ft. jamie dornan
» Prénom(s) : Augusto » Nom de famille : Pelizza Da Volpedo » Nom d'usage : Augusto Pelizza Da Volpedo » Surnom/pseudonyme : Gusto » Nationalité : Italienne » Origines : italiennes » Date de naissance : 5 novembre 1989 » Lieu de naissance : Rome » Lieu de résidence actuel : New-York » Occupation actuelle : Gérant de l'une des galeries d'art familiales » Statut civil : dans une relation ultra bizarre, compliquée et passionnée avec Constance La Tour Dubois |
god bless america (& its citizens)
ce qu'il faut savoir sur ton personnage
Bienvenue sur THE GREAT ESCAPE ! L'heure de passer à une étape cruciale est arrivée : la rédaction de la fiche !! » La famille ; Issu d'une célèbre famille d'artistes peintres, Augusto baigne dans le luxe depuis sa plus tendre enfance grâce aux ventes de tableaux de ses aïeuls. Son père est dans le métier tandis que sa mère se contente de pavaner en exposant sa fortune aux yeux de tous. Il a une sœur cadette, Camélia, avec qui il entretient de très bonnes relations. On ne peut pas en dire autant avec son jumeau Sandro et Francesca, l'aînée de la famille. Son double l'a toujours insupporté et vu que Frani n'a d'yeux que pour Sandro, il est bien évident que Gusto ne lui tient pas de grands discours passionnés. En gros, les enfants pdv sont divisés en deux clans et cela lui convient très bien. L'italien aime profondément son père et supporte à peine la vue de sa mère dans son champ de vision. Il faut dire que Gusto n'aime pas grand monde en général.
» Ses études à Berkeley ; Il est arrivé dans cette université américaine en deux mille neuf et il y est resté durant cinq années. Après avoir pris ses marques, il s'est rapidement imposé comme l'un des leader de la confrérie des epsilon ( l'élite de berkeley si l'on en croit ses occupants ) et en est resté le doyen jusqu'à la fin de ses études. Il a hissé sa maison au sommet de la hiérarchie. Quant à ses études à proprement parler … La philosophie. Malgré ses airs de monsieur arrogant, Gusto est un grand passionné de philosophie et un bosseur invétéré. Ses examens, il les a tous eu avec brio et mention. Cependant, aujourd'hui, tous ses jolis diplômes ne lui servent pas à grand chose si ce n'est son envie d'écrire son propre livre de philosophie à lui.
» Son caractère ; Augusto est un volcan qui peut entrer en éruption à n'importe quelle heure du jour et de la nuit. Comme ça, sans prévenir. Il a un véritable caractère de pur méditerranéen. Il ne faut pas le titiller juste pour le plaisir de l'emmerder parce que le retour d'être salé. Il a un tempérament impulsif et durant ses jeunes années ( et encore maintenant … ), il était plutôt du genre à frapper avant de bavarder. La méchanceté, c'est ce qui rythme sa vie et c'est ce qui le rend ( parfois ) de bonne humeur. Emmerdeur de première qui râle, ronchonne et soupire à longueur de journée pour son bon plaisir. Il enquiquine régulièrement les autres mais il s'en fiche royalement. De toute façon, il y a lui et le reste du monde. Supérieur de nature, il ne fréquente pas des masses ceux qui appelle communément le bas peuple, préférant les soirées plus mondaines et friquées. Jamais à court de réparties originales et mesquines à souhait, il est un orateur dont il faut se méfier. L'avoir dans son camp est toujours meilleur que d'être son ennemi tout désigné. A côté de ces défauts qu'il ne cache, il est un homme érudit et plus de cultivé. On cherche encore son bon fond … Ne désespérons pas de le trouver un jour.
» Sa carrière professionnelle à NYC ; Son emménagement dans la ville que l'on surnomme dans le monde entier « la grosse pomme » est des plus récents. En effet, le jeune homme vient tout juste de reprendre l'une des galeries de peintures qui appartient à la famille depuis des années. Fin connaisseur en art, l'italien s'est perfectionné cette dernière année en s'octroyant des cours à l'université de Rome afin de paraître plus crédible aux yeux de tous et de ne pas passer pour le fils à papa qui n'y connaît rien. Il a sous ses ordres toute une panoplie d'employés qu'il malmène au gré de ses humeurs. Malgré ses premières réticences, il doit bien admettre aujourd'hui qu'il est heureux du métier qu'il exerce. Le fait de pouvoir vanter les mérites et les dons des générations antérieures le fascine. Passionné parce qu'il fait au quotidien, l'italien se donne corps et âme à son métier.
» Constance La Tour Dubois ; Si vous lui demander de disserter sur la relation qu'il a avec Constance La Tour Dubois, il est clair que Gusto va s'asseoir à une table et se mettre à vous parler des heures entières sans s'arrêter. Parce que mine de rien, il y en a à raconter. Cinq ans durant lesquelles, ils ont vécu mille et une aventures. Des bonnes comme des mauvaises. Mais à chaque fois, ils ont réussi à se retrouver. Sauf à la remise des diplômes de Constance, où ils sont repartis chacun de leur côté. L'italien ne l'avouera jamais ( ou du moins pas tout de suite ) mais elle représente quelque peu son monde et sans elle, la saveur de la vie à New-York n'est pas la même. Plus fade que jamais, il aimerait retrouver celle qui a été sa colocataire et son amante. Celle avec qui il a partagé de la joie comme de la tristesse. Pour elle, il pourrait donner sa vie si on le lui demander. Duo de choc à l'université et complices dans les actes néfastes, ils sont pour leurs anciens camarades des légendes à part entière. Légende que Gusto compte bien redevenir avec la brune. Qu'elle soit d'accord. Ou pas.
» En vrac ; Fier de ses origines, il ne les reniera jamais ; macho comme tout bon gars du sud ; n'aime pas les animaux … et pas trop les enfants non plus ; il s'investit dans tout ce qu'il entreprend ; il ricane facilement pour se moquer ; il a souvent un air blasé sur le visage ; les voitures sont son péché mignon ; il espère vraiment poser ses valises définitivement à nyc ; ses vrais sont rares … pour ne pas dire inexistants ; sa petite personne passe avant tout le monde ; il adore que l'on s'occupe de lui et qu'on le bichonne ; il ne s'est jamais drogué et n'a touché qu'une ou deux fois à la cigarette ; il se bagarre bien volontiers sans que l'on ait besoin de le provoquer des masses ; il garde un bon souvenir de ses années scolaires ; sa préférée est et restera constance à vie ; il peint à ses heures perdus ; il a toujours dans l'idée d'écrire son bouquin de philo ; le sport qu'il pratique le plus est la natation ; la pluie, le vent, la neige … beurk son cauchemar ; il sait cuisiner mais ne met que très rarement ses talents en oeuvre ; fier comme un paon, il se montre jamais ses émotions ...
public knowledge
mise en situation rp
Il s'agit ici de nous montrer ce dont vous êtes capable en rp. Pour ce faire, nous vous demandons de participer à cette mise en situation en écrivant
un rp du point de vu de votre personnage. Cette partie doit être rédigée en un
minimum de 1000 motsPunir sa désobéissance … Un sourire totalement rêveur flotta sur mes lèvres le temps d’une seconde. Ah, Constance, tu as toujours su avoir des arguments imparables. Je ne pouvais qu’accepter de ne pas me laisser emporter dans les bras de Morphée, même si l’envie se faisait pressante. Garder les yeux ouverts pour profiter de ma charmante française. Et profiter également de mon frère, même si sa vue était nettement moins agréable. Surtout lorsqu’il ouvrit la bouche pour me questionner sur comment j’allais. Ma bouche se crispa pour ne former qu’un rictus ironique. Oh, et bien écoute à part du plomb dans la cuisse, je pète le feu. Non mais franchement, c’était quoi cette interrogation totalement absurde ? Heureusement pour lui, il se reprit immédiatement. J’étais sur le point de lui fournir une réponse tout à fait sarcastique. Je voulus hausser les épaules mais tous les muscles étaient comme engourdies alors je préférais soupirer.
« Laisse tomber, on va mettre ça sur le compte de l’émotion qui t’étreint en voyant que tu risques de me perdre. » Vu ma relation avec Sandro, pas sûr qu’il y ait l’ombre d’une émotion à l’idée de se réveiller demain en se disant que je ne serai plus là. M’enfin, nos conflits familiaux n’étaient plus la priorité. Il fallait sortir, pas n’importe quel moyen et en attendant que mes deux compères m’aident, je laissais de bonne grâce les mains douces de ma colocataire se promenait sur mon visage. Le début de sa tirade me plut mais la fin beaucoup moins. Comment ça remplacer sa robe ? Elle voulait que je reste en vie pour pouvoir aller faire du shopping avec elle ? Never my dear.
« Je t’en offrirai une douzaine pour te consoler du gâchis de celle-ci. » Dis-je doucement comme si je souhaitais quémander son pardon. Sauf que sa robe était le cadet de mes soucis. Robe tâchée = Sang qui s’écoule toujours et encore. Et ça, ça me préoccupait largement. Un volontaire, comment ça un volontaire ? Et la voilà qui se mettait à regarder mon jumeau avec insistance ? Sandro prendre ma place auprès de Constance pour rigoler devant la cheminée avec elle ? Hors de question, mais vraiment. Sur une échelle de zéro à cent, le taux de probabilité était … Eh bien il était de zéro justement. L’attention de ma colocataire fut une nouvelle fois détournée par l’autre Pelizza Da Volpedo. Au lieu de me bichonner, elle le questionnait pour savoir ce qu’il lui arrivait. Bon Sandro, sois gentil et va t’étouffer dans un coin du couloir afin de me laisser en paix au moins une minute entière. Agacé comme jamais, je dis d’une voix acerbe et médisante.
« Tu vois, à chaque fois tu veux t’accaparer les autres ! Je devrais être le héros de la soirée et vous devriez être en train de me chouchouter comme des mères poules mais non monsieur en a décidé autrement. Si je n’étais pas éclopé, je me lèverais pour te botter les fesses Sandro. » Et un Augusto Pelizza Da Volpedo boudeur, et un. Je me rendais bien compte que j’avais déployé toute la panoplie du parfait gamin capricieux mais il faut bien admettre qu’il me cherchait aussi lui à vouloir me voler le rôle de vedette avec sa toux de fillette. Quoi, il avait attrapé froid et c’était la fin du monde. Ouais, bah moi je me vidais de mon sang et ça c’est bien pire que ce soit dit. Malgré le fait que des petites étoiles commençaient dangereusement à danser devant mes prunelles, je détournais mon visage pour observer mon sosie qui continuait de tousser comme s’il allait perdre la vie. Et c’est à ce moment-là que je compris. Levant les yeux au ciel, comme pour interroger l’être soi-disant tout puissant qui nous gouvernait, j’eus envie de m’exclamer un « ce n’est pas vrai » à faire trembler dans les chaumières. Or, étant beaucoup plus pragmatique que cela et le spirituel me laissant de marbre, je laissais échapper un léger
« Eh merde. » qui voulait tout dire. Son visage perdait peu à peu ses couleurs et ses traits de contractaient de plus en plus. Je n’étais pas médecin et pourtant, je savais déjà ce que l’avenir nous réservait. D’une voix assez faiblarde, j’appelais mon frère à mes côtés.
« Sandro assis-toi et pose ta tête contre le mur. Constance va nous sauver. » Eh oui, la française était à présent notre dernier espoir. Les deux grands gaillards que nous étions, n’avions pas été capables de la protéger comme il le fallait et notre salut ne résidait plus qu’entre ces mains. J’avais une confiance aveugle en elle et je savais qu’elle ferait tout pour ne pas perdre son tonton Gusto fétiche. Abordant une mine sombre, je lui expliquais brièvement le pourquoi du comment.
« Ses problèmes cardiaques refont surface alors je crois que tu es notre dernier espoir et qu’il ne faut pas attendre après lui pour me traîner hors de cet endroit. Trouve-nous des secours, échappe-toi pour les appeler mais déjà ne reste pas ici. Des fois que Jeff reviendrait pour voir son œuvre et qu’il nous achève. » Je prenais le tout sur un air léger et plaisantin mais je n’en menais pas large intérieurement. Je connaissais assez les antécédents de Sandro pour savoir qu’il ne ferait pas long feu si jamais un médecin ne le prenait pas en charge. Et je savais également que ma blessure –même sans être mortelle- n’était pas jolie jolie à regarder et je m’imaginais déjà finir ma vie en claudiquant comment le docteur House accroché à sa canne pour vieux. Oui, il n’y avait pas à chercher de midi à quatorze heures, c’est Constance qui tenait toutes les cartes entre ses mains. Notre sort dépendait d’elle et curieusement, je n’aurai pas voulu être à sa place.
Le premier pas sur le sol américain se fait de manière forte et impérieuse. Il a beau être resté absent durant des semaines entières ( pour ne pas dire des mois ), il n'a rien perdu de son arrogance. Derrière ses lunettes chaussées sur le bout de son nez, l'italien avance vers l'un des taxis qui attend patiemment son passager. L'adresse est donné fermement et il débarque sur le campus qui en a tant vu grâce ( ou plutôt à cause ) de lui. Des années passées ici dont il se souvient avec une précision hors norme. Tout lui est familier et des souvenirs émergent dans sa tête à chaque fois que ses prunelles se posent sur un détail que l'on pourrait juger commun. Il arrive enfin au lieu sacré et cherche celle pour qui il est venu. Les mots du doyen ne le touche que très peu car il a eu les mêmes l'année précédente. Des visages se tournaient vers lui. Certains constataient avec stupeur qu'il était de retour. D'autres avaient des rictus amusés comme s'ils espéraient que Gusto balance une sale remarque à l'assemblée avant de tourner les talons. Soyons honnête, il en serait capable mais il n'est pas présent pour cela. Le jeune homme se fond dans la foule et aperçoit rapidement un attroupement qui lui est familier et dont il se sent immédiatement attiré. Il se place derrière une blonde avec qui il s'est disputé de nombreuses fois. Même de dos, il parvient à la reconnaître sans problème. A part ses cheveux qui semblent différents par rapport à la dernière fois où il l'a vu. D'ailleurs, c'est pour cette raison qu'il passe une main dans ces derniers.
« Un peu rêche mais on pourrait presque s'y habituer. » Susurre-t-il d'une voix qu'il se voudrait presque charmeuse. Sauf qu'avec elle, ce n'est franchement pas de son charme qu'il joue.
« Bonjour Jacqueline, j'adore ton paillasson. » Le compliment vient du cœur et, est en supplément. C'est juste pour prouver tout le bonheur qu'il a de la revoir. Il salut d'un signe de la tête les deux garçons avant de porter son regard sur elle. Constance La Tour Dubois, plus resplendissante que jamais. Il a presque envie d'esquisser un sourire ravi parce qu'elle est diplômée aujourd'hui. Qu'une nouvelle vie s'offre à elle ( à eux par conséquent ) et parce que ces semaines sans la voir ont été bien longues. Le fait de la retrouver lui permet d'avoir à nouveau un équilibre qu'il paraissait avoir perdu. Il contourne toute la petite troupe et lui prend le bras en lançant un vague regard à son frère.
« Vous m'excuserez, je vous l'emprunte un moment. » Poliment, il y met les formes mais au son de sa voix, il n'est pas bien difficile de comprendre qu'il ne leur laisse pas le choix. Constance vient avec lui et abandonne son cher frérot omega qu'ils le veuillent tous ou non. Délaissant son bras, il laisse glisser sa main au creux de ses reins pour la guider un peu plus à l'écart. De manière à ce qu'ils soient tranquilles. Du moins pour quelques minutes. Il ne sait pas si elle est agréablement surprise ou si au contraire, elle le maudit d'être ici. Avec Constance, il faut toujours s'attendre à tout. Autant prendre le taureau par les cornes dès maintenant.
« Je sais, cela va faire presque trois mois que je ne suis pas venu te voir. Et tu m'en veux. » Elle ne lui a pas encore parlé. Cependant, il sait par avance qu'elle émet de la rancœur envers lui et son absence qui n'est pas ( selon elle ) justifiée. A sa place, il aurait la même réaction.
« Je me suis inscrit à un cursus accéléré et j'ai été diplômé en art à Rome. » Il se tait et laisse quelques secondes s'écouler. Il est pratiquement persuadé qu'il va avoir le droit à un « je m'en fous de ce que tu as fait de ta vie durant tout ce temps » mais il est prêt à supporter une petite remarque acerbe car la suite vaut la peine d'être entendue. Et il enchaîne un instant plus tard.
« Je reprends officiellement la galerie de la famille à New-York d'ici deux semaines. » Il sait pertinemment que les projets que Constance avaient durant leur colocation étaient clairs et nets : partir à NYC une fois les études terminées. Le destin leur offrait cette possibilité à tous deux.
« Viens avec moi. » Il aimerait rajouter qu'elle lui a manqué afin qu'elle se rende compte qu'il est sincère dans sa démarche et qu'il ne revient pas la bouche en cœur juste pour faire joli. Mais la démonstration de sentiments avec Augusto … C'est trop. Espérons que Constance se contente de sa sincérité pour aujourd'hui.
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| » Prénom : Stéph' » Pseudo : Velvet Underground » Âge : tutututu » Scénario ou personnage inventé : perso inventé » Des multicomptes ? lincoln, parker, catahleen, hamilton, andy, caleb » Impression sur le forum : Impression positive +++ » Crédits : tumblr et avatar de julia » Le mot de la fin : fin.
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