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sometimes it's hard to find the words to say. (zadig)

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MessageSujet: sometimes it's hard to find the words to say. (zadig) sometimes it's hard to find the words to say. (zadig) EmptyJeu 13 Mar - 18:02

“ Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre. ”
Un mois. Un mois que la demoiselle à poser bagages sur la baie de San Francisco. Malgré son fort tempérament, elle subi beaucoup de choses. Entre humiliation, chantage, dispute à longue de journée. Briséïs ne désire qu'une seule chose. Que tout cela cesse une fois pour toute. En attendant, celle-ci se lève tôt ce matin-là. Pour aller étudier à la bibliothèque. Mais, surtout rattraper le retard qu'elle accumule depuis, son départ d'Harvard pour venir à Berkeley. S'habillant d'une façon décontractée, elle attrapa au vol son sac avant de s'aventurait dans les couloirs. Les estudiantins présents dans les couloirs se moquer ouvertement de Briséïs. Ne voulant pas rejoindre le bureau du directeur, elle gardait toute émotion à l'intérieur. Elle préfère ne rien montrer. Puisqu'elle ne désire aucunement se faire renvoyer d'ici à l'heure actuelle. Après, dix minutes de marche, Briséïs arrive finalement à la bibliothèque. Elle fit le tour des allés du lieu pour récupérer plusieurs livres avant d'aller s'installer à une table. Elle commence à sortir des feuilles blanches et, un stylo. La demoiselle croise accidentellement le regard d'un homme. Un homme qu'elle avait connu en Europe. Zadig Rosenbach. Elle se rappellera et, se rappellerait toute sa vie de cet homme. Zadig s'est clairement Briséïs au masculin. Ils sont identiques. Ils se complètent. À l'époque, les deux jeunes gens s'amusaient à se lancer des défis. Plus loufoques les uns que les autres. Ils avaient aucunes limites. Aucune règles de jeux. Le mot d'ordre, c'était amusement. Néanmoins, cette relation ne dura qu'un court instant. Puisqu'un jour au lendemain, Briséïs ne voyait plus Zadig. Et, elle n'avait aucune explication à cela. Le destin avait encore une fois décidé de séparer l'homme de Briséïs. Ce n'était pas la première fois. Ça ne sera pas la dernière non plus. À croire que Briséïs fait fuir les personnes qui deviennent importants dans sa vie. C'est devenu un rituel, un rituel qui ne la tracasse pas plus que cela. Briséïs fit semblant qu'elle ne l'avait pas vu. Et, ce replonge dans les bouquins en quête d'information. La demoiselle commence à remplir une première feuille blanche d'informations capitale pour son retard. Des informations qu'elle pourra mettre en texte, une fois dans sa chambre au calme. Même si la bibliothèque est un lieu dit paisible et, calme. Celle-ci préfère travailler dans sa chambre loin du monde qu'ici. Elle remplit une deuxième fois d'information et, une troisième. Dès qu'elle est plongée dans les livres, cela devient difficile de lui faire relever la tête. Après, deux heures de travail acharnés sur ces bouquins. Elle se décide d'aller ramener ses livres et, en récupérait d'autres. En sachant pas, que Zadig allait être dans les parages. Il allait certainement se rappeler, de Briséïs. Entrant dans l'allée des livres de sociologie, la demoiselle cherchait un livre en particulier. Quand elle percute malencontreusement le Rosenbach. Se sentant mal à l'aise et, n'ayant toujours pas relevé la tête. « Excusez-moi ... je ne regardais pas où j'allais ! » Décide-t-elle à répondre d'une petite voix timide. Sauf, qu'une fois la tête relevée. Briséïs fut choqué et, énervé. Elle venait de s'excuser auprès de Zadig Rosenbach. C'était la première fois qu'elle était dans cet état devant lui. Mais, officiellement la dernière fois qu'il la voyait dans un état pareil. Le fixant droit dans les yeux, elle n'était pas prête à baisser la tête, loin de là. Elle n'avait pas peur de Zadig. Et, ne l'avait jamais été, ce n'est pas maintenant qu'elle commencerait à l'être. « Oublie ce que je viens de te dire ... Je ne m'excuserais jamais auprès d'un Rosenbach. » finit-elle par dire d'une voix plus convaincante que la première où elle semblait timide. D'ailleurs, Briséïs est jamais timide généralement. Mais, aujourd'hui et dans ce lieu. La situation avait l'air de la dépasser totalement. Ce n'est pas le fait d'être devant un Rosenbach qui la rendait vulnérable. Elle ne flancherait jamais devant cette famille. Que ce soit, de la cousine à la sœur. Briséïs n'a pas peur de cette famille puissante. Elle a vécu déjà un tas d'horreur dans sa vie, elle n'avait strictement plus rien à perdre. Finir à l'hôpital, ne lui faisait pas peur non plus. Elle est une femme forte, elle sait se montrer convaincante quand la situation se devrait de l'être. Elle sait être manipulatrice. Elle est joueuse. Briséïs a certes énormément de défaut mais, ses qualités sont encore plus intéressantes à découvrir. Mais, elle reste néanmoins elle-même. Pas besoin de jouer un jeu. De faire semblant d'être tel ou tel personne. Seulement elle-même. C'est d'ailleurs pour cela, qu'elle avait réussi par se faire apprécier de certaines personnes. En occurrence, Jayan, son Clyde, son duo. Il est quelqu'un d'important à Berkeley. Elle le sait parfaitement mais, ça ne l'empêche pas de le fréquenter et, de l'apprécier à sa juste valeur. Briséïs faisait toujours front au jeune homme sans un moindre sourire. Elle était simplement contrariée par la présence de celui-ci. Cela pourrait sembler étrange, en sachant, qu'à l'époque ils aimaient se donner des idées et, qu'une cette relation s'était quelques peu créé. Mais, voilà avec le recul Briséïs avait du mal avec Zadig. Pourtant, elle n'avait aucune réponse pour le comportement qu'elle avait en ce moment précis. Elle ne savait vraiment pas pourquoi elle réagissait de cette manière. Était-ce parce qu'il était parti sans donner d'explication ? Était-ce parce qu'elle s'était attachée à-lui, sans qu'elle s'en aperçoive ? Briséïs avait des milliers de questions en tête qui défilée à une allure hallucinante.
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MessageSujet: Re: sometimes it's hard to find the words to say. (zadig) sometimes it's hard to find the words to say. (zadig) EmptyMer 19 Mar - 15:42


A women is not written in Braille, you don't have to touch her to know her.
Regard ambré sur le plancher lavé, les étagères alignées, les étudiants louchant sur les lignes noircies de leurs manuels, mains dorées rentrées dans les poches doublées de satin de son duffle-coat anthracite, Zadig raye le sol des talons plats de ses chaussures, l'air satisfait. Il pénètre dans le silence studieux de la bibliothèque du campus, laisse l'odeur de poussière mêlée au parfum âcre du détergent se glisser avec lenteur dans ses narines, inhiber son odorat alors qu'il entre dans le sanctuaire du savoir. Une moue délicieusement hautaine fixée sur les proéminences élégantes de son visage, il laisse ses doigts effleurer la tranche rêche d'une lignée ordonnée de bouquins allant du rougeâtre au vert d'eau. Il cherche quelques livres sur l'économie, recommandés par son professeur pour lui spécialement. C'est bien connu, malgré son attachement indéfectible aux fêtes estudiantines et aux frasques irrépressibles d'une jeunesse dorée, Zadig reste un élève aux aptitudes remarquées avec, derrière les grandes vitres marrons de ses pupilles, un éclat de génie qui scintille avec ardeur. Une lueur dans les profondeurs d'une âme impénétrable, une flammèche éclatante dans le sombre de ses yeux, qui verdit devant des feuilles encombrées de cours, qui lui donne cette expression d'exaltation instruite qui le transforme en ce farfadet savant avec toute la virilité et la condescendance qu'on lui connaît. Héritier érudit, manipulateur et mathématicien hors pair, il balade son beau slim noir dans tout Berkeley, son petit torse d'athlète couvert d'un fin pull de coton gris, et il apprécie les regards féminins appuyés qui se déposent sur lui quand il traverse avec prestance les couloirs clairs de son université. Zadig c'est l'aristocratie insolente, les plaisirs acidulés de l'indécence, le refus ancré profond dans son esprit d'obéir aux règles, mais l'élégance et l'image avant tout. Il a des principes par centaines, des idées par milliers, des obligations par millions et des billets par milliards, mais une seule devise, une seule règle de vie, l'unique ; « carpe diem ». Ses ongles grattent le papier luisant de la couverture d'un livre, l'attire vers lui. Ses grands yeux sévères s'attardent sur les lettres bleutées imprimées sur le carton blanc, il repasse mainte fois ses doigts sur la surface plane, propre, ses critères réduits étaient son apologie, il considère avec son orgueil vexant chaque facette du bouquin, lèvres serrées, respiration saccadée. Il respire avec une lenteur appliquée alors qu'affleurent dans son esprit cultivé quelques remarques acerbes sur l'apparence simpliste de ce livre, « Le capital au XXIème siècle ». Il tait cet esprit critique au possible et avance sur le sol grinçant, sa paume moite contre la manuel glacé. Il bifurque dans une allée inondée par les rayons solaire d'un hiver à peine terminé, embrasse d'un regard confiant la mélasse de livre à peine rangés qui encombrent les rayons, s'effondrent les uns sur les autres comme des rescapés de guerre, aux pages jaunies, aux couvertures délavées par la lumière puissante d'un astre solaire omni-présent, aux innombrables petites griffures blanches qui rayent la tranche, aux coins cornés, à l'air usé, fatigué. De vieux livres qui font reluire en un regard leurs faiblesses et leur vulnérabilité, qui sentent encore bon le bois coupé malgré les années écoulées, et qui sont les plus vaillants, les plus beaux, les favoris du Rosenbach. Ils ont du vécu, des mois et des mois entassés derrière leur papier noirci par les caractères noirs, par les petites annotations brèves des passionnés dans les coins discrets d'une page... Ils ont ce charme surrané inimitable. Sa main s'approche avec une délicatesse maladroite des rangées imposantes de vieux soldats de la littérature, avant d'être décalée d'une dizaine de centimètres quand une tête brune vient donner un coup dans le bras de Zadig. La jeune femme présente des excuses bafouillées en relevant son visage vers lui, et aussitôt sept lettres se forment entre ses tempes, un prénom, lié étroitement à cette peau de porcelaine que le soleil caresse chaudement devant lui. Briséïs. L'unique, la seule. Pas si différents l'un de l'autre, mais terriblement éloignés. Révulsés par leur propre nature. « C'est que tu as changé, Monaghan, je t'ai connue plus polie, cingle-t-il en fendant le bas de visage d'un immense et ironique sourire ravi. Et arrête de me regarder comme ça, tu veux ? Je n'ai tué personne. » il accompagne ses paroles d'un violent rire satisfait, dévoilant sa denture blanche, impeccable. Il la considère de son mètre quatre-vingt neuf avec une supériorité manifeste, perchant ses deux grands yeux chocolats au dessus d'elle et sa tignasse brune. « T'as toujours la même gueule d'ange qu'avant, dis-moi. T'en as pas marre de me suivre partout ? Fallais vraiment que tu viennes me chercher jusqu'en Californie, t'es aussi accro à moi que ça ? T'en fais pas, je comprend, j'ai un charme fou, mais voir une fille aussi dépendante, tu m'excuseras, mais ça me fait un peu pitié. » il joue délicieusement avec les nerfs de la princesse Briséïs, un de ses jeux préférés, un manège que jamais il n'abandonnera tant qu'elle sera dans ses pattes. La titiller jusqu'à ce qu'elle craque, jusqu'à ce qu'elle s'avoue vaincu, c'est le grand amusement du bel héritier. « Entre nous, on a tout les deux toujours su que t'étais folle de moi. T'as juste pas voulu le reconnaître, mais à ce petit jeu c'est toujours moi qui gagne, tu le sais très bien. » il conclut ses grands mots d'un indécent petit clin d'oeil qui saura, il en est sûr, faire enfler la colère de sa petite demoiselle.  
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MessageSujet: Re: sometimes it's hard to find the words to say. (zadig) sometimes it's hard to find the words to say. (zadig) EmptyVen 9 Mai - 0:20

“ T'aimer m'a rendu folle dans un sens. Je n'étais plus capable de différencier ce qui était bien ou mal pour moi. Je me focalisais seulement sur toi, sur ce que tu aimais, sur ce que tu voulais et sur ce dont tu avais envie. J'avais tellement envie d'être la fille qui te changerais. Je sais que ça fait cliché et que c'est ridicule. Je sais aussi que tu ne crois pas à l'amour. Mais, j'y peux rien c'est comme ça. ”
Un silence studieux flottait dans les airs de cette bibliothèque. Un air tellement studieux qu'on pouvait entendre une mouche voler sans le moindre problème. Briséïs traînait dans l'unes de nombreuses rangées d'étagères de livre qui se trouvait dans ce lieu. Un lieu mystique et apaisant pour la demoiselle. Elle aimait sentir l'odeur de la poussière mélangée avec du détergent. Un odorat qui pourrait en déranger plus d'un. Cela faisait déjà quelques minutes qu'elle inhibé cet odorat dans ce sanctuaire. Elle avait entre ses doigts un livre de sociologie. Un livre qui avait une couverture de couleur vert d'eau. Il était usagée en cause de l'âge qu'il avait. Depuis le temps qu'il traine sur ses étagères remplies de poussière. Ce livre avec du vécut, pas mal de vécut. Une chose qui faisait apprécier à sa juste valeur la sensation que Briséïs avait, quand elle le tenait entre ses doigts. Rejoignant une deuxième rangée de bouquins anciens, elle en cherchait un spécifiquement. Un livre qu'un de ses professeurs lui avaient recommandés personnellement. Étant pratiquement la meilleure de sa session, Briséïs pouvait se permettre quelques recommandations. D'ailleurs, elle s'en cache pas, elle l'évoque naturellement quand, certaine personne essaye de la pousser à bout. Elle est forte, bien plus forte d'un groupe d'amis qui pourrait se mettre contre elle en sachant qu'ils sont cinq. Briséïs peut remettre n'importe qui a sa place. Elle a peur de rien. Ni de personne. Elle avait capté qu'une certaine personne s'attirait les regards de tous les estudins qui étaient présents dans le sanctuaire. Mais, elle s'en contre-fichait de savoir qui cela pouvait bien être. La seule chose qui lui semblait intéressant à ce moment précis. C'est de trouver ce bouquin qu'on lui avait recommandé. Le reste, lui semblait vraiment petit à côté. Depuis, que Briséïs est arrivée à Berkeley. Elle s'intéressait qu'à ses cours, ses résultats et, surtout Jayan. Elle avait enfin retrouvée son Clyde, elle ne comptait pas le lâcher. Il était très important à ses yeux. Peu importe ce que les gens penseront, il le resterait quoiqu'il arrive. Quoiqu'il advienne. Elle se fiche des conséquences que cela pourrait avoir. Même la nouvelle petite-amie de Jayan, elle s'en fichait. Le principal c'est que son ami soit heureux. Point barre. Toujours à la recherche de ce fameux livre qui commençait à se faire désirer. En y réfléchissant bien, Briséïs se demandait si, son professeur ne s'était pas trompé. Puisque cela faisait déjà presque une vingtaine de minute que la demoiselle était à sa recherche. Pour l'instant, mainte réussite. Voulant à tout prix mettre la main sur ce fichu bouquin poussiéreux. Elle se retrouvait dans une nouvelle allée de bouquins empilées les uns sur les autres, sur au moins cinq bons mètres. Soupirant de désespoir, elle finit par percuté une personne. Ne pensant pas un fragment de seconde que cela puisse être le seul et l'unique Zadig Rosenbach. Elle avait avoué en bafouillant des excuses médiocres. « .Tu as donc la preuve, que le monde change Rosenbach. » Maugréa-t-elle en ayant un maigre sourire. « .J'ai le même regard te concernant, il n'a jamais changé. » Il était loin d'intimidé la demoiselle. D'ailleurs, il devrait s'y reprendre à deux fois. Puisque son rire était plus que pitoyable, digne d'un Rosenbach malheureusement. Mais, elle s'avouait pas vaincue pour autant. Puisqu'elle prend la peine de dévoiler sa dentition blanche, d'une perfection incroyable. Son air supérieur, faisait sorti Briséïs de ses talons aiguilles. Un comportement, qui a toujours énervée au plus haut point la demoiselle. Il n'avait rien de plus que les autres, hormis l'héritage de sa famille. Sans eux, il serait aussi pauvre que Briséïs, allons savoir. « .De ton côté, toujours ce côté arrogant qui est énervant. J'ai d'autre chat à fouetter que de te suivre partout comme un chien. Je suis loin d'être accro à un type de ton espèce. Je préfère mourir d'un accident que de devoir te suivre. T'es loin d'avoir un charme fou Zadig. » Elle ne prenait même pas la peine de répondre à sa dernière réplique. Cela lui ferait tellement plaisir qu'elle s'énerve sur-le-champ. Qu'elle n'avait pas l'intention de lui faire ce malin plaisir. Énerver l'un ou l'autre. C'était ça, leurs passe-temps favoris à Rosenbach et Monaghan. Quand ils se sont connus au Canada. Mais, cette époque est tellement loin de maintenant. Que Briséïs s'en fichait du jeune homme. Du moins, elle voulait lui montrer cette facette de sa personnalité. Même si Zadig désire par-dessus tout, que Briséïs s'avoue vaincu. Elle ne le ferait jamais, quitte à faire comme Raymond et Huguette dans scène de ménage. Elle tiendrait bon jusqu'à la fin s'il le faut. « .Tu prends souvent tes rêves pour la réalité ? Puisqu'à l'époque si mes souvenirs sont bons. C'est toi qui essayait par tous les moyens de m'obtenir. Sauf, que je n'ai pas été comme toutes tes conquêtes d'un soir pathétique les unes que les autres. » Même si Briséïs, en ce moment précis, elle bouillait de l'intérieur. Elle ne montrerait rien de sa colère au damoiseau pour l'instant. Laissons passer quelques temps, avant d'allumer la flamme. Elle restait devant lui de marbre, elle était impassible. Aucune émotion pouvait se lire sur le visage de la jeune femme. Elle était fière de réussir à être ainsi devant lui. Voulant le provoqué à son tour, elle lui lança un petit clic d'oeil. D'ailleurs, grâce à cette petite bousculade suivie de retrouvailles intense. Elle avait réussi à mettre la main sur le livre dont elle avait besoin d'urgence. Une fois, à sa possession elle tourna le dos à Zadig avant de s'en aller vers d'autres horizons qui se trouvaient à quelques mètres de la bousculade. Elle avait tout simplement rejoint la table qu'elle s'était appropriée pour faire ses recherches.

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