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Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin

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MessageSujet: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin EmptyDim 15 Fév - 21:37


Forbidden Love?


Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin 5c0jde



Le bal de la St Valentin… Fête des amoureux. C’est drôle mais, jusque là, Arsène n’avait jamais fait attention à cette fête qu’il jugeait « ennuyeuse » ou « commerciale ». Remarque, aujourd’hui encore, il portait le même avis. Non il n’aimait pas toutes ces conventions, les restaurants bondés, les hôtels réservés, les fêtes, les bisous, les cadeaux et tout ça pour une misérable St Valentin. Ce jour avait-il une signification précise ? Toujours est-il qu’il s’en moquait. Lui préférait – et de loin – les petites attentions que l’on porte à l’élue de son cœur de temps à autres, sans régularité pour que cela reste une surprise agréable et non une habitude. C’était quand même bien plus agréable de ce recevoir un bouquet de fleur un jour quelconque, sans raison, plutôt que pour un évènement spécial ou on à l’impression de voir marqué sur l’étiquette « parce que c’était le jour. ». Quelle bêtise… En plus, toutes ces dernières années, notre dandy avait passé ces 24 heures à ne rien faire… Soit il se louait un film, soit un jouait aux jeux vidéos avec ses amis célibataires, soit il travaillait ou alors… Il s’endormait après une grosse cuite. Depuis quelques mois déjà, il sortait avec une certaine Cameron Taylor, une jolie brune qui était restée longtemps son amie d’enfance avec laquelle il partageait beaucoup de souvenirs… Or, depuis qu’ils avaient échangés leur premier baiser d’amour, rien n’était plus pareil. Arsène s’ennuyait pour tout vous dire… Et il l’a trouvait beaucoup plus facile à vivre lorsqu’il n’était pas contraint de lui dire des mots doux. Comment vous dire… la pauvre n’y était pour rien, mais c’était ainsi. A croire que nos deux tourtereaux n’étaient pas faits pour rester ensemble. Une idylle limitée dirons-nous.

Mais voilà que, ces derniers temps, monsieur-sage-comme-une-image fréquentaient quelqu’un d’autre… Une autre étudiante. Belle à en tomber : Roxane Dickens, tombeuse de la gente masculine, mannequin déjà reconnue et… Connaissance de notre Franco-russe depuis qu’ils sont adolescents. Toute cette histoire avait commencé par une simple heure de colle. Tous les deux avaient été envoyés le même jour à la même heure dans cette fameuse salle où ils se devaient de purger leur peine. Là, la belle se mit en tête de le séduire – allez savoir pourquoi – mais n’y parvint pas comme elle le souhaitait. Arsène, garçon timide, sérieux, éternel enfant et un peu tête en l’air… Comment imaginer que lui se retrouve alors dans le lit de la demoiselle le soir même, à lui faire visiter le 7ème ciel. Tout un art… Elle, une véritable bête de sexe, une allumeuse professionnelle dans un corps de rêve. Voilà qui était inattendu. En attendant, depuis, monsieur Von Gergiovden et sa nouvelle maîtresse se voient en cachette… Quoi qu’il faudrait vraiment que Cameron soit stupide pour ne pas se douter que quelque chose entre elle et son amoureux ne va plus. En effet, le petit prince se fait plus froid avec elle, ils ne sortent presque plus et quand enfin c’est le cas, ça ne dure jamais longtemps pour cause de dispute. Ils ne font plus l’amour et Arsène lui donne de nombreux prétextes pour ne pas la voir le soir. Sacré salaud… Ah oui, il en était un. Surtout que d’un autre côté, personne n’était capable encore de connaître les raisons de son comportement puisque personne ne soupçonnait la présence de Roxanne dans les affaires.

C’est alors qu’ils prenaient un bain tous les deux à la confrérie Zeta, que la mannequin parla à son ami de ce bal organisé en l’honneur de la fête des amoureux. Sur le coup, son interlocuteur avait rit rien qu’en s’imaginant y participer. Ah non alors, sûrement pas ! Il préférait encore se déguiser en grosse citrouille pour le prochain Halloween. Pourtant, au fur et à mesure de la conversation, il se décida qu’ils iraient ensemble. Notre parisien n’était évidemment pas spécialement enchanté mais tant pis, cela lui permettrait peut être de faire comprendre à Roxanne qu’il éprouvait quelque chose pour elle, que c’était sincère et non pas… Oui parce que n’imaginez pas des « je t’aime » à tout bout de champ entre eux, ils ne se le sont encore jamais dit et c’est à peine si on ne dira pas qu’ils sont ensemble juste pour le sexe. Non, peut être pas… Certains regards prouvent le contraire mais quand même, voilà qui est ambiguë. Tout ce que le jeune homme espérait, c’est que sa petite amie n’y soit pas elle non plus. Il ne pouvait pas lui dire encore… D’abord parce qu’il n’en avait pas encore trouvé ni le temps et ni le courage, ensuite parce qu’elle était fragile et lui un gros naze et donc qu’il ne savait pas comment s’y prendre, chose qui avait tendance à amener un sujet de dispute récurent de la part de miss Dickens. Compréhensible…

Enfin, nos deux magnifiques tourtereaux arrivèrent à la réception tous les deux habillés comme roi et reine, à la manière de gentleman. Arsène avait enfilé un costume noir tout bonnement parfait, des chaussures foncées mais ni cravate, ni nœud papillon, il ne supportait pas ça et finissait toujours pas avoir la sensation d’étouffer dans sa chemise. Comme ils étaient beaux tous les deux, d’ailleurs, plusieurs regards se tournèrent vers eux les premiers instants de leur venue. Le Franco-russe comprit très vite que leur apparition l’un avec l’autre surprit bon nombre d’étudiant. D’abord ceux qui connaissait la réputation de Roxanne, ses exs… Ensuite ceux qui à l’inverse ne reconnaissait pas le studieux et candide Arsène au bras de cette traînée (xD). Enfin… Histoire de couper un peu cette ambiance morbide, ce dernier se tourna vers sa cavalière avec un sourire…

« Bien, tu préfères aller devant ou derrière pour le film ? »

Okay… C’était nul U_u Il se ravisa donc en grimaçant sur sa propre bêtise. Qu’importe, il n’était pas parfait et elle le savait. Ils se placèrent donc à deux places libres et attendirent. Arsène regarda alors le papier qu’il avait récupéré concernant cette fête et sourit à nouveau en clignant ses paupières argentées par l’éclat de la lune :

« Tu connais ce film ? « Certains l’aiment chaud » ? Hum, il doit faire parti de mes préférés, et Marilyn est sublime dedans, si j’me souviens bien, j’en étais presque tombé amoureux la première fois que je l’ais vu, elle est tellement mignonne… - Il se tourna vers elle – Mais tu as l’air soucieuse depuis tout à l’heure, ça ne va pas ? Hey je te rappelle que c’était ton idée le bal, je ne t’y ais pas forcé Roxanne, tu pourrais quand même te dérider un peu non ? »

Il soupira, c’était bien la peine de venir ici pour fêter les AMOUREUX.
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin EmptyLun 16 Fév - 23:48


    Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin 9tmwps

    « Elle flotte, elle hésite, en un mot elle est femme... » Jean Racine

    La fête de cupidon, la fête rose et des adeptes de la niaiserie absolue, voilà à quoi se résumait la St Valentin pour elle. Il y avait aussi, beaucoup d'argent à balancer par la fenêtre – soit disant pour la bonne cause, tu parle ! - sauf pour ceux qui sont totalement « in love » de leur nana/mec. Ah aussi les cadeaux qu'offraient les hommes... du chocolat, encore et toujours cette chose délicieuse mais infâme pour celles qui prennent des kilos donc bien sûr elles font un grand smile ; ' chui contente mon amour, ohhh je vais prendre 15 kilos et tuer notre lit, tu m'en veux pas chéri ? ' tout en arrachant de force la boîte contenant la douce drogue. Ou sinon il y avait les autres – ceux qui pour impressionner leurs ' élues ', sortaient des bouquets de fleurs énormes et qui se vantaient auprès de leur copains en racontant : ' Oh tsé quoi ? Le bouquet de roses rouges pour ma nana avait 70 fleurs ! Me suis fais pété la tirelire ' et un autre qui réplique qu'il en a acheter 30 en plus et que son copain n'est pas à la hauteur. C'est comique comme fête bidon d'ailleurs elle ne l'avait J.A.M.A.I.S célébrer une seule fois dans sa vie, même avec son ancien Josh. Pourquoi perdre son temps avec de telles banalités hein ? Pour se plonger dans un monde de bisounours ou de teletubbies ? Alors là non merci, sans façon, elle préférait les podiums et la gloire tout de même... Pas de mots doux, pas de chocolats, pas de fleurs ' nada ' comme on dit chez les Espagnoles. Malgré son écœurement évident, elle ne savait pas pourquoi mais elle avait trouver le moyen de proposer à Arsène de l'accompagner. Elle n'était pas idiote, elle savait qu'il était toujours « officiellement » avec celle qu'elle traitait purement et durement d'imbécile. Ils se voyaient en secret enfin pas pour ce soir c'était justement LE risque qui stressait la Zêta.

    Les regards posés sur elle et son compagnon ne l'étonnaient pas mais alors pas du tout mais elle les ignorait totalement prête à faire face aux chuchotements comme : « Roxanne avec le plus intéllo des Alpha ? Ah ça doit être un pari ça ! » ou alors une groupiasse qui fait « Arsène avec une putain de chaudasse comme ça ? J'y crois pas, pauvre Cameron... » qu'ils parlent, elle n'y prêtera aucune attention. Si ça dérangeait tant que ça qu'elle s'assagit avec le franco-russe, elle leur ferra comprendre que c'était sa vie et qu'elle était libre de faire tout ce qu'elle voulait. Habillée d'une robe beige très chère, elle avait aussi des talons et des boucles d'oreilles en diamants et c'est là qu'on se dit : ' merci vieux de m'avoir légué toute ta fortune avant de crever, repose en paix. '. Ahhh ce bon vieux milliardaire de Brésilien, que ce qu'il était gentille avec la Dickens qui le prenait pourtant pour son grand père puisqu'elle ne le touchait jamais enfin bref, il ne faut pas effrayer les lecteurs avec ces histoires de bimbos qui s'envoient en l'air avec des retraités richissimes ( XD ). Quand elle tenait les bras et qu'elle regardait les autres elle se sentait comme ce qu'on appelait dans le temps une « catin » élégant comme nom n'est ce pas ? C'était déjà mieux que salope ou bitch voir p*te et puis c'était plus gentil aussi comme mot enfin pour Roxanne.

    La seule chose qui tracassait véritablement la demoiselle c'était l'image que son cavalier ne prenne son cheval blanc pour voir la belle aux bois dormants, la laissant comme une misérable cendrillon qui perdait tout son éclat de princesse... un cauchemar d'illusion qui se tournait sans arrêt dans sa tête depuis qu'elle était au bal. Elle s'inquiéter de ça ? Que ce que c'était débile tout de même, mamzelle ne se souciait pas de ça, Arsène était décidément un sorcier de la faire changer ainsi mais attention au naturel qui revient au galop, ça peut faire très très mal surtout avec une ancienne garce comme elle... Sa main droite était moite et bizarrement, c'était celle qui se trouvait contre son gré, se réfugiée dans celle de chevalier servant. Roxanne cachait son stress d'un sourire assez radieux, elle jouait la comédienne pour que son charmant compagnon ne se moque pas d'elle. Se raclant la gorge en entendant la bêtise de son franco-russe, sa mauvaise manie d'écraser très fort les pieds revenu d''un coup... ohh comme ça fait du bien de se défouler sur des petits pieds d'homme, ça lui apprendra (a) Il n'était pas parfait mais c'était vraiment mal placé donc elle ne c'était pas gênée pour lui écraser les orteils au pauvre petit qui allait moins faire le malin après ça. Tout à coup elle n'était plus stressée, le sadisme ne serait-ce de faire un peu de mal physiquement à son amant la rendait... presque heureuse, attention j'ai bien dis presque !

    « Aucun des deux... je préfère ça... »


    Vile et fourbe, elle passa à toute vitesse sa main aux fesses de son cavalier pour les lui pincer afin qu'il sursaute. Un grand sourire moqueur s'afficha sur ses lèvres recouvertes d'un gloss rose qui allait très bien avec le blond de ses longs cheveux blonds lissés à l'occasion. Elle lui lança un regard l'air de dire « alors tu veux toujours m'embêter ? ». Roxanne prit place en prenant son temps comme si elle faisait sa comtesse car ça lui faisait oublier que c'était l'affreuse fête... des amoureux. A moitié perdue dans ses pensées, elle l'écouta puis elle fut attentive quand il parlait d'une femme « sublime ». Ses sourcils se froncèrent et elle lui répondue aussitôt ;

    « Marilyn Monroe... c'est d'un classique mais n'importe quoi décidément. Ah ben si tu la trouve si belle que ça je t'en PRIE, va la rejoindre dans sa tombe ça lui ferra plaisir. »


    Notre Cendrillon croisa ses bras et prit un air soucieux avant de reprendre :

    « Entre ton fantasme de Marilyn et ta nana... je sens qu'elle va débarquer armé faire un REMAKE de massacre à la tronçonneuse en souhaitant ta tête en premier. Mets toi à ma place... de nous deux je suis la comment dire... catin, la vilaine femme qui a volée l'homme d'une autre... Je suis idiote d'avoir crue que je pouvais avoir ma place ici... »

    Il pouvait soupirer mais il ne pouvait pas avoir le stresse de sa cavalière qui continuait de bouder assise...
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin EmptyMar 17 Fév - 10:08

Des mauvaises langues, il y en avait partout… Des filles jalouses tout simplement. Des nénettes qui se dandinaient sur place et que même une robe Gucci ou Dior ne pouvait finalement embellir assez pour parvenir à la cheville de la belle mannequin. De ce côté-là, Arsène se sentait d’accord un peu l’intrus mais pour rien au monde il ne cèderait sa place, et qu’importe les ragots, les commérages. Il avait accepté de venir au bal avec elle c’était bien pour lui prouver qu’il pouvait se montrer en public avec elle sans en ressentir de la gêne. Après tout… C’était elle qu’il aimait non ? En parlant de ça… C’était quoi cette façon de rester distante qu’elle avait envers lui ? Pas dans le sens où elle éloignait leurs rapports mais, ça n’avait vraiment aucun romantisme, comme si elle se refusait de lui montrer un quelconque sentiment. Et pourquoi cela ? Parce qu’il était encore avec sa petite amie ? Ah d’accord… C’est vrai qu’il abusait sur ce coup seulement, savait-elle à quel point il était difficile pour lui ne serai-ce que d’imaginer cette rupture ? Il se considérait déjà comme le plus gros des salauds, l’enfoiré de service… Inutile d’en rajouter. C’était étrange comme relation, leurs corps étaient façonnés l’un pour l’autre, se complétaient à la perfection, mais leurs esprits semblaient réticents à l’idée même de dévoiler à l’autre ses impressions, l’envie d’être plus proche. Quelques attentions pourtant ne feraient pas de mal : un baiser par-ci, un regard par-là ; tout cela sans tomber dans la niaiserie pure évidemment. Heureusement que quelques petits trucs trahissaient notre belle blonde, autrement Arsène se demanderait vraiment ce qu’il fiche là. C’est vrai quoi… la vie était déjà assez ardue comme ça pour qu’on n’en rajoute pas en se foutant de la gueule des autres. Dans ce cas, ce serait tout bonnement misérable, stupide, salopard… Ah, il voulait vraiment former un couple avec elle, Roxanne Dickens, mais il n’en avait pas encore sentit la nécessité. Avec le temps cela viendrait, mais pour le moment, s’il rompait déjà avec sa petite amie actuelle, cela leur enlèverait une épine du pied. Sa maîtresse était de plus en plus exécrable à ce sujet avec ses « Mais largue-là ! », « Pourquoi tu la laisses pas tomber cette pauvre c*nne ! », « Dis-le moi si j’t’embête ! ». En un sens, elle avait raison, c’n’était pas raisonnable. Enfin, c’était décidé, il lui dirait tout le lendemain de cette fête autrement dit, dès que le soleil se sera levé.

Malgré les regards et les tensions, le jeune Franco-russe se contentait de garder une mine plutôt décontractée et aurait bien voulu entraîner avec lui la bonne humeur de sa cavalière… Raté. Qu’importe, il ferait sans. Ils se dirigeaient d’ailleurs vers les sièges lorsque la beauté en question prit l’initiative de pincer furtivement les fesses de son amant, l’air de s’amuser en voyant la mimique de surprise mais aussi de gêne que ce dernier avait prit. C’était d’une élégance… Espérons que personne n’ait vu ça quand même. Et puis pourquoi elle faisait ça ? Elle n’en avait pas marre de le mettre dans des situations qui lui faisaient honte ? Il ne fallait pas qu’elle oublie que tout ça c’était nouveau pour lui aussi, et qu’il n’avait pas l’habitude de ce genre de gag par forcément plaisant. Ainsi il avait tourné son visage vers elle est froncé les sourcils en murmurant d’un ton sec :

« Mais arrête ! J’veux pas que tu fasses ça, encore moins quand y’a du monde… »

C’était clair ou il devait répéter ? Bien… Ils s’assirent donc tous les deux de façon à attendre le film tout comme les autres lorsque le petit Parisien fit l’erreur de donner son avis sur le film qu’ils s’apprêtaient à voir et plus exactement sur l’une des actrices principales : Marilyn Monroe. Mais comment oublier cette icône de beauté… Mais aussi de souffrance ? Elle était belle aux yeux du jeune homme pas seulement pour ses beaux yeux ou sa chevelure blonde… Mais c’était toute sa vie qui était un drame sans fin, le genre d’histoire qui n’arrive pas à tout le monde. Il avait été fasciné par elle depuis la première fois qu’il avait vu ce film justement, après ça, il avait lut des tonnes de bouquins la concernant, des biographies, des interview bref… Alors pourquoi Roxanne était-elle obligée de toujours tout tourner au négatif ? Ce n’était pourtant pas comme s’il parlait de Cameron si ? « Marilyn Monroe... c'est d'un classique mais n'importe quoi décidément. Ah ben si tu la trouve si belle que ça je t'en PRIE, va la rejoindre dans sa tombe ça lui ferra plaisir. Entre ton fantasme de Marilyn et ta nana... je sens qu'elle va débarquer armé faire un REMAKE de massacre à la tronçonneuse en souhaitant ta tête en premier. Mets toi à ma place... de nous deux je suis la comment dire... catin, la vilaine femme qui a volée l'homme d'une autre... Je suis idiote d'avoir crue que je pouvais avoir ma place ici... » Mais nom d’un chien, qu’elle se taise ! Depuis le début, chaque fois que MADAME faisait la gueule, c’était Arsène qui se taisait, il prenait toujours sur lui ce mauvais caractère tout ça parce qu’il était trop gentil. Mais il suffisait qu’elle tombe sur un chiard comme elle et il se serait sans doute déjà barré en lui disant « Très bien, t’es chiante, binh reste toute seule ! » Mais pas Arsène. D’abord parce qu’il s’était trop attaché à elle pour lui faire un coup pareil, ensuite parce qu’il avait un minimum de matière grise mais aussi d’étude et qu’il savait de quoi cette nervosité résultait. Roxanne était ainsi faite, sa vie l’avait façonnée de telle façon qu’elle puisse survivre aux épreuves douloureuses qu’elle avait dut traverser pour en arriver là… C’est pourquoi il ne lui en voulait pas de s’en prendre à lui, d’ici quelque temps, elle aurait enfin compris qu’il n’était pas son ennemi et se serait sans doute un peu calmée sur ce plan. Patience…

Le bel éphèbe s’était alors tourné vers elle sans ajouter le moindre mot, ni même un caprice. Il commença par d’abord l’observer de longues minutes, comme s’il jouait sur ses nerfs, l’expression impassible de la même façon qu’une statue de marbre puis fut attiré par le sourire ingrat que lui lançait le type derrière eux, contente de voir qu’un couple se prenait la tête. Tsss… Il n’avait rien compris celui-là. C’n’était pas une dispute enfin… Juste le train-train quotidien de deux âmes encore fragiles. Il se contenta de sourire avec insolence à cet homme avant de se rapprocher de la Zêta et de lui prendre la main :

« Ayé, t’as fini ta cri-crise ? » S’enquit-il avec humour avant de mettre fin à tout hésitation et de la serrer carrément dans ses bras « Arrête un peu de prendre mal tout ce que j’te dis, je n’faisais que te donner mon avis… Et puis tu l’sais que je t’adore, je ne pensais pas à mal. »

Sur ce, il la libera assez pour pouvoir la regarder droit dans les yeux. Comme elle était jolie avec ses yeux méfiants et agacés. S’il n’avait pas l’habitude, Arsène aurait pu croire qu’elle s’apprêtait à lui sauter dessus pour le démembrer. Il esquissa un doux sourire en inclinant progressivement son visage de façon à l’embrasser. Et bien non, il n’avait pas honte de lui voler ce baiser devant toutes ces personnes qu’il connaissait peut être.

« On s’en fout de ce que pensent les autre, et toi la première… Dans l’histoire le méchant c’est moi, pas besoin de me le répéter. Je vais rompre avec Cam’ dès demain, je lui dirais… Ce qu’elle commence à comprendre de toute façon. Tu sais, je n’arrive même plus à mimer le bien être quand je suis avec elle, si elle ne s’est rendue compte de rien c’est qu’elle est stupide… Et comme ce n’est pas le cas… Elle sait déjà ce que je vais lui dire. Mais… S’il-te plaît… Ne parle pas d’elle comme ça. Elle ne t’a rien fait au fond, et puis c’est vrai je ne l’aime plus… Mais elle reste une fille géniale. Et ça, tu peux te mettre en colère, me dire que je n’suis qu’un ingrat débile ou un crétin, ça ne changera pas. Cameron c’est Cameron, pas une vulgaire prétentieuse oversiliconée. »

Il se rassit convenablement et croisant ses bras sur sa poitrine l’air de dire « gueule-moi dessus si tu veux, j’ai l’habitude, j’encaisse. ». Si Roxanne n’était pas fichue de comprendre ça, c’est qu’elle avait un haricot dans la tête ou une trop grande estime d’elle-même si elle croyait que son amant allait rester là éternellement à se faire engueuler sans réagir.
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin EmptyMar 17 Fév - 15:23

    Mentir pour fuir son reflet dans le miroir. Mentir pour ne pas décevoir. Se fondre au décor.... Comme la chanson « mentir » mais était-elle dans l'obligation de suivre ce rythme là bien que la vérité était présente et que les paroles collaient parfaitement à Roxanne ? Elle ne le savait pas... Torturés par l'ennui, on se crée des histoires mais seulement, étaient-ce toujours des histoires ? A trop mentir, on se noie dans le mensonge alors qu'il existe, toujours de la vérité quelque part.... C'était assez mondain comme ambiance avec toutes ces filles qui se prenaient pour les plus belles, pour des reines de beauté, malheureusement certaines d'elles étaient bien moches, la dure loi de la nature... Le visage vide d'expressions, elle ressemblait à une poupée de porcelaine à ne rien montrer en l'égard d'Arsène, peut être par honte ou bien par pudeur, les deux étaient possibles. Elle trompait tout le monde à ne rien montrer alors que c'était évident, elle n'était pas insensible au charme de son cavalier.... Roxanne ne l'emporterait pas dans sa bombe, son désir de danser un slow langoureux devant tout le monde en faisait taire les langues de vipères.... Est ce qu'elle avait le droit de danser avec lui au moins ? C'était moins évident surtout si ils finissaient par s'embrasser comme un couple des plus ordinaires alors qu'ils n'avaient rien de commun ces deux là. Si ça ne tenait qu'à elle et qu'ils n'étaient pas en public, elle briserait la glace et n'hésiterait pas à fondre en le regardant droit dans les yeux. A la limite, qu'ils soient mains dans la mains ne la dérangeait pas mais pour le reste elle était comme bloquée... Rien que de le sentir plus libre, lui permettrait d'être moins distante avec lui et de s'affichait pleinement sans gêne mais ce n'était pas encore pour tout de suite, il fallait attendre avant de se dire qu'ils seraient officiellement ensemble et qu'ils ne se verraient pas en cachette comme des amants interdits à la Roméo et Juliette. Embêtée par sa blague perverse de derrière et devant, elle c'était tout bonnement venger et le mettant dans la gêne avec un simple pincement de fesses. Avec un sourire forcé, elle chuchota :

    « Chochotte va... ça t'apprendra avec tes ' tu préfères aller devant ou derrière ' ? ben t'as la réponse, par derrière... »

    Un sarcasme à rajouter dans son livre de sarcasmes, encore un... elle n'était pas prête de s'arrêter à ce rythme là. Roxanne n'était pas une idiote d'inculte, elle savait ce qui était arrivé à la fameuse Marilyn Monroe, c'était une grande femme mais une chose l'agaçait fortement ; son statut de sexe-symbole absolue et en plus Arsène lui faisait la remarque, quelle toupet ! Jalouse ? Un peu mon n'veux ! Dans le fond elle lui ressemblait... n'était pas lui qui avait raconter « Tu es à la limite du Borderline Roxanne, c’est un dérèglement psychotraumatique assez fréquent mais très douloureux chez la personne concernée » ? Il y avait de nombreuses rumeurs sur l'idole qu'était cette femme et elle aurait fait un suicide à cause d'une personnalité Borderline justement, enfaite c'était pas si désagréable... Il lui prenait la main, elle le laissait faire sans rechigner mais avec une certaine mine boudeuse. Une fois dans ses bras, elle se tut comme une petite fille qui était entrain de se faire rassurer. D'une petite voix elle répondue :

    « Hum oui... enfaite tu m'avais bien dis que j'étais à la limite du ' borderline ' ? En quelque sorte c'est ce qui était arrivé à ton idole, dans un sens c'est un compliment, je ne t'en veux plus mais fonds pas sur place aussi sublime soit-elle compris ? »

    Restant dans ses bras, elle bougeait légèrement ne trouvant pas de position confortable. Même si elle le regardait de façon menaçante, elle n'allait pas le bouffer. Il commença alors un monologue pour lui expliquer les choses. Un sourcil fut arqué au sujet de Cameron, elle soupira et lui dit ;

    « Mais cette réputation de salaud tu t'en fou aussi, du moment que tu ne recommence pas mais que... tu reste avec moi. Si elle m'a fait quelque chose, elle t'a eut, elle est « géniale » et j'ai l'impression que tu t'es beaucoup trop attachée à elle pour la laisser tomber maintenant et pour moi. Qui te dit qu'elle ne cherchera pas à se... venger de moi ? Les apparences sont trompeuses... »


    Pas décidée à rester à la même place, elle se mit comme elle le voulait sur les genoux de son amant puis elle se mit face à lui même si il ne pouvait plus voir la projection du film. Il l'avait embrassé devant tout le monde, il avait osé alors pourquoi... elle ne se mettrait pas sur lui comme ça ? Allez hop en plus ça l'empêchait de voir sa Marilyn. Ses longs cheveux touchaient légèrement le cou d'Arsène mais ils étaient très doux après avoir été lissés sans compter qu'ils sentaient la rose, son parfum qui était aussi celui de son cou nue sans le moindre collier. Ça suffit de ressembler à un iceberg, elle lui sourit amoureusement avant de frotter son nez contre le sien, décevant l'homme qui se réjouissait de leurs tensions. Roxanne déposa un de ses doigts sur sa bouche et elle lui dit :

    « Je resterais comme ça, tu ne verras pas Marilyn parce que... je suis jalouse que tu puisse tomber amoureux d'elle et de la dévorer des yeux. La seule que tu as le droit de dévorer des yeux c'est moi ou alors je te plante ici tout seul et tu n'auras pas l'air imbécile mon grand... »


    Elle ferma ses yeux, retira son doigt de sa bouche pour ensuite déposer son front contre le sien. De cette façon ils avaient l'air d'un vrai couple qui se réconciliait à un bal de la St Valentin, ce n'était pas si mal en fin de compte... En remarquant quelque chose, elle fit une mine boudeuse avec ses lèvres et le prit légèrement par le col :

    « Mais euh... t'as même pas de cravate, c'est pas sexy »

    Ba oui elle ne pouvait pas le tirer par la cravate et ce n'était pas drôle. Elle abaissa légèrement sa tête pour laisser une trace de ses lèvres sur le col de son amant. Roxanne remonta ensuite jusqu'à sa bouche tout en déposant sa main droite sur la nuque de son homme. Doucement, elle laissa leurs lèvres se frotter avant de finalement l'embrasser langoureusement pour ensuite se rappeler qu'il risquerait de mal le prendre alors elle devenue plus sage. Une fois qu'elle mit fin à son baiser, elle lui susurra de façon sensuelle ;

    « Si tu n'étais pas aussi beau même sans cravate, je te jure que si nous n'étions pas en publique... je t'aurais déjà sautée dessus, j'en meurs d'envie... je ne risque pas de vouloir rester ici bien longtemps. »


    Revoilà le naturel qui revient au galop comme on dit.... La belle Dickens avait des envies coquines, pauvre petit Arsène il risquait d'en prendre pour son grade... Arf en parlant de ça, il devait avoir remarquer son plan diabolique en ce qui concernait son portable, elle se mordit la lèvre inférieur avant de lui murmurer avec l'air le plus innocent possible.

    « Je suis désolée d'avoir été impulsive l'autre soir... elle m'avait énervée avec son ' je t'aime quand est ce que tu reviens je t'attend ' j'avais l'impression qu'elle voulait absolument te voler à moi... J'aurais pas dû toucher à ton portable mais c'était plus fort que moi, je ne recommencerais plus je le promet... »

    Rien de tel que un petit aveu en public histoire qui ne l'étrangle pas. Son regard ressemblait à celui du chat potté dans Shrek juste pour soit attendri malgré la garce attitude de sa donzelle après leurs ébats....
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin EmptyMar 17 Fév - 17:19

Devant ou derrière… Cette phrase eut pour effet immédiat de replonger le jeune homme directement lors de leur première nuit, où il avait tenté une nouvelle position bien plus osée que le simple missionnaire avec elle. Résultat ? Il rougit un bref instant. D’accord… D’accord… Mais il refusait tout de même qu’elle lui touche les fesses comme ça en publique. D’ailleurs, même s’ils avaient été seuls, il n’aimait pas ça. Sachant que c’était une partie de lui-même à laquelle il n’avait pas accès dans le sens où il ne se préoccupait pas vraiment à savoir s’il avait de belles fesses ou pas, il refusait aussi bien de les exhiber qu’on y touche. Et Roxanne n’était pas une exception. D’ailleurs, elle avait dut commencer à se rendre compte qu’elle s’était éprise d’un homme bien pudique mais chaud bouillant à la fois. Difficile de jongler avec un tel caractère n’est-ce pas ? Mais il était ainsi. Au levé du jour, Arsène s’arrangeait toujours pour avoir un vêtement à porté de lui afin de pouvoir se déplacer sans être entièrement nu… Mais si on le voyait quelques heures auparavant seulement, le sang en feu qui circulait telle de la lave dans ses artères, la fougue qu’il mettait dans ses gestes mais aussi la douceur et le tact. Jamais il n’eut été possible de deviner qu’il n’avait en fait qu’assez peu d’expérience au fond. Amusant comme les choses pouvaient se révéler surprenantes. Mais ce soit, c’n’était pas pour faire l’amour à Roxanne qu’il l’avait emmené ici, mais bel et bien pour la voir sourire un peu, la voir oser se montrer en publique avec lui… Qui n’était guère plus rassuré qu’elle d’ailleurs mais qu’importe. Elle semblait porter un masque encore… jusqu’à ce qu’ils atteignent un siège et en viennent déjà à sa disputer pour une broutille. Comment pouvait-on en arriver à se pouiller le nez aussi facilement ? La nervosité peut être. La belle était tendue et son amant lisait dans ses yeux une certaine forme d’angoisse. C’est la raison pour laquelle il décida de ne pas prolonger leur dispute et de jeter de l’eau sur les braises en la serrant dans ses bras. Qu’elle en prenne note : il n’hésitait pas à montrer son attachement pour elle… d’ailleurs elle était sans doute à des années lumières de savoir à quel point il l’adorait sa Roxy… Sauf que ça, elle n’en saurait rien. Pas encore du moins… Il n’était pas vraiment prêt à lui dire tout ce qu’il avait sur le cœur et n’en ressentait même pas l’envie. Il fallait attendre, ne pas aller ni trop vite et ni trop lentement autrement, on s’ennuie. C’est alors qu’elle soupira… Réputation de salaud ? Oui et alors, on le prenait pour un débauché qui trompait sa copine pour une vulgaire bitch… Et il assumait parfaitement même si se recevoir une boulette de papier dans la figure en plein court n’était pas particulièrement agréable. Et oui, certains étudiants – garçons plus particulièrement – s’amusaient à rendre les journées de notre Dan Juan plus ardues encore en usant de farces puériles… C’est moche la jalousie, car oui, tous désiraient eux aussi coucher avec la diva. Arsène l’avait comprit lorsque l’un d’eux l’avait abordé dans un couloir en lui demandant quelque chose comme… « Alors, elle baise bien Dickens ? C’est vrai que c’est grosse cochonne ? ». Le croche-pied dans les escaliers était parti tout seul et il en était profondément navré.

« Binh… Et pourquoi ne m’aurait-elle pas eu ? Tout le monde à le droit de tenter sa chance en amour sauf que… ça n’a pas marché c’est tout. Non je ne la vois pas trop se jeter sur toi et te scalper tu sais, j’ai plus peur qu’elle retombe malade… Mais ça c’est autre chose. De toute façon il va bien falloir que je mette les points sur les « i » ou je sens que TOI tu vas finir par m’arracher les tripes. »

Il avait terminé sa phrase sur un ton ironique jusqu’à ce que la Zêta n’entreprenne de grimper sur ses genoux, ce qui surpris le dandy plus qu’autre chose. Elle… Elle faisait quoi là ? Ne se rendait-elle pas compte qu’elle était juste affreusement désirable dans cette tenue et qu’ainsi placée elle risquait d’éveiller le dragon ? En faisant ça, elle s’apprêtait à infliger une douce mais atroce torture à son amant qui tentait vainement de la repousser. Voilà, trop tard, elle était placée et ne comptait plus bouger… Et tant pis s’il ne voyait rien du film. C’est d’ailleurs à ce moment là qu’elle lui sortie une excuse bidon comme quoi elle refusait qu’il admire la flamboyante Marilyn Monroe mais plutôt qu’il reste fixé sur elle. En l’occurrence, là, s’il regardait en face, il tombait en plein sur son décolleté…

« Marilyn est une petite joueuse à côté de toi, mais ça je n’voulais pas te le dire… De peur que tu te brise les chevilles.. » Lui susurra-t-il à l’oreille – entrant dans son petit jeu – d’un ton mielleux.

Elle était désirable, pire que ça encore… Une bête de sexe sous un amati de vêtements tellement inutiles au fond… Le Franco-Russe ravalait sa salive lorsqu’elle déposa ses lèvres sur son corps avant de venir capturer les siennes en un baiser langoureux… Provocateur. Mais que c’était bon, cette bouche merveilleuse… Cette langue qui venait titiller la sienne comme une danse érotique. Il n’allait pas tenir longtemps si elle persévérait en ce sens… Déjà son ventre le picotait et il brûlait de l’intérieur, éveillant le moindre de ses sens endormis. Pourquoi stopper maintenant ? Remarque… Il était temps, notre étudiant en psycho avait déjà complètement zappé qu’ils n’étaient pas seuls… Il rougit d’ailleurs lorsqu’il remarqua que certaines personnes les regardaient avec mépris, comme s’ils trouvaient ça d’une impudence déplorable. Oh ça va… Ils n’avaient pas 40 ans, ils s’amusaient… Il s’apprêtait donc à réclamer encore un peu de ce contacte délicieux lorsque la belle lui avoua qu’il la rendait complètement folle… Chose qui eut pour effet d’allumer encore plus Arsène qui commençait à ne plus tellement savoir où donner de la tête. Tiens, mais pourquoi se mordait-elle la lèvre inférieure ? « Je suis désolée d'avoir été impulsive l'autre soir... elle m'avait énervée avec son ' je t'aime quand est ce que tu reviens je t'attend ' j'avais l'impression qu'elle voulait absolument te voler à moi... J'aurais pas dû toucher à ton portable mais c'était plus fort que moi, je ne recommencerais plus je le promet... » Ah oui… Ce coup-là, il n’était pas prêt de l’oublier, tout comme la colère qu’il avait ressenti lorsqu’il s’était rendu compte de son méfait. Roxanne s’était conduite en véritable petite garce cette nuit, et il avait eut du mal à passer l’éponge… pourtant, il ne lui avait jamais fait remarqué cette erreur et avait même préféré l’enfer au placard pour ne plus jamais la retrouver. En l’occurrence, là, c’était différent puisqu’elle était en plein aveux. Décidemment, la blondinette était vraiment – VRAIMENT – jalouse de Cameron… Comme si elle était obsédée par l’idée qu’il puisse la laisser pour revenir vers elle. Et il avait beau lui dire et lui répéter que non, il ne l’aimait plus et que ça n’était pas possible… Rien à faire, elle recommençait. L’héritier Von Gergiovden baissa les yeux… Puis les releva pour venir directement les planter dans ceux de son interlocutrice. Un sourire ravageur se dessina sur ses lèvres :

« Ça te dit qu’on sorte prendre l’air ? »

Il ne lui laissa pas le temps de répondre que déjà il s’était levé et l’avait entraîné avec lui vers l’extérieur. Une fois la porte passée sous quelques regards étonnés, le petit prince ne s’arrêta pas là puisqu’il la tirait encore par le bras en courrant jusqu’à un coin d’herbe, planqué par plusieurs buissons où ils seraient tranquilles… Il faisait nuit noire et encore frais… Mais bien assez tempéré pour laisser nos deux jeunes gens batifoler dans la nature. Elle le rendait dingue… Elle et sa robe divine, elle et sa nuque dégagée, ses cheveux coiffés et son maquillage parfait. Jamais il n’avait eu autant envie de lui faire l’amour que ce soir, d’ailleurs, il n’avait jamais autant désiré une femme jusqu’à maintenant.

« Regarde un peu ce que tu me fais faire… » Plaisanta l’éphèbe en un murmure alors qu’il déboutonnait déjà sa veste.

Tous les deux allongés sur la pelouse humide, et pas un bruit pour les déranger… L’Alpha avait retiré lui-même le smoking qui recouvrait sa chemise, déboutonné le haut de cette dernière puis s’était jeté furtivement sur Roxanne en lui dévorant le cou et le corsage de baisers. Elle l’avait allumé ? Rien à dire, c’était réussit… A tel point que le séducteur ne se reconnaissait pas lui-même, haletant sous la pulsion de son désir. Au bout de quelques brefs instants de recherche, il trouva enfin le moyen de retirer sa robe à sa maîtresse et plongea sa main dans ses longs cheveux tandis que de l’autre il défaisait la ceinture de son pantalon.

« Tu me rends complètement fou… » Souffla-t-il à son oreille, au bord de l’extase sensorielle…

Etai-ce sa beauté qui le rendait comme ça ? Non… Pas seulement, c’était tout un ensemble de choses qu’il adorait en elle. C’était elle tout bonnement. Elle et ses mimiques, sa voix, ses gestes, ses mots… Il voulait la posséder entièrement, et toute la nuit.
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin EmptyMar 17 Fév - 19:51

    Sa chochotte préférée d'amant devenait soudainement rouge, serait-il nostalgique avec 3 simples mots ? Que ce qu'il pouvait être pudique avec ses airs de coincé mais elle trouvait ça tellement mignon de voir un homme ne pas se vanter à tout bout de champs de ses exploits ainsi que de chaque partie de son anatomie. Elle finirait bien par lui faire voir le potentiel de ses fesses * zbaff * que ça lui plaise ou non. Pourquoi ignoré une partie qui, fait fantasmé des mémés quand elles sont assises dans un parc à mater les mecs jeunes passés ? Même à elle qui était jeune, ça lui arrivait de reluquer vite fait certaines hommes quand ils semblaient bien roulés. Chose qu'elle avait faillie faire avec lui mais qu'elle n'avait pas faite de peur d'avoir l'air trop vicieuse. Roxanne elle, riait qu'on regarde son arrière-train, elle était du genre à se ficher totalement qu'on la déshabille du regard et selon la personne qui le faisait, c'était plus ou moins flatteur. Ce qu'elle aimait chez Arsène c'était son côté « hot'n'cold », sa capacité d'aller du chaud au froid comme il le sentait, ça lui donnait un petit plus. De son côté elle le plus souvent, était un iceberg qui fondait enfin quand elle se trouvait avec lui, il avait un de ces effets dévastateurs sur elle, c'était tout bonnement incroyable. Elle adorait jouer à l'allumer surtout que par moments, c'était un jeux d'enfant. Dans les couloirs de l'université, elle avait eut d'ailleurs, de drôles de regards et elle avait eut le droit à des « OH MON DIEU ! Le gars qui était avec toi dans ta chambre, je suis maboule ou c'était un Alpha ? En tous cas t'as pas essayé le plus laid... t'en as jamais assez toi, la prochaine fois tu te fais un professeur ? », comme réponse elle lui rit au nez et lui fit comprendre qu'elle n'avait pas besoin de prof tant qu'elle avait son intéllo dans son lit, ça lui suffisait amplement. Quel autre homme pourrait autant désirer la jeune mannequin que lui ? Elle ne c'était même pas poser la question vue comment il avait du mal à cacher quand il avait envie d'elle. Ahhh son regard quand il s'y mettait, à faire son petit pervers, elle aimait ça autant que quand elle l'allumait purement et simplement. Évidemment monsieur ne comprenait pas toutes les questions qu'elle se posait sur Cameron, elle baissa la tête avant de répondre :

    « Parce qu'elle aurait mieux fait de rester une simple amie, la preuve elle n'est même pas faite pour toi... Oui c'est moi qui vais te castrer t'as raison alors attention à ce que tu dis ou fais ou alors je recommence à toucher l'endroit qui t'as fais sursauté il y a quelques minutes... »

    Sa sournoiserie se lisait sur son visage maquillé. Roxanne était bien sur ses genoux dans une position qui lui permettait d'avoir ses atouts en avant. Son regard semblait pile sur sa poitrine, quel petit vicieux... il regardait directement son décolleté comme si il était déjà affamé. Sa blague avait été prise à la légère par la mannequin dont les chevilles se portaient toujours très bien.

    « C'est gentil de te soucier de mes chevilles mais elles vont mieux maintenant que tu viens de me dire que je suis mieux que la mamzelle derrière... »

    Elle ne bougeait pas vraiment mais rien que de voir sa robe semblait exciter le franco-russe. Petit impatient... il voulait lui déchiqueter cette fichue robe, ça se voyait mais comme c'était de la marque elle n'allait pas le laisser faire. De nouveau il rougissait et tout ça pour un baiser langoureux entreprit par sa gazelle. Et encore elle y allait doucement ou alors il serait déjà torse nu. Il oubliait totalement la présence des autres pendant un instant avant qu'elle ne se rende compte qu'il ne savait déjà plus où se placer. Étrangement, il n'avait rien répondu à ses aveux comme si ça lui passait par dessus là tête... l'effet de la St Valentin peut être ? Cette fête n'était pas si mauvaise alors, elle y prendrait goût petit à petit. Même si elle n'avait pas répondue à sa question, il l'a trainait déjà ailleurs... Il avait quelque chose en tête, ça se ressentait rien qu'à voir à quel point il marchait vite. Allongée sur l'herbe derrière un buisson, il voulait faire le fantasme classique de l'amour en pleine nature mais elle, avait une autre idée en tête tout aussi excitante mais plus dangereuse. Roxanne admirait son bel étalon défaire sa veste bien qu'il aurait pu la laisser la lui enlever d'elle même. Son haut vint être déboutonné à une vitesse fulgurante avant qu'elle n'eut le temps de réagir, la moitié de sa robe ne cachait pas son corps. Arsène la recouvrait de baisers dans le cou et un peu plus bas puis ses mains baladeuses s'amusaient à lui titiller la poitrine à l'air. Comment lui dire que... elle n'aimait pas l'exhibition ? La douceur serait certainement le mieux...

    « Ahhh non... non... je suis un mannequin mais tout de même, je ne montre pas mes seins à n'importe qui, je préfère que tu en sois le privilégié et que moi, je suis la seule qui puisse admirer ça... »

    Elle passa une de ses mains sur le torse musclé de son amant avant de rougir à l'idée qu'elle allait l'avoir toute la nuit rien que pour elle. Avant qu'il ne retire totalement sa ceinture, elle déposa sa main dessus et la lui retira de manière à ce qu'il ne retire pas sa ceinture, pas tout de suite. Roxanne lui lança un regard l'air de dire « un peu de patience voyons ». Le dernier susurrement de son franco-russe la fit frissonner, raaa ce qu'elle n'aimait pas qu'il lui dise des mots comme ça, c'était gênant. Pour contenir un peu le jeune homme, elle se mit au dessus de lui avec sa robe à moitié enlevée.

    « On va jouer à un jeux... tu es James Bond, je suis ta James Bond girl et je vais te donner une mission périlleuse... »

    Sur un ton provocateur, elle remit en place sa robe afin de cacher du mieux qu'elle le pouvait ses seins puis elle se leva. Elle tira Arsène par le bras avant de lui murmurer « fais moi confiance, suis moi...». Avant de partir, elle attrapa les affaires de son amant puis tout en l'embrassant avec des baisers furtifs, elle reculait avec lui de façon à s'approcher de l'université. Les deux chauds-lapins finirent devant la porte d'entrée qui était ouverte, elle lui demanda alors :

    « Prêt ? »
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin EmptyMar 17 Fév - 21:05

Sur l’herbe ainsi allongés, c’était pourtant si bon… Dissimulés par quelques buissons, le jeune couple se caressait à l’abri des regards indiscrets en toute simplicité, leurs cheveux balayés par un léger vent qui se levait. Jamais ô grand jamais Arsène n’avait autant désiré cette femme ; au point de ne plus savoir s’arrêter de l’embrasser, de la regarder avec des yeux doux, rêveurs mais aussi luisants d’une passion infinie. Elle était loin cette époque où le garçon s’endormait seul dans son petit lit de sa petite chambre toujours en bordel avec comme seules pensées… Son cours d’algèbre. Très loin oui… Et ce n’était pas pour lui déplaire à ce petit homme perverti par le sexe féminin. Celui qui en redemande aujourd’hui toujours… Comme une drogue faite de chaire et de sang, en rien nocive pour sa santé bien au contraire. Cette robe… Elle l’encombrait ! C’était stupide tout de même, d’inventer de pareils vêtements qui laisse la beauté de votre corps totalement perceptible et ainsi, vous force finalement à rapidement l’enlever. Mais Roxanne avait mérité ce qui lui arrivait, elle avait chauffé son amant comme si il s’agissait d’un vulgaire morceau de viande à griller. Oui mais, c’était agréable de se sentir dépasser par ses passions de temps à autres, de se retrouver soumis à une force qui vous submerge, celle de vos désires les plus intimes. La luxure s’emparait des deux corps comme de deux allumettes qu’elle craquait. Tout feu tout flamme, Arsène s’était accroupis aux côtés de son amante et dévorait chaque parcelle de sa peau qu’elle lui offrait : il embrassait sa nuque, sa clavicule, il baisait ses mains, remontant ses lèvres ardentes le long de son bras minces et parfumé jusqu’à parvenir à sa poitrine qu’il consumait de par sa langue experte. Inutile de résister à une pareille tentation, celle d’un vice commun à tout Homme… Mais il le voyait, oui, c’était inscrit sur son visage, la donzelle le voulait elle aussi très fort, elle le voulait pour elle toute seule encore une fois. Ne plus partager… favoriser l’égoïsme… ça a du bon parfois. Et tandis que ses mains se déplaçaient sur ce ventre à découvert, la belle murmurait à l’oreille de son cavalier.
Pas ici ? Mais où ? Ne se rendait-elle pas compte de ce qu’impliquait ses paroles ? Les doigts de la meneuse se posèrent sur la main d’Arsène qui défaisait sa ceinture, comme pour lui dicter d’arrêter. Il obéit… A contrecoeur… Mais se doutait bien qu’elle avait une autre idée de gravée derrière la tête, sous cette masse de cheveux blonds interminables.

« Mais… Roxanne… » Gémit l’étudiant en se laissant dominer par le corps tout entier de la belle. « Une mission ? T’as des idées bizarres toi quand même… Mais pourquoi pas ? »

Un sourire vint remplacer la mimique de frustration qui s’était immiscée sur le beau visage albâtre du garçon tandis qu’il l’admirait recouvrir sa poitrine aguicheuse du tissu velouté de sa robe. Quel dommage… Enfin, il aurait tout le loisir de jouer avec tout à l’heure. C’est à ce moment là, lorsqu’il s’entendit penser, qu’il réalisa soudainement à quel point il était devenu gourmand… friand de sexe, de luxure, de dangerosité et d’excitation. Ça ne lui déplaisait pas surtout qu’il était intimement convaincu que Miss Dickens n’avait fait que révéler une nature qu’il possédait déjà.

Se laissant tirer par le bras, le dandy ne rechigna pas à se faire diriger par des pas délicats, comme un curieux ballet, jusqu’à un mur dont il sentit d’abord le contacte froid. Il frémit… Lorsque son regard croisa les deux braises en face de lui qui le fixaient… « Prêt ? » Il ravala sa salive. Mais… Prêt pourquoi faire ? Hein ? Qu’est-ce qu’ils faisaient ici ? Et où voulait-elle l’emmener mais surtout… En quoi consistait cette fameuse mission ? Néanmoins, il acquiesça d’un mouvement de tête et attendit la suite… Avec une certaine impatience.
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin EmptyMar 24 Fév - 11:49

Hj : contente? j'ai répondu (a)



Suite de ce sujet : Braver l'interdit Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin 277800

C’était difficile mais aussi tellement simple de déclarer son amour à quelqu’un. Dur parce qu’il s’agit d’ouvrir son cœur au risque de se le faire transpercer, mais simple dans le sens où il n’y avait que 3 petits mots prononcer et ce, en moins d’une seconde. Arsène n’avait pas vraiment choisit le moment où il lui chuchoterait à l’oreille, c’était sorti tout seul, comme s’il ravalait ses sentiment depuis des jours et que ces derniers se trouvaient coincés en bordure de ses lèvres. Un instant, il crut bien qu’elle allait lui répondre quelque chose comme « Désolée mais je ne peux pas, ne m’en veux pas surtout, tu es un gentil garçon. » en gros, LA phrase qu’il ne fallait pas dire… Elle pleurait à chaudes larmes, Roxanne pleurait sans même tenter de se retenir, brisant ainsi l’image de heartbreaker qu’elle avait entretenue jusque là tout du moins, aux yeux de son amant. Celui-ci n’osait pas bouger, la crainte d’avoir fait un pas de travers l’empêchait de reprendre la parole pour la rassurer par exemple… Ensuite il n’en avait pas envie. Pas envie de lui dire que ça n’avait pas d’importance, qu’elle n’était pas obligée de l’aimer elle aussi… Ce serait mentir ! Le jeune homme l’avait dans la peau comme on dit, son sang brûlait à son passage et tous ses soucis s’envolaient. Il ne voyait qu’elle et les autres groopies pouvaient d’hors et déjà revêtir leurs strings. C’est vrai que, depuis quelques temps, notre franco-russe remarquait un comportement étrange vis-à-vis de quelques élèves de la gente féminine. Elles semblaient obsédée par l’idée qu’il sorte avec cette « poufiasse » de Dickens. Et ne croyaient pas en leur histoire… Ainsi donc elles lui faisaient de grand sourire et parfois des sous entendus douteux voire carrément déplacés. Evidemment, le principal concerné se mettait chaque fois à rougir jusqu’aux oreilles en leur demandant de bien vouloir se taire et surtout de le laisser passer. Il n’était pas à l’aise avec les demoiselles, et ça, même avec une maîtresse… ça n’avait pas changé. C’était drôle quand même, elles se dévoilaient toutes lorsqu’enfin il était prit alors que jusque là sa vie sentimentale avait été un désert total. Curieux paradoxe… Néanmoins, Arsène ne voulait pas entendre parler de « partouze » ou de « tromperie »… Il était très, très, trèèèèèèès (xD) satisfait par ce que lui offrait la belle blonde et ses nuits étaient assez agitées pour qu’il n’en redemande pas jusqu’au lendemain. D’accord, lui aussi révélait un petit côté insatiable, chose qu’il avait jusque là ignoré… Ce qui n’était pas pour déplaire à notre jeune couple mais plutôt à leurs voisins de chambres si vous voyez ce que j’veux dire 8)

L’intrus avait quitté la pièce, enfin… Et les deux jeunes adultes purent enfin sortir de leur inconfortable cachette. Dès qu’ils furent à nouveau sur pied, le garçon reboutonna le corset de la donzelle tout en ne résistant pas à l’envie de lui saupoudrer le cou et la gorge de plusieurs petits baisers, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de bouton à remettre… Elle ne parvenait pas à le lui dire à son tour… Même pas murmurer ? Non. Tant pis, il attendrait dans ce cas… Il attendrait qu’elle l’aime trop fort pour pouvoir garder ça pour elle. Un jour elle serait contrainte de le lui gueuler à la figure son « je t’aime », voilà ! Arsène pouffa à cette pensé sans même la révéler à la mannequine dont il prit la main après que celle-ci ait récupéré sa petite culotte. ‘Manquerait plus qu’elle reste les fesses à l’air ! Et si jamais un petit coup de vent passait soulevant ses jupons… Il y aurait de quoi se faire refaire le visage et changer d’identité ! L’Alpha sourit à ses paroles en imaginant la scène puis la dirigea vers la sortie, referma la porte comme elle l’était initialement pour qu’enfin ils puissent courir dans le couloir creux de toute vie et de tout bruit mise à part le bruit de leurs pats, légers comme de la farine.

Dehors, il faisait toujours bon pour ce mois de févier, et quelques couples s’enlaçaient tendrement sous la lueur de la lune toute ronde et trônant en plein milieu d’un ciel dégagé. Arsène resserra son emprise sur la main de Roxanne comme s’il fut épris d’un court instant de jalousie en observant cet amour délicieux et calme que vivaient tous ces gens alors qu’en réalité, il n’en était rien. Aucun problème, son histoire avec son amante ne faisait que commencer, alors que celle de la moitié de ces élèves allait bientôt se terminer… Revenus dans la salle, le film en était à ses 30 à 40 premières minutes… Ils reprirent deux sièges sans se faire remarquer plus au fond de la salle histoire de ne pas avoir à enjamber tout le monde et une fois assis, Arsène put à nouveau admirer Marilyn en train de jouer au Volley sur la plage… Dans son maillot de bain à rayures. Ouh… Trop mignonne. Cela dit, il fit en sorte de ne laisser transparaître aucune émotion auquel cas, en voilà une autre qui allait finir par l’égorger. Tsss… Même plus le droit de sourire quand on est content de mâter un tel chef-d’œuvre ! Il retira sa veste qui lui tenait trop chaud et la laisser reposer sur ses genoux tout en jetant un bref coup d’œil à sa cavalière à côté. Ce qu’ils venaient de faire était assez grossier mais… Plutôt excitant. Heureusement qu’il y avait ce placard… Le jeune homme en avait encore mal aux fesses rien que d’y penser. Mais ce qui lui torturait l’esprit surtout… C’était ses propres paroles… Il venait de se révéler complètement à la belle, maintenant, elle pouvait faire de lui ce qu’elle voulait : le manipuler, le blesser, l’enfoncer plus bas que terre, le ridiculiser bref, tout ! Peut être aurait-il dut attendre encore un peu… Juste un peu… Non, ça aurait fini par sortir de toute façon. Que ce soit en plein cours ou en pleine nuit au beau milieu d’un rêve, il l’aurait dit. Et maintenant ? Elle lui faisait confiance ? Elle… N’allait plus se montrer aussi jalouse et possessive ? Tseuh ! Dans ses rêves ! C’n’était pas demain la veille que Miss Dickens allait se montrer compréhensive D’un autre côté, cela plaisait bien au Russe qui profitait assez bien de la situation…

Un sourire se dessina sur les lèvres pâles de l’héritier Von Gergiovden sans même qu’il ne le remarque. A force de penser à tout ça, il en oubliait combien il se sentait bien avec elle mais son inconscient, lui, n’oubliait rien. D’où le smile. Fermant les yeux quelques secondes, il fit frémir ses longs cils noirs en même temps qu’il écouta Mlle Monroe chanter. Se penchant doucement vers Roxanne, il glissa son bras autours de son épaule et l’embrassa longuement sur la joue. Son héroïne rien qu’à lui… Non, sa vitamine en fait ! Elle était sa vitamine…
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MessageSujet: Re: Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin Forbidden love? [ Roxy' ] { Bal de la Saint Valentin EmptyMar 24 Fév - 15:46

    HS : non jamais contente et comme chui de mauvaise humeur j'vais te faire un post méchant (a)

    La haine c'était facile à montrer, l'amour non, c'était comme ça pour Roxanne et ça l'avait toujours été. Habituée aux insultes, aux gifles et autres violences physiques, elle avait très peu eut le droit à de l'affection. Elle en était cruelle d'ailleurs, elle se vengeait constamment sur les autres, aussi bien pour les hommes que pour les femmes qui avaient le droit à ses crasses. Il était beaucoup plus courant de l'entendre dire : c*nnar,d s*lope, bouffon, c***llon, p*tasse que des mon amour, mon chéri, mon amie... Et encore elle disait aussi ses insultes dans toutes les langues qu'elle savait histoire d'embrouiller certaines personnes. En même temps on la cherchait toujours, quand on connaît un minimum la demoiselle on sait qu'on fini toujours par la trouver tôt ou tard. Elle était ce qu'on pouvait qualifier de « rageuse » ( hein Tommy xD ), elle était très souvent énervée pour tout et rien, elle se défoulait sur les personnes qu'elle avait sous la main donc si Arsène tentait de l'énerver, il risquerait de devenir son soufre martyre officiel sachant qu'elle peut le manipuler à sa guise et jouer avec ses prétendus sentiments. Prétendus oui, elle n'était pas dupe, ça crevait les yeux qu'il aimait toujours sa Cameron et c'est pas ça qui allait la pousser à lui dire des mots doux au contraire, sans compter les différents harpies qui lui tournaient autour et comme de par hasard, quand elle lui avait mit le grappin dessus. On aurait crû qu'elle avait lancée la mode de tout-le-monde-veut-la-tête-de-l'-alpha. Avant de reprendre sa place, elle avait prise son sac qu'elle avait laissée sans crainte au cinéma en plein air, vue que les couples pensaient plus à roucouler qu'autre chose. Son portable se mit à vibrer, mais qui pouvait l'appeler à une telle heure ? Elle fit mine de ne rien savoir. La sonnerie prévenant qu'elle avait reçue un message retentit. Roxanne roula des yeux et sorti son appareil mobile. Tout d'abord, elle vue le nom de la personne qui venait de lui envoyer un sms puis elle tira la tronche l'air de dire : il se passe quoi encore ? Ne prêtant aucune attention à ce fichu film, elle n'avait pas lue le message et pourtant elle en mourrait d'envie... Lire pas lire ? Telle était la seule question qui l'obsédait. Se mordant la lèvre, elle finie par le faire.

    La jeune Européenne avait reçue un message d'une amie, une amie se nommant KENDALL. Celle-ci lui tenait toujours au courant de tout, du meilleure comme du pire enfin... surtout du pire. Le stress revint chez la Zêta qui lue en entier le message sans en manquer une seule miette. Roxanne fut immobilisée sur son siège, aucun mot ne sortit de sa bouche. Elle n'en croyait pas les yeux, comment pouvait-elle lui écrire le jour de la saint Valentin une telle nouvelle ? Ne comprenant pas la situation, elle resta muette. Ne pas s'énerver, c'est ce qu'elle tentait désespérément de faire. Respirant un grand coup, elle ferma doucement le clapet de son portable avant de fermer les yeux. Très bien, par où allait-elle commencer ? Tuer son amie ou tuer son amant ? La seconde option était bien plus tentante que la première. Avec un sourire nerveux, elle finie par réfléchir à toutes les choses qu'elle allait débiter en moins de 5 minutes chrono. Le pire, c'est qu'Arsène osait l'embrasser sur la joue avec son bras autour de son épaule. D'un geste brutale et inattendue, elle se libéra de son emprise puis elle se leva. Elle rangea son portable dans son sac avant de jeter un regard affreusement noir à son compagnon. Plus le moindre sourire, pas de grimaces, pas de commentaires rien, elle jouait la carte du silence. Roxanne croisa les bras, fronçant ses sourcils épilés, elle ne dit toujours rien. Muette, elle allait s'y prendre autrement pour lui faire comprendre qu'on n'embrassait pas de bêta dans son dos sans avoir un châtiment en retour. Il n'avait pas l'air de comprendre, il était assit à la regarder avec ses grands yeux bleus – qu'elle voulait arracher tout de suite – et son air innocent comme toujours. La bouche de la Zêta bougea mais pas un seul mot ne sortit. Prise dans un élan de colère incontrôlé, elle lui administra une baffe monumentale à la Dickens avec en prime ; une belle trace de main sur les joues voir, de magnifiques griffures. La claque retentit, les couples se retournèrent tous vers eux comme si c'était grave. Puisqu'elle n'était pas si indispensable que ça, qu'il en embrassait d'autres, elle ne voyait rien d'autre à faire que de le planter sur place. Sans attendre sa réaction, elle tourna sur ses talons et elle traversa la foule qui la regardait à la fois elle et le franco-russe.

    Inutile de perdre son temps à parler, elle préférait retourner dans son dortoir et seule. Kendall avait bien fait de le balancer, au moins elle lui avait ouvert les yeux sur lui ; il n'était qu'un salopard comme un autre en fin de compte. Et dire qu'il venait tout juste de lui déclaré sa flamme, encore et encore des mensonges... Blessée, elle ne laissait rien paraître sur son visage maquillé. Roxanne marchait lentement en direction de la sortie, à penser : Je le sens tous les jours, c'est pareil ça m'abat, mais je suis la seule à blâmer. De plus en plus elle tombait, de plus en plus elle se disait qu'elle n'avait rien à faire aux États-unis, de plus en plus elle voulait retourner à Londres quitte à affronter ses démons. C'est comme si tous les jours étaient identiques, ça l'entraîne et elle ne peut pas s'éloigner pour certaines raisons comme pour s'être attachée à certaines personnes. Roxanne essayait de ne pas succomber, de ne pas pleurer, de ne pas hurler mais si elle ne faisait rien de tout ça, elle ferra bien pire. Tant de pensées qu'elle ne pouvait pas sortir de son esprit, tant de choses qu'elle devrait dire mais qu'elle n'avait jamais dite... Le bonheur lui était toujours inaccessible, pas besoin d'insister, même en changeant de pays elle ne trouvera pas sa place. Pourquoi fallait-il qu'elle tombe toujours amoureuse de la mauvaise personne ? Une malédiction qui la suivait partout où elle allait, elle ne pouvait pas lutter contre ça. Elle continuera à perdre son temps, à gâcher son bel avenir et à regretter son passé entaché. Se trouvant à environ une vingtaine de centimètres de la sortie, une larme tomba au sol. Est ce qu'elle devait vraiment fuir, comme à chaque fois ? Indécise, elle ralentit le pas mais sans se retourner, sans jeter un seul regard à Arsène.
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