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Un chapitre encore inachevé Δ PHIL & OLIVIA

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MessageSujet: Un chapitre encore inachevé Δ PHIL & OLIVIA Un chapitre encore inachevé Δ PHIL & OLIVIA EmptyLun 24 Nov - 16:13

un chapitre encore inachevé

j'ai voulu tourné la page, je l'ai tourné, mais elle revient toujours, je l'ai même déchirée, brûlée, mais elle reste intacte pour pour me rappeler constamment ce que j'ai pu endurer

En Australie je faisais souvent du street hockey avec mes amis et ma famille. Le but, c'était de montrer qui était le plus fort et d'écraser tout le monde sur le passage. C'était le moment de e lâcher, de se libérer de toute la colère qu'on avait en soi. Et autant vous dire qu'au fond de moi-même, il y avait tout un tas de colère qui s'accumulait et qui ne demandait qu'à sortir. Aujourd'hui, encore aux USA, j'essaye de maintenir cette activité pour me libérer de toute frustration. En déménageant ici, je pensais repartir sur de nouvelles bases et de recommencer une nouvelle vie en oubliant les parties noires de celle que j'avais vécue à Sidney. Le but, c'était de montrer qui était le plus fort et d'écraser tout le monde sur le passage. C'est vrai, à près tout, j'avais non seulement changé de ville, mais surtout déménagé dans un autre pays. Alors les probabilités de retrouver quelqu'un que je connaissais déjà était assez faible, même quasi nulle. J'aurai aimé que celles-ci soient vraiment à zéro, car en arrivant à Berkley, j'ai tout simplement cru que j'allais mourir. Certes, j'ai suivi ma famille pour me rapprocher de Garrett, mais aussi parce que je voulais changer d'air et fuir une douleur insoutenable, et un secret trop lourd. J'aurai voulu oublier tout ça d'un revers de la main, tourner cette page et recommencer un nouveau chapitre. Seulement, il est si difficile d'oublier tout ça « Mademoiselle Fitzgerald, vous voulez voir votre bébé ? Seulement, il est si difficile d'oublier tout ça « Mademoiselle Fitzgerald, vous voulez voir votre bébé ? Soyez certaine de prendre la bonne décision, et de ne pas la regretter plus tard. » Bien entendu, je n'ai pas souhaité voir l'enfant, j'avais pris une décision, et je n'allais pas revenir dessus. Je paraissais peut-être froide et sans cœur, mais je ne voulais pas souffrir d'avantage. Cet enfant représentait tant de jours de souffrance, que j'étais incapable de voir du bon en lui. Je l'avais associé à une aine inhumaine. Je comprendrai que vous ne souhaitez pas le voir, mais il est magnifique, vous savez. Je savais qu'il allait être difficile de tout oublier, et qu'il allait être impossible d'en faire abstraction, mais je ne pensais pas que ses douloureux souvenirs allaient revenir aussi vite.
En arrivant à l'université de Berkley j'ai malheureusement revu Phil cet homme responsable de tous mes malheurs. Non seulement, je l'ai revu une fois, mais je le revois tous les jours ou presque. C'est la première fois qu'un homme me déstabilise autant. Quand je le croise, je cours me cacher, ou je rebrousse chemin. Je joue à cache-cache, mais je ne gagne pas à tous les coups. J'aurais bien voulu gagner à chaque fois, et qu'il ne se rende pas compte qu'on est dans la même université. Malheureusement pour moi tous nos souhaits ne se réalisent pas, et par moments, il faut affronter ses craintes.

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MessageSujet: Re: Un chapitre encore inachevé Δ PHIL & OLIVIA Un chapitre encore inachevé Δ PHIL & OLIVIA EmptyMer 26 Nov - 22:12

Olivia & Phil



Je suis un enfoiré, mais j'ai pas arrêté de penser à toi.

J'étais au parc, rien de très intéressant, sauf que je venais de terminer les cours et les besoins commençaient peu à peu à prendre de l'ampleur en moi. J'avais eu un cours qui était différent des autres, vis-à-vis de l'avortement, ou l'abandon des enfants, qu'elle serait la loi parfaite pour ce genre de personne. Je m'étais senti mal à l'aise, complètement ailleurs, comme si je voulais effacer mes souvenirs. Je n'y arrivais pas, c'était tout bonnement impossible, je devrai vivre avec. Vivre avec l'erreur que j'avais commise et que je n'eus jamais le courage nécessaire pour y faire face. Un amour de vacance. Le mot amour est bien trop mit en évidence, surtout que pour moi, Olivia n'avait été qu'une femme de passage, mais qui malheureusement avait été bien plus présente, et pour qui j'avais passé de nombreux moments. Trop de moments, je suppose. Je relâchais un soupir, alors que mes pupilles azurent se promenais sans arrêt sur les horizons, sans réellement prendre en compte où mes pas m'emmenaient, non, j'étais bien trop occupé à me rappeler de ce visage que je croisais souvent dans les couloirs, mais qui disparaissait aussi rapidement qu'il était apparu. Je ne sais pas si je dois vraiment y croire, si c'était vraiment elle, ou bien mon imagination qui voulait encore plus me torturer. Secouant la tête de gauche à droite, je hurlais à ma conscience de me foutre la paix avec ce genre de merde, le passé appartenait au passé, et il était hors question que je retourne à me torturer l'esprit. J'avais été un enfoiré, mais malgré ça, je pensais souvent à toi, comment tu allais, et le bébé, comme lui, il allait. Je ne savais même pas si j'étais père. Mais tu m'avais fait comprendre le contraire lorsque j'avais pris la fuite. Tu n'irais garder cet enfant pour rien au monde, et que tu voudrais m'oublier, comme si je n'avais jamais existé. Je t'en voulais, moi aussi. D'avoir donner à des inconnus, ce bébé. < Fais chier. > Je fis glisser un bâton de nicotine entre mes lippes alors que mon regard venait à observer le bout blanchâtre que je brûlait, ainsi qu'en respirant cette douce fumée toxique qui me tirait peu à peu vers la fin. Jusqu'au moment, où une femme n'était pas si loin de moi, de quelques pas, installée sur un banc. J'en croyais pas mes yeux, je savais pas quoi faire, Olivia, la femme que j'avais fait souffrir, plus que les autres. Sans réellement le vouloir. < Olivia ? > Tu allais m'en coller une, j'allais te retenir, j'étais prêt à te contenir contre moi, si tu décidais à lever le bras, surtout que les personnes nous entouraient. Je m'approchais de ta personne, ma cigarette au bec, alors que mes mains s'enterraient dans les profondeurs des poches avant de mon jean. < Pourquoi tu me fuis ? > Quel con, pourquoi elle te fuit mec ?! Parce que tu l'as laissée tomber lorsqu'elle avait su qu'elle était enceinte ?! Ou peut-être parce que tu as joué avec ces sentiments ?! < Tu ne pourras pas me fuir éternellement, tu sais. > Bloquant ma clope entre mon index et mon majeur, je vins passer cette même main derrière ma nuque, alors que mes pupilles bleutés se reposant sur ta silhouette. Toujours autant sublime, au passage. C'était une approche stupide, mais directe.


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MessageSujet: Re: Un chapitre encore inachevé Δ PHIL & OLIVIA Un chapitre encore inachevé Δ PHIL & OLIVIA EmptyVen 28 Nov - 0:37

un chapitre encore inachevé

j'ai voulu tourné la page, je l'ai tourné, mais elle revient toujours, je l'ai même déchirée, brûlée, mais elle reste intacte pour me rappeler constamment ce que j'ai pu endurer
A force de ressasser le passé je me suis moi-même perdue dans mon esprit, et je n’ai pas remarqué que j’étais allée aussi loin. La journée avait été assez longue, et j’avais besoin de prendre l’air, comme à mon habitude, je partais sans réellement dire où j’allais. Je marchais avec les écouteurs aux oreilles, et la musique Cheerleader tapait sur mes tympans. La journée avait été assez longue, et j’avais besoin de prendre l’air, comme à mon habitude, je partais sans réellement dire où j’allais. C’est vrai que cette musique parle d’amour, et que je suis loin de le trouver. Toutes mes relations amoureuses ont été révélées comme étant de vraies catastrophes atomiques : y en a un avec qui je ne pourrais jamais sortir parce que ça nous détruirait, un autre m’a quitté pour se fiancer avec une autre fille, et le must y en a qui m’a fait tomber enceinte. y en a un avec qui je ne pourrais jamais sortir parce que ça nous détruirait, un autre m’a quitté pour se fiancer avec une autre fille, et le must y en a qui m’a fait tomber enceinte. Les filles si vous avez besoin de conseil pour foirer niveau cœur, vous pouvez m’appeler, je suis certaine que je peux vous remonter le moral rien qu’en vous racontant mes petites histoires. Cela fait beaucoup rire Jake et Mackenzie, mais franchement moi ça ne me fait pas rire ! J’ai juste envie de me tirer une balle quand je vois que je foire tout ce que j’entreprends. Les filles si vous avez besoin de conseil pour foirer niveau cœur, vous pouvez m’appeler, je suis certaine que je peux vous remonter le moral rien qu’en vous racontant mes petites histoires. J’ai l’impression que je vais finir vieille avec cheveux fourchus et seule dans une maison minable avec tout un tas de chats errants. C’est flippant tout ça, je n’ai pas envie de finir ma vie comme ma tante Elise. Je vois bien qu’elle est devenue folle et qu’elle ne prend même plus le temps de se faire belle, ou de sortir pour prendre l’air. Elle se contente de rester dans sa pitoyable maison qui pue les détritus, et la merde ! Je ne suis pas une maniaque niveau ménage, mais franchement la dernière fois que j’y ai mis les pieds c’était parce qu’elle était handicapée d’une jambe et que personne ne venait l’aider dans ses affaires quotidiennes. J’y suis restée une vingtaine de minutes, et j’ai prétexté une fausse excuse pour pouvoir partir en vitesse. Depuis je n’y ai jamais remis les pieds, et entre nous, ce n’est pas demain la veille que je vais y retourner. Ça me fait peur de voir comment elle a tourné, alors qu’elle avait tout dans la vie, sauf un mari. C’était tout ce qu’il lui manquait, un mari et des enfants. Elle avait tout réussi, mais il lui manquait quelque chose qu’elle ne pouvait tout simplement pas acheter. La musique et mes pensées m’avaient finalement mené jusqu’à Golden Gate Park. Ouaa, j’étais venue prendre un bon thé à emporter et voilà où j’en étais. J’aimerais parler de tout ce qui me passe à Garrett ou encore à Neylan, mais j’ai peur de saouler avec mes histoires et mes craintes à deux balles. J’aimerais parler de tout ce qui me passe à Garrett ou encore à Neylan, mais j’ai peur de saouler avec mes histoires et mes craintes à deux balles. Je me suis décidée à finalement m’asseoir sur un banc avant d’aller trop loin et de ne plus retrouver mon chemin. Assise sur le banc, mon gobelet de thé à la main et la musique sifflante à mes oreilles, je chantais dans ma tête les paroles de cette joyeuse chanson. ‘’Oh I think that I found myself a cheerleader, she is always right ther when I need her. Oh I think that I found myself a cheerleader, she is always right there when I need hier…’’ « Olivia ? » Perdue dans mes pensées, je ne m’étais même pas rendue compte qu’une personne m’appelait, à dire vrai, je ne m’étais même pas rendue compte qu’une personne était proche du banc sur lequel j’étais assise en tailleur. » Perdue dans mes pensées, je ne m’étais même pas rendue compte qu’une personne m’appelait, à dire vrai, je ne m’étais même pas rendue compte qu’une personne était proche du banc sur lequel j’étais assise en tailleur. Je le voyais là avancé en ma direction les bras balans. Pourquoi il était là ? J’étais comme pétrifiée, à ne plus savoir quoi faire et où partir pour me cacher. C’était bien la seule personne qui me faisait cet effet, et j’ai honte de ressentir ça à chaque fois que je le vois. J’ai l’impression d’être comme Mackenzie, une lâche qui ne prend pas les choses en main. J’ai envie de lui coller mon poing droit dans son pif mais mes jambes prennent le devant en partant dans la direction opposée. Machinalement, je me suis levée, sans même entendre ce qu’il avait à me dire. Après tout, je m’en contre-fiche de ce qu’il peut bien me dire, j’ai juste envie de partir. Je ne supporte pas me retrouver dans la même pièce que lui. Bon, le parc n’est pas une pièce, mais ça revient du pareil au même. Je commence à marcher rapidement, me renversant le thé sur ma main. Je sortis longuement mais doucement un aïe, suivi d’un punaise ça brûle ste … Je repris ma marche, mais celle-ci fut interrompue par le son de la voix de Phil. « Pourquoi tu me fuis ? Tu ne pourras pas me fuir éternellement, tu sais. » Ses paroles furent comme un arrêt d’urgence dans ma tête. Je sens ses mots raisonner dans ma tête si fortement que je ne ressens même plus la brûle bien que ma main soit rouge vive. Je crois bien qu’il se moque de moi ! C’est un test ce n’est pas possible ?! Il veut vraiment que je lui colle ma main dans sa tête, que je le défigure pour que sa pitoyable tête d’ange devienne méconnaissable et repoussante. Jusque-là je prenais vachement sur moi, je ne lui adressais pas la parole, je partais pour ne pas avoir à faire à lui… Mais là, il se fiche de moi ! Mais là, il se fiche de moi ! Je me retourne brutalement lâchant mon gobelet par terre d’un geste plus que brute ! Je suis une bombe à retardement, et il vient tout juste d’allumer la mèche. Je sens en moi cette chaleur, ce feu monter à toute allure, et prêt à faire exploser une bombe. J’arrache les écouteurs de mes oreilles, et marche rapidement jusqu’à lui ! Je m’arrête une fois bien planté devant lui, mon visage limite collé contre le sien ! La rage est en moi, et je ne peux tout simplement plus la contenir ! « Tu te moques de moi là ?! Tu ne viens pas sérieusement de me poser cette question débile ?! » Ma respiration est très forte, mon cœur bat à toute allure, et mon souffle se fait sentir sur mes narines et ma lèvre supérieure. Lui aussi doit certainement le sentir sur son visage. Qu’est-ce que j’aimerais lui cracher au visage, tel un lama.

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MessageSujet: Re: Un chapitre encore inachevé Δ PHIL & OLIVIA Un chapitre encore inachevé Δ PHIL & OLIVIA EmptyMar 2 Déc - 2:40

Olivia & Phil



Je suis un enfoiré, mais j'ai pas arrêté de penser à toi.

Je ne savais pas vraiment pourquoi je t'avais appelé, mais je voulais surtout que tu cesses de me fuir comme une enfant. Mes prunelles bleutées se posaient sur ton faciès alors que tu étais à quelques centimètres de mon visage, je pus admirer les traits qui avaient marqué ce dernier, tu restais sublime, tu avais été un amour de vacances, dû moins c'est ce que tu ne cessais de me répéter lorsque nous étions ensemble alors que moi c'était tout bonnement pour t'avoir entre mes mains. Mais après quelques années, c'était différent, j'avais un regard inquiet sur toi, et mes pensées se dirigeaient vers ton état, et celui de l'enfant. Qui d'ailleurs, je n'avais plus eu aucune nouvelle, même si je n'avais jamais eu le courage de t'envoyer une lettre, ou même de te téléphoner. Tu me crachais ces mots, alors que je déviais mon regard sur les alentours, personne devait savoir pour nous deux, personne, et surtout pas une fille. L'idée que l'université puisse le savoir irait à m'irriter au plus haut point, et j'étais déterminé à te faire taire, d'une quelconque façon, sans réellement abuser, et sans paraître pour l'enfoiré de l'histoire. < Parle plus bas Olivia. Personne n'a besoin de savoir. > Mes paupières s'abaissaient légèrement, plissant des yeux alors que je venais à happer ton fin poignet en t'incitant à me suivre. Par la force ? Tant pis, suis-moi. Je t'appuyais contre le premier mur qui était à ma porté, alors que j'imposais mes paumes sur chaque côté de ton visage, mes lèvres à la limite proches des tiennes, alors que je murmurai, afin que seule toi, puisses entendre. < J'ai été le plus gros enfoiré de la planète Olivia, et même m'excuser durant une éternité ne suffirait pas. Dis-moi si je suis père, ou si je ne le suis pas, je dois le savoir, je n'ai pas arrêté une seule seconde de penser à ton état et celui de not... Ton enfant. > Je n'arrivais pas à prononcer le " nôtre " puisque ce dernier n'était pas fait d'amour des deux côtés, mais que d'un seul. Malheureusement. J'abaissais une seule seconde mes pupilles vers le bas, avant de me reculer, pour ainsi te faire face. Bizarrement, j'avais envie de savoir la réponse, mais au fond de moi, je supposais que tu avais sois avortée, sois fait adopter. Sinon, je ne pense pas que tu serais en ce moment-même ici. Dans cette université. Je pinçais mes lippes entre elles, alors que mon regard déviait aussitôt dans une certaine inquiétude, malgré qu'à mes yeux, tu n'avais été qu'un coup, tu avais été présente pour moi, et je n'avais pas assuré, je ne voulais pas assumer un enfant alors que j'étais incapable de m'assurer moi-même. < Comment tu vas Olivia.. ? Comment ce sont passer ces années ? J'ai été l'idiot de l'histoire, je ne pouvais pas assumer cet enfant, tu le sais tout autant que moi que nous n'aurions pas été à la hauteur. > Je secouais de gauche à droite mon visage, laissant une vague soupire s'évaporer de mes lippes, tandis que j'enfilais mes phalanges dans l'intérieur des poches avant de mon jean, tout en affrontant néanmoins ton regard. Tu devais me détester d'une façon inhumaine, mais j'avais agi, comme mon père. J'avais été un lâche et j'avais abandonné une femme qui portait mon enfant, sauf qu'au contraire de lui, j'étais parti, j'avais fui. Et lui, avait resté pour s'assurer que j'aurai une vie enveloppée d'une si grande tristesse. Surtout à la suite de le mort de ma mère. Juste ces pensées me donnaient envie de gerber, de gerber le sang que j'avais de mon père. Tu devais le savoir. < J'ai agis comme mon père, mais en pire. > Bordel de merde, comment j'avais réussi à être pire que mon bâtard de père ?! Je me dégoûtais, et pourtant, une part de moi ne regrettait pas, cet enfant n'aurait pas eu une vie pleinement heureuse en ma compagnie. Malgré n'importe quels efforts.

" Hé Phil tu fous quoi mec ?! " C'est quoi ce bordel ?! Je tournais mon regard soudainement sur un abruti alors qu'il venait à s'approcher de notre personne, c'était incroyable comme le monde pouvait s'occuper des affaires des autres et pas simplement des siens. Je soupirai longuement en le saluant d'un signe de tête, tandis qu'il te regardait de bas en haut, limite comme un chien affamé. Ce n'est qu'un pote, pas un ami. < Rien, je ne vais pas tarder à vous rejoindre. Passe devant. > Il haussait la tête d'en bas en haut, alors qu'il venait à te saluer également mais d'une manière plutôt... Lassante, dû moins, c'est comme ça que je voyais les choses. J'espérai n'avoir jamais adressé la parole à une femme de la sorte et encore moins en essayant de l'avoir entre mes mains. < Écoute Olivia, je sais que tu me déteste, que tu crèves d'envie de me tuer durant mon sommeil, mais je suis désolé d'accord ? > Je fronçais les sourcils par mes propres dires, je venais de m'excuser, pour la première fois il me semble, dû moins, à ce que je me souvienne. Mais j'étais conscient que cela n'irait suffire, et que tu irais à sortir tes griffes dès que l'instant sera là.


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MessageSujet: Re: Un chapitre encore inachevé Δ PHIL & OLIVIA Un chapitre encore inachevé Δ PHIL & OLIVIA EmptySam 6 Déc - 20:23

un chapitre encore inachevé

j'ai voulu tourné la page, je l'ai tourné, mais elle revient toujours, je l'ai même déchirée, brûlée, mais elle reste intacte pour me rappeler constamment ce que j'ai pu endurer
« Parle plus bas Olivia. Personne n'a besoin de savoir. » Euh ... il se moque de moi là ? On me fait une farce, c'est ça, elle est où la caméra cachée ? Il croit vraiment que je monte sur mes grands chevaux pour me mettre en spectacle ou alors pour partager mon histoire ? Et puis c'est lui qui m'interpelle à chaque fois qu'on se croise. S'il ne me suivait pas, qu'il n'était pas là en train de me dire ne fuit pas, s'il te plaît et blablabla, et bien nous n'en seront pas là. Je n'ai rien à me reprocher, cela fait cinq ans que je suis là, et personne ne connaît ce lourd secret. S'il est découvert ce ne sera pas de ma faute, mais bien de la sienne. Je n'ai nullement envie que l'on sache ce qui nous ''unit'', et j'ai encore moins envie qu'on sache que l'on s'est connu par le passé. À chaque fois j'ai réussi à détourner les conversations concernant Phil. Ce n'est jamais bien compliqué, il suffit simplement de faire l'innocente, et on ne se doute de rien. Alors oui, je lui interdis de me dire ça, je sais très bien ce que je fais, et je n'ai pas besoin de lui pour savoir comment agir. Je m'écarte un peu de toi réalisant que j'étais bien trop près de ton visage. Je pouvais très nettement te regarder droit dans les yeux, ce qui me donna un frisson dans le corps. Je me mis à remuer légèrement les épaules pour enlever cette affreuse sensation. « Tu te ... », je ne pus finir ma phrase, tu m'avais pris par le poignet et m'avait tiré plus loin et plaqué contre le mur. Qu'est-ce qu'il joue ? Juste avant il me dit d'arrêter de parler trop fort, parce que cela pourrait attirer l'attention sur nous, et voilà que maintenant monsieur se met à me coller contre un mur et m'empêcher de partir en plaquant ses mains de chaque côté de mon visage. C'est sûr que la personne ne va nous remarquer notre conversation, t'es un vrai malin Phil, vraiment ! Son visage était tout près du mien, comme s'il voulait que j'aspire l'air qu'il expirait. Ses mains m'empêchaient de détourner le regard, et de fuir la conversation. Je n'avais pas envie de lui parler, j'avais des choses bien plus importantes à faire, mais il s'en fiche. C'est comme si monsieur avait besoin de vider son sac. Pourtant, il a été très clair il y a sept ans de ça. « J'ai été le plus gros enfoiré de la planète Olivia, et même m'excuser durant une éternité ne suffirait pas. Dis-moi si je suis père, ou si je ne le suis pas, je dois le savoir, je n'ai pas arrêté une seule seconde de penser à ton état et celui de not... Ton enfant. » Décidément, ce gars n'a rien compris à la vie, et encore moins aux filles. Il croyait quoi ? Que j'allais garder cet enfant et le chérir, tout en mettant mon avenir de côté ? Que j'allais lui donner un petit sympa, lui acheter des vêtements trop nions et faire une chambre bleue ou rose en fonction du sexe ? Mais il a déliré, il a tout bonnement craqué son slip ! Franchement, j'avais dix-sept ans à l'époque et je ne pensais qu'à une chose : comment j'allais être au bal de fin d'année –dont je n'ai pas pu assister. J'étais loin d'être prête à être une mère et je ne le suis encore loin aujourd'hui. J'ai refusé de toucher mon ventre et de sentir ses petits coups qu'il me donnait dans mon ventre, j'ai refusé de prendre soin de lui et fermé les yeux quand il est né. Je n'avais pas envie de savoir si c'était une petite fille ou un petit garçon, je me fichais de savoir s'il était blond ou brun, je voulais simplement qu'il s'en aille le plus loin possible de moi. Je n'ai rien demandé de tout ça, j'ai simplement voulu passer des vacances d'été extraordinaire avec quelqu'un que j'aimais, mais il a tout gâché. Je n'avais pas envie de lui répondre, j'étais partie bien trop loin dans mes pensées. Je ne considère pas ce bébé être mon enfant, c'est un enfant parmi tant d'autres, et si j'avais pu avorter je l'aurais fait sur-le-champ. « Comment tu vas Olivia.. ? Comment ce sont passer ces années ? J'ai été l'idiot de l'histoire, je ne pouvais pas assumer cet enfant, tu le sais tout autant que moi que nous n'aurions pas été à la hauteur. » Je sens les larmes me monter aux yeux, ma vue commençait à se troubler. Pourquoi me fait-il endurer tout ça ? J’étais simplement assise sur mon banc bien tranquille à boire mon thé. C’est un moment que j’aime faire, et il a gâché mon moment de plaisir pour le transformer en supplice. Je ne peux le regarder droit dans les yeux, j’ai le regard vers le bas pour ne pas montrer mes yeux brouillés par de l’eau salée. Je ne veux pas qu’il sache que ses paroles m’affectent. Je déteste montrer que comme tout le monde, j’ai des faiblesses et que celle-ci est la plus importante. En enlevant les mains de mon visage, j’ai senti un lourd poids partir de mon corps. « J'ai agis comme mon père, mais en pire. » Et maintenant, il me joue du violon. Ce gars n’est pas possible. J’ai levé les mains à mon visage et frotter mon visage pour au passage enlever les larmes qui allaient couler le long de mes joues. J’espère juste que mes yeux ne sont pas rouges, et qu’il va simplement croire que je suis fatiguée de cette conversation qui ne mène à rien. « Tu veux un mouchoir peut-être ou tu veux que je te plaigne ? Mais qu’est-ce que tu crois ? Que je vais te dire Ô Phil il n'y a pas de soucis c’est du passé, ce fut la meilleure expérience de ma vie ! Mais atterris ! Tu peux t’excuser, supplier, gindre, je m’en contre-fiche ! » Ce gars doit vivre sur une autre planète ce n’est pas possible sinon. Comment peut-il croire que tu reviendras normal, et que je vais tout lui raconter dans le moindre détail ?. Moi-même je ne sais rien sur cet enfant à par qu’il a sept ans et qu’il est entre de bonnes mains. « Hé Phil tu fous quoi mec ?! » Et voilà, bien joué Phil ! Si tu ne m’avais amené ici et que j’étais partie tranquillement de mon côté personne ne nous aurait vus. Maintenant, ce type qui est bien mignon au passage va se poser des questions à notre sujet. C’est certain qu’il va se poser des questions, c’est plutôt étrange de voir deux personnes éloignées du chemin et surtout debout près d’un mur. Voilà, tu as tout gagné, toi qui voulais se fais discret, tu as tout simplement affiché aux yeux de tous. Je savais que tu n’étais pas une flèche, mais j’étais loin de penser que tu étais crétin à ce point. Mon regard toujours posé sur le garçon qui avait interpelé Phil remarqua qu’il était en train de me dévisager tout entièrement. Je déteste que l’on me regarde de cette façon-là, ça me fait sentir comme un vulgaire morceau de viande qu’on a hâte de faire cuire, mais pour une fois, ça me fit sourire bêtement. Je savais que ça allait embêter Phil. Il déteste qu’un autre homme pose le regard sur l’une de ses conquêtes. « Rien, je ne vais pas tarder à vous rejoindre. Passe devant. » Le garçon s’en allait, et me fit un signe d’au revoir au passage, un signe que je ne compris pas vraiment, mais je n’y prêtai pas vraiment attention. Je voyais là enfin un mode d’échappatoire, enfin un moyen de partir tranquillement. Phil allait rejoindre ses potes et moi, j’allais pouvoir rentrer. Y a rien à ajouter à tout ça, et puis comme il me l’a très bien fait comprendre personne ne doit savoir tout ça. Je suis certaine que nous n’avons pas les mêmes raisons de cacher ce secret. Je ne le partage pas parce que ce n’est pas un moment magique, mais un moment de tristesse et d’horreur et qu’on ne partage pas ça. En revanche, lui, je suis persuadé qu’il ne le fait pas pour garder une bonne image, une image de séducteur. C’est malheureux, salop ! « Écoute Olivia, je sais que tu me déteste, que tu crèves d'envie de me tuer durant mon sommeil, mais je suis désolé d'accord ? » Je commençais à peine de me décoller du mur pour pouvoir rentrer sans faire d’histoires, et il remet une couche. J’étais persuadé qu’on allait plus en reparler, mais j’aurais dû me douter qu’il n’abandonne jamais. « C’est bien, tu as tout compris. » Je ne pus m’empêcher de dire ça sûr un ton ironique, je suis fatiguée de tout son baratin. S’il sait tout ça alors pourquoi il n’a pas réagi plus tôt ? Non mais vraiment faut m’expliquer, y a quelque chose qui ne colle pas. J’ai l’impression qu’il se moque de moi. J’en ai marre d’entendre ses bobards. « Tu peux t’excuses autant que tu veux, mais franchement, je ne te pardonnerai jamais. Tu as été un con, tu es un con et ça, tu n’y changeras rien. J’avais dix-sept ans et tu m’as laissé tomber comme une vulgaire chaussette. Je ne t’ai pas demandé de m’aimer, loin de là, mais de m’aider. » Je sens que je vais partir au quart tour, il faut mieux que je parte maintenant avant que tout ça ne dégénère. Je le pousse au niveau de l’épaule gauche afin qu’il s’écarte et qu’il me laisse partir. Nous avons tous une fierté, mais il faut savoir un jour où l’autre se la rabaissé. Il n’a pas su le faire, et il ne suffit pas de venir avec un discours franchement préparé pour réparer toutes les erreurs qui ont été faites.

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Franchement, elle est juste parfaite ta réponse.  coeurboum J'ai hâte de voir comment ça évoler.  :hakunamatata:  langue.
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MessageSujet: Re: Un chapitre encore inachevé Δ PHIL & OLIVIA Un chapitre encore inachevé Δ PHIL & OLIVIA EmptyMer 4 Fév - 20:25

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