the great escape
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

Partagez

(matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité
avatar

(matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away Empty
MessageSujet: (matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away (matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away EmptyJeu 10 Sep - 23:13

shadows in my heart, please take the night away
Leo-Alisson & Matthias



Leo-Alisson faisait claquer ses hauts talons dans les rues encore endormies de Vegas. Gravissant les quelques marches du perron qui couvrait le début de son imposante villa, elle tournait son regard d’un vert poignant vers la boîte aux lettres débordantes. Toujours sur son trente et un, les lèvres soulignées d’un rouge éclatant, ses cheveux redressés sur sa tête, la belle avait tout de la femme d’affaire qui revenait d’une réunion de nuit plus qu’exigeante. Au lieu de ça, la jeune femme ne faisait que rentrer d’une réunion de travail bien trop matinale avec ses actionnaires. Mais à vrai dire, la rançon du succès c’était peut-être bien ça. Prête à devenir une adulte accomplie et méritante, la jeune femme se contraignait aux exercices exigeants que devenaient le monde du travail en bonne et dû forme lorsqu’on était son seul et unique patron. Devant faire preuve aussi bien devant les caméras que devant les hommes d’affaires, d’audace et de persuasion, Leo était convaincue que ce matin encore, elle avait prouvé que son entreprise n’était pas un simple caprice d’une star à moitié déchue qui tentait de faire encore entendre parler d’elle par une nouvelle ambition qui finirait par s’échouer aussi vite que sa beauté pourrait s’estomper. Heureusement pour la belle blonde, elle n’avait absolument pas prévu que tout se finisse et ce n’était pas en si bon chemin qu’elle allait finir par renoncer à tout ce à quoi elle s’était consacrée ces derniers mois et encore moins lorsque ses clubs lui avaient permis de se changer les idées et un nouveau départ. Loin des paparazzis, tout en haut, perchée sur sa colline, elle pouvait se couvrir de solitude tout en détenant les clés d’un nouveau royaume et, dans sa tour, elle exploitait sans condition ce que le silence pouvait lui offrir comme idées nouvelles pour sa carrière de manageuse. Il était rare de voir pourtant la célèbre Woobleforth non accompagnée et pourtant, dorénavant, même les gardes du corps n’étaient pas autorisés à travailler pour elle en dehors du périmètre des lumières de la ville. Autant dire que, dès qu’elle décidait de déjouer le chemin sinueux de sable qui la séparait de sin city et de sa demeure flamboyante, plus personne n’était autorisée à la suivre. Refermant la porte, l’esprit déjà pris par la lecture des différents courriers qu’elle avait reçus, Leo posait brièvement son sac sur la table de verre du séjour et enlevait péniblement son manteau sans même enlever une seule fois son regard de ce qui la préoccupait tant. Mais avant même qu’elle ne puisse peaufiner son intuition, l’ancienne chearleeder se faisait couper dans sa réflexion par le son tonitruant de son téléphone qui explosait au travers de sa poche de pantalon. Oui Mavis ? … Non, je n’ai pas encore signé les papiers. Oui je les ai reçus mais j’étais débordée. Oui, je sais bien je… Allô ?! Fulminante, elle raccrochait en appuyant avec force sur le bouton rouge et tactile de son iphone quand elle aurait plutôt voulu dévisser le visage de son ancien compagnon qui venait de lui raccrocher au nez avec conviction. Les papiers pour la garde principale de Micah. Mavis deviendrait son tuteur principal et il aurait ensuite le droit d’affirmer ses propres conditions concernant les droits de visite de super maman. Ce qu’elle se disait au moins dans cette affaire, c’était qu’ils pourraient enfin en discuter normalement quand elle aurait signé ces torchons. Au lieu de ça, elle les avait enfouis au travers des différents courriers qui jonchaient sa table de séjour et qui ne cessaient de s’accumuler face au travail qui l’occupait à temps plein. S’écroulant dans le sofa de velours bleu nuit, elle soupirait et observait l’enveloppe camel qui détenait les fameux papiers. Son délai n’était pas encore pressant et c’est pourquoi, elle se replongea de nouveau dans ce qui avait si vivement attiré son attention précédemment. Une photo de June et Matthias en page 6. La jeune femme que Leo avait connu pour avoir été à ses côtés durant l’université, devenait l’étoile montante d’une série télévisée dont la femme d’affaire se fichait royalement. Si seulement cette actrice ne tournait pas autour de Matthias et si elle en concluait par la page 6 du magasine qu’elle venait de recevoir, ses mains posées douteusement sur l’homme et ce regard mutin qu’il lui lançait, n’avait rien à voir avec sa parano quotidienne. Son sang ne fit qu’un tour et elle dégageait abruptement le journal en commençant doucement à se ronger le contour de l’ongle mais, dans un vif élan, elle décrochait son téléphone pour commander le jet des Woobleforth. Le silence avait trop duré, il était temps de déclencher l’armistice. […] Il était dans les environs de 20h du soir lorsque Leo-Alisson se postait devant la porte du De Calendre afin de faire enfin de nouveau acte de présence dans sa vie. Signe d’un courage immanquable face à leur dernière entrevue, la jeune femme frappait contre le bois massif. Quelques secondes plus tard, l’homme surgissait face à elle, l’air stupéfait de la voir ici et surtout, sans cet air gêné qu’elle employait si souvent. J’avais du travail et puis finalement j’ai fini plus tôt que prévu. Et là j’ai vu ça. Tu sors avec quelqu’un maintenant ? Qu’elle disait d’un ton neutre mais à un rythme presqu’effréné en lui pointant sous les yeux, la photo qui l’avait remué. Leo semblait sûrement contagieuse en vue de la fièvre qui la prenait soudain et qui avait commencé à grimper en elle dès son arrivée dans la carlingue luxueuse du jet de la compagnie de sa mère. Maintenant qu’elle avait son meilleur ami face à elle, la jeune femme en oubliait tout principe. A vrai dire et, pour ne pas prendre ses jambes à son cou, elle s’était forcée à ne pas réfléchir à la situation ce qui l’empêchait donc d’imaginer comment elle allait faire son entrée fracassante. En passant pour une folle, c’était chose faites ! Oh… Je ne te dérange pas j’espère ? Ses joues s’imprégnaient d’un léger rose, un parfait mélange de ce que pouvait représenter sa nouvelle personnalité avec l’invétéré Leo qu’il avait si bien connue.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

(matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away Empty
MessageSujet: Re: (matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away (matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away EmptyMer 16 Sep - 22:25

Matthias n'était pas rentré depuis longtemps. Comme souvent, il avait quitté la caserne relativement tard, après tout le monde. Lorsque ses collègues, éreintés, avaient soupiré de soulagement en entendant que l'entraînement était terminé pour aujourd'hui, lui s'était tourné vers le stand de tir. Depuis qu'il s'était officiellement ré-engagé, il avait eu pour but de récupérer son niveau d'antan. Frôler l'excellence ne lui suffisait pas ; il voulait l'excellence. Avoir un niveau bien supérieur à celui de ses comparses ne le réconfortait pas. Alors, inlassablement, il s'entraînait. Il savait que son acharnement serait la clé de sa réussite. Et le score de 98% au tir qu'il avait fait ce soir ne lui convenait pas du tout. Il était rentré agacé, et déçu de sa performance. Il avait pris une douche et, alors qu'il était sur le point d'appeler son frère, il entendit frapper à la porte. « Oui, bonsoir à toi aussi. » Qu'il répondit après une seconde de silence. Il plissa les yeux, et s'empara du magasine que Leo-Alisson balançait sous son nez. Enfin, il allait savoir à quelle sauce la presse avait décidé de le manger. Il parcourut l'article des yeux, s'arrêtant sur des expressions telles que « le retour du premier amour », « alchimie évidente », « assumant son rôle de beau-père », et d'autres réjouissances du même genre. Les photos qui illustraient l'article étaient a priori révélatrices ; ils étaient tous trois au Golden Gate Park, une glace à la main. Une autre montrait Matthias, Savannah sur ses épaules, et riant à gorge déployée avec June. Enfin, la dernière les montrait enlacés, au moment de se quitter. Rien de tendancieux, en somme. Il savait qu'en sortant avec June Martin, il s'exposait à des photos volées et à des rumeurs persistantes. Il en avait déjà fait une fois les frais par le passé, et ne s'en était pas formalisé. Tant que son entourage proche n'était pas touché, il pouvait gérer et accepter. « Donc en gros, tu ne serais pas venue si tu n'étais tombée sur cet article ? » Demanda-t-il à voix basse, les lèvres pincées, en lui rendant son tabloïd. Aoutch. Ça ne faisait pas du bien. Il n'était pas sans savoir que ses relations avec Leo-Alisson étaient quelque peu compliquées ces derniers temps. Mais tout de même... A la rigueur, il aurait préféré de l'indifférence plutôt qu'une pareille intrusion. Il ne la connaissait pas si véhémente. « Classe. » Ne put-il s'empêcher de commenter. Il cherchait à rester calme et maître de lui-même, conscient que s'emporter et s'époumoner ne réglerait en rien leurs problèmes. Il soupira, les bras croisés sur son torse. Comment en étaient-ils arrivés là ? Comment avait-il pu autant perdre le contrôle de lui-même, la dernière fois qu'ils s'étaient vus ? Il songea avec amertume qu'il avait toujours eu un don pour se fourrer tout seul dans des plans sordides avec les filles. La Hastings-Matveïv avait été la première. Alaina la deuxième. Et désormais, Leo-Alisson. La dernière en date. Jamais deux sans trois, comme on dit. La boucle était, a priori, bouclée. Il pouvait s'autoriser à respirer à nouveau. Il n'était plus question que ses hormones et ses émotions lui jouent des tours éternellement. « Non, tu ne me déranges pas. Merci de t'en inquiéter. » Dit-il en roulant des yeux, ne masquant pas un ton ironique. Matthias n'avait jamais aimé qu'on interfère dans sa vie d'une telle façon, avec une telle insolence. Légitimité ou non, il n'avait pas l'habitude que l'on commente ses décisions, et encore moins sa vie privée. Seules les intrusions de son jumeau ou de sa jumelle étaient tolérées, sans pour autant être bien vécues. Il avait donc eu droit à un appel de sa petite sœur, qui s'était empressée de le questionner quant à sa vie privée et à ses intentions. Il avait balayé tout cela d'un revers de main, arguant qu'il ne s'agissait que de conneries véhiculées par des journalistes en mal de scoop. Thaïs, toujours aussi bienveillante, avait eu la délicatesse d'accepter ses explications – non sans laisser entendre qu'elle savait pertinemment qu'il n'était pas un ange, et que l'innocence n'était pas sa première qualité. Il avait ricané, avouant implicitement quelques écarts de conduite. Mais il était libre, n'est-ce pas ? Il n'avait aucune attache. Aucune obligation. Aucun compte à rendre. En tout cas, c'était ce qu'il s'était imaginé jusqu'à voir débarquer Leo-Alisson. « Allez, entre. » Concéda-t-il en s'écartant de l'entrée pour la laisser passer. Après tout, elle restait sa meilleure amie. Ils avaient fait une erreur, une fois, un soir. Ils s'étaient quittés en se disant que cette aventure nocturne n'aurait aucun impact. Matthias avait sciemment menti, déjà persuadé que leur écart de conduite avait précipité leur amitié vers le néant. Il referma la porte d'entrée derrière elle, et l'invita à rejoindre le salon. « Tu veux boire quelque chose ? » Qu'il demanda, une fois que Leo-Alisson fut assise sur l'un des canapés en cuir. Il s'éloigna dans la cuisine et revint quelques instants plus tard avec deux verres. Le sien était rempli d'eau – il avait des obligations à respecter vis-à-vis du travail, et avait retenu la leçon de la dernière fois : l'alcool ne l'aidait en rien à se maîtriser. « Qu'est-ce qui t'amène, au juste ? » Finit-il par demander, après s'être assis sur le fauteuil qui faisait face à Leo. Parce qu'en réalité, c'était ça, la vraie question. Elle aurait très bien pu l'appeler. Elle aurait pu faire celle qui n'avait rien vu. Elle aurait eu mille autres façons de savoir – mais parmi celles-ci, elle avait choisi de venir, en chair et en os. La business woman s'accordait le loisir de mener un entretien à bien, plutôt que d'envoyer n'importe lequel de ses sbires. Sa présence était révélatrice, et avait une portée symbolique certaine.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

(matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away Empty
MessageSujet: Re: (matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away (matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away EmptyLun 28 Sep - 0:11

shadows in my heart, please take the night away
Leo-Alisson & Matthias



Leo-Alisson avait cette manière bien à elle d’entrer dans la vie des gens et de ne jamais laisser tomber même quand les relations semblaient changées. Il suffisait de voir cette fusion qu’elle entretenait avec Matthias et que rien ne pouvait s’évertuer à détruire. Pourtant, des bouleversements, ils en connaissaient dorénavant. Le cœur sur la main, l’envie ahurissante de se jeter dans ses bras, elle gardait pour elle les cogitations d’antan pour se murer dans le corps d’une personne qui n’était plus vraiment invitée dans la vie de son ancien meilleur ami. Parce que tout ça, c’était dorénavant de l’histoire ancienne. Jamais plus il ne la prendrait dans ses bras comme autre fois et jamais plus encore il caresserait ses cheveux d’or en lui susurrant à l’oreille qu’elle était la plus belle femme du monde. Non. Tout ça était dorénavant bien derrière et si elle devait s’en sentir peinée, elle devait aussi faire avec la culpabilité d’avoir été la première fautive et non des moindres. Leo l’avait poussé dans ses retranchements, avait escaladé une muraille infranchissable pour se jeter vers les lignes ennemies comme un kamikaze qui tenterait de mettre fin à sa destinée en frappant fort et en frappant bien. La bombe avait explosé et avait fait de terribles dégâts. Elle avait poignardé le corps, déchiré la chair et exporté une amitié veille d’un siècle au travers des fondations de sa vie. Dorénavant, elle se demandait quel comportement adopté et pourtant, là voilà sur ses longues jambes sveltes, à pointer comme de rien n’était, un ramassis de ragots – ça elle le savait plus que quiconque – devant le visage médusé de son ami de toujours. Une moue confuse s’emparait de ses lèvres rosées lorsque, lassé, il répondait à son manque total de politesse. Ha oui. Parce que dorénavant, elle ne pouvait plus tout se permettre. Elle qui, avant, entrait comme une criminelle dans sa chambre par la fenêtre, ses gardes du corps la cherchant partout, pour profiter d’une nuit aux côtés de Matthias, la voilà qui devait s’excuser d’arriver sans prévenir et surtout, de ne pas utiliser les premiers signes de convenance qui aurait dû lui venir en tête. Tu n’as pas appelé. Donc ça voulait dire non. Leo savait pertinemment qu’elle ne serait pas venue. Elle avait tout fait pour ne pas penser à ce qui avait dérapé entre eux, à cette manière dont il avait eu de la toucher, de la regarder autrement… Un feu extatique s’était emparé d’elle et dorénavant, elle ne pouvait ignorer la confusion qui s’abattait sur ces souvenirs enivrants. Aussi fous qu’ils paraissaient être, c’était bien aussi la raison qui la poussait à fuir toute remémoration de ses erreurs passées. Tant pis, une seule chose l’avait poussé à revenir subitement et maintenant, elle se trouvait honteuse voire stupide. De l’eau ça ira très bien… Peut-être bien que Leo aurait dû fermer son joli clapet quand la question s’abattait sur elle. Consternée, elle imaginait une nouvelle fois les néons de la soirée à Vegas, qui couvraient le visage de Matthias l’observant avec frénésie et désir. Qu’elle avait pu être sotte d’imaginer qu’elle pourrait indéfiniment se croire protéger de tout et de tout le monde. L’univers continuait à suivre son cours et le monde à tourner même si elle avait décidé de garder un contrôle implacable sur sa vie et son cœur. Fallait-il préciser qu’elle avait été couvée pendant bien trop longtemps pour oublier que certaines fois, elle ne pouvait faire face à ses émotions et se comporter comme une personne normale ? Excuse moi de débarquer à l’improviste. J’ai eu une semaine très chargée. J’aurais dû te prévenir mais j’ai senti qu’il fallait que je sache. Tu ne m’as jamais parlé d’elle et… Quand j’ai vu la photo je me suis sentie… Trahit ? Merde Leo-Alisson se sentait souffrante dorénavant. Ses mots n’avaient aucun sens. Elle devait calmer le jeu et passer pour l’amie surprise de ne pas avoir été placée dans la confidentialité. Maisle voulait-elle vraiment ? Absolument pas. Elle voulait juste entendre un démenti, quelque chose qui pourrait la faire imaginer qu’elle n’avait pas foncé dans les bras d’un autre homme que Mavis et qu’il était éperdument amoureux d’une autre. Même si Leo n’imaginait rien, elle savait aussi qu’elle ne pouvait endurer ce genre de choses. Elle avait sauté le pas. Elle avait couché de nouveau avec quelqu’un et en l’occurrence, la personne la plus importante au monde pour elle. Pour ça, il fallait qu’elle entende une vérité qui la ferait se sentir mieux. Je suis désolée pour la nuit dernière. C’était sûrement la première fois que Matthias pouvait entendre des propos si courageusement émis de la part de la jeune femme. S’il pouvait constater du changement dans sa personnalité c’était bien maintenant qu’elle lui offrait sur un plateau, des excuses sincères. Leo ne voulait pas se cacher, plus jamais et sûrement pas avec lui. Mais pire que tout, elle se sentait terriblement mal et tentait vainement de cacher que quelque chose d’autre avait pris place en elle. Elle ne voyait plus le visage de Mavis. Juste son meilleur ami, encore et encore et, perplexe, elle se disait que la rédemption pourrait sûrement l’aider à ne plus ressentir de pareilles sentiments. Elle se sentait devenir folle et ainsi, quand il lui offrait son verre, elle le buvait d’une traite, assoiffée par tout ce qu’elle ressentait et qui n’allait pas du tout avec ce qu’il devait être. Une amitié, une fusion inexorable, une amitié à jamais inébranlable. Pour ça, elle pourrait sûrement repasser mais peut-être qu’en mettant enfin les choses à plat, elle pourrait oublier et passer à autre chose. Qu’elle oublie de suite cette hypothèse, tout irait de mal en pie. Tu sais, les actrices ça se drogue. Ok, maintenant elle pouvait reprendre ses affaires et partir. Leo ressemblait plus à une cinglée sortie de son asile de démence plutôt qu’à une jeune femme qui avait enfin pris son envol et sa vie en main. Son regard longeait celui de Matthias et c’était comme une lutte incessante pour savoir lequel des deux étaient vraiment devenu fous. Celui qui niait tout en bloc ou celle qui tentait de créer plus de problèmes qu’ils n’en avaient déjà ?


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
avatar

(matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away Empty
MessageSujet: Re: (matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away (matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away EmptyLun 26 Oct - 17:07

:out:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

(matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away Empty
MessageSujet: Re: (matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away (matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away Empty

Revenir en haut Aller en bas

(matthias&leo-aisson) shadows in my heart, please take the night away

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» When the night falls demons arise shadows + Roseann
» Best night ever <3 * Prom night forever in your arms ' [Sovannh]
» in the night the stormy night away she'd fly (one shot)
» we are not the way we seemed - alaina & matthias
» (Matthias) There is no redemption. Just more complication.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
the great escape :: flood and trash :: corbeille rp-