the great escape
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money, money, money ~ juliet (pv)

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MessageSujet: money, money, money ~ juliet (pv) money, money, money ~ juliet (pv) EmptySam 7 Sep - 13:17


you're like me.

« il n'y a pas que l'argent dans la vie », foutaise. Du moins pour Earl ce n'était qu'un ramassis de conneries. Depuis qu'il a goûté au luxe, il ne peut plus s'en passer. Aujourd'hui une vie comme il avait il y a quelques années, c'est impensable. Revenir à un confort si minime, alors qu'on a connu l'abondance et la qualité au niveau des prestations, ça ressemblerait à un cauchemars. De plus Earl est devenu une personne très dépensière qui dilapide son argent, ou plus précisément celui de son vieillard de beau-papa décédé, sans trop réfléchir. Le compte en banque étant bien garni, il ne voit pas pourquoi il ne pourrait pas en profiter. Et quel est l'endroit type où on peut dépenser sans compter ? Le casino pardi ! Le son des machines, les cliquetis des pièces qui tombent, le roulement de la bille qui définira si tu es vainqueur ou pas, (...) en somme c'est comme un paradis sur terre. Joueur dans l'âme, ce qu'il préfère dans les casinos ce sont les tables de poker. Doué avec les chiffres, il n'a aucun mal à compter les cartes et à remporter le pactole en toute illégalité. Que voulez-vous, il utilise ce que dame nature lui a offert à la naissance, c'est-à-dire l'intelligence. Bien sûr il n'en abuse pas, car il ne prendrait jamais le risque de se faire prendre et surtout de se faire griller au niveau des casinos de la ville. Ça serait terriblement con de sa part et Earl est loin d'être bête. Donc dans sa tête sa soirée est déjà planifiée, mais lorsqu'on s'aventure dans un tel endroit, il faut toujours un porte bonheur. Et il n'y a rien de mieux qu'une femme pour porter chance. Sans prendre la peine de feuilleter son répertoire pour trouver une fille assez jolie pour l'accompagner, il a déjà un nom en tête. Juliet S. Allenwood. Cette fille ne va pas réfléchir à deux fois avant d'accepter sa proposition. Comment il le sait ? Parce qu'ils jouent dans la même catégorie. Il, elle, ils sont pareils. Comme un égo, mais chez le sexe opposé. Et alors qu'il se trouve en ville pour l'achat d'un nouveau costard, il s'octroie une pause dans son shopping pour lui envoyer un rapide texto. Ça donne quelque chose dans le genre « Tonight au casino, soit bonne, mais pour ça je te fais confiance ». Clair, précis et élégant, comme lui. Une fois le message envoyé, il ne reste plus qu'à trouver la tenue idéale. Des costards il en possède une bonne vingtaine, mais il n'y en a jamais assez. Bien que la plupart soient tous noirs et qu'ils se ressemblent, pour Earl ça n'a pas d'importance. Chaque costume à sa particularité. Et son prix. Plus c'est cher, plus il a de la valeur aux yeux du jeune garçon. Donc après un détour vers une énième boutique de luxe, le voilà qui rentre à son domicile les bras chargés de sacs. Sa mère qui se trouve là et le voit débarquer, ne peut pas s'empêcher de lui demander avec un sourire béa et extrêmement niais. « Mon chou tu es bien chargé, j'espère que tu as pensé à ta mamoune chérie ? ». Bouche en cul de poule, elle sait très bien que qu'il ne rentre jamais les mains vide pour celle qui lui a offert ce train de vie. Du coup il lui tend un des paquets qu'il a en main et celle-ci s'excite sur place en sautillant et en empoignant le sac. En voilà une heureuse. Il ne reste pas pour autant tergiverser et grimpe dans sa chambre. La nuit tombe assez rapidement et Earl se prépare. Le costard acheté dans l'après-midi sur le dos, petite coiffure gommée, dents parfaitement blanches, le jeune homme est paré pour mettre en jeu un peu de son pognon. Le risque, c'est excitant. Même si pour le coup il sait qu'il va gagner et d'avance. Imbattable, voilà ce qu'il est. Et oui il a une sacrée confiance en ses compétences. D'un côté lorsqu'on se prend pour le meilleur, le plus intelligent, il est obligé d'en avoir, de la confiance. Parfois ça agace, souvent même, mais il s'en contrefiche. Il n'a jamais été aussi comblé qu'à cette période de sa vie. Il est riche, brillant et plutôt mignon, donc il a de quoi s'afficher, se la péter. Et ce soir il compte bien se mettre en avant pour qu'on ne voit que lui. Et Juliet. Il ne faut pas l'oublier. Bien qu'habituellement il est égoïste et n'aime pas partager l'affiche, lorsqu'il est avec elle, il lui fait un peu de place. D'ailleurs pour ne pas qu'elle est à l'attendre sur place, il file immédiatement et emprunte la limousine du vieux. Après un trajet d'une dizaine de minutes, il arrive à l'entrée du casino. Un portier vient lui ouvrir la porte et celui-ci sort comme s'il était une immense star de films d'action et qu'il se trouve à sa première. En gros il pète plus haut que son cul. Mais il s'en fout. Il pénètre dans les lieux, tête haute, buste remonté. Il est enfin prêt à gaspiller un peu de son argent et à en gagner énormément. Excepté qu'il lui manque quelque chose, son porte bonheur. Donc c'est en prenant son mal en patience qu'il attend la délicieuse Juliet.
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MessageSujet: Re: money, money, money ~ juliet (pv) money, money, money ~ juliet (pv) EmptyDim 8 Sep - 0:27

money, money, money ~ juliet (pv) N4cIkCUG43Umoney, money, money ~ juliet (pv) Tumblr_mjzaytdUTP1qb276ao1_250

« it’s not about the money, money, money »
« Il n’y a pas que l’argent dans la vie » tout le monde dit ça, enfin tous les parents prennent le grand soin, à un moment donné de dicter cette phrase à son enfant. Ma mère m’a bien fait le plaisir de me la dire plusieurs fois. Des conneries inutiles, du gâchis qui ne sert seulement à gâcher ses paroles et sa belle voix. Je crois bien qu’au fond, nous le savions toutes les deux : cette phrase ? De la pure merde. Vous m’excuserez du langage. Ma mère et moi avons toujours vécus « en compagnie» de mon père (même s’il n’était jamais là), enfin disons dans une plutôt bonne situation, enfin très bonne si on y pense bien. Papa travaillait dans une grande entreprise de je ne sais quoi à l’étranger, je ne sais pas comment il faisait mais je sais que chaque semaine, parfois chaque mois, il nous envoyait des tonnes d’argent sur le compte de maman. Jusqu’au jour ou nous avons découvert qu’il n’était qu’une fraude et qu’en vérité il menait une double vie. Maintenant la question se pose, est-ce qu’il travaille vraiment dans une firme à l’étranger ? Si la réponse est négative, je me demande bien comment il continue d’envoyer l’argent. Enfin voyons, passons. Ce n’est pourtant pas à cause de son argent que nous survivons, nous n’avons même pas besoin de cela, mais puisqu’il insiste… Maman est une grande psychologue, connue pour avoir aidée des cas vraiment graves et en plus, lorsqu’elle était un peu plus jeune, il y a environ 5 ans en arrière elle avait hérité d’un énorme héritage venu d’une de ses tantes, une ancienne business woman de Manhattan. Vous pouvez imaginer le truc, ma famille est riche de tous les côtés, je parie que même mes cousins très éloignés sont déjà riches et que quelque part dans la famille se cache un Cristiano Ronaldo. Mais je ne m’étais jamais vraiment rendu compte de la vraie utilité de l’argent et des caprices que l’ont pouvait s’offrir à cause de cela, c’est seulement quand un jeune homme vint illuminer ma vie que tout ceci repris un sens, j’ai nommé Earl. Earl Lowell-Rodes, en fait. Il m’a montré les vrais plaisirs de pouvoir nous offrir tout ce que l’ont veut et pour une fois, d’être égoïstes et penser un peu à nous-mêmes. De toute façon, il y a beaucoup de gens pauvres dans le monde, comme on dit, alors oui il faut bien en dépenser à leur place et profiter pour eux. Avec Earl tout devient différent. Tout devient possible et plus claire. Tout parait plus simple, plus touchable. Également joueuse comme son Earl, elle va souvent avec lui en Casino, juste histoire de montrer qu’il n’est pas seul. Je suis son porte bonheur, sans aucun doute le meilleur. Parfois, histoire de rire un peu et d’empocher de l’argent plus facilement, je me contente de distraire les autres joueurs, les séduire et ils ne s’en rendent compte seulement quand ils ont tout perdu, ce qui est assez drôle en fin de compte. Nous appelons ça « notre show ». Dans le monde du poker, beaucoup des perdants veulent surement ma mort, tellement je suis forte à les distraire. Nous faisons une bonne équipe tous les deux et nous gagnons à tous les coups, ensemble nous sommes intouchables, imbattables, ensemble nous sommes plus fort. Couchée sur mon canapé, regardant la téléréalité des Kardashians qui me plaisait toujours autant, mon téléphone vibre. C’était justement mon petit cœur, Earl. J’ouvre le message et pu découvrir quelque chose comme Tonight au casino, soit bonne, mais pour ça je te fais confiance. Seul moi et lui pouvions comprendre ce genre de code en sms, nous allions faire notre show, comme nous l’appelions. Jusqu’à ce soir j’avais encore un peu de temps pour m’acheter une tenue, car comme toutes les filles de ce nom, ce que nous avons dans notre placard, surtout que le mien occupe deux grandes chambres, n’est jamais assez. Je mets un short taille haute et un crop top afin de laisser paraitre mon ventre, puis des Martins que j’enfile aussi pour deux petites heures de shopping afin de me trouver la tenue parfaite. Telle une star, comme à mon habitude, je me dirige vers ma voiture Ferrari décapotable et les cheveux au vent, je parque la voiture devant un petit quartier qui contenait des magasins de luxe. Après avoir fait le tour, elle finit par avoir trouvé la perle rare de la soirée. Une superbe robe blanche un peu pailletée sur les bords, très classe et sexy, comme faite exprès pour moi et pour l’occasion. Elle m’a sérieusement couté une fortune, mais bon on s’en fiche pas vrai. Je me dépêche de rentrer chez moi afin de me préparer, j’avais fais plus long que prévu, une heure de trop, ce qui voulait dire, une heure de moins pour me préparer. Je roule à toute vitesse chez moi, de toute façon c’est à cela que servent les voitures Ferrari sportives de luxe. Je monte en courant, pose n’importe où mes autres achats, puis rejoins ma garde robe, taille XXL. J’enfile rapidement ma robe, qui m’allait encore mieux qu’il y a cinq minutes de cela, lorsque je l’avais essayé à la boutique. Je marche jusqu’à la chambre d’à côté, la chambre aux chaussures. Je choisis de prendre des simples louboutins blanches ou plutôt beiges, ouvertes sur le devant, que je ma mère m’avait offerte avant de venir à Berkeley. Je prépare ensuite mes cheveux et fait ensuite mon maquillage, puis prends toutes mes clés de la voiture et glisse mon portable dans mon soutien-gorge comme à mon habitude. Je me rends au casino rapidement, volant dans l’autoroute, efflorant le danger avec mon petit doigt. Je m’arrête soudainement devant la grande porte lumineuse, un portier vint lui ouvrir la porte et prend le soin de garder sa voiture. Tête haute et en pas de mannequin, attirant tous les regards je me rends dans le grand casino où je recherche rapidement du regard Earl. Je le retrouve enfin et me dirige à toute vitesse à côté de lui.  « Earl ! » Je lui saute dessus aussitôt en déposant un bisou de façon plutôt charmante sur sa joue. Il était étrangement plus grand, en hauteur, que d’habitude et je lui fais aussitôt remarquer afin de se relaxer un moment. « Dis donc, tu as un peu grandis je crois ! Ou peut-être c’est moi qui aie rétrécis. » Je lui fais un grand sourire qu’il me rend aussitôt. « Alors que veux-tu faire mon beau ? » Je lui fais un sourire, en regardant le grand casino, passant mon regard autour de moi, sur chaque machine afin de lui montrer toutes les possibilités. Je ne pouvais m'empêcher de me sentir en sécurité près de lui, sentant son parfum d'homme pénétrer mon esprit et étrangement, avoir encore une fois, cette sensation de duo imbattable que personne ne pourrait briser.
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MessageSujet: Re: money, money, money ~ juliet (pv) money, money, money ~ juliet (pv) EmptyDim 8 Sep - 17:43

Dans un casino tu peux revivre, être qui tu veux, faire ce que tu veux, bien évidemment lorsqu'on a vingt et un an c'est plus simple, pas besoin de faux papiers pour entrer. Et c'est plaisant. On se sent supérieur et on est enfin considéré comme des adultes. Bien que fréquemment son entourage aime clamer haut et fort qu'il est resté un grand enfant immature. Ce n'est pas parce qu'il agit comme un con, que dans sa tête il a encore quinze ans. Bien au contraire. Il a une perspective d'avenir tracée, une vision de vie claire et précise et surtout il sait quelles sont ses priorités. Il y a les études d'un côté, l'argent d'un autre et le plaisir. Ce n'est pas parce qu'il claque des billets de cents à la minute qu'il ne sait pas gérer sa vie. En ce moment celle-ci est parfaite. Il en profite pleinement et il renonce à aucun de ses plaisirs. À quoi bon avoir autant d'argent si ce n'est pas pour l'utiliser ? Ça serait du gaspillage que de ne pas le faire. Donc heureusement qu'il y a des gens comme lui, ou sa mère, qui savent qu'on a qu'une vie, qu'il faut en profiter avant que le temps nous rattrape. Donc une soirée au casino c'est aussi banal que d'aller au supermarché pour Earl. Il aime cet endroit et s'y sent comme à la maison. Il est dans son monde, son univers, son petit paradis. C'est un lieu où il peut allier calcul et argent. Bien que ça soit illégal de le faire, il ne peut pas s'en empêcher. Sa tête compte les cartes pour lui. Heureusement qu'il reste discret, car sinon c'est derrière les barreaux qu'il va finir sa soirée. Et le jeune garçon est bien trop brillant pour que son potentiel soit gâché ainsi. Il le sait qu'une belle carrière l'attend. Ce n'est pas par prétention, quoi qu'il ne se gêne pas pour exposer ses facilités et capacités en cours, mais d'un côté il le mérite. Il en a bavé, sa vie n'a pas toujours été rose, donc percer dans un métier qu'il affectionne, c'est son droit. Et déterminé comme il est, il réussira. Sauf si l'argent lui voile la face. Car aveuglé par sa richesse, il pourrait se faire avoir et complètement abandonner pour être un de ses anciens riches qui sont accros au casinos et qui chaque jour claquent le peu d'argent qui leurs reste. Il n'en est pas là et espérons le qu'il ne le sera jamais. Car malgré ce train de vie, il faut qu'il reste conscient que rien n'est jamais acquis et qu'il faut se battre pour avoir ce que l'on désire. Ce n'est pas en un claquement de doigt qu'un boulot va lui tomber du ciel à la fin de ses études. S'il compte que sur son compte en banque, il est fichu. Mais ce qu'il faut savoir c'est que Earl n'a pas toujours vécu dans l'abondance et la richesse. Il a connu l'extrême pauvreté, les fins de mois difficile, des soirs sans repas. Donc lorsque soudain on vous ouvre un compte sans limite, on en devient rapidement dépendant. Et c'est ce qui arrive à Earl. Il ne sait pas ce qu'il serait sans cet argent. C'est sa drogue, c'est ce qui lui permet de vivre, de profiter et c'est la cause de l'être qu'il est devenu. Avant tout ceci c'était un jeune garçon timide, réservé, bien que gentil, il se faisait maltraiter par ses camarades. Un être faible et impuissant. Loin de l'homme qu'il est aujourd'hui. Et il préfère de loin ce qu'il est devenu que de la pauvre petite chose sans défense qu'il était. Il a de l'influence, de quoi se vanter, un cerveau, (...). Des qualités nécessaires pour venir parier son argent sur une table de casino. Voilà pourquoi le jeune homme se retrouve à attendre sa Juliet à l'entrée de celui-ci. Classe et chic dans son costard, il n'hésite pas à se montrer. Mais rapidement une délicieuse jeune femme fait son entrée et détourne son attention de sa propre personne. Rapidement elle le rejoint. « Earl ! ». Large sourire sur les lèvres, il est content qu'enfin elle arrive et ne le cache pas. D'un côté il apprécie sa compagnie. Elle doit être la seule à réellement le supporter. D'un côté ils se comprennent et ensemble ils sont comme invincibles. Un lien unique et dont Earl est fier de partager avec elle. Elle lui saute alors au cou et lui offre un léger bisou sur la joue. « Dis donc, tu as un peu grandis je crois ! Ou peut-être c'est moi qui aie rétrécis. » Toujours avec le sourire, il lui répond. « Sans doute les deux ... ». Il la taquine légèrement. Les voilà donc prêt à charger et rafler le jackpot. Face aux machines et aux divers jeux qui leur font face, la demoiselle le questionne. « Alors que veux-tu faire mon beau ? » . Il a sa petite idée de planning, encore faut-il qu'elle soit d'accord. Mais pour ça il ne se fait pas de soucis. Ils se comprennent et aiment les mêmes choses. « Que dis-tu d'une mise en bouche au bar avec un verre de leur meilleur whisky ? ». Bien évidemment il faut prendre le plus cher, le meilleur, le plus goûteux. Avant même qu'elle ne puisse lui répondre, il entoure sa main autour de sa taille et l'entraîne avec lui. Ainsi il débarquent au bar du casino. Ils sont facilement remarquable de par leur beauté, mais également leur charisme. Un duo aussi beau, ça ne passe pas inaperçu. Il l'invite à une table proche de bar qui se libère et fait signe au serveur de venir illico. « Un scotch et pour la charmante demoiselle ... ? ». Il l'interroge du regard. Elle peut prendre ce qu'elle désire, car ce soir, c'est leur soirée et on ne compte pas.
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MessageSujet: Re: money, money, money ~ juliet (pv) money, money, money ~ juliet (pv) EmptyDim 13 Oct - 0:50

Les Casinos, jeux d'argent, lieu de prédilection des riches qui ne savent plus quoi faire de leur argent tant leurs poches sont pleines. Poussant l'ostentatoire pour le thème, des tables de casinos et autres appareils de jeux ont été aménagés partout, les tenues hors de prix évidemment exigées, le champagne coulait déjà à flot pour certains, alors que je venais tout juste de faire mon entrée, digne d'une Allenwood. Je vous invite à découvrir mon monde, qui devient tout spécial, lorsque je passe des soirées spéciales avec le tout spécial, le seul et l'unique Earl Lowell-Rhodes. Ensaucissée dans ma robe blanche, pailletée dorée et posée sur mes talons Louboutin, j'attirais bien sûr tous les regards du casino, filles ou garçons, femmes ou hommes. Je me sens spéciale, lorsque je suis dans cette endroit... Je me sens en sécurité en sa compagnie, je me sens saine, pleine de vie, d'opportunités et d'adrénaline. Tous ces étranges sentiments au même temps, mais chacun d'entre eux est positif. Nul des sentiments que je ressens lorsque je suis en sa compagnie n'est mauvais, mis à part peut-être le danger, qui est mauvais pour les autres, surtout venant de ce duo ; mais pour eux le danger est agréable, le danger c'est le paradis, le danger c'est l'argent, le danger c'est leur monde. Cependant j'ai bien peur qu'Earl s'y plonge beaucoup trop dans cette addiction que nous avons et finisse par se faire avoir et devenir un des ses anciens riches qui sont accros au casinos et qui chaque jour claquent le peu d'argent qui leurs reste ; c'est pour cette raison que je fais tout pour que cela ne lui arrive pas. Notre relation est étrange, je ne suis pas sûre qu'il y ait un sentiment amoureux là dedans, mais je ne suis pas sûre qu'il n'y en ait pas. C'est plus une addiction qu'autre chose. Nous formons le meilleur duo et je ne veux que m'amuser avec lui, mais je veux également que son bonheur ; alors sans le montrer, je recule parfois dans le temps afin de voir si ce que nous faisons est bien. C'est toujours bien et correct, mais parfois même si nous allons un peu trop loin, on avance, nous n'avons aucune limite, il faut juste essayer de ne pas finir derrière les barreaux, ça serait plutôt bien. « Earl ! » criais-je donc en lui sautant dessus et en déposant un tendre baiser sur sa joue. Il ne cache pas le fait qu'il se réjouissait de me voir, je ne pus m'empêcher de le cacher non plus. « Dis donc, tu as un peu grandis je crois ! Ou peut-être c'est moi qui aie rétrécis. » Toujours avec le sourire, il commençait déjà bien la soirée : en me taquinant. Il ne pouvait s'empêcher de le faire à chaque fois que l'ont se voyait ; c'était comme un rituel. « Sans doute les deux ... » Je lui fais un grand sourire, histoire de lui montrer à quel point j'étais contente que l'on se retrouve enfin ; dans les meilleurs circonstances en plus, à l'entrée de notre monde, à l'entrée d'un casino. « Alors que veux-tu faire mon beau ? » demandais-je. « Que dis-tu d'une mise en bouche au bar avec un verre de leur meilleur whisky ? » Prédictible comme réponse ; le genre de réponse où Juliet comprend rapidement qu'il avait déjà sa « petite idée en tête » mais elle ne s'inquiétait pas pour autant, elle lui faisait confiance. « Allons-y ! » répondis-je d'un ton aimable que je n'utilisais qu'en sa présence. Il enlace sa main autour de ma taille et on marche ensemble jusqu'à ce qu'on pénètre cette grande porte lumineuse. Le portier nous l'ouvre et on peut aussitôt découvrir un monde bien plus lumineux, que la ville des lumières elle même. Je lui fais un sourire, en regardant le grand casino, passant mon regard autour de moi, sur chaque machine afin de lui montrer toutes les possibilités. Je ne pouvais m'empêcher de me sentir en sécurité près de lui, sentant son parfum d'homme pénétrer mon esprit et étrangement, avoir encore une fois, cette sensation de duo imbattable que personne ne pourrait briser. Une chose était sûre nous ne passions pas inaperçus, notre entrée avait était éblouissante et remarquable. On se dirige aussitôt vers le bar, où l'on s'installe dans une table qui venait de se libérer. « Un scotch et pour la charmante demoiselle ... ? » disait-il au serveur et en m'interrogeant du regard. Je prends quelques secondes afin de décider ce que j'en avais envie. Aucune question de prix, comme d'habitude, ce qu'on veut, quand on veut, c'est notre dilemme. « Un Troïka s’il vous plait. » disais-je au serveur de façon imposante. Quoi de mieux qu’un petit cocktail vodka-citron très rafraichissant. Une gorgée, puis une autre, puis un autre verre.. Il était minuit passé et les garçons commençaient à s’attaquer à leurs cible qu’ils on choisit en fonction de leurs préférences de physique. Tous en quête de ne pas finir la soirée seul, du moins en non présence féminine. Dans ce cas disons, tous à attendre leur moment de gloire où la machine deviendrait infiniment lumineuse et vous auriez gagné cette grande somme. Il était minuit passé, ce qui voulait dire qu'il était temps que l'ont commence notre show avec Earl, plus qu'à découvrir ce qu'il avait en tête depuis le début. « Assez bu pour la soirée, qu'avais-tu en tête pour la suite ? » Je l'interroge de mon regard pénétrant, anxieuse de savoir ce qu'il avait prévu pour la suite de la soirée.
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MessageSujet: Re: money, money, money ~ juliet (pv) money, money, money ~ juliet (pv) EmptyMar 29 Oct - 18:32

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