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" Or je ne puis malgré ses sourires et ses bonjours, la reconnaître en une dame aux traits tellement déchiquetés que la ligne du visage n'était pas restituable. C'est que depuis trois ans elle prenait de la cocaïne et d'autres drogues."

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MessageSujet: " Or je ne puis malgré ses sourires et ses bonjours, la reconnaître en une dame aux traits tellement déchiquetés que la ligne du visage n'était pas restituable. C'est que depuis trois ans elle prenait de la cocaïne et d'autres drogues." " Or je ne puis malgré ses sourires et ses bonjours, la reconnaître en une dame aux traits tellement déchiquetés que la ligne du visage n'était pas restituable. C'est que depuis trois ans elle prenait de la cocaïne et d'autres drogues." EmptyVen 1 Juin - 19:50

ABSINTHE BAR
TJ & LUX '

« Nous trouvons de tout dans notre mémoire; elle est une espèce de pharmacie, de laboratoire de chimie, où on met au hasard la main tantôt sur une drogue calmante, tantôt sur un poison dangereux. »






Sérieusement, je commençais à me plaire à San Francisco, presque à m’y faire et ce malgré le temps pourri, les gens pressés, et le fait que je ne connaissais quasiment personne en ville. Les gens, ils me regardaient bizarrement, peut être me prenaient ils pour une dingue ? Je m’en fichait, planquée constamment derrière mes lunettes noires, je connaissais mon objectif et ce pourquoi j’était venue poser mes valises ici. Mon petit trafic marchait de mieux en mieux, je commençais même à avoir une petite liste de clients réguliers, étrangement mes meilleurs clients ne ressemblaient pas à des drogués, ils n’avaient pas la tête de l’emploi, jamais personne n’aurait pariés sur eux. Principalement, des gamines qui n’avaient même pas la vingtaine, des filles des beaux quartiers qui voulaient pimenter leurs soirées avec ses substances magiques. D’autres m’achetaient une poudre que j’avais spécialement conçue, un dérivé de la cocaïne, mais avec des effets plus intenses. Je n’avais pas établis de tarifs fixes, en réalité je jugeai en fonction de la tête du client, et ça marchait, ils étaient prêts à y mettre le prix, pour la simple et bonne raison que la qualité était au rendez vous. C’était clair, je vendait la meilleure dope de toute la ville et personne ne pouvait en dire autant avec leurs cachetons coupés à la lessive. J’étais une experte en chimie et personne ne pouvait le contredire, je maniait les produits comme ci j’avais fait ça toute ma vie, or je composait de la drogue depuis moins d’un an. La drogue, l’un des produits les plus difficiles à faire, peut être encore plus que les médicaments, je n’avais pas droit à l’erreur, je refusais d’avoir des morts sur la conscience.

Ce soir, une grosse soirée était prévue dans un bar de la ville. Plusieurs étudiants s’étaient donnés rendez vous à L’absinthe pour fêter la fin des cours, et le début des vacances dans très peu de temps. La période était plus que propice à la vente de drogues. Les fêtes allaient s’enchaîner, et je savais à quel point tous ces jeunes allaient s’arracher mes petites pilules. Depuis quelques semaines, je produisais davantage, vendait plus qu’en temps normal. Je connaissais bien ce bar, depuis mon arrivée j’y allait régulièrement, les cocktails étaient atomiques, les serveurs très sympas. J’avais de plus prévue mon coup, passé un deal avec le patron du bar pour qu’il ferme les yeux sur mon trafic en contrepartie je lui apportais de nouveaux clients. Chacun y trouvait donc son compte au final. De plus ce bar était situé à proximité de l’appartement que je louais, je pouvais donc y aller à pied c’était l’endroit parfait. Pour cette grande soirée je me prépara rapidement, un robe noire passe partout, mes cheveux blonds toujours aussi indomptable tombaient sur mes fines épaules. Avec moi je pris un sac contenant une vingtaine de pilules multicolores dérivés de la MDMA. Un pur moment de défonce pour qui serait prêt à mettre le prix.

J’entra dans le bar et m’installa au comptoir, je commandai un cocktail au nom imprononçable avant de repérer des clients potentiels. J’aperçus une bande d’étudiants assis dans un coin, ils parlaient forts, riaient, descendaient des litres de bières. Ce joyeux groupe composé uniquement d’hommes ne pourrait pas refuser de pimenter leur soirée. Ils étaient déjà ivres les convaincre allait être un jeu d’enfant, je le savait. Avec une démarche sexy je m’avançais jusqu’à eux, ils me déshabillaient du regard, me proposèrent un verre, poliment j’accepta et fit ma proposition scandaleuse.

- J’ai peut être quelque chose qui pourrait vous intéresser.

Je leurs laissèrent entrevoir le sachet rempli de pilules, ils semblaient partants. L’argent ne semblait pas être un problème non plus, ils n’essayèrent même pas de discuter tarif, alors qu’à 30 dollars la pilule ils auraient pu. Un sourire apparut sur mes lèvres, j’aimais avoir cette sensation de pouvoir, de pouvoir contrôler les désirs des gens. Néanmoins, je ne m’attardas pas à leur table, il était hors de question que j’attires l’attention sur moi, ce que je faisais était trop dangereux et nous n’étions pas à l’abri d’une descente de flics. Je descendis d’une traite la fin de mon verre, il me restait encore quelques pilules à vendre mais j’arrivais déjà dans mes comptes. J’avais vendue la moitié de mon stock, 300 dollars en dix minutes, ça en faisait rêver plus d’un, mais il fallait avoir les épaules pour faire de telles choses et très peu de gens en étaient capables. Je plaisantais quelques minutes avec le barman tout en me laissant bercer par le son de la musique qui était diffusé dans la boite, de la musique électronique, un air entraînant, enivrant. Désormais j’attendais que les clients viennent à moi, je savait que les mecs de toute à l’heure allaient parler, le bouche à oreille il n’y avait rien de tel.


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MessageSujet: Re: " Or je ne puis malgré ses sourires et ses bonjours, la reconnaître en une dame aux traits tellement déchiquetés que la ligne du visage n'était pas restituable. C'est que depuis trois ans elle prenait de la cocaïne et d'autres drogues." " Or je ne puis malgré ses sourires et ses bonjours, la reconnaître en une dame aux traits tellement déchiquetés que la ligne du visage n'était pas restituable. C'est que depuis trois ans elle prenait de la cocaïne et d'autres drogues." EmptyLun 4 Juin - 11:35

Lux Ҩ TJ
« La drogue sous toute ses formes est un ticket de voyage vers une illusion de monde meilleure. »


La routine c'était installé de façons lamentables dans ma vie depuis beaucoup trop de temps, mais je ne faisais rien pour la changer. Qu'est-ce que je pouvais y faire de toute façon ? Je ne pouvais pas arrêter mon pseudo boulot du jour au lendemain j'avais bien trop besoin de ce foutus fric pour vivre. Je venais de sortir de cours et me trouvais à présent dans ma chambre d'étudiant, je n'avais même pas assez d'argents pour me mettre dans un petit appartement misérable, ni même en collocation, alors je me contentais de cette petite chambre qui restait tous de même convenable malgré tout. Je soupirais devant le miroir de la salle de bain, encore un soir à arpenter les rues et les bars miteux de San Francisco pour combler ces femmes seules et assez désespérée pour se taper un pauvre gigolo de mon genre, néanmoins toutes ces femmes ne seraient jamais aussi pitoyables que moi l'avantage pour elles c'est qu'elles avaient assez de fric pour avoir une vie plus ou moins bien, mieux que la mienne en tout cas. J’étais perdus dans mes pensées, je secouais la tête gestes débiles pour effacer toutes ces pensée et je retirais mes vêtements pour pouvoir entrer dans la douche, je restais dessous pendant un bon quart d'heure. Je n'étais pas motivé pas du tout. Je savais comment cela allait ce terminé avec mon fidèle Jack certainement. Je sortais de la douche et finissais de me préparer, un jean et une chemise que je ne boutonnais jamais jusqu'au bout pour dévoiler un peu la marchandise. Il fallait savoir se vendre, j’avais un avantage en plus de la tchatche j’avais un corps et une belle gueule deux éléments loin d’être négligeable dans mon cas. Je quittais ma chambre et l’établissement par la même occasion pour aller m’enfouir dans les fins fonds des rue de San Francisco. Oh Joie.

Au bout de quelques heures à arpenter de fond en combles les habituelle rue, je me décidais à rentrer dans le bar que je fréquentais aussi souvent que les rues, le patron me connaissais et ne me faisais pas payer les consommations, je devais surement lui faire pitié ou alors c’était que généralement je venais ici boire un verre avec certaines clientes friqué qui ne regardais pas à la dépense. Je m’installais dans un coin du bar et fis un signe de la tête au barman qui me servait dans les secondes qui suivait un petit Jack Daniels et un deuxième, puis un troisième…au final je ne les comptais plus j’avais vidé les trois quart de la bouteille alors que je demandais un autre verre le barman commença à mettre le holà « t’en a eu assez pour ce soir Jader, ça suffit maintenant » « Allez c’est bon je te paierais pour celui-ci ! » il soupira et se résigna et m’en servis un autre à contre cœur « Avec quel argent TJ tu peux me dire ? ». Je pris le verre, lui dit merci et ne pris pas la peine de répondre à sa remarque ? Je portais mon intention sur les gens du bar, des nanas qui portaient la robe à ras la moules, des petit jeunes qui voulais se comporter comme les grands et d’autre qui tentais discrètement de prendre quelques pilules. Je les regardais fixement et j’écoutais leur conversation sans vraiment faire attention. Il parlait d’une demoiselle blonde qui leur avait vendue ces pilules magique qui était je cite « de la bonne » selon eux. Je soupirais, je ne m’étais jamais encore résolu à toucher à la drogue, mais à ce stade et surtout ce soir l’alcool n’était pas suffisant pour oublier. Je finissais mon verre d’une traite et me dirigeais vers la blonde que les jeunes désignaient du regard, je regardais vite fais dans mon portefeuilles à peine cinq dollars je soupirais je n’allais pas aller loin avec ça. Je tentais tous de même le tout pour le tout. « C’est toi la demoiselle au pilule du bonheur ? » dis-je avec un sourire. Toujours savoir faire bonne figure, surtout dans les moments gênants de ce genre « écoute je vais être francs, j’ai pas de fric sur moi … mais je suis quelqu’un d’honnête je peux te payer plus tard … je suis pas difficile à trouver » Pitoyable.



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MessageSujet: Re: " Or je ne puis malgré ses sourires et ses bonjours, la reconnaître en une dame aux traits tellement déchiquetés que la ligne du visage n'était pas restituable. C'est que depuis trois ans elle prenait de la cocaïne et d'autres drogues." " Or je ne puis malgré ses sourires et ses bonjours, la reconnaître en une dame aux traits tellement déchiquetés que la ligne du visage n'était pas restituable. C'est que depuis trois ans elle prenait de la cocaïne et d'autres drogues." EmptyLun 4 Juin - 20:34

ABSINTHE BAR
TJ & LUX '

« Nous trouvons de tout dans notre mémoire; elle est une espèce de pharmacie, de laboratoire de chimie, où on met au hasard la main tantôt sur une drogue calmante, tantôt sur un poison dangereux. »






Au final, je trouvais que cette soirée commençait plutôt bien, le bar était sympa, les gens avaient envies de s’amuser et savaient que j’étais la bonne personne à aller voir pour se faire. J’étais néanmoins impatiente d’écouler mon sac afin de me faire une petite défonce à l’abri dans mon minable appart. Si les flics avaient fait une descente chez moi ils n’en auraient pas cru leurs yeux. J’avais de tout, ou presque, des quantité d’alcool, dont des alcools ramenés du Mexique. Mais aussi des centaines de produits chimiques nécessaires à mes fabrication, et des drogues plus connues type héro et coke que je ne consommaient pas mais qui se mélangeaient très bien à d’autres substances pour des clients un peu fous. En parlant de clients fous, les types de la table de toute à l’heure me faisaient une sacré pub, quelques uns d’entres eux avaient déjà gobés une pilule. D’où j’étais je voyait déjà les premiers effets de mes cachetons sur leurs visages, ils planaient complètement, se sentaient transportés, dans une demie heure ils allaient complètement se lâcher, devenir énergique, ravagés. Le tout avant une rechute, que j’avais voulue violente mais pas trop. C’était l’un de mes produits les plus aboutis, j’en étais plutôt fière et n’avait eu aucunes retombée négatives les concernant. Me laissant baigner par la musique électronique diffusée dans le club, je commandai un nouveau verre, un cocktail plutôt corsé, un savant mélange de rhum, de vodka, de gin et de tequila, un Long Island Iced Tea, un pur délice. Etrangement je tenais plutôt bien l’alcool, Zak m’avais bien entraîné, dans combien de soirées stupides j’avais pu me rendre à L.A, à m’enivrer pour faire passer le temps, pour oublier, pour me sentir libre ? Et malgré ma petite taille et ma fine corpulence, j’étais capable de boire des quantités importantes avant de vraiment être bonne à ramasser à la petite cuillère. Le barman était vraiment cool, il plaisantait avec moi, s’intéressait à ma vie, me raconta quelques anecdotes sur les habitués des lieux. Il finit même par m’acheter une pilule, prétendant que c’était pour une de ses copines, une bonne excuse, j’acquiesçai sans poser de question. Je me fichais de qui consommait, je ne jugeai pas les gens sur leurs addictions, dans l’histoire la seule chose qui m’importait était d’avoir mon fric.

Puis en détournant la tête je remarqua un type assis à l’autre bout du comptoir dans un coin, étrangement je ne l’avais pas vu plus tôt. Il ne fallait pas se mentir, il était vraiment très beau, le visage à moitié éclairé par les lumières du bar, un visage à en faire tomber plus d’une, et un corps qui vu d’ici semblait tout aussi charmant. Des cheveux bruns négligemment coiffés, une peau matte et sexy, tout à fait mon genre d’homme. Quoi qu’il en soit ce n’était pas son physique qui m’avait interpellé mais sa discussion avec le barman. Je ne pouvais m’empêcher d’écouter les conversations des autres, c’était un véritable plaisir pour moi et je ne me gênais pas pour le faire. A ce que je compris malgré la musique, il n’avait pas une thune et la maison lui offrait ses consos, et bien ils étaient sympas ici, ils laissaient les dealers faire leurs trafics faisaient crédits aux clients. Pourvu qu’il n’y ai jamais de descente de flics, car j’étais persuadé qu’il y avait encore bien d’autres plans louches dans cet endroit. C’est alors que le type se leva de son siège et venait en ma direction. Je ne pouvais que confirmer que son corps était à la hauteur de mes espérances. Je bu une énième gorgée, ce cocktail passait comme de l’eau. « C’est toi la demoiselle au pilule du bonheur ? » Je ne pu m’empêcher de rire, le surnom était plutôt bien trouvé, il avait quelque chose de poétique à des années lumières de ce que représentait vraiment la drogue et ses dangers. Je continuai sur sa lancée, la voix pleine de sous entendus.

- Oui, il parait que je vends du rêve à mes heures perdues, les clés des « paradis artificiels ».

Il avait beau essayé de me charmer avec son sourire ravageur, je savais ce qu’il voulait, ou il voulait en venir, et ça ne marcherait pas. Il n’avait pas un dollar en poche, je le savait je l’avais entendu il y avait à peine quelques minutes le dire au serveur, avant de s’enfiler plusieurs verres de whisky à la suite et le tout gratuitement. Problème je n’étais pas aussi généreuse. Il ne m’aurait pas avec quelques malheureux sourires ponctués de compliments savamment choisis. Je l’écoutais quand même sortir son baratin histoire de rire un peu. « Écoute je vais être francs, j’ai pas de fric sur moi … mais je suis quelqu’un d’honnête je peux te payer plus tard … je suis pas difficile à trouver ». Je plantai mon regard dans le sien cruel, franche, limite impolie.

- Quand tu me dis « plus tard » tu veux dire « jamais » ?

Un sourire provocant se dessina sur mes lèvres tandis que je buvais une nouvelle gorgée de mon cocktail. Il prétendait ne pas être difficile à trouver et alors ? Je savais très bien qu’il ne me rembourserait jamais, ce n’était pas pour le prix des pilules, mais plutôt pour ce que cela allait provoquait si j’acceptais de lui faire crédit, c’était ma réputation qui était en jeu. J’étais sérieuse question business, je risquais gros si je me faisais choper, plus que lui qui serait un simple consommateur. Je me voyais déjà fichée chez les flics : Lux 21 ans, conceptrice, revendeuse et consommatrice, perpet. Sauf si quelqu’un de fortuné était prêt à payer ma caution et visiblement ce n’était pas prêt d’être le cas. Je me retournai de nouveau vers l’homme qui ne semblait pas perdre de vue son objectif.

- Ecoutes, si tu veux te défoncer y’a pleins de dealers la dehors qui vendent des pilules de merde à cinq dollars. Moi, je ne joue pas dans la même catégorie qu’eux, tu comprends ? C’est la meilleure dope de San Francisco, t’en trouveras jamais de la comme ça à S.F ni ailleurs ! Je ne fais pas crédit, reviens me voir quand t’auras trente dollar et je te promet que tu seras tellement défoncé que tout te paraîtra désillusoires en attendant je peux rien pour toi tu m’excuseras !



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corbeille
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MessageSujet: Re: " Or je ne puis malgré ses sourires et ses bonjours, la reconnaître en une dame aux traits tellement déchiquetés que la ligne du visage n'était pas restituable. C'est que depuis trois ans elle prenait de la cocaïne et d'autres drogues." " Or je ne puis malgré ses sourires et ses bonjours, la reconnaître en une dame aux traits tellement déchiquetés que la ligne du visage n'était pas restituable. C'est que depuis trois ans elle prenait de la cocaïne et d'autres drogues." Empty

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