the great escape
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Je veux ta psychose, tes sueurs froides, je veux ta tragédie tant que c'est gratuit ♣ Julay.

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MessageSujet: Je veux ta psychose, tes sueurs froides, je veux ta tragédie tant que c'est gratuit ♣ Julay. Je veux ta psychose, tes sueurs froides, je veux ta tragédie tant que c'est gratuit ♣ Julay. EmptyDim 24 Mai - 0:05

“Tu es tordue et torturée, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es.”



▶ JE VEUX TA PSYCHOSE, TES SUEURS FROIDES, JE VEUX TA TRAGÉDIE TANT QUE C’EST GRATUIT. La délicieuse mélodie qui s’échappait de la sonnette située à l’entrée de l’appartement s’infiltrait dans les oreilles de la belle. Déjà un rictus naissait au coin de ses lèvres sensuelles. Uniquement enveloppée d’une serviette de bain rose, la jeune femme se tenait à quelques mètres de la porte, fixant la poignée de ses prunelles dorées. Sa peau était encore humide et des gouttes d’eau perlaient de ses longueurs blondes, s’écrasant sur le plancher en une parfaite harmonie. Devinant la silhouette de celui qu’elle attendait, Juliet savourait les prémices de son plan pernicieux. Pour la première fois depuis le début, elle touchait au but. Et c’était un sentiment revigorant que d’effleurer la victoire du bout des doigts. Depuis plusieurs mois qu’elle vivait là, la jolie blonde s’était immiscée dans la vie de la suédoise, considérant chaque détail. Elle s’était imprégnée de ce quotidien dénué de toute insipidité et empli de secrets bien gardés. Souveraine d’un jeu dangereux susceptible de la propulser sur les rives du Styx à tout moment, elle avait outrepassé toutes règles de bienséance, pulvérisant les restes de valeurs morales réchauffant son âme gelée par une immense perfidie. Le souffle entrecoupé, elle tentait de garder le contrôle sur les palpitations de son cœur captif d’une folie périlleuse. Peu importait les risques qu’elle encourait, il était trop tard pour revenir en arrière. Rien ne devait entraver son incroyable machination, aussi monstrueuse soit-elle. Ce fût tête haute que Juliet s’avança vers l’entrée, entrouvrant la porte derrière laquelle se tenait l’homme attisant ses penchants dévastateurs. « Tiens donc Isay. » déclara-t-elle avec la plus grande innocence. Pendant un bref instant, son regard croisa le sien, inquisiteur, ignorant, presque soucieux. Avait-elle semé les graines d’un tourment sans fondement à l’intérieur de ce corps robuste et vigoureux ? Le message textuel qu’elle avait envoyé puis effacé du téléphone portable de sa colocataire avait certes été énigmatique, mais seulement dans le but d’attirer sa proie jusqu’à elle. Et pour ce faire, elle avait usé d’une manière qui se devait d’être irréfutable. D’un geste parfaitement exécuté, elle lâcha la poignée, envoyant valser la porte contre le mur. « Entre. » Tournant les talons, elle laissa à son invité l’opportunité d’observer le plus simple appareil dans lequel elle se trouvait. Sa serviette modestement nouée la préservait d’une nudité exposée. Juliet jubilait d’ores et déjà, se voyant triompher et briser le russo-suédois en mille morceaux. S’enfonçant dans le canapé du salon aux tons épurés, la jolie blonde ne prêtait pas la moindre attention à l’indécence dont elle faisait preuve. En réalité, elle se fichait bien qu’Isay se sente à l’aise ou non. Cela ne ferait aucune différence lorsqu’elle le projetterait plus bas que terre, l’anéantirait tragiquement, dramatiquement mais divinement. Alors elle contemplerait les dégâts, balayant les débris d’une relation intense sans miséricorde. Tout au long de son existence, la sulfureuse créature n’avait jamais ressentis ni regrets, ni remords. Et cette fois-ci ne dérogerait pas à la règle, elle le savait. « Que puis-je pour toi super mâle ? » demanda-t-elle sur un ton empli de malice. De ses prunelles de prédatrice, la jolie blonde étudiait le regard fureteur d’Isay. Son attitude suintait une anxiété ayant atteint son paroxysme. Percevoir autant de sentiments mielleux à l’encontre de Valentina l’écœurait. Car la demoiselle était de celles qui ne comprenaient pas cette tendance à s’appuyer sur les épaules de quelqu’un. Elle ne s’imaginait pas le moins du monde s’abandonner dans les bras d’un homme autre que dans un but exclusivement charnel et débordant de plaisir. Mais elle réalisait une fois de plus à quel point la suédoise s’était ancrée profondément dans le cœur de celui qui lui faisait face. Naïvement, le grand brun avait achevé d’orienter les pulsions meurtrières de la belle. Et c’était là qu’elle prévoyait de le blesser : en pleine poitrine. « Val’ est sortie. Elle ne m’a rien dit sur l’endroit où elle allait d’ailleurs. J’imaginais qu’elle était avec toi… » l’informa-t-elle le plus naturellement du monde. Il fut un temps où sa colocataire n’apparaissait que furtivement dans les idées noires qu’elle nourrissait. Simple dégât collatéral, la jeune femme l’aurait épargnée au possible. Mais aujourd’hui la diabolique créature qu’elle était se sentait trahie par celle qui se disait être son amie. L’annonce d’un emménagement prochain en compagnie du russo-suédois l’avait dévastée. Seule face à elle-même, Juliet se retrouvait au pied du mur. Bien que Valentina lui ait accordé un délai lui permettant d’élire celui ou celle qui la remplacerait, la jolie blonde avait le sentiment d’avoir été abandonnée. C’était des promesses qu’elle réduisait en poussière, des instants qu’elle bafouait sans mansuétude, une amitié qu’elle fracassait de plein fouet. Si la jeune vendeuse n’avait jamais témoigné le moindre attachement pour personne, elle s’était néanmoins risquée à construire une relation pleine de sincérité avec celle qui partageait son appartement. Pas par envie, ni par isolement, mais parce qu’elle en valait la peine. Du moins, c’était ce qu’elle croyait. Car Valentina n’était qu’une stupide effrontée, une garce dégoulinant d’égoïsme. Et elle le lui ferait payer. Animée par une cruelle frénésie, elle la contemplerait ramper au milieu d’un champ de ruines. Jamais elle ne tolérerait que la suédoise nourrisse l’espoir d’obtenir sa rédemption. Jamais. « Bien, puisque ce n’est pas le cas, tu m’excuseras mais je ne t’attendais pas. » indiqua-t-elle en disparaissant dans la petite salle de bain. Suspendant sa serviette sur le radiateur mural, elle enfila un tanga en dentelle rose ainsi qu’un sweatshirt bien trop large pour elle. Puis Juliet se tînt face au miroir. Le reflet que la glace lui renvoyait était celui d’une jeune femme pleine d’audace. Et peut-être même trop. « Tu as faim ? » l’interrogea-t-elle en filant vers la cuisine. Tandis qu’elle sortait les ustensiles des divers placards, la jolie blonde sentait le regard d’Isay s’attarder sur son être. Lui tournant le dos un instant, elle ferma les yeux. Pourquoi était-ce si dur ? Pourquoi ses pulsations cardiaques s’emballaient-elles ? Elle l’avait déjà fait. Et des millions de fois. L’obstacle qu’elle rencontrait alors ne fit que renforcer la haine qu’elle éprouvait à l’encontre de la suédoise. C’était sa faute. Elle était la cause de tout ce cirque. Si Juliet n’avait pas lié une amitié si fusionnelle avec elle, ô grand jamais elle ne se serait heurtée à la moindre difficulté. Elle détestait ce lien qui les unissait, elle haïssait cette blondasse aux yeux azurés qui s’accrochait à des morceaux de son cœur noirci. À présent tout était limpide et indéniablement inévitable, elle la détruirait autant qu’elle démolirait Isay. Reprenant son activité, la jeune femme croisa le regard inquisiteur du russo-suédois. « Oh… C’est à toi ? Je ne le savais pas. » affirma-t-elle en désignant le seul vêtement la recouvrant. Bien sûr qu’elle le savait, elle s’était elle-même servie dans les tiroirs de Valentina. La jeune vendeuse lui avait laissé croire qu’elle avait égaré cette pièce de sa garde-robe. Ses pensées nébuleuses entraient alors en ébullition. Elle se demandait ce qu’Isay pouvait bien penser de tout cela. Était-il troublé de surprendre une autre femme porter les affaires qu’il avait soigneusement confié à celle qu’il aimait ? Elle l’aurait parié. « Je l’aurais bien retiré mais nous savons tous les deux que ce ne serait pas une bonne idée. Ne serais-tu pas embarrassé que je me trouve là, nue comme un vers devant toi ? » le questionna-t-elle d’une voix suave. Juliet le taquinait et c’était de bonne guerre. La jolie blonde laissait peu à peu grandir le malaise du grand brun, multipliant de manière exponentielle les kilomètres constituant le gouffre dans lequel il tomberait. Alors elle se délecterait de sa longue et silencieuse chute, écoutant d’une oreille attentive le moment où il s’écraserait violemment au sol. Attrapant un couteau aiguisé, elle entreprit d’émincer des légumes. Distraite, elle imaginait le couple se pavanant dans son appartement, le sourire aux lèvres. En colère, ce fut son index qu’elle entailla à l’aide de la lame. « Aïe ! Merde ! Quelle chiotte ! » s’écria-t-elle en lâchant précipitamment son arme blanche. Elle n’avait pas prévu cela. Cette blessure ne faisait pas partie du plan. Néanmoins, elle pouvait tourner cela à son avantage. « Isay, tu veux être l’homme de la situation ? Tu peux m’attraper un pansement ? » demanda-t-elle en minaudant. Quand il revînt, la jeune femme lui tendit machinalement son doigt. Elle contemplait, admirative, la délicatesse avec laquelle ses larges mains s’affairaient autour de son index sanguinolent. Elle avait imaginé différemment le contact de sa peau avec la sienne. Plus rugueux. Plus animal. Mais sûrement pas aussi tendre. « Tu fais ça si bien… » murmura-t-elle sensuellement.

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Cameron Eynsford
there's no place like berkeley
Cameron Eynsford
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MessageSujet: Re: Je veux ta psychose, tes sueurs froides, je veux ta tragédie tant que c'est gratuit ♣ Julay. Je veux ta psychose, tes sueurs froides, je veux ta tragédie tant que c'est gratuit ♣ Julay. EmptyLun 1 Juin - 16:22

- You, are trouble.
- I’ll take that as a compliment

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« Isay, ces clichés sont d'une perfection rare. » décrète le tuteur du Lindgren en détaillant les photographies qu'il vient de lui soumettre. Il faut dire qu'Isay est particulièrement fier de cette série et espère secrètement qu'ils seront choisis pour le vernissage de fin d'année. « Tu as ton style et un œil avisé. Tu es très doué. Et puis je ne sais pas où tu as dégoté cette mannequin, mais on ne peut pas dire qu'elle enlaidisse les photos » ricane-t-il en offrant une tape amicale à Isay. « C'est pas une mannequin, c'est ma petite amie » déclare Isay, fièrement. Il a pris ces clichés de Valentina à la volée, sans qu'elle s'en aperçoive. Il a capturé ces moments de quotidien qu'ils partagent ensemble et s'en ai créé toute une série en noir et blanc, rendant sa petite amie encore plus belle et éclatante qu'elle ne l'est déjà. Le russo-suédois a hâte de montrer son travail à sa petite amie qui n'est pas au courant de l'existence de ces photos. Il espère qu'elle saura apprécier son travail autant que son tuteur et lui. Le Lindgren rassemble son travail et après des remerciements de rigueur, s'éclipse pour une pause déjeuner bien méritée. A peine a-t-il un pied dans la rue que son téléphone sonne. Message de Valentina l'intimant de venir à son appartement – enfin celui qu'elle partageait avec sa colocataire avant qu'elle ne vienne emménager avec lui – le plus vite possible. Texto si énigmatique qu'il intrigue Isay au point de se diriger de suite vers l'appartement. Son ventre crie bien famine mais son couple, ou du moins sa petite amie, passera toujours avant. Et il n'apprécie que trop peu le ton qu'a employé Valentina dans son message. Ça ne présage rien de bon. Et pourtant, aussi loin qu'il creuse au fond de sa mémoire, il ne se souvient pas avoir fait une quelconque connerie. Pour une fois. Devant la porte d'entrée de ledit appartement, Isay s'empresse de sonner. La main appuyé sur l'embrasure de la porte, attendant qu'on daigne lui ouvrir. Et..... ce n'est pas Valentina qui se dessine devant lui. Mais plutôt sa colocataire, si peu vêtue. Le jeune homme fronce les sourcils. Cette entrevue ne lui dise rien qui vaille. « Salut Juliet » lâche-t-il, déjà agacé de s'adresser à cette fille qu'il sent aussi manipulatrice que lui. Il n'en a jamais parlé à Valentina parce que les deux filles s'entendent comme cul et chemise mais il en est certain, cette Juliet n'est pas aussi saine qu'elle voudrait y paraître. Isay entre dans l'appartement et cherche du regard sa copine qui n'a pas l'air présente. « Valentina m'a dit de passer ». Sinon, il ne serait pas venu CQFD. Lui, il ne jure que par Valentina depuis qu'il se sont remis ensemble. Les autres filles ? Toutes sans intérêt et terriblement insipides face à sa petite amie. Il a cessé de coucher avec ses prétendantes, ne partageant son lit plus qu'avec Valentina. Et elle le comblait assez à tous les niveaux pour qu'il n'éprouve pas la moindre envie d'aller voir ailleurs. Même lorsqu'une jolie se dandinait face à lui, à demi-nue avec pour seul vêtement une serviette sur le corps. « Comment ça elle est sortie ? C'est elle qui m'a envoyé un message pour que je vienne ici ». Isay ne peut réprimer cette incompréhension qui se lit sur son visage. Ce n'est pas le genre de la suédoise de lui poser des lapins. Ou de jouer à ce genre de petit jeu. Un soupir las s'échappe de la commissure de ses lèvres. Il sort son cellulaire tandis que Juliet s'éclipse dans une autre pièce. Il tente de joindre sa petite amie qui bien évidemment ne répond pas. C'est quoi ce bordel ? La tête du Lindgren se tourne à nouveau vers une Juliet qui revient dans la pièce, pas plus vêtue que lorsqu'elle est allée s'habiller. Et Isay reconnaît un de ses tee-shirts sur le corps quasi nue de la Holloway. « Non merci » réplique-t-il d'un ton sec. Ouais, ça ne l'amuse pas des masses de voir ses fringues sur une autre fille. Surtout sur cette fille-là. « Qu'est-ce que tu fous avec mon tee-shirt Juliet ? » grogne-t-il, un brin irrité. Son ton aguicheur commence à l'agacer que trop peu. « Ouais c'est à moi ». Et si tu pouvais éviter de te pavaner avec devant moi, ça m'arrangerait eut-il envie d'ajouter. C'est décidé, ce soir il parlera à Valentina des réticences et des doutes qu'il émet face à cette fille. Elle a beau être une amie très proche de sa copine, Isay décerne très rapidement les emmerdeurs. Les briseurs de couple, ou de vie. Et Juliet, elle émet des effluves de machination. Ces sourires enjôleurs et ses minauderies dégueulent d'hypocrisie. Et si tous les mecs ont tendance à tomber dans ce panneau, ce n'est pas le cas d'Isay. On ne manipule pas un manipulateur. « En fait, je m'en fous Juliet. Tu peux être à poil devant moi, tu n'arriveras jamais à la cheville de Valentina » déclare-t-il d'un sourire satisfait. La beauté de Valentina n'est plus à revendre. Et son corps... mon dieu ses courbes si exquises qui comblent le russo-suédois bien au-delà de ses espérances. Il a couché avec un tas de filles, c'est vrai, mais il n'a jamais autant pris de plaisir qu'avec sa petite amie. Alors la Juliet peut bien lui montrer son string qu'il n'en bougerait même pas une oreille. Le Lindgren est prêt à prendre la poudre d'escampette lorsqu'un cri persiflé par le démon en personne retient son attention. Manquait plus que ça tiens. Qu'elle s'entaille un doigt. « Bien sur, Isay n'a que ça à foutre » grommelle-t-il, en s'exécutant tout de même. Elle n'en reste pas moins une demoiselle en détresse qui visiblement ne sait pas se débrouiller sans lui. Et puis elle serait bien capable de porter plainte contre lui pour non assistance à personne en danger s'il partait sans l'aider. Isay attapre le doigt ensanglanté de Juliet et après avoir effectué une pression sur la plaie, s'attelle à lui mettre son pansement histoire de décamper au plus vite. « C'est ce qu'on me dit souvent » susurre-t-il en baissant son regard vers celui de la blonde. Changement de tactique pour le Lindgren. Plus drôle. Plus légère. Plus amusante. « Juliet, je sais ce que t'essaye de faire et tu sais quoi ? J'adore jouer » murmure-t-il au creux de l'oreille de la jeune femme, sa main droite venant se poser négligemment sur le bas de la cuisse de cette diablesse. Elle veut lui faire du rentre-dedans, fine. Elle veut s'amuser avec lui, fine. Le problème, c'est qu'elle n'a aucune idée de quel adversaire peut s'avérer être Isay. Juliet ne sait pas dans quoi elle s'engage. La pauvre, elle risque bien d'y laisser quelques plumes. Et un brin de dignité aussi. Outch.
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MessageSujet: Re: Je veux ta psychose, tes sueurs froides, je veux ta tragédie tant que c'est gratuit ♣ Julay. Je veux ta psychose, tes sueurs froides, je veux ta tragédie tant que c'est gratuit ♣ Julay. EmptyMar 14 Juil - 20:22

:out:
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MessageSujet: Re: Je veux ta psychose, tes sueurs froides, je veux ta tragédie tant que c'est gratuit ♣ Julay. Je veux ta psychose, tes sueurs froides, je veux ta tragédie tant que c'est gratuit ♣ Julay. Empty

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