« Le samedi tout est permis » , c'était l'un des dictons de Tamera. Mais bon, on pouvait dire la même chose des autres jours de la semaine. La jeune femme se leva de son lit après avoir envoyé des messages dans son lit pendant une heure à son amie Sahara. Il était dix heure, elle se leva et alla se servit un bol de céréales multicolores et s'installa devant les dessins animé. Oui, c'était son plaisirs coupable du week-end, elle regardait les dessin animé. Si la moitié de son répertoire masculin savait ça elle perdrais le quart de son sex-appeal. Mais tans pis, Samedi tout était permis ! Une fois le dernière épisode de bob l'éponge terminé elle éteignit le poste et se leva pour se vêtir et se maquillée  . Un pantalon en cuire noir , un mini haut blanc qui laissait paraître son nombril et talon rouge. Elle se regarda dans le miroir pour s'assuré que tout était « ok » avant de partir.
Tamera  avait une envie soudaine de faire les magasins. Elle entra donc dans une galerie marchande au hasard. Elle sentait les regards sur elle comme d'habitude. Il fallait dire qu'une jeune femme aussi belle et aussi bien habillé qu'elle, ça attirait l’œil. Elle pénétra dans un premier magasin de prêt à porté et son œil fut très vite attiré vers une jolie robe de soiré dorée. Elle était moulante «  Parfait pour mon petit cul » ; pensa la jeune femme avant d'aller en cabine. En effet, la robe lui allait à merveille, elle mettait en valeur ces fesses rebondis et sa poitrine parfaite. Elle sortit donc rapidement de la cabine robe en main, fit rapidement le reste du magasin avant de passer en caisse et de s'en aller. Et ainsi elle fit deux trois autre boutiques avant de tomber sur un boutique sous vêtements, elle entra à l’intérieur et salua poliment le vendeur qui lui fit un clin d’œil au passage. Après un tour de la petite boutique elle sectionna un porte-jarretelles en dentelle rouge et noir et un soutient gorge rouge. Elle passa en caisse immédiatement n’ayant pas besoin de les essayer pour savoir que cela lui allait. La belle connaissait son corps mieux que quiconque et elle en était fière. Elle savait aussi qu'une autre personne connaissait aussi pas mal son corps qui risquait de se réjouir de cet achat. Elle sourit en pensant à lui et son jolie sourire. Elle décida de rentré satisfaite de ces deux acquisitions, mais sur le chemin, elle ne cessa de penser à lui. Lui.  C'était comme si il se connaissait déjà depuis longtemps, il lui remontait le moral quant ça n'allait pas et répondait souvent présent. Elle savait que si elle lui envoyait un message à trois heure du matin, il lui répondrais, mal sûrement , mais il serait la... Pourtant au début ils ne se parlait presque pas, ce n'était que charnelle. C'est avec le temps, plus ils se voyaient plus ils s’appréciaient. Mais Tamera ne laisserait jamais entre voir le moindre sentiment. Cela avait été clair des le début, ce n'était que physique entre eux et rien de plus. Et puis elle savait que pour lui ce n'était qu'un jeu, il était plus jeune qu'elle, il devait être très fièr de lui d'avoir eu une femme plus vieille que lui dans son lit.
Sur le chemin de chez elle Tamera se rappela tous ces moments charnelles qu'elle avait passé avec lui et cela lui en donnait des frissons. Elle rentra donc rapidement chez elle, enfila ces nouveaux sous-vêtements avant de repartir assez rapidement. Elle se dirigeait vers l'appartement de Nathan. Oui  Nathan c'était comme ça qu'il s'appelait. Jeune homme au visage poupons mais au corps et à la voix d'homme. Une fois en face de la porte, elle entra directement sans prendre le temps de toquer. Il était la debout en caleçon dos à la porte dans la cuisine . Elle sourit contemplant son dos musclé pendant un quart de seconde. Elle retira alors vite ces chaussures et fonça directement sur lui, plaçant ces mains de parte et d'autre de sa taille et lui chuchotant à l'oreille. « Hey, coucou toi... »

Décidément le sort voulait que tu ne trouves rien à manger ce matin. Tes placards étaient complètement vides et ça commençait à creuser sérieusement dans ton estomac, tu soupiras et, alors que tu allais refermer les portes, deux mains froides et douces se posèrent sur ta taille et un souffle chaud s'écrasa contre ton oreille -"coucou toi". Tu frissonnas légèrement deux fois de suite. Cette voix, tu la reconnaîtrais entre toutes : c'est elle. Enfin c'est sûrement une hallucination puisqu'il doit être 10h30 et que personne ne se pointe dans un appartement sans prévenir.

Tu tournas la tête et la fixas comme si tu avais vu un fantôme. Et oui c'est bien elle qui a posé ces mains et qui a prononcé ces mots. Tu te redresses et la contemples de haut en bas. Elle est très belle, très sexy, elle a toujours été une de tes préférées. Peut être que c'est elle qui te troublait ce matin lorsque tu semblais perdu dans tes pensées. Vous n'avez jamais rien fait que coucher ensemble et faire semblant d'être de bons amis. Enfin, semblant c'est ce que tu as toujours prétendu. Au fond je suis sûr qu'il y a toujours eu plus que ça. Tu baissas ton regard quelques instants pour admirer ce corps que tu connaissais si bien et avec lequel tu avais déjà eu l'occasion de t'amuser après les soirées ou quand tu t'ennuyais. Ces courbes parfaitement dessinées, ce regard provocateur et cet air de femme fatale sur qui tu aimes tellement prendre le dessus. Elle est plus petite que toi alors lorsque tu la regardes on a toujours l'impression que tu vas lui faire du mal.

Tu la fixais toujours dans les yeux, quand tu te dis que tu ne devais pas jouer trop les tendres avec elle. Je pense qu'elle aime ce côté mauvais garçon et insolent que tu as toujours eu envers elle, même si, quand elle avait besoin de toi, tu étais toujours là plus ou moins. Tu vis ses chaussures dans l'entrée et te léchas les lèvres. Tu te redressas et laissas glisser ses mains contre tes abdos. Le haut de ton corps était toujours habité par deux cicatrices de l'eau bouillante qui t'avais attaqué tout à l'heure. De ta main droite, tu caressas sa jambe du bout de tes doigts et les laissas se balader légèrement sous son tshirt -"tiens, tiens regardez ce qui s'est égaré dans mon appartement". Tu la regardais avec envie, mais pour l'instant tu avais surtout envie de retirer ce haut et ce pantalon un peu trop encombrants.

Ça faisait pas mal de temps que vous ne vous étiez pas vus ou même envoyés en l'air mais avec elle je sais que tu trouves ça différent. C'est vrai quoi, sinon tu n'aurais pas tes pensées fixées sur cette jeune femme presque h24. En fait ça doit être l'un de tes meilleurs coups ou de tes meilleurs plans. Mais si pour une fois tu arrêtais de prendre les filles uniquement pour des objets sexuelles ? Ou alors tu caches bien ton jeu : toi celui qui n'est jamais tombé amoureux de quelqu'un. Avoues qu'elle te plait. Enfin merde je sais que ton cœur en pince pour cette fille, elle n'est pas seulement là pour que tu te la pètes en disant que tu t'es fait une meuf plus âgé. Mytho va.

Tu approchas soudain ta tête de son cou et soufflas dessus avant de dire -"qu'est ce que tu fous ici ?".

Après avoir caresser sa jambe, tes deux mains saisirent sa fine taille parfaite avant de remonter dans son dos légèrement sous son haut blanc. Tu la rapprochas de toi sans trop la coller et la fixas dans les yeux.

Les petites mains de Tamera se perdaient sur le torse musclé de Nathan, il y avait tellement à exploré. Elle caressait chaque parcelle de la peau de son torse et n'en perdait pas une miette. Il la regardait comme une petite chose insignifiante, une petite chose qui lui donnait envie. Comme un pêché mignon. Elle aimait ce regard qui voulait laissait croire qu'il s'en fichait de tout et de tout le monde, Tamera avait presque le même. Sauf qu'elle on pouvait lire dans ces yeux qu'elle valait mieux que tout le monde. Finalement ils s'était bien trouvé ces deux la. Tout les deux très imbus de leur personne et conscient de leur potentiel physique. C'était sûrement pour cela que quant ils le faisaient c'était du plaisir à l'état pur, non pire que ça , c'était l'extase. Tamera avait toujours aimait les méchants, qui avait plein de vices, qui était torturé et qui lui faisait l'amour avec passion.
Tamera sentit le regard du jeune homme explorer son corps comme toujours . Elle avait parfois l'impression qu'il pouvait la dénuder avec ces yeux.Pourtant il le connaissait le corps de Tamera pour l'avoir exploré de ces mains maintes et maintes fois. Mais il ne se lassait apparemment pas de la voir et de le redécouvrir chaque fois. Il glissa sa main chaude doucement en dessous du t-shirt de Tamera.
« tiens, tiens regardez ce qui s'est égaré dans mon appartement », susurra-t-il de sa voix suave. La jeune femme sourit, il caressa doucement sa jambe,lui demanda ce qu'elle faisait ici et l'attira vers lui en la tenant par la taille. C'est à ce moment la qu'un léger détail sauta au yeux de la jeune femme. Deux belles cicatrise marquaient le torse du jeune homme, elles étaient toutes rose et toute fraîches. Sans hésiter un instant la jeune brune déposa deux baisers sur les cicatrices du jeune homme. Elle passa en suite ces mains autour du cou de Nathan qui devait faire une bonne tête de plus qu'elle. Elle le regarda dans les yeux et sue déchiffré l'envie en lui.

« Je me disais que ça faisait longtemps et qu'une petite visite serait la bienvenue. »

Tamera laissa glissé ces main, du cou de Nathan jusqu'en bas de son ventre. Elle joua un moment avec l'élastique de son caleçon. Elle avait envie de lui, tout le temps, du moins chaque fois qu'elle pensait à lui, c'est à dire la plupart du temps. Si ils ne c'était pas vu depuis si longtemps c'est que Tamera voulait mettre une distance entre elle et lui. Quelque chose se passait entre lui et elle. Plus que le plaisir , plus que le désir … Quelque que chose qui n'était pas vraiment prévu et que Tamera voulait à tout prit évité. Elle voulait évité d'y pensé et évité que cela arrive aussi. Elle avait été blessé une fois, elle ne le saurait pas une deuxième, elle se l'était promit.
Toujours en le regardant dans les yeux elle retira son haut tout doucement, laissant apparaître sa jolie poitrine fièrement moulé dans son nouveau soutient gorge noir à dentelle rouge. Puis elle retira son pantalon en se penchant volontairement de façon à ce que son visage soit en face du caleçon du jeune homme. Les porte-jarretelles sur elle ne faisait pas du tout vulgaire. Ça lui donnait l'air d'un magnifique cadeau emballé dans un magnifique emballage. Elle se releva fièrement, un regard et un sourire provocateur qui voulait dire : « Putain t'as vu comme je suis trop bien foutu »

« Puisque t'ai en caleçon... Faut qu'on soit à égalité sinon c'est pas marrent »

Dit la jeune femme en souriant. Elle passa ces mains encore une fois sur le torse musclé de Nathan et vint se blottir tout contre lui. Faisant se serré le bas de son ventre contre le sien. Elle attrapa en suite la lèvre inférieure de Nathan doucement entre ces dents, puis lui déposa un baiser sur chacune de ces joues.

Tu te trouvais toujours face à elle et la contempler ne te déplaisait pas même si tu la trouvais un peu trop couverte. Elle baissa soudain sa tête et fit une fixette sur les deux brûlures que tu t'étais fait tout à l'heure en voulant cuir des pâtes. Preuve qui affirme que la cuisine et toi ça fait deux mais ce n'est pas la première fois que ça t'arrivais. Elle approcha son visage de tes cicatrices et les embrassa. Tu frémis parce que d'un côté tu avais un peu mal mais d'un autre côté, savoir que c'est elle qui fait ça te procura un petit plaisir en plus et tu fermas un moment les yeux pour profiter. Tu caressas sa tête et à vrai dire, en ce moment tu avais plutôt envie qu'elle descende un cran plus bas. Et voilà, tes pensées perverses reprenaient le dessus, mais il n'y a qu'avec elle que tu voulais vivre ça, avec elle et personne d'autre. Tu t'avouas à toi même que tu avais envie d'elle à cet instant précis.

Elle passa ses bras autour de ton cou s'obligeant à regarder un peu plus haut. -"Je me disais que ça faisait longtemps et qu'une visite serait la bienvenue" tu souris. C'est vrai qu'elle t'avait manqué cette petite. Tu descendis tes mains en bas de son dos et caressas une de ses fesses doucement. On pouvait appeler ça le calme avant la tempête puisque tes rapports sexuels avaient toujours été faits de manière assez rude ou assez violente. La seule fois où tu avais fais l'amour de manière douce était lorsqu'une de tes partenaires était encore vierge : et en vérité ça t'avait ennuyé plus qu'autre chose. Tu lui embrassas le cou et cette dernière descendit à son tour ses mains jusqu'à ton bas ventre et la sentir toucher tes abdos et attraper les files de ton caleçon te fit frissonner. -"c'est vrai, où tu étais passée ?"

Elle se recula légèrement et retira enfin ses vêtements pour "vous mettre à égalité" disait-elle avec un regard provocant. Tu souris et affirmas par un clin d'œil et un tirage de langue. Tu observas chaque courbe de sa poitrine et la touchas légèrement avec tes pousses pour la redessiner tu pensas : "parfaite comme toujours"dans ta tête avant de t'attaquer à ce porte jarretelle qui sentait le neuf. Quelle belle surprise n'est ce pas ? Ça a l'air de beaucoup te plaire. -"oh je vois que je t'ai énormément manqué pour avoir mis tes plus beaux attraits".

Elle se blottit soudain contre toi, ce qui te surpris un peu, avant de mordre tes lèvres et de t'embrasser sur les deux joues. Un signe plutôt tendre mais que tu aimais quand même.

Vos deux bassins se touchent et tu frottes légèrement ton entre jambe contre le sien. Tu sais comment ça va de finir pourtant tu as plutôt hâte, et, avant que ça devienne un peu plus violent ou dynamique, tu profites de ce répit. Tu passas une seconde fois tes mains sur son dos et sur ses fesses et tu sentais sa poitrine se coller contre ton torse. Tu saisis alors son visage entre tes doigts et l'embrassas langoureusement. Ah ça aussi ça t'avait manqué pour sûr.

Une fois le baiser terminé, tu la portas sans difficulté et la plaquas contre le mur tout en caressant sa jambe droite. Tu plaças ta tête au creux de son cou et soupiras.

Elle ne pouvait pas détacher son regard de sa langue. Ces pensées sexuelles revenaient au galop et elle se mordit la lèvre inférieure impatiente d'être proche de son amant. Elle le regardait les yeux plein d'un désir brûlant. Elle avait rarement eu envie de quelqu'un aussi violemment. Elle avait envie qu'il l'a prenne la, maintenant sur le sol froid de la cuisine. Qu'il parcours son corps avec sa bouche. Avec les autres c'était différent, ce n'était pas comme ça ... Elle prenait ça comme un jeu, mais une autre sorte de jeu. Quant c'était les autres elle jouait le rôle qu'elle voulait, elle était souvent agressive et dominante, elle aimait dire qu'elle s'appelait comme elle le désirait, s'inventer des identités et ne plus jamais redonner de nouvelles. Mais quant il s’agissait de Nathan c'était un tout autre jeu, un jeu charnelle, un jeu passionnelle, elle voulait lui donner envie, elle voulait qu'il la prenne elle: Tamera. Quelque part elle cherchait de la reconnaissance, comme elle le faisait toujours.

Nathan toucha doucement sa poitrine du bout des doigts après avoir comblé son cou de baisers fiévreux et la jeune femme eu envie qu'il masse sa poitrine à pleine mains. Elle avait envie qu'il soit plus désireux de son corps, même si dans le fond elle aimait ce moment de douceur avant de passer à l'acte. Elle inspira légèrement quant pour son plus grand bonheur Nathan frotta son entre jambes à la sienne, lui laissant le plaisir de sentir le jolie paquet qu'il y avait en dessous de son caleçon. Elle eut un léger sourire en coin, un sourire coquin. Pour la seconde fois il passa ces mains sur le bas de son dos pour finir par descendre sur ces fesses rebondit les caressant tout en la rapprochant de lui. Il était si proche, mais elle voulait être encore plus proche, tout de suite, la, maintenant, son corps brûlait de désir et elle en était surprise.

« Tu m'as manqué je ne vais pas te mentir... »

Il lui avait vraiment manqué c'était vrais, mais quelque chose de plus fort parcourait actuellement son corps, quelque chose de brûlant qui faisait battre son cœur plus vite que d'habitude. Mais Tamera était trop occupé à couvrir de baisers enflammés le cou de son amant pour se préoccuper de ce sentiment inconnu. Et puis dans le fond elle préférait l'ignorer. Nathan saisit tout d'un coup son visage entre ces doigts et l'embrassa a pleine bouche. La respiration de la jeune femme se fit soudainement saccadée. Et cela ne s’arrangea pas lorsqu'il la porta et la plaqua contre le mur violemment, faisant heurter subitement le haut de son corps contre le mur. Nathan avait sa tête au creux de son cou, soufflait tout doucement et la faisait frisonner. Ça y était, le jeu avait commencé, Tamera pouvait sortir les griffes. Elle aimait la douce violence de leurs rapports sexuelles. Ce n'était pas réellement de la violence d'ailleurs, c'était plutôt l'expression de leur désir qui dépassait l’entendement. Parfois c'était tellement fort qu'ils avait besoin de l’extérioriser par une certaine brutalité qui ne faisait que les exciter encore plus.

Tamera plaça ces jambes autour de la taille dans une position propice à la pénétration pour leur confort à tout les deux. Elle l'embrassa lentement et sensuellement lui faisant sentir tout le désir et la passion qu'elle ressentait. De tout les garçons avec qui elle avaient couché, Tamera n'en avait jamais embrassé aucun de cette manière la. Elle n'avait jamais laissé non plus aucuns hommes avoir le dessus sur elle autant que Nathan l'avait. Elle avait du mal a se l’avoué et elle ne le dirait jamais à haute voix mais c'était lui qui dirigeait leur rapport sexuelle et elle aimait ça : qu'il la domine.
Tamera passa alors une main en dessous de son caleçon caressant doucement la verge de son amant du bout de ces doigts fins d'abord, puis plus franchement en le saisissant à pleine paume. Elle retira sa main au bout de deux minutes de caresse sensuelle et inspira légèrement. Elle voulait l'exciter comme jamais, qu'il lui saute dessus dans la minute, elle avait chaud et terriblement envie de retirer tout ce qu'elle avait de tissu pour enfin s'offrir à lui.

« Je sais même pas pourquoi j'ai acheté ces truques, je les porte jamais longtemps avec toi » Dit-elle en riant.

C'est vrai, tu l'avoues. Ça faisait longtemps que tu rêvais du jour où tous les deux vous auriez un prochain rapport. Ça faisait plusieurs semaines déjà qu'elle n'avait plus donné de ses nouvelles et à vrai dire pour une des premières fois de ta vie tu commençais à t'inquiéter de son sort. Tu avais l'impression qu'elle avait disparu de la circulation en un coup de baguette magique. Mais attends, la baguette c'est toi qui la pour l'instant nan ? Maintenant qu'elle est devant toi tu veux la dominer mais sachant que tu sais qu'elle te désir tu te disais que tu voudrais la torturer encore quelques minutes avant de la pénétrer et de lui régler son compte comme jamais. Tu eus un sourire en coin et tu pensas que ça allait être un supplice pour toi aussi d'attendre de rentrer en elle car tu en avais vraiment envie mais tu le montrais moins.

-"tu m'as manqué je ne vais pas te mentir..." Tiens ça tombe bien elle t'a manqué aussi cette petite. Tu l'embrasses pour lui faire comprendre que toi aussi et elle commença à couvrir ton cou de baisers brûlants. Tu fermas les yeux et répondis à ces baisers par des caresses sur ses cuisses toujours en la portant dos au mur mais sans grande difficulté.

Elle plaça par réflexe ses jambes autour de taille et tu sentis son entrée tout près de ton sexe ce qui te fit grogner. Il y avait seulement ces deux bouts de tissus qui vous séparaient du paradis. C'est vrai tu jouissais toujours énormément quand tu le faisais avec elle mais aujourd'hui tu savais que tu allais la faire crier et que tu allais aussi y trouver beaucoup plus de plaisirs qu'autrefois étant donné que ça fait des lustres que vous ne vous êtes pas envoyés en l'air.

Le jeu commença vraiment lorsque qu'elle passa sa main maintenant chaude dans ton caleçon et qu'elle te caressa le membre que tu sentais se durcir du bout de ses doigts. Allait-elle seulement te toucher ou sa bouche s'en chargerait-elle quelques minutes plus tard ? A vrai dire tu l'espérais. Elle et sa langue étaient tellement douées. Tu en as des frissons tellement elle se débrouille bien. A mesure de ses coups de main tu gémis un -"mmmh" auditif mais discret, sexy et grave.

-"Je sais même pas pourquoi j'ai acheté ces trucs je les porte jamais longtemps avec toi." Tu rias -"oui c'est vrai, d'ailleurs je les trouve un peu encombrant bien que tu les portes à merveille." Sans lui demander son avis, alors qu'elle retira sa main de ton caleçon, tu la portas à nouveau et la posas sur la table de préparation de la cuisine après avoir dégagé d'un trait ce qui se trouvait dessus : on entendit d'ailleurs quelques bruits de nourritures et d'assiettes s'écrasaient au sol. Tu passas tes mains dans son dos et dégrafas son soutien gorge que tu jetas à l'autre bout de la pièce sans vraiment regarder. Tu saisis ensuite cette poitrine parfaite maintenant nue et la malaxa un peu fort en regardant la réaction de Tamera.

Après ça, tu retiras le dernier bout de tissu qui la couvrait d'une manière violente tout en embrassant encore sa poitrine et tu plaças trois doigts en elle en murmurant -"tu es chaude, c'est moi qui te fais cet effet là ?" Tu fis des vas et viens avec facilité tout en attrapant de ta main inoccupée ses cheveux que tu tiras légèrement en arrière. -"dis le, dis à quel point tu veux Nathan en toi et maintenant."

Tu eus un sourire sadique et tu savais que tu allais continuer cette délicieuse torture sur ce corps en ébullition.

Il y avait une sensation que Tamera appréciait plus que tout. Une sensation qui faisait monter la chaleur en elle, qui rendait sa petite culotte humide. C'est lorsqu'elle sentait Nathan se raidir, juste la prêt de son entre jambe. Si prêt de l'extase. Elle n'en pouvait plus et rien qu'en pensant à ce qu'elle allait recevoir, elle en souriait. C'étaient ces petites mains à elle qui avait provoqué ça, son corps, tout ce qu'elle représentait et elle en était fière. Il avait l'air d'appréciée d'ailleurs, Tamera était toute remuée par les légers gémissements d'exaltation de son amant. Qu'es qu'il était beau, qu'es qu'il était sexy quant il prenait du plaisir. Elle n'en pouvait plus, elle voulait qu'il soit en elle. Mais monsieur avait apparemment envie de plus que ça, elle le lisait dans son regard. Et même : habituellement il n'attendait pas si longtemps avant de passer à l'acte. Non, la, son esprit avait d'autre plan. Il voulait la faire attendre.

"Oui c'est vrai, d'ailleurs je les trouve un peu encombrant bien que tu les portes à merveille." Tamera sourit du compliment et alors qu'elle venait de finir de faire du bien à Nathan, il la posa sur la table, dégageant sans vergogne ce qu'il s'y trouvait. La jeune brune fougueuse se mordit la lèvre et fixa son regard dans celui du jeune homme. Son regard voulait tout dire. Un mélange entre « fait moi l'amour la maintenant » et « je sais que tu m'aime et que tu me veux ». Elle envoya valser une partie de ces cheveux en arrière . Nathan longea son dos, la faisant frisonner doucement et il finit par dégrafer son soutient-gorge libérant ces deux seins de leurs prison dentelé. Laissant à la vue du jeune homme un magnifique quatre-vingt dix C qu'il ne connaissait que trop bien. Il jeta son sou-vêtement au loin, comme si il le balançait au oubliette pour que Tamera n'ai plus jamais l'idée d'en porter un. Elle sourit à nouveau il saisit de ces douces mains ces deux seins et les massa fortement comme Tamera l'aimait tant, elle se mordit la lèvre inférieur et son inspiration se fit plus violente laissant échappé quelques soupirs de plaisir.

Nathan se mit à embrasser la poitrine de Tamera et le bouts de ces tétons se mirent à durcir. Elle caressa le dos de la tête de Nathan inspirant l'odeur de ces cheveux puis le rapprocha encore plus comme si elle voulait qu'il l'embrasse plus fort. Elle le regarda en suite dans les yeux lorsque celui si lui retira avec violence ce qu'il lui restait de sous-vêtement. Elle était maintenant entièrement nue: il fit pénétrer trois doigts en elle brutalement et fermement et Tamera en eu presque mal. Mais lorsqu'il entama les vas et vient la douleur s'effaça ne laissant la place qu'au plaisir entier et absolu. Elle poussait de petits cris, presque inaudibles tel des soupirs. Mais ils étaient intenses. "tu es chaude, c'est moi qui te fais cet effet là ?" ;dit il nonchalamment. Il avait vraiment du toupet. Il tira en suite les cheveux de Tamera en arrière ."dis le, dis à quel point tu veux Nathan en toi et maintenant.". Elle aimait ça qu'il soit méchant et agressif, elle aimait tellement ça qu'elle en était toute humide. Tellement humide que les doigts de son amant glissaient avec une facilité déconcertante.

« Nathan .. » ; elle avait du mal à parlé en ressentant autant de plaisir. Elle avait crié son prénom dans un gémissement. Elle saisit l'élastique de son caleçon et le retira bien rapidement. Elle saisit le sexe de son amant et le rapprocha de son entrée la ou les doigts du jeune homme s'affairaient.

« Je te veux ! Vite ! Fais le si t'es un homme! »

Elle le provoquait et c'était volontaire. Elle voulait arriver à ces fins le plus vite possible.

Alors que ta bouche se promenait encore sur cette poitrine généreuse, Tamera appuya un peu plus sur ta tête pour que tu fasses durer le plaisir, ben dis donc elle ne voulait pas que tu les manges ses seins mais que tu les dévores ou quoi ? Tes doigts s'enfoncèrent dans cette endroit chaud et tout cela te plaisait.

Je crois que un de te fantasmes avec elle serait d'avoir un même rapport dans chaque pièce de l'appartement sans s'arrêter et d'atteindre l'extase totale comme ça faisait si longtemps que tu l'attendais.

-"Nathan ..." Avait-elle gémit au creux de ton oreille alors que tu étais en train d'humidifier son entrée avec tes doigts baladeurs. Tu souris de satisfaction, tu savais qu'elle allait bientôt craquer mais tu attendais encore quelques instants. La voir dans cette état te durcissait un peu plus chaque seconde mais ça n'allait pas s'arrêter là. Tu soufflas dans son cou et, au moment où tu t'y attendais le moins, elle cria ton nom comme une prière et te supplia de la pénétrer maintenant en te provocant. Tu grognas. Elle avait craqué. -"Ah ça tu veux le voir si je suis un homme hein..."

Alors que tu t'apprêtais à faire durer ce plaisir sadique, Tamera saisit les élastiques de ton caleçon et retira d'un coup sec ce dernier prenant ton membre entre ses doigts et les collant à son sexe. À vrai dire cela t'avait surpris mais ce geste te fit gémir et tu aimais ce genre d'imprévus. Tu souris, il le touchait juste du bout mais tu eus un certain mal à faire durer la chose plus longtemps. Tu retiras alors tes doigts d'un coup sec et fis glisser Tamera sur le carrelage gelé de la cuisine. Tu te positionnas sur elle et enfonças d'un coup ton membre en elle. Le plaisir était si intense que tu ne pus t'empêcher d'échapper un -"oooooh" grave. Ça y est tu es entré mais maintenant passons aux choses sérieuses.

Tu commenças des vas et viens rapides et brutaux afin d'enfoncer ton sexe le plus possible et ainsi de faire augmenter le plaisir. -"alors je suis un homme hein tu vois et je vais te faire hurler ma belle". Oh oui ça tu le voulais mais tu te souvins tout à coup que tu n'avais pas vraiment eu droit au service de bouche et tu l'aurais ça c'est sûr après le rapport oui mais tu l'auras ta fellation.

Elle t'avait trop manqué tu l'avoues et tu profitais de chaque seconde qui passait et de chaque mouvement que tu faisais. Tu la fixais de dessus d'un air supérieur et dédaigneux mais qui semblait dire aussi qu'elle était parfaite pour toi. Et de loin l'idée de ressentir des choses sérieuses pour elle. À moins que tu les caches depuis un bon bout de temps et que je ne les ai jamais vu ? Oh nan, ou peut être que si en fin de compte.

La position devenait de moins en moins confortable pour toi mais tu n'en pris pas trop d'importance. En fait tu attendais quelque chose d'unique. Tu attendais également qu'elle te surprenne comme si tu allais la redécouvrir et trouver une phase que tu ignorais jusque là chez elle.

-"mmmh tu es tellement humide, serrée et chaude ..."