Laisse jamais personne te faire croire que tu ne mérites pas ce que toi tu veux ¤ ft Ayane /!\[hot]

Invité

Vautré sur mon lit, je pensais encore au bal de fin d'année qui avait eu lieu quelques jours auparavant. Je m'y était amusé comme un fou, mais pourtant, il y avait eu des moments pour le moins bizarre. J'avais voulu joué avec les sentiments de James en étant bien trop proche de Maëlle, et puis, j'avais ensuite croisé Aengus, après avoir rendu Maëlle à son chéri, et nous avions dansés ensemble quelques instants. Et cette danse avait totalement déchainé Maëlle. Elle avait carrément crisé de jalousie au bal. Et James, voyant la jalousie de sa petite amie, s'était de nouveau interrogé sur le lien qui nous unissait. Bref, ce bal avait été un beau mélange de toutes les émotions possibles. Je songeais encore à la réaction d'Aengus, c'était notre seconde rencontre et c'était elle qui m'avait embarqué pour danser. J'avais voulu être gentil avec elle, et puis elle me surnommait son "ange" alors je n'avais absolument pas prévu une réaction aussi dramatique lorsque je lui avais dit que je l'appréciais. Elle s'était mis à pleurer. Je n'avais que rarement fait pleuré une fille et ce n'était jamais pour quelque chose que j'avais pu dire. Alors je restais perplexe face à cette réaction. Et je ne pouvais en parler à personne. Ebony se moquerait carrément de moi, comme la plupart de mes autres amis, hormis Maëlle, sauf que cette dernière avait paru terriblement jalouse que je danse avec Aengus, donc je ne pouvais lui en parler non plus... Je devais me débrouiller seul. Je pourrais tout aussi bien aller voir la personne concernée, mais je ne voulais pas la faire pleurer une autre fois, plus encore, je ne l'avais vu en tout que deux fois et elle était défoncé à chaque fois. Mais cela semblait être son mode de vie. Je n'allais pas critiquer la jeune femme, elle faisait ce qu'elle voulait, mais, lors de notre première rencontre, je m'étais senti responsable d'elle, dans ce commissariat qui était empli de jeunes mâles prêt à tout pour faire n'importe quoi avec une jeune fille aussi frêle qu'incapable de se défendre. Et je devais admettre que chaque fois que je la croisais, je me demandais si elle n'allait pas finir par faire une overdose. Mais ce n'était pas vraiment mes problèmes, si ?
J'étais globalement heureux du noël que j'avais passé en solitaire, je préferais être seul alors même que toute ma famille se réunissait au Texas. Mais cela ne regardait que moi, j'avais d'ailleurs reçu plusieurs coups de telephone depuis la fin des vacances, de mes oncles et tantes qui se demandaient la raison de mon absence à la réception de mon géniteur. J'avais trouvé un prétexte parfait, personne ne pourrait trouvé à y redire : j'avais du rester en Californie pour travailler mes partiels. Il fallait bien que je soit le meilleur.
Je tournais la tête pour regarder l'heure sur mon réveil, il n'était que huit heure du matin. J'avais l'impression d'être éveillé depuis très longtemps alors que cela ne faisait qu'une petite heure que je gambergeais dans mes pensées. Mon regard sur la photo que Maëlle avait fait encadré pour moi, pour noël : elle, mon décédé jumeau Cameron, moi et nos mères. Nous étions encore si jeunes, nous n'avions pas plus de dix ans. Le trio terrible. Mais c'était un an avant la mort de la mère de Maëlle, sept ans avant la mort de Cam'. Les choses avaient désormais changées, nous n'étions plus que deux, mais depuis nos retrouvailles à l'université, nous étions devennus très proches. Et cela nous rendait heureux.
La résidence était ivde à cette heure, tous les omegas travaillaient d'arrache pied, le doyen leur avait rappelé qu'ils étaient tenu d'avoir de bons résultats pour rester dans la confrérie. Tous mes camarades tentaient de rattraper six mois de cours à dormir. Quant à moi, j'avais toujours eu la capacité à pouvoir me contenter de très peu de sommeil. Je pouvais donc me permettre de dormir un peu plus tard le matin.
J'entendis un bruit derrière la porte, mais je ne m'inquiétais pas, c'était Ayane, la femme de ménage. Je ne la connaissais pas trop, elle veillait bien à mettre une distance entre elle et les autres, mais nous nous étions déjà croisés plusieurs fois dans la résidence et sur le campus, j'avais toujours fait attention à la saluer et à lui dire deux ou trois mots. C'était le maximum que je pouvais faire sans qu'elle me prenne pour un détraqué masochiste qui cherchait à tout prix à la connaitre. Et pourtant, cela ne m'aurait pas déranger de la connaitre mieux. Elle donnait l'impression d'être froide et pourtant, je sentais en elle qu'elle pouvait être très gentille et adorable avec les gens qui la connaissait. Je cherchais un moyen de devenir quelqu'un qu'elle aprécierait. C'était un peu bête, j'aurais très bien pu arrêter d'être gentil avec elle et me contenter de lui dire bonjour quand je la croisais. Mais j'étais quelque peu têtu... "Bonjour Ayane. Tu vas bien ?"

Invité

Le réveil sonne. Ksoww !! (Merde ) Ce foutu réveil… Un réveil qui vous dit que vous devez vous réveillez pour aller au travail. Il est 6 h30 du matin. Restant toujours dans mon lit, je repense à ma nouvelle vie. Une vie totalement de celui du japon. Une vie calme et spéciale. Une vie avec moins de risque, pourtant, lors de mon arrivé, je me suis déjà battu…Puis gemma a fait sa mère. Puis je repense encore à cette femme. Faudrait qu’un jour, je vienne la voir avec un petit cadeau. Pourquoi cela ? J’avais juste envie en faites…Même si parfois elle m’énerve grandement…J’aime son grand cœur. Pourquoi ne pas faire un petit pas en avant…pour corriger nos malentendus.

Mes yeux se posent sur mon téléphone en train de regarder l’heure. Un long soupire émane de ma bouche. Je me force à m’élever et a me changer. Qu’est que je vais mettre aujourd’hui. Ha ca va être simple. Jean troué avec débardeur mettant en valeur ma poitrine. J’applique rapidement mon choix et coiffant ma longue chevelure ébène. Puis je maquille mes yeux en noir pour accentuer ce regard perçant. Après cette courte préparation. Me voilà à l’extérieur de chez moi. Je mets mon casque et je plonge mon mp4 a l’intérieur de ma poche. JE ferme la maison mettant par la même occasion ma veste en cuir…puis je cours pour prendre le premier bus.

A l’intérieur, je m’installe dans un siège à côté de la vitre. Le bus avance, s’arrête, s’avance et ainsi de suite. Le paysage de la ville est magnifique et quelque peu monotone. Comme si le temps s’arrête. Un temps légèrement triste par ce nuage triste. Le temps passe, le temps passe comme si le trajet dura une éternité. Me voilà enfin au campus. Je me lève et je me dirige dans le campus des Omega. Un campus bien propre par rapport au Gemma. Oui. Ils sont plus clean ça je peux vous le dire.
Quelque minute après, me voilà à l’intérieur, Je sors tout le matériel nécessaire. Je protège ma main en mettant les gants. Par ou je vais commencer le travail ? Mhhh allez je vais d’abord commencer au salle commun. JE rentre dans ce fameux endroit, nettoyant chaque recoin de la pièce. JE regardais partout si je n’avais pas laisser la moindre trace. J’ai un grand défaut. Ce défaut est être très perfectionniste. Cela fait partie de ma culture. Après avoir nettoyé cette endroit, je m’attaque au couloir. Oui en ce moment beaucoup d’élève se repose. Donc je profite pour nettoyer ici. Je refais ce même travail.
"Bonjour Ayane. Tu vas bien ?"

Une petite voix me fait sursauter. Je fronce les sourcils regardant l’homme face à moi. Je l’analyse avec un œil inquisiteur. Un regard bien froid. C’était bien Mael. Même si je mets une certaine distance entre les gens. C’était partie une rare personne que j’appréciais…Appréciais dans le sens que je préfère lui que les autres membres de la confrérie. Ma main retire mon casque, mon regard devenant plus neutre et légèrement doux. Un petit sourire aux lèvres apparaient sur mon visage.

« Ohayo….Heu bien et toi ? »

Je penche ma tête sur le côté en train de regarder ma joue.

« Tu es un lève tôt toi aussi tu me trompes ? Heu. »

Mes yeux en train de regarde sa chambre. Je pointe du doigt son antre en le fixant toujours.

« tu veux que je te nettoie ta chambre ? Cela ne me dérange pas. »

Je souris grandement et ma tête se penche sur le côté. Pourquoi de ne pas profiter de mieux le connaitre. Il doit être un mec bien en faites.

Invité

Je fixais Ayane, tout autant qu'elle le faisait elle. Je remarquais ses vêtements, un simple jean troué et un tee-shirt. Je ne pu que remarquer sa poitrine. Mais je m'obligeais à ne pas m'attarder sur les détails de son physique. Après tout, mon objectif premier n'était pas de coucher avec Ayane, mais bien de m'en faire une amie. Pourtant, elle correspondait au type de fille que je m'envoyais assez régulièrement. Sauf que je savais que ces filles ne voulaient rien d'autre que du sexe et je pressentais que ce n'était pas le cas de la japonnaise. Plus encore, toutes ces autres filles étaient superficielles et, avouons le, un peu stupide. Or la jeune asiatique me semblait plus profonde, plus vrai. Et il m'était rarement donné de rencontrer ce genre de personne, toutes les filles, dès qu'elles apprenaient mon nom et ma richesse ne voulait plus qu'une chose : m'éblouir, pour que je reste avec elles et que je les comble de cadeaux. Mon niveau de vie faussait complètement mes relations. Et je devais constamment faire attention aux petits détails qui pouvaient montrer si oui ou non, la personne qui était en face de moi s'interessait vraiment à moi, ou si elle voulait juste être avec quelqu'un de riche. Seulement, avec Ayane, je n'avais pas ce problème puisqu'elle refusait constamment que je me rapproche d'elle. Elle restai froide et distante. Bien sûr, je n'allais pas m'arrêter à ce détail, je continuais sans cesse de vouloir être proche d'elle. Peut-être était-ce parce que j'étais sûr que lorsqu'elle finirait par devenir quelqu'un de mon cercle d'amis, si cela arrivait un jour, elle serait là pour moi et pas parce que j'avais de l'argent.
J'avais sans doute du faire un pas dans notre relation depuis la dernière fois que je l'avais croisée puisqu'elle sourit après m'avoir scruté d'un air froid. Pus encore, de la douceur paru dans ses yeux. Mes talents pour me faire des amis avaient peut-être une fois de plus fonctionnés. A moins qu'Ayane ai fini par décider que je valais la peine d'être connu. Mais je n'en savais rien, je n'étais pas dans sa tête. Et je préferais ne pas me réjouir trop vite, et ne pas précipiter les choses, cela pourrait risquer de briser ce minuscule lien qui nous unissait. "Je vais bien aussi" Je lui souris en retour. Elle avait enlevé le casque qu'elle portait lorsqu'elle travaillait. Je me demandais ce qu'elle écoutait comme musique. Probablement quelque chose d'entrainant pour se motiver à faire le ménage toute une journée. Enfin, ce serait ce que j'écouterais si je devais faire le même travail qu'elle. J'avais d'ailleurs beaucoup de respect pour la jeune fille, même si je ne la connaissais pas et que j'ignorais tout des évenements de sa vie, parce qu'elle avait l'âge d'être une étudiante et qu'elle devait faire ce travail pour vivre.
J'avais réussi une autre étape : elle montra de l'interêt pour moi. Parmis toutes les choses qu'elle aurait pu dire, parler du temps, du bazzar qu'il y avait dans la résidence, les conditions de circulations à San Francisco... Elle choisi de faire remarquer que je m'étais levé tôt. Un lien se construit toujours sur ce genre de petit détails. "Oui, j'aime profiter du calme du matin. Mais je ne suis pas lle seul à me lever tôt, toi aussi, non ?" Ceci était une évidence, elle devait faire le ménage sur tout le campus, et bien qu'elle ne soit pas la seule femme de ménage, je savais que ce travail prenait du temps et qu'il fallait se lever très tôt pour pouvoir tout faire en une journée.
Je la vis fixer ma chambre, et elle me proposa de la nettoyer. Heureusement pour moi, ma chambre n'était pas très sale, je n'aurais pas accepté sa proposition si cela n'avait pas été le cas, je mettais un point d'honneur à ne jamais faire entrer une personne si ce n'était pas ranger. D'un autre coté comme j'étais assez ordonné, c'était rare que le bazarre règne dans mes lieux de résidences. Si j'acceptais, cela signifiait que j'allais passer quelques dizaines de minutes en sa compagnie et que j'allais pouvoir tenter de mieux la connaitre. Et elle avait un grand sourire, elle paraissait heureuse. Bref, tout ça me poussa à accepter sa proposition. "Et bien, je ne suis pas contre. Aller, entre." J'entrais le premier, attendant qu'elle me suive. Je fixais le reflet que le miroir me renvoyait de moi. Mes cheveux encore en vrac, un sweat et un jean froissé. Je vérifiais au passage que rien ne trainait et je pu constater que non, hormis mon sac de cours que je m'empressais de poser sur la chaise de mon bureau. "Et voilà mon chez moi. C'est un peu petit, mais je n'y suis pas souvent." Je n'avais rien à redire de ma chambre étudiante. Et puis, j'étais plus souvent en soirée et ou cours que dans ce lieu.

Invité

musique d'ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=QtTj4cramPM

J’incline un peu ma tête prenant mes affaires pour nettoyer sa chambre. Je soupir de soulagement sachant qu’il n’a pas trop de Bazard la dedans. Je peux vous dire que cela fait du bien d’avoir un homme qui range bien sa chambre. Même moi je ne range pas aussi bien mon petit chez moi. Je souris un peu regardant là où je peux nettoyer.

« Ohhh cela ne me dérange pas…depuis longtemps je me lève tôt donc ça va…..Mhhhh puis ouais c’est vrai que c’est bien le calme…je suis aussi pour le calme…puis avec ses étudiants stresser nerveux….Mais bon…être étudiant c’est plus calme je trouve. »

Je regarde et je vois qu’il y a de la poussière. Sans demander son avis je monte sur la chaise roulante prenant soin pour ne pas tomber. Au même avec mon chiffon imprégné de produit anti-poussierant je passe dans les recoins ou généralement personne viendront nettoyer. Je retire quelque bouquin tendant à Mael.

« Mhh garde moi cela deux minutes hein. »

Je souris en le regarde et je reprends ma tâche.

« Merci d’avoir le respect de bien ranger tes affaires. C’est rare de voir les hommes. Puis comme les filles de bien en ordre leurs endroit….Cela m’énerve quand on voit qu’on a pas de respect pour les femmes de ménages. »

Lorsque ma tâche est fini. Je saute légèrement, mes pieds atterris sur le sol et mes genoux s’abaissent pour éviter de les abimé. C’est une technique qu’on apprend en étant une yamakasi. De toujours plier les genoux dans les chut…pour ne pas les abimé…Et faire une roulade en avant quand c’est un long saut. Mes yeux se pose sur lui.

« Puis en voyant ce campus…c’est assez propre par rapport au gemma…même si je suis une rebelle….mais ils me font bien rire avec leurs caractère rebelles….pourtant il y’en a qui vient d’une famille aisé et une vie facile.. »
Je prends le ballais et je dépose mon chiffon. En même temps que je passe chaque recoins de la table. Je m’amuse a passé dans chaque recoins pour bien rendre le sol propre. Puis je m’arrête posant mes deux mains sur le bout de mon balais pour m’appuyer dessus.

« Il est petit…mais j’aime bien ta chambre… »

Je regarde le lit et je rigole un peu.

« Je paris que beaucoup de fille se sont amusé à faire des choses pas net dans ta chambre….En même temps c’est normal. Puis je peux te dire en toute amicalité. Les filles et les mecs d’ici sont trop facile a dragué…Puis je me suis amusé avec quelque filles comme homme de la même manière….ou les autres voulaient de moi mais ils n’ont pas pu me toucher…C’est amusant quand on sait analyser les gens. Et oui je suis bien une bi…si tu as des doutes. »

Le pointant du doigt. Je souris un peu avec quelque amusement. Je suis peut être froide mais je peux me montrer social et parfois blageuse mais restant distante…puis là je profite pour blablaté un peu sachant que mon travail va être horrible a faire.

« Ha….conseil….parfois avec les filles…ils faut limites traité comme des salopes…et elles sont contentes…la si c’est rien de grave…je me dis que le monde ne tourne pas rond…. En faites…Vous êtes spéciaux les américains. »

Puis je le regarde longuement. Cet homme dirait qu’il veut mieux me connaitre…Pour cela qui me regarde un peu longuement ou qu’il se force a me parler pour se lier d’amiter avec moi. C’est vrai que parfois…on hésite pas trop de parler a une fille froide…mais il a l’air intéressant. Je préfère encore ma distance…même si j’approuve que j’aime parler avec lui. Juste au moment je réfléchis un peu de ce que j’allais faire à midi.

«Ksow…..à midi personne est dispo..Que c’est chiant parfois d’être seule. »

Je le regarde d’un air un peu sérieux et je me gratte la joue.

« Hey Maël…cela te tente de manger un truc avec moi à midi ? »

Invité

Alors qu'elle penetrait dans ma chambre, elle sembla soulagée que cela ne soit pas trop le bazar. D'un autre coté, je pouvais la comprendre, faire le ménage toute la journée est sans doute épuisant, et une tâche assez ingrâte. Si en plus les gens ne respectaient pas les femmes de ménages en laissant tout en bordel dans toutes les pièces, cela doit être dur à supporter. J'imagine que si je devais exercer le métier d'Ayane, je me sentirais assez peu fier de moi.
En même temps qu'elle me parle, elle passe le chiffon sur quelques meubles. J'avais évoqué mon besoin de calme et le fait que je le trouvais le matin, tôt. Faire parti de la confrérie des Omegas, ce n'est pas le meilleur plan pour disposer d'instants sans bruits. Nous passons nos soirs e, boite de nuit ou à des fêtes et nous sommes des personnes toujours très socialbes, toujours prêtes à aller vers les autres. Mais pour moi, qui avait connu la solitude durant prêt de six mois, j'avais besoin de me retrouver au calme parfois. Ce qui était également le cas d'Ayane, elle ne voulait pas se retrouver toujours entouré de personnes stressées. Selon elle, la situation de l'étudiant était sans doute préferable à la sienne, au niveau du stress s'entend. Je ne pouvais qu'aller dans son sens. "C'est vrai qu'être déjà dans la vie active, devoir subvenir à ses propores besoins seule, cela à de quoi être stressant. Tandis que le suel problème de la majorité des étudiants est de réussir leurs partiels."
Tout en discutant, elle continuait de faire la poussière dans ma chambre. Je pu constater qu'elle prenait son travail très à coeur, elle grimpa sur ma chaise roulante pour avoir un meilleur accès à mon étagès. Mais plutôt que de nettoyer superficiellement, elle me fis passer mes livres de cours pour astiquer en profondeur. J'eus même droit à un sourire, auquel je répondis. Et également des remerciements pour ma chambre bien rangée. Je ne voulais pas qu'elle croit que j'ai toujours été aussi respectueux. Ah moins que je lui offrais une porte de sortie pour fuir loin de l'abruti que j'avais été. Bien entendu, depuis la tragique mort de Cameron, je me rend plus compte de la valeur du travail des gens. "Tu sais, je n'ai pas toujours été ainsi, tu m'aurais rencontré il y a deux ans, tu m'aurais trouvé execrable, et je n'aurais certainement pas été te faire la conversation. Je n'avais que du mépris pour les femmes de ménages, et en fait, plus géneralement pour les personnes chargés de l'entretien des locaux. Comme quoi, il n'y a que les abrutis qui ne changent pas d'avis..." Tout en parlant, je fixais la photo sur ma table de nuit. Je n'avais que dix ans à cette période, et pourtant, je me comportais déjà comme un roi, comme si tout m'était dû. Il avait fallu que Cameron meurt pour que je comprenne que j'étais dans le faux.
Ayane semblait décidée à faire des compliments aujourd'hui, elle affirma que notre résidence était assez propre par rapport à celle des rebelles. Je souris, elle pensait ça parce que les Omegas n'avaient pas organisés de soirée ici depuis longtemps. Selon elle, elle avait aussi un caractère de rebelle. Je ne pouvais que la croire sur parole. D'ailleurs, elle critiquait certains gammas qui jouent aux rebelles alors qu'il ont toujours eu une vie facile. Je compris que cela n'avait pas du être son cas. Je voulais en savoir plus, mais nous n'étions pas proche et je n'avais pas le droit de poser cette question. Cependant, son allusion aux faux rebelles, me fit penser à Bony, elle était née dans une famille de riche, et pourtant, elle n'avait pas eu une vie facile du tout. J'avais pourri la vie de ma soeur. Et moi par contre, je ressemblais drôlement à la description que faisait Ayane des rebelles. J'étais un petit con arrogant avant. Je préferais donc ne pas répondre à son commentaire...
Elle complimenta ma chambre. "Merci" Je luis dis un nouveau sourire. J'appris une autre chose sur Ayane, elle cerne facilement les personnes. Je le vis au moment où elle commenta le fait que de nombreuses filles avaient du s'amuser sur mon lit. Elle enchaina en m'apprenant sa bisexualité, comme si l'on parlait de la plus et du beau temps. Et elle me parla également, dans la même tirade, des filles et des garçons trop faciles à draguer à l'université. Je repensais à l'annonce qu'elle m'avait fait, elle était bi. Cela ne me choquais pas, c'était juste la manière qu'elle avait utiliser pour me l'annoncer, un peu comme si elle voulait me faire fuir. Mais j'avais passé l'âge de faire desb remarques mesquines sur la sexualité des gens, ou même sur leur manière de vivre. Je souriais face à sa confession. "Je suis un éternel inconstant, c'est pas moi qui vais porter de jugement sur ta bisexualité."
Elle semblait lancée sur l'analyse comportementale des américains. Ce qui me rappelait qu'elle n'avait pas grandi aux Etats-Unis. D'un autre coté, j'avais passé ma vie ici, et je ne comprenais pas non plus ces filles qui veulent coucher avec le plus de mecs possibles sans même connaitre leur prénom. "Je te rassure, je ne comprends pas non plus ces personnes, et nous ne sommes pas tous comme ç. Et je met un point d'honneur à ne pas traiter les jeunes femmes comme des moins quze rien."
Elle me fixais d'un regard sérieux tout en me disant que la solitude était parfois pesante. J'étais d'accord avec ça, je suis un solitaire et pourtant j'aime beaucoup être en présence des autres. Avant que j'ai pu trouver quoi que ce soit à lui répondre, elle me proposait de manger ensemble le midi. De la part d'une fille qui était distante avec moi, cela m'étonna, mais je ne fis aucun commentaire. "Ce sera avec plaisir Ayane. On peut même, si tu le souhaites bien évidemment, aller manger dans un restaurant. C'est toi qui choisi le lieu, je payerais." Bien entendu, l'offre de payer n'était pas de la pure charité mais bel et bien l'illustration de mes principes moraux.

Invité

J’hoquète un peu de surprise en entendant restaurant…c’était quelque chose de tellement rare. Je me mets légèrement à rougir et je détourne le visage de manière vive…Je ne supporte pas de rougir. Cela m’énerve au fond de moi. Je souffle légèrement exaspéré de cette gêne occasionné.

« Heu….comment dire…..rahhh…Merci mais…mais le resto…ça fait pas trop….puis heu …ksow ! C’est gênant quoi qu’un homme m’offre un repas ! Tu fais exprès en faites la ! »

Je le fusille doucement du regard. Rahh je le hais de m’avoir mis tant mal à l’aise. C’est chiant ! de chez chiant ! Puis je soupire doucement abandonnant ce regard froid qui comment dire….était un peu idiot. Au fond, c’est gentil de sa part…mais ce n’est pas dans mon habitude de recevoir tout ça. Bref arrête de penser à cela Ayane.

Je m’assoie doucement sur son lit bien fait. En faites, j’avais complètement la flemme de travailler…Je soupire lourdement, surtout quand on pense qu’après les élèves remettrons le bordel. Je le regarde lorsqu’il me parle un peu de son passé. Je souris un peu.

« Hoo…je vois…mais la tu n’es plus…la vie t’as fait apprendre des choses…donc bon. C’est bien de se rendre compte de nos actes…tu sais. Deux ans avant, j’étais très violente. Plus violente que là. Les gens je l’ai haïssais…Je peux te jurer que j’avais une haine constante. Il faut vraiment me percer pour que je sois plus social. Limite il fallait que tu me prouves ta valeur…mais bon….c’était avant. »
Je rigole un peu de manière très monotone…repensant à mon passé. Deux ans avant, je faisais les combats clandestins avant que mon mentor mourrait. Tous ces combats m’avaient rendu très froide. Vous imaginez moi mettre en sang un combattant. Même si j’ai toujours cette violence….je me suis un peu calmé. Surtout dans ce nouveau pays.

Ma tête se baisse un peu puis mes yeux le refixent. Ma tête se penche en arrière avec un petit sourire au coin. Ma tête se penche sur le côté.

«Mhhh….pour toi….c’est quoi la fille de tes rêve. Oh tu sais…..c’est une simple question. Généralement les mec aiment voir une fille avec des jolie forme et une belle poitrine….Cependant.. »

Je regarde ma poitrine doucement avec un petit sourire en coins. Puis je le regarde en signe de provocation. Ben oui quand on m’a fait rougir faut s’attendre à un retour…même si cela m’amuse en faites de le faire chier…puis cela me permet mieux de l’analysé.

« Je n’ai rien à cacher….Hormis ma tenue…là c’est comment dire…pauvre.. »

Je me lève doucement regardant la chambre et je soupire encore. J’ai complétement la flemme de travailler….oui je ne veux pas travailler…

« JE crois. Que je ne vais pas travailler aujourd’hui…. »

Invité

Oups... On dirait bien que j'ai mis Ayane mal à l'aise. Je ne l'avais vraiment pas fait exrpès pour le coup. C'était juste une illustration de mes principes. Chaque fois que je mange avec une fille, je lui offre le repas. Même si cette fille n'est rien pour moi. Enfin, disons, même si je ne compte pas lui faire une cours assidue, d'ailleurs, je n'envisageais rien d'autre qu'une simple amitié avec Ayane, elle me semblait trop inaccessible pour envisager autre chose. Plus encore, je ne la connaissait pas assez pour cela. Je n'étais pas comme tous ces types qui ne regardaient que le physique avant de s'interreser à une fille. Enfin, j'agissais comme çal orsque je cherchais simplement à passer du bon temps dans un lit, j'étais un homme après tout. Mais toutes mes autres fréquentations, je les choisissais en fonction de leurs personnalités. "C'est pas gênant de se faire offrir à manger par un homme Ayane, c'est les principes de la galanterie. Et par là, je précise, je n'entends pas obtenir quelque chose d'autre en retour, j'ai simplement été élevé dans l'idée qu'un homme doit touours offrir le repas aux femmes avec lesquelles il mange. Et, non je ne le fait pas exprès, je suis comme ça." Je préferais la prévenir, ce genre d'attentions risquaient fortement de se reproduire si elle décidait que je valais la peine d'être connu et que nous nous voyions plus souvent. En tout cas, cette amitié ne tenait qu'à sa volonté, j'étais tout ouvert à la fréquenter. Je n'avais pas honte de parler avec elle, ce qu'elle faisait ne définissait pas ce qu'elle était. Et ce n'était pas parce qu'à dix-huit ans, elle travaillait déjà qu'elle ne méritait pas d'être traiter comme une riche héritière.
Alors que j'avais évoqué mon passé pour qu'elle puisse voir qui j'avais été et qu'il n'y ai pas de non dit entre nous, elle m'avoua qu'elle n'avait pas non plus toujours été comme ça. Mais je n'allais pas aller la questionner plus avant même si j'en mourrais d'envie, à la base, je ne voulais juste pas qu'elle pense que j'avais toujours été ce gentil garçon. Et plusieurs personnes pourraient en témoigner. Je ne voulais pas que mes actions passées se mettent en travers d'une amitié. Et puis, comme elle le disait, la vie m'avait fait apprendre des choses. Et pourtant j'aurais tellement souhaité que ma vie me fasse comprendre tout ça d'une façon plus douce. J'avais tout de même perdu un frère dans l'histoire, et je m'étais embrouillé avec mon père. Et j'étais la risée de toute la famille, mais ça, ce n'était vraiment pas important au final puisque cela me fournissait un excellent sujet de conversation avec Bony, ma soeur, qui avait fuit la famille et passait pour une ratée. Mais selon les Asher-Grey, j'étais également un raté. C'est pourquoi je n'attendais qu'une chose : réussir dans ma vie et être vraiment heureux, pour leur prouvé que leur arrogance de riche n'est vraiment pas une bonne façon de vivre. "Ainsi, on a tout les deux un passé qui ne reflète pas vraiment la personne qu'on est aujourd'hui" Je la regardais en souriant.
Et puis, elle eu un sourire en coin. Je flairais un coup foireux de sa part. Et je n'avais vraiment pas tort, puisqu'elle me demanda quel était mon style de fille, mais elle ne s'arreta pas là. Elle continua en disant que certains hommes aimaient bien les femmes avec de belles formes. Et elle fixait sa poitrine. Mon regard dériva sur son tee-shirt. Je n'avais pas vraiment fait attention jusqu'à maintenant, mais Ayane était vraiment une belle fille. Et son débardeur était fait pour mettre en valeur ses atouts. Mission qu'il remplissait à la perfection, je n'arrivais plus à détacher mon regard du corps de la jeune fille. Je me secouais la tête pur éclaircir mes idées. Il fallait que je me concentre sur autre chose. Je décidais de répondre à sa question tout en me forçant à la regarder droit dans les yeux. "Hum... Et bien, je n'ai pas vraiment de femme de mes rêves. Je ne suis pas fixé sur des critères fixes, j'aime les brunes, les blondes, les grandes, les petites... Bien sur, je suis un homme et je reste sensible à la beauté féminine et à leurs formes. Mais ce n'est pas cela qui compte vraiment le plus." D'un autre coté, elle allait sans doute penser que je mentais si j'avouais que je ne regardais pas souvent les femmes dans la rue, je préferais, du moins pour les femmes avec qui je pouvais envisager de sortir, connaitre leur personnalité. C'est le plus important dans une relation, si les personnes ne s'entendent pas, quel est alors l'interêt d'être beau ?
Ayane, assise sur mon lit, semble prise de flemme. Et elle me l'avoue ensuite, elle ne veut pas travailler aujourd'hui. "Tu veux faire quoi à la place ?" Je souris, j'ai conscience qu'elle m'a provoqué quelques instants avant, et que cette provocation était dû à mon offre de repas. Pourtant, j'envisage de continuer sur sa lancée. Je fixe mon lit sur lequel elle est assise. "Tu veux peut-être faire une sieste, tu t'es levée tôt ce matin." Bien sur, je ne fais pas réference à une sieste où elle pourrait dormir, mais bien à un autre genre...

Invité

Je le regarde avec mes yeux maquillait en noir. Je penche la tête sur le côté et un léger sourire sort de mes lèvres. Alors tu veux me provoquer ? Tu oses me provoquer. Alors là mon pauvre gars tu as affaire a une dominatrice ! Je vais même dire une louve. JE m’approche doucement de lui avec ma démarche de prédatrice. Mes yeux le fixe avec un regard bien froid. Je le regarde encore. Me voilà maintenant face a lui en train de le fixer.

« Alors…tu me provoques. Tu ne sais pas qui tu as affaires. »

Je le pousse assez violement pour qui recule a-t-elle point qu’il est collé contre le mur. Mes mains saisissant le col de son haut. Mes sourcil se fronce petit à petit .J’aime bien faire la grande dominatrice. Puis par amusement, je le tire vers le lit, puis je le pousse avec toute ma force. Le voilà en train de tomber sur le lit. C’est plaisant de voir cela, toi c’est sûr, tu me plais ! Vraiment tu es provocant ! J’aime la rivalité !
Mes mains se posent contre le lit et je m’approche de lui a quatre patte. Au même moment que mes yeux le fixe, je me mets à cheval sur lui. Mes mains glissent aux long de son torse pour venir se poser sur les deux coté du visage. Je suis a quatre patte, un léger sourire émane de mes lèvre. C’est plaisant de se sentir au-dessus de l’homme dans la sensualité, dans la force et même dans la mentalité. Cependant une question se pose ! Comment il va faire pour me supporter car parfois il faut me suivre dans mes drôles aventures.

« Alors ! Là tu dis quelque chose…Avoue que je te plais. Une japonaise avec des formes ou il faut. Cela ne te plait pas ? »

Un sourire taquin comme dans mes habitudes. Mes ongles griffent doucement le cou du jeune homme avant de terminer cette douce torture sur le torse. Je me mets bien sur lui et je penche la tête sur le coté

« Cependant, je ne serais pas la fille avec qui tu vas coucher dommage !

Invité

Hum... Apparament, Ayane n'a pas que la parole pour jouer sur la provocation, mais on va pouvoir aller loin tous les deux si chacun répond aux attaques de l'autre. Je ne m'attendais vraiment pas à cette réaction de sa part et pourtant alors même que je suggérais de faire une sieste, bon une sieste d'un genre particulier, la jeune femme me fixait d'un regard froid avant de littéralement se jeter sur moi. Je remarquais alors qu'elle avait de splendides yeux, qu'elle avait entouré de noir. Mais ensuite, je ne pu plus faire attention à ses yeux, j'étais occupé avec ce qu'elle me faisait subir. "Je ne fais que répondre à tes provocations" Je me retins d'ajouter à ma phrase un surnom du type poupée ou princesse, je ne connaissais pas assez la japonaise pour ça. Mais si nous continuions sur cette lancée et qu'elle devenait une amie alors elle allait avoir tout un tas de surnom, surtout si nous restions toujours aussi provocateurs.
Ainsi Ayane était plutôt du genre grande dominatrice... Manque de chance moi aussi, et avant même qu'elle est finie son attaque je réflechissais déjà à ma 'vengeance', bien sûr, j'allais rester dans le soft, je ne voulais pas que tout dérape entre nous et il était sûr que je n'allais pas coucher avec elle, je ne me le permettrais pas. Et j'allais me tenir à cette promesse intérieure, la dernière fois que j'avais failli à mes principes, une bagarre entre deux filles que j'appréciais avait carrément eu lieu...
Ayane m'avait couché sur mon lit et elle était juste au dessus de moi. Je lui souris alors qu'elle me demandais si je lui plaisais. Je n'aimais vraiment pas ce genre de question surtout si je voulais être amie avec elle, je disais non, je blessais sa sensibilité, je répondais par l'affiramtive, elle allait s'imaginer que je voulais faire tout un tas de truc avec elle. Or, je ne souhaitais ni l'un ni l'autre. J'étais coincé. Surtout que son corps parfait ne me laissait pas indéfferent, comme tous les hommes j'étais sensible à la beauté. Et pour le coup, Ayane était vraiment belle, mais ce n'était pas parce que je pensais ça, qu'automatiquement je voulais autre chose derrière. Je préferais ne pas répondre à cette question qui n'en était pas vraiment une, surtout que la jeune femme avait sorti les griffes.
Elle m'affirma ensuite qu'elle ne ferait pas parti des filles de mon tableau de chasse.
Je tenais enfin ma vengeance. J'étais resté passif jusqu'à présent, mais ce jeu allait vite s'inverser, même si je doutais qu'Ayane supporte longtemps le fait que je la domine.
Je lui attrapais les deux mains pour l'immobiliser et je la fit basculer, j'étais désormais celui qui dirigeais le jeu, au dessus d'elle, lui tenant toujours les mains pour qu'elle ai une mobilité réduite.
Bien entendu, ce n'était pas très intelligent de ma part, Ayane ne semblait pas être de celles qui s'arrêtaient si cela commençait à aller loin, et j'aurais du me soumettre plutôt que de surenchérir, mais cela avait été plus fort que moi, il avait fallu que je continue sur cette provocation. D'un autre coté, j'étais aussi très joueur et je me demandais jusqu'où nous pourrions aller comme ça, si aucun des deux ne stoppait cet enchainement. Je savais que je pouvais aller très loin si l'autre personne me suivait, mais Ayane, allait-elle continuer ? Je pourrais jurer que oui, elle n'allait peut-être pas supporter de ne pas avoir eu le dernier mot. Mais j'étais quelqu'un de très têtu et je n'aimais pas perdre. Cependant si tout dérapait, je savais que je serais capable de tout arrêter, quitte à passer pour un lâche, je tenais trop à ce bout de lien qui commençais à se créer entre elle et moi.
Toujours sur elle, j'accorchais des yeux son regard, je pu avoir tout le loisir d'observer ses yeux, que je trouvais parfait. Un sourire aux lèvres, je lui dis "On est pas obligés de coucher ensemble pour s'amuser" Je lui lachais une main pour lui imposer la même torture qu'elle m'avait fait subir, je laissais glisser mes doigts le loin de son visage, puis dans son cou, cependant, je m'arrêtais avant sa poitrine. Je voulais bien jouer, mais je n'allais pas abuser de ma position de force, je ne prendrais pas le risque de la mettre en rogne contre moi.

» /!\ C'est à croire que la déchéance est un mode de vie. | PV Ayane. /!\
» On ne laisse jamais rien au hasard... révélation ? [PV Nathaniel]
» — « Laisse la vie vous faire du bien au lieu de toujours la redouter. »
» ♫ Ce rêve bleu c'est un nouveau monde en couleur où personne ne nous dit c'est interdit de croire encore au bonheur ♪
» ~_ Un peu de détente n'a jamais tué personne. [Pv Joshua McL

Laisse jamais personne te faire croire que tu ne mérites pas ce que toi tu veux ¤ ft Ayane /!\[hot]

Laisse jamais personne te faire croire que tu ne mérites pas ce que toi tu veux ¤ ft Ayane /!\[hot]

Sujets similaires

Sujets similaires