the great escape
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les vertiges d'en haut -charlotte

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MessageSujet: Re: les vertiges d'en haut -charlotte les vertiges d'en haut -charlotte - Page 2 EmptyVen 1 Aoû - 23:38




les vertiges d'en haut -charlotte - Page 2 Tumblr_lgvzyiEyyu1qa9ehio1_500 les vertiges d'en haut -charlotte - Page 2 Kit4

Les vertiges

d'en haut


Isaac Z. H-Baumrind





Je ne voulais pas changer Isaac. J'étais qui pour changer des gens ? Je n'étais personne je n'arrivais pas à me changer moi même alors changer les autres non merci. Je me sentais proche de lui d'une certaine façon car il était comme moi j'étais quand j'étais dans ma tourmente. Où je me considérais comme de la merde où je ne faisais rien d'autre que d'aller à droite ou à gauche. Vraiment une girouette, je m'étais mise dans la drogue et l'alcool pour m'oublier. Alors que je n'avais pas spécialement une vie à plaindre j'avais une vie normale. Non juste une trahison qui a bouleversé toute ma vie. Je voulais juste partir avec lui , lui dire qu'il est peut être comme il est avec moi. Il n'avait pas l'air d'être un méchant gars, un gars avec qui on se disputait pour rien. Je me cassais souvent la gueule c'était un fait. Je ne voulais pas paraître pour une quiche face à lui. Alors qu'il m'avait mit mon pansement sur le genou mes joues avaient rosi naturellement. Il n'était pas le genre de personne qui était tendre avec vous, alors ça m'avait pris par surprise. Dans un sourire au coin je me levais pour le rejoindre. A sa réplique je lui donnais un petit coup de poing pas très fort juste pour le taquiner :

J'ai mis quatre tentes au cas où..tu as pris du poids quoi même ..

Alors je me marchais plus vite pour ne pas être trop lente pour mon compagnon. Je m'agrippais du coup à son bras pour avoir un appui. Il me ramenait à lui pour que j'ai plus d'appui contre lui. On marchait silencieusement ça avait fait un peu de bien tout ce silence. J'avais mal au genou mais la douleur n'était rien face aux bois. Je n'étais pas du tout le genre de fille qu'on croyait capable d'être dans la nature mais pourtant j'adorais ça. Mais je devais m'arrêtais j'avais mal au genou je ne voulais pas nous couper de toute cette aventure. Je me posais alors sur mon rocher le regardant. J'étais un peu vexée par rapport à sa remarque de toute à l'heure. Pas que je voulais faire mon intéressante ou ma vexée juste pour la faire. Pour une fois je l'étais vraiment, le prenant pour moi pour une fois. Je me pinçais les lèvres à sa remarque avec des joues encore plus rouges...

Si tu dis plein de choses de bons..excuses moi je n'aurais pas du me vexer bêtement je t'ai pris aux mots désolée..

Je m'excusais alors que c'était lui qui m'avait lancé un pique. C'était le monde à l'envers, mais ce n'était pas grave je ne voulais pas gâcher ce moment avec lui alors je me taisais à nouveau. Le jeune homme posa le liquide désinfectant sur le genou je poussais un grognement. Ca faisait un mal de chien mais je n'avais pas le choix. Je le regardais dans les yeux dans un demi-sourire. Avant de prendre sa main pour me lever je le regardais dans un défi avant de lui dire malgré la douleur.

Je suis sûre si je cours tu pourras pas m'attraper ...


Je m'approchais de lui en soulevant la pointe de mes pieds. Je voulais qu'on s'amuse un peu j'étais à quelques centimètres de son visage.

Cap ?










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MessageSujet: Re: les vertiges d'en haut -charlotte les vertiges d'en haut -charlotte - Page 2 EmptyDim 3 Aoû - 2:10

J'éclatai d'un rire jaune quand Charlotte m'annonça qu'elle avait mis quatre tente dans mon sac, soulignant que j'avais pris du poids. C'était tout à fait faux. Même si j'avais l'argent pour me nourrir convenablement, ce qui n'était pas le cas, je m'entraînais tellement qu'aucun gras ne restait sur mon corps plus qu'une seconde. N'ayant aucun ami, aucun hobby, lorsque je rentrais chez moi je n'avais d'autre occupation que d'aller courir ou de faire de la musculation avec ce que je trouvais autour de moi - n'ayant pas de machine d'entraînement. Ainsi, la remarque de la brunette n'atteignit même pas mon égo. « Ouais, c'est ça. De toute façon même si j'étais l'homme le plus obèse du monde, avec toi dans le calcul, une seule tente double suffirait. » Commentaire sans doute mal placé et surtout malhabile quant à la maigreur de Charlotte. Je me sentis tout de suite un peu con d'avoir prononcé ces mots, sachant fort bien que pour certaines femmes, cette sorte de physique rimait avec troubles alimentaires. Et c'était pas un sujet pour se moquer. Je fis toutefois mine de n'avoir rien dit de mal, incapable d'assumer mes erreurs ou de montrer une pointe de culpabilité. Je ne savais pas comment bien m'excuser ; je me serais mis les pieds davantage dans les plats. Heureusement, Charlotte n'avait sans doute pas non plus envie de se prendre la tête avec moi, car après un simple moment de silence, nous continuâmes notre route. Et puis de toute façon, je venais à peine de dire qu'il ne fallait pas m'écouter, que je ne disais que de la merde. Ça comptait pour ça aussi, disons. Bref, dans un élan d'enfantillage, Charlotte me mit au défi de la rattraper si elle courait. J'haussai les sourcils. Sur la pointe des pieds, elle approcha son regard du mien et me demanda si j'étais cap. Je souris. « Essaie toujours ! » Lançais-je avec un sourire en coin, un peu amusé et moqueur, et un regard pétillant. La jeune femme se mit alors à courir et elle s'en sortait pas mal malgré son genou plutôt mal en point. Elle avait beau être beaucoup plus légère que moi, je ne mis pas trop de temps à la rattraper. Je me jetai sur elle et la pris dans mes bras, nous retournant dans notre chute de sorte à ce que ce soit moi qui atterrisse le premier au sol, sur le dos, et elle par-dessus moi. J'éclatai de rire. Un rire qui ne m'était pas familier. Un rire heureux, amusé, enfantin. Un rire sincère et joyeux. Un rire vrai. Quand je me rendis compte de mon état d'âme léger, je cessai de rire et plantai mon regard dans celui de Charlotte. Je fronçai légèrement les sourcils en la détaillant du regard. Je me sentais ... bien. Juste bien. Mon souffle se faisait un peu plus court, et pas à cause de ma course. Plutôt à cause de ces émotions inconnues qui s'emparaient de moi. « Tu vois que j'étais cap'. » Déclarais-je sans changer mon expression faciale. Puis ma main glissa le long du dos de Charlotte et arrêta sa course juste avant ses fesses. J'avalai difficilement, puis raclai ma gorge. « À ce que je vois t'es assez en forme pour continuer alors ... on s'y rend, à ces chutes ? » Lui demandais-je d'une voix douce. Je l'aidai à se relever et nous reprîmes la route vers le chemin principal, que nous atteignîmes après une dizaine de minutes. Je ne nous étais pas perdus, c'était déjà ça. Après un minuscule cinq minutes de marche de plus, nous arrivâmes aux chutes. Elles descendaient des montagnes et s'écrasaient dans un petit bassin d'eau. Des filaments d'eau s'écoulaient également tout autour, sur la mousse verte des arbres et des roches. Le soleil faisait briller cette eau. « Wow. » Dis-je.
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MessageSujet: Re: les vertiges d'en haut -charlotte les vertiges d'en haut -charlotte - Page 2 EmptyLun 11 Aoû - 11:52




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Les vertiges

d'en haut


Isaac Z. H-Baumrind





Il fallait bien rire, et mon sens de l'humour était douteux parfois il fallait se l'avouer. Mais c'était comme ça que j'existais, en riant en ne me prenant pas la tête sur des normes à avoir ou à faire. J'étais hors-normes je n'étais pas fan de suivre les règles quel qu’elles soient. Je vivais comme bon me semblait et si ça ne plaisait pas les gens pouvaient passer leur chemin. Isaac avait l'air d'apprécier mon sens de l'humour puisqu'il riait à ma blague. Je n'avais pas la chance de voir si sous son tee-shirt s'y trouvait des muscles saillants, mais je savais qu'il n'avait pas pris de poids. Je voulais juste le taquiner un peu, comme d'habitude et d'humeur joviale il me taquinait aussi. C'est vrai que je n'était pas une bombe atomique j'avais juste assez de peau sur les os. Pas que je ne mangeais pas, mais je ne prenais pas de poids. Pourtant qu'est ce que je mangeais, du gras, du sucre, du salé mais tout ça ne m'atteignait pas . Je tapais sur l'épaule droite d'Isaac suite à sa remarque pas du tout crédible. Après ses moments d'enfantillages nous marchions en silence vers une direction qui semblait bonne. Mais vivre avec moi n'était pas de tout repos fallait toujours que je bouge que je m'active. C'était comme ça que je me retrouvais face aux jeunes hommes sur la pointe des pieds m'approchant au plus près de lui pour capter toute son attention et le lancer au défi. Et quand il me donna le signal du départ je riais tout en commençant à courir vite. Voilà un point fort de ma légèreté, je pouvais passer les branches, sauter les pierres, je pouvais m'élancer je n'avais pas de difficultés particulières à part mon genou qui me lançait et qui m'empêchait d'aller encore plus vite. Quelques secondes après je sentais le corps d'Isaac derrière moi, un sourire sur les lèvres je me laissais faire. Nous tombions au sol tels des enfants, nous étions allongés sur le sol. Puis presque en même temps nous éclations de rire, ça nous faisait du bien de rire pour de vrai. D'avoir un éclat de rire comme celui-ci n'était pas prévu, puis nous nous arrêtions de rire comme si le temps était contre nous.

Hum je vois ça, t'es plutôt rapide en faite..

Doucement sa main glissait sur mon dos, en soit rien de surprenant mais pas quand il s'agissait d'Isaac il n'était pas le genre d'homme à vous toucher ou vous câliner. C'était sûrement pour ça que ma respiration commençait à saccader, mes lèvres se pinçaient légèrement.

Allons-y

Lui avais-je de sa main nous nous relevions pour se diriger vers les chutes e questions celles pour lesquelles nous étions venus. Nous marchions toujours sous l'effet de la course je reprenais de la couleur. Le sourire aux lèvres nous arrivions face aux chutes. C'était grandiose. Les nuances de couleur se reflétaient sur les montagnes, un mélange entre le rosé et le vert. Quelque chose qu'on voit que sur les images de google. Quelque chose qu'on croit irréel, inconsciemment je prenais la main d'Isaac..

Tu t'attendais à ça toi ? C'est juste fou..

Puis je marchais un peu pour m'approcher de ce bassin qui me tapait dans l’œil. Je tirais sa main il avait l'air absorbé par cette vue. Pas que ça me dérangeait mais je voulais profiter de lui de ce moment unique. Je détachais mon short qui tombait à mes pieds, je retirais également mon tee-shirt pour me trouver en sous vêtements à défaut d'avoir un maillot de bain je regardais Isaac tout en lui souriant en coin :


Je ne vais quand même pas t'enlever ton short, si ?


Lui avais-je dis dans un petit rire tout en lâchant sa main pour m'avancer doucement au bassin d'eau..









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MessageSujet: Re: les vertiges d'en haut -charlotte les vertiges d'en haut -charlotte - Page 2 EmptySam 16 Aoû - 0:06

Je n'étais pas le seul à avoir ressenti ce moment, là, lorsque nous étions couchés sur le sol. J'avais senti la respiration de Charlotte, et j'avais vu sa façon de se pincer les lèvres. Rarement une fille l'avait fait en ma présence, mais pour avoir vu un tas de films - en tout genre -, je savais que cela avait un lien avec le sentiment que je ressentais présentement. Et je n'aimais pas ce sentiment. Même s'il m'apportait un certain bonheur inexpliqué, je n'aimais pas forcément me sentir ainsi. C'était l'inconnu, c'était honteux, c'était bizarre et surtout, ce n'était pas moi. À force d'être une bête sauvage, j'avais développé un certain confort à vivre dans ma solitude. Charlotte commençait à prendre trop de place. Alors on se leva et on oublia ce qui venait de se passer. Elle aussi, ce qui, en un sens, me rassurait même si cela m'irritait aussi quelque peu.

Ce sentiment de légèreté ne mit toutefois pas trop de temps à me revenir. Une fois arrivés devant ces chutes et ces montagnes, à nous tenir sur cette sorte de plaine qui nous offrait le spectaculaire paysage, je restai bouche-bée. Et de vivre ça avec elle, on dirait que ça m'égayait encore plus. Je secouai la tête en réponse à la question de la brunette. « Non ... j'veux dire, j'avais vu pas mal tous les paysages en photo mais ... en vrai c'est ... c'est juste ... mille fois mieux. » Je ne vis même pas Charlotte s'avancer vers le point d'eau tellement j'étais obnubilé par cette vue grandiose qui me faisait sentir si petit et insignifiant - comme si j'avais besoin de ça, sérieux. Elle tira finalement ma main, et mon regard tomba sur elle, qui retournait vers l'eau en enlevant un morceau de vêtement à chacun de ses bas. Je n'avais pas de miroir, mais j'aurais pu jurer que mes joues étaient devenues rosées. Passons cela sur le dos de la montée en montagne. Alors que j'étais en train de la fixer, surtout son corps en fait, elle sourit et me demanda si elle allait devoir m'enlever mon short. Elle voulait se baigner, visiblement, et elle voulait que je vienne avec elle, aussi visiblement. « Euh ... non, c'est bon ... je ... j'arrive. » Bégayais-je comme un idiot. La demoiselle cessa de me tirer par la main et lâcha donc celle-ci pour aller vers l'eau. Alors que ses pieds trempaient dans le bassin naturel, j'enlevai mon short et mon chandail, me retrouvant des mes sous-vêtements noirs assez serrés. Je m'en fichais un peu, je n'avais jamais été complexé par mon corps - c'était bien la seule chose de moi-même qui ne me complexait pas. Je m'avançai à mon tour vers l'eau. Le bassin était assez petit, et bien qu'assez profond pour nager j'imaginais bien qu'il ne l'était pas tant que ça, étant donné que l'eau était plutôt chaude.

Rattrapant bien vite Charlotte qui n'en était qu'à l'eau jusqu'aux hanches, je la dépassai et plongeai tête première dans ce minuscule lac dans lequel les chutes se déversaient, au loin. Toute cette eau s'échappait ensuite par un petit ruisseau qui descendait la montagne. « Pourquoi tu mets autant de temps ? Ne viens pas me dire que tu trouves ça froid, quand même ! » Lui lançais-je avec reproche et moquerie, encore une fois. Je continuai à nager devant ce paysage des plus beaux qu'il m'ait été donné de voir. Quand Charlotte fut près de moi, je lâchai : « Dommage qu'on ne passe qu'une seule journée. Je me sens différent, ici. » Je venais de m'ouvrir à Charlotte comme je ne m'étais jamais ouvert auparavant, et pourtant, ce que je venais de dire était plutôt banal. Mais pas venant de moi, et elle le savait.
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MessageSujet: Re: les vertiges d'en haut -charlotte les vertiges d'en haut -charlotte - Page 2 EmptyDim 17 Aoû - 19:59




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Les vertiges

d'en haut


Isaac Z. H-Baumrind




Comment je pouvais qualifier ma relation avec Isaac ? C'était une très bonne question, c'était pour moi un ami avant tout. Alcoolique comme pas deux, et défoncée les trois quarts du temps, je n'étais entourée que d'âmes sans vie. Bien que quand je voyais mes amis j'étais complètement normale, j'agissais naturellement, je me sentais proche de lui. Il était en quelque sorte une ressource pour moi, quelque chose de nécessaire. Et si je ne l'étais pas pour lui ça m'importait peu. J'apprenais à devenir égoïste au fil du temps, et de penser d'abord à mon bonheur et après à ceux des autres. Les relations fille/garçons n'étant toujours pas facile à cerner je ne pensais pas qu'un jour je serais instable avec lui. Oui, sauf jusqu'à toute à l'heure. Isaac ne s'ouvrait pas à vous, pas qu'il ne le voulait pas mais parce que ce n'était pas naturel chez lui.Il était vrai du coup quand il frôlait ses mains contre mon dos ça développer un certain intérêt pour moi. Nous étions là l'un au dessus de l'autre à nous regarder dans le blanc des yeux, respirant à peine. Mes questions je les laissais au placard pour le moment, je voulais avant tout profiter de cette seule journée ici. Mes yeux étaient scandalisés par tant de beauté, si bien que j'avais demandais si mon compagnon pensait pareil que moi. Nous étions là deux êtres humains que tout opposent face aux montagnes, aux plaines, à la beauté des rayons du soleil qui reflétaient sur ce lac. Après cet instant de merveille je voulais me rafraichir, pour aussi profiter de cette vue en personne ne pas être que spectatrice. Ma main dans la sienne je le tirait pour aller vers l'eau. Après m'être déshabillée, je lui demandais de me rejoindre. Ce moment était parfait, et peut-être aussi parce que je le vivais avec lui. Doucement du coup j'avançais à l'eau, non pas qu'elle était froide juste pour prendre mon temps, profiter de chaque instant. Puis ce n'était pas ici que nous allions montrer nos talents de maître nageur. Je soupirais de satisfaction face à la vue ne sentant pas Isaac arriver. Je détachais mon regard pour le poser sur le brun à côté de moi, je ravalais légèrement ma salive. Nous n'étions pas assez proches, pour que tout ça me laisse indifférente. Je me sentais bien avec lui, j'aimais ses moqueries, comme son côté détestable. Je répondais à sa remarque en levant les yeux aux ciels, puis je piquer une tête légère, pour me rafraichir, avant de me poser à ses côtés. Nous étions plantés là fascinés par ce paysage mais sa voix me rappela à l'ordre je tournais ma tête vers lui. Je laissais mon regard légèrement descendre sur la courbe de ses muscles avant de remonter à son visage. Il se sentait différent ici ? Différent par rapport à quoi ? Je ne faisais pas l'idiote, je savais qu'au fond la petite chute de toute à l'heure y jouer beaucoup. Je savais qu'il n'était pas facile pour lui d'exprimer ses sentiments, même pour des choses banales. Prenant les choses en main, je me posais là devant lui. Seul, ma poitrine n'était pas recouverte d'eau car le lac n'était pas profond j'avais encore pieds. J'avançais un peu plus vers lui, forçant ce contact proche, sans m'en rendre compte ma jambe droite avait caressé dans un mouvement une d'Isaac. Une fois bien en face de lui je m'armais de mon plus beau sourire, avant de dégager avec douceur une des bouclette du jeune homme qui était trop proche de son œil. Je lui disais alors d'une voix douce :

Différent ? Tu es sûr que ce n'est pas la vue qui te fait tourner la tête ?

Je ne voulais pas qu'Isaac se sente mal à l'aise avec moi, alors je le taquinais comme toujours. Mon cœur battant, encore plus fort j'étais presque collée à lui avant de déposer mes lèvres contre sa joue droite. Laissant une de mes mains caressait sans que je puisse le contrôler la nuque du jeune homme. Comme toute à l'heure je n'arrivais plus à respirer, ce contact me brûler, comme me faisait du bien. Je ne savais pas ce que je faisais, j'agissais avec plus d'envie qu'avec réflexion. Caressant les gouttes qui perlaient de son visage, j'étais plus absorbée par le paysage mais pas son regard chaque passerelle de son visage. Sans vraiment prendre le temps de réfléchir à mes actes, je laissais ma main sur sa joue tout en laissant mes lèvres salées être au contact des siennes. Après quelques secondes je me reculais aussi vite que j'étais venue le cœur battant, beaucoup trop. J'avais franchi les limites qu'autorisait Isaac face à son cercle vital.

Excuses moi..je ne sais pas ce qu'il m'a prit..




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MessageSujet: Re: les vertiges d'en haut -charlotte les vertiges d'en haut -charlotte - Page 2 EmptySam 30 Aoû - 16:31

Je sentis les yeux de Charlotte sur moi, sur mon corps, sur mon être et mon âme. Elle voyait tout de moi, elle pouvait me lire comme un livre ouvert ou presque ; parce que pour la première fois, je voulais bien la laisser faire. Je voulais bien lui ouvrir la porte qui donnait sur mon mal de vivre, sur ma douleur, sur mon incompréhension de ce monde si beau mais si cruel. Ce paysage était effectivement extraordinaire mais je ne me laissais pas berner ; il n'était qu'un mirage, pour me faire oublier à quel point la vie était un cadeau empoisonné. Charlotte était aussi un leurre, une illusion, une femme ensorceleuse qui allait me tromper, me perdre, me faire renier tout ce que j'avais un jour été. Et sa force d'attraction était plus intense que celle des montagnes et des rivières. J'allais être pris au piège.

La brunette s'approcha de moi, sa poitrine presque déposée sur mon torse et sa jambe droite effleurant la mienne. Le même sentiment que tout à l'heure s'empara de mon système nerveux. La jeune femme dégagea l'une de mes bouclettes qui tombait devant mon visage. Je lui souris faiblement, nerveusement, ravalant ma salive. Elle me questionna alors sur mon sentiment d'être différent. J'eus un petit rire étouffé. Je secouai la tête légèrement. « Non. Ça vient vraiment d'en dedans de moi ... C'est peut-être la vue, c'est peut-être toi, je sais pas, j'me sens ... mieux. Plus léger. » J'haussai les épaules. Je n'allais pas commencer à lui raconter comment mes idées suicidaires étaient habituellement les plus vives émotions que je ressentais. Je n'allais pas lui avouer que ce bref moment de bonheur éclaircissait enfin les nuages noirs qui tournaient au-dessus de ma tête. Mais j'allais mieux. C'est tout ce qu'elle avait besoin de savoir.

Charlotte s'approcha un peu plus de moi encore et son visage s'approcha du mien. Ne sachant pas ce qu'elle allait faire, je paniquai un peu et j'eus peut-être même un certain mouvement de recul, mais les lèvres de la demoiselle ne vinrent que se déposer sur ma joue. Ce geste était déjà plus intime que toutes mes relations avec les autres femmes. Parce que ce n'était pas qu'un baiser innocent, ou un baiser sans signification. Pas comme la totalité des autres démarques d'affection que je donnais aux femmes. Sa main caressait ma nuque. Son autre main essuyait les gouttelettes d'eau sur ma peau, sous mes yeux, sur mes joues. Et ses lèvres franchirent mes barrières, mes lois, mes limites, mes règles. Ses lèvres franchirent ma raison. J'étais droit comme un piquet alors qu'elle m'embrassait doucement. Moi, je ne bougeais pas. J'étais pétrifié. J'étais plongé dans l'inconnu, plongé dans la torpeur. Bien vite, Charlotte se rendit compte de mon état léthargique et elle se recula rapidement, s'excusant de son acte. Je la regardai le regard vide pendant d'interminables secondes. J'étais encore secoué par ce flot d'émotions positives qui s'étaient emparées de moi durant ce baiser. C'est fou, mais je m'étais senti voler. Tellement léger que j'avais lévité. Dans ma tête, évidemment. Et ça me faisait peur. Ça m'effrayait que cette femme soit capable de chasser mes idées noires par un simple regard. Je repris finalement mes esprits et eut un petit rire forcé. « Je savais que tu voulais essayer depuis le début. C'est bon, au moins maintenant on pourra passer à autre chose. » J'avais voulu reprendre le même ton de voix qu'auparavant avec elle, ce ton de voix moqueur, un peu méchant sur les bords. Je voulais me protéger. Le statu quo était préférable pour moi, je n'aimais pas l'instabilité. Et Charlotte me faisait trop perdre l'équilibre. Cette pente glissante n'augurait rien de bon. « Bon, on continue ? » Je retournai au bord, où je repris mes vêtements que j'enfilai malgré que mes sous-vêtements étaient encore mouillés. Ça allait sécher. Charlotte était maintenant elle aussi habillée. Nous continuâmes notre ascension de la montagne. Je ne disais plus rien. J'avais le coeur noué, j'avais mal à l'âme, j'avais envie de mourir. Au devant de Charlotte, de dos à elle, j'avais même les yeux remplis de tristesse.
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MessageSujet: Re: les vertiges d'en haut -charlotte les vertiges d'en haut -charlotte - Page 2 EmptyJeu 4 Sep - 15:22




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Les vertiges

d'en haut


Isaac Z. H-Baumrind




Cette journée était particulière, ce n'était pas que le paysage, la chaleur des rayons de soleil, ou la fraîcheur de ce petit lac sur mes cuisses qui rendait cette journée particulière. C'était très étrange ce moment avec Isaac, car pour la première fois il s'ouvrait à moi de façon spéciale. Finalement je me postais contre lui, ma poitrine pointant le bout de son nez sur le torse du jeune homme. Je laissais une bouclette caressait légèrement mon doigt pour la déplacer de son visage. Je lui demandais alors si ce n'était pas la vue qui le troublait. Je lui souriais, légèrement sans m'attarder sur la question sauf que quelque chose résonnait dans ma tête cependant, le fait que je le troublais. Un petit raclement de gorge se faisait entendre de mes lèvres. J'étais contente qu'il allait mieux. Je lui administré un léger baiser sur sa joue je sentais que ça le secoué légèrement. Nous n'étions pas le genre d'amis proche à passer des heures sur des embrassades. Non, généralement on sautait cette étape, pour passer juste du temps ensemble. Mais je ne pouvais pas contrôler mes gestes, contrôler cette main qui le touche de manière osé, l'autre qui essuyait avec douceur les quelques gouttes d'eau qui avaient pris place sur sa peau. Sans que je puisse le prévoir, les lèvres percutaient les siennes dans une extrême douceur. Le jeune homme semblait indifférent sur ce qui venait de se passer. Il restait là sans bouger, ce qui me gêna sur le coup et je présentais de plate excuses suite à ce geste déplacé de ma part. Je ne savais pas pourquoi je l'avais embrassé, mais j'en avais eu envie, et cette envie grandissait d'avantage quand je me perdais dans son regard vide. Je ne savais pas ce que je représentait pour lui, pour moi il était mon échappatoire, il souriait que très peu mais à chaque fois qu'il souriait ça me faisait comme un baume sur le cœur. Je restais là pendant un nombre incalculable de secondes. Je ne comprenais pas trop ce qui venait d'arriver. Finalement il reprenait son esprit en jouant un peu, essayant de cacher son malaise face à la situation. Je le tapotais à l'épaule en lui disant :

Genre, c'est toi tu as dis que je te troublais je n'y peux rien !


Finalement nous décidions à retourner à la montagne. Je marchais sur le bord du petit lac cherchant des yeux mon sac y j'y avais entreposé mes affaires. Me rhabillant la hâte, encore trempée je le suivais. Il marchait tellement vite que j'avais du mal à le rattraper. Je ne comprenais pas pourquoi il m'évitait à présent. Parce que j'avais l'embrassé ? Il ne ressentait rien après tout. Quand je le voyais de dos, on aurait pu croire que c'était un jeune homme normal. Que rien ne l'empêcher de vivre, qu'il aurait pu être heureux et sans problèmes. Pourtant il était tout autre chose, chose que je n'arrivais pas à comprendre. Finalement j'arrivais à le rattraper, prenant le bout de son bras ,e le poussais pour qu'il se retourne face à moi. Je le voyais les yeux brillants de larmes, je ne comprenais rien. Je lui disais en le collant à moi, tout en montant sur la pointe de mes pieds, plantant mon regard dans le sien en lui disant sèchement.


Isaac tu ne vas pas me dire que tu ne ressens jamais rien. C'est pas vrai je ne peux pas te croire.


Lui disais-je sans le quitter des yeux. La voix légèrement tremblante. Je voulais qu'il s'ouvre à moi même si je dois le regretter plus tard. Je savais que ce baiser prouver quelque chose, qu'il avait un cœur peut-être non ? Qu'il n'était pas qu'un fantôme de San Francisco. Il était important comme tous les humains, alors pourquoi dieu fallait-il qu'il soit comme ça ? Je ne voulais pas le changer, je voulais comprendre. Son regard me retourné complètement, je me sentais mal pour lui. Mes mains encadraient son visage, avant de lui dire en me pinçant les lèvres :

Dis moi..ce que je peux faire..s'il te plaît..



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MessageSujet: Re: les vertiges d'en haut -charlotte les vertiges d'en haut -charlotte - Page 2 EmptySam 6 Sep - 17:25

Je sentis sa main se refermer sur mon bras, et elle me poussa pour que je me retourne vers elle. Ce que je fis, essuyant mes larmes d’un geste que j’aurais voulu rapide et subtil. Il ne le fut pas. Je me sentais vulnérable, je me sentais mis à nu. J’avais envie de reculer dans le temps et de refuser cette sortie à Yosemite. Mieux encore, m’effacer, et mourir. Charlotte me colla à elle, son regard planté dans le mien fuyant. Mais elle insistait et je fus obligé de la regarder à mon tour, la dévisageant d’un regard à la fois fâché qu’elle me force ainsi à m’exposer et à la fois toujours aussi désemparé. Ce qu’elle me dit me blessa. Parce que je n’aimais pas être confronté à mes émotions. C’était trop difficile. J’essayai de me détacher de son emprise mais sa main se referma davantage sur mon bras. J’aurais facilement pu m’en défaire par la force, mais j’étais lâche. Alors je lui répondis, d’une voix directe, brusque et triste : « Je ne ressens rien de bien, Charlotte !!! Je n’arrive pas à ressentir quoi que ce soit de positif !!! La joie, l’amusement, l’amour, l’attachement, ce que tu veux, j’y arrive pas … » Dis-je en secouant légèrement la tête de gauche à droite, ma voix se brisant, devenant presque un gémissement de supplication. Parce que je suppliais quelqu’un, quelque part, de me libérer de ma tristesse. Les larmes remontant à mes yeux, je continuai : « Toute ma vie, je n’ai été qu’habité par la peur, la honte, la colère, la tristesse, la déception … Je ne connais rien d’autre. Alors oui, je ressens des choses. Mais rien qui vaille la peine d’être ressenti … d’être vécu. » Ma voix tremblait encore plus que celle de Charlotte quelques instants plus tôt. C’était inconnu pour moi que de parler de ce que je vivais. De ce que j’avais dans la tête et dans le cœur. De ces ombres qui planaient sur ma vie depuis ma plus tendre enfance. Voyant que je n’ajoutais rien, que j’étais prisonnier de ma torpeur, la brunette encadra mon visage de ses douces mains et me demanda ce qu’elle pouvait faire pour moi. J’eus un léger rire de désespoir. « Mais rien. Rien, Charlotte. Tu ne peux rien faire. » Répondis-je en haussant les épaules et en secouant la tête de nouveau. Je me défis finalement de son emprise, prenant ses deux mains dans les miennes pour les baisser le long de son corps, et je reculai, essuyant une seconde fois mes larmes qui avaient recommencé à tomber sur mes joues. « Je ne peux rien faire moi-même, alors je ne vois pas ce que toi t’y pourrais. Tout ce que je peux faire c’est attendre … attendre d’être délivré de ma souffrance, délivré de cette putain de vie de merde qui ne sert à rien. Si seulement j’étais capable de le faire moi-même, tout serait bien plus simple … ce serait réglé depuis longtemps … » Je reniflai, loin de l’élégance, et je m’assis sur une roche qui se trouvait non loin de là. Je n’avais plus la force de me tenir debout. Je n’avais plus la force de le faire depuis longtemps mais là, c’était pire encore. Parce que j’avais craqué, j’avais trahi ma plus grande promesse faite à moi-même : ne jamais révéler l’existence de ces idées noires que j’avais. Mais Charlotte avait gratté à la bonne place et ma plaie s’était ouverte et j’avais saigné. Maintenant je voulais rentrer chez moi, rester dans l’ombre, et ne plus jamais voir la lumière du jour. Ne plus jamais voir Charlotte ; ma lumière du jour.

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Les vertiges

d'en haut


Isaac Z. H-Baumrind





Je n'étais pas le genre de femmes à lâcher l'affaire qu'importe l'affaire. Je n'étais pas que vexée parce que Isaac avait eu un mouvement de recul face à mes avances. Ce n'était pas ça qui m'importait, mais je tenais à lui. J'essayais tant bien que mal de lui montrer que la vie valait le coup d'être vécue, et que de surcroît je pourrais l'emmener avec moi. Je ne voulais pas spécialement d'amour, je voulais juste montrer que j'étais là près de lui et vivante. Que je n'avais pas peur de lui , et de ce qu'il le tourmentait. Je l'appréciais peut-être plus que toutes les personnes vivants sur terre j'imaginais. C'était pourquoi je le prenais par le bras pour me le ramener à moi, pour le ramener à une réalité différente de la sienne. Sa voix me chamboulait encore plus quand j'entendais ce ton brusque et triste. Ce qui n'était pas approprié à la tête du jeune homme. Il était brun, grand ténébreux, le regard puissant. Mais là quand je le voyais, il semblait fragile comme un petit cœur en porcelaine. Quand je sentais sa tête tournait dans tous les sens je l'encadrait de mes mains en lui disant de se calmer, caressant du bout des doigts ses joues brûlantes. Je lui laissais la parole, car on disait que quand un homme commençait à parler fallait le laisser faire, ne pas le couper pour pouvoir enfin avoir la réponse adéquate. Ses larmes dans ses yeux me faisaient couler les miennes, je n'aimais pas le voir triste, je me pinçais les lèvres pour me retenir. Me retenir de quoi ? Je ne voulais pas qu'il soit mal, je l'aimais comme un ami, ou un peu plus. Mais je l'aimais. Et je ne pouvais pas le laisser se morfondre comme ça. Je lui disais alors , mes mains entrain d'essuyer ses larmes.

Laisse moi, te donner une raison de vivre.

Ca sonnait comme un supplice. Je ne savais rien de sa vie, mais je ne voulais pas le forcer à me parler encore. Je voulais faire quelque chose pour lui, mais il prenait mes mains pour les retirer de lui, un hochement de cœur je le regardais dans les yeux pas de compassion mais de culpabilité, quand je sentais l’électricité de ses mains d'homme. Je renforçais la pression de ses mains dans les miennes, mais finalement elle atterrissaient sur mon corps devenu sans vie. Assis sur son rocher je ne détachais pas mon regard de lui l'écoutant me raconter qu'il voulait lui aussi changer, qu'il voulait ne plus être dans cet état que lui s'il le voulait c'était se délivrer de cette vie de merde. Je m'approchais de lui me mettant entre ses jambes, essuyant son visage une dernière fois. Je lui disais dans un sourire angélique près de son oreille :

Bon viens on va là-bas dans le chalet, je sais que c'est sympa là bas on va se faire une bonne petite bouffe et puis aussi se reposer j'ai un mal de chien aux jambes.

Lui demandais-je dans un sourire, pour lui montrer que ok, il n'était pas bien mais je pouvais passer dessus moi aussi. Lui montrer que j'étais là pour lui, d'une autre façon. Ce soir ça allait être son soir, j'allais le faire rire, lui changer les idées.



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