*nnasse en plus me sort par les yeux et elle le sait. J'espère bien qu'il n'y a que moi qui compte ou sinon tu pourras aller voir ailleurs et je sais que tu ne le souhaite pas. »

    Roxanne laissa Arsène l'embrasser. Il semblait avoir mal de cette malheureuse gifle. Une fois que le baiser prit fin, elle l'écouta tout en déposant une de ses mains sur le visage blessé de son apollon. Du sang de son Alpha se retrouva sur ses doigts. Elle retira sa main pour ensuite dire :

    « Ta joue elle va avoir le droit à un traitement mais... ce dont j'ai besoin se trouve à la confrérie des Zêta. »

    La jeune femme eut un petit sourire car elle avait une idée derrière la tête. Les deux marginaux reprirent leurs affaires pour ensuite aller dans la chambre de Roxanne. Elle lui fit signe de s'asseoir sur sa chaise de bureau puis elle partit dans sa salle de bain. Notre Dickens sortit une espèce de trousse de soins médicaux pour ensuite retrouver son blessé. Elle se pencha pour observer sa blessure de plus près et elle lui dit ;

    « Toi pas bouger »


    Alors qu'elle prit de quoi désaffecter la griffure, sa robe laissa voir une admirable vue sur sa poitrine. Elle ne s'en rendait pas compte car elle avait les yeux rivés sur la joue de son Arsène. Roxanne désaffecta la blessure ce qui allait certainement picoter un peu, espérons que monsieur ne soit pas une chochotte encore =P La Zêta allait bien le chouchouter pendant toute la nuit, elle sera son infirmière rien qu'à lui...
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin - Page 2 EmptyJeu 26 Fév - 11:09

Arsène avait eut beau faire des efforts, il n’en pouvait plus de sourire pour se prendre sans cesse des remarques désobligeantes dans la figure. Ce n’était pas une vie ! Heureusement qu’il sentait l’amour que Roxanne lui portait par d’autres moyens sinon, sans doute l’aurait-il déjà laissé… Avant de tomber amoureux d’elle. Ah l’amour… Difficile ce sentiment… Aussi bien à vivre qu’à décrire. Il était heureux d’aimer, aux côtés de sa belle, le jeune homme pouvait aller jusqu’à se croire invincible et il lui arrivait même – de temps en temps – de se trouver non pas beau mais… un certain charme. Tout cela grâce à Miss Dickens qui semblait plus que tout apprécier sa compagnie, mais aussi son corps de petit Russe tout blanc, contrastant avec sa peau bronzée… C’est vrai qu’ici il avait tendance à se remarquer par cette première caractéristique, même les autres étudiants venant de Russie avaient bronzés sous le soleil de Berkeley… Mais pas lui. Il demeurait blanc comme un linge… Comme s’il restait enfermé dans une cave toute la journée. Or c’était complètement faux. Il sortait, il passait des heures dehors à lire, à écrire ou à réviser… C’était là une chose qui le gênait parfois, lorsque l’été il observait les femmes en débardeur et les hommes en marcel qui se pavanaient dans les parcs, enduits de crème solaire… tandis que lui refusait catégoriquement de montrer plus que ses avant bras. Roxanne était une mannequine reconnue, et d’une beauté foudroyante. Certes c’était bien la première chose qui avait sauté aux yeux du dandy bien qu’il ne s’y soit pas plus intéressé avouons-le. A l’époque, son truc, c’était le boulot : il aimait rester le nez plongé dans ses lectures, ses mathématiques ou sa psycho jusqu’au soir… Sans que l’on vienne le déranger. Les filles ? Oui, y’en avait des jolies, et des gentilles aussi… mais c’était rare – voire inexistant – qu’il ait l’envie de coucher avec l’une d’entre elles. C’était ce qui faisait une partie de son charme n’est-ce pas ? Et surtout, le principal atout de ce couple que l’on attendait pas : Le Franco-russe ingénu tenant la main à la flamboyante Roxanne Dickens, mangeuse d’hommes professionnelle.. Cela avait brisé tous les préjugés que certains portaient sur le bel éphèbe comme quoi il était frustré, autiste… Ou même tout simplement Gay refoulé. Lui avec cette bombe ?! A en juger par les regards de quelques garçons ici présents, la jalousie montait en flèche. Et oui, il couchait avec cette déesse sauf que lui… N’était pas foutu à la porte dès le surlendemain. Jusqu’à maintenant, les gens pensaient qu’il allait vite être expédié comme les autres et que s’il demeurait un peu plus longtemps scotché à la donzelle, c’est qu’il devait être un « bon coup » ? D’où peut être son soudain succès révélé avec les étudiantes… Néanmoins, on commençait à comprendre dans l’assemblée, que cette histoire n’était pas qu’une simple histoire de fesses et qu’à l’intérieur… S’y cachait quelque chose de plus fort. Arsène avait découvert qu’il n’aimait pas Cameron comme il l’aurait voulu… C’est vrai… Mais il l’adorait toujours, et cela pesait sur sa charmante compagne qui lui montrait parfois les dents. Oui, il allait rompre, dès demain même… N’empêche qu’il ne supportait pas lorsqu’elle se mettait à insulter la jolie brune… C’n’était tout de même pas sa faute à elle ! Elle l’avait aimé aussi… Qu’elle le veuille ou non, ça leur faisait un point commun à toutes les deux : Tomber sous le charme du même homme…

Arrivés à la confrérie, la belle ordonna à son cavalier de s’assoire sur une chaise en attendant qu’elle revienne. Celui-ci obéit sans broncher et glissa un doigt sur ses griffures : elle n’y était pas allée de main morte, heureusement, c’était superficiel et il n’y aurait plus rien d’ici quelques jours… Pas comme cette autre cicatrice qu’il portait sur l’autre joue… Le jeune homme ferma les yeux tout en reposant sa main sur le tabouret. Il repensa alors aux dernières paroles de son interlocutrice concernant sa bouche… Ses lèvres lui appartenaient ? C’était une drôle de propriété, mais ça lui plaisait bien. Oui, tout comme les siennes étaient à lui, et à lui seul. Il sourit bien malgré lui lorsqu’il entendit des pas raisonner sur la moquette, annonçant le retour de son infirmière, tenant dans ses mains une sorte de trousse de soins… Il grimaça en la voyant imbiber un coton de désinfectant rien qu’en pensant à la douleur. Le visage était si sensible… La peau contenait des milliards de récepteurs nerveux et… Stop ! On arrête le travail pour ce soir, il n’était plus l’heure de faire marcher ses méninges. Quand il rouvrit ses paupières, la première chose qu’il vit en large premier plan, fut la poitrine majestueuse de la donzelle qui, penchée sur lui, ne se rendait pas compte qu’elle lui offrait là une vue aussi splendide qu’alléchante. Automatiquement, le Don Juan vira pivoine… C’était tout lui ça, alors que d’autres se seraient déjà jetés sur ce festin de chair, lui préférait ressortir son côté timide et se transformer en grosse tomate bien mûr. Il dégluti difficilement sans même faire attention aux picotement que le produit incluait dans son efficacité lorsque la jeune femme lui demanda de tenir le bouchon, sans pour autant arrêter sa tâche. Les doigts maladroits du garçon vinrent s’en emparer pour le laisser – évidemment – tomber dans le corsage de madame. « Meeeeeeeeerdeuuuuuh !!! » Pensa l’Alpha en rougissant de plus belle. « Sûr qu’elle va croire que j’en ais fais exprès… » Son regard croisa le sien et il lui offrit un sourire largement exagéré genre « je peux ? » Tout en amenant sa main vers ses deux brioches tièdes et… Oh combien appétissante, afin de récupérer le petit objet. Cela fait, il quitta à contrecœur ce doux contacte et referma son poing sur le bouchon tout en écoutant Roxanne refermer la trousse.

« J’ai faim, j’peux te prendre une barre de céréales ? » Lança-t-il alors comme moyen de diversion à son désir grandissant de s’unir une nouvelle fois avec sa belle.

S’approchant de son lit, il tira le tiroir de sa table de nuit pour y trouver d’abord une plaquette de pilules contraceptives entamées (d’où le nom port de préservatif ce qui arrangeait bien les affaires de notre Parisien), un paquet de mouchoir, quelques bijoux dont plusieurs bagues rangées là à la va-vite, un gel lubrifiant (tiens, ça sert à quoi ça ? +ZBAF+) mais surtout : 3 belles barres au chocolat ! Souriant brièvement il en prit une puis referma le tiroir après avoir replacer deux trois trucs correctement. Il s’allongea sur le dos, par-dessus les couvertures et eut une petite idée… Depuis tout à l’heure c’était elle qui l’allumait, même dans le bureau du Doyen. Il croqua une première bouchée de son met divin avant de se redresser et de faire mine d’avoir chaud. Ainsi donc il se défit de sa chemise déjà entrouverte et la jeta dans la poubelle à côté du bureau. Une deuxième bouchée goût chocolat et il retourna vers Roxanne d’un pas lent et calculé, détacha un morceau de la sucrerie – pêché mignon de notre mannequine – qu’il plaça juste devant ses yeux maquillés :

« Tu en veux ? J’entends ton estomac qui gronde depuis tout à l’heure… »

Il attendit qu’elle se penche comme si elle allait s’en emparer pour le lui retirer et le placer entre ses lèvres pâles mais gourmandes…

« Bah non, viens le chercher (a) »

Brrrr, quel baiser ! Pourquoi n’y avait-il pas pensé plus tôt à faire ça ? Non seulement c’était amusant et ça les faisait rire tous les deux mais en plus, ça donnait une toute autre saveur au langoureux contacte qu’ils partageaient, avec ce petit bout de gâterie qui fondait sur leurs deux langues… Arsène prolongea encore quelques instants ce pur moment de sensualité jusqu’à ce que leurs visages ne se séparent. Il dévia alors son attention vers la salle de bain… Ses mains étaient un peu terreuses et il avait du sang un peu partout. Seulement… Une douche seul, ça na rien d’amusant… Et elle, avait-elle envie de jouer avec le corps de son amant ? Ah oui ? Et jusqu’à quel point… ? Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin - Page 2 EmptyVen 27 Fév - 12:59

    A cette allure, Arsène finira bien par chanter « allo maman bobo, comment tu m'as fais chui pas beau » et c'est là que Roxanne viendra lui dire le contraire. Elle qui assumait parfaitement son physique savait comment s'y prendre pour que lui, prenne confiance. Parfois sa propre image l'avait dégoutée, quand elle était adolescente et recouverte de blessures par exemple mais le Franco-russe lorsqu'il l'avait rencontré pour la première fois, n'avait pas remarqué la cicatrice sur son nez due aux coups de sa mère, depuis cette cicatrice était partie. La jeune femme n'a jamais sentie son compagnon particulièrement attiré par le physique des femmes bien que sa « future ex » soit jolie, elle trouvait cela étrange que l'apparence ne compte pas pour lui alors que pour la majorité des hommes c'est l'inverse. De l'autre côté, lorsqu'elle se retrouvait nue et vulnérable, il n'hésitait pas à explorer son corps avec ses lèvres ou bien ses mains, c'était peut être bien le seul à avoir pu autant découvert les parcelles de Roxanne et il devait s'en sentir flattée. Il pourrait même être capable de situer ses rares grains de beauté à force et aussi ses points faibles comme son cou. Les hommes autres ? Elle s'en foutait totalement même si dans son « cercle d'amis » il y en avait des beaux voir des gentils, aucun d'entre eux n'arrivaient aux chevilles d'Arsène dans aucune matières. Se ranger aux côtés d'un surdoué choquait presque tout le monde mais ce qui comptait c'était leur bonheur à eux et pas les avis des autres. La jeune Dickens aimait l'avoir rien que pour lui, le chouchouter, lui parler, l'embrasser, faire l'amour avec lui... il était multi fonction comme mec et retrouvait très vite son énergie, une vraie pile régénératrice (a) ce qui était une de ses nombreuses qualités dites cachées. Comment Cameron avait pu passer sur ce corps avant elle ? C'était d'un manque de logique et ça la rendait légèrement jalouse que ça soit elle qui l'ait « dépucelée », ça aurait dû être elle, son « premier vrai grand amour » mais bon ça dépendait des points de vues aussi. Sa première fois à elle ? Oula elle datait tellement qu'elle ne se souvenait même pu du nom de l'homme et c'était tant mieux enfaite. En même temps elle l'aimait pas comme tous les autres sauf Arsène, son exception. Ils étaient dans sa chambre, elle avec son coton et lui son visage blessé.

    Roxanne continuait de désaffectée tranquillement le visage de son chéri en restant un maximum concentrée afin de ne pas déraper genre... dans l'œil ( XD ) ça serait malheureux quand même qu'il soit aveugle surtout qu'il ne pourra ni voir son visage et encore moins son corps. Après lui avoir confier la tâche – de bébé cadum – qu'est de tenir un bouchon, il fini par virer rouge et laisser tomber le bouchon dans la robe de la demoiselle, qu'il était doué le petit mais bon c'était peut être un de ses petits défaut qui le rendait charmant et ridicule à la fois. Elle ne fit aucun commentaire là dessus ou sinon il le prendrait comme une remarque désobligeante comme d'habitude. Notre Dickens laissa Arsène filer tout droit vers ses tiroirs pour chercher des barres chocolatées, du moment qu'il ne tombait pas sur l'objet interdit ; le journal intime bien rempli de la demoiselle... Elle savait que ses clés se trouvait dans un de ses tiroirs et le livre un peu plus loin mais en général personne n'ouvrait ses tiroirs à sa guise comme son ingénue. Son ventre grogna alors à la vue du chocolat.

    « Mais euh... c'est naturel de toute façon. »


    Dit-elle faussement gênée par la remarque de son compagnon. Elle le fixa des yeux, en particulier pour ne pas manquer ce qu'allait devenir le misérable bout de nourriture qu'il tenait dans sa main. Bien évidemment il n'allait pas le lui donner gentiment non, elle le plaça entre ses lèvres. Roxanne n'avait pas entendue pour s'emparer de ses lèvres enfin d'entamer un baiser langoureux au goût délicieux. Le goût de chocolat rendait un peu folle la demoiselle mais elle n'en avait pas redemander. Avant qu'Arsène ne veuille se rendre dans la salle de bain, elle partit vers son placard, sortit un blouson dans lequel elle plaqua une tenue bien spéciale. Sans dire ce qu'elle mijotait, elle amena ses vêtements dans la salle d'eau pour ensuite s'y enfermer quelques minutes. Hors de question de ne pas l'allumer comme il se le doit le jour de la saint Valentin. La jeune femme sortit de la salle de bain vêtue d'un... déguisement de lapin ; elle était dans un corset rose & noir avec des oreilles de lapin implantés sur la tête. Elle prit la pose en s'appuyant contre la porte puis elle dit :

    « I'm your Bunny, Happy Valentine guy... »

    Si elle ne l'excitait pas dans une tenue aussi affriolante c'est qu'il n'était vraiment pas normal Razz Ne l'allumant pas directement, elle le tira par le bras afin de se rendre avec lui dans la salle d'eau. Elle lui prit ses bras un peu comme si c'était un gosse puis elle frotta les mains de son amant sous l'eau pour qu'elles soient toutes propres. Roxanne prit tout son temps tout en bougeant de façon un peu sensuel en lui frottant les mains. Elle l'allumait petit à petit, sans brûler les étapes... Une fois qu'elle avait finie de laver les mains d'Arsène, elle retourna dans la chambre avec celui-ci. Affichant un grand sourire qui montrait ses dents blanches elle lui dit ;

    « Je suis sûre que tu adooore les lapins de mon espèce pas vrai ? »


    Elle se colla à lui de façon précipitée. Il n'avait pas de chemise... raison de plus pour faire joujou avec en commençant par son torse (a) Notre miss lapine glissa alors ses fins doigts sur la musculature de son apollon. Avec un sourire des plus vicieux aux lèvres, elle eut soudainement une idée. Roxanne continua ses douces caresses avant de passer à son plan. Quand elle jugea qu'elle en avait fait assez, elle se vengea du coup du chocolat en lui administrant quelques chatouilles un peu partout. Elle voulait chercher la petite bébête et elle était certaine de pouvoir venir à son but. La belle Zêta comptait bien torturer son Alpha encore un peu avant de se laisser tomber dans une nuit luxurieuse. Notre mannequine cessa de le chatouiller quelques minutes plus tard.

    « Y'en a une qui va pas être contente mais tant pis pour elle si elle a pas de mec et que nos bruits la dérange pas vraiment ? »

    Elle fit tomber le bas d'Arsène tout en lui laissant son sous vêtement. La jeune femme enroula une de ses cuisse autour d'une jambe de son bien aimé puis elle le fixa dans le blanc des yeux avec un regard des plus provocateurs. Hum... que ce que l'élève en sexologie allait tester sur elle ce soir ? Elle avait hâte de le savoir. Cette nuit, ça ne la dérangera pas d'être son cobaye, il avait même l'autorisation de s'amuser avec la lapine rose. Comment faire pour l'allumer jusqu'au bout ? Jouer avec les mots. Faisant mine d'être hésitante, elle mâchouilla une des oreilles de son homme gentiment puis elle lui susurra :

    « Je te laisse faire tes expériences sur mon corps mais à la seule condition que j'ai aussi le droit de faire ce que je veux du tiens mon grand... »

    Ben oui il fallait bien qu'elle ait quelque chose en contre-partie. La jeune femme ne voulant pas attendre, tira la tronche de « oops j'l'ai pas fais exprès » en retirant le bas d'Arsène. Maintenant c'était lui qui était vulnérable et elle encore habillée, de quoi lui donner envie de la dévorer encore plus vite. Sa tenue était vraiment appropriée à son envie de jouer à la chaude lapine, une véritable coquine jamais rassasiée. Roxanne trouvait qu'elle n'avait pas pousser son bien aimé à bout alors ses mains descendirent doucement mais sûrement de son torse pour arriver à la partie sensible de celui-ci.

    Il avait jouer avec son intimité à elle... et si c'était son tour ? Son sourire était toujours celui de la femme luxurieuse qui allait lui en faire voir de toutes les couleurs. Elle lui caressa sa partie génitrice en sachant les futurs dégâts que ça causerait. Peu de temps plus tard, Roxanne commença à se baisser de façon dangereuse jusqu'à ce qu'elle arrive à sa cible. C'est maintenant qu'elle lui rendue la monnaie de sa pièce, sans demander son avis elle lui fit le type de gâteries que les hommes adoraient avoir. L'excitation d'Arsène devait être à son comble, elle le sentait... La Zêta ne voulait pas trop en faire non plus, elle voulait garder encore un peu de surprises pour son amant. Elle cessa donc ce qu'elle était entrain de lui faire pour ensuite l'embrasser langoureusement ce qui nettoyait sa bouche en même temps (XD). Le coup du mouchoir avait été reproduit... d'une toute autre façon (a)
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin - Page 2 EmptyVen 27 Fév - 16:30

[Hj : j'étais inspirée (a) Amuse-toi bien Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin - Page 2 277800 ]

C’était naturel ? Oui, évidemment, c’était naturel d’avoir faim… Mais leur baiser, lui, était tout à fait sensationnel Le goût sucré du chocolat qui se mêlait à la perfection à la douceur mais aussi à la fougue de leur étreinte. Un plaisir qui devait être largement considéré comme « interdit » là-haut, dans le ciel. Qu’importe, Arsène acceptait sans mal de vivre une éternité en enfer si pour ça il allait pouvoir céder à de pareilles tentations jusqu’à sa mort. La gourmandise avait bien vite disparue.. Dans la bouche de qui ? Mystère… Sans doute celle de Roxanne après tout, c’était elle qui avait faim… Quoi que son amant l’eut apporté pour lui. Dans ce tiroir, il en avait découvert des petites choses… Dont ce petit livre qu’il identifia immédiatement comme le journal de la belle et donc, qu’il n’ouvrit pas et ne feuilletterait jamais sauf si sa propriétaire le lui demandait. On ne sait jamais, si un jour elle voulait qu’il en sache plus sur les profondeurs de son âme et sur sa vie passée, celle qui s’était déroulée en l’absence de notre dandy. Celle qu’elle avait supportée jusqu’à maintenant. D’ailleurs, elle n’était pas la seule à posséder un « avant » contradictoire. Arsène lui-même avait été la « propriété » d’une autre… Il avait en effet été majestueusement dépucelé par la demoiselle Taylor, son ex petite amie – il l’appelait déjà ainsi – mais aussi sa meilleure amie. Inutile de prolonger le discours, ce souvenir lui faisait mal, et c’était bien la première fois qu’il s’était conduit en pareil salaud. Oui, il s’en souvenait comme si c’était hier : elle qui vient frapper à sa porte un matin, quelques semaines après une grosse dispute les opposant. Le jeune homme ne supportait pas l’idée qu’une nénette aussi intelligente se soit jointe à la confrérie Bêta, c’est pourquoi il ne manquait pas de le lui rappeler… mais ce matin-là, les choses avaient tournées autrement, et Cameron avait fait le premier pas en venant embrasser son interlocuteur. Elle avait osé… Et ça avait marché. Tout était allé si vite… L’excitation qui montait le long du dos de l’Alpha qui ne contrôlait plus grand-chose, se courbant sous les caresses de la belle brune. Il avait été faible sur ce coup et avait pour la première fois de sa vie, cédé aux pulsions de son sexe. Il était peut être temps de penser à autre chose qu’au travail, peut être étai-ce un sale coup de son inconscient qui se révoltait encore de n’avoir pas encore pu profiter du corps d’une femme. Toujours est-il qu’aujourd’hui il le savait bien : il aurait dût attendre… juste un petit peu, quelques petites semaines ! Et là, il aurait connu sa première fois dans les bras de Roxanne qui quand à elle, aurait été satisfaite d’avoir possédé son amant du tout au tout. Cette fille était décidément jalouse de tout, heureusement, le franco-russe ne voyait pas les choses de la même façon : plus posé, il savait faire confiance et se persuadait que miss Dickens n’irait pas voir ailleurs… Evidemment, il se méfiait des vautours qui n’attendaient qu’une chose : une belle engueulade entre les deux jeunes gens pour foncer sur les fesses de madame ! Mais ça, c’était aussi à elle de ne pas faire de bêtise, de ne pas aller chauffer des étudiants à tout bout de champ… Arsène pouvait être jaloux, comme tout le monde… Mais pourquoi faire ? Ce serait stupide…

Leur baiser rompu, l’héritier Von Gergiovden gardait un goût subtil dans la bouche tandis qu’il sentit une main le tirer vers la salle de bain. Encore à moitié sous le charme de ce contacte divin, il ne remarqua pas tout de suite que sa maîtresse était en train de préparer quelque chose… Au lieu de ça, il glissa tout doucement son index le long d’une des plaies de sa joue et fut content de remarquer que ça ne saignait plus… C’est à ce moment là que Roxanne réapparue sur le pas de la porte, appuyée même dessus dans une pose aguicheuse, habillée en… LAPIN ?! Arsène écarquillait les yeux : il n’arrivait pas à définir encore s’il rêvait ou si elle était bien là, aussi belle qu’affriolante. « I'm your Bunny, Happy Valentine guy... » Wow… Qu’elle… Jolie lapine. Il s’approcha lentement, affichant une mimique moitié étonnée et… moitié comblé. Son sourire s’élargit lorsqu’il fut à sa hauteur et qu’il put la regarder lui prendre ses mains pour le tirer jusqu’à la salle d’eau. Ah ! Elle était donc réelle ! +ZBAF+ Mais à quoi jouait-elle ? A l’allumer encore et encore ? C’était une idée assez radicale, sûre qu’elle lui plaisait… Ce corset moulait son buste à la perfection et surtout, mettait en valeur sa poitrine… Ah il n’avait qu’une envie d’un coup : mordre dedans. Restons zen, elle devait sûrement avoir quelque chose à lui faire voir autre que se lavage de main express en compagnie de Bunny Girl. Sans pouvoir s’en empêcher, alors qu’elle lui essuyait ses belles mains de pianiste, l’éphèbe jeta un coup d’œil coquin à ses fesses qu’elle remuait comme une sirène ; encore un truc pour le rendre fou… Elle s’y prenait décidemment bien, et jour après jour, révélait à son amant l’un de ses nombreux vices cachés. Et dire que sa mère le prenait pour un ange… Un peu schizophrène l’envoyé de Dieu non ? Un peu trop adeptes des péchés capitaux aussi…

Alors que la blondinette le ramenait dans sa chambre, le petit russe continua d’observer ses jambes interminables qui se déplaçaient avec grâce, le genre de démarche que seule une mannequine peut espérer posséder un jour. Et ses cheveux qui rebondissaient sur son dos et ses épaules diffusaient son parfum dans toute la pièce et surtout, sous le nez d’Arsène qui se retenait tant bien que mal de ne pas la jeter sur le lit et de lui faire l’amour aussi sauvagement que sa passion ne lui permettrait. Holé ! On se calme encore une fois… un peu de patience, quelque chose lui disait qu’il n’allait pas passer la nuit à jouer au scrabble ou à lire de Nietzsche. « Je suis sûre que tu adooores les lapins de mon espèce pas vrai ? » Leurs regards se croisèrent et le feu rencontra l’eau agitée. Le principal concerné rendit à sa belle son sourire coquin qui en révélait long sur ses envies à suivre. Son cœur battait déjà comme un tambour les jours de fête, et il se laissait entièrement dominé par ses désirs les plus Freudiens, quitte à passer pour un véritable petit obsédé. La lapine se colla soudainement à sa proie tout en commençant de diaboliques caresses du bout de ses doigts le long de la musculature du torse ce dernier, n’oubliant aucun relief elle semblait retracer la moindre des ombres que la lumière laissait apparaître sur cette peau de marbre. Puis elle se mit à le chatouiller. Grave erreur ! Ou plutôt : finement trouvé, car rien n’était plus efficace pour que notre dandy se casse la gueule ou se mette à gigoter dans tous les sens. Il ne S.U.P.O.R.T.A.I.T pas les chatouilles ! Ainsi donc l’étudiant essaya de la repousser mais sans succès, ses bras ne lui répondant pas comme il le voulait. Aaaaaah il allait lui mettre une claque si elle continuait ! Et le pire dans tous ça, c’est qu’on est obligé de rire alors qu’on souffre comme un malade ! Néanmoins, il enta de balbutier quelques mots entre ses dents :

« A-a-a-arrêête ! Arrête Rox…Roxanne j-je dé...Teste ça !! »

C’était un peu saccadé et presque incompréhensible mais ça marchait puisqu’elle arrêta de le torturer ainsi, préférant se moquer de sa voisine de chambre célibataire qui pouvait alors profiter de leurs ébats amoureux jusqu’à une voire deux heures du matin parfois. C’n’était pas très gentil pourtant Arsène ne put s’empêcher de sourire à son tour en pensant à cette fameuse chieuse qu’il ne pouvait supporter. Oh oui, et ils allaient faire beaucoup, beaucoup de bruit rien que pour l’emmerder celle-là ! Petite garce ! « Je te laisse faire tes expériences sur mon corps mais à la seule condition que j'ai aussi le droit de faire ce que je veux du tiens mon grand... » Oh, si pour cela elle ne s’était pas inspirée de leur première nuit… Cette fois où Arsène avait voulu s’amuser et la provoquer… Remarque, ç’avait plutôt bien fonctionné, elle avait finalement cédé et lui avait fait prendre un pied d’enfer ! Quoi qu’il n’avait pas été si mal, à lui soutirer deux orgasmes de deux façons différentes… Mademoiselle voulait donc se venger, ça promettait d’être intéressant… Les fringues du Don Juan ne résistèrent pas longtemps que déjà, celui-ci se retrouvait sans son pantalon… Elle lui mordilla l’oreille sensuellement, faisant se réveiller une partie hautement érogène de son anatomie. Elle l’excitait foncièrement… Et ce fut pire lorsqu’il se retrouva nue et complètement vulnérable aux assauts de cette bête de sexe. Pour une fois il n’eut pas honte de se montrer dans le plus simple appareil, le fait est qu’il observait autant de désir dans les yeux de sa maîtresse qu’il pouvait en garder pour elle… Il lui plaisait, c’était indéniable, et elle aimait son corps, elle ne pouvait pas s’empêcher de le toucher à tout moment dès qu’ils se voyaient : une petite caresse par-là, un baiser, une étreinte, et vas-y que je m’assoie sur tes genoux bref, pourquoi se montrer gêné ? Arsène commença lui-même à titiller la bouche pulpeuse de son amante en venant mordre dedans, lui offrant plusieurs baisers lorsque son visage lui échappa. Que faisait-elle ? Une emprise tiède sur son intimité le mis sur la voie alors qu’elle commençait déjà à le caresser de ses mains. Ce n’était pas désagréable… Mais ce n’était rien comparé à la sensation de sa bouche brûlante qui s’était emparé de la virilité de l’Alpha, trop abasourdie pour contester. Là par contre, il avait honte… Honte qu’elle s’approche si proche des limites de sa pudeur, honte aussi du souvenir de la dernière fellation qu’on lui avait faite autrement dit : Cameron. Il s’efforça donc d’oublier tout ça, ses complexes ne devaient pas faire partie du jeu… Puis très vite, le plaisir rendit toute contestation impossible, les sensations étaient trop puissantes, pour rien au monde elle ne devait s’arrêter. Arsène s’adossa au mur juste derrière lui et vint glisser doucement ses doigts dans la chevelure de princesse de sa lapine coquine, gémissant sous cette redoutable et délicieuse torture. Sa cage thoracique se levait au rythme lent de ses profondes inspirations et il fermait les yeux, comme incapable de les garder ouverts. Il se sentit partir, au bout de quelques instants, et son sang ne fit qu’un tour tandis qu’il se… Déversait (ma-gni-fique xD) dans la bouche de Roxanne. Comment le dire… ? C’était sale non ? Mais cette seule idée l’excitait plus encore, allez comprendre… Il adorait ça. Tout comme le baiser langoureux qu’elle lui offrit juste après, lui faisant partager avec elle, le goût de la réussite (On va appeler ça comme ça XD), un goût amer et salé… Pas forcément bon d’ailleurs, remarque, c’n’était pas tellement fait pour être mangé Rolling Eyes

Alors qu’il l’embrassait toujours, il la fit tomber sur le sol avec lui et profita d’être allongé sur elle pour la couvrir de baisers bouillants dans le cou – qu’il savait son point faible - , des tonnes et des tonnes… Jusqu’à son corsage qu’il dégageait malicieusement du corset afin de pouvoir l’embrasser de plus belle… C’est alors qu’il se redressa sur ses deux bras et lui sourit brièvement en faisant claquer sa langue contre ses dents, révélant à la belle blonde qu’il avait une idée derrière la tête. Se relevant cette fois intégralement, il put donner ainsi une vue admirable de son postérieur divin à sa maîtresse (a) alors qu’il s’empara de sa robe de chambre (qu’il avait amené quelques jours auparavant, passant plus de temps ici qu’à sa confrérie). Il l’enfila…

« Ne bouge pas, je reviens tout de suite… » Lui dit-il malicieux, avant de prendre la porte.

Quand il revint, à peine 5 minutes plus tard, il tenait dans sa main quelque chose… Une boîte. Mais qu’y avait-il dans cette fameuse boîte ? Il s’assit sur le lit, à côté de Roxanne et l’ouvrit : de la crème de marron (rah ! *u*) dont il en étala déjà un peu sur le bout du nez de la donzelle, d’un geste vif, en riant :

« T’es belle comme ça. » Rigolat-il avant de se pencher et de récupérer le tout du bout de la langue… En faisant bien attention à prendre tout son temps. « T’inquiète pas, tu ne vas pas grossir, c’est moi qui vais en manger la plus grosse partie… En plus on risque d’en dépenser des calories non ? »

Se penchant à son oreille il susurra :

« A moins que tu veuilles rester avec un goût de sperme dans la bouche toute la nuit… »

Puis dénouant la ceinture de son peignoir afin de le retirer, il fit tomber le corsage de sa lapine et l’obligea à s’allonger sur le ventre… Il commença par poser le pot à côté d’eux puis s’assit à califourchon sur les fesses de la donzelle en entamant un délicieux massage… Les omoplates, la nuque, la colonne vertébrale… Il savait comment détendre quelqu’un de cette façon pour l’avoir souvent fait à sa mère, une grande stressée. Mais plus les minutes s’écoulaient et plus il ajoutait quelque chose… D’abord son souffle qui rebondissait sur la peau dorée, puis sa bouche qui éveillait d’autres désirs moins catholiques, et enfin la fameuse crème sucrée qu’il étala un peu sur la chute des reines de Roxanne, après s’être retiré de son perchoir pour aller s’installer à côté. Il usa de sa langue perfide pour y retirer la gourmandise mais ne s’arrête pas là, comme s’il usait d’un prétexte afin de profiter de ses fesses rondes et vierges encore de tout attouchement. Glissant sa main entre ses cuisses il titilla à son tour l’intimité de la jeune fille en faisant tourner sur elle-même jusqu’à ce qu’elle se retrouve cette fois allongée sur le dos. Là enfin il pu approfondit ce contacte qu’il lui plaisait tant et surtout, y glisser son visage… Il n’y avait pas de raison qu’elle soit la seule à explorer de plus près cette partie pourtant si secrète du corps humain =O D’ailleurs, elle ne s’en sortirait pas aussi facilement… C’est ce qu’elle devait commencer à comprendre en se courbant sous les coups de langues irréguliers de son amant… Bien fait ! 8)
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin - Page 2 EmptySam 28 Fév - 11:44

    { HS : Moi aussi me suis mumusée... j'ai marquée tout pleins de conneries pendant que j'avais pas le net avant de me coucher (a) }

    Si seulement elle savait à quel point elle l'avait perverti autant, elle pourrait se sentir coupable des futurs regards que les autres gens de la confrérie Alpha ou d'autres porteraient sur elle mais surtout sur lui mais enfaite elle s'en fichait du moment que ses lèvres, son visage, son torse et toutes les autres parcelles du magnifique corps de son apollon restait entièrement réservées à elle seule. Strictement RIEN ne devait être toucher par une autre aux risques de recevoir pire que les foudres de Zeus, celles de Roxanne (XD) d'ailleurs rien qu'en une gifle, elle l'avait abîmée mais cela ne gênait en rien leurs parties de jambes en l'air n'est ce pas ? Rolling Eyes Même, avec la griffure qu'il avait il était plus sexy, plus homme sauvage à son goût mais lui, ne le verrait certainement pas de la même façon que sa libertine dommage. Ba oui un Alpha et une Zêta ne pouvaient pas avoir la même vision des choses bien qu'ils soient tous les deux originaires d'Europe, ils ne pensaient pas la même chose de tout mais ils avaient certains points communs ; la luxure, l'affection, une chaleur humaine et quoiqu'ils disent une certaine jalousie aussi bien pour monsieur que pour madame qui était tout de même plus violente que lui à ce sujet. Rien que l'idée de savoir que c'était la « fameuse Cameron » qui avait eut son corps en première la dégoutait, elle n'aurait pas due passée avant elle sur ce terrain mais de l'autre côté Roxanne n'était pas encore à Berkeley quand elle était entrain de lui faire découvrir le sexe. De toute façon elle ne pouvait pas connaître le corps d'Arsène aussi bien que le Dickens qui avait plus « étudier » l'anatomie et les vices de celui-ci. Il n'aimait pas qu'on s'en prenne à son postérieur, il était plus ' doué ' qu'il ne le prétendait dans la matière de faire l'amour, il était le maître dans le domaine des caresses et... avait la manie insoupçonnée de faire des attouchements sur la majorité du corps de la mannequine, même celle qu'aucun homme n'avait toucher avant puisque que c'était la partie qui « donnait du plaisir » dans les moments coquins. Que ce qu'il l'avait retourné d'ailleurs en aventurant ses doigts là et il n'avait aucunement été frustré au contraire, il c'était même amusé de sa petite « exploration scientifique et application du cours ». Maintenant qu'il lui appartenait et en « entier aussi bien physiquement que moralement » elle s'amusait avec lui mais combien de temps allait-ce durer ? C'est bien beau de faire croire que seul l'entourage de Roxanne veut les séparer mais il y a tout de même des personnes suspectes du côté d'Arsène dont la concurrente numéro 1 qu'il n'avait pas intérêt de prononcer le prénom ni le nom ou même de sous entendre quoi que ce soit de négatif selon elle. La furie qui c'était endormie risquerait alors de faire des siennes, de la rendre schizophrène, blessée, énervée, déçue, lunatique mais surtout hors de contrôle ; totalement incapable de contrôler le moindre de ses faits et gestes, elle ne contrôlait rien du tout dans ce genre de situations et son amant en avait déjà payé deux fois le prix ; la première fois lorsqu'il eut le droit à un coup de pied là où ça fait mal à leurs retrouvailles puis plus récemment la gifle due à un pétage de câble monumentale. Avoir une relation avec elle c'était comme, vivre en constant danger mais ce que vous ne savez pas, vous les lecteurs c'est qu'elle cache autre chose que des problèmes psychologiques ; des problèmes, des secrets des plus insoupçonnés, des blessures dont certaines encrées en elle comme si elle en avait était marqué au fer rouge, comme un animal qui c'est enfui de cage parce qu'il en avait marre d'être traité d'une certaine façon, qui ne pouvait pas s'enfuir de son propre enfer dont il était l'unique prisonnier. Que croyez vous ? Qu'elle est au paradis sur Terre ? Mais que dalle ; la maltraitance physique de son enfance, ses traumatismes nombreux resteront tous à jamais dans sa tête, qu'elle l'avoue ou non elle aura toujours des problèmes reliés à son passé. La violence ne résous rien, certainement pas celle d'une mère perdue dans l'alcool et son chagrin d'amour causé par un stupide mari infidèle dont elle était enceinte de son deuxième enfin ; et oui madame avait une autre fille en préparation dans son ventre aux moments où elle s'en prenait à Roxanne pour se venger du géniteur de celle-ci, ce qui n'avait rien arrangé non, ça avait juste engagé sa fugue précipitée telle une immigrée vue qu'elle c'était planquée dans les bas fonds d'un navire.

    Bien sûr, Arsène aussi avait eut sa part de malheur mais pas à la même dose, heureusement pour lui ou comme son amante, il en aura vue de toutes les couleurs. Grâce à lui, elle oubliait ses petits soucis d'antan, elle ne pensait plus à sa mère, à ses problèmes d'alcool, de drogues, d'amour et même les sales affaires dont elle avait été mêlée plus ou moins malgré elle. Voir son Jules était sa seule préoccupation, l'unique qui l'obsédait nuit et jour presque à en devenir insomniaque. Dans les bras de l’héritier Von Gergiovden, elle se sentait tellement bien qu'elle faisait de beaux rêves de lui, ce qu'elle gardait précieusement pour elle de peur qu'il se craque les chevilles ou s'inquiète de son état mental. L'amour et son effet ; toutes les nuits où elle ne faisait pas de cauchemars, elle voyait le visage unique d'Arsène et sa cicatrice dont elle ne connaissait pas la provenance. Le goût de la bouche de celui-ci, la titillait bien souvent lorsqu'il n'était pas à ses côtés, lorsqu'il étudiait par exemple ou alors qu'elle était avec Flash son petit protégé. Il pourrait en être jaloux d'ailleurs car ce môme la rendait complètement gaga et monopolisait de ses journées mais chacun des deux avaient leurs vies, ils n'allaient tout de même pas s'étouffer à toujours rester coller l'un à l'autre si ? Où elle est la liberté dans tout ça ? Nulle part. Elle avait encore le goût du chocolat aux lèvres une fois qu'elle c'était vêtue en bunny girl. La mimique de son homme montrait son enthousiasme, il allait être gâté en cette nuit de St Valentin. Arsène avait l'air troublé une fois qu'elle l'avait tiré dans la salle de bain dans le simple but de lui laver ses petites minimes. Non pas d'allumage enfin si un peu, quand son corps bougeait au rythme des frottements de mains sous l'eau. Oui elle était consciente du rendu merveilleux de la tenue sur elle, elle c'était vue devant la classe sous certaines coutures. Amusée, elle remarquait qu'il se retenait de la mordre mais... où n'allait-il la mordre ? * zbaff * Mais il devait se contenter de la dévisager des yeux tant qu'elle n'en avait pas fini avec ses mains. Malgré la saleté qu'il pouvait y avoir sur les mains de son ingénue, elles étaient irrésistible et ce qu'elle ne savait pas c'est que, ces fameux doigts connaissaient ce qu'on appelle des touches de piano, il en avait vue des tout autre de touches d'ailleurs (XD). Pas besoin de garder son image angélique, Roxanne la lui avait déjà cassé en découvrant sa partie de luxure et de gourmandise. Ils faisaient la paire, deux beaux marginaux qui s'éclataient à faire l'amour c'était pas commun en sachant que l'un ne pensait qu'aux études et l'autre aux projecteurs. Son regard envieux avait l'air de rendre le franco-russe fou, il se retenait encore de la jeter sur le lit voir carrément sur le sol. Collée au corps de son Européen, elle n'avait rien manqué de sa cage thoracique qu'elle connaissait déjà un peu et qu'elle finira bien par connaître par cœur à ce rythme. Pour casser ce moment de caresses, elle lui avait donnée quelques chatouilles et vue comment ça lui déplaisait, elle venait de découvrir un point faible culminant. Hihihi, elle allait en prendre note.

    « Oh point faible, comme c'est mignon... »

    Lui répondue t-elle sans cacher un sourire moqueur. C'est alors que vint Pearl dans les pensées de Roxanne, la demoiselle qui se plaignait des cris incontrôlés de deux bêtes sauvages enfermés dans une seule et même pièce. Si elle savait qu'ils étaient allés dans le bureau du doyen pour assouvir leurs fantasmes, elle aurait certainement changer de dortoir en pensant qu'ils recommenceraient mais sur son lit à elle juste pour l'emmerder comme on dit. Non ça ne se faisait pas, elle avait l'habitude d'être sur ce lit pour se confier à sa consœur zêta et non pour faire des choses pas catholiques. L'inspiration de sa vengeance venait bien évidemment de leur première nuit torride et orgasmique. Lui mordre l'oreille et le déshabiller en premier était déjà un bon point mais ce n'était rien comparé à ce qu'elle lui faisait après. Résister au corps d'Arsène serait la pire des tortures, ça serait carrément insurmontable pour elle car il était devenu SA dose d'héroïne. Si il n'était pas gêné tant mieux, il allait pouvoir profiter d'un moment de perversité intense et plaisant pour les mâles. Trop occupée par ce qu'elle faisait à l'engin de son amant, elle n'avait pas sentie la honte qu'il avait et ne savait pas du tout si celui-ci avait déjà subit ce genre de choses et elle ne voulait même pas le savoir de peur de lancer des choses du genre : elle le faisait mieux que moi cette BIP c'est ça ? (XD) non non elle risquait de l'insulter de tous les noms après, ça ne serait pas beau à voir. C'était peut être le fait qu'elle se soit ' prostituée ' qui la rendait forte pour lui faire oublier ses complexes mais ce qu'il ne savait pas, c'est qu'elle n'avait presque jamais fait cette pratique auparavant elle ne l'avait même fait, qu'une fois et le prénom du « chanceux » vous l'aurez bien évidemment deviner. Les doigts de son franco-russe passait dans la sublime chevelure blonde de la donzelle qui n'était pas passer à côté de certains détails comme les yeux fermés d'Arsène. Est ce qu'il avait vue... le 7ième ciel lui à son tour ? * SBAFF * Elle n'y était pas aller de main morte et elle avait mise son vampire en transe avec ses coups de langues, elle s'amusait à titiller la fierté de monsieur. Roxanne n'avait pas pu se retenir de déverser le liquide masculin de son amant dans sa propre bouche, ainsi elle partager ce goût malsain avec lui (a)

    Les deux tourtereaux finirent sur la moquette de la chambrette, elle se trouvait en dessous d'Arsène en gardant sa tenue de lapin. Son corset fut quelque peu touché par les malicieux doigts de son Don Juan. Elle avait pu admirer les fesses de son amant qu'elle avait pincer plusieurs heures avant, ce qui ne lui avait d'ailleurs pas plût Razz Avec un sourire vicieux, elle profita de la vue jusqu'à... ra non pas déjà, pas cette fichue robe de chambre qu'elle regardait presque d'un mauvaise œil pour recouvrir le corps qui lui appartenait à elle. Vilaine chose pas bien, elle méritait de se faire déchiqueter des griffes de la mannequine xP Il fini par lui dire de rester allongée au sol donc elle ne pu s'empêcher de dire :

    « Hé vire moi cette robe de chambre, elle me cache une vue... délicieuse dont je suis la privilégiée.»

    C'est alors que quelques minutes plus tard, il se trimballa avec une boîte pleine de... crème au marron. Encore un fantasme ? Ben tient, elle en avait sur le nez désormais.

    « En entrainant ma langue je t'ai déjà fais perdre des calories mais tu es déjà bien proportionné mon mignon... »

    Rougissante au susurre de son amant, elle en sursautait presque et lui rétorqua :

    « Chui pas la seule à avoir ce goût là... non tu peux m'enlever ce goût là, ce n'est pas ce qu'il y a de mieux et de mangeable. »

    Elle eut un petit rire juste avant qu'il ne la dénude. Sur le ventre, elle préférait garder la surprise jusqu'à ce qu'elle sente le poids de son amant sur elle. Il s'amusait drôlement en étant à califourchon, comme si il jouait au cow boy et qu'elle était son cheval, non pas besoin de parler de films pornos, c'est plus subtile l'amour entre Arsène et Roxanne tout de même et c'est très loin d'être de la simulation. Le souffle de son Parisien la faisait déjà frissonner et elle avait aussi sentie la texture d'une certaine crème. Les reins de la gazelles furent pris en otages pour ensuite à ce que ce soit ses fesses encore inexplorées par son amant. Retournement de situation, elle était sur le dos. Mais... où allait donc le visage de son Jules ? Visité l'antre de Cléopâtre * Sbaff * Après les doigts c'était la langue mais elle préférait quand même cette approche là à l'autre qui l'avait quelque peu perturbée. Une sensation vint la mettre dans ses états, elle commençait à se cambrer sous les coups de la langue qui n'avait que testé sa bouche autrefois. Un peu tordue, elle commençait à pousser des petits cris timides pour ensuite se lâcher plus, criant presque assez pour faire sursauter la brune de la chambre voisine. Soumise, elle en demanderait bien encore plus mais il était déjà doué dans son exploration actuelle. Toujours à rendre ce qu'ils se donnaient, il n'y en avait pas un pour ne pas faire comme l'autre. La jeune Anglaise se mit alors à parler ;

    « AH... ahhh... Ars..Arsène.... cte... j'veux dire ta... langue... est d'un... brrr petit démon... »

    Un orgasme inattendu avait coupée la demoiselle. Ils auraient dûs commencer plus tôt, à découvrir la morphine que produisait leurs corps... Roxanne se cambra une dernière fois avant la fin. Légèrement transpirante, son rythme cardiaque c'était saccadé comme jamais. Elle se releva à moitié, elle déposa ses mains sur le dos musclé de son apollon avant de se mettre à haleter un bon coup. Seulement malgré les apparences, il lui restait de l'énergie à revendre et son regard restait... pétillant d'un désir incalculable. La zêta embrassa son Alpha malgré ce qu'il venait de faire. Se passer de l'embrasser c'était comme se passer du soleil, c'était impossible. Elle joua avec sa langue mais surtout elle s'empreignait entièrement du goût de la crème au marron. Notre Dickens arrêta ensuite son baiser pour demander :

    « Tu veux qu'on fasse quoi... maintenant ? Quelque chose de... plus simple et naturel ? »

    Roxanne sous entendait ce qu'ils avaient fait sur le bureau du doyen. D'ailleurs ils étaient déjà près, il fallait juste que la position s'adapte, les jambes de la demoiselle étaient encore écartées après les derniers ébats érotiques qu'ils avaient faits... manquait plus que lui pour que le tour soit joué =P
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin - Page 2 EmptySam 28 Fév - 15:26

[Hj : voilà, je te laisse débuter la dispute ma choute Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin - Page 2 277800 ]

Que croyiez vous ? Arsène est un garçon bourré de ressources… Des réserves qu’il ne se connaissait d’ailleurs pas. Ce n’était pas désagréable de se rendre compte que l’on n’est pas si mauvais au boulot, comme au lit. Finalement, il avait de quoi faire chanter la demoiselle s’il voulait. Certes il était lui-même bien drogué aux pilules « Roxanne » mais il n’empêche que, d’après le regard de braise de cette dernière, elle ne pouvait rester de mal face aux courbes masculines de son amant. Si un jour il voulait s’amuser à lui titiller les sens jusqu’à ce qu’elle cède et qu’il obtienne ce qu’il veut, il pouvait… Enfin, jusqu’à un certain seuil de tolérance évidemment. N’étaient-ils pas d’abord un couple ? Un couple marginal, original, déplacé mais correct ? Que de contradictions ici… Arsène Von Gergiovden fou amoureux de la mannequine la plus « people » de l’Université. Qui l’eût cru ? Lui que l’on pensait adepte des dissertations et donc des rats de bibliothèques. Non, il était un homme « comme les autres », il aimait les jolies femme, observait leur démarche et avait es critères de jugement lui aussi. Ce n’était pas parce qu’il était gentil qu’il pouvait accepter de sortir avec toutes les filles qui lui passaient sous le nez. Premièrement il avait un faible pour les blondes aux cheveux longs. Il détestait les poitrines opulentes, ça lui donnait envie de vomir rien que d’y penser… Il n’aimait pas non plus l’obésité… ça ne faisait pas parti de ses fantasmes, mais il préférait ça à la maigreur attention ! Pour tout vous dire, à ses yeux, Cameron était favorisée par ses formes inexistantes chez Roxanne. Et oui, cette beauté avait beau faire tomber tous les mecs parterre, pour son amoureux, elle manquait un peu de hanche et de sein peut être ? (a) Enfin il n’allait pas se plaindre ! C’était déjà trop beau qu’une pareille nénette soit tombée sous son charme qu’il ne se connaissait pas encore. La magie des yeux bleus peut être ? Tu parles, il avait l’air d’un personnage sans cesse dans les nuages, trop gentil auquel on peut demander tout ce que l’on veut. L’apparence fragile que lui conférait sa pâleur ? Berk ! Sa cicatrice alors ? Ah ! Il ne voulait pas en entendre parler de celle-là ! Ces souvenirs remontaient à quelques temps déjà malgré tout, cela restait douloureux. Néanmoins, il aimait bien lorsque la belle blonde venait glisser son pouce comme pour la souligner… La retracer. C’était agréable et doux à la fois… un contacte qu’il lui laissait sans broncher, sachant pertinemment qu’elle voulait savoir d’où venait ce petit défaut fort séducteur. Une chose qu’il ne lui avait pas encore dite, et qu’il ne disait à personne d’ailleurs. Ça ne regardait que lui à vrai dire, et puis ça n’avait rien de très exceptionnel ; juste un coup de « faute à pas de chance »… Quoi que, non pas vraiment en fin de compte. Mais ça expliquait aussi son côté « pacifiste » du « je déteste les disputes et je ne m’en mêle jamais.. ». Finalement, peut être devrait-il le lui révéler un jour, ça expliquerait leurs divergences.

La belle eut un petit rire, avant que son amant ne lui inflige la pire des tortures… Sa langue faisait de véritables miracles, tout comme celle de sa maîtresse, quelques minutes auparavant. Il n’avait jamais fait ça… pas parce qu’il trouvait ça répugnant, mais parce qu’il n’en avait jamais ressenti l’envie. Jusqu’à ce soir, son visage enfouit entre les cuisses de notre mannequine, il persévérait jusqu’à l’entendre d’abord soupirer à plusieurs reprises, lui indiquant où étaient ses points faibles, et comment il devait s’y prendre… Puis gémir de plus en plus fort. A cet instant, Arsène songea à la brunette d’à côté qui devait être en train de les maudire en ce moment même, sa tête entourée par son oreiller. Pauvre fille… bien fait pour sa face oui ! Mais là n’était pas la principale occupation du dandy qui fini par soutirer un fabuleux orgasme à sa partenaire qui haletait de plaisir. A peine s’était-il redressé, assez satisfait de son œuvre et de sa vengeance, qu’elle l’embrassait déjà comme la véritable furie qu’elle était. Houlà, ne pas être asthmatique lorsque l’on couche avec Roxanne, vous êtes prévenu ! Amusé par tant d’entrain, le franco-russe riait un peu en même temps qu’ils jouaient avec leurs langues, partageant par là même, ce goût de crème subtile qui avait avalé. De vrais adeptes du sexe… Aucun doute. « Tu veux qu'on fasse quoi... maintenant ? Quelque chose de... plus simple et naturel ? » Arsène observa un peu où en étaient les choses… Elle était allongée sur le dos, les cuisses ouvertes et accueillantes… lui n’avait plus qu’à lui imposer sa 3ème jouissance de la soirée, son membre s’étant durci en vue de l’acte érotique qu’il venait d’accomplir… Il esquissa une mimique de chenapan et murmura à son oreille…

« Tu veux dire… Quelque chose comme ça ? »

Du même coup il la pénétra comme ses yeux semblaient le lui supplier et ne lui laissa pas le temps de se remettre de ses cris de tout à l’heure, entamant une nouvelle danse endiablée des sens et un nouveau branle-bas de combat du cœur et de ses pulsations. Ils jouirent en même temps, avec la même force et le même entrain. Le jeune homme s’était ensuite laissé tomber à côté de la donzelle, la peau luisante de transpiration. Il était fatigué mais… Il se sentait aussi étonnement bien. Ça fait quoi de visiter 3 fois le 7ème ciel en une même soirée ? Ça fait beaucoup… mais c’était si bon que, s’il en eut été capable, sans doute n’aurait-il pas été assez raisonnable pour s’arrêter avant le lever du jour. Le corps humain possédait des limites que son esprit n’avait pas… triste réalité. Quoi que, c’est aussi la frustration qui entraîne la satisfaction n’est-ce pas ? Il ne prit même pas la peine d’attraper un sous-vêtement et préféra ne même pas rabattre la couverture sur eux tant il avait chaud. Comme d’habitude, l’un des deux se réveillerait au milieu de la nuit, quand la pièce et leur corps se seraient refroidis, pour ramener les draps par-dessus eux. Arsène inspira profondément puis fit craquer ses doigts, à demi conscient. Il se plaça ensuite sur le flanc gauche et enroula ses bras autours de la taille de son amante tout en déposant sa tête sur sa poitrine…

« Rapport à ta remarque de tout à l’heure Roxinette, j’ai perdu deux kilos depuis que je suis avec toi… J’comprends mieux pourquoi tu restes mince. » Murmura-t-il d’un ton ironique tout en caressant du bout de l’index, l’un de ses mamelons.

Et c’était vrai, ça ne se voyait pas et heureusement mais, mais sans rien changer à ses habitudes alimentaires voire peut être… En mangeant un petit peu plus, le Don Juan avait dut resserrer sa ceinture d’un cran. Il soupira de fatigue et ferma les yeux… Après, il ne se souvint plus de rien, trou noir. Sans doute s’était-il endormi brusquement…

***

Quand il rouvrit les yeux, la pièce était encore sombre, et les rideau fermés. Sa tête lui tournait un peu et il mourrait de faim… Par chance, il remarqua très vite en levant ses pupilles vers la commode, que la crème de marron y était toujours. Esquissant un sourire lèvres closes, il s’étira les bras, poings fermés. Comme… D’habitude, sa petite reine dormait comme une bien heureuse, emmitouflée dans la couette. Le garçon plissa ses petits yeux du matin, attendris, mais s’obligea à quitter son nid douillet pour se doucher et s’habiller. En ressortant de la salle de bain, il était clean et sa peau douce comme celle d’un bébé (merci au nouveau rasoir Heltium projetc +ZBAF+). Il revint vers Roxanne et s’accroupis à côté du lit pour entourer ses épaules de son bras et déposer son front contre le sien :

« Debout la belle au bois dormant, j’étais si efficace que ça hier soir ? » Plaisanta-t-il rieur, en attrapant sur son doigt, un peu de pâte sucrée qu’il avala illico.

Nom de D… Qui était l’enfoiré qui avait inventé ça ?? C’était trop bon.. Et de loin le péché mignon de notre dandy, avec le Nutella ©️
L’interpellée gémit, comme mécontente d’être réveillée et son amant s’empressa de la remuer en lui secouant les cheveux dans tous les sens.

« Grosse larve va ! Sa fait la fière jusqu’à 3 heures du matin mais après, faut pas r’garder le réveil ! »

Il l’enserra dans ses bras comme un serpent constrictor mais.. D’une façon bien plus agréable et retira les longues mèches blondes qu’elle avait devant le visage pour déposer ses lèvres sur les siennes.

« J’y vais, j’ai pas mal de choses à faire… Je serais de retours ici vers 18 heures okay ? A ce soir ma furie. »

Il rit doucement en la lâchant puis se releva, s’empara de son sac et de son portable pour enfin quitter la pièce, ne laissant que ses pas raisonner deux ou trois secondes dans le couloir...
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