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bad bitches is the only thing that i like + juliet

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MessageSujet: bad bitches is the only thing that i like + juliet bad bitches is the only thing that i like + juliet  EmptyMer 20 Mai - 17:34

- femme je te sors, t'es jamais contente en plus d'vant les gens tu fais trop ta fresh -


«  Trop de fatigué dans cette putain de ville. » Je toisais mes potes, avant de lever les yeux au ciel. Putain c'est un truc de fou comment j'ai l'impression que ces putins de mecs soient jamais motivés pour aller se la fendre un peu au club du coin. Au Brésil la jeunesse s'amusait beaucoup plus qu'ici et pourtant ils n'ont rien. Un simple feu sur la plage peut débuter une soirée, la moindre mélodie de samba et tu vois pleins de fessards qui se trémoussent devant des gueules béantes. En plus de ça, je trouve qu'ici niveau femme il n'y a rien du tout comparer à l'Amérique latine. Il n'y a pas cette chaleur que tu ressens en regardant une demoiselle dansée devant ton regard plein d'optimisme. Je n'ai jamais vraiment aimé New-York, d'ailleurs j'avais déjà fait la réflexion à mon père, mais bon vu la relation pathétique que j'ai avec ce dernier, inutile d'en rajouter. Ce mec-là avait une dizaine d'années de retard sur mon cas et pourtant je ne peux pas dire que je lui en veux, un papa on en a qu'un. Il a plus été présent pour Vixie que pour moi et pourtant j'ai du mal à lui en vouloir, sans aucune raison, peut être parce qu'au fond j'en ai rien à foutre. Heureusement je n'ai pas manqué d'un amour maternel.  D'ailleurs, en parlant d'elle, je n'ai jamais connu une femme de son age ici à New-York capable d'autant danser et de faire la fête. Certaines devraient en prendre de la graine, nous les brésiliens nous avons le sang chaud, c'est presque une religion la joie de vivre. A croire qu'ici tout le monde tire la gueule, je ne vois jamais personne s'amuser ou même kiffer l'instant présent. C'est déprimant d'habiter ici, de plus il y a moins de beaux temps qu'à Santa Catarina. Amusé et en même temps excédé par l'attitude de mes camarades, je décide de claquer la porte de la chambre d'hôtel, étant à moitié rond. Je déambulais d'un pied lourd dans le couloir, il me paraissait sans fin ce putin de tube à la con. L'alcool et la drogue ça n'a jamais fait bon ménage, mais peu importe j'étais paré pour sortir, bien assez explosé pour m'amuser seul. Luttant pour ne pas fermer les yeux, j'avançais péniblement vers la fin de mon calvaire avant d'en découvrir un autre : un ascenseur. Tel une brute je martelais le pauvre bouton de la cage d'acier, patientant comme un enfant devant ses cadeaux à Noël, avant de voir les portes se dessiner devant ma petite personne. Alcoolisé, j'avançais le pied droit, butant dans la petite marche, entrant péniblement dans la cabine. Encore des boutons, comme quelqu'un de très cons, j'appuyais sur tous les étages. Mon trajet dura une éternité, avant qu'une petite brise d'air vienne caresser mon visage, signifiant à mon corps amorphe que j'étais bien sortis de ce calvaire mental. La pluie venait de cesser, je levais les yeux, toisant le ciel du regard comme si j'annonçais la venue d'un terrible déluge, poursuivant ensuite ma route. Le club que je voulais rejoindre était très huppé, étant un fils de riche, je pensais pouvoir y rentrer une fois, sauf que ça n'a pas été le cas. Il faut impérativement une femme pour pénétrer dans cette antre renommée, du coup sans même réfléchir un instant, je décidais de sauver la soirée d'une petite veinarde dans la file en m'invitant à son bras et en étant accepté dans le plus majestueux des clubs. Passant une main machinalement dans mes cheveux enduits de cire, je poursuivais mon chemin, espérant avec désespoir que le club se dessine devant mes yeux. J'avais trop bu pour marcher et croyez le ou non, j'ai même pensé à faire une petite sieste dans un abri bus tellement j'étais à l'ouest. Une fois je me suis endormis vers une poubelle, c'est le majordome familiale qui est venu me chercher. Je n'imagine même pas comment cette personne à réussit à me supporter durant tout un voyage tellement je devais être exécrable. Je dois dire que cet homme mérite vraiment son salaire, supporter un tel con dans un tel état, je ne pouvais que m'incliner face à la force mental de ce monsieur. C'est décidé demain j'irais lui serrer la main et le féliciter. Arrivant dans le coin de la ruelle, je me giflais afin de me réveiller pour être cleen devant le videur. Plus sélectif comme boîte tu meurs. Bizarrement, je me retrouve envahis par un sentiment de confiance, d'un rythme confiant, je me dirige vers la foule, avant de ralentir, essayant de repérer la conne qui ferait la différence face aux deux gorilles. Soudain, une petite blonde venait alerter mon cerveau bien ébréché, sans réfléchir je me précipitais sur cette proie, la tirant vers moi sans même le temps de comprendre. Certes, je pouvais la faire entrer de par mon statut, mais sans cette petite demoiselle, je ne pouvais pas être sûr de rentrer à cent pour cent. La chevelure de la jeune femme, comparable à de multiples pépites d'or, venait caresser légèrement mon épaule, je m'amusais à l'avance de sa réaction. Même fin pété, je suis le plus chiant des gars en vérité je m'amuse de cette situation qui allait être sans doute très coquasse. Je regardais finalement la jeune femme qui elle, avait beaucoup de mal à réaliser ce qui lui arrivait, avant d'ouvrir enfin la bouche, pas de chance pour elle, je sentais plus la picole que la rose. « T'étais plus belle de loin. » Le gros lourd à donc repris du service ce soir, malheureusement pour elle. J'attendais avec une grande impatience sa réaction, parce que sur ce coup-là, j'étais vraiment le pire des enfoirés.
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MessageSujet: Re: bad bitches is the only thing that i like + juliet bad bitches is the only thing that i like + juliet  EmptyMar 14 Juil - 20:21

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