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Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain.

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MessageSujet: Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain.  Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain. EmptyMar 30 Sep - 2:53

« Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain. ».
Pablo & Tessa





This Ain't Sex by Usher on Grooveshark



Doucement j'ouvre mes yeux, je n'avais pas dormi depuis des nuits comme ça. Je me sentais bien rien qu'en ouvrant les yeux. Je laissais ma main chercher dans le lit le corps de Tessa. Elle devait en profiter aujourd'hui, car je n'étais pas le genre d'homme à adresser la moindre caresse de plus, la moindre gentillesse du moins plus maintenant. Ma main droite parcourait légèrement ses cuisses tout en remontant sur ses hanches lentement. Sa peau m'électrisait, elle était devenue en quelques jours plus qu'un coup de soir, ce n'était même plus que le soir. C'était quasiment tous les soirs, c'est dommage poupée que tu ne m'a pas rencontré il y a des années on aurait pu être ce genre de couple toujours dans l'action, jamais dans la paresse et dans la facilité. Ses cheveux blonds couvraient presque l'intégralité de son dos, je ne sais pas trop comment ça avait commencé entre elle et moi, mais c'était comme de l'alchimie entre nous. Comme s'il y avait une réaction chimique dès que nos peaux se touchaient, s'entremêlaient. Mais ce n'était plus ma façon de voir les choses, elle le savait et pourtant elle restait. Elle savait qu'un jour au l'autre je me lasserai d'elle, mais pas ce matin. Je m'approchais doucement d'elle pour ne pas la réveiller en plein sommeil. Je l'entendais respirer doucement, comme un ange posé sur son nuage. Si elle lisait dans mes pensées à ce moment, elle ne me lâcherai plus et je le savais. On s'était juste rencontrés au mauvais moment, pas à la bonne période. Car bon dieu ce qu'elle était belle, elle était toujours le sourire aux lèvres, elle avait une façon de rire qui la distinguais bien trop parmi le tas de fille que je me faisais. Peut-être car c'était une fille intelligente qui ne se prenait pas la tête au fil des moments avec elle j'avais appris qu'elle n'était pas du genre romantique ni à croire au grand amour car elle ne l'avait tout simplement pas vécu. J'espérais au fond de moi qu'elle ne le connaisse jamais, car c'est tellement dur cette chute, je ne le souhaitais à personne pas même à mon pire ennemi. Ma main se loge tout contre sa hanche me collant à elle, je sentais la chaleur de son corps sur le mien. Je dégageais une mèches de ses cheveux pour la caler derrière son oreille. Le sourire aux lèvres, je caressais du bout des doigts sa chevelure avant de faire une légère pression dans son cou, pour qu'elle se réveille enfin. Je voulais la sentir contre moi, l'embrasser, remettre le couvert. Je ne savais pas ce qu'elle me faisait cette fille aux yeux azurs. Elle se retournait doucement, et le sourire aux lèvres qui ne pouvait pas se détrôner de mes lèvres s'étirait d'avantage. Elle ouvrait petit à petit les yeux, et quand enfin elle fut retourné face à moi, je lui disais contre son oreille « Avoues, on ne t'a jamais réveillé comme ça Tess ». Ouais je voulais pas l'appeler par son prénom entier, ça faisait bien trop sérieux sinon. Doucement je déposais des baisers au creux de son cou ce qui la faisait doucement gémir, de surprise ou même d'excitation qu'importe. Une fois que mes lèvres avaient délecter la saveur si délicate de sa peau, je me retirais d'un coup me levant, lui balançant un tee-shirt à moi qui traînait pour ne pas qu'elle se trimballe à poil dans mon appartement, car je risquerai de craquer aussi facilement que la veille. Je ne la regardais même pas enfilant un simple bas de jogging laissant mon torse nu, je lui laissais assez d'intimité pour enfiler le tee-shirt. Une fois dans la cuisine je préparais comme d'habitude un café pour elle et pour moi avant qu'elle parte. Mais en la voyant arrivée là les jambes nues sous mon tee-shirt qui lui couvrait à peine le début de ses cuisses je la sentais différente. Merde. J'étais allé trop loin pour elle, je le savais car même moi je l'avais sentit. Je n'y pouvais rien j'avais bien dormi, mais d'un coup en voyant son visage je me rendais compte que si je continuais à être si tendre avec elle, elle risquerait de croire des choses que je ne voudrais pas qu'elle croit pour la simple et bonne raison que jamais je ne pourrais la satisfaire comme elle, elle le voudrait. Je posais violemment les deux tasses de café sur la table pour que son regard capte le mien avant de lui dire sèchement sans la moindre hésitation dans ma voix «  Tu te grouilles un peu, j'ai des trucs à faire aujourd'hui ». Oui j'étais un parfait connard et alors, elle en redemandait toute façon, alors à quoi bon me satisfaire de tendresse avec elle alors que je pouvais tout avoir sans rien demander ? Je continuais de la fixer, en haussant un sourcil interrogateur comme s'il ne s'était rien passé quelques minutes plus tôt «  Qu'est ce que tu as mon tee-shirt ne te plaît pas peut-être ? » Vas-y Pablo enfonce là, continue.. Voilà je ne maîtrisais pas la situation du coup je préférais laisser parler le Pablo d'aujourd'hui prendre place. Pas de place pour sa bouche en cœur et ses boucles dorées.  Tessa c'était comme un bonbon à la menthe, rafraîchissant au goûter mais vite trop nécessaire au quotidien.  Je ne voulais pas me compliquer la vie, elle non plus d'après nos discussions donc soit elle restait là et on remettait ça, soit elle prenait la porte. Je n'ai pas peur de dormir seul ce soir.
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MessageSujet: Re: Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain.  Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain. EmptyMar 30 Sep - 4:14


    Mes histoires d’amour, je pouvais les compter sur les doigts d’une main. Je ne collectionnais pas non plus les conquêtes. J’étais le genre de filles que l’on pouvait qualifier de sérieuse. Et alors ? Y avait-il un souci à être différente dans une société où le sexe était devenu un business ? Apparemment oui. Quand j’entendais des discussions entre des amies où leurs mecs faisaient ci, faisaient ça, s’était le moment que je choisissais pour m’éclipser. A l’heure actuelle, je pourrais moi-même commencer à m’intégrer dans ce type de blabla féminin. Je me réveillais dans le lit d’un homme, très charmant. Enfin du moins physiquement. Je m’étais un peu trahie moi-même en m’engageant dans un type d’histoire qui ne me mènerait nulle part.  J’en étais bien consciente, et pourtant. Je me sentais parfaitement bien en cet instant. Bien sûr, je n’attendais pas le mariage et la grande maison en me réveillant. Mais juste de sentir ses doigts me parcourir le corps, j’aurai juré que j’étais en train de frissonner sur chaque centimètre de peau qu’il touchait. Je me retenais de sourire de peur qu’il croie que j’étais réveillée, au contraire, je voulais profiter de chaque instant. Il ne fallait pas que je tombe amoureuse. Je me répétais cela en boucle dans ma tête, et une partie de ma conscience essayait de se construire une protection. Je ne pouvais rien espérer. Alors pourquoi se conduisait-il ainsi ? J’aurai levé les yeux au ciel s’ils étaient ouvert, la réponse était logique : c’était un delta avec une envie constante de tirer son coup. Je commençais à bouger, j’ouvrais les yeux doucement pendant qu’il avait ses doigts dans mes cheveux et me réveillant avec des petits mots tendres. Je me tournais pour être face à lui, mon corps nu contre le sien, et malgré que c’était le matin, ils étaient loin d’être froid. Je le fixais et je voulais juste lui dire qu’effectivement on ne m’avait jamais réveillé comme ça, et que je pourrais presque m’y habituer. En guise de réponse, je collais mon corps contre le sien, presque frottant pendant qu’il embrassait mon cou.  « Non, mais c’est agréable comme réveil. » Tessa mais tait toi ! J’avais beau paraître détendue, mais à l’intérieur, environ un million de questions se posait. Il se levait me laissant seule dans le lit, me laissant juste un maillot à lui en guise de sortie de lit. Une fois sorti de la chambre, je profitais d’un moment seul pour souffler un bon coup. Bon dieu, mais qu’étais-je en train de faire ? Je passais le tee-shirt qui me tombait à peine au milieu des fesses, et passant devant un miroir, je redonnais un coup dans mes cheveux. J’allais le rejoindre le boule au ventre. Et j’avais raison de me poser des questions, d’un coup d’un seul, il devenait un peu plus méchant dans ses propos que je ne comprenais pas. Je savais bien qu’il n’avait pas à être redevable envers moi, de là à réagir comme ça. Je le regardais claquer les tasses sur la table, enchainant avec une réflexion sur son tee-shirt. Il me l’avait donné pour que je le mette, je n’allais pas le jeter par la fenêtre non plus. Je ne comprenais pas sa réaction, ça me peinait bien plus que ça n’aurait dû l’être. Ce café que j’aurai voulu boire, je le laissais sur la table, l’envie de déjeuner à ses côtés m’avait quitté.  « Je pense que je vais aller me rhabiller, ça sera mieux. » concluais-je à son égard. En fait, je crevais d’envie de lui hurler à la tête qu’il ne devait pas me traiter de la sorte, que je n’étais pas son souffre-douleur, que s’il avait des problèmes psychologiques qu’il aille se faire soigner. Bref, un tas de monstruosités comme il me faisait là. Mais je ne pouvais pas, j’avais juste à le regarder dans ses magnifiques yeux pour fondre. Allait-il essayé de me retenir ? Dans le fond j’espérais que oui, et d’un autre, ça serait surement plus simple que de me laisser faire, et partir. J’entrais dans la salle de bain pour me rafraîchir. Je retirais son tee-shirt, j’enfilais ma petite robe noir moulante et mes talons aiguilles quelques minutes plus tard. C’était plus fort que moi, il fallait que ça sorte.  « Tu me dois rien, je le sais d’accord. Mais tu n’as pas à te montrer odieux avec moi. Tu me fais un réveil de princesse et un petit déjeuné digne de la première conne que tu as envie de virer. » Etais-je donc ça, alors qu’on avait quasi passé toutes les nuits ensemble ces derniers temps ? Bien sûr que oui, tout ce qu’il voulait c’était joué avec mon corps, point. Le pire, s’était que j’adorais ça.
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MessageSujet: Re: Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain.  Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain. EmptyVen 3 Oct - 17:54

« Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain. ».
Pablo & Tessa





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Le problème avec les filles intelligente c'est qu'on s'y attache un peu trop à mon goût. Tessa n'était pas qu'une blonde sans cervelle comme certaine bêta, elle arrivait à vous parler de tout et de n'importe quoi, sur n'importe quel sujet. Elle m'envoûtait en quelque sorte et je savais que tout ça c'était malsain, que la désirais autant j'allais la perdre. Je ne pouvais pas me passer de son corps, voilà pourquoi nous avions fait ce genre de marché, Sexfriend la connerie du vingt et une énième siècle. Tout le monde le savait qu'à un moment donné tout allait finir mal, qu'un allait s'attacher à l'autre. Je trouvais que l'accord était bien à ce moment là de ma vie, car je pouvais me la faire comme je voulais, lui parler et m'autoriser des moments de tendresse avec elle. Visiblement ce n'était pas son cas, elle ne comprenait pas que je pouvais être tendre et dur à la fois pourtant j'étais comme le membre masculin que m'avait donné, rien de très complexe en somme. Quand elle me disait qu'elle devait se rhabiller je levais les yeux aux ciels, elle voulait quoi des excuses peut-être ? Jamais de la vie. Je n'étais pas le genre de mec à faire de plates excuses pour reconquérir ma belle au bois dormant. Non ça non. Mais bon j'étais tout de même humain et ça me faisait chier d'avoir gâché ce moment juste parce que pour une fois j'étais tendre avec elle. Lorsqu'elle partait je bus une gorgée de mon café le temps qu'elle arrive, au fond je ne voulais pas qu'elle parte, qu'elle reste encore un peu avec moi. Mes doigts tapotais le bar de la cuisine en attendant sa venue, comme si elle était l'ange qui allait me sauver de ma vie pas très intéressante. Au bout de quelques minutes elle débarquait avec sa tenue de la veille, un raclement de gorge plus tard je la laissais s'approcher de moi. Contrarié car je ne voyais pas ces jolies cuisses, était de l'euphémisme. Je la regardais alors fixement, cherchant ce qu'elle allait me dire et la sentence était irrévocable un peu comme koh lanta en faite. Je savais que je ne pouvais pas me comporter avec elle ainsi mais en même temps elle s'attendait à quoi, à ce que je lui offre un petit bracelet pour notre dixième nuit dans mon pieux ? Non je ne pense pas. Elle voulait juste de la reconnaissance et ce que je comprenais parfaitement au fond, je ne pouvais pas la blâmer pour si peu. Du coup une fois qu'elle finissait de me parler, je me rapprochais encore plus d'elle, à la limite de la convenance, qu'elle finissait plaquait contre le mur. Mon regard la scruter sans la moindre gêne avant de glisser mes mains sur ses cuisses et sous sa robe je lui murmurais à l'oreille «  Donc, tu préfères la douceur.. ». Disais-je en laissant mes lèvres s'aventurer dans son cou dangereusement, y laissant ma langue humide y laisser se délecter de sa peau si douce. Avant de poser une main sur sa joue tout en lui disant avec un sourire un peu trop charmant pour me résister. «  Tu préfères peut-être continuer le réveil en douceur...n'est-ce pas.. ? ». Demandais-je avant de me plaquer gentiment entre ses cuisses tout en laissant ses jambes s'enrouler autour de ma taille. Un sourire conquis je laissais ma main parcourir sa nuque, frôlant la pointe de ses seins ses côtes, son ventre et ses hanches d'une lenteur implacable. Je lui disais avec un regard amusé et tout à la fois désireux « Sauf si je me trompes et que tu veux partir... ». Puis je me reculais d'elle d'un coup et d'un seul. Mauvais garçon..Bad boy à deux euros à ouais. Je me rasseyais là où était entreposé nos cafés, tout en prenant une tasse en la regardant, sans lâcher la moindre seconde entre nous. Soit elle ne voulait plus jouer et elle partait soit...soit elle subit tout simplement. Elle était comme la rose du matin, elle m'était un temps fou à s'ouvrir mais une fois que c'était fait, elle brillait de mille feux..

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MessageSujet: Re: Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain.  Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain. EmptySam 11 Oct - 1:47

    Je ne connaissais pas l’amour. J’avais beau être une jeune femme très jolie, j’en étais consciente, mais je n’en jouais pas pour autant, bien au contraire, mais en claquant des doigts j’obtenais ce que je désirais. Encore fallait-il que je souhaite être une jeune femme comme ça. J’en étais loin, très loin même. Jamais je ne jouais de mon physique pour arriver à mes fins, s’était à peine si j’étais consciente du potentiel que je pouvais dégager. La seule chose qui faisait m’en rendre compte, s’était le regard des hommes à mon égard. Bien souvent on se retournait sur mon passage, et ce n’était pas seulement dû aux bruits des talons qui claquaient le sol quand je marchais. Pablo n’en était pas différent.
    Dans le fond, je ne pouvais pas cacher que j’espérais représenter un peu plus à son égard, mais des matins comme celui-là, il savait me remettre à ma place. Je n’étais pas peinée, mais je n’étais pas loin de ça non plus. En fait, j’hésitais entre être en colère, et être triste. Au final, j’avais pris la direction de la chambre pour me rhabiller en le plantant devant son café. Pour me traiter de la sorte, il ne méritait pas mieux de toute façon. En revenant, je lui sortais mon petit speech. Je ne savais pas ce qui lui était passé par la tête, mais le moyen qu’il avait utilisé pour me retenir me donner envie de croire qu’il voulait que je reste là. J’étais là, plaquée contre le mur de son appartement, avec une envie folle de lui sourire. Loin d’être rancunière, je me plaisais bien là, et pourtant bien trop facile tout de même. Sa main sur ma cuisse me faisait frissonner et je le laissais faire sans aucune honte. Alpha ne voulait pas dire que je ne savais pas profiter des petits plaisirs de la vie, d’autant plus que peu de monde était au courant de cette relation. Pas que j’en étais honteuse, mais ma réputation de fille sérieuse, qui cherche son grand amour en prendrait un coup, et je ne voulais pas qu’on me considère comme mes trois quart des filles de l’université. « Je te préfère dans cette douceur-là oui… » A mon tour je le parcourais du bout de mes doigts, glissant dans son dos, eu creux des reins, son cou. Chaque centimètre de sa peau y passait dans le moindre détail. Je lui en voulais d’être aussi odieux et aussi tendre, mais je me leurrais que c’était juste l’appel de la chair qui l’attirait en moi. Ou alors c’était une façon de me protéger de sentiments envers un Delta ? Dans tous les cas, notre histoire était juste une histoire de fesses pour le moment, et c’était très bien. Et encore, réagirais-je de la même façon si je le croisais au bras d’une autre dans les couloirs de Berkeley ? Je ne préférais même pas y penser. « Si tu promets de ne pas être odieux encore après ça alors oui soit aussi doux que lors du réveil. » Autant être clair, si c’était pour prendre du bon temps avec lui et le regretter derrière, non. Il se glissait entre mes jambes, et je me blottissais davantage contre lui, mes jambes autour de sa taille, remontant ma robe bien plus que ce que les convenances souhaitaient. Les frisons continuaient de parcourir ma chair fraîche. Je l’écoutais en même temps, mais il n’était pas bête il savait que je n’avais pas l’intention de partir comme ça. Pour essayer de lui donner un coup de pression, j’enlevais mes jambes d’autour de sa taille, en le regardant droit dans les yeux, sans sourire. Je me dirigeais vers la sortie de son appartement, la main sur la poignée, et me retournant à nouveau en le regardant. « Je n’ai aucune envie de partir. » lui dis-je avec un petit sourire dont j’avais le secret. Courant vers lui, je lui sautais dans les bras de mon poids plume, pour lui voler un baiser des plus fougueux que je pouvais lui offrir. Je passais mes mains dans sa nuque profitant encore de sa peau que j’adorais. Le contact de nos peaux me provoquait des décharges électriques dont je ne me passais pas. Je gardais mes mains sur ses joues, l’effleurant du bout des doigts, l’envie d’être avec lui était bien plus forte. Et en le regardant, je m’en rendais compte. Quitte à être une simple sexfriend. « Avoue que tu as eu peur que je m’en aille. » Je le taquinais bien sûr, mais sa réponse m’intéressait tout de même.

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MessageSujet: Re: Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain.  Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain. EmptyVen 17 Oct - 18:41

« Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain. ».
Pablo & Tessa





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On dit que les femmes sont compliquées à cerner mais que dire des hommes ? Nous venions définitivement de planètes différentes et ça je le voyais tous les jours, tout ce qui nous réunissait en fin de compte c'était le plaisir pour l'autre. Une jeune femme prenait quarante cinq minutes pour se maquiller, se coiffer, s'habiller voir plus selon leur capacité pour quoi au final ? Ne me dîtes que ce n'est pas pour attirer l'attention, que ce n'est pas pour plaire à la gente masculine. Foutaises. Les femmes sont cet instrument merveilleux, ont cette facilité à s'accorder avec merveilles avec les notes masculines comme féminines, elles sont le serpent dans le jardin d'Eden, elle vous pousse au vice et à la folie et elles le savent. Presque toutes. La barbie que j'avais là n'était pas dans la même veine, elle semblait douter du charme qu'elle pouvait dégager et surtout elle n'était pas là à draguer ou se taper n'importe qui du moins c'était sa réputation. Je m'en fichais de sa réputation elle aurait même pu se taper un mec juste après moi que je ne lui en voudrais pas, mais elle n'était pas comme ça. Je ne connaissais rien de sa vie, encore moins sentimentalement que sexuellement, pourtant elle semblait un brin fleur bleue. Et oui les filles vous avez beau le caché, on le remarque. Vous avez ce sourire placardé sur le visage à chaque fois que l'on pose un regard sur vous ou qu'on ose vous faire un compliment.  Et dieu ce qu'on aimait ça, on sentait tout le pouvoir qu'on avait entre les mains, et on savait qu'on pouvait vous briser, vous blesser, vous rendre dingue avec ce que l'on voulait. Je n'étais pas non plus le pire des salaud de mon espèce, j'étais peut-être un idiot, un arrogant mais à la différence de tous j'avais cette part de timidité et de sensibilité en moi. Même si Tessa ne voyait pas cette partie de l'iceberg, je l'appréciais. Au fil des nuits, elle était devenue à part une partenaire sexuelle, une amie. Cela ne me dérangeait pas de la voir, autour d'un café, de l'accompagner chercher à bouffer quand elle était seule. Je n'étais peut-être pas l'ami rêvé mais elle devait savoir que je n'étais pas l'ami de nombreuse femmes. Quoiqu'il en soit elle se retrouvait plaqué là contre un mur de mon appartement, ma main qui remontait sur sa cuisse, mes lèvres qui parcouraient son cou, des murmures à son oreille. Sa réflexion me faisait sourire, d'ailleurs elle pouvait même le sentir au creux de son cou. Un frisson parcourait mon corps entier quand la blonde parcourait de ses doigts malins mon corps. Je ne savais pas pourquoi je n'arrivais plus à être moi-même devoir jouer ce grand dur, sans cœur. Tessa était pourtant loin d'être le genre de fille chiante, emmerdeuse ou encore collante et elle n'avait pas l'air d'une briseuse de cœur. Je lui demandais si elle voulait continuer à être avec moi ce matin, en lui promettant douceur et tendresse, l'un contre l'autre, les yeux dans les yeux elle me demandait de ne plus être odieux avec elle. Je raclais ma gorge car je  ne m'y attendais pas à celle-ci «  Je veux juste ne pas te faire croire des trucs Tessa, je t'apprécies de bien des manières mais je ne pourrais jamais être ton mec. ». Au moins c'était dit, je me hissais entre ses cuisses, maintenant celles ci autour de ma taille. J'avais qu'une envie c'était de prendre ses lèvres, d'enlever cette robe bien trop inutile à mon goût.  Doucement elle retirait ses jambes autour de sa taille, je la regardais comme si elle m'échappait et que je ne pouvais pas la retenir. Je la laissais partir, une part de moi voulait prendre son bras et la ramener contre mon torse, l'autre la laisser s'échapper. Debout là comme un imbécile, incapable de prononcer un mot, je plantais mon regard dans le sien, attendant une réaction de sa part. Puis elle daignait parler enfin me disant qu'elle n'avait aucune envie de partir, un large sourire s'emparait dans mes lèvres. Je la laissais s'agripper à moi, passant mes mains dans son dos, puis une qui remontait sur sa nuque exerçant une légère pression. Nos lèvres se rejoignaient dans un baiser torride, un baiser inavoué, le sang me montait aux tempes, la température grimpait, le cœur palpitant je prolongeais le baiser encore plus chaleureusement qu'il était. Chaque passerelle de mon corps en contact avec la sienne, m'emplissait d'un désir fou et incontrôlable. Nous ouvrions nos yeux au bout d'un moment plongeant mes vitres bleutées dans les siennes, un sourire s'emparait de mes lèvres encore une fois et je lui murmurais à l'oreille « Je t'aurais récupéré Tessa ». Ne chercher pas pourquoi j'avais sortit ça, pourquoi je voulais la rassurer, peur de la perdre ? Peut-être doucement je la faisais redescendre de mon corps tout en ne lâchant pas mon regard du sien, posant une main sur sa joue délicate, attirant son visage près de mes lèvres, je l'embrassais une nouvelle fois. J'ouvrais mes yeux à nouveau, lui souriant puis je lui demandais «  Mange un peu, car je ne serrais pas quoi faire si tu tombes dans les pommes ». J'arquais un sourcil puis je m'asseyais devant elle, ayant ce rictus qui me caractérisait bien.

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MessageSujet: Re: Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain.  Elle était mon joujou à moi et que je ne voulais pas que les autres garçons du bac à sable s'amusent avec elle. C'est malsain. EmptyJeu 30 Oct - 2:31

    J’avais pourtant eu mon topo à mon entrée à Berkeley sur les différentes confréries, les Alpha étaient les intellos que très souvent on rejetait ; les bêtas étaient les jeunes filles ne voyant pas plus loin que leur nombril et passaient plus de temps devant un miroir que devant un livre ; les deltas, les coureurs de jupon n’ayant pas un QI plus élevé que celui d’une huitre ; les iotas les cheerleaders et joueurs de football américain – rien que ça tout était dit – ; les sigma, perdu dans leur monde artistique. Bref, il y avait vraiment tout type de personne dans cette université, et il fallait que je tombe sur l’homme qui n’était très certainement pas fait pour moi, mais qui me faisait tourner la tête. Un Delta, rien que ça.
    Mais un Delta bien différent de ceux dont on m’avait parlé. D’un côté, j’avais le delta pur et dur, celui qui passait la nuit entre mes bras, mais qui ne s’intéressait qu’à cette partie-là de moi, mon physique et rien d’autre. Et de l’autre, j’avais Pablo, un jeune homme qui pouvait se montrer tendre et attentionné à mon égard. Mais quand Pablo était trop présent, le côté Delta reprenait le dessus me faisant regretter le Pablo.
    L’étudiant en économie me faisait totalement perdre pied quand j’étais avec. Je n’avais jamais connu d’histoire comme celle-là auparavant, je n’avais aucune idée de si j’aimais ça, ou si je devais sadomasochiste à rester ici. Une chose était sûre, c’était qu’il y avait belle et bien quelque chose qui me retenait à lui, et ce n’était pas juste nos moments au lit, ou même ailleurs, qui causait ça. Mais en dehors, il savait être présent pour moi, tout comme je me montrais présente pour lui. Nos rencontres ne terminaient pas toujours dans une coucherie. S’était surement pour ça aussi que je me perdais, tout était fait pour je craque pour lui, mais tout était également pour que je me dise que je devais m’éloigner de lui.
    Nous étions en train de nous amuser à notre façon, lui entre mes jambes, plaquée contre le mur de son appartement, la chaleur montant doucement mais surement. Je lui faisais part d’une petite réflexion. Non pas que je ne souhaitais plus être juste un jouet d’amusement, juste que je voulais un minimum de respect à mon égard tout de même. Sa réponse me laissait tellement sans voix que je ne souhaitais pas répondre. Tout simplement parce que je ne savais pas quoi répondre. J’aurai eu envie de lui dire qu’on ne savait pas de quoi demain serait fait, que peut être un matin il se réveillerait en imaginant ne plus pouvoir passer une journée sans moi. Oui enfin, je ne croyais pas au Père Noël non plus. Mais voilà, le destin pouvait réserver des fois bien des surprises. En échange de parole, je pris le soin de me diriger vers la porte et de revenir vers lui comme si de rien n’était mais qui donnait son effet de surprise. Le sourire suivi du baiser enflammé en disait long sur le contentement qu’il avait que je sois encore là. Je me collais contre son corps, profitant du baiser qu’il me rendait. J’étais parcouru de frissons incontrôlables qui en disaient long sur ce que je ressentais à ce moment précis. De l’envie et de l’excitation. Puis soudain, ses petits mots au creux de l’oreille, je souriais comme jamais, je ne savais pas s’il devinait le plaisir qu’il me faisait en me disant cela. « C’est bien vrai ce mensonge ? » lui dis-je comme pour plaisanter. Ou pour être sûr que ce qu’il me disait.
    Tout ce petit manège s’arrêtait bien trop vite à mon goût puisque que Pablo me reposait les deux pieds à même le sol pour m’installer pour moi déjeuner. J’affichais presque une mine boudeuse. Je ne souhaitais pas manger, je n’avais pas faim. Enfin pas de nourriture en tout cas. « Si je tombe dans les pommes, juste un bouche à bouche devrait suffire. » Je le cherchais bien sûr, même mieux, je le chauffais, même si pour moi la température était déjà bien haute. Je prenais un bout de pain aux chocolats qui était sur la table, le dégustant comme si je passais un casting pour un film pour adulte. Je soutenais le regard du jeune delta, et je m’en amusais également. Je me doutais que pour lui c’était un jeu, alors je jouais le jeu. Je me levais pour faire assoir avec moi Pablo, puis comme si tout était logique, je m’asseyais sur ses genoux. Ce que je venais de faire avec le petit pain, je faisais de même mais en lui donnant des bouts à lui comme à un gosse. Ce qui me faisait rire, même légèrement, quand même. Pendant quelques minutes, on s’amusait l’un et l’autre comme ça, mais mon côté sérieux finissait par reprendre le dessus. « Tu sais, tu n’es pas obligé de faire ça… » Je marquais un temps d’arrêt comme si je cherchais la fin de ma phrase. « De faire comme si tu prenais soin de moi, d’avoir peur que je tombe dans les pommes. Je sais prendre soin de moi toute seule. » Et ce n’était pas faux. Pendant longtemps où je m’étais occupée de ma mère malade, j’apprenais à devenir une jeune femme des plus autonomes, ne dépendant de personne. Même si je n’allais pas mentir, les petites attentions du delta me faisaient plaisir. Jusqu’à maintenant, je faisais toujours attention aux autres, mais peu chercher à faire attention à ce que je souhaitais moi.

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