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Nous ne sommes que des créatures des bas fonds, il nous est défendu d'être amoureux.

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Stana N. S. Dickens
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Stana N. S. Dickens
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MessageSujet: Nous ne sommes que des créatures des bas fonds, il nous est défendu d'être amoureux. Nous ne sommes que des créatures des bas fonds, il nous est défendu d'être amoureux. EmptySam 25 Juil - 21:30

Il était seulement deux heures du matin, la soirée ne faisait que commencer. J’étais au Havana Central depuis déjà minuit. J’aurais préféré arriver plus tard, seulement la personne qui m’y avait emmené avait une autre soirée. Et évidemment n’avait pas voulu m’y emmener. Pauvre abrutit va. Je suis très respectable en soirée. Et qui plus est, les gens t’auraient adoré de m’avoir emmené. Tant pis. Je me retrouvais donc seule dans un bar. Que je connais très bien certes, mais seule.  En deux heures j’avais observé tout le monde du bar. Mais personne ne m’avait attiré le regard. Ils étaient beaux, mais sans plus. Pas des garçons vers qui j’irais pour danser toute la nuit. Non, il me faut plus beau. D’accord, je sais que ça fait très prétentieux de dire cela, mais je m’en fous. Je mérite mieux que tous ces gars qui sont là ce soir. Mais ils sont où les beaux garçons ? On les a perdus ou quoi ? Et sincèrement après deux heures à une table, je commençais à désespérer. Les deux coudes sur ma table, je rêvassais. Tout en envoyant balader tous les hommes qui osaient s’asseoir en face de moi. Pas assez beau. Pas assez musclé. Pas assez drôle. Il y avait toujours un truc qui manquait. Ou alors c’est que je me lassais de tous ces hommes. J’en avais vu défiler tellement que j’en devenais difficile maintenant. Une vraie princesse la demoiselle. A force d’espérer, je terminerais surement seule ma soirée. Ainsi que ma vie. Je devrais être moins difficile et plus flexible sur mes demandes. J’étais en train d’y songer lorsque mes yeux s’arrêtèrent sur un homme. Mes pupilles s’illuminèrent. Mon regard fut tout émoustillé. Un sourire vint se poser enfin sur ma jolie facette. Il venait de rentrer. Ça c’est un homme. Je pouvais le remarquer avec ses tatouages sur les bras. Je devrais surement ne pas aller le voir. Trop baraqué. Trop bad boy. Trop pour une gamine de dix-sept ans. Pourtant, encore une fois je ne m’écoutais pas. Je laissais mes pulsions de pétasses m’envahir. Bien que je le laissais s’installer quand même. Je n’allais pas lui sauter dessus dès son arrivée. Assise à ma table, je le fixais. Pas de soucis s’il le remarque. Au moins il remarquera ma présence et mon envie profonde de venir lui parler. Je patientais. Et ce qui me parut une éternité n’était qu’en fait une minute. Je me levais et avançais vers lui. « Tu danses ? » Lui demandais-je avec un sourire, et des yeux qui le suppliaient. Je lui tendis même mes deux mains pour qu’il me suive. Mon cœur se mit à battre à neuf milles à l’heure alors que j’attendais une réaction de sa part. Je le vis même tourner sa tête, comme s’il cherchait quelqu’un d’autre. Evidemment, il ne devait pas être venu tout seul. Aussi bel homme qu’il est. Voyant qu’il ne répondait pas, je changeais de direction. Au moins j’aurais tenté. Ce n’est pas le premier vent que je me prends, ni le dernier. Assise de nouveau à ma table, je sortis mon portable de mon sac. Cherchant de l’aide dans un de mes contacts. Qui dont pourrait bien venir s’amuser avec moi ce soir ? Ou même qui pourrait venir me chercher. Je suis dans l’Harlem, et je n’ai pas trop envie de m’y balader seule dans la nuit. Je sais me défendre, mais j’aimerais rester intact. Alors que mes yeux étaient rivés sur l’écran de mon portable, je sentis une présence en face de moi. Je baissais le portable pour voir qui avait donc osé s’assoir à ma table. Sans même en demander la permission. Evidemment lui. Après n’avoir laissé qu’un blanc à ma réponse, il osait venir s’asseoir à ma table. « Dégage de là. » Puis je me remis à ma recherche d’amis. Au bout de quelques secondes je jetais un coup d’œil face à moi. Toujours là. Il me fixait. Mais n’avait toujours pas dit un mot. Beau mais vraiment bizarre lui. Pas pour moi. Je me mis à lui donner des coups de pied sous la table. « Mais bouuuge j’t’ai dit. » Les coups ne s’arrêtèrent pas. Et lui non plus. Il me regardait encore, et en vint même un sourire. Mais c’est qu’il se fout de ma gueule celui-là. Je me levais alors. « Tu crois que tu me fais peur ? Avec ta taille et tes vieux tatouages là ? » Non, je ne m’étais pas levée pour partir. Je m’étais juste levée pour me retrouver de l’autre côté de la table. Je lui pris le bras de force, et tentais tant bien que mal de le sortir de là. Je réussis seulement à le faire bouger d’un centimètre. Ce qui est nul, mais déjà ça. Je vis alors quelqu’un lui amener sa boisson. Pas le barman, mais apparemment un ami à lui. Je pris cette boisson et la but. Du whisky. Dégoutant. « Merci pour la boisson. » Et je rendis le verre à cet autre homme. Ok, il veut rester à ma table. Qu’il le fasse. Je ne vais pas m’en aller non plus. Je me rassis face à lui, rangeais mon portable et posais mon regard dans le sien. Que la partie commence.
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MessageSujet: Re: Nous ne sommes que des créatures des bas fonds, il nous est défendu d'être amoureux. Nous ne sommes que des créatures des bas fonds, il nous est défendu d'être amoureux. EmptyMer 5 Aoû - 12:40

Mon début de soirée n’avait rien donné de bien productif, et ne pas passer une soirée sympa, personnellement ça m’agace. Pas du genre à rester sur un échec, après un appel j’avais fini par quitter l’endroit où se déroulait ce qui devait être une soirée sympa, pour aller boire un verre au Havana Central et y rejoindre un ami. Nouvelle soirée, nouveau programme. Finalement, je ne pouvais pas rentrer chez moi de mauvaise humeur parce que j’avais passé un mauvais moment. Nous avions convenu du déroulement de cette soirée, agacés nous devions nous détendre, qui dit détente dit femmes. Et alcool. Et tout ça. Je savais que je n’allais pas spécialement passer la soirée à discuter avec, je savais que nous allions partir chacun de notre côté après avoir échangé quelques phrases et s’être souhaité bonne chance. On débriefera sûrement demain, c’est comme ça que ça marche. A moins que les choses ne se passent pas comme prévues, ce soir nous devrions nous contenter de nous jeter quelques regards accompagnés de quelques signes afin d’obtenir et de donner l’avis à/de l’autre sur sa cible du moment. L’avis de l’autre peut pas mal compter en fait, si l’un grimace, l’autre peut très bien abandonner la personne avec qui il se trouve pour une autre. Je me dirai bien qu’il faudrait que je me décide à me comporter correctement avec les femmes, mais les voir rentrer dans le jeu des hommes, finir la soirée avec un parfait inconnu etc, ça me donne pas envie de soi-disant mieux les traiter. De toute évidence je les traite comme elles le souhaitent, donc bien.

Tout ça pour dire que la soirée ne faisait que commencer quand je m’installais à une table. J’espérais quand même ne pas devoir attendre trop longtemps, déjà que je n’étais pas forcément de super bonne humeur suite à ce début de soirée raté, si en plus on m’était à l’épreuve ma patience quasi inexistante… Mais finalement ce n’est pas la voix familière d’un homme que j’entendis, mais celle d’une jeune femme. Danser, ce n’est vraiment pas mon truc, mais je pourrais parfaitement lui proposer autre chose, s’asseoir à ma table pour partager quelques verres par exemple. En général, les femmes qui abordent directement les hommes, je les classe tout de suite dans la catégorie des femmes à contacter uniquement pour une fin de soirée sympathique. C’est pas que je suis vieux jeu mais bon. Ouais, je suis vieux jeu. Je fouillais du regard l’endroit dans lequel nous nous trouvions, constatant que j’allais encore être seul pour le moment et que du coup je pourrais proposer à la jolie blonde déjà en train de me laisser, de s’asseoir avec moi. Je l’observais de ma table tandis qu’elle était retournée s’asseoir à la sienne. Elle me semblait assez jeune, j’ai toujours eu un penchant pour les femmes jeunes. Même si généralement en soirée, l’âge des femmes n’est pas mon principal intérêt, l’alcool aidant j’en venais à oublier certaines formalités des fois. J’étais en train de me questionner sur l’inconnue quand je sentis quelqu’un me taper l’épaule. L’ami qui avait décidé de se faire désirer. Après avoir parlé quelques minutes, il m’envoyait déjà voir la blonde au visage d’adolescente, m’informant quand même au passage qu’elle semblait jeune, assez jeune, pas mal jeune. Comme si je ne l’avais pas remarqué. Plus que je ne l’avais remarqué ? A cette heure-ci, les ados c’est au lit, non ? J’allais en avoir le cœur net. Après avoir blagué sur le fait que je me faisais aborder par une jeunette, il m’avait envoyé au défi. Etant donné qu’elle y était allée au culot en venant me proposer de danser, et qu’en plus elle était partie sans attendre que je lui réponde, la politesse de nos jours… J’allais faire de même. Du coup j’allais m’asseoir à sa table tandis qu’elle pianotait sur téléphone. Ah merde, elle venait de me dire de dégager. Je ne pouvais pas considérer ça comme une preuve qu’elle venait tout juste de sortir de la puberté, voire d’y être encore – effrayant – , il fallait que j’arrête de juger les gens à la hâte. Je scrutais tranquillement son visage, ça devait sembler bizarre, d’un côté il était deux heures du matin, j’avais passé une sale soirée, je n’étais pas complètement frais, frais, pour preuve j’essayais de deviner l’âge d’une fille que je ne connaissais pas, non mais je peux avoir des passes temps bizarres. C’est quand elle se mit à me mettre des coups de pieds en me disant de bouger que j’en tirais ma première conclusion. Ouais, elle est jeune. Mais elle n’avait pas terminée, cette fois-ci j’étais obligé de rire tandis qu’elle essayait de me faire partir en me tirant par le bras. Ouais, elle est très, très jeune. Jeune, excitée, impatiente, ça promet. Avec mon compagnon de chasse, nous nous regardions tandis qu’elle s’apprêtait à boire ce qui devait être mon verre, amusés, dans l’attente. Puis finalement il grimaçait tandis que je souris. « Tu vois, je te l’avais dit. » Lui dis-je. Nous nous attendions à ce qu’elle ait un petit peu plus de mal avec l’alcool, ça aurait été une preuve de son âge inférieur à 20. Naïfs que nous sommes. Donc, il avait parié qu’elle devait avoir moins de 20 ans, moi qu’elle devait avoir moins de 20 ans, moi qu’elle devait avoir 20 ans ou plus, comme demander l’âge d’une jeune femme s’est impolie, ou comme on est complètement débiles, on en avait tiré notre conclusion comme ça. En me calant contre mon siège en soutenant le regard dans la jeune femme, je me demandais si j’étais complètement con pour mon âge ou si je devais arrêter de consommer et être sobre des fois. Un peu des deux. « Tu sais, ça peut durer longtemps comme ça. T’abandonneras la première. » Je lui souris, sûr de moi, bien sûr j’étais persuadé qu’elle détournerait le regard en premier. On avait l’air bien, assis face à l’autre en train de se fixer. Elle était agaçante, ça semblait m’amuser, mais je ne pourrais pas me résoudre à tourner le regard avant elle, question de fierté. Juste parce qu’elle avait l’air d’une chieuse. Si tout à l’heure je la trouvais jeune suite à son comportement, fallait bien que je reconnaisse que je pouvais moi aussi avoir un comportement de gamin. « Tu me dois un verre, maintenant. »  
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MessageSujet: Re: Nous ne sommes que des créatures des bas fonds, il nous est défendu d'être amoureux. Nous ne sommes que des créatures des bas fonds, il nous est défendu d'être amoureux. EmptyMar 18 Aoû - 5:45

Généralement je suis plutôt du genre à me laisser séduire, à laisser les hommes venir à moi. Mais lorsque je vois un top canon, je n’hésite pas. Et en voyant cet homme tatoué, j’étais sûr de ne pas vouloir le laisser de côté aussi facilement. Alors je m’étais avancée vers lui, n’hésitant pas une seconde à lui proposer une danse. Mais ce fut une déception totale en voyant qu’il ne répondit rien. Ou alors j’avais été trop impatiente, et ne lui avais pas laissé le temps de répliquer quoique ce soit. J’étais devenue impatiente face à cette soirée sans aucunes trouvailles masculines après ces quelques heures à attendre. J’aurais aimé que cet homme me réponde directement oui, et qu’on danse sensuellement. Ça nous aurait déjà bien rapprochés. A la place de cette rêverie, je me retrouvais seule de nouveau, à ma table. Mon seul ami étant mon portable. A cet instant-là, mon seul souhait étant qu’on vienne me chercher de cet endroit pourri. Jusqu’ici j’appréciais cet endroit. Mais c’était avant que je m’y ennuie, à attendre qu’un mec potable y entre. Et le seul homme qui me plait, me fout un total vent. J’envoyais donc des messages pour qu’on vienne me chercher, mais en vain. Et alors que je ne m’y attendais plus, je vis l’homme tatoué arriver à ma table. Je vis mine de ne pas l’avoir remarqué, pensant qu’il partirait aussi vite qu’il est arrivé ici. C’était raté. Il semblait avoir décidé de rester à ma table. Je regardais vite fait autour de nous. Oui, il y avait bien des tables de libre. Et pourtant, il venait à la mienne, ce con. Je lui dis de dégager, je lui donnais des coups de pieds, mais aucune réaction. Il restait là, en face de moi. Comme s’il me cherchait. A savoir lequel d’entre nous est le plus lourd. On se retrouvait donc, tous les deux, à une table, à se fixer. Comme si l’on jouait à un jeu. Alors que pas du tout. C’était plutôt un moment où l’on se défiait tous les deux. Aucun besoin de se le dire. J’avais même bu dans le verre qui lui était réservé. Je fis un clin d’œil à l’homme qui avait ramené ce verre. Pour enfin reporter mon regard sur cet autre homme. Cet homme qui m’avait fait tilt. J’avais lu de nombreux livres. Des livres parlant du coup de foudre. Je n’y comprenais rien, n’ayant jamais connu ce sentiment, mais je pensais le comprendre maintenant, avec cet homme. Je ne pourrais pas directement dire que j’ai connu ce coup de foudre, mais je comprenais un peu mieux. Je ne me lassais pas de le regarder. Il avait un beau regard, et pareillement pour son sourire. Je sentais que je pouvais le regarder comme ça durant tout le reste de la nuit. A poser mon regard dans le sien. Sans aucuns mots. Je suis certaine que nos regards auraient pu tout dire en cet instant. J’eus envie de rire en l’entendant dire que je lui devais un verre. Mais sur quel genre de mec suis-je tombée ? Comme si un verre allait le ruiner. Tout en gardant mon regard dans le sien, je bougeais pour me retrouver à ses côtés. Ma main se posa sur sa cuisse. Pour l’exciter un peu, mais sans aller trop loin non plus. Je ne suis pas du genre à trop exciter les hommes pour rien.  Je les embrasse juste. Et c’est ce que je fis. Je posais mes lèvres sur les siennes. Et durant ce baiser, je m’autorisais à fermer les yeux, tant pis si je pers ce défi qu’on s’était lancé indirectement. Je voulais profiter de ce langoureux baiser, faisant jouer ma langue avec la sienne. Je sentis une grande bouffée de chaleur m’envahir, ce qui voulait signifier qu’il était temps de mettre un terme à ce baiser remplis d’envies. « Je crois que ce baiser rembourse amplement ton verre. » Juste après avoir dit cela, je lui souris, tout en lui proposant de nouveau « Tu acceptes cette danse ? » Non je ne lâchais pas l’affaire, et je ne lui laissais pas non plus le choix. J’entremêlais mes doigts avec les siens, afin de l’emmener sur la piste de la danse. Peu m’importait s’il savait danser ou pas, je souhaitais juste rapprocher mon corps du sien, et c’est ce que je fis, tout en bougeant sur le rythme de la musique. Mes mains s’arrêtèrent sur ses fesses. Mais pas seulement, elles passèrent même sous le jean, ainsi que le boxer qu’il portait. Ou du moins c’est ce que j’aimais à penser qu’il portait. Mes mains pouvaient ainsi sentir sa peau. La peau de ses fesses. Et le pire dans tout ça ? C’est que je n’étais pas bourrée. Je le chauffais juste un petit peu. Je vis au coin de l’œil l’homme qui lui avait amené la boisson. Je lui fis un clin d’œil, avant de retirer mes mains de son boxer, pour les poser sur son entrejambe. Mais cette fois-ci, je laissais tout de même le jean entre ce contact. Je reportais mon regard sur mon compagnon de danse, qui apparemment ne savait pas trop quoi penser de tout ce qui venait de se passer avec mes mains. « Oh ça va, ne fais pas ton timide. » Je lui déposais un léger baiser sur sa joue, en me levant un peu sur mes talons, l’homme étant légèrement plus grand que moi. « Je suis sûr que d’autres filles t’ont touchés comme ça avant. » Je lui fis mon plus grand sourire, avant de revenir à ma table. Qui apparemment était devenu notre table, le voyant me suivre. Je soutenais mon regard dans le sien, tout en levant mon pied sur sa jambe. Ce qui s’appelle faire du pied à quelqu’un. Je posais ma tête sur ma main. « Moi c’est Stana en fait. » Et alors que je disais cela, je sentais mon pied monter petit à petit sur sa jambe. L’envie me prenait de court, et il fallait absolument que j’arrête. Il allait me prendre pour ce que je ne suis pas. Si je continuais sur ce chemin, il me croirait surement jamais si je lui disais que j’étais vierge. Je reposais donc ma jambe à terre. « Tu veux autre chose à boire ? » Lui demandais-je, sans préciser que ce serait lui qui allait payer le tout.
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MessageSujet: Re: Nous ne sommes que des créatures des bas fonds, il nous est défendu d'être amoureux. Nous ne sommes que des créatures des bas fonds, il nous est défendu d'être amoureux. EmptyVen 18 Sep - 21:35

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