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L’art lave notre âme de la poussière du quotidien. - Aidan & Mackenzie

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MessageSujet: L’art lave notre âme de la poussière du quotidien. - Aidan & Mackenzie L’art lave notre âme de la poussière du quotidien. - Aidan & Mackenzie EmptyMar 17 Déc - 1:05


“ Le rêveur est un être qui ne peut trouver sa voie qu'à la clarté de la lune;
son châtiment, c'est de voir poindre le jour avant le reste du monde…
Oscar Wilde ”


Le temps défile à une vitesse incroyable et bientôt, la nuit s’installe au dessus de la prestigieuse université Californienne. L’imposante horloge accrochée au mur de la bibliothèque indique vingt-trois heures et trente minutes. L’endroit est désert, et d’un calme presque religieux. Toutes les lumières sont éteintes et l’ambiance qui plane dans le lieu est presque mystique, sacrée. Les vieux livres forment une barrière de sécurité infranchissable entre Mackenzie et le reste du monde. Elle est seule mais elle n’a pas peur, elle profite de ce calme inhabituel, de cette ambiance si particulière, parce qu’elle sait que tout ce qui est beau, est éphémère. Elle est entourée d’histoires splendides, d’ouvrages qui ont défié le temps. Elle pourrait mourir ici, le sourire aux lèvres, car l’endroit a tout du paradis. Eclairée par une simple petite lampe de bureau à la lumière crépusculaire , l’Australienne tourne indéfiniment les pages d’une encyclopédie presque aussi volumineuse que -l’histoire de Poudlard. Elève assidue et appliquée, Mackenzie ne fait pas attention à l’heure tellement elle est plongée dans ses recherches. Exemple de sérieux et de dévouement pour ses études depuis son arrivée en Californie, elle n’a pas mis bien longtemps à convaincre la responsable de la bibliothèque universitaire de lui prêter l’endroit le temps de peaufiner son exposé. L’Histoire de l’Art, avec un grand H, plus qu’une passion à ses yeux, une raison de vivre. Mackenzie ne pourrait pas concevoir un monde dans lequel l’Art ne serait pas au centre de tout. Adepte de poésie d’un autre temps, et de littérature étrangère, c’est plus particulièrement les toiles de maitres et les sculptures somptueuses qui font chavirer son coeur et lui envoient un océan d’étincelles dans les pupilles. Dans les écrits, l’artiste dévoile son âme à travers les mots, obligeant l’auteur à s’imaginer le message qu’il a voulu faire passer à travers son récit. Dans les peintures, c’est la vision de l’artiste qui s’impose indéniablement à celui qui regarde. Impossible de mentir, de tricher, c’est la magie du beau. La magie de l’Art, et peu nombreux sont les gens qui témoignent d’une si grande sensibilité artistique. Qualifiée de grande rêveuse naïve par ses camarades, Mackenzie est à la hauteur de son stéréotype. Capable de s’extasier littéralement devant la pureté d’un flocon de neige qui se dépose sur une vitre translucide. La tête négligemment posée dans le creux de sa paume, elle cherche des informations sur la peinture française du dix septième siècle. Elle passe en revu les oeuvres les plus célèbres avec des étoiles plein les yeux. Certaines des oeuvres qui se trouvent dans ce livre, elle les a vu en vrai lors de ses escapades au Louvre. Habituée des musées, elle fut la personne la plus comblée du monde lorsque Seth lui avait trouvé le travail de ses rêves au musée d’art de San Francisco. Madame Joynner-Hill en plus d’être une femme très distinguée et respectable était la responsable ultime de ce lieu incontournable. Seth n’avait pas hésité un seul instant à jouer de ses relations hauts-placées pour permettre à l’Alpha d’avoir un emploi à la hauteur de son dévouement pour l’Art, et de ses connaissances en la matière. Ce jour là, elle avait bien faillit le demander en mariage, puis elle s’était rapidement ravisée lorsqu’elle avait vu sa sulfureuse petite-amie jaillir dans son ombre. June Martin, oui, définitivement, elle préférait l’avoir en amie qu’en ennemie. Bientôt, ses paupières deviennent lourdes et tandis qu’elle jette un regard distrait vers l’horloge, elle manque de pousser un cri d’horreur en voyant les aiguilles frôler dangereusement avec l’heure du crime. Rapidement elle ferme la précieuse encyclopédie, regroupe ses feuilles noircies d’encre témoignant des recherches studieuses qu’elle a effectué. A tâtons, elle cherche son sac à main supposé être posé sur la chaise à coté d’elle. Mais rien, seulement du vide, de l’air, le néant. Les battements de son palpitant s’accélèrent dangereusement et voilà qu’elle manque de faire une crise de tachycardie. Elle détourne vivement les yeux et constate que le précieux objet n’est pas là, et soudain, elle commence à avoir chaud très chaud. C’est la panique. Elle bouillonne littéralement de l’intérieur. Il est parfaitement impossible qu’elle ait pu perdre son sac à main. En dehors de l’objet en lui même, dont elle se fout éperdument, annonçons le directement, c’est l’idée d’avoir perdu à tout jamais son contenu qui l’effraie au plus haut point et lui donne des sueurs froides. Un sac, ça se rachète et au pire ce n’était ni un Chanel, ni un Vuitton; ce n’est pas tout le monde qui peut se vanter d’avoir le compte en banque des Rosenbach. Néanmoins, ce qui ne se rachète pas - la différence entre le prix et la valeur des choses donc- c’est : le bouquin de Sallinger avec toutes les meilleures répliques surlignées en jaune fluo, son portefeuille avec ses papiers d’identité, la photo de Jake et elle enfants dans la cuisine familiale, un pinceau appartenant à Killian Salaun, volé chez Killian - en souvenir-, un demi Kinder Country écrasé, deux bouchons de bouteilles d’eau destinés au recyclage, les clés de sa voiture-épave, les clés de l’appartement de Jake et de Garrett, un paquet de Marlboro Light presque vide et le briquet aux couleurs de l’Australie qui va bien, un plan du métro de Paris qu’elle n’a jamais retiré de son sac et surtout, surtout, surtout, son journal intime. Le journal intime de Mackenzie renommée par l’auteur - les questions existentielles auxquelles il faut répondre- n’a comme son titre l’indique, rien à voir avec un véritable journal intime. Le carnet abimé par les années est la chose la plus précieuse de l’Australienne, l’oeuvre d’une vie. Une oeuvre atrocement personnelle rédigée entièrement de sa main et dont personne n’a eu le bonheur de lire une seule ligne. C’est son âme couchée sur du papier. Depuis presque dix ans, il ne se passe pas une journée sans qu’elle n’y griffonne quelque chose de son écriture appliquée. -Pourquoi Garrett sait il jouer de la guitare et pas dessiner des coeurs proportionnés ? - Comment il fait pour avoir les yeux aussi bleus ? - Il y a déjà eu des kangourous en Californie ? Est-il possible de commencer le surf à vingt-ans, ou c’est fichu d’avance ?- et ce sur des centaines et des centaines de pages. Des questions toutes plus incompréhensibles les unes que les autres. Certains la considéreraient comme une folle, mais elle ne l’est pas. C’est son jardin secret, l’endroit où elle peut sans crainte et sans jugement immortaliser la moindre de ses pensées. Elle imagine désormais le jardin secret perdu tel l’Atlantide plongée à jamais sous les océans, ou pire encore entre de mauvaises mains. Sa gorge se bloque et ses mains tremblent comme des feuilles mises face au vent. Elle sent des larmes de rage et de tristesse lui monter aux yeux et son coeur se briser en un milliard de morceaux. Inconsolable. Il faut qu’elle sorte de cette bibliothèque au plus vite, l’Eden est devenu un Enfer dans lequel elle étouffe, dans lequel, elle manque cruellement d’air. Son sac n’est pas là et elle est incapable de se souvenir de l’endroit où elle l’a vu pour la dernière fois. En quelques minutes seulement, elle se retrouve en plein coeur du campus complètement perdue, quelle direction prendre ? Son téléphone était évidemment dans son sac, tout comme ses clés et son argent. Il est presque minuit, et ça, elle le sait grâce au type qui a inventé les montres et pas à Steve Jobs. C’est bien joli les Iphone, mais en attendant, ça ne s’accrochent pas au poignet. En panique, elle tente de réfléchir, inutile de songer à un taxi, ou à demander de l’aide à qui que ce soit, car le campus est désert ! Néanmoins, il reste, sa deuxième famille. Les Alphas. « Allée des Grecs ! Gauche, droite. » murmure t’elle entre ses dents en tournant la tête dans tout les sens. Une confrérie c’est une deuxième famille, des gens sensés t’épauler, éventuellement t’héberger, te nourrir, te donner un lit et une couverture. Elle accélère la cadence vers l’Allée des Grecs et plus particulièrement vers la demeure de l’Elite intellectuelle du campus. Quelques minutes plus tard, essoufflée, elle tambourine énergiquement contre la porte avec ses poings. « A l’aide ! Help ! SOS ! ouvrez mooooi ! » poursuit t’elle dans un souffle avec désespoir, un peu comme si Hannibal Lecter était à ses trousses et qu’il allait la découper en morceaux. Des larmes ruissellent le long de ses joues roses tandis que ses mains glaciales ne cessent de frapper la porte, elle est désemparée. « Il fait tellement froid, que je vais mourir d’une hypothermie si je dois passer la nuit dehors ! » clame t’elle sans prendre conscience un seul instant de l’heure tardive. D’habitude, elle s’extasie sur les étoiles qui illuminent le ciel, là non. Tout le monde dort, alors que c’est la fin du monde. Puis, finalement, alors qu’elle est au bord de l’implosion, la porte s’ouvre sur le visage encore endormi du papa des Alphas, le beau Aidan. En temps normal elle aurait détaillé ses traits parfaits avec un sourire enjôleur tatoué sur les lèvres, mais là, tout ce qu’elle voit c’est ses deux grands bras rassurants et confortables. Elle se jette à son cou, et le considère comme un Saint, un envoyé de Dieu, grand maitre des portes de la demeure Alpha. Il est son sauveur. « C’est la fin du monde ! Je l’ai perdu. Comment je vais faire maintenant ? Dis moi ? » pleurniche t’elle le visage enfoui dans le creux de l’épaule du papa Alpha. Il doit sans doute la prendre pour une dingue, ne rien comprendre du tout. C’est pas comme si ils se connaissaient Aidan et Kenzie. Ils ont du se parler trois ou quatre fois tout au plus, par politesse, rien d’autre. Elle le lâche doucement et pose ses précieuses feuilles sur le meuble qui trône dans l’entrée avant de se laisser tomber comme une masse sur l’un des canapés et d’enfouir son visage dans ses mains. « J’avais tout noté dedans. Absolument tout, ça a tellement de valeur. Et puis, il y avait un pinceau à Killian. J’y avais pas pensé avant, mais imagine qu’il veuille le récupérer. Je vais lui dire quoi ? » Elle arque un sourcil vers le jeune homme encore perplexe, tandis qu’un torrent de larmes part de ses pupilles pour se déverser sur ses joues. « Je suis fichue, il va me détester. Mon sac contenait toute ma vie. » termine t’elle par lâcher en s’allongeant sur le canapé, d’un geste rapide elle attrape un coussin qu’elle dépose sur son visage chaotique. Aidan pourra t’il être le sauveur de madame ?

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MessageSujet: Re: L’art lave notre âme de la poussière du quotidien. - Aidan & Mackenzie L’art lave notre âme de la poussière du quotidien. - Aidan & Mackenzie EmptyMer 25 Déc - 23:51

Voilà que tu regagnes la maison de ta confrérie, après une longue journée à l’hôpital. Oh, tu adorais ce que tu y faisais, ne serais-ce qu’en étant qu’un simple stagiaire. Toutefois, avec les examens qui arrivaient, tu jonglais avec de plus en plus de difficulté entre l’hôpital et tes études, sachant que tu travaillais de plus en plus. Les économies que tu avais faites avant d’entrer à Berkeley s’étaient vu envoler et tu commençais à peiner niveau monétaire. Il était cependant hors de question pour toi que de demander de l’aide à tes parents. Ce serait leur prouver qu’ils avaient raison. Que ce soit par fierté ou encore par ce désir d’indépendance que tu avais eu, cette option était rayée d’office. Déposant ton sac sur ton lit, tu soupiras alors que tu te laissais tomber sur la chaise se trouvant devant ton bureau. Tu sortis ton téléphone de tes poches pour le déposer non loin et pris ton livre de biologie. Ce n’est pas pour rien que tu te retrouves chez les Alphas. Étudiant assidu, pour toi l’étude est mot d’ordre. Tu t’en sentirais presque coupable de ne pas réviser au minimum une petite heure par jour. Et même encore, une heure, c’est très peu connaissant ton profil. En temps de vacances, cependant, cette même petite heure – ou plus selon les besoins et l’envie – était consacré à la lecture d’un bon roman. Roman que tu ne lâcherais sûrement pas d’ici à ce que tu l’ailles fini. Ce n’aurait pas pu en être autrement, tu étais fait pour être un Alpha. C’était presque écrit dans tes gênes, sur ton front même. C’est donc avec un faible sourire aux lèvres que tu te saisis de ton cahier de notes pour retranscrire tout ce qu’il pourrait important quant à l’examen qui venait la semaine suivante.

Sentant la fatigue commençant à pointer le bout de son nez, alors que les aiguilles de l’horloge s’approchaient du chiffre douze, tu refermas ton livre et te levas. Tu décidas d’enfiler un pyjama, à savoir une paire de jogging, le torse à découvert. Tu décidas ensuite de descendre les escaliers de la maison des Alphas pour aller te servir un café, histoire de te réveiller un peu pour terminer ta révision. Mettant en marche la machine, tu humas les doux arômes de caféine alors que la vapeur s’élevait dans la pièce. Tu te servis finalement ton café, prenant une gorgée et te délectant du doux nectar. Jusqu’à ce qu’un bruit sourd parvienne à tes oreilles. Ou plutôt, des bruits. Comme des coups répétés. Tu déposas ta tasse pour t’avancer vers la porte d’entrée, verrouillée à cette heure-ci alors que beaucoup dormaient déjà. Tu haussas un sourcil, incertain quant à la démarche à suivre. Imaginons cinq secondes qu’il s’agissait d’une autre folle à la Presley. Haussant des épaules, tu décidas cependant de tourner la clé dans la serrure et d’ouvrir la porte. Sur… Une Mackenzie en pleure qui s’égosillait. Une Mackenzie qui venait de sauter à ton cou alors que tu gardas ton équilibre de justesse. Les sourcils froncés d’incompréhension, tu tendis le bras pour refermer la porte puis encercla la demoiselle de tes bras forts. D’un geste qui se veut réconfortant, tu lui caressas le dos, en bon papa des Alphas que tu es. Bien que vous ne vous connaissiez pas des masses, tu ne pouvais tout de même pas l’abandonner à son triste sort. Tu n’as pas besoin de te demander bien longtemps la raison d’un tel état qu’elle te signifie, tout en pleurnichant contre ton épaule, qu’elle l’a perdu. Mais perdu quoi ? Là réside tout le mystère. Alors qu’elle se décroche finalement de ton cou, tu la suivis des yeux alors qu’elle se laissait tomber sur l’un des canapés. Tu fis quelques pas dans sa direction, prenant place sur le sofa qui se trouvait en face de la jeune Alpha. Un sourire tendre apparut sur tes lèvres, malgré la situation qui semblait désastreuse. Elle était tout de même mignonne, l’Australienne, lorsqu’elle mettait des mots sur ses pensées alors que pour un point de vue extérieur, cela n’avait presque aucun sens. Tu te lèves finalement pour t’accroupir non loin d’elle, glissant une main sur les cheveux couleur blés de la demoiselle. « Tu as perdu ton sac, c’est bien ça ? » Tu n’en étais pas certain, mais c’était ce que tu avais cru entendre. Avant de partir vers l’inconnu, mieux valait savoir la raison du pourquoi est-ce qu’elle arrivait à la maison des Alphas, au beau milieu de la nuit, en pleure qui plus est. C’est lorsqu’elle hocha la tête, le visage toujours couvert du coussin que tu te redressas. « Attend-moi cinq secondes, je reviens » que tu lui annonças, d’un ton qui se voulait doux. Il était simplement hors de question que tu partes à la recherche d’un sac perdu alors que tu n’avais rien pour couvrir ton torse. Montant à ta chambre, tu te saisis du premier chandail sur lequel tu tombas avant de retourner retrouver l’étudiante. « Aller Mackenzie. Ce n’est pas en te lamentant dans le salon qu’on va le retrouver, ton sac. »

Tu lui tends la main, signe de réconfort, qu’elle attrape finalement. Un doux sourire sur les lèvres, tu l’entraînes vers la porte, enfilant cependant ton manteau histoire de ne pas attraper froid. Tenant toujours sa petite menotte dans ta main, tu l’entraînes à l’extérieur, le vent venant souffler sur tes joues. Regardant autour de toi, tu te plantes finalement devant la demoiselle et lèves une main pour lui essuyer les larmes. Tu ferais un excellent père, c’était en n’en pas douter. « Où est-ce que tu as vu ton sac pour la dernière fois ? » Tu doutais cependant avoir une réponse compréhensible, alors qu’elle se retrouvait encore secouer de sanglots. Il était minuit, tu étais fatigué, ton café allait très certainement refroidir sur le comptoir et tu étais dehors, malmené par le vent. Toutefois, tu n’avais même pas pensé un seul instant à laisser Mackenzie seule, en pleure. Vous alliez retrouver son sac, vous iriez ensuite dormir et demain, tout ira mieux. « Comme ça, on commencera les recherches là où tu l’as vu la dernière fois. Et s’il n’y est pas, on fera le tour de l’université, d’accord ? » En espérant simplement que vous alliez pouvoir faire le tour de l’école sans problème, alors que l’université avait fermée ses portes depuis un petit moment déjà. Au vu de l’heure tardive, tu aurais été d’avis que d’entreprendre les recherches qu’au petit matin, mais semblerait-il que l’Alpha tenait bien trop à ce sac pour attendre une nuit entière. Soit alors.

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MessageSujet: Re: L’art lave notre âme de la poussière du quotidien. - Aidan & Mackenzie L’art lave notre âme de la poussière du quotidien. - Aidan & Mackenzie EmptyLun 6 Jan - 20:07

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