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cause she's just like the weather, can't hold her together ~ nina

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MessageSujet: cause she's just like the weather, can't hold her together ~ nina cause she's just like the weather, can't hold her together ~ nina EmptyLun 29 Sep - 17:13

Cause it's you and me and all of the people with nothing to do, nothing to lose
And it's you and me and all of the people and I don't know why I can't keep my eyes off of you

Nina Fitzmartin and James Carmichael.

Il est élégant ce soir, James. Affublé d'un costard cravate bleu marine, il a pris grand soin de ne laisser aucun détail au hasard, qu'il s'agisse de sa chevelure légèrement décoiffée ou du nuage de parfum qui le suit à la trace, imposant mais jamais envahissant. C'est le James des grands soirs qui s'apprête à quitter la demeure qu'il partage avec la plus insupportable des coloctaires, plus qu'heureux de faire remarquer à cette dernière qu'elle n'a - pour l'instant - rien de prévu pour sa soirée. « Pas trop de folies ce soir Helsye ; tu m'as pas l'air partie pour de toute façon. » prend-t-il un malin plaisir à faire remarquer, un rictus satisfait au lèvres. Il reçoit en guise de réponse une grimace et un geste obscène de la main, avant d'esquiver habilement le coussin sur lequel la tête de la brune reposait quelques instants plus tôt. Il glisse son portable, son portefeuille et ses clés dans la poche intérieure de sa veste avant de s'éclipser, évitant une nouvelle attaque de sa colocataire déchaînée. Elle aurait été moins chiante qu'il ne l'aurait pas autant appréciée. C'était de ces taquineries constantes qu'était fait son quotidien, et s'il avait largement les moyens de se payer un appartement sans avoir besoin de partager le loyer, il lui avait pourtant préféré cette alternative. Le seul point négatif résidait dans son manque de liberté quand à la compagnie qu'il souhaitait de temps à autre ramener chez lui. Dans le cas où Helsye était elle aussi en vadrouille, il avait tout le loisir de profiter d'un appartement vide. Or, lorsque l'envie lui prenait de saboter sa soirée (par ennui ou véritable passion, allez savoir) elle était réellement douée. Heureusement n'a-t-il pas l'intention de ramener quelqu'un ce soir, puisque c'est Nina qu'il est sur le point de rejoindre. Nina qu'il avait tout bonnement fallu forcer, ni plus ni moins, pour qu'elle accepte d'aller boire un verre - car c'était ça le deal : un verre et c'est tout - avec lui au DNA Lounge. Ce qu'il ne fallait pas faire pour qu'elle se mêle aux autres, celle-là. Heureusement avait-il en fin de compte réussi à la convaincre, quand bien même il n'excluait pas la possibilité qu'elle lui pose un lapin. Afin de s'assurer que ce ne serait pas le cas, il s'empare de son portable et compose le numéro de la blonde. Elle décroche après trois sonneries. « C'est moi, je voulais m'assurer que tu venais toujours. On a rendez-vous dans vingt minutes, tu se souviens ? T'es en route ? Génial. » Il raccroche rapidement et grimpe dans le taxi qu'il a appelé quelques heures plus tôt. Pas question de prendre sa voiture tout en sachant qu'il y a une forte probabilité pour qu'il rentre à son domicile ivre mort - ou qu'il ne rentre pas du tout. La voiture a démarré depuis moins d'une dizaine de minutes qu'il compose de nouveau le numéro de Nina. « Plus que dix minutes. T'as pas fait demi-tour j'espère ? Non parce que je suis pas loin de chez toi là, donc si t'as décidé de rentrer je viendrais te chercher s'il le faut. » elle ronchonne longuement, et finit par arriver au point que tout le monde finit éventuellement par atteindre après une conversation trop longue avec James : l'insulter. « Ravi de voir que tu as de l'énergie à revendre, ça va être une sacrée soirée ! On se voit dans... huit minutes maintenant. Sois pas en retard. » Si elle n'avait pas eu l'intention de faire demi-tour jusqu'à maintenant, il ne faisait aucun doute que l'idée lui traversait à présent l'esprit. Pour autant doit-elle avoir le bon sens de se décider à le supporter le temps d'un verre, plutôt que de ne pas céder à sa demande et d'en payer toutes les lourdes et agaçantes conséquences par la suite. Il finit toujours par l'avoir à l'usure, Nina. Et ça ne lui déplaît pas plus que ça de devoir user de son imagination, de stratagèmes et autres pièges pour passer du temps en sa compagnie. Evidemment ne se serait-il pas donné la peine de déployer tant d'efforts s'il n'était pas certain que, quelque part, la jeune femme appréciait sa compagnie. Demoiselle inaccessible qu'il était si difficile d'approcher, il n'y avait à sa connaissance qu'une petite poignée de gens avec qui elle daignait passer son temps. Et encore, même lorsqu'elle était assise à la même table qu'un ou une de ses "amis", elle ne levait généralement pas les yeux de son carnet de croquis. Il avait fini par s'y faire, James. Il l'empêchait parfois de dessiner en lui prenant son crayon, ou simplement en la déconcentrant avec tant d'ardeur qu'il était impossible pour elle d'esquisser le moindre trait. Puis d'autres fois, il se contentait de la regarder faire silencieusement, le regard attentif, ce qui semblait l'agacer encore plus que lorsqu'il tentait de l'en empêcher. En somme, Nina Fitzmartin était un véritable livre ouvert. Ecrit en coréen. « Ah, Nina ! Tu es venue finalement ? » s'exclame-t-il alors qu'il entre dans le bar et se dirige vers une chevelure blonde au comptoir. Lui est bien évidemment arrivé en retard d'un quart d'heure, ce qui doit rentre la jeune femme folle de joie tant elle est à l'aise en société. A mesure qu'il se rapproche, il paraît de plus en plus embarrassé tandis qu'il la dévisage de haut en bas. « Je sais que c'est pas la soirée du siècle mais t'aurais tout de même pu faire un effort vestimentaire... » dit-t-il en prenant un air faussement mal à l'aise. Il s'installe finalement sur la chaise à ses côtés, prenant soin de la rapprocher d'elle avant de s'y installer. Face à son regard accusateur, il prend un air innocent et hausse les épaules. « Pas besoin de t'énerver, c'était ça ou un compliment, et tu réagis bien trop mal aux derniers pour que j'ose t'en faire un. » siffle-t-il avec toute l'honnêteté du monde. Bien évidemment, les yeux levés au ciel et autres soupirs de Nina ne l'avaient jamais empêché de faire quoi que ce soit, auquel cas il n'aurait tout simplement rien pu dire ou faire en sa compagnie. Mais quand même, elle accueillait généralement les compliments d'une façon si stoïque qu'on aurait cru l'avoir offensée. « Mais je vais faire une exception ce soir, parce que tu es particulièrement jolie. » Passé comme une lettre à la poste. Il affiche un mince sourire avant de s'approcher vivement de la jeune femme et de déposer un baiser furtif sur le sommet de son crâne. Tout n'est qu'agilité et bon timing avec Nina, qui n'entreprend tout bonnement aucun contact physique à son égard tandis que lui les lui impose le plus souvent. Avant qu'elle n'ait pu entreprendre le moindre geste pour l'éviter ou le repousser, James a retrouvé sa place et s'adresse à présent au barman. « On va vous prendre deux cocktails maison. » Son interlocuteur jette un regard au verre déjà présent face à Nina, que James s'empresse de dénigrer d'un geste de la main. « Je n'ai aucune idée de ce qu'elle boit, mais ça ressemble bien trop à un soda à mon goût. » réplique-t-il en fronçant les sourcils, visiblement insatisfait du choix de boisson pas assez alcoolisé de la jeune femme. Le barman acquiesce et s'empresse de préparer leurs cocktails tandis que l'australien reporte son attention sur Nina. « Tu as remarqué ? Je me suis fait tout beau ce soir. » Pour toi, pour la gente féminine du bar ? Qui sait. 
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Nina Fitzmartin
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Nina Fitzmartin
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MessageSujet: Re: cause she's just like the weather, can't hold her together ~ nina cause she's just like the weather, can't hold her together ~ nina EmptySam 4 Oct - 14:51

“ You and me
Me and you
I can't hide it anymore ”

Ce qu'il pouvait être agaçant, à l'appeler de la sorte et à persister pour prendre la température toutes les vingt minutes, et connaître l'état de son avancée tout sauf fulgurante vers le bar où ils s'étaient donné rendez-vous. Ou plutôt où il l'obligeait à se pointer à l'heure, sous peine de devoir le subir beaucoup plus fréquemment dans son quotidien. Et le pire c'est qu'il prend à peine le temps de parler clairement, voir même de respirer, entre deux suppliques. Oui, elle s'était préparée. Elle s'y préparait depuis des jours et des jours, à aller boire ce satané verre avec James. Elle s'y était préparée mentalement, essayait de se convaincre que ce n'était qu'une soirée et que ça ne durerait pas trop longtemps. De toute façon, elle ne le permettrait pas. Mais surtout que ça ne se passerait pas comme les autres fois, où elle était la potiche, la troisième roue du carrosse. Celle dont il se lassait après quelques gorgées, et qu'il troquait pour un modèle plus plantureux, plus ouvert tant au niveau de l'esprit que des cuisses (surtout). Que cette soirée serait différente, qu'il la passerait avec elle seulement, non avec le tout San Francisco entassé dans un petit bistrot grotesque. Là résidait la seule raison qui l'avait poussée à accepter. Ça et puis l'usure, de toute évidence. Le sourire, aussi. James l'avait tellement bassinée qu'elle y croyait, au moins un peu. Comme à chaque fois. Et comme à chaque fois, elle serait très probablement déçue. Mais à quoi bon résister, quoi qu'elle puisse faire croire, elle ne pouvait rien lui refuser. En pénétrant dans le DNA Lounge, Nina attira les regards sans même s'en rendre compte. Elle arbore un maquillage léger, mais pétillant grâce à un rouge à lèvre qu'elle avait acheté il y a de ça des mois, et qu'elle osait enfin porter après maintes hésitations. James avait grand intérêt à le remarquer, pour l'effet que ça représentait pour elle. Elle porte un ensemble simple : jean bleu marine fendu au niveau du genou, un tee-shit blanc à manches courtes et une veste en cuir marron foncé. Ses cheveux blonds encadrent son visage de poupée, et virevoltent au gré de ses pas lorsqu'elle s'installe enfin au comptoir. Seul. Elle déteste ça. Elle aurait préféré qu'il soit là avant elle. C'est la moindre des choses non ? Puisqu'il l'invitait à se joindre à lui. Elle patienta quelques secondes, qui se transformèrent en longues minutes qui la plongèrent dans une petite agonie mesquine. Le barman, ayant probablement pitié, déposa un coca devant elle et lui adressa un sourire qu'elle tenta de lui rendre, sans grand succès, avant que James ne daigne enfin se joindre à elle. Ses doigts agrippèrent le bord du comptoir, alors qu'elle tenta de se persuader que le meurtre n'était peut-être pas l'idée du siècle. « .Je pourrais te poser la même question, je désespérais de te voir arriver. Mais bon, j'imagine que tu as perdu un temps fou à essayer de m'appeler pour rien. » rétorqua-t-elle amèrement.  Il se permettait de la tracer au téléphone, et arrivait en retard, la belle ironie. Quel connard, songea-t-elle, sans prendre la peine de le regarder. Faisant mine de siroter son précieux coca, qu'elle n'avait de toute évidence pas touché (on ne sait jamais où ce verre-là à traîne ni qui pouvait l'avoir nettoyé), Nina se contracta à la réflexion désobligeante de Carmichael sur sa tenue. En le contemplant, elle eut même tout le loisir de constater sa gêne et devina qu'elle lui faisait à présent honte. Ou bien était-ce son esprit qui fit la déduction seul, alors que James surjouait, comme il avait pris l'habitude de le faire ? Elle tombait dans le panneau à chaque fois, et y sautait à pieds joints de nouveau. Mais pourtant, elle a fait l'effort de mettre son plus joli rouge à lèvre… Ce qui n'était visiblement pas assez pour lui qui les préférait bien plus maquillées, bien moins habillées donc en d'autres mots : vulgaires. Et il en rajoutait en plus. Elle réagissait mal en plus ? Connard. Elle afficha une mine à la fois déçue et contrite, bien incapable de cacher ses émotions et en particulier devant James, pour qui elle essayait pourtant de toutes ses forces. Déçue de ne pas être à la hauteur de monsieur et de ne pas être capable de lui plaire, et gavée d'être agressée d'entrée de la sorte. « .Va te faire voir, ça te va ça ? Si t'es pas content, t'as qu'à le dire et je rentre chez moi. » finit-elle finalement par lâcher avec aigreur. Elle pouvait le planter là, comme ça, si elle le voulait. Partir dans le premier taxi et décréter qu'il ne valait plus le coup de faire des efforts, de mettre sa véritable nature de côté et qu'elle ne voulait plus lui adresser la parole avant l'apocalypse. Son compliment médiocre et en retard, il peut se le garder. Faudrait pas que ça lui écorche la bouche de lui dire combien elle est belle, à Nina Fitzmartin. Car même si elle en doutait, tôt ou tard, quelqu'un lui le lui dirait franchement et avec un sourire en prime. « .Et tu as dis à combien de filles qu'elles étaient jolies aujourd'hui ?. » siffla-t-elle, sachant pertinemment qu'il était du genre dragueur, à son plus grand désarroi, et que le meilleur moyen de s'attirer les faveurs d'une femme est encore de la couver de compliments. Et des faveurs, il en possédait. Beaucoup. Trop. « .Tes compliments n'ont aucune valeur. Te fatigue pas, ce que tu penses de ma tenue est très clair et m'importe peu. » acheva-t-elle, tout en repoussant sa boisson encore pleine. Elle manqua de suffoquer lorsque les lèvres tièdes et humides vinrent sur poser sur son front, à la fois habitée par le mal-être ambiant provoqué par son aversion maladive pour les contacts physiques et par une sensation de bien être qu'elle ne comprenait pas. Parce que James l'embrassait sur le front, la protégeait d'un baiser et… James. James, cette malédiction. « .Ne me touche pas !. » grogna-t-elle, tout en sachant qu'il ne s'était jamais formalisé de ce genre d'ordre, et qu'aujourd'hui ne serait pas le jour où il commencerait. « .C'est parce que c'est un soda, en fait. » rétorqua-t-elle, grimaçant à l'idée de boire un cocktail avec de l'alcool. Elle n'allait pas le boire , de toute façon. Elle le savait, il le savait, à quoi bon gaspiller son argent ?  Enfin, il parvint à réaliser un exploit : la faire sourire. De façon brève, et pas franchement appuyé. Mais Nina possédait un si joli sourire que même s'il était éphémère, il enveloppait toute conversation d'une chaleur particulière. Oui, James s'était fait beau. Comment aurait-elle pu faire pour ne pas le remarquer ? C'était bien là l'une des premières choses qu'elle avait vu. Et dans tous les cas, il était à ses yeux beau tous le temps et probablement l'était-il tout autant en pyjama, le matin au réveil avec une gueule de bois monstrueuse. « .Pourquoi faire, tu comptes rentrer avec quelqu'un ?. » questionna-t-elle, plus ou moins innocemment, tentant de donner une note sarcastique à chacun de ses mots alors qu'elle espérait secrètement qu'il lui dise non. Ou bien qu'il la raccompagnerait elle, pour une fois. Pour changer. Mais elle réalisa qu'elle espérait quelque chose d'utopique, et qu'il était en effet très beau, beaucoup trop pour qu'elle puisse espérer l'avoir avec elle. Les autres l'emporteraient encore ce soir, il fallait le craindre.   « .Oui, tu es très beau. » concéda-t-elle finalement, en toute timidité. Tant et si bien que ses joues s'empourprèrent et qu'elle baissa le regard vers ses doigts, qui eux jouaient nerveusement avec une serviette en papier. Elle n'avait pas pour habitude de complimenter qui que ce soit, ce pourquoi il fallait prendre ces rares interventions avec le plus grand intérêt et elle espéra sur le moment que James saurait se rentre compte des efforts qu'elle faisait pour lui et se satisfaire pleinement du compliment qu'il lui arrachait. Elle s'apprêta à relancer la conversation, consciente qu'elle n'aidait pas sa cause en se cantonnant au rôle de la fille froide et distante qui lui allait à ravir, lorsque Brandie Brentwood arracha l'attention évanescente de James en s'interposant. « .James Carmichael, celui que j'avais justement envie de voir. » De voir ou bien de mettre à poil dans son lit ? Vu le ton qu'elle employait, Brandie ne faisait pas grande différence entre les deux. Si Nina ne la connaissait pas, si ce n'est de nom, et qu'elle s'efforçait de ne pas la juger sur la tenue qu'elle portait et cette façon impudique qu'elle avait de coller ses seins sous le nez de James, elle n'arriva pourtant pas à se retenir de la traiter mentalement de salope. Jalouse ? Oui. Mais jalouse silencieuse. Jalouse qui se laisse malmener et qui en redemande à chaque fois qu'elle accepte bêtement de sortir avec James.  Brandie s’accapara évidemment James, sans qu'elle puisse rien faire et les deux entamèrent une conversation en oubliant que Nina était là, ou même existait. Le barman déposa les deux boissons commandées et Nina le remercia d'un sourire bref, et en payant. Parce que James l'invitait, mais était trop occupé à reluquer Brandie la Bêta pour faire quoi que ce soit d'autre à côté. Les hommes ne savent faire qu'une chose à la fois. « .James, tiens. » finit-elle par l'interpeller, tout en glissant le verre vers l'intéressé. James ne remarqua évidemment pas. Cinq minutes plus tard… « .James. » personne. Il est perdu et elle seule. Elle regarde autour d'elle, sait qu'elle est jugée du regard. Pauvre Nina, pauvre fille, pauvre idiote. C'est ce qu'ils doivent se dire, ceux qui la remarque. Et ils ne doivent pas être beaucoup. Quinze minutes plus tard, Nina est toujours à la même place. 10 minutes plus tard, elle ose. « .James, s'il te plaît. » Elle en est presque à le supplier. Parce qu'elle sait que si elle s'en va sans le prévenir, il va venir la voir demain et à cette heure-ci, elle ne veut plus lui parler… pour au moins des mois. Elle se mort la lèvre du bas, consciente que le scénario se répète encore et qu'elle doit encore supporter ça. Le fait d'être seule, de se faire poser plus ou moins un lapin, d'être la potiche de service. C'est limite si elle se mettrait pas à pleurer. Mais non, elle est plus forte que ça, elle a trop pleuré dans sa vie, autant rester digne. « .Ok, Salut. » se décida-t-elle, énervée. Et lorsqu'elle s'apprête à quitter son tabouret avec trente minutes à se ridiculiser, une main se poser sur son bras. James ? « .Nina, je peux te parler ? S'il te plaît. » Non. Jake. Jake Fitzgerald.
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Edison L. Allen
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MessageSujet: Re: cause she's just like the weather, can't hold her together ~ nina cause she's just like the weather, can't hold her together ~ nina EmptyLun 22 Déc - 19:36

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MessageSujet: Re: cause she's just like the weather, can't hold her together ~ nina cause she's just like the weather, can't hold her together ~ nina Empty

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