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♫ Ce rêve bleu c'est un nouveau monde en couleur où personne ne nous dit c'est interdit de croire encore au bonheur ♪

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MessageSujet: ♫ Ce rêve bleu c'est un nouveau monde en couleur où personne ne nous dit c'est interdit de croire encore au bonheur ♪ ♫ Ce rêve bleu c'est un nouveau monde en couleur où personne ne nous dit c'est interdit de croire encore au bonheur ♪ EmptySam 22 Juin - 22:07

L'année s'était aperçue furtive et rapide à tel point que les moindres faits et gestes constituants les souvenirs devenaient presque aussi importants qu'une fourmilière oubliée en pleine cambrousse. Une année supplémentaire qui venait se rajouter à leur parcours individuel, et une année qui venait se soustraire à leur future vie professionnelle. Mais la fin de l'année n'était pas synonyme de l'échéance relationnelle, qui elle persistait infiniment, ne cessant de rajeunir, s'abreuvant d'eau de jouvence. Le rythme maintenu de la vie quotidienne ne demeurait que par les surprises bien surprenantes qu'étaient les rencontres inattendues. 

Son café habituel en main, les cours venaient de retentir comme clos en cette fin de journée. Elles se ressemblaient tellement de plus en plus, ses jambes parcourant les mêmes couloirs, son postérieur embrassant les mêmes variétés de chaise, ses lèvres épousant les formes de ces verres flous d'usure, et ses mains saisissant le même stylo pour chaque réception de parole débitée, échanger quelques paroles avec Casey, ne pas croiser Jayson, et offrir à ses envies gustatives des petites douceurs. Une routine bien spéciale qui parvenait cependant à s'attirer les foudres de la jeune fille, invitant ainsi les bras enlacés l'été qui se saupoudrait d'un soleil perçant. Les vacances, un bel avenir prometteur, du moins, tant que sa famille n'y portait pas trop d'importance. Cette pensée créait la scène de toute pièce, rendant l'imaginaire presque réel, son ouïe parvenant même à percevoir les belles paroles de sa mère, en faveur de vacances familiales. Une sorte de rituel établit chaque année, rendant un rapprochement comme une nécessité qui n'était en réalité qu'une envie personnelle, quand on savait le nombre de fois où Quinn s'était vue dans l'obligation de croiser le chemin de son adorable cousin Aidan.

Ses pieds soudainement menés par une envie fébrile, elle se laissait guider tels les soldes dans le creux de leur demeure, qui ici se voyait métamorphosé en un lieu qui accueillait la moindre parcelle d'imagination. L'apercevoir si proche du lieu de création n'était pas un fait surprenant, de part sa grande curiosité sentimentale qui l'avait autrefois mené à bien des endroits inappropriés pour une demoiselle. Berkeley se transformait de jour en jour en jardin secret dont rien ne lui échappait. Et c'était avec la plus belle pensée mensongère qu'elle s'y rendait pour laisser exprimer sa créativité interne. 

Se penchant discrètement dans l'entre deux de la porte, ses yeux lui dressèrent un portrait authentique de ce qu'elle percevait. Quelques élèves s'acharnaient sur un pauvre piano qui rappelait celui de sa grand mère, tandis que celui qui était parvenu à maîtriser ses pensées, détournait toute son attention sur l'une de ses nombreuses oeuvres. Une idée illumina son esprit : se faufiler minutieusement dans la pièce de telle sorte à ce que le jeune homme ne la décèle pas. Souhait qui fut rapidement brisé et ce sans complexité, le bruit de ses talons la trahissant sans aucun scrupule. L'observer sous l'effet de la concentration était un bien doux rêve qui se voyait devenir réel, faisant resurgir leur rencontre si récente. Rencontre qui paraîtrait comme toujours décevante auprès de Jayson qui ne savait que répondre par le mépris. Son esprit parvenait à lui exposer une scène future en connaissance de ses plans, la noyant sous une vague houleuse de questions basées sur les reproches. Quelles pouvaient être les peines causées par un comportement lunatique face au reflet des fréquentations? La vie était unique et résonnait comme un eldorado dont il fallait profité pleinement sans scrupules quelconques.

S'approchant du jeune homme sans volonté apparente de devenir invisible, elle scrutait son oeuvre tout juste naissante des cendres de son esprit. "Alors que va créer notre nouveau Picasso aujourd'hui?". L'air pensif délivré à son visage, ses lèvres offraient également ce sourire éternel. "Laisse moi deviner .. Une sculpture ? .. ou peut être une peinture?". A vrai dire, son croquis ne dévoilait aucun indice particulier quant à la matière et à la forme future que lui donnerait ses pensées, laissant ainsi cette fabuleuse oeuvre dans une brume légère et claire, laissant sous entendre une réalité spectaculaire. L'art, son cœur n'y avait jamais réellement dédié une importance particulière, malgré les nombreux tableaux qui ornaient les murs de sa demeure.
Épousant les formes de la table voisine, elle s'autorisait une prise d'appui, les bras croisés sur sa poitrine, tandis que son regard enjoué fuyait le silence surprenant de la salle.
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MessageSujet: Re: ♫ Ce rêve bleu c'est un nouveau monde en couleur où personne ne nous dit c'est interdit de croire encore au bonheur ♪ ♫ Ce rêve bleu c'est un nouveau monde en couleur où personne ne nous dit c'est interdit de croire encore au bonheur ♪ EmptySam 22 Juin - 23:46

Un artiste est un créateur . Cela lui rends presque une qualité divine. Du moins, c’était ce que je voulais de mon travail. Aujourd’hui était particulier. Il m’avait été proposé de participer à ce projet, cela faisait parti de toute la ligne directrice du projet de l’année : l’empathie. Il fallait que la personne observant l’oeuvre puisse s’imaginer peindre ce tableau, se voir tailler ce bloc de marbre - nous devions rendre l’Art accessible. Je m’étais très rapidement intéressé au projet. Je venais tout juste d’arriver sur le campus, je ne connaissais personne - j’étais un inconnu aux yeux de tous. Participer à une telle activité aurait de plus pu me permettre de me sculpter une certaine notoriété, on racontait que parfois certains collectionneurs se promenaient dans les allées de ce genre d’expositions amateurs. En m’inscrivant dans le projet, on m’avait demandé de ramener au projet une idée fraîche et nouvelle, qui marquerait mon passage dans l’exposition. Je proposais un atelier à ciel ouvert : une pièce dans laquelle on pourrait réellement me voir créer.  Tout cela me semblait innovant. Jamais un artiste n’avait fait de sa façon de créer sa véritable oeuvre. Mon idée fut acceptée, j’étais retenu pour le projet. Pourtant, si tout devait sembler    naturel, je me devais de me préparer à l’épreuve. Ce matin ci, je m’étais promis de me rendre dans cette salle communiant la musique et les arts plastique. J’avais pris soin de réserver la salle de derrière. C’était une salle obscur dont l’unique pointe de lumière transperçait d’une fenêtre exigüe. Cette atmosphère froide au premier abord se trouvait en réalité être très reposante. Il était plaisant de n’être qu’avec son esprit lors de la création. D’une dimension raisonnable, la salle accueillait parfois quelques cocktails, rencontre ... Toutes sortes de formalités sociales dont l’Artiste devait passer pour vendre son Art. 


Je me mettais en chemin vers l’université. Finalement je me plaisais dans cet univers américain, tout était si différent de la France. Les Etats Unis avait une dangereuse fascination pour la démesure , tout devait être grand - imposant. Moi qui avait été habitué à mon petit confort précis fut bouleversé par cette grandeur, finalement en soit cette prétention américaine. C’était un beau jour de Juin, l’université s’était rapidement vidée de la majorité de ses étudiants partis en vacances. Je me réjouissais à l’idée de pouvoir profiter du silence - San Francisco était une ville formidable mais si bruyante. Pourtant il était temps que je brise mon calme confort pour me laisser bercer dans les bras de cette si séduisante cité. Je voulais me découvrir à nouveau. 


J’arrivais dans l’université avec un calme déconcertant, je m’en étonnais moi même. Etrangement je ne possédais pas cette excitation - cette passion qui me prenait et me brulait lorsque je me savais sur le point de créer. Je ne sentais pas la chaleur me monter au cerveau, mon esprit n’était pas embrumé par mille et une idées de peinture. J’étais dans un état végétatif inhabituel. D’ordinaire, peindre ou encore sculpter était au delà d’une envie, un besoin pour moi. A l’exemple de Van Gogh, il me prenait parfois de réaliser un tableau par jour. Dans ces moments de semi transe, je me laissais envahir d’une telle passion, d’une telle fureur que rien ne pouvait m’arrêter. Les traits de gouache s’accumulaient sur la toile vierge, parfois avec violence, comme des coups de couteaux sur un corps innocent, et d’autre fois avec une douceur presque maternelle. Dans tout les cas, c’était quelque chose de bien plus puissant que la simple envie qui me commandait dans ces moments de création. Pourquoi ne me sentais je pas excité à l’idée de créer ? Les doutes m’envahissait. 


Au fur et à mesure que je m’approchais de mon atelier, j’étais de plus en plus incertain. Devais je poursuivre ce projet ? Je m’asseyais devant une toile vierge et observait la blancheur de celle ci. Elle m’éblouissait presque. Mécaniquement je sortais de ma poche un de mes anciens croquis - comme j’avais l’habitude de faire. Je comprenais soudainement ce dédain pour l’Art que je ressentais. Dans ma main, reposait un croquis d’elle, de Cassandre. Pendant des mois, elle avait été mon art, elle était ma muse - mon souffle d’inspiration. Ma main se crispait autour du papier, mes doigts s’enroulaient et je finissait par jeter avec furie la papier à travers la pièce. Je devais m’affranchir de son souvenir, je devais me prouver que mon art était plus que sa simple personne. Je l’aimais et elle m’avait aimé, il était temps de passer à autre chose. Dans la fureur je traçais des traits abruptes - me lançant alors dans une sorte de cubisme incontrôlé. Les traits étaient brutaux presque sanglants. La pointe de mon crayon s’enfonçait dans la toile, la rompant pratiquement à certains endroits.  L’ensemble ressemblait à un fabuleux chaos. Pouvait-on trouver un esthétisme  dans le désordre ? 


Les bruits du crayon s’écrasant sur la toile était caché par le joyeux vacarme des étudiants sur l’ancien piano de la salle avoisinante. C’était sur l’air de « Hit the road Jack» que je continuais dans ma lancée. Pourtant dans ce désordre - j’entendais un son régulier. Le claquement de talons sur le sol carrelé. Ce léger tintement me parut alors la seule note ordonnée dans cette telle atmosphère - une note presque reposante. Je prenais une longue respiration et laissait légèrement retomber ma main de la toile. Mes yeux se soulevaient. Une jeune fille à l’allure élancée me regardait avec curiosité. La rougeur de son rouge à lèvres rompait brutalement avec la candeur de ses longs cheveux blonds ondulés.  Elle me toisait de ces grands yeux verts et un sourire malicieux. 


« Alors que va créer notre nouveau Picasso aujourd’hui ? Laisse moi deviner ... Une scupture ? ou peut être une peinture ?» 


Je lançais un oeil interrogateur à mon oeuvre. Il était vrai qu’au simple vu de cette oeuvre on aurait pu me relier au mouvement cubisme de Picasso, sans avoir la prétention d’être encore à son niveau. Seulement je me trouvais piégé par une simple question. Qu’étais je réellement en train de faire ? Je ne pouvais que répondre avec franchise.


« Pour être franc, je ne sais pas moi même. Ca ne me ressemble pas de créer sans avoir la moindre idée de ce que je suis réellement en train de faire. J’ai d’ordinaire toujours une trame dans mon esprit - une idée directrice pour  mon oeuvre. Mais là, je ne sais pas ce qu’il m’a pris, je me suis senti presque ... possédé. Je ne sais plus trop ce que je dois faire. J’étais censé faire une esquisse pour cette exposition ou je devrais afficher une de mes oeuvres... Mais il me semble que j’ai simplement perdu le contrôle.»


Je la regardait comme un enfant qui venait de fauter. Je ne savais ou me mettre. D’ordinaire je ne ressentais pas cette pudeur pendant mes moments de création et pourtant voila que je me sentais désarmé. Je tentais de retourner la situation .


« Et toi, que viens tu faire ici ? Espionner le grand Pâris en pleine création ?» 
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MessageSujet: Re: ♫ Ce rêve bleu c'est un nouveau monde en couleur où personne ne nous dit c'est interdit de croire encore au bonheur ♪ ♫ Ce rêve bleu c'est un nouveau monde en couleur où personne ne nous dit c'est interdit de croire encore au bonheur ♪ EmptyDim 23 Juin - 16:59

Son regard s'était autorisé une dérive, auscultant les murs qui formaient cette pièce située sous les ailes protectrices de la fantaisie démesurée. Le plafond quant à lui était d'une sobriété affolante, laissant les pensées les plus improbables de Quinn dans une malle scellée. Son imagination s'était déjà autorisée des simulations sensorielles à la perception de salle qui lui offrait une simple lueur noire. Quand l'impossibilité d'observer demeurait, les détours se devaient d'être réalistes tout aussi bien qu'incertains. Un détail effrayant frappa de plein fouet son ouïe, ce silence grossier qui devenait presque insupportable. Tout devenait subitement clair, les nuages brumeux et chargés d'ondes négatives chassés de leur siège initial. Cette situation imminente lui rappelait les raisons exactes de son orientation. Etudier un art qui assure une solitude captivante par la suite lui brisait les os par le simple souffle de ce mot évoquant l'absence de vie. C'était une certitude qui ne manquait pas de lui remémorer les motivations nécessaires à sa survie qui se penchaient vers un besoin incessant de parcourir les foules et d'entretenir un lien perpétuel. L'enfermement qui n'était qu'une alternative éventuelle devenait soudainement un cauchemar réaliste qui si venait à se réaliser sèmerait une pagaille démunie de nom à l'encontre de son esprit trop imbibé des habitudes. 

Berkeley, un trésor caché qui était emplit de nombreuses perles rares, et seul son esprit pouvait se rendre compte à quel point son coeur remerciait ses parents d'avoir entretenu cette idée d'un jour appartenir à cette université reconnue. Noyée sous la jeune population adulte, ses rêves les plus fous semblaient prendre une allure de vie banale. Il était vrai qu'il n'y avait qu'à réaliser qu'une petite poignée de pas avant de pénétrer dans des sphères bien différentes, et qui renfermaient des personnalités uniques. La diversité était un plaisir qu'elle ne pouvait s'aventurer à refuser à son pauvre organe qui venait d'atteindre à ces jours une endurance unique, accompagné de douloureuses blessures ayant trouvé plus ou moins source de guérison.

Le jeune homme toisait sa toile avec intérêt comme tout artiste qui se respectait. Quinn possédait avec difficulté l'honneur de s'imaginer à sa place, seulement dans un cauchemar lointain. La seule chose pour qui elle aurait pu dédier autant d'attention? Les vêtements taillés à la perfection par les plus grands couturiers mondiaux, et l'homme qui s'établirait maître de son cœur, voisin de nombreux autres prétendants passés. « Pour être franc, je ne sais pas moi même. Ca ne me ressemble pas de créer sans avoir la moindre idée de ce que je suis réellement en train de faire. J’ai d’ordinaire toujours une trame dans mon esprit - une idée directrice pour  mon oeuvre. Mais là, je ne sais pas ce qu’il m’a pris, je me suis senti presque ... possédé. Je ne sais plus trop ce que je dois faire. J’étais censé faire une esquisse pour cette exposition ou je devrais afficher une de mes œuvres... Mais il me semble que j’ai simplement perdu le contrôle.» La description de ses sentiments laissait l'esprit jovial de Quinn vaporeux, alors que celui-ci imposait un regard innocent à ses pupilles. La possession, elle ne l'avait jamais étudiée mais savait qu'elle était l'objet de nombreuses études. Cependant ce n'était pas la première chose qui lui venait à l'esprit, se retrouvant amplement devancé par les films d'horreurs que son frère et elle avaient pu visionner durant leur adolescence. Sur ses derniers souvenirs glaçants, rester immobile provoquait des démangeaisons psychologiques au creux des courbes de ses jambes, situation qui lui déplaisait fortement. Parcourant la salle d'un air pensif, elle faisait une fois de plus retentir le bruit de ses talons, demeurant identique à chaque nouvelle phrase. « Et toi, que viens tu faire ici ? Espionner le grand Pâris en pleine création ?» 
L'espionner? Certainement pas, car il était d'une vérité reconnue que si telle avait été ses intentions, elle se serait vêtue de son costume adéquat. Mais si par espionner le jeune homme entendait remarquer quelques détails, alors oui elle venait de s'improviser détective privée. Les yeux rivés sur un bout de papier froissé qui se heurtait contre le sol lisse et brillant, sa main enlaça l'ancien support avant de le défroisser et de percevoir une silhouette féminine. Tout en observant l'objet qui avait semblé être la victime d'une quelconque fureur, elle répondait au jeune homme d'un air occupé : « Hé bien .. je trouvais le concept intéressant que d'extérioriser mes ressentis sur toile. » Elle, extérioriser ses sentiments sur toile? Une blague de mauvais goût quand on prenait connaissance de ses œuvres ô combien surprenantes qu'elle avait pu réaliser de ses doigts fins de petite fille qui en réalité occupaient la plupart de leur temps à coiffer les cheveux de ses poupées. La seule chose qui se retrouvait en mesure de naître de son esprit était une tenue complètement révélatrice de son goût pour la mode. Se dirigeant de nouveau vers le peintre novateur mais inquiet, elle prenait l'initiative de lever le doute : « Non en réalité, je venais exactement pour ce que tu as déclaré, même si l'observation me semble plus appropriée que l'espionnage ». Il était vrai que si telle avait été son intention, ses chaussures auraient sans doute étaient tout autre. « Est-ce que ta toile se devait de ressembler à ce dessin, car si tel était ton objectif, j'ai bien peur que tu n'es échoué. » Elle le taquinait, mais savait parfaitement que ce qu'elle disait avait un sens. Elle avait beau être démunie de toute notion artistique, sa toile qui s'était vue offerte les foudres d'une colère inconnue possédait une beauté inférieure à ce croquis pourtant froissé et abîmé par les plis vulgaires de la feuille. Pourtant, elle ne l'égalait en rien.
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MessageSujet: Re: ♫ Ce rêve bleu c'est un nouveau monde en couleur où personne ne nous dit c'est interdit de croire encore au bonheur ♪ ♫ Ce rêve bleu c'est un nouveau monde en couleur où personne ne nous dit c'est interdit de croire encore au bonheur ♪ EmptyLun 15 Juil - 19:39

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