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then another one bites the dust.. (edea)

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MessageSujet: then another one bites the dust.. (edea) then another one bites the dust.. (edea) EmptyVen 27 Mar - 16:34

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Les bagages sont posés depuis quelque temps à peine à New-York et déjà, je regrette ma précédente ville, Las Vegas. Je regrettais tout. L'ambiance festive, les casinos, les clubs branchés, le paysage désertique derrière et un certain Russe dont j'ai dû me séparer. Autant annoncer la couleur, je n'ai pas choisi cette nouvelle ville pour moi, mais bien pour mon frère jumeau et ma fille, puisqu'aucun des deux ne semblait s'épanouir dans le coin. Le premier était devenu le roi de la débauche et la seconde était, en fin de compte, bien trop jeune pour une ville si animée. Alors me voilà dans la Grande Pomme, pas complètement heureux dans le fond. Alors que la nuit vient de s'installer et que ma fille, Sara, est occupée à jouer avec ses poupées, je me surprends à observer une photo de Pavel sur mon téléphone. Il me manque et c'est dur de le savoir si loin, même s'il est hors de question de mettre un terme à nos trépidantes aventures. Elles seront simplement moins fréquentes, mais tout aussi intenses, si ce n'est plus. Trois coups contre la porte de bois me font sortir de ma rêverie actuelle et me pousse à ouvrir. Une silhouette de déesse se dessine sous mes yeux : une rouquine au charme irrésistible et aux atouts bien chargés. Un clin d'œil plus tard, et je fais entrer la demoiselle dans l'appartement. Non, ce n'est pas une prostituée, vous allez chercher ça où ? Un peu de tenue devant ma fille. « Sara, je te présente Emily, elle sera ta baby-sitter pour la soirée. » Ma fille lève la tête et hausse un sourcil en dévisageant la jeune femme qui lui adresse un signe de la main. « Il est où tonton Kenzo ? » Évidemment, tonton Kenzo a toujours été le seul a qui je confiais Sara lorsque je sortais pour décompresser, mais depuis qu'il l'a laissé une fois seule chez lui la nuit afin de profiter de la vie nocturne de Las Vegas, je ne lui fais plus confiance sur ce plan. « Il travaille tard ce soir, il ne peut pas te garder. Je ne rentrerais pas tard ma chérie. Tu vas être sage avec Emily et faire ce qu'elle te dit. » La fillette s'approche de moi et je la prends dans mes bras pour un dernier câlin et un dernier bisou. « Je t'aime, papa. » « Moi aussi ma grande. » Un fin sourire a fait son apparition sur mes lèvres et après un dernier baiser sur son front, je la pose à terre. Attrapant ma veste sur le porte-manteau, je donne les derniers conseils à la baby-sitter et m'éclipse enfin. Quelques jours plus tôt, j'avais fait la connaissance d'une bande d'amis de mon âge à la salle de musculation du coin et nous avons de suite sympathisé au vu de nos centres d'intérêts plus ou moins similaires. Nous avons décidé de faire une virée entre célibataires dans un bar du coin, histoire de passer un peu de temps ensemble et de draguer quelques demoiselles. « J'ai quarante ans et non pas trente comme j'aime à le prétendre. Mariée, mais loin d'être heureuse en ménage comme le prouve cette trace blanche à mon doigt, signe que je porte une bague en journée. Pas si féminine que ça, j'ai posé à la hâte mon vernis à ongles et je ne suis pas du genre à porter des talons puisque je manque de me ramasser tous les deux mètres. » Rire général et langues qui claquent suivent cette interprétation d'une femme qui se tient seule au bar, sirotant ce qui semble être un cocktail sans alcool. Pitoyable. {b]« Deux minutes et j'obtiens le numéro de téléphone de ce canon. »[/b] L'un des types termine sa bière et se lève sous les moqueries des autres qui se disent qu'il a raté d'avance son coup. « Vingt dollars que je rentre avec cette blonde ce soir. », lançais-je en signe de défi tout en désignant la jeune femme qui vient d'entrer dans le bar d'un bref coup de tête. J'avale d'une traite le reste de whisky se trouvant dans mon verre et réajuste ma chemise tout en fondant sur la blondinette que je venais de prendre en chasse. Elle s'apprête à commander un verre, mais je m'interpose entre elle et le barman. « Salut. Moi c'est Rayan. Je peux offrir un verre à ce visage d'ange ? » Cucul la praline sur le retour, je n'ai presque pas dragué de femmes depuis... bien des semaines. Le début d'année a été des plus mouvementé, à dire vrai. J'ai été en couple avec une certaine Lubja pendant un temps, m'éloignant ainsi des soirées de débauches auxquelles je m'étais habituée, mais autant dire que notre relation a pris feu au bout de quelques jours à peine, lorsque je l'ai trompé une première fois avec Pavel. Puis cela a perduré et j'ai rompu avec elle, sans pour autant lui avouer avoir eu d'autres aventures, peu avant mon départ pour Las Vegas. Même dans cette ville, je n'ai été l'amant que d'une seule et unique personne. À croire que le roi du batifolage a cédé son trône et qu'il cherche toutefois à le reconquérir. Un sourire charmeur étire mes lèvres alors que je me penche quelque peu sur le visage de cette jeune inconnue. « Que fait une ravissante femme comme vous, seule dans un bar à une heure aussi tardive ? » Malgré le sourire que je laisse apparaître, je suis mal à l'aise. Quelque part au fond de moi, une flamme s'est éteinte, et je ressens soudainement ce besoin de la raviver coûte que coûte.
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MessageSujet: Re: then another one bites the dust.. (edea) then another one bites the dust.. (edea) EmptyDim 29 Mar - 1:39


    Rayan & Edea
    « then another one bites the dust.. »


    new york city ;; il y a quelques mois. La grande pomme n’avait plus aucun secret pour moi après un peu plus de deux ans et demi ici. J’adorais cette ville, mais la présence de mon oncle devenait de plus en plus insupportable chaque jour au point même où je ne rentrais plus de suite après mes services dans un bar du Bronx. Je savais que ce quartier de la ville n’était pas des plus fréquentable, et pourtant être serveuse ou barmaid – car oui il existe une différence entre les deux – était l’une des seules choses que je savais faire hors mis le maquillage. J’entendais toujours en boucle les mêmes choses « Tu crois vraiment que tu vas faire ça toute ta vie ? » « Il serait temps que tu prennes ton avenir en main » « je ne t’ai pas accepté ici pour que tu sortes tous les soirs jusque pas d’heure » Tant de blabla qui ne m’atteignait même plus avec le temps. A force, je faisais de la colocation avec lui plus qu’un simple respect envers cet oncle qui m’avait ouvert les portes des Etats-Unis. Je n’avais plus de parents, ce n’était donc pas lui qui allait me dicter ma conduite. Surement pas. Ce qu’il ne savait surement pas, c’était que toutes les payes que je me faisais, je les mettais directement de côté pour dire de pouvoir partir de chez lui. J’étais restée en contact avec Calista, et elle souhaitait que je vienne la rejoindre à la Nouvelle-Orléans. Au moins, je savais qu’avec elle, ça se passerait bien. Même si ce n’était pas la jeune femme la plus joyeuse au monde, mais j’allais essayer de récupérer cette petite étincelle en elle. Me voilà Edea en bonne samaritaine, la bonne blague.
    Je me préparais pour aller travailler. J’enfilais une robe noire, très proche du corps, et mes talons. Je savais que s’était risqué d’aller travailler dans cette tenue. Mais je ne me voyais pas y aller en col roulée. Rien que l’idée me faisait frissonner de dégout. Le taxi arrivait bien trop vite à mon goût sur le lieu de mon travail. Un passage par les vestiaires pour déposer mes affaires, je jetais un coup d’œil dans le miroir en resserrant ma queue de cheval. Tout comme les autres jours, je me sentais belle, prête à faire vendre des boissons à tout va et faire gagner une bonne petite somme au bar.
    Le bar était déjà bien peuplé qu’on entendait brailler à dix milles un groupe de jeunes mecs surement venus trompaient leurs copines à la première occasion venue. Je levais les yeux au ciel quand l’un d’entre eux venait surement commander pour le reste de la table. Maladroitement, le mec tentait de me faire les yeux doux. Vu son air d’ivrogne, il ne risquait pas d’obtenir grand-chose de ma part, hors mis le râteau de l’année.
    Mon service se passait exactement de la même façon toute la soirée. C’était dans ses moments-là que je me disais qu’être belle n’avait pas que des avantages – modestie quand tu nous tiens. Se faire draguer, rembarrée, avoir un mec vexé qui vous parle comme une bonne à rien, le voir partir, et en rire. Les hommes étaient tous les mêmes. Quand je voyais tout ça, s’était une de mes raisons de ne pas m’engager avec un homme. Pour l’instant, je n’en avais aucunement l’envie. Surement parce que l’homme en lui-même était décevant. Il n’y avait qu’à voir mon père…

    Je terminais mon service, il était près de deux heures du matin, et je n’étais pas décidée à rentrer. Je récupérais mes affaires et passer par le côté client pour prendre un verre moi aussi. « Tu me sers un cosmopolitain s’il te plait » demandais-je à ma collègue gentiment. Mauvaise idée, j’étais à peine servie qu’un garçon, plutôt mignon tout de même, venait de s’installer à côté de moi. Je souriais à ses paroles, surement trop ivre pour voir que je venais d’être servie. Je me tournais vers lui. « Le visage d'ange te remercie, mais je viens juste d’être servie. Alors je te propose un truc, retourne voir tes amis leur dire soit que non, je ne suis pas intéressée, ou soit que tu as perdu ton pari. » Blonde, mais pas conne. Des mecs comme lui il y en avait tous les soirs avec le même refrain que ça en devenait lassant presque. Mais parfois s’était drôle à voir. « Elle est là parce qu’elle a servi toute la soirée des hommes comme toi, et qu’elle a bien besoin de se détendre aussi. » déclarais-je aussi banalement que possible. Je jouais avec mon verre en face de moi, bien plus que de le boire. Ce qui était assez sympathique, c’était que malgré le fait de l’avoir envoyé balader, il était encore là. « Alors dit moi, combien avais-tu parié avec tes potes et pour quoi ? Si tu me donnes la moitié, je pourrais bien réaliser ce défi… » ça dépendait de la somme pariée, ou alors de la tronche des mecs qui l’accompagnaient. « Edea. » lui dis-je tout simplement en guise de présentation. Pas besoin de débattre plus que ça, demain ça n’aurai plus aucune importance. Je lui accordais un sourire. Qu’il prenne pas ça pour un acquis, c’était loin d’être le cas.
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MessageSujet: Re: then another one bites the dust.. (edea) then another one bites the dust.. (edea) EmptyLun 27 Avr - 14:19

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J'ai un sacré train de retard face à cette ravissante créature, merci à cette sacrée dose d'alcool qui doit couler dans mes veines depuis bien des heures maintenant. C'est à peine si je tiens correctement debout, une chance que je puisse m'accouder contre le bar afin de ne pas me retrouver en un rien de temps le nez rivé sur le sol. Fronçant les sourcils, je me rends compte qu'elle a raison et qu'un verre prône déjà devant elle. Too late, Rayan, t'es vraiment à la ramasse et pas que ce soir, cela dure depuis des semaines maintenant. Il serait peut-être temps que t'arrêtes de déconner. Mon regard reste rivé sur la jeune femme alors que j'affiche un sourire des plus béats, ce genre de sourire qui ne ment pas : vous êtes alcoolisé des pieds à la tête et un rien serait vous faire craquer. Fronçant les sourcils, je mets un certain temps avant de me rendre compte qu'elle n'est en rien en train de me mentir : il s'agissait bien de la serveuse qui se trouvait de l'autre côté du bar il y a encore quelques minutes de cela. Et dire que je n'avais à peine prêté attention à cette dernière lorsqu'elle était de service... Cependant, je n'allais en rien me contenter d'une défaite. Mon objectif était fixé et je comptais bien repartir au bras de cette créature de rêve. Pas de marche arrière possible, j'avais une réputation à sauver.  « Vingt dollars que j'allais rentrer avec toi ce soir. C'est pas que tu n'en vaux pas plus, c'est juste qu'avec tout ce qu'on a bu, on a un budget plus que limité à c'te heure-ci. » Ou comment essayer de sauver la façade bien que le mur est littéralement en train de s'effondrer. Rien de bien n'arrive après deux heures du matin, c'est bien connu depuis que j'ai quitté San Fransisco. Edea, le tout accompagné d'un sourire. Finalement, la partie ne semble pas perdue, bien qu'elle ne soit encore en rien gagné. À moi de tirer les bonnes cartes pour arriver à mes fins comme j'en avais toujours eu l'habitude. « Et comment ça des hommes comme moi ? Contrairement à la plupart d'entre eux, je ne cherche pas à amadouer la barmaid pour avoir mes consommations à moitié prix. » Je cherche simplement à m'attirer d'autres faveurs bien plus intéressantes, mais passons. Je me tourne finalement vers la jeune femme ayant remplacé Edea à son poste et commande un verre de whisky. Un dernier pour la route, un dernier dans l'espoir de conclure une affaire qui durera sans aucun doute plus de deux minutes, mais peu importe. Ce pari semble à des années-lumière de moi. « Cependant, j'avoue préférer la voir de l'autre côté du comptoir afin de ne pas avoir le moindre ennui avec le patron pour faire du charme à son employée en plein travail. » Maintenant, personne ne pourra rien me dire et l'on pourra encore moins me mettre à la porte. Sauf si mademoiselle se décidait à me mettre des bâtons dans les roues, dans quel cas, je n'ai aucun doute quant au fait que l'on se fera un plaisir de me faire sortir d'ici à coups de pompes dans les fesses. Mes yeux dansaient avec fascination tandis que je contemplais le liquide ambré qui ondulé dans mon verre alors que je faisais tourner ce dernier. C'était sans aucun doute le verre de trop, mais quitte à passer pour un abruti de service ce soir, autant ne pas s'en rappeler après une nuit de sommeil qui s'annonce d'ors et déjà des plus atroce. Par moment, j'ai l'impression d'être à nouveau ce jeune garçon qui gambadait en Israël, insouciant, peu conscient de son pouvoir de séduction et ne s'intéressant en rien à la gente féminine ou même masculine. En fin de compte, je me sens seul, presque vide et tout cela, je le dois à mon déménagement et à ces nombreux kilomètres me séparant de la seule personne pour qui j'éprouve véritablement quelque chose. « Et si on oubliait cette histoire de défi ? Qu'est-ce qu'une ravissante demoiselle comme toi fait constamment derrière ce comptoir alors que je suis sûr qu'elle a du potentiel pour faire autre chose ? » Dans le genre j'aime juger le travail des autres, il n'y a pas mieux. J'ai cruellement besoin de me reprendre en main et de ne pas me laisser abattre. Edea est une bonne raison pour me laisser aller ce soir, charmante à souhait et intelligente, elle avait absolument tout pour plaire. Mais connaissant ma chance avec les blondes, la soirée allait très probablement virer au fiasco.

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MessageSujet: Re: then another one bites the dust.. (edea) then another one bites the dust.. (edea) EmptyMar 26 Mai - 16:59


    Rayan & Edea

    « then another one bites the dust.. »


    Des hommes bourrés j’en croisais à la pelle ici. Rare était de ceux pour qui je portais un quelconque intérêt. Et j’avais développé un sens très développé pour les rembarrer avec une délicatesse que je ne connaissais pas du tout. Arrivé à un certain stade de la soirée, ou surtout à un certains nombres de verres, les sous-entendus n’étaient pas du tout entendu. Autant y allait avec de la franchise. Leur point faible étant de les attaquer sur leur virilité même. Mais là, c’était assez drôle. Rayan ne devait pas avoir assez de fierté pour continuer à rester là, à tenter de m’impressionner alors qu’il n’avait très certainement aucune chance. Mais il signait et persister. Et puis, même si l’alcool donnait du courage, il semblait un peu moins convaincu de lui-même. Je devais avouer également qu’il ne semblait pas méchant, peut-être pour ça qu’il n’avait pas pris mon verre en pleine tête histoire de montrer à ses amis à quel point il était d’une nullité sans pareil. Un pari à vingt dollars, et il ne voulait pas que je me sente vexée ? Non mais, c’était une blague à lui tout seul cet homme. Et puis venir dans un bar avec un budget limité, c’était un peu dommage. « Je pensais qu’un homme quand il avait bu se prenait pour un homme beau, poète, intelligent, mais surtout riche. Apparemment, tu n’es pas encore assez bourré pour ça. » dis-je en lui rigolant au nez. Ce que j’aimais avec les états d’ébriétés, c’était que les vrais aspects de l’être humain étaient bien souvent révélés. Il y avait tellement de chose que l’on cherchait tous à cacher au quotidien, que les inhibitions n’existaient plus lorsque l’on avait plusieurs verres dans le nez. Non pas que j’approuvais les gens qui devenaient alcooliques avec le temps, mais boire de temps en temps avec des amis ne me déranger absolument pas. Tant que je gardais le contrôle de ce que je faisais, bien sûr. Je me croisais et décroisais mes jambes, changeant de positions. Mes jambes ne ressentaient pas le mal d’être débout sur des talons pendant des heures, l’habitude étant là. Juste que je tenais rarement en place, j’adorais bouger, peu importe pour quoi faire. Si je devais donner une raison pour laquelle être barmaid ne me déranger pas, celle-là en ferait partie. « Tu étais bien trop occupée à être avec tes amies, qu’à nous soudoyer, je suis d’accord… » Là-dessus, j’étais bien d’accord avec l’homme en face de moi. Pas une fois, il n’avait tenté quoi que ce soit. On ne pouvait pas forcément en dire autant des gens qui l’accompagner. « … Quand je parle d’hommes quoi toi, je parle d’hommes qui cherche à oublier leur quotidien dans un bar paumé de New York. » Je lui souriais, il n’y avait rien de bien méchant dans ce que je disais, mais c’était la triste de réalité. La plupart des hommes ici ne cherchait rien de plus soit à oublier leur célibat et refaire le monde avec leur amis, ou alors à fuir leurs femmes chiantes et insupportables ainsi que le petit nid douillet qu’ils ont cherché à se faire. Par contre, je rigolais quand il évoquait de draguer l’employée qui avait fini son travail. « Alors, c’est ça ton plan de la soirée ? Me faire du rentre dedans, jusqu’à ce que je cédes ? » je le fixais droit dans les yeux en reprenant une gorgée de mon Cosmopolitan. Une boisson que je chérissais beaucoup. En un seul verre, elle avait le don de savoir me détendre, sans forcément me faire planer, juste être bien. Rayan était fixé sur son verre. Pour un plan drague, il ne semblait pas être très doué, et ça me faisait sourire. J’avais bien fait de lui accorder une chance de rester à côté de moi ce soir, la situation m’amusait. Et je n’avais pas rentré plus tôt chez mon oncle de cette façon-là. Par curiosité, je jetais un coup d’œil à sa table d’amis, qui semblait ne même pas s’intéresser à ce qu’il faisait. Ils devaient juste attendre que je réalise son défi, un baiser ou une connerie du même genre. On savait toute que le cerveau de l’homme ne se trouvait pas dans la tête. « Qui te dit que je ne fais pas autre chose à côté de ce travail ? » Le compliment, si ça en était un, me fis plaisir. Même s’il était juste basé sur mon physique et non sur mes capacités. Mais c’était mon physique qui faisait mon activité à côté de ce travail. « Je fais des vidéos de make-up sur YouTube. » Je souriais de nouveau, ma vraie passion était là. Bien plus que les alcools de ce bar. Depuis toute petite j’adorais le maquillage, j’attendais juste d’avoir ce qu’il me fallait comme diplôme pour en faire mon métier. « Et toi, pourquoi as-tu fini dans ce bar ? Surement pas pour mes beaux yeux, étant donné que tu ne les remarques que maintenant. » Je le taquinais, étant donné qu’il n’était pas très sûr de lui, je m’amusais à essayer de le déstabiliser un maximum. De façon gentille bien sûr. Il n’avait pas grand-chose à voir avec les autres hommes bien plus vulgaire, et entreprenant sans même avoir dit ‘’bonsoir’’.

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MessageSujet: Re: then another one bites the dust.. (edea) then another one bites the dust.. (edea) EmptyLun 24 Aoû - 18:06

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