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Hier encore mon coeur était sans voix, aujourd’hui tes baisers sont mes rois.

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MessageSujet: Hier encore mon coeur était sans voix, aujourd’hui tes baisers sont mes rois. Hier encore mon coeur était sans voix, aujourd’hui tes baisers sont mes rois. EmptySam 16 Mai - 0:59


Hier encore mon coeur était sans voix, aujourd’hui tes baisers sont mes rois.



Charlotte & Aiden


Vous savez ce qu’il y a de pire à être stérile et savoir qu’on ne peut plus avoir des enfant tout ça à cause d’un avortement raté ? Jouer l’amoureuse transit pour son job. Bon d’accord vous me direz que ça ne me ferra pas de mal de faire semblant d’être un peu heureuse, et que finalement ça me mettrait sur le bon chemin… Oui Oui ça c’est si j’avais pas choisit de réaliser cette comédie complètement idiote avec l’homme le plus..le plus ..comment dire le plus volage de l’univers ? Bingo. Aiden. Tout d’abord remettons les choses dans l’ordre, depuis que je travaille pour le ministère mon côté fêtard et ambassadrice de l’herbe ne collait pas vraiment jusqu’à présent mon stagiaire faisait en sorte que tous mes déboires restent privés. C’est un beau jour que le mec de la com’ est venu me voir pour me dire clairement que je pouvais perdre ma place si je n’étais pas avec quelqu’un qui imposer un peu de respect. Voilà pourquoi mon choix c’est naturellement posé sur Aiden, il est influant à New-York et puis faut l’avouer que notre passé commun aide bien plus facilement à cette fausse complicité qu’on peut voir au détour d’une ruelle, ou dans un starbucks. Bizarrement le fait de savoir qu’il couche avec ma meilleure amie Ebony ne me dérange pas…Disons qu’avec Ebony je ne peux pas avoir de jalousie puis on a grandit aujourd’hui on est pas là à se crêper le chignon pour un homme. La seule chose qui aurait pu détruire notre amitié était si j’avais fauté avec Zayn mais ça ce n’était pas prêt d’arriver le voyant trop comme un frère qu’autre chose ou si elle s’était tapée Alec, là je vous avoue que c’est délicat. Nous étions certes spéciales, certes complètement à l’ouest aux yeux des gens mais il y avait des choses qu’on respectait un minimum. Je ne savais pas pourquoi je n’avais tout simplement pas refuser l’offre d’avoir un « faux petit-ami » peut-être qu’avais-je toujours voulu tenter d’être en couple avec Aiden. Mais ne vous y méprenez pas nous étions presque tout sauf un couple.  Au fil des années nous avions réussis à allier sexe et amitié même si le sexe prime toujours finalement. Aide a été présent à des moments où j’étais en chute libre , mon divorce, le fait de ne plus avoir d’enfant ou encore la perte de ma mère. Nous étions des grands enfants qui ne regarde pas au loin ne pensent pas à demain et savourant l’instant présent comme s’il était le dernier à chaque fois. C’était bien ça le problème nous étions trop libres, deux électrons qui ne peuvent pas se connecter entre eux. On le savait au fond de nous que si un jour même si c’était pas du tout dans nos objectifs on finirait ensemble ce n’était clairement pas possible, nous savions tous les deux à quel point l’autre et volage, à quel point nous pouvions manipuler l’autre pour arriver à ses fins. Enfaite on se connaissait beaucoup trop pour être ensemble, il était le seul pour qui j’aurai baissé ma garde pourtant.  Aiden devait passer pour 21h à mon appartement.  J’avais passé la journée au lit, avec mes pop-corn pour ne plus penser au travail, pour ne plus penser à ces choses qui pesaient sur mes épaules tel un fardeau qu’on aurait installé à notre naissance pour nous punir de notre innocence. Il était 19h quand je me décidais enfin à sortir de mon lit pour me préparer, en l’espace de quelques mois de sobriété mon corps avait pris des minis formes je faisais moins sèche qu’avant et pourtant moi qui n’ai jamais fais attention à mon poids je n’avais jusqu’à lors jamais réussis à prendre ne serait-ce qu’un kilo. Après une douche rapide je me demandais bien ce que je pouvais porter qu’aider n’avait pas déjà vu, c’est bien ça le problème depuis ce marché on se voyait encore plus qu’avant surtout que nous habitions tous les deux New-York du coups les rendez-vous à la volée c’était notre credo. Après une bonne dizaine de minutes de réflexion je savais enfin ce que je pouvais mettre j’optais pour des bas noirs que j’allais à mon porte jarretelle des dessous noir qui couvrait juste assez mon corps pour qu’on laisse place à l’imagination tout ça magnifié par un corset. Mais je ne pouvais pas biensûr laisser l’homme s’imaginer tout ça. Ca serait trop facile pour nous ce n’était pas notre genre. Je filais en vitesse dans ma chambre enfiler l’un de ses longs pull qui couvrait pile les jarretelles. Je sortais de mon frigo une bouteille de vin, que je posais délicatement sur la table. Encore trop tôt pour qu’il arrive je me posais en tailleur devant ma télé entrain de me rouler mon joint. Quelques secondes à peine, je portais le bâton vert à mes lèvres inspirant légèrement la fumée qui me titillait la gorge savourant ce moment j’en fermais les yeux. Rien ne pouvait remplacer ce petit moment de plénitude. Rien.  Quelques minutes après il tapa à la porte le joint toujours en bouche je me levais en direction de la porte d’entrée.  Mon coeur commençait déjà à palpiter car il savait ce qu’il se trouvait derrière la porte, il savait que je n’allais pas en sortir indemne de ce manège que nous étions entrain d’installer mais mon cerveau était comme mis sur pause, comme si tout ce qui se passait était irréel. J’ouvris la porte doucement afin qu’il puisse s’insérer dans mon appartement. Je levais mes yeux pour croiser son regard, ce regard. Ce genre de regard qui vous dis que rien n’est impossible, celui pour lequel vous pourriez repousser toutes vos barrières. Un léger sourire naquit sur mes lèvres rosées avant de m’avancer vers lui et de déposer un baiser au coin de ses lèvres puis mes lèvres remontaient doucement vers son oreille pour lui murmurer « Tu ne m’en voudras pas je ne t’ai pas attendu ». Lui disais-je en agitant le petit bâton vert. Puis je me reculais de son étreinte qui en un quart de seconde m’avait déjà réchauffé presque transportée ailleurs. Je le laissais prendre ses aises comme à son habitude ce n’était pas comme si c’était la première fois qu’il venait je posais mon joint sur le rebord du cendrier avant de m’avancer vers lui de façon nonchalante.  Un sourire sur mes lèvres qui montrait toutes mes mauvaises attentions se dessinait sur mes lèvres. Une fois assez proche de lui, j’arquais un sourcil naturellement tout en plantant mon regard dans ses azurs qui m’hypnotisés presque de part leur beauté fascinante. « Tu sais j’aime bien ton pull mais il tient beaucoup trop chaud, tu ne trouve-pas? » lui disais-je de façon légèrement -très légèrement- provocatrice laissant mes couler sur le bas du pull les laissant remonter doucement celui-ci de façon à ce qu’il puisse entrevoir mes  jarretelles. Ma langue passait légèrement sur mes lèvres, je relevais doucement la tête vers lui tout en ne le lâchant pas du regard… Fais gaffe Aiden la provocation est notre terrain de jeu favori et je ne suis pas prête à te laisser la moindre chance de réussir…

ps:

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MessageSujet: Re: Hier encore mon coeur était sans voix, aujourd’hui tes baisers sont mes rois. Hier encore mon coeur était sans voix, aujourd’hui tes baisers sont mes rois. EmptyDim 24 Mai - 18:17




You know, my friends used to say, that when DeeDee and I looked at each other, it was electric. And I...I let her go. I just let her go. Because I was too damn proud to tell her how I really felt about her. I'll tell you something, that I wish I knew when I was your age. And I know you've heard it a million times, life is short. But let me tell you something. What this...this...[referring to his Alzheimer's and pointing to his head] ...is teaching me, is that life is God damn short and you can't waste a minute of it!



Charlotte et Aiden avaient tout en commun, le même caractère que peu de gens supportait le même charme qui faisait chavirer les cœurs du sexe opposé, la même vision des choses et les mêmes envies. Si leur rencontre avait eu lieu par le plus grand des hasards ce n’était rien d’autre que la passion qui avait fait que cette relation sans queue ni tête qu’ils entretenaient dure avec le temps. Cette romance était en réalité qualifiée par l’absence totale de relation. Jusqu’à présent, ils n’avaient jamais rien défini ou planifié, se laissant portés par le vent. Et ils avaient bien vu où cela les avaient menés. Ils s’étaient retrouvés une première fois, après leurs vacances charnelles en Inde, lorsqu’ils avaient partagé à nouveaux quelques instants intimes à l’université. Et cette fois-ci, bien après Berkeley alors qu’aucun d’entre eux ne s’attendaient à retrouver l’autre, ils s’étaient revu, des mois après, sans nouvelles l’un de l’autre. Rien n’avait changé, la passion, la flamme qui les liait était toujours belle et bien présente et la passion qu’ils avaient ne faisait que croitre de jour en jour. Pourtant ils restaient toujours fidèles à eux-mêmes, pas de rendez-vous, pas de plan rien que du feeling. C’était la clé de leur histoire.
Tout avait basculé lorsque la carrière naissante de la jeune femme, fraichement promue Assistante conseillère économique au ministère des affaires étrangère, avait nécessité l’intervention d’un petit-ami potentiel dans sa vie. Et c’est sans crier gare qu’elle avait jeté son dévolu sur le jeune milliardaire. Elle n’avait certainement pas fait son choix au hasard, et son chargé de relation publique avait sans doute insisté sur l’influence qu’avait le nom Williamson et le porte-monnaie qui lui était attaché. C’était sans compter la réputation d’homme volage qui précédait Aiden. Ces bruits de couloirs et articles dans les tabloïds, ils les méritaient bien, et à dire vrai il n’y prêtait guère attention. Il avait toujours vécu sa vie comme il l’entendait en se souciant peu de ce que l’on pouvait penser de lui. Peu importe si on l’aime ou pas, il n’en a que faire. Il choisit lui-même qui fréquentera ou non sa vie, et le reste, il s’en moque bien. Il allait de femme en femme et de seins en seins chaque nuit, fréquentait les plus beaux hôtels et les plus grandes suites pour impressionner les dames qu’il remplit de joie chaque soir. Choisir de se mettre en couple, cela serait se cantonner à une seule d’entre elle, et passer à côté de nombreux plaisirs auxquels il ne saurait refuser. Il avait donc depuis toujours refusé de céder à la pression de la société et vivait sa vie de parfait célibataire. Mais depuis le scandale qui avait éclaté au sein de sa famille, depuis que son père avait choisi sa sœur à sa place pour reprendre les rênes de l’entreprise familiale, il avait commencé à  penser que de changer cette image-là, surtout auprès des principaux actionnaires, cela ne lui ferait pas de mal. C’est ainsi qu’il en été arrivé à accepter la proposition que lui avait fait Charlotte, un soir complétement défoncé. « Et si on faisait croire qu’on est ensemble toi et moi ? » Il l’avait regardé, perplexe avant de rire aux éclats. Était-elle sérieuse ? « Tu as raison Charlotte, on n’a qu’une vie et je veux la passer avec toi, être à tes côtés chaque matin, et m’endormir dans tes bras chaque soir » avait-il répondu en lui prenant la main, tout en mimant une demande en mariage. Elle savait très bien qu’il n’était pas en train de lui faire une déclaration d’amour, mais plutôt tout bonnement en train de se foutre ouvertement de sa gueule. Et pourtant les mots qui sortaient de sa bouches sonnaient tellement vrais que n’importe qui aurait pu y croire, même eux. Mais les petites pilules qui font rires, qu’ils avaient avalés avec un verre de bon bourbon faisaient bien effet sur eux et il trouvait la situation on ne peut plus drôle. Et puis dans le fond, simuler un couple avec elle, cela ne devait pas être si compliqué. Mais pour être crédible dans le rôle, ils devraient d’abord commencer par apprendre, tous les deux ce que ça voulait vraiment dire d’être « en couple ». Les choses qu’il fallait faire et ne pas faire, les limites à ne pas franchir, car c’était dans leur tempérament, ils avaient une fâcheuse tendance à ne jamais les respecter.

A tête reposée, ils avaient repensé à cette proposition qu’elle lui avait faite et avait acceptée, pour de vrai. Ils s’étaient mis d’accord sur les conditions, cela ne devait rien changer entre eux, c’était pour le public, une façade, un masque. Ils ne se devaient rien à partir du moment où cela devenait du priver. Il était libre de faire ce qu’il voulait, de baiser qui il voulait, et elle … et bien elle aussi. A son plus grand regret. Mais il ne pouvait pas imposer à Charlotte quelque chose et agir différemment en retour. Et il était de toute façon beaucoup trop fier pour avouer à cette dernière qu’il détestait la voir avec un autre.
Ce soir-là, ils avaient prévu de se retrouver chez elle, ils évitaient que cela ne devienne trop une habitude, car ils finissaient par se voir très souvent ces derniers temps, mais c’était avec plaisir et envie qu’Aiden avait accepté sa proposition de passer la soirée en sa compagnie. Il avait opté pour une tenue simple, sobre mais habillée. Il avait donc enfilé un jean qui le mettait en valeur et une chemise près du corps. Il savait très bien que Charlotte se glisserait dedans une fois leurs petites affaires terminées, et même s’il ne l’avouait pas, il adorait la voir dans l’une de ses tenues. Il connaissait le trajet jusqu’à son appartement par cœur et aurai été capable de le faire les yeux fermés. Même si d’ordinaire il s’y faisait conduire par son chauffeur il avait décidé de s’y rendre en moto. Les occasions de sortir son bolide étaient rares désormais, car il était bien souvent pris par le temps à cause de son travail, et profitait donc de ce moment-là pour utiliser son jouet préféré. Il mit alors sa veste en cuir qui lui allait comme un gant et sorti en direction du parking.

Une fois devant sa porte, il bouillonnait d’impatience de retrouver la demoiselle, agir tel en couple en public n’avait diminué en rien l’excitation  qu’ils avaient de se retrouver dans la sphère privée. Elle lui ouvrit alors et vint déposer un rapide baisé sur les lèvres du jeune homme. Il la regardait, des pieds à la tête avant de venir poser son regard dans ses yeux. Son regard en disait long sur les intentions qu’il avait pour cette soirée. Elle murmurait à son oreille qu’elle ne l’avait pas attendu, il lui sourit avant d’attraper rapidement le joint qu’elle avait dans la bouche, il n’y avait pas de raison que seulement l’un d’entre eux en profite. Sans dire mot il pénétrait dans l’appartement de celle qu’il devait appeler sa petite amie pour les médias. Alors qu’il tirait lentement sur l’objet dérobé, il déposa son casque sur la table avant de se rapprocher de la charmante demoiselle qui venait de faire une remarque sur sa tenue. Il adorait la voir ainsi vêtue, dans l’un de ses vêtements, qui lui allaient si bien. Il comprit rapidement qu’elle voulait installer un petit jeu de séduction avec lui, en apercevant que le pull n’était là que pour cacher des dessous on ne peut plus sexy. «  Hum » lâchât-il, un grand sourire aux lèvres. Elle l’embrassa alors, et il lui rendit son baiser, avec tout autant de fougue. Il posa alors ses mains sur les fesses de Charlotte, dans un premier temps par-dessus son pull, puis il fit passer ses mains en dessous du vêtement. Il l’embrassait fougueusement, en l’attirant vers lui par le bas de son corps. La température montait sensiblement entre eux mais cela aurait été trop facile de tomber dans son piège aussi rapidement. Il stoppa alors net, avant de lui dire «  tu ferais mieux de le garder, tu pourrais avoir froid »  et la pris dans ses bras, pour la porter. En point et en volume il la souleva et la tenait bien fermement. Si elle croyait qu’il l’amenait jusque dans son lit pour le début d’une nuit de folie, elle se mettait le doigt dans l’œil. Elle ne devait pas comprendre ce qui lui prenait. Il avait remarqué la bouteille de vin sortie sur la table et lui dit d’un ton autoritaire en se rapprochant de celle-ci « Attrape la bouteille et les verres ! » Il ne pouvait pas le faire lui-même puisque ses mains étaient déjà occupées avec le corps de la demoiselle.  Il la tenait suffisamment fort pour quelle ne puisse pas se défaire de son emprise, il avait une idée derrière la tête et ne voulait pas lui laisser l’opportunité de s’échapper. Il sorti de l’appartement, pris l’ascenseur qui se trouvait encore à son palier. A l’intérieur de l’engin il lui murmura dans l’oreille « Je t’emmène au septième ciel chérie » tout en riant. Une fois arrivés en haut de l’immeuble, il savait par où passer pour monter sur le toit et en quelque seconde ils s’y retrouvèrent. « Changement de décors ! » dit-il en la posant délicatement sur le sol. Il déposa un baiser sur son front, puis lui dit « j’avais envie d’admirer les étoiles ! » Qu’est ce qui lui avait pris de vouloir faire quelque chose comme ça, ça ne lui ressemblait pourtant tellement pas. Lui qui avait toujours fuit le romantisme comme la peste. Il voulait simplement faire languir Charlotte, elle qui voulait absolument une soirée torride devrait se contenter d’une veillée en amoureux. C’était bien fait. En réalité il utilisait ce stratagème comme d’une ruse pour l’énerver. Il savait très bien qu’elle ne voulait elle non plus aucune démonstration, et en agissant ainsi avec elle, il allait la faire rager. Elle devrait prendre son mal en patience avant d’obtenir ce qu’elle attendait tant. Il la fixait, son regard en disait long, et pourtant il était très fier de son plan. Lui aussi mourait d’impatience de pouvoir enfin succombait à la tentation mais pourtant le jeu en valait la chandelle.

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MessageSujet: Re: Hier encore mon coeur était sans voix, aujourd’hui tes baisers sont mes rois. Hier encore mon coeur était sans voix, aujourd’hui tes baisers sont mes rois. EmptyMar 26 Mai - 19:32


Hier encore mon coeur était sans voix, aujourd’hui tes baisers sont mes rois.



Charlotte & Aiden


Comment pouvons nous-définir la passion entre deux êtres ? Est-ce c’est quelque chose qui est comme le vent on ne peut pas le voir mais on peut le sentir ? Ou bien au contraire quelque chose que l’on perçoit mais qu’on ne s’avoue pas ? Si je devais prendre l’exemple sur Aiden et moi ça serait un peu des deux au final. Si nous n’étions pas ce que nous étions nous serions de parfaites âmes soeurs réunies dans deux corps que tout opposent. La belle et la bête, le loup et l’agneau, un coup ange, un coup démon était le glas de cette relation qui n’en était pas une à proprement parler. Le jeu du chat et de la souris, nous nous cherchions mutuellement jusqu’à ce que l’autre cède, c’était un jeu malsain mais après tout nous l’étions un peu. Personne ne pouvait nier l’attirance inévitable qui se créer entre nous, nous étions deux aimants qui s’attiraient à l’autre bout du monde et se retrouvaient à chaque fois. Une rencontre hasardeuse. On dit que le hasard fait bien les choses, est-ce que nous étions bien l’un pour l’autre ? Bonne question je ne saurais vous répondre, la seule chose que je pouvais vous dire c’est que seul cet être me procurait autant d’impatience mêlée à de la peur de décevoir à chaque moment. On ne se devait rien, c’était notre mot d’ordre on avait signé pour la liberté mais sommes-nous vraiment libre quand votre esprit est torturé quand vous imaginez l’autre dans les draps d’une autre… Je ne pouvais pas lui avouer que chaque aventures qu’il pouvait avoir agrandissait la blessure que j’avais. Pourquoi étais-je incapable de dire ce que je voulais réellement ? Pourquoi m’emprisonner dans un cercle que je savais viscérale ? Je n’étais pas le genre de femme à tomber amoureuse en croisant un sombre inconnu dans la rue. Il m’en fallait beaucoup et je savais que je ne ressentais pas de l’amour pour Aiden ou du moins je m’en persuadait. J’étais aussi possessive et même si je ne disais rien quand je le savais ailleurs je rongeait de l’intérieur, cela me poussait même à faire des choses que je ne ferrais jamais pour qu’il revienne vers moi systématiquement, pour mieux le repousser une fois la chose obtenue. Il était le serpent du jardin d’Eden il représentait toutes les tentations les plus inavouées et on ne pouvait pas l’attraper ni même le posséder. Je me souviens encore quand nous étions défoncés par je ne sais quelle drogue et que je lui avais proposé de faire semblant d’être ensemble. Je m’attendais à un simple refus de sa part et je n’aurai pas pu lui en vouloir mais ces mots résonnaient encore et encore dans ma tête « Tu as raison Charlotte, on n’a qu’une vie et je veux la passer avec toi, être à tes côtés chaque matin, et m’endormir dans tes bras chaque soir ». Il se foutait de moi, mais une part de moi espérait peut-être qu’une once de vérité se cacher dans ses dires. Il semblait convainquant et n’importe qu’elle autre fille aurait pu y croire mais j’avais mes réserves le concernant  alors j’avais rit à mon tour, un sourire arborant tout mon visage en lui disant les yeux dans les yeux « Il t’en aura fallu du temps pour me demander en mariage je m’attendais à mieux que ça quand même ». Bien-sûr que c’était faux que nous jouions sur les mots, on supportait pas les pantins mais nous étions que des pantins envenimé par la passion j’étais à sa coupe. Former un couple avec Aiden était la chose la plus improbable que j’aurai réalisé dans ma vie, tout d’abord car rien ne nous prédestiner à être en couple car nous en savions pas les uses et coutumes. Je n’avais jamais vu Aiden depuis que j’avais fais sa connaissance je ne savais même pas si pour lui le mot couple signifiait quelque chose. Cependant nous étions de parfaits comédiens, nous arborons les rues arpentées de New-York tel deux êtres innocents, lors de soirées mondaines je glissais ma main sur son torse avec un sourire évocateur, il me glissait un baiser sur ma joue tout en me maintenant le bas du dos. Nous étions même tellement forts que je commençais à me demander si cela n’était pas devenu naturel, après tout nous avions toujours étaient très proches au cours de notre existence peut-être était-ce le cheminement de toutes ses années de passion, personne ne savait.  Rien n’avait enlever cette passion qui émanait de nos deux corps, à chaque fois que nous nous retrouvions c’était comme la première fois, un tremblement de terre ne vous ferait pas autant de secousses au coeur. Il était la luxure incarné, grand, beau, charismatique, des yeux à vous faire perdre la raison. J’étais comme Phèdre face à Hippolyte « J'aime... à ce nom fatal, je tremble, je frissonne. ». J’étais plus l’ombre que de mon être je bouillonnais, je n’étais que flammes dévastatrices.  Quand je l’entendais à ma porte j’étais comme une âme furibonde rien ne me rattacher à mon canapé. Il décuplé tous mes sens, comme s’il actionnait en moi ma machine à hormones. Une fois sur le seuil de ma porte un sourire ne pouvait se contenir sur mes lèvres presque naturellement je déposais un baiser sur ses lèvres que je connaissais par coeur. Pour ne pas changer nos regards se croisaient et nous pouvions très bien tous les deux deviner ce que l’un voulait de l’autre. Ce n’était pas de la tendresse que je pouvais voir dans ses yeux, et j’aimais ça. Il m’arracha délicatement le joint qui avait élu domicile entre mes lèvres avant de s’aventurer dans mon salon. Je soufflais doucement comme si mon coeur était  sortit de mon corps sans prévenir. D’un pas décidé sans pour autant ne pas être élégant je me pavais devant lui seulement vêtue de son pull et de mes sous-vêtements. Le tenter était l’un de mes jeux favoris, la tentation était le maître mot de nos désirs nous étions insatiable de ce jeu, on se nourrissait sans cesse dans la douleur du désir. Il lâchait un hum, plus qu’un signal pour moi pour agir. Alors cette-fois ci je me cambrais sur lui pour l’embrasser pas du tout chastement. Laissant mes mains se poser autour de sa nuque pour avoir un appui. La fougue commençait à agir j’oubliais tout ce qu’il y avait autour de nous. Plus rien ne compter à mes yeux que de le posséder. Au contact de sa peau sur mes fesses, elles se contractaient presque instinctivement, je me retirais un instant de ce baiser pour le regarder, le souffle court, ma lèvre meurtrie par mon incisive. après une courte pause où nos regards se perdaient dans les yeux de l’autre. Il m’embrassait à nouveau avec cette fougue animale , m’attirant vers lui étant désormais à califourchon sur son corps. Avoir chaud serait un euphémisme, je brûlais au contact de sa peau, il était mon brasier. Alors que je glissais ma main sur sa chemise m’apprêtant à lui retirer les boutons de sa chemise. Il posait sa main sur la mienne et me stoppa net. Mauvais coup Aiden. Je raclais ma gorge, presque comme une enfant qui n’avait pas eu sa sucrerie. Mais ce qu’il fit m’étonna, il me prenait dans ses bras , impossible de me débattre j’avais essayé pourtant mais il me maintenant fermement pour ne pas que je bouge. Je me pinçais les lèvres et préférait me murer dans un silence que de lui donner satisfaction. Il me penchait pour récupérer le vin et les verres, heureusement pour lui j’avais mon tabac à rouler et mon pochon dans mes sous-vêtements je prenais juste mon téléphone que je calais entre mes seins. Non je n’allais pas filmer mes ébats mais c’était comme un réflexe pour moi. Alors que je pensais qu’on se dirigeait vers la porte de ma chambre le jeune homme me sortait de l’appartement je le regardais en arquant un sourcil et avant que je puisse lui dire quoique soit nous étions dans cet ascenseur plaqué l’un contre l’autre. Ce qu’il me murmurait à l’oreille me faisait rire je lui répondais alors presque au tac au tac « Je n’ai pas besoin d’un ascenseur pour te faire monter au septième ciel chéri ». Nous arrivions quelques secondes après sur le toit, il me déposait à terre je mettais quelques secondes à reprendre mes esprits, je ne comprenais pas ce qu’il lui arrivait, mais je le laisser pour une fois mener la danse. Il m’embrassa sur le front en me sortant la chose la plus fleur bleue de l’univers, un rire s’échappait de mes lèvres. Je me dégager de son emprise sans un mot, posant la bouteille à terre, les verres à côtés. Puis je me mettais face à lui pas assez proche pour ne pas qu’il puisse me toucher je posais mon portable sur le rebord du toit, avant de sortir mon artillerie lourde. Sans le regarder je lui disais d’un ton presque blasé «  Donc tu veux admirer les étoiles… » Un sourire puis un secouement de tête désapprobateur  je souriais. Je commençais à rouler un joint bien chargé en levant cette fois ma tête quand ma langue glissait sur la feuille avant que je le roule. Je l’allumais en prenant une grande inspiration afin de me donner comme du courage sur ce que j’allais faire. Puis je m’avançais vers lui en lui glissant le joint dans les lèvres en lui disant à l’oreille « Tu voulais voir les étoiles, admire le spectacle ». Tu veux jouer Aiden pas de problèmes, jouons. Il faisait légèrement frisquet dehors mais je n’avais pas peur du froid je savais comment me réchauffer. Je prenais la bouteille de vin, l’ouvrant presque facilement, me servant un verre. Tout en ne le lâchant pas un mot, puis je posais mon verre sur le rebord du toit, je prenais mon portable pour déclencher une musique pas n’importe laquelle celle de Portishead- Glory Box. Une fois que la musique se lançait je ne le lâchais pas des yeux tout en me déhanchait au rythme de la musique tout en enlevant son pull en le jetant à mes pieds.   Je fermais les yeux profitant de ce moment, les lumières de New-York donnait assez de lumière pour m’éclairer Aiden pouvait voir des touches de couleur sur mon corps, je buvais une gorgée de vin tout en me laissant enivrait par la musique. Etant en sous-vêtements devant lui je m’avançais d’un pas de louve le sourire aux lèvres je tendais ma main vers lui «  Vous m’accorderez une danse Monsieur Williamson ? ». Mon corps tremblait au toucher de sa peau contre la mienne, je n’avais pas besoin de chauffage ni de pull  seulement de lui…


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MessageSujet: Re: Hier encore mon coeur était sans voix, aujourd’hui tes baisers sont mes rois. Hier encore mon coeur était sans voix, aujourd’hui tes baisers sont mes rois. EmptyJeu 30 Juil - 22:20

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